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Avant la crise sanitaire, notre association diffusait de l'information essentiellement sur le contrôle en cours du climat, sur la géo-ingénierie en cours et sur la destruction, délibérée ou non, de l'atmosphère, du sol, de l'eau et de tout le vivant sur terre. Mais devant la démesure des décisions prises par tant de gouvernements qui semblent tous suivre la même feuille de route, devant les atteintes gravissimes au droit et aux libertés individuelles et collectives, devant les dévastations économiques sans précédent, nous donnons la parole à ceux que les médias aux ordres, ignorent ou censurent. Nous sommes les témoins d'un basculement de civilisation.
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Le vrai but du confinement
L’exécutif martèle que le confinement est la seule façon de résoudre la crise sanitaire. Mais il a également d’autres utilités, explique François Martin, du fonds de recherche amitié politique.
Pour beaucoup de français, le but du confinement est strictement sanitaire. C’est ce qu’on leur dit, mais évidemment, ce n’est pas vrai. D’abord, le pouvoir n’est sans doute pas terrorisé par le nombre de morts. En effet, chaque année, le nombre de morts de la grippe est de l’ordre de 7000 à 9000 personnes. Tant que l’on n’atteint pas ce chiffre, pense probablement le gouvernement, l’épidémie du coronavirus restera à peu près « dans les clous ». Et puis, si on avait « feuilletonné » jusqu’ici, comme le Ministre le fait chaque soir, le nombre de contaminés et de morts de la grippe « classique », personne n’oserait jamais sortir de chez soi entre Décembre et Avril. Enfin, chaque année, les maladies cardiovasculaires font de l’ordre de 140 000 victimes, et le cancer environ 150 000. Cela n’empêche visiblement personne de s’offrir de temps en temps une belle cochonnaille (pleine de cholestérol…) avec une bonne bouteille de vin, et le gouvernement, s’il nous incite à l’activité physique, ne nous interdit pas pour autant la liberté de nos repas. Et si nous craignons le cancer, il ne nous empêche pas pourtant d’essayer de vivre heureux. Et les campagnes contre le cancer, s’il les prend au sérieux, ne tétanisent pas non plus le gouvernement. Que craint donc le gouvernement ?
Le gouvernement craint plus la crise médiatique que sanitaire
Ce que craint le gouvernement, ce n’est pas la crise sanitaire, mais c’est la crise médiatique. En effet, le virus, à défaut d’être beaucoup plus létal que la grippe, en tout cas dans les pays où il est correctement traité, en-dehors de la catégorie des personnes âgées, et sous réserve que les statistiques veuillent dire quelque chose (puisque les méthodes de dépistage sont très différentes d’un pays à l’autre), est au moins, c’est avéré, nettement plus agressif. Cela veut dire que la contagion, lorsque les « mesures barrières » sont insuffisantes, se transmet beaucoup plus vite d’un sujet à l’autre. Le pic est plus rapide, d’où le risque (contrairement à une grippe classique, où le pic semble moins brutal, ou même aux maladies cardiovasculaires ou aux cancers, où les morts sont répartis sur toute l’année) que l’on ait, à un moment donné, le spectacle désastreux de ce que l’on cherchait justement à cacher : le délabrement de notre système hospitalier, avec les médecins et infirmières débordés, les malades couchés dans les couloirs, les camions militaires évacuant les morts, etc… Plus que le nombre de morts, ce que craint le gouvernement, c’est la médiatisation d’un scénario à l’italienne mettant son impréparation au grand jour. C’est ça, sa crainte. Et, malheureusement pour lui, c’est bien ce qui se passe.
La preuve que ce ne sont pas les morts qui semblent être sa préoccupation principale, c’est, par exemple, l’appel désespéré des députés de Mayotte, où l’on craint une véritable hécatombe, et où pourtant le gouvernement reste sourd, en tout cas jusqu’ici, parce que Mayotte restera sous les radars médiatiques.
Mais l’autre crainte du gouvernement, la principale, sans doute, c’est la future crise économique. En effet, le gouvernement n’est pas plus préparé au sauvetage des milliers de PME qui risquent de se trouver rapidement en faillite, qu’il ne l’est concernant la crise sanitaire. Par contre, il sait que si la crise sanitaire est passagère (elle ne devrait pas résister à l’été, selon les experts), la crise économique, elle, sera permanente. Elle durera jusqu’en 2022, date de la future élection présidentielle. Par conséquent, le gouvernement a beaucoup plus à craindre de la seconde que de la première, d’où ses injonctions contradictoires, incitant d’une part les français à se confiner du mieux possible, et d’autre part, à continuer à travailler autant que possible, en télétravail, mais aussi en direct, lorsqu’ils y sont obligés. Deux injonctions contradictoires, qui ne peuvent être menée de front, parce que chacune invalide l’autre : on ne peut vraiment travailler tant qu’on est confiné, ni être vraiment confiné tant que l’on travaille. Aucun des objectifs ne sera atteint.
La suite sur valeurs actuelles
Le coronavirus, prétexte à la dérèglementation de la téléphonie mobile

La 6ème ordonnance, n° 2020-320 du 25 mars 2020, a été confirmée au JORF n°0074 du 26 mars 2020 texte n° 45 (Annexe) :
d'intercommunalité en vue de l'exploitation ou de la modification d'une installation radioélectrique ;
- possibilité pour l'exploitant d'une station radioélectrique de prendre une décision d'implantation sans accord préalable de l'Agence nationale des fréquences ;
- réduction du délai d’instruction des demandes de permissions de voirie .. ;
- dispense d’autorisation d’urbanisme pour les constructions, installations et aménagements nécessaires à la continuité des réseaux et services de communications électroniques ayant un caractère temporaire. »
Allemagne : un haut responsable de la santé demande une commission d'enquête
Campagnes Massives de Vaccinations anti-Méningite… en Lombardie
Xochipelli - Le 22 mars 2020
Aujourd’hui, la problématique fondamentale à exposer est la suivante. “La Grippe Espagnole” de 1918/1920 fut, en fait, une pneumonie bactérienne initiée par une campagne expérimentale de vaccination antiméningococcique au Kansas, durant le printemps 1918 – à l’actif de l’Institut Rockefeller pour la Recherche Médicale.
J’invite, ainsi, tous les internautes, les journalistes, les citoyens et même les “intellectuels et philosophes” (si tant est que ce vocable ait encore un sens au vu de tous ceux qui sont à genoux devant une poignée de dictateurs et de tortionnaires) à enquêter dans les régions les plus touchées par des pathologies respiratoires afin de déterminer s’il pourrait exister une corrélation avérée avec des campagnes de vaccination massive à l’encontre de la méningite (ou même, en fait, du papillomavirus) – telle que celle de 2017 portant sur 30 000 volontaires en Bourgogne. [45]
Alors qu’en Italie, la population de la province de Bergame, en Lombardie, est la plus impactée, en ce moment, par des pathologies respiratoires dramatiques… n’est-il pas très avisé de chercher des corrélations, trop évidentes, entre ces pathologies pulmonaires et la récente campagne de vaccination antiméningococcique (gratuite), de janvier 2020, dont toute la population de cette région a été le sujet suite à une épidémie de méningite à méningocoques… impactant 6 personnes – dont deux décédèrent – en décembre 2019?
Le 18 mars 2020, le journal Libération titrait “Covid-19 : «A Bergame, nous faisons un enterrement toutes les trente minutes»”. [44] Est-ce une coïncidence que Bergame fut, aussi, l’épicentre d’une vaccination antiméningococcique massive – juste deux mois auparavant?
Sommes-nous dans la même situation “d’infections bactériennes” que lors de la pandémie de 1918/1920 qui décima 65 millions de personnes, sur la planète et, avant tout, des personnes ultra-vaccinées et ultra-médicamentées? Voir les explications ci-dessous.
Est-ce pour cela que le Professeur Didier Raoult – totalement ostracisé et tourné en ridicule par les Autorités – insiste tant sur l’usage de l’Hydroxychloroquine et de la Chloroquine? En effet, même si ce médicament allopathique, la Chloroquine, utilisé depuis plus de 70 ans, s’est avéré de moins en moins efficace en tant qu’antipaludique – de par les résistances développées par le parasite Plasmodium falciparum [63] [64] – de nombreuses études pharmacologiques ont mis en exergue ses capacités anti-bactériennes, du moins in vitro. Par exemple, à l’encontre de la bactérie Legionella pneumophila responsable de la légionellose; à l’encontre de la bactérie Coxiella burnetii responsable de la Fièvre Q ; à l’encontre de la bactérie Tropheryma whipplei responsable de la maladie de Whipple, etc – ainsi que le Professeur Didier Raoult le met en exergue dans son étude de 2007 intitulée “Recycling of chloroquine and its hydroxyl analogue to face bacterial, fungal and viral infections in the 21st century.” [46] Les dizaines d’études, sur lesquelles le Professeur Didier Raoult a travaillé, sont disponibles sur le site du NCBI aux USA. [47]
Il est évident, bien sûr, que ces remèdes allopathiques, très toxiques, induisent des effets secondaires délétères avérés. [56] [65] Par exemple, la Chloroquine, au contraire de l’Hydroxychloroquine, est excessivement dangereuse pour les quelques centaines de millions de personnes mâles qui souffrent d’une carence en glucose-6-phosphate déshydrogénase: la Chloroquine, chez ces mâles, peut provoquer une anémie hémolytique qui, dans les cas les plus sévères, entraine une dysfonction létale du système rénal. Cette déficience génétique concerne plus particulièrement les mâles de descendance Méditerranéenne et Africaine.