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Ciel Voilé

Résultat pour “effet secondaire en attente”

Pétition : non à l'information d'Etat oui à la liberté d'expression

2 Juin 2018, 06:15am

Publié par Ciel Voilé

Pétition : non à l'information d'Etat oui à la liberté d'expression

Deux propositions de loi sur les « fake news » sont discutées en ce moment à l’Assemblée nationale et au Sénat.

Sous couvert de lutte contre les « fausses informations », ces lois liberticides vont en fait créer une liberté d’expression à deux vitesses, où seuls les organismes agréés et choisis par le gouvernement pourront diffuser librement des informations : aidez-moi à lutter contre ce réel danger pour notre liberté et notre démocratie, en signant cette pétition !

La proposition de loi visant à « lutter contre les fausses informations » est d’une part inutile, mais surtout dangereuse à plusieurs titres.

Elle prévoit que l’Etat puisse demander la suspension ou la suppression d’une fausse information diffusée sur Internet sous 48h, par l’action d’un juge des référés, pour l’instant uniquement en période électorale – pour l’instant !

Or, la loi sur la liberté de la presse de 1881, complétée par la loi pour la confiance dans l’économie numérique, permettent déjà de sanctionner les comportements abusifs de ce type.

Ce n’est pas en empilant de nouvelles lois liberticides que l’on pourra mieux lutter contre les « fake news » qui circulent sur les réseaux sociaux !

Mais surtout, cette proposition de loi est dangereuse pour plusieurs raisons :

-D’une part, elle instaure de fait une censure gouvernementale sur l’information, puisque c’est l’Etat qui, par le biais d’un juge des référés, pourra demander le retrait d’une information qu’il juge fausse.

Or, comment juger qu’une information est « vraie » ou « fausse » ? Quels seront les critères retenus ? Faute de preuve jugée tangible, ou parce que les sources « officielles » prétendent le contraire, l’information selon laquelle un médicament prescrit par des médecins comme coupe-faim a causé la mort de nombreux malades, qu’un ministre chargé du Budget détient des comptes cachés à l’étranger, ou tout simplement que le budget de l’Etat ne permettra pas de faire des économies, sera-t-elle considérée comme fausse, et ainsi enterrée ?

Le risque est grand, surtout, de basculer vers une information d’Etat à sens unique, où toute information allant à l’encontre du pouvoir en place sera systématiquement classée dans les « fausses informations » !

Enfin, quel mépris pour nous, simples citoyens, considérés comme si peu capables de faire le tri par nous-mêmes entre les « bonnes » et les « mauvaises » informations qu’il nous faille impérativement bénéficier du filtre omniscient et bienveillant du gouvernement… Dit comme ça, on se croirait dans une distopie glaçante, mais c’est pourtant bien ce que prévoit ce projet de loi, discuté en ce moment-même au Parlement français !

-D’autre part, un amendement voté le 22 mai dernier à cette proposition de loi revient à créer une liberté d’expression à deux vitesses.

Cet amendement prévoit que les « opérateurs de plateformes en ligne s’engagent à identifier et promouvoir les contenus d’information produits par les entreprises de presse ». En clair, seules les informations produites par des entreprises ou organisations « agréées » pourront être diffusées à grande échelle sur les réseaux sociaux. Les simples citoyens, « lanceurs d’alertes » ou journalistes indépendants, ne dépendant pas d’une entreprise officiellement enregistrée comme « entreprise de presse », seront quant à eux tout simplement réduits au silence, quelle que soit l’importance de l’information qu’ils avaient à porter à la connaissance du reste des citoyens.

Or, considérer que la parole de certains a plus de valeur que celle d’autres, tout ça parce qu’ils auront reçu leur « certification officielle » de la part du gouvernement ou de la part de Facebook, est une grave atteinte à  la liberté d’expression de chacun, et revient à créer une liberté d’expression à deux vitesses, où certains pourront se faire entendre, et d’autres non.

Nous devons nous mobiliser tant que c’est encore possible – et tant que cette pétition peut encore être diffusée librement sur les réseaux sociaux ! – pour demander aux parlementaires, quel que soit leur bord politique, de s’opposer fermement à cette proposition de loi.

Je compte sur votre aide pour signer ma pétition et la partager au plus grand nombre, au plus vite : les discussions ont lieu en ce moment même au Parlement !

Merci,

François

Référence :

http://www.assemblee-nationale.fr/15/dossiers/fausses_informations_lutte.asp

http://www.assemblee-nationale.fr/15/propositions/pion0799.asp

31 mai 2018

fake newsinformationliberté d'expression

Pétition adressée à

Députés et Sénateurs

NON A L'INFORMATION D'ÉTAT, OUI A LA LIBERTÉ D'EXPRESSION !

Mesdames, Messieurs les Députés et Sénateurs,

La proposition de loi relative à "la lutte contre les fausses informations" et la proposition de loi organique qui lui est rattachée sont soumises à votre examen en ce moment-même.

Ces propositions de loi constituent une grave atteinte à la liberté d'expression et aux fondements démocratiques de notre pays.

En effet, en laissant à l'Etat, par le biais d'un juge aux référés, le soin de décider si une information est vraie ou fausse et d'en demander le retrait le cas échéant, revient à institutionnaliser une véritable censure gouvernementale.

En outre, en prévoyant que seules les informations émanant d'un organisme ou d'une entreprise "agréée" puissent être mises en avant sur les réseaux sociaux, cette proposition de loi revient à créer une liberté d'expression à deux vitesses, dans laquelle un tri sera effectué entre ceux qui auront le droit de délivrer une information aux citoyens, et les autres, menaçant de disparition le journalisme indépendant d'investigation, le journalisme d'opinion, ou les informations souvent cruciales émanant de citoyens "lanceurs d'alerte".

Aussi, je vous demande de défendre notre droit à l’information et notre liberté d’expression et d’opinion, en vous opposant fermement à ce projet de loi,

Respectueusement.

 

 

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La privatisation des ADP serait-elle abandonnée ?

28 Juin 2019, 09:54am

Brigitte Macron, Christophe Barbier, journaliste de BFM TV, Emmanuel Macron et Bernard Mourad. Bernard Mourad a été le banquier de Patrick Drahy, lequel a reçu 14 milliards de cadeaux fiscaux d'Emmanuel Macron lorsqu'il était ministre des finances.Bernard Mourad est depuis devenu le patron de Bank of America France, chargé de la vente des aéroports de Paris.https://www.boursier.com/actions/actualites/news/groupe-adp-l-etat-aurait-mandate-une-banque-pour-ceder-des-titres-750505.html

Brigitte Macron, Christophe Barbier, journaliste de BFM TV, Emmanuel Macron et Bernard Mourad. Bernard Mourad a été le banquier de Patrick Drahy, lequel a reçu 14 milliards de cadeaux fiscaux d'Emmanuel Macron lorsqu'il était ministre des finances.Bernard Mourad est depuis devenu le patron de Bank of America France, chargé de la vente des aéroports de Paris.https://www.boursier.com/actions/actualites/news/groupe-adp-l-etat-aurait-mandate-une-banque-pour-ceder-des-titres-750505.html

Privatisation ADP : Le projet déjà abandonné ?

https://www.linternaute.com/actualite/politique/1906679-privatisation-adp-un-referendum-pour-rien-le-projet-deja-abandonne/

 

PÉTITION ADP - Le projet controversé de privatisation d'Aéroports de Paris va-t-il être abandonné plus vite que prévu ? Deux semaines après le lancement d'une procédure de référendum d'initiative partagée (RIP) sur la question, Emmanuel Macron aurait déclaré en privé que le projet ne se ferait pas.

La privatisation des aéroports de Paris pourrait bien ne jamais avoir lieu. Ce mercredi 26 juin, le très bien informé Canard Enchaîné écrit en tout cas que le président de la République a un avis arrêté sur la question. Celui-ci aurait confié à des visiteurs que le projet "pas compris par l'opinion publique" était impossible à mener à bien. Selon l'hebdomadaire, le ministre de l’Économie et des Finances Bruno Le Maire se serait également fait à l'idée que la privatisation soit abandonnée. "Il faut prendre son temps, il ne faut pas faire comme si le référendum n'existait pas. Il convient de respecter les Français signataires du projet de référendum d'initiative partagée. Et de ne pas donner l'impression, en attaquant cette procédure, que nous les méprisons. Le processus doit aller sereinement jusqu'au bout, comme le prévoit la Constitution" aurait expliqué Emmanuel Macron devant quelques ministres.

Une procédure a été lancée le 13 juin 2019. 248 députés et sénateurs de l'opposition ont déclenché le processus de "référendum d'initiative partagée", et ont jusqu'au 12 mars 2020 pour récolter 4,7 millions de signatures. Si l'objectif est atteint, le gouvernement devra organiser un référendum national courant 2020 afin que les Français donnent leur avis sur ce sujet devenu polémique. C'est la première fois que le "RIP", introduit en 2008 dans la loi française mais applicable que depuis 2015, est utilisé. Il nécessite la réunion de plusieurs conditions, et notamment le soutien d'un cinquième des parlementaires puis de 10% du corps électoral.

 

Référendum Aéroports de Paris

Ce référendum d'initiative partagée vient s'opposer au projet controversé de privatisation des aéroports de Paris. En 2017, le gouvernement français a fait savoir son intention de privatiser le groupe sous la supervision de la Bank of America-Merill Lynhc. Cette décision a été vivement critiquée par les détracteurs du projet, en raison, avancent-ils, des coûts potentiels pour l’État, de la perte de revenu que constituerait cette privatisation, du symbole politique qui serait envoyé ou encore, de l'expérience de la privatisation de l'aéroport Toulouse Blagnac, vivement critiquée par la Cour des Comptes.

Dans le projet accompagnant la pétition, les députés et sénateurs expliquent qu'"un aéroport n'est pas une entreprise comme les  autres : c'est un outil stratégique de politique économique". Ils rappellent également la situation dans d'autres pays d'Europe. "Cette vision est partagée par la plupart des pays européens pour lesquels les aéroports restent propriété de la puissance publique (ville, région, État, ...). C'est ainsi qu'en Allemagne, en Espagne ou en Italie, aucun aéroport n'est détenu uniquement par  des acteurs privés." écrivent les 248 parlementaires. "Afin de ne pas reproduire les erreurs liées à la privatisation d'infrastructures stratégiques en situation de monopole, nous souhaitons avec la présente proposition de loi référendaire donner la possibilité au peuple français de se prononcer quant à l'affirmation du caractère de service public national de l'exploitation des aérodromes de Paris, ce qui aura pour conséquence de rendre impossible leur privatisation", ajoutent-ils.

Référendum ADP : combien de signatures ?

Le site officiel du gouvernement ne liste pas en temps réel le nombre de signatures pour la pétition sur le référendum au sujet de la privatisation d'Aéroports de Paris (ADP). Il indique uniquement l'identité des signataires, sans réaliser de décompte. Jusqu'au 25 juin, il était possible d'accéder à une page listant l'ensemble des signataires, permettant un décompte avec précision. Le site du ministère de l'Intérieur a cependant corriger cela, et il est désormais impossible d'accéder à cette liste complète. Une décision assumée par le ministère. "Le législateur a confié au Conseil constitutionnel et à lui seul le décompte des soutiens. Il n'a pas prévu que les électeurs et de manière générale nos concitoyens y aient accès, raison pour laquelle le ministère de l'Intérieur est intervenu pour que cette page n'apparaisse plus" a-t-il expliqué à Libération.

Malgré ces difficultés, CheckNews de Libération utilise sa propre méthode pour estimer le nombre de signataires. Le site estime ainsi à environ 390 000 le nombre de soutiens validés le 26 juin, contre 378 477 la veille et environ 236 000 le 20 juin. Il précise également que le site semble disposer d'un délai de 5 jours entre le dépôt d'une signature et sa validation. Ce chiffre de plus de 390 000 signataires représente environ 8% du nombre total de signatures à récolter. Afin d'atteindre son objectif avant le 12 mars 2020, le projet doit progresser à un rythme d'environ 17 000 nouveaux soutiens par jour. Le site ADPRip, qui réalise son propre décompte, estime que l'objectif pourrait à ce rythme être atteint le 14 décembre 2019. Si le nombre de soutiens est pour le moment en avance par rapport à ce chiffre moyen, la progression semble pourtant ralentir depuis quelques jours. CheckNews compte en effet une progression d'environ 16 000 signatures confirmées entre le 24 et le 25 juin, contre 25 000 par jour précédemment. Il semble improbable que la mobilisation puisse suffisamment se maintenir dans la durée pour atteindre son objectif, sauf en cas de campagne médiatique intense dans les mois à venir.

La suite sur l'internaute

Signez Non à la privatisation des ADP

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Le Sénat presse les élus locaux d’anticiper les dérèglements climatiques

20 Mai 2019, 19:43pm

Le Sénat presse les élus locaux d’anticiper les dérèglements climatiques

Hugo Soutra – Le 18 mai 2019

http://www.courrierdesmaires.fr/81841/le-senat-presse-les-elus-locaux-danticiper-les-dereglements-climatiques/


 

Raréfaction de l'eau, sécheresses agricoles, tourisme des sports d'hiver condamné à moyen terme... le réchauffement climatique posera de nombreux problèmes à la France dans les prochaines décennies. Pourtant, les stratégies locales d’adaptation et de mutation peinent à émerger et à toucher les citoyens… A entendre les sénateurs Dantec et Roux, membres de la délégation à la prospective, les acteurs publics locaux doivent travailler main dans la main avec l'Etat et le secteur privé pour faire face à l’urgence.

Le constat n’est plus à faire : il fera 2° celsius de plus sur Terre, en moyenne, d’ici 2050. Cette hausse des températures, qui s’est déjà manifestée par des canicules plus fréquentes et plus sévères, fera monter le niveau des mers et le risque de submersion de certaines zones littorales, tandis que les sols d’autres régions s’assécheront et qu’une forte hausse du risque incendie est à prévoir. « De grands organismes d’Etat et de recherche (Cerema, Ademe, INRA, ONF) font des prévisions pour aider la société à s’adapter à ce futur. Mais leurs travaux ne descendent pas. Très peu de secteurs ont commencé à élaborer des stratégies de mutation pour faire face à l’aggravation des divers impacts du changement climatique » s’inquiète le sénateur Ronan Dantec, auteur du rapport « Adapter la France aux changements climatiques à l’horizon 2050 ».

Lire aussi l’interview de Ronan Dantec: « S’appuyer sur les villes pionnières pour lutter contre le climato-fatalisme »

 

« 2050, c’est demain. C’est tout le sens de nos dix-huit propositions : que la connaissance se diffuse, sensibiliser un maximum d’acteurs de terrain – publics ou privés – et mettre en branle la société, les citoyens » poursuit son homologue Jean-Yves Roux, sénateur (RDSE) des Alpes-de-Haute-Provence. L’idée de ce rapport, c’était de dresser un état des lieux pour que « les collectivités puissent anticiper le changement climatique, sachent à quoi elles seront confrontées en 2050 et prévoient les conséquences sur le tourisme, l’agriculture ou le bâti, sur l’avenir de leurs territoires » résume le patron de la délégation à la prospective, le sénateur (LR) Roger Karoutchi.

Culture du risque et sensibilisation au réchauffement climatique

Le travail des deux sénateurs – alimenté par des climatologues, des économistes, des sociologues, des agronomes ainsi que les associations d’élus ou des fonctionnaires d’Etat – s’adresse en particulier aux élus issus du monde rural ou à la tête de petites collectivités. Objectif : permettre à l’ensemble des élus de se forger une culture politique. « L’ingénierie apportée aux petites collectivités manque clairement aujourd’hui. Les régions ont un rôle essentiel à jouer pour informer les acteurs de terrain, les départements doivent également accompagner les petites intercommunalités et villages » estime Jean-Yves Roux. Avec le sénateur de Loire-Atlantique Ronan Dantec, il s’inquiète tout particulièrement de la raréfaction à prévoir des ressources en eau.

Les deux auteurs de ce rapport d’information redoutent en effet que les pénuries malheureusement à prévoir dans certains territoires multiplient les conflits d’usage. D’où la nécessités, selon eux, d’une gestion territoriale de cette problématique afin de pouvoir arbitrer entre les intérêts parfois contradictoires des différents acteurs de terrain. A les entendre, les collectivités devraient s’efforcer d’ores et déjà d’améliorer le rendement des réseaux d’eau potable et préserver les zones humides de tout projet d’artificialisation. « Il faut développer le stockage de l’eau en Occitanie de toute urgence. Il faut que la question émerge clairement dans le débat public ! C’est un enjeu essentiel afin de pouvoir faire face le plus sereinement possible aux situations de stress hydriques » estime Jean-Yves Roux, sénateur des Alpes-de-Haute-Provence.

La nécessaire transition vers l’agro-écologie 

Les secteurs agricole et agro-alimentaire verront également leurs activités perturbées à l’avenir, les préviennent les deux sénateurs qui ont en tête la multiplication des sécheresses agricoles – plus sévères, au passage –, la stagnation des rendements ou l’altération de la qualité  des semences. « Ce n’est pas dans l’habitude des éleveurs limousins d’acheter de fourrage, mais ils n’auront bientôt plus le choix. Si les différentes forces en présence – les agriculteurs et les écologistes – continuent de s’affronter sur le sujet de l’irrigation, on y arrivera pas » s’inquiète l’élu nantais Ronan Dantec .

« Les agriculteurs n’ont pas d’autres choix que de se tourner vers l’agro-écologie, mais les pouvoirs publics doivent prévoir un accompagnement financier et de nouvelles formes de solidarité pour qu’ils s’engagent à opérer cette transition. Pourquoi ne pas mieux rémunérer les services environnementaux qu’ils rendent », propose Jean-Yves Roux.

 

Suite de l'article :

 

http://www.courrierdesmaires.fr/81841/le-senat-presse-les-elus-locaux-danticiper-les-dereglements-climatiques/

 

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Pour la reconnaissance d’un droit personnel au refus de l’installation de Linky chez soi

27 Décembre 2017, 11:45am

Publié par Citizaction

Pour la reconnaissance d’un droit personnel au refus de l’installation de Linky chez soi

Il prétend vous faire faire des économies d’énergie et sauver la planète ; rien que ça ! Aucune preuve sérieuse à l’appui évidemment… En revanche, il émet des ondes « CPL » – considérées comme « potentiellement cancérigènes » – à partir de tout votre réseau électrique, du sol au plafond.

Si vous le refusez, on peut clairement vous laisser entendre que vous pourriez ne plus avoir de courant ou le payer bien plus cher ; de la menace à peine voilée… Bienvenue dans le monde merveilleux de « Linky » ! Celui du compteur « intelligent » qui transmet, au jour le jour, à votre opérateur électrique tous les détails de votre consommation énergétique (appareils utilisés, conditions d’utilisation, fréquence, etc.) et qui, à terme, lui permettra d’en prendre le contrôle à distance.

Cette situation n’est pas acceptable. Voici trois (très) bonnes raisons d’exiger que soit reconnu, noir sur blanc, un droit personnel au refus de l’installation de Linky chez soi, et que des sanctions soient prévues pour décourager toutes pratiques abusives.

Avant de faire partie des prochaines victimes de ces installations imposées, signez la pétition !

1. Ils jouent aux apprentis sorciers et nous sommes leurs cobayes…

Il apparaît clairement que le déploiement en masse des compteurs Linky aurait mérité beaucoup plus de prudence. Les fréquences « CPL » émises sont classées « potentiellement cancérigènes » par le CIRC (Centre International de Recherche contre le Cancer). Certes, ces fréquences semblent faibles mais tout le réseau électrique devient transmetteur et, à terme, 35 millions de foyers doivent être équipés ; sans oublier les concentrateurs et les antennes relais. De plus, notre exposition sera continue et aucune étude sérieuse ne prévoit les conséquences sur le moyen et le long terme.

Dans un premier temps, les opérateurs électriques ont nié tout effet nocif pour la santé. Mais certains industriels n’en disaient-ils pas autant de l’amiante ? Et les laboratoires pharmaceutiques n’ont-ils pas défendu bec et ongles l’usage de médicaments comme le Benfluorex ou le Médiator, jusqu’au jour où ils ont dû les retirer d’urgence du marché ? Désormais, les pouvoirs publics reconnaissent qu’il faut faire la lumière sur cette question sanitaire. Mais, ne fallait-il pas le faire avant de lancer la déferlante ? Quel aveu de légèreté !

Des personnes en sont malades. Une femme qui était particulièrement souffrante a dû saisir la justice pour qu’un compteur installé chez elle contre son gré soit enlevé. Heureusement, le tribunal de Grenoble a répondu favorablement à sa demande. Mais n’est-il pas invraisemblable d’en arriver à une telle extrémité ?

Dans ce contexte, on pourrait espérer qu’ENEDIS lève le pied, qu’il attende les conclusions d’études réellement fiables et indépendantes et qu’il tienne compte de l’inquiétude légitime de plus en plus de Français… Mais, l’opérateur s’en moque. Au contraire, il accélère et mène au pas de charge l’installation des compteurs. Au début de l’année, il en installait 18 000 par jour. Or, désormais, c’est 35 000

2. C’est de la vente forcée, qui ne dit pas son nom…

Officiellement, il n’y aurait pas d’obligation de s’équiper de cet appareil intrusif puisque nous sommes dans un « pays de droit ». Mais, dans les faits, c’est une toute autre musique…

Les directives européennes de 2006 et de 2009 ont programmé la pose de compteurs Linky dans 80 % des foyers d’ici à 2020. En clair, il n’y aurait aucune contrainte mais 80 % des foyers doivent être équipés à brève échéance… Merci la subtilité ! Et les pouvoirs publics français ont fait du zèle puisqu’ils ont prévu, quant à eux, que tous les foyers le soient. L’opération est alors menée tambour battant par ENEDIS (ex-ERDF) chez des personnes qui, souvent, ne sont pas informées ou, pis, qui n’en voulaient pas.

Enfin, voici les armes bien rodées utilisées pour annihiler toute résistance à la planification :

Arme n° 1 : briser la résistance des communes

Car plus de 400 communes s’opposent au déploiement de Linky sur leur territoire… Ce n’est pas rien ! D’autant plus que les communes sont bien les propriétaires des réseaux de distribution de l’électricité. Mais sous la pression du ministère de l’Intérieur, les maires sont sommés de plier l’échine. Bref, les pouvoirs publics annihilent toute résistance collective pour pouvoir s’attaquer aux seuls citoyens pris isolément… Nos libertés locales sont broyées sous le rouleau compresseur de leur planification !

Arme n° 2 : laisser carte blanche au seul ENEDIS

Les pouvoirs publics ont laissé toute latitude à ENEDIS pour déployer Linky tout en lui garantissant le monopole du branchement et du raccordement électrique. C’est la porte ouverte aux abus. Ainsi, pour les logements neufs, par exemple, il n’y a plus de choix, ENEDIS ne fournit plus de compteurs traditionnels, seuls des compteurs Linky sont donc installés… À terme, c’est la garantie que tout le parc sera équipé bon gré mal gré avec son compteur intrusif.

Arme n° 3 : dispenser une propagande bien huilée

L’information donnée lors des démarchages à domicile est souvent très partielle et inexacte. Par exemple, pour rassurer le client, le compteur Linky est présenté comme gratuit. Toutefois, l’opération globale coûtera 5 milliards d’euros (une paille !) qui seront évidemment amortis dans les facturations des abonnés

3. Objectif : rationnement, pénalités et surfiscalité ?

Les compteurs « intelligents » ont pour but de transmettre le détail de nos consommations électriques à l’opérateur, des informations tout à fait privées. Cette pratique ouvre la porte à une évolution inquiétante que beaucoup ne soupçonnent pas à l’heure où, pourtant, les guerres pour contrôler les marchés et la course aux données font rage… Certains politiques et prospectivistes vantent même sans aucune pudeur l’intérêt de cette technologie qui pourrait permettre de rationaliser (autant dire rationner !) nos consommations par des systèmes de pénalités dissuasives et de surfiscalité et de les conditionner à grande échelle (sollicitations systématiques et ciblées pour acheter les derniers appareils ménagers, par exemple).

Si vous les laissez installer Linky chez vous, rien ne les empêchera de rationner votre consommation ou de vous surtaxer via ce compteur. Et rien ne les empêchera, demain, de faire la même chose avec toutes vos autres activités.

Pour toutes ces (très) bonnes raisons, je vous demande de signer comme moi la pétition pour une liberté de choix, pour la reconnaissance d’un droit personnel au refus de l’installation de Linky chez soi.

Ceux qui veulent imposer cette politique intrusive sont très puissants… Mais nous sommes beaucoup plus nombreux ! Nous pouvons êtres des millions à signer cette pétition et à rejoindre la résistance aux côtés de 400 communes de France et de dizaines d’associations. Il n’y a pas de fatalité, nous ne sommes ni pigeons, ni cobayes ! Signez la pétition et transmettez-là à tous vos amis, eux aussi sont concernés !

Merci !

Elisabeth

SIGNER LA PETITION :

https://www.citizaction.fr/petition/pour-la-reconnaissance-dun-droit-personnel-au-refus-de-linstallation-de-linky-chez-soi/

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Nouvelles de la mobilisation contre le Linky du 30 novembre devant le Conseil d'Etat

4 Décembre 2017, 20:23pm

Publié par Annie Lobé

Nouvelles de la mobilisation contre le Linky du 30 novembre devant le Conseil d'Etat


UN GRAND MERCI aux plus de 80 personnes qui sont venues au Conseil d’Etat jeudi 30 novembre de bon matin, après avoir, pour certaines d’entre elles, fait plusieurs centaines de kilomètres.


MERCI, aussi, aux 392 personnes qui ont envoyé leur « Message au Conseil d’Etat » : ils ont bien été remis.

Au tout début de la séance, à 9h30, a été examinée notre demande de récusation du rapporteur public, M. Rémi DECOUT PAOLINI, qui était membre du cabinet de François Fillon au moment où le Premier ministre a signé un décret lançant le Linky, le 31 août 2010.

Un autre « rapporteur public » dont nous ignorons le nom a suggéré que cela ne signifiait pas qu’il soit intervenu directement dans le dossier Linky, puis nous sommes tous sortis de la salle quelques minutes pendant que Madame la présidente de la 1ère chambre, Pascale Fombeur, et 3 autres magistrates délibéraient. Elles ont rejeté notre demande, et M. DECOUT PAOLINI a fait une entrée triomphale dans la salle.

Ont ensuite été examinées plusieurs affaires pour lesquelles des avocats étaient présents.
Ce spectacle était intéressant en soi. En effet, devant le Conseil d’Etat, seul un petit nombre d’avocats est habilité à plaider.

Nous n’avions donc pas le droit de parler, mais nous avons vu que les avocats qui en ont le droit – et sont de surcroît payés pour cela – ne parlent pas non plus ! A chaque fois que la présidente leur a demandé s’ils avaient des observations à formuler, les avocats des requérants en défaveur desquels M. DECOUT PAOLINI avait conclu ne consentaient qu’à se lever à demi en marmottant : « Je m’en rapporte à mes écritures ». (honoraires de ces avocats dits « aux Conseils » = un forfait de 4.500 euros en 2009, quand j’ai eu des contacts avec deux d’entre eux).

La rapporteure, Madame Chaduteau-Monplaisir, a brièvement rappelé l’objet de nos requêtes, l'annulation de l'arrêté du 4 janvier 2012 définissant les spécifications techniques du Linky, pris en application du décret 2010-1022, abrogé le 30 décembre 2015, ainsi que l’arrêt du déploiement du Linky et le retrait de l’intégralité des compteurs déjà posés, sur le fondement du non respect de l’article 4 de l’arrêté du 4 janvier 2012, et l’annulation du rapport de l’ANSES.
Mais elle a oublié de mentionner que nous demandons aussi que l’ANSES rende un nouveau rapport tenant compte des cas de personnes contraintes de quitter leur domicile après la pose du Linky.

Sur le dossier Linky, M. DECOUT PAOLINI a semblé n’avoir qu’un œil : celui qui lui a permis de lire les mémoires d’ENEDIS et de l’ANSES, dont il semblait être l’avocat. Il a passé sous silence tous nos arguments basés sur des articles de loi précis et sur la jurisprudence, ponctuant son propos d’un méprisant « Madame Lobé n’est pas juriste ». Sans doute s’est-il épargné la peine de mentionner nos arguments juridiques pour ne pas avoir à y répondre...

Il a fait état d’une « obligation » de déploiement issue de « directives européennes de 2003 et 2013 ». Vérification faite aujourd’hui, aucune directive de 2013 ne concerne les compteurs communicants, quant à celle de 2003, elle a été abrogée par celle de 2009, laquelle précise que le déploiement ne doit se faire que sous certaines conditions dont nous démontrons amplement,
dans nos écritures, qu’elles ne sont pas remplies en France.

M. DECOUT PAOLINI a donc menti à Madame la présidente, ce qui est  purement et simplement scandaleux.

Le jugement ne sera pas tenu de suivre les conclusions du rapporteur public, mais en vérité il est très rare qu’un arrêt s’écarte de l’avis du rapport public.

Si nous perdons devant le Conseil d’Etat, nous porterons l’affaire devant les juridictions européennes.

Pour les antennes-relais, il avait fallu 10 ans avant d’arriver au Conseil d’Etat et à la cour de Cassation. Les victimes étaient épuisées, certaines avaient déjà dépensé des dizaines de milliers d’euros. Aucune n’a eu la force de continuer le combat (ni d’ailleurs,à ma connaissance, dans les autres combats de santé publiques perdus devant les plus hautes juridictions françaises).

Si le Conseil d’Etat ne fait pas droit à nos demandes, nous serons bientôt en mesure de solliciter les juridictions européennes, ce qui est une très bonne chose. Pour ce combat contre Linky, nous défricherons ensemble une terre inconnue !

Je tiens une nouvelle fois à remercier du fond du cœur toutes celles et ceux qui ont fait le déplacement et notifié au Conseil d’Etat, par leur présence, que l’affaire Linky est véritablement une affaire de santé publique et sociétale, et environnementale.

Le personnel du Conseil d’Etat a été très courtois et correct avec nous. En retour, nous aussi, avons montré que nous sommes des personnes éduquées.

Les drames humains engendré par Linky vont-ils cesser grâce au Conseil d’Etat, ou faudra-t-il patienter encore deux ans que les juridictions européennes rendent leur verdict ?

Nous le saurons bientôt : la 1re chambre du Conseil d’Etat rendra son arrêt dans 15 à 20 jours.

Merci encore pour votre implication !

Bien sincèrement à vous,

Annie Lobé

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Énorme fraude sur le comptage des cas de COVID au CDC

3 Juillet 2020, 05:59am

Énorme fraude sur le comptage des cas de COVID au CDC

John Rappoport le 2 juillet 2020

 

Dans ce cas, nous devons entrer dans le monde officiel (de la folie) -- où tout le monde est sûr qu'un nouveau coronavirus a été découvert en Chine et que les tests de diagnostic sans valeur ont une signification et que les chiffres des cas sont réels et significatifs.  Une fois que nous aurons exécuté toutes ces manœuvres absurdes, nous nous retrouverons au milieu d'un autre scandale, cette fois-ci au sein de notre agence américaine préférée pour les scandales, le CDC.

Le 21 mai, le journal The Atlantic titrait : "Comment le CDC a-t-il pu commettre cette erreur ?"

Je vais vous donner les principales citations, puis je commenterai la conclusion brutale que The Atlantic n'a pas réussi à saisir.

"Nous avons appris que le CDC fait, au mieux, une erreur démoralisante : combiner les résultats des tests qui diagnostiquent les infections actuelles au coronavirus à ceux des tests qui mesurent si quelqu'un a déjà eu le virus... L'agence a confirmé à The Atlantic mercredi qu'elle mélangeait les résultats des tests viraux [PCR] et des tests d'anticorps, même si les deux tests révèlent des informations différentes et sont utilisés pour des raisons différentes.

"Plusieurs États, dont la Pennsylvanie, le site de l'une des plus grandes épidémies du pays, ainsi que le Texas, la Géorgie et le Vermont, mélangent les données de la même manière. La Virginie a également mélangé les résultats des tests viraux et des tests d'anticorps jusqu'à la semaine dernière, mais elle a fait marche arrière et le gouverneur s'est excusé de cette pratique après qu'elle ait été couverte par le Richmond Times-Dispatch et The Atlantic. Le Maine a également séparé ses données mercredi ; les autorités du Vermont ont déclaré qu'elles ne savaient même pas qu'elles faisaient cela".

"'Vous vous moquez de moi', nous a dit Ashish Jha, le professeur K. T. Li de santé mondiale à Harvard et le directeur de l'Institut de santé mondiale de Harvard, lorsque nous avons décrit ce que faisait le CDC. Comment le CDC a-t-il pu faire cette erreur ? C'est un gâchis".

"Le 29 février, le CDC a cessé de publier tout ce qui ressemblait à une base de données complète des résultats des tests quotidiens [COVID]. Quand il a repris la publication des données des tests la semaine dernière [mi-mai]..."

Tout d'abord, la mission fondamentale du CDC est de publier des statistiques sur les maladies de façon continue.  La publication de données partielles va à l'encontre de ce qu'elles sont censées être.

Mais le problème, bien sûr, est de combiner les résultats de deux tests différents - le PCR et l'anticorps - et de les mettre dans un seul et même lot.

J'ai lu l'article de l'Atlantique en long, en large et en travers, et il semble que les experts pensent que seuls les tests viraux PCR devraient être utilisés pour compter le nombre de cas de COVID.

Voici donc un point à retenir que je ne trouve nulle part dans l'article de The Atlantic : LA COMBINAISON DES DEUX TESTS VA CONSIDÉRABLEMENT GONFLER LE NOMBRE DE CAS.

Je ne parle pas de catégories comme le "taux d'infection" ou le "pourcentage".  Je parle de simples nombres de cas.

Certains tests PCR indiqueront COVID et certains tests d'anticorps indiqueront COVID, et les additionner fera augmenter le nombre de cas.  Vous savez, ce grand nombre qu'ils affichent sur les écrans de télévision une centaine de fois par jour.

"Les cas de coronavirus ont encore augmenté hier, et le grand total aux États-Unis est maintenant..."

C'est ce nombre.

Le nombre que les médias, le gouvernement et les escrocs apparentés déploient pour effrayer la population et justifier les mesures de confinement et les utiliser pour arrêter la réouverture de l'économie.

Le cirque de la fanfare avec ses acrobates volants, ses éléphants et ses numéros de clown.

Par conséquent, je ne qualifie pas d'erreur ce que fait le CDC.  Ils ont réussi à créer l'illusion que le nombre absolu de cas est plus élevé qu'il ne devrait l'être.

D'une manière ou d'une autre, ces "erreurs" semblent toujours entraîner de mauvaises nouvelles, et non de meilleures.  Les "erreurs" se situent toujours du côté des hauts plutôt que du côté des bas.

Exemple : la prédiction par ordinateur des décès par COVID au Royaume-Uni et aux États-Unis, faite par cette catastrophe lamentable, Neil Ferguson, dont les antécédents, remontant à 2001, n'ont cessé d'être une horrible exagération lunatique.  Ses prévisions pour 2020, soit 500 000 décès par COVID au Royaume-Uni et deux millions aux États-Unis, ont été directement utilisées pour justifier le confinement dans de nombreux pays.

En 2009, le CDC a cessé de communiquer le nombre de cas de grippe porcine aux États-Unis, tout en affirmant que ce nombre se chiffrait par dizaines de milliers.  J'ai écrit en détail sur le scandale, qui a été révélé par Sharyl Attkisson, alors journaliste d'investigation de la chaîne de télévision américaine CBC.  Le CDC a cessé de compter les cas, parce que le pourcentage écrasant d'échantillons de tissus de patients revenaient des laboratoires sans aucun signe de grippe porcine ou de tout autre type de grippe.  Et pourtant, dans une "analyse" rétrospective ultérieure, le CDC a affirmé qu'au plus fort de l'"épidémie", il y avait 22 MILLIONS de cas de grippe porcine aux États-Unis.

En remontant jusqu'en 2003 et au SRAS, le CDC et d'autres agences de santé publique du monde entier ont fait état des dangers qui planent sur le ciel ; le dernier décompte officiel des décès, au niveau mondial, lorsque la poussière s'est dissipée ?  800.

La tradition veut que l'on exagère le pire, que l'on fasse exploser les chiffres pour créer l'illusion de la destruction.

CDC ?  Erreur ?  L'agence est certainement incompétente.  Mais ce n'est que le début de l'histoire.

La seule fois où ils disent qu'il n'y a pas de danger, c'est quand ils mentent sur les effets des vaccins.

Mon titre pour l'article sur The Atlantic serait le suivant ALORS COMBIEN DE CAS DE COVARIECTOMIE DEVRIONS-NOUS SOUSTRAIRE POUR OBTENIR LE NOMBRE RÉEL ?

Et le premier paragraphe irait dans ce sens : "Juste au moment où les gouverneurs tentent de rouvrir leur économie, une gigantesque fraude dans le décompte des cas au CDC leur coupe le souffle.  Les millions d'Américains qui souffrent de la dévastation financière pourraient être démoralisés.  Qui crie à l'aide à ce sujet aux informations du soir ?  Personne.  Pourquoi ?"


https://blog.nomorefakenews.com/2020/07/02/huge-covid-case-counting-deception-at-the-cdc/


 

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L'imposture de l'accord de Paris sur le climat

17 Novembre 2018, 13:01pm

Publié par Oren Cass

 

Chantons et dansons pour le climat

 

Oren Cass – novembre 2017

 

https://www.city-journal.org/html/climate-song-and-dance-15556.html

 

 

Il est difficile de trouver une bonne nouvelle lors de la conférence des Nations Unies sur le climat de cette année à Bonn, en Allemagne. Des diplomates de près de 200 pays se sont réunis pour faire le point sur les accords «historiques» de Paris relatifs au climat, signés il y a deux ans. Mais à mesure que l’auto-félicitation de Paris, alimentée par le champagne, retombe dans les mémoires, la fraude sous-jacente de l’accord devient évidente.


En théorie, les discussions, négociations et accords internationaux sur le changement climatique visent à réduire les émissions mondiales de gaz à effet de serre et, partant, à atténuer le réchauffement climatique attendu. En fait, l'accord de Paris ne tente même pas d'atteindre cet objectif, sauf sur le papier. Au lieu de cela, les pays peuvent s'engager à prendre autant ou peu de mesures en matière de lutte contre le changement climatique et aucun mécanisme de mise en œuvre ne leur garantit de respecter leurs engagements. Un pays mécontent de son engagement peut simplement le changer.


Opérant dans ce cadre, les pays se sont très peu engagés. En 2000, avant tous les investissements dans les énergies propres, les programmes de plafonnement et d'échange, les taxes sur le carbone et les accords internationaux décisifs, les projections de l'ONU en matière d'émissions pour ce siècle indiquaient un réchauffement planétaire de 3,4 ° C d'ici 2100. Au sommet de Bonn, les Nations Unies ont reconnu qu'avec toutes les promesses, le réchauffement projeté d'ici à 2100 atteignait encore 3,2 ° C - et même cette réduction minime du réchauffement présupposait le respect des exigences, ce qui est insuffisant.

 

Aucune des grandes puissances n’est sur le point de respecter ses engagements et les pays en développement ne parviennent même pas à se lancer. Angela Merkel, «chancelière du climat» et organisatrice de la conférence de cette année, a vivement critiqué le retrait du président Trump de l’accord de Paris, mais les émissions de son propre pays augmentent. Le ministère allemand de l’Environnement estime que le pays manquera beaucoup à ses objectifs et met en garde contre «un désastre pour la réputation internationale de l’Allemagne en tant que leader du climat».


Rien de tout cela ne devrait être surprenant, étant donné ce que contient l'accord de Paris, contrairement à la manière dont il a été présenté. « Cet accord est ambitieux, chaque nation fixant et s'engageant dans des objectifs spécifiques », a déclaré le président Obama en 2015. C'était à l'époque. Maintenant, explique le New York Times, « de nombreuses promesses de Paris restent assez opaques, et la plupart des pays ont été vagues sur les politiques spécifiques qu’ils adopteront pour les respecter. Il n'y a pas de mécanisme officiel pour quantifier les progrès. » 


En 2015, les dirigeants signataires de l'accord étaient convaincus que l'élan et le bien-être de Paris combleraient les écarts entre la rhétorique et la réalité. L'accord, a déclaré Obama, « envoie un puissant signal que le monde est fermement attaché à un avenir sobre en carbone », ce qui aiderait à « libérer les investissements et l'innovation dans les énergies propres à une échelle sans précédent ». Mais les investisseurs pouvaient lire l'accord, aussi. Les investissements mondiaux dans les énergies propres ont chuté de 18% en 2016, soit la pire performance jamais enregistrée. dans les pays en développement, la baisse a été de 27%. Et les investissements dans les pays du tiers monde, considérés comme essentiels au progrès mondial, ont chuté de 26%.


Apparemment, le plan est de continuer la marche sans but. L'un des objectifs de Bonn est de finaliser le «règlement» selon lequel les pays se conforment volontairement (ou non) à leurs promesses volontaires. Une autre consiste à «lancer un« dialogue de facilitation »prévu pour 2018», rapporte le Washington Post. «Le dialogue de facilitation sera une évaluation préliminaire. . . Donc, attendez-vous à ce que les négociations de Bonn aboutissent à un consensus sur la structure de cette première étape cruciale. »Si le dialogue de facilitation de l’année prochaine échouait pour atteindre ses objectifs - quels qu’ils soient -, un« bilan mondial »est déjà prévu pour 2020.


Mais tout n'est pas perdu: la Syrie est enfin à bord. L'État déchiré par la guerre, le seul pays à ne pas encore avoir signé l'accord de Paris, a annoncé cette semaine qu'il le ferait. « Avec la décision de la Syrie, l'engagement sans faille de la communauté mondiale à respecter Paris est plus évident que jamais », a salué Paula Caballero, de l'Institut des ressources mondiales. « L’isolement total des États-Unis devrait donner à Trump l’occasion de revenir sur sa décision.» ThinkProgress, un site Web affilié au Center for American Progress, a déclaré qu ’« un pays en pleine guerre civile s'en sort mieux que les États-Unis en matière de changement climatique ».


La Syrie n’a fait aucune promesse, mais les promesses importent peu. Il est évident que Bashar al-Assad n’a aucun intérêt à lutter contre le changement climatique ou à réduire l’empreinte carbone de la Syrie - à moins de réduire l’approvisionnement en énergie de ses citoyens ou de décimer le nombre d’habitants de la population en matière de crédit. Mais il a signé; il joue le jeu. Et il a fourni une occasion de critiquer Donald Trump. N’est-ce pas cela, après tout, en quoi consiste l’action contre le changement climatique?


L'ONU a fait preuve de retenue pour ne pas vanter son succès en Syrie, mais elle devait promouvoir quelque chose. Alors que les réunions commençaient cette semaine, le titre en haut de son site Web disait «  Enfants de Bonn chantons et agissons pour la planète ». La plupart des participants à la conférence ne sont pas des enfants, mais sinon, cela semble juste.


Oren Cass est un senior fellow au Manhattan

 

 

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Message du Pr. PERRONNE sur les vaccins !

1 Décembre 2020, 12:55pm

Message du Pr. PERRONNE sur les vaccins !

Le 30 novembre 2020

 

Chers amis,

 

La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.

 

Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie.

 

En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d'être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de "rassuriste", termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la pensée unique.

 

Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n'ayant jamais changé depuis le début de l'épidémie. Je considère donc qu'il est de ma responsabilité de m'exprimer à nouveau ce jour sur l'ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l'élément central et quasiment unique de la politique de santé de l'Etat.

 

Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l'épidémie, pire que la première.

 

Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l'Elysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l'Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés.

 

Même le Président de la République, lors d'une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit pas moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur.

 

Ces chiffres irréalistes n'avaient qu'un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l'usage généralisé des masques en population générale n'a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l'épidémie de SARS-COV-2.

 

L'utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.

 

Or l'épidémie régresse et n'a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d'un rebond épidémique saisonnier qui s'observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée.

 

Cela témoigne de l'adaptation du virus à l'homme et est aussi le reflet de l'immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement.

 

Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c'est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place.

 

La régression de l'épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l'instauration du couvre-feu.

 

Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d'un diabète sévère, d'hypertension artérielle grave,de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes.

 

Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l'hydroxychloroquine et l'azithromycine dont l'efficacité et l'innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocement.

 

Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter.

 

Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.

 

Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l'intérêt d'un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.

 

Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l'évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu'aucun résultat de l'efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n'a été publié à ce jour.

 

Nous n'avons eu le droit qu'à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse.

 

Le pire est que les premiers « vaccins » qu'on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique.

 

On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d'éléments du virus par nos propres cellules.

 

On ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c'est une première chez l'homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d'éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ?

 

Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l'ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l'ADN vers l'ARN, mais l'inverse est possible dans certaines circonstances, d'autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l'ADN de nos chromosomes.

 

Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs

(contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l'envers, de l'ARN vers l'ADN.

 

Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l'ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s'intégrer dans nos chromosomes.

 

Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants.

 

Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus

généralement les citoyens du monde, pour des cobayes.

 

Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le mais transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d'un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu'il espérait un effet de protection individuelle, mais qu'il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l'épidémie.

 

C'est bien là un aveu déguisé qu'il ne s'agit pas d'un vaccin. Un comble.

 

Je suis d'autant plus horrifié que j'ai toujours été en faveur des vaccins et que j'ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale.

 

Aujourd'hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.

 

La science, l'éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.

Christian PERRONNE

 

 

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Le salon Primevère repousse d'un an l'accueil des transhumanistes

26 Février 2016, 19:44pm

Publié par Pièces et main-d'oeuvre

Ray Kurzweil, guru du transhumanisme, embauché par Google en décembre 2012

Ray Kurzweil, guru du transhumanisme, embauché par Google en décembre 2012

Suite aux protestations de l'association "Pièces et main d'œuvre" :


"Suite à notre lettre ouverte contre la venue de Didier Coeurnelle, vice-président de l’Association française des Transhumanistes (voir http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=800 ), et aux protestations des Faucheurs volontaires, d’OGM Dangers, et de militants écologistes, le salon Primevère annonce de mauvaise grâce l’annulation de cette opération d’infiltration transhumaniste.

Simultanément, le site rue89 Lyon publie un long article de promotion du salon, et de limitation des dégâts causés par cette initiative publicitaire et perverse.

Il y avait eu un précédent avec le numéro d’été 2013 de Politis consacré à une approche flatteuse du transhumanisme (voir Politis et le transhumanisme : une autre réification est possible : http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=431 ).

Quant à nous, simples humains, animaux politiques et Chimpanzés du futur, nous refusons le transhumanisme dans toutes ses nuances, libérales californiennes, progressistes ou "écologistes".

Nous appelons les défenseurs de l’humain à prendre au sérieux les progrès de l’idéologie transhumaniste (qui est l’idéologie techno-libérale portée à son degré suprême) et à les combattre sans complaisance, intellectuellement et politiquement."

Pièces et main d’oeuvre

Le salon Primevère invite les transhumanistes

dimanche 21 février 2016 par Pièces et main d’œuvre

Lettre ouverte aux intervenants et exposants du salon Primevère

Bonjour,

Primevère, le “salon de l’alter-écologie” organisé chaque année à Lyon, fête ses 30 ans en recevant Didier Coeurnelle dimanche 28 février 2016.

Didier Coeurnelle est un transhumaniste belge, vice-président de l’Association française des transhumanistes (AFT), aussi connue sous le nom de “Technoprog”. Nos lecteurs ont découvert ce personnage aigre et retors dans notre reportage à Transvision, premier colloque transhumaniste international organisé en France en décembre 2014.
(cf “Trois jours chez les transhumanistes” : http://www.piecesetmaindoeuvre.com/spip.php?page=resume&id_article=563)

Rappelons que le transhumanisme, ennemi de l’humain, travaille à fabriquer une nouvelle espèce d’hommes-machines (qu’il nomme “augmentés”), de cyborgs délivrés de la maladie et de la mort, de la faiblesse et de la faillibilité. Les transhumanistes reprennent où les nazis l’avaient laissé, le programme eugéniste d’amélioration de l’espèce. Ils ont un avantage sur leurs prédécesseurs, ils ont la technologie du XXIe siècle : nanotechnologies, biotechnologies, informatique, neurotechnologies.

Que les transhumanistes s’infiltrent partout où on leur offre une tribune, cela fait partie de leur stratégie. Ils ont depuis quelques années décidé de toucher le plus large public possible, en adoptant des slogans propres à éveiller la curiosité des “alter” : “Un autre transhumanisme est possible” est le slogan du président de l’AFT. Intervenir dans un salon où l’on vante la médecine par les plantes, où l’on alerte sur la nocivité des ondes électromagnétiques, où l’on critique la politique vaccinale française, est un excellent moyen de diffuser leur propagande.

Coeurnelle se gardera de tenir un discours trop transhumaniste (“N’est-ce pas une forme suprême d’arrogance que de considérer l’être humain comme abouti et n’ayant pas besoin d’être amélioré ?”, disait-il au colloque Transvision), ou de diffuser la revue de Technoprog, “La mort de la mort”. Il s’en tiendra à un prêchi-prêcha sur la compatibilité de l’homme augmenté et de l’écologie.

On prévient les visiteurs de Primevère, ça ne vole pas haut. Voici, selon Coeurnelle, à quoi ressemblera la société des immortels : plus riche (on travaillera plus longtemps, on dépensera moins pour se soigner), plus apaisée (moins de délinquance chez les vieux, un citoyen âgé est un citoyen heureux), plus écologique (les vieux soignent l’environnement), préservée de la surpopulation par la baisse de la natalité (sur le modèle de Singapour avec 0,9 enfant par femme).
Ce sont ses propres arguments, toujours au colloque Transvision 2014.

Ce qui surprend, en revanche, c’est que les organisateurs du salon Primevère invitent un tel personnage. De deux choses l’une : soit ils ignorent tout du transhumanisme et sont des inconscients ; soit ils acquiescent à cette idéologie et la promeuvent. Nous n’avons pas les moyens de trancher.

Il y a quelques années, Primevère nous avait invités à donner une conférence sur les technologies convergentes et la tyrannie technologique. Cela fait bientôt 15 ans que nous dénonçons le projet eugéniste et techno-totalitaire du transhumanisme. Quelquefois, nous nous interrogeons sur les effets de nos textes, de nos livres, de ces conférences où un public nombreux se presse. Qu’en reste-t-il, au fond ?
La réponse de Primevère est cinglante. Nous avons parlé dans le vent. L’équilibre “démocratique” prime : un quart d’heure pour les ennemis de l’humain, un quart d’heure pour les chimpanzés du futur (ceux, comme nous, qui refuseront de s’augmenter).

Qu’en diront les autres conférenciers, les exposants, les visiteurs, les journalistes ?

Lire aussi : Transhumanisme : du progrès de l’inhumanité

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Toxicité de l'aluminium : erreur des autorités de santé

21 Décembre 2019, 13:04pm

Manifestation le 22 novembre à Paris

Manifestation le 22 novembre à Paris

UN APPEL URGENT aux FRANÇAIS et aux HOMMES et aux FEMMES DU MONDE ENTIER

Déclaration du Pr Jean-Bernard Fourtillan 

Il est très URGENT pour la santé des hommes et des femmes de France, et du monde entier, de mettre fin au scandale de l’aluminium dans les médicaments à usage humain (vaccins et pansements gastriques)

J’ai découvert le système Veille-Sommeil et ses nombreuses applications thérapeutiques sous forme de patchs. Il se trouve que je suis en même temps Expert Pharmacologue-Toxicologue spécialisé en Pharmacocinétique. C’est la raison pour laquelle, en mai 2018, je me suis rendu compte, avec stupeur, que les experts de l’ANSM, des académies de médecine et de pharmacie, le LEEM (organisation professionnelle des entreprises du médicament en France), ainsi que les 4 laboratoires pharmaceutiques qui fabriquent des vaccins, s’étaient tous trompés, malheureusement pour les personnes vaccinées, dans l’interprétation de la Dose minimale Toxique de l’aluminium par voie orale, en concluant, aussi bien par voie orale, pour les pansements gastriques, que par voie IM, pour les vaccins, que l’aluminium n’était pas toxique, alors que c’est exactement l’inverse. 

Je vous propose de visionner cette vidéo que l’on peut classer à la première place du grand « bêtisier de l’aluminium ». Elle émane du laboratoire Pfizer, qui, en 2017, occupait la 1ère place au top 10 des Big Pharmas : 
C’est incroyable !!!!!!!


Vidéo de Pfizer : Idées reçus sur les vaccins : les adjuvants dans la vaccination

Mon expérience d’Expert Pharmacologue-Toxicologue spécialisé en Pharmacocinétique, m’a permis d’établir un Certificat d’Expertise interdisant, selon les commandements de la FDA et de l’OMS, la présence d’aluminium dans tous les médicaments à usage humain : pansements gastriques anti-acides et vaccins contenant de l’aluminium.

Tout porteur de ce certificat d’expertise peut s’opposer,

pour lui-même et ses enfants,

à l’administration de ces médicaments mortifères

interdits par la FDA et l’OMS depuis 1996.

La véracité de ce certificat d’expertise est évidente et indiscutable.

Aucune personne dans le monde ne peut le contester

Certificats d’Expertise, en français et en anglais,

interdisant l’administration à l’homme :

– de tous les vaccins contenant de l’aluminium 

– de tous les pansements gastriques antiacides

 contenant de l’aluminium (Maalox, Phosphalugel, Smecta, etc.)
Cliquer pour télécharger *Certificat d’Expertises aluminium.pdf77 Ko
Cliquer pour télécharger*Certificat d’expertise Al GB.pdf72 Ko

  PDF du scandale de l’aluminium en français et en anglais

Cliquer pour télécharger*Le scandale de l’aluminium .pdf77 Ko 
Cliquer pour télécharger*The scandal of aluminum JBF V01.pdf98 Ko 

Comment en sommes-nous arrivés là

Il y a 3 semaines environ, j’ indiquais à tous les malades qui ont participé à l’essai des patchs mixtes de Valentonine et de 6-Méthoxy-Harmalan, et qui  lancent des appels de détresse à la suite du blocage inconsidéré des patchs par l’ANSM (Agence Nationale pour la Sécurité des Médicaments) que j’allais débloquer la situation des patchs :

– soit au cours de la semaine du 4 novembre, dans les meilleures conditions, correspondant à la bonne solution, pour les enfants nés depuis le 1er janvier 2018, auxquels on impose les 11 vaccins, dont 8 contiennent de l’aluminium, à des doses extrêmement toxiques ;

– soit à partir du mardi 12 novembre, selon la pire des solutions, correspondant à la mauvaise solution, à tous égards.

Le mardi 12 novembre, monsieur Emmanuel MACRON n’avait toujours pas répondu au courrier confidentiel, co-signé par Guy LEGROS, en tant que Président de MALUVAL, et moi-même, en tant que Président du Fonds-Josefa, que nous lui avions envoyé le 29 octobre, et qu’il avait reçu le 30 octobre (voir courrier ci-après).

Au moment où je m’apprêtais à mettre en œuvre la mauvaise solution, j’ai eu la réponse du Président MACRON, qui m’a envoyé, en guise de réponse à ma proposition de bonne solution, la police judiciaire avec une quarantaine d’officiers de police judiciaire, de gendarmes, de membres de la police nationale, de la police scientifique, et de médecins du pôle santé, etc., l’ensemble de ces personnes étant coordonnées par 2 juges d’instruction dont Madame Brigitte JOLIVET, qui assurait la direction des opérations.

Le 13 novembre 2019, à 7h du matin, 10 personnes de la police judiciaire ont fait irruption à mon domicile pour une perquisition. Ils m’ont mis en garde à vue pendant 24 heures. Puis sont arrivées d’autres personnes. Au cours de la journée du 13 novembre, 25 personnes différentes se sont présentées dans mon appartement. Les autres membres de l’opération ont perquisitionné les domiciles des membres du Fonds-Josefa (administrateurs et membres du comité consultatif) et les ont interrogés en les plaçant en garde à vue.

Ma garde à vue s’est poursuivie, au commissariat de police de Poitiers, pendant la journée du 14 novembre, dans des conditions excellentes pour moi.

Dès le début de ma garde à vue, j’ai dit à madame la Juge, et à toute son équipe, que j’étais heureux d’avoir l’occasion de pouvoir dire toute la vérité à la justice de mon pays. Je peux vous confirmer, en particulier d’après les dires de madame la Juge et de tous ses collaborateurs, qu’ils ont tout compris, et que finalement la justice est avec nous.

Le courrier confidentiel adressé au Président MACRON a été saisi et lu par madame la juge. A sa lecture elle m’a dit immédiatement qu’elle avait tout compris, comme vous le comprendrez également en le lisant.

En constatant l’absence totale de réaction du Président MACRON, de la Ministre de la Santé, et de l’ANSM, à ce courrier, et aux appels de détresse des malades de Parkinson et d’Alzheimer, publiés sur le site valentonine.fr, qui réclament les patchs, vous comprendrez que ça n’est pas par cette voie qu’on va débloquer la situation. Ils s’en foutent éperdument ! 

Il faut être réaliste, et ne pas être naïf.

Guy LEGROS, et moi-même nous nous sommes alors sentis libérés de notre promesse de confidentialité envers le Président MACRON.

La seule façon de les mettre hors d’état de nuire, pour la santé des hommes de notre pays et du monde entier, c’est de les rendre coupables, devant la justice, de crime contre l’humanité. En effet, par leurs incompétences, leurs inadmissibles négligences, et pour des raisons économiques, ils ont condamné depuis 1996, des millions de personnes dans le monde (maladie de Parkinson, scléroses en plaques, etc.), alors que la FDA et l’OMS ont formellement interdit, depuis 23 ans, l’administration à l’homme de tous les médicaments contenant de l’aluminium (pansements gastriques antiacides, et vaccins avec adjuvants aluminiques).

 

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