Tests - vaccins - pass : fabrique de la panique et braquage des comptes publics
Publié le 22/02/2022 à 12:40 – Pierre Lécot – France Soir
TRIBUNE — Cela fait deux ans que la crise du coronavirus a démarré. De différentes manières, nous avons montré sur cette chaîne que la mortalité depuis 2020 en France et en Europe est finalement dans la norme de la décennie, et que les hôpitaux sont finalement loin d’avoir été saturés en 2020, services de réanimation compris.
La psychose qui dure depuis deux ans n’est donc pas maintenue à cause d’une surmortalité, ou d’un surnombre d’arrivées à l’hôpital, mais uniquement en faisant le compte de “cas Covid”. Ces “cas Covid” sont des personnes déclarées porteuses du virus de la Covid, dans l’ensemble de la population, dans l’ensemble des hospitalisations et dans l’ensemble des décès. Ce n’est qu’une fraction de l’ensemble des habitants, de l’ensemble des hospitalisations et de l’ensemble des décès. Nous avons d’ailleurs montré que l’ensemble des hausses de mortalité que nous observons depuis deux ans ont lieu soit pendant les périodes de hausse de mortalité habituelles, soit après la mise en place de mesures qui ont eu pour impact d’arrêter de soigner correctement les Français. Nous avons, grâce aux différents rapports de Santé Publique France ou de l'ATIH, de plus en plus de données officielles donnant le nombre de décès à imputer à ces mesures.