Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Ciel Voilé

Résultat pour “effet secondaire en attente”

Feux de forêts et Géo-ingénierie

21 Octobre 2018, 10:19am

Publié par Marvin Herndon

Journal of Geography, Environment and Earth Science

International

 

17(3): 1-18, 2018; Article no.JGEESI.44148

ISSN: 2454-7352

 

 

 

Feux de forêts en Californie : Rôle de la géo-ingénierie et de la manipulation de l'atmosphère gardées secrètes

 

J. Marvin Herndon et Mark Whiteside

 

Transdyne Corporation, 11044 Red Rock Drive, San Diego, Californie 92131, États-Unis.

Florida Department of Health in Monroe County, 1100 Simonton Street, Key West, FL 33040, États-Unis.

 

Contributions des auteurs

Ce travail a été réalisé en collaboration entre les deux auteurs. Les deux auteurs ont lu et approuvé le manuscrit final.

 

Informations sur l'article

DOI: 10.9734/JGEESI/2018/44148

Editor(s):

(1) Dr. Kaveh Ostad-Ali-Askari, Department of Civil Engineering, Isfahan (Khorasgan) Branch, Islamic Azad University, Iran.

Reviewers:

  1. Antipas T. S. Massawe, University of Dar es Salaam, Tanzania.

    1. (2) Kingsley Eghonghon Ukhurebor, Edo University Iyamho, Nigeria.

    2. (3) Eric S. Hall, USA.

(4) R. Cuneyt Erenoglu, Canakkale Onsekiz Mart University, Turkey.

(5) Njoku, Chukwudi Gbadebo, University of Calabar, Nigeria.

 

Historique complet des revues par les pairs: http://www.sciencedomain.org/review-history/26490

 

Article de recherche inédit Reçu le 14 juillet 2018

Accepté le 27 septembre 2018

Publié le 1er octobre 2018

Traduction française : Béatrice Wright et Association Ciel voilé

 

Résumé

 

Dans cet article, nous voulons révéler une cause non reconnue qui provoque l'intensification, la combustibilité et l'expansion des incendies de forêt en Californie, États-Unis d'Amérique, et les dommages qui en découlent pour la santé humaine et l'environnement. Nous passons en revue la littérature, entre autres scientifique et médicale, ainsi que les preuves, notamment photographiques, des pulvérisations de particules dans l'atmosphère, par des avions, presque quotidiennes, presque mondiales, liées aux incendies de forêt. Nous examinerons les preuves selon lesquelles la manipulation atmosphérique utilisant des cendres volantes de charbon en aérosols est un facteur principal dans l'étendue et la gravité des incendies de forêt en Californie et ailleurs. Les effets néfastes comprennent l’exacerbation de la sécheresse, l'assèchement et la mort des arbres et de la végétation, ainsi que le réchauffement artificiel de l’atmosphère et des surfaces terrestres. Les particules pulvérisées absorbent l'humidité, augmentent la combustibilité des forêts, endommagent la couche cireuse des feuilles et des aiguilles d'arbres, réduisant ainsi leur tolérance à la sécheresse. La manipulation aérienne du climat à l'aide de cendres volantes de charbon accroit gravement l'embrasement des forêts par la foudre. Les feux de forêt aggravent dramatiquement la pollution de l'air ambiant, émettant des gaz nocifs ainsi que des composés organiques volatiles, lesquels ensemble concentrent et réémettent des éléments toxiques et des nucléides radioactifs sur une vaste zone.

 

Le type de pollution de l'air induit par les incendies de forêt accroît la mortalité, toutes causes confondues, et a un impact majeur sur les maladies respiratoires et cardiovasculaires. Des études ont montré que les cendres volantes de charbon en aérosols constituent un facteur de risque important pour les maladies pulmonaires chroniques, le cancer du poumon et les maladies neurodégénératives. À notre avis, le fait de ne pas reconnaître les multiples conséquences néfastes des pulvérisations de particules, par avion, dans l'atmosphère, favorisera l'accélération des catastrophes écologiques.

 Mots-clés: feux de forêt; modification du climat; modification de l'atmosphère; risques sanitaires liés aux incendies de forêt, cendres volantes de charbon; géo- ingénierie.

 

  1. INTRODUCTION

 

Les incendies de forêt en Californie, aux États-Unis (Fig. 1), sont symptomatiques de phénomènes anthropiques beaucoup plus graves qui affectent la flore et la faune, y compris les humains, dans le monde entier [1]. Les incendies de forêt en Californie (USA) constituent donc un microcosme des incendies de forêt dans le monde entier [2]. Le changement climatique, en particulier l'augmentation des températures et l'augmentation des déficits de pression de vapeur d'eau [3-6], est considéré comme un facteur déterminant de l'augmentation des incendies, en Californie, dans les régions et dans le monde. Nous approuvons l'affirmation [7] : « Le changement climatique causé par l'homme est maintenant un facteur-clé de l'activité des feux de forêt dans l'ouest des États-Unis », mais l'explication fournie est nettement insuffisante. Bien que les incendies de forêt soient dans une certaine mesure des phénomènes naturels [8], les manipulations artificielles et secrètes de l’atmosphère et de l’hydrosphère de notre planète, que nous décrivons dans le présent article, réchauffent l’atmosphère, exacerbent la combustibilité et provoquent des ravages environnementaux anthropiques d’une ampleur sans précédent.

 

 

 

Fig. 1. Image de la NASA du 7 août 2018 [9] des incendies de forêt en Californie,  les plus importants de l'histoire de l'État [9].

 

Le 12 décembre 2017, le US Forest Service a signalé que 27 millions d'arbres supplémentaires, principalement des résineux, sont morts en Californie depuis novembre 2016, portant ainsi le nombre total d'arbres morts à un record historique de 129 millions sur 8,9 millions d'acres [10]. Les disparitions de forêt, et les incendies de forêt qui les accompagnent [11], ne se limitent pas à la Californie, mais se produisent dans le monde entier [12]. Les raisons habituellement données pour expliquer ces extinctions combinent le réchauffement climatique, la sécheresse et les scolytes [13,14]. Ces explications, cependant, ne sont que les conséquences d’une attaque plus fondamentale des fonctions naturelles de la Terre causée par l’homme, que les scientifiques universitaires n'abordent pas [15], mais qui fait l’objet du présent article.

 

Les nombres sans précédents d’arbres morts, qui fournissent un combustible sur place aux incendies de forêt, ne sont qu’une conséquence négative des manipulations artificielles de l'environnement qui exacerbent le risque d’importants incendies de forêt destructeurs dont le nombre augmente en Californie et même dans le monde [16,17]. Nous examinons ici les conséquences de ces manipulations climatiques artificielles et secrètes, particulièrement leurs implications négatives sur les feux de forêt et la santé humaine.

  1. PARTICULES PULVÉRISÉES DANS LA RÉGION OU SE FORMENT LES NUAGES

 

Ceux qui ont vécu dans le sud de la Californie pendant de nombreuses années, comme l'auteur JMH, se souviennent peut-être du temps où le ciel était d’un bleu d'azur, souvent dépourvu de nuages, et où, peu après le coucher du soleil, la température de l'air chutait [18]. Aujourd’hui, le ciel californien est rempli de traînées de particules laissées par les avions, l’état [californien] fait l'expérience de son propre « réchauffement planétaire » et la température de l’air s’abaisse très lentement peu après le coucher du soleil. Les températures nocturnes augmentent plus rapidement que les températures diurnes [19]. Celles-ci sont la conséquence des traînées de pollution aux particules délibérément pulvérisées par les avions [20]. Une fois expulsées de l'avion, ces traînées s’étalent, ressemblant brièvement à des cirrus, avant de former une brume blanchâtre dans le ciel [21]. Des pulvérisations aériennes intensives peuvent rendre le ciel artificiellement couvert, parfois de teinte brunâtre. La figure 2 montre des exemples des conséquences de telles pulvérisations aériennes de particules à San Diego, Californie, États-Unis, des jours sans nuages ​​naturels.

 

Un article publié le 6 décembre 1958 dans le journal The Bulletin (Bend, Oregon, États-Unis) fait état de la plainte d’un membre du Congrès auprès de l’US Air Force et décrit des traînées d’avion dans le ciel de Palm Springs, Californie, États-Unis, « si épaisses qu'elles commencent à masquer le soleil » et elles ne « disparaissent pas mais se dissolvent dans une brume et créent une apparence nuageuse dans le ciel » [23]. Par la suite, des milliers de citoyens inquiets, de Californie et du monde entier, ont observé de plus en plus fréquemment des traînées similaires pulvérisées par des avions. [21,24,25] Vers 2010, les pulvérisations aériennes de particules sont devenues une activité quasi quotidienne et quasi mondiale, vraisemblablement par un accord international secret [1].

 

Initialement,aux Etats-Unis, ce sont les avions de l'US Air Force qui ont effectué ces pulvérisations aériennes de particules, comme l'avion illustré Fig. 3, sur Palm Springs, Californie (États-Unis). À mesure que leur intensité, leur durée et leur étendue géographique augmentaient progressivement, des contractants non révélés ont été impliqués dans cette pollution aérienne.

 

 

La figure 4 est une séquence chronologique de photographies illustrant la traînée de particules évoluant depuis sa pulvérisation par avion jusqu'à sa dispersion naturelle et son étalement avant de devenir une brume blanche dans le ciel. Toutes les images ont été prises avec le même agrandissement. La photographie « t = 0 min.» a été prise à Coronado, Californie (USA) à 10h59 (HAP) le 19 août 2018 et montre une traînée particulaire qui vient d'être pulvérisée; 13 minutes plus tard, la traînée s’est élargie; à « t = 31 min » une seconde traînée apparaît; et, à « t = 105 min » les deux traînées se sont considérablement étalées pour former une brume blanche dans le ciel.

 

Cette brume est spécifique des particules pulvérisées et ne présente absolument aucune caractéristique de traînées de condensation de cristaux de glace, qui peuvent éventuellement se former dans certaines conditions très inhabituelles, par exemple, si les gaz d'échappement de l'appareil contiennent une certaine humidité, que l'atmosphère est très froide et très humide, et que l’avion vole à des altitudes plus basses où les pressions atmosphériques sont plus élevées et le temps d’évaporation des cristaux de glace réduit [26,27]. Dans les circonstances habituelles et notamment avec les avions à réaction modernes, si des traînées de condensation de cristaux de glace se forment, elles s’évaporent rapidement pour devenir un gaz vaporeux invisible. Les traînées de cristaux de glace qui proviennent d’échappement de moteurs à réaction ne créent pas de longues traînées dans le ciel et ne produisent pas de brume blanche dans le ciel.

 

Les particules pulvérisées par avion absorbent le rayonnement et réchauffent l'atmosphère [20,28], tout en empêchant les pluies jusqu'à ce que les nuages deviennent surchargés et libèrent leur humidité lors de déluges et de tempêtes [29]. Une fois tombées au sol, elles absorbent la chaleur et modifient l'albédo de la glace et de la neige, provoquant ainsi un réchauffement [30,31].

 

 

Fig. 2. Exemples de pollution délibérée par pulvérisations de particules par avion

à San Diego, Californie (États-Unis) dans un ciel sans nuages naturels.

Photos de l'auteur JMH à partir de [22] avec autorisation

 

 

Fig. 3. Un avion de l'US Air Force pulvérise des traînées de particules dans l'air

au-dessus de Palm Springs, Californie (Etats-Unis). Photos de Dan Dapper avec son aimable autorisation

 

 

 

Fig. 4. Séquence chronologique de photographies prises au même agrandissement, d'une traînée de particules s'étalant dans le ciel au-dessus de Coronado, Californie (États-Unis). Photos de l'auteur JMH

 

  1. Présentation systématiquement déformée des pulvérisations aériennes de particules

 

Une partie du document AFD-0561013-001 de l'US Air Force de 2005 concernant les pulvérisations aériennes et intitulée « The Chemtrail Hoax » indique notamment ce qui suit: « Une chose telle qu'une traînée chimique ( ou chemtrail) n'existe pas » [un terme que certains utilisent pour décrire les pulvérisations aériennes] … « Les traînées de condensation ( ou contrails) [cristaux de glace provenant de l'humidité des gaz d'échappement des avions] sont sans danger et constituent un phénomène naturel. Elles ne présentent aucun risque pour la santé » [32].

 

Le général américain en retraite, Charles Jones de l’armée de l’air, aurait déclarer, à propos des traînées d'avion observées dans le ciel [33]: « Quand les gens regardent le bleu du ciel et voient les traînées blanches parallèles et entrecroisées, peu savent qu'ils ne voient pas des traînées de condensation des réacteurs d'avion, mais qu'au lieu de cela, ils sont les témoins d’une crise climatique délibérément créée par l'homme, que subissent tous les êtres humains et tous les animaux sur la planète Terre. Des aérosols atmosphériques toxiques sont utilisés pour modifier les conditions météorologiques, créant des sécheresses dans certaines régions, des inondations et des déluges dans d’autres et même des froids extrêmes dans d'autres circonstances.... »

 

Des citoyens inquiets ont pris de nombreuses photos montrant que les traînées de particules observées ne peuvent physiquement pas être des traînées de condensation de cristaux de glace [25]. La figure 5 comprend quatre photographies d'un avion de ligne Qantas prises en un intervalle de moins de deux minutes. Ces quatre images démontrent de manière concluante qu'il est impossible que l'activité de pulvérisation de particules effectuée par cet avion de ligne commercial survolant Palm Springs, en Californie, soit des traînées de condensation de cristaux de glace.

 

 

Fig. 5. Photographies d'un avion de ligne Qantas pulvérisant des traînées de particules irrégulières et interrompues, absolument incompatibles avec des traînées de condensation de cristaux de glace, puisque l'avion ne s’écrase pas, suite à une panne du moteur. Photos prises à Palm Springs, Californie (États-Unis) par Dan Dapper avec son aimable autorisation

 

La photographie en haut à gauche, à fort agrandissement, montre l’avion de ligne de Qantas engagé dans la pulvérisation aérienne de particules. La photographie en haut à droite, à faible agrandissement, montre la très longue traînée de particules, mais remarquez que la densité de particules n'est pas uniforme le long de la traînée. Une partie de la traînée particulaire semble manquer ou est fortement réduite, ce qui devrait indiquer un dysfonctionnement. La photo en- bas à gauche, comme celle se trouvant en haut à gauche, toutes les deux prises à environ une minute d'intervalle, montre que le mécanisme de pulvérisation de particules est toujours opérationnel. Mais moins d'une minute plus tard, le mécanisme de pulvérisation de particules cesse de fonctionner, comme le montre la photo en bas à droite. Une telle occurrence serait impossible s’il s’agissait de traînées de condensation. S'il s'était agi de traînées de condensation de cristaux de glace, la pause aurait indiqué une panne de moteur et l'avion de ligne se serait écrasé.

 

Fig. 6. Un avion de fret de FedEx disperse une traînée de particules qui ne s'échappe pas d'un réacteur et qui n’est donc pas une traînée de condensation. Photos prises à Palm Springs, Californie (États-Unis) par et avec l'aimable autorisation de Dan Dapper

 

La figure 6 montre deux images du même avion de fret de FedEx pulvérisant des traînées de particules dans le ciel au-dessus de Palm Springs, en Californie. Notez que l'une des traînées ne vient pas d’un réacteur. Les buses de pulvérisation sont généralement situées près des réacteurs de manière à donner l'illusion trompeuse que les traînées proviennent des réacteurs. Dans l'exemple illustré à la Fig. 6, l’une des traînées ne vient pas d'un réacteur, ce qui démontre que la traînée ne peut pas être une traînée de condensation; les véritables traînées de condensation, qui sont rares pour les moteurs à réaction modernes, doivent s'échapper du réacteur et ne peuvent se former que dans des conditions spécifiques très froides et humides, si tant est qu'elles puissent se former.

 

Aucune information n'est rendue publique sur la ou les substances pulvérisées. En l'absence d'informations fiables, des citoyens ont prélevé des échantillons d'eau de pluie après pulvérisations et les ont faits analyser par des laboratoires certifiés. Dans la plupart des cas, ils ont uniquement demandé une analyse de l'aluminium, parfois aussi de baryum et parfois également de strontium. On a supposé à tort que la présence de ces éléments dissous dans l'eau de pluie signifiait que ces trois éléments étaient pulvérisés dans l'air sous forme de métaux. Les données signifient que l’humidité de l'air dissout et absorbe certains éléments de la principale substance pulvérisée.

 

Pour comprendre par analogie le processus chimique impliqué, faisons l'hypothèse de pulvériser des feuilles de thé réduites en fine poudre, dans la région où se forment les nuages. L'humidité atmosphérique « infuserait » le thé, absorberait du tanin et d'autres produits chimiques qui tomberaient sous forme de pluie, comme signatures chimiques du thé. La pluie serait en fait du thé, mais du thé très dilué.

  1. PREUVES QUE LES PULVÉRISATIONS AÉRIENNES SONT DES CENDRES VOLANTES DE CHARBON

 

Comme les pulvérisations aériennes sont devenues une activité quasi quotidienne à San Diego (États-Unis), l'un d'entre nous (JMH) a entamé une série de recherches visant à déterminer la composition des particules pulvérisées. La comparaison entre des analyses de trois éléments contenus dans de l’eau de pluie publiées sur Internet et des analyses expérimentales effectuées sur un échantillon d'eau d'aérosols a fourni la première preuve scientifique que les cendres volantes provenant de la combustion du charbon correspondent à la principale substance polluante pulvérisée dans l'atmosphère par des avions[34]. Par la suite, la comparaison avec 11 éléments extraits de manière similaire a validé ce résultat [35]. En outre, la correspondance a été démontrée en comparant les analyses de cendres volantes de charbon aux 14 éléments mesurés de particules extérieures piégées, puis recueillies sur un filtre à air [29] et aux 23 éléments mesurés dans des particules en aérosols, tombées lors d'une chute de neige et libérées lors de la fonte [35,36].

 

Au cours de sa formation, le charbon piège divers éléments chimiques présents dans l'environnement, dont beaucoup sont nocifs pour la santé humaine et pour l'environnement [37]. Lorsque le charbon est brûlé par les services publics de production d’électricité, il reste environ 10% de cendres. La combustion du charbon concentre ainsi les éléments nocifs dans les cendres. Les cendres lourdes qui se forment tombent sous le brûleur. Les cendres légères, appelées cendres volantes de charbon (CVC), se forment en se condensant et en s'accumulant, généralement sous forme de minuscules sphères (Fig. 7), dans les gaz chauds situés au-dessus des brûleurs [38,39]. Il s'agit d'un environnement artificiel qui n’a pas d’équivalent dans la nature, sauf dans les incendies de gisements de charbon [40]. Par conséquent, on peut facilement extraire de nombreux éléments présents dans les CVC, y compris l'aluminium, par exposition à l'humidité [41]. Les cendres volantes de charbon nouvellement formées au-dessus du brûleur, sortiraient des cheminées industrielles si elles n'étaient pas piégées et enfermées, comme l'exigent les pays occidentaux.

 

Étant l’un des plus importants déchets industriels produits au monde, la production mondiale annuelle de CVC en 2013 était estimée à 600 millions de m3 [42]. Les cendres volantes de charbon sont des déchets bon marché qui nécessitent peu de traitement supplémentaire pour être utilisés comme aérosols pulvérisés par les avions, car les dimensions de leurs particules vont de 0,01 à 50 microns de diamètre [43]. De plus, la capacité des CVC à être partiellement solubles dans l’humidité atmosphérique,qui rend ainsi les gouttelettes d’humidité plus conductrices électriquement [41] est à la fois unique et hautement désirable pour atteindre certains objectifs.

 

D'autres substances peuvent être utilisées de temps en temps à des fins spécifiques ou ajoutées aux CVC, par exemple pour diminuer les agglomérats causés par les forces de van der Waals. Néanmoins, l'omniprésence d'éléments solubles des CVC présents dans les eaux de pluie en Californie et dans le monde indique que la principale substance pulvérisée dans les régions où se forment les nuages ​​correspond aux CVC. Les cendres volantes de charbon - peu coûteuses, largement disponibles et dotées de propriétés utiles - constituent donc un aérosol idéal, si l’on ne se préoccupe ni de santé humaine ni d’environnement.

 

 

Fig. 7. Coupe transversale polie de cendres volantes de charbon ASTM C 618 classe C incorporées dans de l'époxy. L'image a été obtenue à partir d'électrons rétrodiffusés qui montrent des différences de densité atomique représentées par des nuances de gris. Photo avec l’aimable autorisation de Wabeggs: CC BY-SA 3.0

 

4. CONSÉQUENCES DES PULVÉRISATIONS AÉRIENNES DE PARTICULES

 

Les objectifs des pulvérisations aériennes, tout comme la composition des particules d’aérosol, sont des secrets bien gardés. Le comportement physique des particules en aérosols est cependant connu ou peut être déduit. Ainsi, même sans connaître leurs intentions, on peut révéler les conséquences des pulvérisations aériennes.

 

4.1 Empêcher les pluies

 

Les particules pulvérisées en aérosols dans les régions où se forment les nuages sont en réalité des particules de pollution. En 2003, la NASA [44] a créé une animation de page Web intitulée : « Effet des particules sur les pluies » contenant l’explication suivante : « La formation de gouttelettes normales de pluie implique la condensation de vapeur d’eau sur les particules dans les nuages. Les gouttelettes finissent par fusionner pour former des gouttes suffisamment grosses qui tombent sur Terre. Cependant, au fur et à mesure que le nombre des particules de pollution (aérosols) augmente et pénètre dans un nuage de pluie, la même quantité d’eau s’éparpille. Ces gouttelettes d’eau plus petites flottent dans l’air et ne parviennent pas à fusionner pour devenir des gouttes suffisamment larges qui tombent en pluie. Ainsi, le nuage produit moins de pluies au cours de sa durée de vie qu’un nuage propre (non pollué) de même taille ». La NASA donne donc une explication simpliste d’une des principales conséquences des pulvérisations aériennes, à savoir empêcher les pluies, mais il s’agit là d’une explication incomplète car elle ne mentionne pas les averses, les pluies torrentielles ni les tempêtes qui peuvent survenir lorsque les nuages sont surchargés d’humidité.

 

Les particules ultrafines dans les cendres volantes de charbon sont des précurseurs efficaces de noyaux de condensation dans le nuage. Ces particules modifient la microphysique des nuages, l'intensité des précipitations et leur distribution. Ces changements dans le bilan des précipitations pourraient entraîner le passage de pluies régulières et fréquentes à de très fortes averses occasionnelles et à une réduction régionale des précipitations annuelles [45].

 

  1. 2 Réchauffer l'atmosphère

 

Entre autres raisons, la vie sur Terre est possible parce que ses fonctions naturelles maintiennent un équilibre thermique très délicat. Notre planète reçoit continuellement une grande quantité d'énergie solaire sur un large spectre d'énergie, tout en produisant elle même de l'énergie thermique. L'essentiel de cette énergie doit rayonner en permanence vers l'espace sous forme de chaleur (rayonnement infrarouge). Les particules de pollution pulvérisées dans la région où se forment les nuages ​​peuvent refléter une partie du rayonnement solaire, mais elles absorbent également du rayonnement, se réchauffent puis transfèrent cette chaleur à l'atmosphère par collision avec des molécules atmosphériques. Les cendres volantes de charbon sont connues pour absorber efficacement le rayonnement [28]. La conséquence en est que l'atmosphère ambiante est chauffée, sa pression augmente et la Terre ne parvient pas à perdre la quantité de chaleur requise, ce qui conduit ainsi au réchauffement planétaire.

 

Certains membres de la communauté scientifique et universitaire, tout en ignorant les épandages aériens de particules en cours, défendent l’idée fallacieuse qu’à un moment donné dans l’avenir, il pourrait s’avérer nécessaire de placer des particules dans l’atmosphère pour bloquer la lumière du soleil, des « pare-soleils pour la Terre », pour contrecarrer le réchauffement planétaire supposé dû aux gaz à effet de serre [15,46]. Cette proposition est trompeuse et incorrecte, comme de vouloir arroser un feu avec de l'essence pour l'éteindre. Au lieu d'un refroidissement global, les pulvérisations aériennes de particules en cours provoquent le réchauffement planétaire. Même l'augmentation du trafic aérien exacerbe le réchauffement planétaire[47].

 

      4.3 Réchauffer la surface des terres

 

Les particules pulvérisées en aérosols, par avion, dans l'atmosphère où les nuages ​​se forment, n'y restent pas, mais circulent sous l'effet des courants de convection atmosphériques pour finalement se déposer au sol où elles absorbent le rayonnement solaire [30,31]. Si elles se posent sur la glace ou la neige, elles changent leurs propriétés réfléchissantes (albédo) entraînant un réfléchissement moindre de la lumière et une absorption accrue de celle-ci, contribuant ainsi au réchauffement planétaire [48].

 

  1. 4 Rendre l'eau de l'atmosphère plus conductrice électriquement

 

Lorsque les cendres volantes de charbon, qui se sont formées dans un environnement artificiel au-dessus des brûleurs à charbon, sont exposées à l'eau, la plupart de ses éléments chimiques se dissolvent jusqu’à un certain point. Des études de laboratoire ont montré que pas moins de 38 de ces éléments sont dissous dans une certaine mesure et rendent l'eau électriquement conductrice [41]. Rendre l'humidité atmosphérique plus conductrice électriquement pourrait potentiellement être utilisé pour chauffer davantage l'atmosphère avec des micro-ondes, comme chauffer de l'eau dans un four à micro-ondes, ou en utilisant de l'énergie électromagnétique pour faciliter le mouvement des masses météorologiques.

 

  1. 5 Provoquer la sécheresse en Californie

 

Notre planète tourne et une partie de son énergie de rotation est transférée à l'atmosphère; c'est le mouvement principal des masses d'air météorologiques. De plus, les masses d'air météorologiques se déplacent, conduites par des différences de pression, des régions de haute pression vers les régions de basse pression. Les épandages aériens de particules quasi quotidiens, année après année, le long de la côte californienne et au large de l'océan Pacifique est, réchauffent l'atmosphère. L'atmosphère chauffée presque continuellement entraîne des pressions atmosphériques élevées presque en continu. La zone de haute pression créée artificiellement le long de la côte californienne agit comme un mur empêchant le déversement des masses nuageuses humides de l'océan Pacifique (Fig. 8) de venir sur les terres. La conséquence en est une sécheresse artificielle persistante sur la Californie. Comme l’a observé l’un des auteurs (JMH), parfois, après une prévision météorologique annonçant de la pluie pour les jours suivants, les avions intensifient leurs pulvérisations, empêchant souvent la pluie prévue.

 

4.6 Provoquer la mort des arbres

L'aluminium est l'un des éléments principaux de la croûte terrestre, mais il est étroitement lié à d'autres éléments, notamment à l'oxygène. Par conséquent, ni les plantes ni les animaux n’ont développé la capacité de bien vivre dans un milieu où l’aluminium est utilisé sous une « forme chimiquement mobile » dans laquelle il est dissous dans l’eau [49]. L’une des conséquences des pulvérisations aériennes de CVC est que l’humidité atmosphérique absorbe l’aluminium sous une « forme chimiquement mobile » [41]. Les arbres, en particulier les conifères, tout au long de la côte californienne, baignent dans un brouillard contaminé par l’aluminium dissous et d’autres toxines. L'eau du brouillard se condense sur les aiguilles, où l'évaporation partielle concentre les toxines. Finalement, l'eau du brouillard contenant les toxines, tombe goutte à goutte sur le sol et empoisonne lentement les arbres, affaiblissant ainsi leurs défenses contre les scolytes et autres agents pathogènes [50]. La figure 9 montre la silhouette de deux pins de Torrey morts sous un ciel chargé de toxines pulvérisées, lequel est une cause principale de la mort des arbres le long de la côte californienne [50]. Les pulvérisations aériennes de particules observées à la figure 9 sont fréquentes le long de la côte californienne et visent vraisemblablement à créer une zone artificielle de haute pression pour empêcher les nuages ​​chargés d'humidité du Pacifique oriental d'entrer sur les terres (Fig 8).

 

 

 

Fig. 8. Vue satellite de la NASA de la côte californienne, le 11 décembre 2017. Les masses météorologiques de l'océan Pacifique est tournent généralement dans le sens inverse des aiguilles d'une montre en raison des forces de Coriolis associées à la rotation de la Terre, quand elles se dirigent vers l'est. Au fur et à mesure que les masses météorologiques se déplacent vers l'est, elles apportent des nuages chargés d'humidité sur les terres, sauf si des pulvérisations aériennes de particules les en empêchent.

 

 

Fig. 9. Pins de Torrey morts, en voie d'extinction à San Diego, sur fond de ciel pollué par des pulvérisations aériennes toxiques. De [50], avec autorisation.

 

Les cendres volantes de charbon, pulvérisées par avion dans l’atmosphère, contiennent des substances telles que le chlore, qui peuvent endommager la couche d'ozone qui protège la surface de la Terre des rayons ultraviolets du soleil. L’exposition des arbres à des niveaux plus élevés de rayons ultraviolets est susceptible d’affaiblir davantage leurs défenses naturelles [50-53].

 

Non seulement les pulvérisations par avion, dans l'atmosphère, de CVC facilitent la mort à grande échelle des arbres, mais elles pourraient aussi être une cause principale du déclin mondial, dramatique et spectaculaire des populations d'abeilles et d'insectes ainsi que de leur diversité[54]. La mortalité des pollinisateurs et des arbres a des effets négatifs majeurs sur les industries de l’agriculture et de la forêt.

 

 

  1. LES PULVÉRISATIONS AÉRIENNES DE PARTICULES EXACERBENT LES INCENDIES DE FORÊT

 

Les circonstances suivantes favorisent les incendies de forêt en Californie. Les épandages aériens persistants de cendres volantes de charbon qui ont lieu presque quotidiennement, année après année, le long de la côte et dans le Pacifique est, au large de la Californie, provoquent:

 

- Une sécheresse artificielle à long terme en empêchant les pluies et les fronts météorologiques chargés d'humidité de l'océan Pacifique de pénétrer le mur côtier de zones de haute pression artificielles [55].

- Outre la sécheresse provoquée par les épandages aériens de particules polluantes qui endommagent les arbres et aggravent les risques d'incendies de forêt, il existe une autre conséquence adverse. Les cendres volantes de charbon, et peut-être probablement d'autres substances pulvérisées, ont la propriété d'absorber l'humidité. On a montré que les particules absorbant l'humidité endommagent la couche cireuse des feuilles et des aiguilles des arbres, réduisant ainsi leur tolérance à la sécheresse [56]. L'ampleur actuelle de la mortalité des arbres est si vaste qu'il existe une probabilité accrue d'incendies à grande échelle dans les décennies à venir, en raison de la quantité et de la présence permanente de bois mort produit par les grands incendies [57].

- Les pulvérisations aériennes de particules ont considérablement augmenté les températures en Californie en réchauffant l’atmosphère et en réduisant la perte de chaleur naturelle et nécessaire à la Terre. L'air chaud accompagné de températures artificiellement élevées augmente le risque d'incendies de forêt [16,17].

- L'accroissement des coups de foudre dû à des charges électrostatiques de particules aériennes anormalement sèches augmente le nombre des incendies de forêt [58].

- Une hypothèse : il est possible que les particules en suspension se déposant sur les arbres et la végétation puissent, dans certaines conditions, devenir pyrophoriques et s'enflammer [59-62].

 

  1. CONSÉQUENCES NÉGATIVES DES INCENDIES DE FORÊT SUR LA SANTÉ HUMAINE

 

La fumée des incendies de forêt est un risque important et croissant pour la santé publique [63]. L'examen systémique montre une corrélation entre l'exposition à la fumée des incendies de forêt (y compris les particules PM2.5) et toutes les causes de mortalité, en particulier les maladies respiratoires, y compris la pneumonie, l'asthme et la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) [63]. Les populations vulnérables comprennent les personnes atteintes de maladies respiratoires et cardiovasculaires, les personnes âgées, les enfants et les femmes enceintes [63]. L'analyse d'une longue saison d'incendies de forêt en Californie (2015) a montré des risques élevés de maladies cardiovasculaires et cérébrovasculaires, en particulier chez les adultes de plus de 65 ans [64]. Une étude pluriannuelle de l’exposition aux incendies aux États-Unis (2008-2012) a mis en évidence d’importants problèmes de santé publique et d’économie, certains sous-groupes de population étant affectés de manière disproportionnée [65]. Outre les effets négatifs sur les maladies respiratoires et cardiovasculaires, les incendies de forêt présentent des risques généraux pour la santé, notamment l'inhalation de fumée, les brûlures, les maladies induites par la chaleur, les maladies ophtalmiques (oculaires) et les problèmes psychiatriques [66].

 

La fumée des incendies de forêt contient des particules fines et des produits de combustion gazeux [66]. Les particules PM10 (capables de traverser les voies respiratoires supérieures et de s'y déposer), et les plus fines particules PM2,5 (pouvant pénétrer plus profondément dans les poumons) sont émises par la végétation en feu [66]. Des émissions gazeuses, notamment de monoxyde de carbone, dl'oxyde nitreux et de benzène, sont produites, ainsi que des hydrocarbures aromatiques polycycliques (souvent présents dans les particules), des aldéhydes et des composés organiques volatiles [66]. Plusieurs études ont documenté la remobilisation des métaux résultant d'incendies et des niveaux importants de métaux toxiques (plomb/mercure, par exemple) et non toxiques qui sont relâchés dans l'environnement lors d'incendies [67]. Les cendres des incendies de Californie contenaient des niveaux toxiques de métaux lourds, notamment d'arsenic, de cadmium et de plomb [68]. Les feux de forêt concentrent les radionucléides émetteurs de particules alpha que l'on trouve dans les CVC, en particulier le polonium 210, atteignant des niveaux radiotoxiques de 7 255 ± 285 Bq/kg [69].

 

En raison de la nature sporadique et imprévisible des incendies de forêt et de la tendance à placer les appareils de mesure de la pollution de l'air dans les centres urbains, peu d'études ont été menées sur la toxicité des particules fines de fumée d'incendie [70]. Cependant, une étude sur la toxicité des grosses particules et des particules fines des feux de forêt en Californie en 2008 a montré que les particules fines des feux de forêt étaient plus toxiques pour les poumons que des doses égales de particules dans l'air ambiant de la même région pendant une saison comparable [70]. Les grosses particules des incendies de forêt sont environ quatre fois plus toxiques pour les macrophages alvéolaires que les particules de même taille provenant de l'air ambiant normal (sans feux de forêt). La majorité des effets toxiques (cytotoxicité) des particules fines d'incendies de forêt dans les poumons sont le résultat d'un stress oxydatif [71]. Les composants actifs des grosses particules émises par les incendies de forêt comprennent des composés organiques thermolabiles [71]. En Californie, les pesticides sont très utilisés dans l'agriculture, y compris en zone urbaine. Lors d’incendies de forêt, ces produits chimiques et leurs produits de combustion se volatilisent dans l'air et peuvent être inhalés par les êtres humains. Les composants toxiques de la fumée et des cendres des incendies de forêt sont transportés généralement sur de longues distances loin de la source du feu [72].

 

7. CONSÉQUENCES NÉGATIVES DES PULVÉRISATIONS AÉRIENNES SUR LA SANTÉ

 

  1. Problèmes de santé liés à la pollution de l'air

 

La pollution de l'air est déjà la principale cause environnementale de maladie et de mort dans le monde, et elle augmente à un rythme alarmant [73]. L'exposition aux particules fines ambiantes (PM2,5) est un facteur de risque important pour les morts prématurées, y compris les cardiopathies ischémiques, la maladie pulmonaire obstructive chronique et les infections respiratoires [74]. Aux États-Unis, l'exposition cumulée à long terme aux particules fines est associée à la mortalité toutes causes confondues, aux maladies cardiovasculaires et au cancer du poumon [75]. Au cours des dernières années, de nouvelles preuves obtenues d' études cliniques d’observation, épidémiologiques et expérimentales, suggèrent fortement que la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson et l’attaque thrombotique sont associées à la pollution de l’air ambiant [76]. Les enfants vivant dans des environnements urbains très pollués ont des déficits cognitifs, et la majorité d'entre eux montre des anomalies cérébrales à l'IRM [77].

 

  1. Problèmes de santé liés aux cendres volantes de charbon en aérosols

 

La manipulation du climat utilisant des cendres volantes de charbon en aérosols (CVC) constitue une forme de pollution de l'air délibérée, non divulguée et mondiale. Les cendres volantes de charbon constituent également une forme de pollution de l'air extrêmement dangereuse, qui a de profondes répercussions sur la santé humaine et sur l'environnement. Les cendres volantes de charbon contiennent des particules P2,5, des particules ultrafines (0,1-1 um) et des particules de taille nanométrique (<100 nm) [78]. Les particules ultrafines figurent parmi les particules les plus toxiques en raison de leur plus grand nombre, de leur teneur plus importante en composés d’oxydo-réduction, de leur rapport surface/masse plus élevé et de leur capacité à pénétrer les parois cellulaires [79]. La caractérisation des particules des CVC au microscope électronique révèle des sphérules souvent intégrées à une matrice de silicium contenant des métaux, notamment du fer et de l'aluminium [78]. Le fer biodisponible, associé aux espèces réactives de l'oxygène et au stress oxydatif, est dérivé de la fraction vitreuse d'alumino-silicate des particules des CVC [80]. Les cendres volantes de charbon contiennent de nombreux oligo-éléments toxiques, dont l'arsenic, le cadmium, le chrome, le plomb, le mercure, le nickel, le sélénium, le strontium, le thallium et le titane [81]. Les cendres volantes de charbon contiennent également de petites quantités de nucléides radioactifs et leurs produits dérivés [82], et des hydrocarbures polycycliques tels que le benzopyrène qui est connu pour être cancérogène [83].

 

Nous avons démontré que les cendres volantes de charbon en aérosols utilisées dans les opérations de géo-ingénierie atmosphérique constituaient un facteur de risque important pour la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) [84], le cancer du poumon [85] et les maladies neurodégénératives [86]. Les particules ultrafines et les nanoparticules dans les CVC sont inhalées dans les poumons et produisent de nombreux effets toxiques, notamment un affaiblissement du système immunitaire, une inflammation des tissus, une modification de l'équilibre d'oxydoréduction cellulaire vers l'oxydation et une génotoxicité. Le stress oxydatif et l'inflammation contribuent aux maladies pulmonaires aiguës et chroniques [84]. Les cendres volantes de charbon contiennent diverses substances cancérogènes, notamment la silice, l'arsenic, le cadmium, le chrome hexavalent, et des radionucléides émetteurs de particules alpha. La génération de radicaux catalysés par les métaux de transition associés à la matière particulaire dans les CVC entraîne la signalisation cellulaire, l'activation du facteur de transcription, la libération de médiateur et l'inflammation chronique [85].

 

Un de ces métaux de transition, le fer, induit des cellules souches cancéreuses et des phénotypes agressifs dans le cancer du poumon [87]. La découverte récente de nanoparticules sphériques de magnétite (Fe3O4) exogènes (pollution) dans les tissus du cerveau de personnes atteintes de démence [88] suggère une origine de la pollution de l'air produite par des particules de CVC généralement sphériques. Les composants primaires des CVC (Al, Fe et Si) sont tous présents dans les protéines anormales qui caractérisent la maladie d'Alzheimer, et la présence de ces éléments entraîne un stress oxydatif et une inflammation chronique. L'énergie absorbée par les particules de pollution de magnétite provenant de champs électromagnétiques externes peut contribuer à la neuropathologie humaine [86].

 

  1. CONCLUSIONS

 

Comme le montre notre étude, les incendies de forêt en Californie sont exacerbés par les pulvérisations par avion, non divulguées et en grande partie non reconnues, de matière particulaire dans la région où se forment les nuages, et qui est une activité quasi quotidienne et quasi mondiale. Les incendies de forêt en Californie représentent donc un microcosme des catastrophes mondiales similaires.

 

Le public a été trompé par le gouvernement et les responsables militaires, par les Nations-Unies et par des membres de la communauté scientifique qui soit ferment les yeux sur les pulvérisations aériennes, soit prétendent à tort que les particules pulvérisées dans l'atmosphère proviendraient de l'échappement des réacteurs d'avions et seraient d’inoffensifs cristaux de glace. Polluer délibérément l'atmosphère avec des particules est non seulement dépourvu de raison, mais également désastreux pour la santé humaine, car la pollution de l'air est déjà la principale cause environnementale de maladie et de mort dans le monde et elle augmente à un rythme alarmant.

 

Nous passons en revue les preuves selon lesquelles la manipulation atmosphérique qui utilise des cendres volantes de charbon en aérosols est un facteur principal non divulgué et en grande partie non reconnu, de l'étendue et de la gravité des incendies de forêt en Californie, à l'ouest de l'Amérique du Nord et ailleurs. Les effets négatifs de ce type de manipulation du climat comprennent l’exacerbation de la sécheresse, l'extinction et le dessèchement des arbres et de la végétation, et le réchauffement artificiel de l’atmosphère et des surfaces de la Terre.

 

La combustibilité des arbres et de la végétation au niveau de la canopée et du sol est amplifiée par la propriété des particules pulvérisées d'absorber l'humidité et elles endommagent la couche cireuse des feuilles et des aiguilles, réduisant ainsi leur tolérance à la sécheresse. Alors que les humains déclenchent la plupart des incendies de forêt, la manipulation atmosphérique utilisant des cendres volantes de charbon et éventuellement d'autres substances augmente considérablement la probabilité d'inflammation naturelle des incendies de forêt par la foudre.

 

Les feux de forêt aggravent dangereusement la pollution de l'air ambiant, émettant des gaz nocifs et des composés organiques volatiles. Ils concentrent et réémettent des éléments toxiques et des nucléides radioactifs sur une vaste zone. Le type de pollution de l'air créé par les incendies de forêt est associé à une mortalité accrue, toutes causes confondues, avec un impact plus grand sur les maladies respiratoires et cardiovasculaires. Outre les effets négatifs sur la santé liés à la pollution par les incendies de forêt, des études ont montré que les cendres volantes de charbon en aérosols constituent un facteur de risque important pour les maladies pulmonaires chroniques, le cancer du poumon et les maladies neurodégénératives.

 

Les citoyens inquiets devraient reconnaître ces multiples conséquences négatives et prendre des mesures pour arrêter les pulvérisations de particules par avion, dans l'atmosphère. Sinon, selon nous, la progression accélérée des catastrophes écologiques et sanitaires continuera.

 

INTÉRÊTS CONCURRENTS

Les auteurs ont déclaré n'avoir aucun conflit d'intérêts.

 

 

REFERENCES

 

1. Herndon JM, Whiteside M, Baldwin I. Fifty years after how to wreck the environment: Anthropogenic extinction of life on Earth. J Geog Environ Earth Sci International. 2018;16(3):1-15.

2. Dwomoh FK, Wimberly MC. Fire regimes

and forest resilience: alternative vegetation states in the West African tropics. Landscape Ecology. 2017;32(9):1849-65.

3. Seager R, Hooks A, Williams AP, Cook B, Nakamura J, Henderson N. Climatology, variability, and trends in the US vapor pressure deficit, an important fire-related meteorological quantity. Journal of Applied Meteorology and Climatology. 2015;54(6):1121-41.

4. Westerling A, Bryant B. Climate change and wildfire in California. Climatic Change.

2008;87(1):231-49.

5. Abatzoglou JT, Williams AP. Impact of anthropogenic climate change on wildfire across western US forests. Proceedings of the National Academy of Sciences. 2016;113(42):11770-5.

6. Ukhurebor KE, Abiodun IC. Variation in annual rainfall data of forty years (1978- 2017) for South-South, Nigeria. Journal of Applied Sciences & Environmental Management. 2018; 22(4):511-518.

7. Harvey BJ. Human-caused climate change is now a key driver of forest fire activity in the western United States. Proceedings of the National Academy of Sciences. 2016;113(42):11649-50.

8. Harrison SP, Marlon JR, Bartlein PJ. Fire in the Earth system. Changing climates, earth systems and society: Springer. 2010;21-48.

9. Available:https://www.nasa.gov/image- feature/goddard/2018/californias- mendocino-complex-of-fires-now-largest- in-states-history (Accessed September 10, 2018)

10. Available:http://www.fs.usda.gov/Internet/F SE_DOCUMENTS/fseprd566303.pdf (Accessed September 10, 2018)

11. Littell JS, Peterson DL, Riley KL, Liu Y,

Luce CH. A review of the relationships between drought and forest fire in the United States. Global Change Biology. 2016;22(7):2353-69.

12. Allen CD, Breshears DD, McDowell NG. On underestimation of global vulnerability to tree mortality and forest die‐off from hotter drought in the Anthropocene. Ecosphere. 2015;6(8):1-55. 13

13. Allen CD, Macalady AK, Chenchouni H, Bachelet D, McDowell N, Vennetier M, et al. A global overview of drought and heat- induced tree mortality reveals emerging climate change risks for forests. Forest Ecology and Management. 2010;259(4):660-84.

14. Bentz BJ, Régnière J, Fettig CJ, Hansen EM, Hayes JL, Hicke JA, et al. Climate change and bark beetles of the western United States and Canada: direct and indirect effects. BioScience. 2010;60(8):602-13.

15. Herndon JM. An open letter to members of AGU, EGU, and IPCC alleging promotion of fake science at the expense of human and environmental health and comments on AGU draft geoengineering position statement. New Concepts in Global Tectonics Journal. 2017;5(3):413-6.

16. Spracklen DV, Mickley LJ, Logan JA, Hudman RC, Yevich R, Flannigan MD, et al. Impacts of climate change from 2000 to 2050 on wildfire activity and carbonaceous aerosol concentrations in the western United States. Journal of Geophysical Research: Atmospheres. 2009;114(D20).

17. Westerling AL, Hidalgo HG, Cayan DR, Swetnam TW. Warming and earlier spring increase western US forest wildfire activity. Science. 2006;313(5789):940-3.

18. McWilliams C. Southern California: An island on the land: Gibbs Smith; 1973.

19. Davy R, Esau I, Chernokulsky A, Outten S, Zilitinkevich S. Diurnal asymmetry to the observed global warming. International Journal of Climatology. 2017;37(1):79-93

20. Moosmüller H, Chakrabarty R, Arnott W.

Aerosol light absorption and its measurement: A review. Journal of Quantitative Spectroscopy and Radiative Transfer. 2009;110(11):844-78.

21. Thomas W. Chemtrails Confirmed. Carson City, Nevada (USA): Bridger House Publishers; 2004.

22. Herndon JM. Obtaining evidence of coal fly

ash content in weather modification (geoengineering) through analyses of post- aerosol spraying rainwater and solid substances. Ind J Sci Res and Tech. 2016;4(1):30-6.

23. Available:http://www.nuclearplanet.com/19 58evidence.pdf (Accessed September 10, 2018)

24. Kirby PA. Chemtrails Exposed 2012.

25. Available:http://www.nuclearplanet.com/we bsites.pdf (Accessed September 10, 2018)

26. Jiusto JE. Prediction of Aircraft Condensation Trails, PROJECT CONTRAILS. Cornell Aeronautical Laboratory Report No. VC-1055-P-5, 1961.

27. Schumann U. On conditions for contrail

28. Moteki N, Adachi K, Ohata S, Yoshida A, Harigaya T, Koike M, et al. Anthropogenic iron oxide aerosols enhance atmospheric heating. Nature communications.2017;8:15329.

29. Herndon JM. Adverse agricultural consequences of weather modification. AGRIVITA Journal of agricultural science. 2016;38(3):213-21.

30. Hansen J, Nazarenko L. Soot climate forcing via snow and ice albedos. Proc Nat Acad Sci. 2004;101(2):423-8.

31. Qian Y, Yasunari TJ, Doherty SJ, Flanner MG, Lau WK, Ming J, et al. Light-absorbing particles in snow and ice: Measurement and modeling of climatic and hydrological impact. Advances in Atmospheric Sciences. 2015;32(1):64-91.

32. Available:http://www.nuclearplanet.com/US AF.pdf (Accessed September 10, 2018)

33. Wigington D. Geoengineering a Chronicle of Indictment: Geoengineering Watch Publishing; 2017.

34. Herndon JM. Aluminum poisoning of humanity and Earth's biota by clandestine geoengineering activity: implications for India. Curr Sci. 2015;108(12):2173-7.

35. Herndon JM, Whiteside M. Contamination of the biosphere with mercury: Another potential consequence of on-going climate manipulation using aerosolized coal fly ash J Geog Environ Earth Sci International.

2017;13(1):1-11.

36. Herndon JM, Whiteside M. Further evidence of coal fly ash utilization in tropospheric geoengineering: Implications on human and environmental health. J Geog Environ Earth Sci International.

2017;9(1):1-8.

37. Gluskoter HJ. Trace elements in coal: occurrence and distribution. Illinois State Geological Survey Circular no 499. 1977.

38. Berkowitz N. An introduction to coal technology: Elsevier; 2012.

39. Chen Y, Shah N, Huggins F, Huffman G, Dozier A. Characterization of ultrafine coal fly ash particles by energy filtered TEM. Journal of Microscopy. 2005;217(3):225-34.

40. Walker S. Uncontrolled fires in coal and coal wastes: IEA Coal Research London; 1999.

41. Moreno N, Querol X, Andrés JM, Stanton K, Towler M, Nugteren H, et al. Physico- chemical characteristics of European pulverized coal combustion fly ashes. Fuel. 2005;84:1351-63.

42. Montes-Hernandez G, Perez-Lopez R, Renard F, Nieto J, Charlet L. Mineral sequestration of CO2 by aqueous carbonation of coal combustion fly-ash. Journal of Hazardous Materials. 2009;161(2):1347-54.

43. Zhuang Y, Kim YJ, Lee TG, Biswas P.

Experimental and theoretical studies of ultra-fine particle behavior in electrostatic precipitators. Journal of Electrostatics. 2000;48(3):245-60.

    44. Available:http://svs.gsfc.nasa.gov/cgi- bin/details.cgi?aid=20010 (Accessed September 10, 2018)

   45. Junkermann W, Vogel B, Sutton M. The climate penalty for clean fossil fuel combustion. Atmospheric Chemistry and Physics. 2011;11(24):12917-24.

46. Teller E. The Planet Needs a Sunscreen. Wall Street Journal. 1997 October 19,

1997.

47. Burkhardt U, Kärcher B. Global radiative forcing from contrail cirrus. Nature Climate Change. 2011;1(1):54.

48. Herndon JM. Evidence of variable Earth- heat production, global non-anthropogenic climate change, and geoengineered global warming and polar melting.J Geog Environ Earth Sci International.2017;10(1):16.

49. Sparling DW, Lowe TP. Environmental hazards of aluminum to plants, invertibrates, fish, and wildlife. Rev Environ Contam Toxicol. 1996;145:1-127

50. Herndon JM, Williams DD, Whiteside M.

Previously unrecognized primary factors in the demise of endangered torrey pines: A microcosm of global forest die-offs. J Geog Environ Earth Sci International 2018;16(4):1-14.

51. Córdoba C, Munoz J, Cachorro V, de Carcer IA, Cussó F, Jaque F. The detection of solar ultraviolet-C radiation using KCl:Eu2+ thermoluminescence dosemeters. Journal of Physics D: Applied Physics. 1997;30(21):3024.

52. D'Antoni H, Rothschild L, Schultz C, Burgess S, Skiles J.

Extreme environments in the forests of Ushuaia, Argentina. Geophysical Research Letters. 2007;34(22).

55. Kulakowski D, Jarvis D. The influence of

mountain pine beetle outbreaks and drought on severe wildfires in northwestern Colorado and southern Wyoming: a look at the past century. Forest Ecology and Management. 2011;262(9):1686-96.

56. Burkhardt J, Zinsmeister D, Grantz D, Vidic

S, Sutton MA, Hunsche M, et al. Camouflaged as degraded wax’: hygroscopic aerosols contribute to leaf desiccation, tree mortality, and forest decline. Environmental Research Letters; 2018.

57. Stephens SL, Collins BM, Fettig CJ, Finney MA, Hoffman CM, Knapp EE, et al. Drought, tree mortality, and wildfire in forests adapted to frequent fire. BioScience. 2018;68(2):77-88. 

58. Altaratz O, Kucienska B, Kostinski A, Raga GB, Koren I. Global association of aerosol with flash density of intense lightning. Environmental Research Letters. 2017;12(11):114037.

59. Mohan S, Ermoline A, Dreizin EL.

Pyrophoricity of nano-sized aluminum particles. Journal of Nanoparticle Research. 2012;14(2):723.

60. Roling PV, Parker WL, Goliaszewski AE, Williams TS, Groce BC, Sintim QK. Inhibition of pyrophoric iron sulfide activity. U. S. Patent 6,328,943 B1; 2001.

61. Shende R, Doorenbos Z, Vats A, Puszynski J, Kapoor D, Martin D, et al. Pyrophoric nanoparticles and nanoporous foils for defense applications. South Dakota School of Mines and Technology Rapid City; 2008.

62. Shi Z, Krom MD, Bonneville S, Baker AR, Jickells TD, Benning LG. Formation of iron nanoparticles and increase in iron reactivity in mineral dust during simulated cloud processing. Environmental Science

& Technology. 2009;43(17):6592-6.

63. Cascio WE. Wildland fire smoke and human health. Science of the Total Environment. 2018;624:586-95.

64. Wettstein ZS, Hoshiko S, Fahimi J, Harrison RJ, Cascio WE, Rappold AG. Cardiovascular and cerebrovascular emergency department visits associated with wildfire smoke exposure in California in 2015. Journal of the American Heart Association. 2018;7(8):e007492.

65. Fann N, Alman B, Broome RA, Morgan GG, Johnston FH, Pouliot G, et al. The health impacts and economic value of wildland fire episodes in the US: 20082012. Science of the Total Environment.

2018;610:802-9.

66. Finlay SE, Moffat A, Gazzard R, Baker D, Murray V. Health impacts of wildfires. PLoS Currents. 2012;4.

67. Kristensen LJ, Taylor MP. Fields and forests in flames: Lead and mercury emissions from wildfire pyrogenic activity; 2012.

68. Wittig V, Williams S, DuTeaux S. Public health impacts of residential wildfires: Analysis of ash and Debris from the 2007 Southern California Fires. Epidemiology. 2008;19(6):S207.

69. Carvalho FP, Oliveira JM, Malta M.

Exposure to radionuclides in smoke from vegetation fires. Science of the Total Environment.2014;472:421-4.

70. Wegesser TC, Pinkerton KE, Last JA.

California wildfires of 2008: coarse and fine particulate matter toxicity. Environmental Health Perspectives. 2009;117(6):893.

71. Franzi LM, Bratt JM, Williams KM, Last JA.

Why is particulate matter produced by wildfires toxic to lung macrophages? Toxicology and applied pharmacology.2011;257(2):182-8.

72. Carratt SA, Flayer CH, Kossack ME, Last JA. Pesticides, wildfire suppression chemicals, and California wildfires: A human health perspective. 2017.

73. Ambient air pollution a global assessment of exposure and burden of disease. Geneva: World Health Organization (WHO); 2016.

74. Apte JS, Brauer M, Cohen AJ, Ezzati M, Pope CA. Ambient PM2.5 reduces global and regional life expectancy. Environmental Science & Technology Letters; 2018.

75. Pope A, Burnett R, Thun M, Thurston G.

Lung cancer, cardiopulmonary mortality, and long-term exposure to fine particulate air pollution. JAMA. 2002;287(9):1132-41.

76. Genc s, Zadeoglulari Z, Fuss SH, Genc K.

The adverse effects of air pollution on the nervous system. Journal of Toxicology.2012;2012.

77. Calderón-Garcidueñas L, Mora-Tiscareño A, Ontiveros E, Gómez-Garza G, Barragán-Mejía G, Broadway J, et al. Air pollution, cognitive deficits and brain abnormalities: A pilot study with children and dogs. Brain and cognition. 2008;68(2):117-27.

78. Chen Y, Shah N, Huggins FE, Huffman GP. Transmission electron microscopy investigation of ultrafine coal fly ash particles. Environ Science and Technogy. 2005;39(4):1144-51.

79. Araujo JA, Nel AE. Particulate matter and atherosclerosis: Role of particle size, composition and oxidative stress. Particle and Fibre Toxicology. 2009;6(1):24.

79. Araujo JA, Nel AE. Particulate matter and atherosclerosis: Role of particle size, composition and oxidative stress. Particle and Fibre Toxicology. 2009;6(1):24.

80. Veranth JM, Smith KR, Huggins F, Hu AA,

Lighty JS, Aust AE. Mössbauer spectroscopy indicates that iron in an aluminosilicate glass phase is the source of the bioavailable iron from coal fly ash. Chemical Research in Toxicology. 2000;13(3):161-4.

81. Fisher GL. Biomedically relevant chemical and physical properties of coal combustion products. Environ Health Persp.1983;47:189-99.

82. Pandit GG, Sahu SK, Puranik VD. Natural radionuclides from coal fired thermal power plants–estimation of atmospheric release and inhalation risk. Radioprotection. 2011;46(6):S173S9.

83. Roy WR, Thiery R, Suloway JJ. Coal fly ash: A review of the literature and proposed classification system with emphasis on environmental impacts. Environ Geology Notes #96; 1981.

84. Whiteside M, Herndon JM. Aerosolized coal fly ash: Risk factor for COPD and respiratory disease. Journal of Advances in Medicine and Medical Research. 2018;26(7):1-13.

85. Whiteside M, Herndon JM. Coal fly ash aerosol: Risk factor for lung cancer. Journal of Advances in Medicine and Medical Research. 2018;25(4):1-10.

86. Whiteside M, Herndon JM. Aerosolized

coal fly ash: Risk factor for neurodegenerative disease. Journal of Advances in Medicine and Medical Research. 2018;25(10):1-11.

87. Chanvorachote P, Luanpitpong S. Iron

induces cancer stem cells and aggressive phenotypes in human lung cancer cells. American Journal of Physiology-Cell Physiology. 2016;310(9):C728-C39.

88. Maher BA, Ahmed IAM, Karloukovski V,

MacLauren DA, Foulds PG, et al. Magnetite pollution nanoparticles in the human brain. Proc Nat Acad Sci. 2016;113(39):10797-801.

© 2018 Herndon et Whiteside; Ceci est un article en libre accès distribué selon les termes de la licence Creative Commons Attribution (http://creativecommons.org/licenses/by/4.0), qui autorise une utilisation, une distribution et une reproduction sans restriction sur tout support, à condition que l'œuvre originale soit correctement citée.

 

 

Historique des revues par les pairs:

L’historique de la revue par les pairs pour cet article peut être consulté ici:

http://www.sciencedomain.org/review-history/26490

Voir les commentaires

Marvin Herndon : preuve de la production variable de chaleur terrestre

21 Mai 2017, 06:37am

Publié par Marvin Herndon

J
Journal of Geography, Environment and Earth Science International

10(1): 1-16,2017; Article N°JGEESI.32220

ISSN: 2454-7352

 

 Preuve de la production variable de chaleur terrestre, d'un changement climatique mondial non anthropique et d'un réchauffement planétaire et d'une fonte de la banquise polaire dus à la géo-ingénierie

J.Marvin Herndon

Transdyne Corporation,11044 Red Rock Drive, San Diego, CA 92131,USA

                                                                                                   

Contribution de l'auteur

L'auteur seul a conçu, analysé et préparé le manuscrit

 

Référence de l'article

DOI: 10.9734/JGEESI/2017/32220

 

Editeur:

Pere Serra Ruiz, Department of Geography, Universitat Autònoma de Barcelona, Spain

 

Revues :

(1) John Abraham, University of St. Thomas School of Engineering, USA

.(2) Risper Buyaki Nyairo, University of Nairobi, Nairobi, Kenya

.(3) Antipas T.S. Massawe, University of Dar es Salaam, Tanzania

.(4) David A. E. Vares, Laurentian University, Canada

.(5) Ferenc Mark Miskolczi, Holston Lane, Hampton, VA, USA

.(6) Antero Ollila, Aalto University (Emeritus), Finland

 

Historique complet des revues par des pairs :

http://www.sciencedomain.org/review

C

Reçu le 15 février 2017

Accepté le 19 avril 2017

Publié le 21 avril 2017

Traduction française : Ciel voilé

http://www.nuclearplanet.com/variable_heat.pdf

 

Résumé

 

Les modèles climatiques évalués par le GIEC reposent sur les hypothèses selon lesquelles: (1) La chaleur en provenance du Soleil serait constante; (2) La chaleur provenant de l'intérieur de la Terre serait constante; Et (3) les contributions anthropiques au réchauffement atmosphérique proviendraient principalement de la rétention de chaleur par le CO2 et d'autres gaz à effet de serre. Les preuves géophysiques d'une activité sismique variable et les preuves géologiques d'un volcanisme sous-marin variable présentées ici indiquent que la chaleur ajoutée aux océans est variable. Les occurrences en augmentation de tremblements de terre de magnitude ≥6 et ≥7 entre 1973 et 2015 indiquent que l'activité volcanique augmente et, par conséquent, la chaleur terrestre, et aussi les apports de CO2 d'origine volcanique augmentent. En outre, les apports accrus de chaleur dans l'océan agissent en diminuant la solubilité du CO2 dans l'eau de mer, ce qui libère finalement du CO2 additionnel dans l'atmosphère. En outre, l'augmentation de l'activité volcanique sous-marine implique une augmentation de l'acidification des océans, mais les données sont insuffisantes pour calculer les estimations chiffrées. La validité des estimations et des évaluations du GIEC dépend de façon cruciale de la prise en compte de tous les processus susceptibles d'affecter l'équilibre thermique de la Terre. En plus des processus géologiques et géophysiques discutés, la communauté scientifique, y compris les scientifiques du GIEC, a fermé les yeux sur la géo-ingénierie troposphérique en cours pratiquée presque quotidienne ces dernières années, à l'échelle mondiale. Les particules pulvérisées par avion dans la troposphère, dont on a prouvé qu'il s'agissait de cendres volantes de charbon, inhibent les précipitations, chauffent l'atmosphère et provoquent le réchauffement climatique. Les preuves obtenues à partir d'un largage aérien accidentel indiquent la volonté de faire fondre la banquise polaire et d'accélérer le réchauffement climatique. En niant la géo-ingénierie troposphérique en cours, les évaluations du GIEC sont compromises, tout comme l'autorité morale des Nations Unies.

 

1.INTRODUCTION

 

Le premier rapport du Groupe d'experts intergouvernemental des Nations Unies sur le changement climatique (GIEC) en 1990 et tous les rapports ultérieurs [1] ont affirmé que le monde se réchauffait, qu'un réchauffement futur semblait probable et que la cause présumée en serait l'ajout de dioxyde de carbone (CO2), d'origine anthropique, dans l'atmosphère, provoquant un « effet de serre ». Les scientifiques, les politiciens et les citoyens ont été poussés à croire que les activités anthropiques de combustion d'énergies fossiles étaient la cause accablante du réchauffement climatique, de la fonte des calottes polaires, du réchauffement et de l'acidification des océans, et qu'elles menaçaient notre civilisation et le biote planétaire. Au fil du temps, les avertissements du GIEC sont devenus plus terribles. Les discussions pour lutter contre le changement climatique anthropique à l'aide de projets de « géo-ingénierie » sont maintenant courantes dans les milieux scientifiques du climat [2, 3]. Les alertes du GIEC proviennent des évaluations de modèles climatiques qui reposent sur les hypothèses suivantes: (1) La chaleur en provenance du Soleil serait constante; (2) La chaleur provenant de l'intérieur de la Terre serait constante; Et, (3) les contributions anthropiques au réchauffement atmosphérique proviendraient principalement de la rétention de chaleur par le CO2 et d'autres gaz « à effet de serre ». Comme l'a souligné l'éminent économiste George E. P. Box, tous les modèles sont faux, mais quelques-uns sont utiles [4]. Pour être utiles, les modèles devraient représenter correctement tous les phénomènes physiques susceptibles d'affecter leurs résultats. Le but de cette communication est d'apporter à l'attention de la communauté scientifique pour en débattre et en discuter, des considérations anthropiques et géophysiques que le GIEC n'a pas prises en compte dans la construction et l'évaluation de ses modèles climatiques. Abdussamatov [5,6] a remis en cause la validité du (1) ci-dessus, la constance présumée de l'irradiation solaire. Ici, je mets en cause la validité de (2) et (3) ci-dessus.


Un bref examen historique peut nous aider à comprendre pourquoi il est nécessaire, d'un point de vue scientifique, de remettre en question les modèles du GIEC: pendant la première moitié du XX ème siècle, lorsqu'un concept fondamentalement nouveau et important apparaissait et remettait en cause la pensée scientifique sur un sujet, on en débattait et on en discutait, des arguments étaient recherchés pour le réfuter, sinon on n'en parlait plus. Cette norme s'est généralement maintenue en chimie et en physique, mais la communauté des sciences de la terre s'est adaptée lentement à de nouveaux concepts tels que le déplacement continental [7]. Après la seconde guerre mondiale, le débat ouvert sérieux et approfondi a commencé à être corrompu. Le poids du débat a évolué vers l'adoption anticipée d'une «vision du consensus», sans place pour la contestation. Ce changement dans la norme et les habitudes par lesquelles la vérité scientifique est établie provient principalement du financement public de la science civile. Le financement a été administré selon une méthodologie défectueuse qui n'a pas pris en compte la nature humaine, en autorisant l'anonymat des pairs[8]. En outre, l'apparition des ordinateurs numériques à partir de la fin des années 1960 a conduit de nombreux scientifiques à fabriquer des modèles informatiques basés sur des hypothèses, y compris des hypothèses non prouvées, pour trouver des réponses à des questions scientifiques, plutôt que de faire de nouvelles découvertes qui remettent en cause les connaissances existantes et les font avancer. Le problème majeur des modèles informatiques est qu'ils commencent par un résultat final connu (par exemple, le réchauffement climatique d'origine anthropique) et qu' ensuite ils parviennent à ce résultat par des choix sélectifs de paramètres - un processus qui imite une prophétie auto-réalisatrice.


La plupart des spécialistes des sciences de la terre connaissent la découverte du noyau de la Terre par Oldham [9] et de la découverte ultérieure du noyau interne par Lehmann [10], mais peu ont conscience de la propagation des erreurs géophysiques et géodynamiques résultant de l'ignorance systématique d'un défi lancé il y a près de 38 ans concernant la composition du noyau interne de la Terre [11]. On a longtemps pensé que la Terre ressemblait à une météorite de chondrite ordinaire. Dans ces météorites, la majorité du nickel est alliée à du fer métallique. Parce que les éléments plus lourds que le nickel et le fer, pris ensemble, ne pouvaient pas constituer une masse aussi importante que le noyau interne; Birch [11] a pensé que le noyau interne devait être constitué de fer-métal partiellement cristallisé. Birch, cependant, a ignoré les rares chondrites à enstatite (ndt : météorites minérales du groupe des silicates contenant entre 25 et 35% de métal) très réductrices.


Dans les années 1970, lors de l'étude des météorites de chondrites à enstatite, je me suis rendu compte que, dans des conditions hautement réductrices, le nickel pouvait apparaître sous forme de siliciure de nickel. J'ai écrit un court document, résumé ainsi : d'après les observations de la nature, le noyau intérieur de la Terre pourrait ne pas être en nickel-fer-métal, mais en nickel siliciure. Le lauréat du prix Nobel Harold C. Urey a communiqué ce document aux Actes de la Royal Society de Londres [12] et j'ai reçu une lettre complémentaire d'Inge Lehmann, le découvreur du noyau interne. Mais mon travail et le concept du noyau interne du siliciure de nickel de la Terre ont été systématiquement ignorés - l'habitude du consensus prématuré de la seconde guerre mondiale - par la communauté des scientifiques de la Terre qui soutient jusqu'à la frustration le consensus approuvé. Les idées des années 1940 sur la composition et la dynamique de la Terre sont basées sur une compréhension défectueuse, par exemple, la composition du noyau et sa production de chaleur [13]. Pendant ce temps, j'ai démontré que: (1) 82% de l'intérieur de la Terre ressemblent à une chondrite à enstatite [14-16]; (2) une grande partie de l'uranium présent sur Terre se trouve dans le noyau de la Terre qui devrait se concentrer en son centre, formant le géo-réacteur de la Terre capable de réactions de fission nucléaire autonomes et en chaîne[17-21]; (3) les rapports élevés de 3He / 4He observés dans le basalte dans des points chauds tels qu' Hawaï et l'Islande présentent des taux isotopiques attendus des produits de fission de géo-réacteurs [22]; (4) le géo-réacteur peut être le siège du champ géo-magnétique, et non le noyau fluide de la Terre [20,23,24]; (6) la matière à la limite du noyau / manteau peut s'expliquer comme précipités du noyau fluide [25]; Et (7) l'état fortement réduit de l'intérieur de la Terre, comme celui des chondrites E4 à enstatite, peut résulter de la condensation de la matière solaire à des températures élevées et des pressions élevées, à condition que le condensat soit isolé des gaz à haute température [26,27]. Ce dernier point m'a amené à proposer que la formation planétaire progresse principalement par des moyens protoplanétaires plutôt que planétésimaux [26, 28], ce qui ne nécessite pas l'hypothèse d'une fusion complète de la planète pour expliquer la formation du noyau. En reconnaissant que la convection du manteau, qui sous-tend la théorie de la tectonique des plaques, est physiquement impossible [25, 26], j'ai proposé un nouveau paradigme de géoscience indivisible, la dynamique de la décompression de la Terre entière qui explique les innombrables observations, précédemment attribuées à la tectonique des plaques, et de plus, sans nécessiter une convection physique impossible du manteau [26, 29-31]. Les nouveaux concepts sur l'origine des montagnes caractérisées par le pliage [32], l'origine des fjords et des canyons sous-marins [33], et l'origine des gisements de pétrole et de gaz naturel [34] sont parmi les multiples conséquences de WEDD. Donc, quelle est la pertinence ici ?


Au cours des 38 dernières années, les normes de la recherche scientifique ont changé, en particulier parmi ceux qui dépendent du soutien des fonds publics. Les défis basés sur la logique de la pensée actuelle ont été en grande partie remplacés par la conformité du consensus [8]. Mais la science est un processus logique, pas un processus démocratique. L'idée selon laquelle de grands problèmes complexes seraient résolus par quelque chose appelé «consensus scientifique» a pour conséquence de tromper non seulement le public mais aussi les membres de la communauté scientifique.

2. BASE DE PRODUCTION VARIABLE DE CHALEUR PAR LA TERRE


Les scientifiques ont commencé à mesurer la chaleur émanant de la roche continentale en 1939 [35, 36] et ont supposé que la chaleur qu'ils mesuraient, résultait de la désintégration des éléments radioactifs de longue durée de vie: 235U, 238U, 232Th et 40K, de la croûte terrestre. La chaleur qui sort du basalte, au fond de l'océan, a d'abord été mesurée en 1952 [37]. Les mesures ultérieures du fond de l'océan, déterminées loin des dorsales du milieu de l'océan [38], ont montré plus de flux de chaleur du basalte du fond de l'océan que de la roche continentale [39] même si le basalte au fond de l'océan a une teneur beaucoup plus faible en nucléides radioactifs naturels. Néanmoins, pendant des décennies, on a supposé que la chaleur émanant de la Terre résultait de la désintégration radioactive naturelle et de la chaleur supposée provenir de la formation terrestre planétésimale, datant de quelques 4,5 Gya [40]. A l'échelle du temps humain, la chaleur émanant de l'intérieur de la Terre a été considérée comme constante en raison des demi-vies extrêmement longues des radionucléides impliqués (tableau 1).

Le «consensus approuvé»: ca. La conception interne de la Terre des années 1940 ne peut expliquer la production de chaleur terrestre variable. Par exemple, Shearer et Stark [41] ont utilisé un mécanisme élaboré de sélection de données pour montrer que des tremblements de terre de magnitude ≥ 7 n'ont pas augmenté au cours des dernières années, remarquant: « En outre, aucun mécanisme physique plausible ne prédit des changements réels dans le taux global sous-jacent de grands événements ». Leur manque de compréhension d'un « mécanisme physique plausible »est une conséquence de leur incapacité à reconnaître les défauts du « consensus approuvé » : la version des années 1940 de la composition de la Terre et l'impossibilité physique de la convection du manteau qui sous-tend la tectonique des plaques.


Mon nouveau paradigme géo-scientifique, la dynamique de la décompression de la Terre entière [26, 29-31], permet la possibilité d'une chaleur terrestre variable, comme prouvée ci-dessous.

Tableau 1. Demi-vies des principaux radionucléides terrestres de longue vie

 

Radionucléides

de longue vie

Demi-vie

(année)

235U

7.04 X 108

238U

4.47 X 109

232Th

1.41 X 1010

40K

1.25 X 109

 

 

3.PREUVE DE L'AUGMENTATION EN COURS DES APPORTS DE CHALEUR AUX OCÉANS


Les structures thermales se situent sous les îles volcaniques d'Hawaï et d'Islande. Lorsqu'elles sont représentées par tomographie sismique [42, 43], ces structures s'étendent à l'interface entre le noyau terrestre et son manteau inférieur. Bien que les îles volcaniques se situent sur les côtés opposés du globe, Mjelde et al. [44,45] a découvert une périodicité et une synchronicité dans les rejets de lave provenant de l'Islande et des îles hawaïennes tout au long de l'ère cénozoïque. Une telle activité volcanique sous-marine variable implique clairement des apports de chaleur variables aux océans de la Terre dans le passé géologique.


Le lien entre les grands tremblements de terre et l'activité volcanique a longtemps été reconnu [46-48]. Par conséquent, la variabilité dans l'apparition de grands tremblements de terre est directement liée à la variabilité des éruptions volcaniques. Comme la plupart des volcans (~ 80%) sont sous-marins [49], la prépondérance de la chaleur ajoutée à la surface de la Terre en raison de l'activité volcanique variable commence par la chaleur ajoutée aux océans terrestres.


La figure 1 est un graphique du nombre annuel global d'occurrences de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et de magnitude ≥ 7 à partir des données de 1973-2015 tabulées par l'U. S. Geological Survey [50]. Les données dans ce laps de temps sont solides en raison des vastes réseaux sismiques qui fonctionnent pour surveiller les explosions nucléaires. Depuis 1973, le nombre annuel de tremblements de terre de magnitudes ≥ 6 et ≥ 7, basés sur la tablette USGS citée, ont augmenté de manière significative dans le monde, respectivement de 66% et de 74%. Ces données contredisent l'hypothèse d'une production constante de chaleur terrestre. De manière significative, ces données impliquent des augmentations de la production de chaleur terrestre au moins aussi récentes qu'au cours des 43 dernières années.

 



Figure 1. Le nombre annuel de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et ≥ 7 à l'échelle mondiale, extrait de la base de données du géologue U. S. [50], est présenté avec des lignes de régression linéaire. Lignes de régression (pente, y-interception, R2): pour l'ensemble de données ≥ 6 de grandeur (1.672, -3193.1, 0.4495) et pour le jeu de données ≥ 7 de grandeur (0.1799, -344.79, 0.3524). Ce chiffre montre clairement qu'il y a eu une augmentation spectaculaire du nombre annuel de séismes mondiaux dans les plages d'amplitude indiquées au cours de l'intervalle de temps 1973-2015. Pour les tremblements de terre de grandeur ≥ 6, l'augmentation est de 66%; Pour la magnitude des tremblements de terre ≥ 7, l'augmentation est de 74%.

L'augmentation du nombre annuel de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et de magnitude ≥7 indique que l'activité géodynamique de l'énergie n'est pas constante. En outre, l'association fréquente de tremblements de terre et des éruptions volcaniques, dont la majorité (~ 80%) sont sous-marines, indique que la chaleur de la Terre libérée par les volcans, la plupart dans les océans, est également variable, et pendant au moins les 43 dernières années a considérablement augmenté. Les apports de chaleur aux océans, comme en témoigne l'augmentation de l'activité sismique au cours des 43 dernières années, présentent des complications pour tout modèle de climat basé sur l'hypothèse d'une entrée constante et invariable de la chaleur dans les océans.
 

4. PREUVE SUPPLÉMENTAIRE DE L'APPORT DE CHALEUR AUX OCÉANS

Pendant que le présent travail était relu, Chen et al. [51] ont publié des données améliorées et corrigées des flotteurs submersibles Argo qui confirment l'augmentation de la chaleur de l'océan que nous pouvons déduire de l'augmentation observée du nombre annuel de tremblements de terre au cours des 43 dernières années (comme décrit ci-dessus). Chen et al. ont constaté que les changements dans la teneur en chaleur de l'océan étaient relativement faibles avant 1980, mais depuis 1980, les températures des océans ont augmenté de façon constante et, depuis 1990, elles ont impliqué des couches plus profondes de l'océan [51]. La plupart des volcans sous-marins sont associés aux systèmes de dorsales océaniques et ont des dorsales moyennes (sommets) à des profondeurs comprises entre 1000 et 3000 m, bien que certains volcans de la dorsale océanique moyenne apparaissent à des profondeurs de 4000 m ainsi qu'à la surface en Islande [ 52].


5. IMPLICATIONS GEO-PHYSIQUES DE L'AUGMENTATION DU VOLCANISME SOUS-MARIN

L'hypothèse d'une augmentation constante de la chaleur dans les océans simplifie les calculs du GIEC, mais peut conduire à des conclusions incorrectes. Même si les calculs nécessaires sont beaucoup plus complexes et nécessitent des informations actuellement inconnues, il incombe aux scientifiques de discuter des différents facteurs impliqués dans la réalisation de tels calculs.
Les océans constituent le principal réservoir de CO2 de notre planète. Le carbonate est un faible système acide-base existant dans l'océan comme dioxyde de carbone dissous, acide carbonique, ions bicarbonate et leurs complexes [53]. Dans l'eau de mer, le dioxyde de carbone dissous, [CO2], en négligeant les formes mineures, est:

[CO2] = [CO2 (aq) + H2CO3] (1)

Dans l'équilibre thermodynamique, le dioxyde de carbone atmosphérique (gazeux), le CO2 (g) et l'eau de mer [CO2] sont liés par la loi de Henry:


K0
CO2 (g) = [CO2] (2)

Où K0, le coefficient de solubilité, est fonction de la température et de la salinité.

Weiss [54] a dérivé l'équation suivante pour K0 de l'équation intégrée Van't Hoff et la dépendance logarithmique à la salinité de Setchénow [55]:

Dans K0 = A1 + A2 (100 / T) + A3ln (T / 100) + S [B1 + B2 (T / 100) + B3 (T / 100) 2] (3)

Où la salinité, S, est en parties par millier, et les A et B sont des constantes, listées dans le tableau 2 pour les unités molaires et gravimétriques.

La figure 2 montre les valeurs du coefficient de solubilité du CO2, K0, calculé avec l'équation (3) dans toute la gamme des températures et salinités pertinentes pour l'eau de mer. À partir de cette figure, une chose est claire : une augmentation de la température, dans pratiquement toutes les conditions océaniques, entraîne une diminution de la solubilité du CO2 et, parallèlement, une augmentation du CO2 atmosphérique.


Tableau 2. Constantes pour le calcul du coefficient de solubilité du CO2 dans les unités molaires et gravimétriques selon l'équation (2). À partir de [54].

 

Unités de K0

 

moles/l●atm

moles/kg●atm

A1

0.7

4.3

A2

0.73

4.4

A3

33

190

B1

2.4

6.3

B2

11

20

B3

1.02

1.81

 


Comme on le sait à partir d'enquêtes sur des éruptions sous-marines spécifiques, non seulement la chaleur est libérée pendant l'éruption, mais le CO2 non anthropique est ajouté aux océans et en même temps à l'atmosphère. À partir des données indiquées à la figure 1, la quantité de CO2 volcanique ajoutée aux océans a augmenté au cours des 43 dernières années. Une grande partie de cet apport de CO2 volcanique doit évidemment s'échapper dans l'atmosphère car la chaleur volcanique diminue la solubilité du CO2 dans l'eau de mer.


Les volcans sous-marins rejettent non seulement le CO2 en quantité croissante, mais aussi d'autres produits chimiques, tels que le SO2 qui, dans tous les cas connus, abaisse le pH de l'eau de mer environnante [56,57]. En d'autres termes, le volcanisme sous-marin qui varie et qui augmente actuellement, contribue certainement à l'augmentation de l'acidification des océans observée dans le monde entier.

 



Figure 2. Le coefficient de solubilité du CO2, K0, calculé avec l'équation (3) dans toute la gamme des températures et des salinités, entre parenthèses par les deux salinités extrêmes, pertinentes pour l'eau de mer. Ce chiffre montre qu'une augmentation de la température, dans toutes les conditions océaniques, entraîne une diminution de la solubilité du CO2.

La figure 3 montre que le CO2 atmosphérique, par rapport à 1973, à partir de la tabulation NOAA souvent citée [58], augmente d'environ un tiers le taux d'augmentation des séismes de magnitude ≥ 6,0 sur le même intervalle.

L'augmentation du nombre annuel de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et de magnitude≥ 7 indique que les sources d'énergie de l'activité géodynamique ne sont pas constantes, ce qui est compréhensible à partir de la Dynamique de décompression de la Terre entière [29, 30]. La charge de la preuve incombe à toute la communauté scientifique concernée par la compréhension des multiples complexités du changement climatique pour prouver que la variabilité volcanique sous-marine de la Terre peut être légitimement ignorée. Beaucoup de choses sont inconnues, y compris des données fiables sur la variation des taux annuels d'événements sismiques antérieurs à 1973 et le délai pour que les changements dans la progression de la solubilité du CO2 dans la colonne océanique se manifestent en variations de CO2 en surface.


Il existe d'autres preuves à l'appui de l'hypothèse de l'apport variable de chaleur de la Terre. Les données récemment publiées par Tolstoi [59] confirment que le volcanisme sous-marin le long de la dorsale du Pacifique Sud-Est a été variable au cours des 775 000 dernières années, avec des augmentations qui semblent être en corrélation avec les augmentations de CO2 dans les données de la banquise antarctique présentées Figure 4. La variabilité du volcanisme sous-marin est une preuve de confirmation directe, de l'apport variable de chaleur dans l'eau de mer. Les données de Tolstoï mettent en question les modèles climatiques basés sur les hypothèses de température de la Terre constante et de température de l'eau constante. La preuve du volcanisme sous-marin variable témoigne de l'apport variable de CO2 volcanique dans l'eau de mer et de l'apport de chaleur variable à l'eau de mer, ce qui témoigne de la variabilité globale de la température de l'eau de mer et de la solubilité variable du CO2 dans l'eau de mer.


 



Figure 3. Pourcentage de variation annuelle, par rapport à 1973, des tremblements de terre, de magnitude ≥ 6, montrée par la ligne de régression de la Figure 1, et des valeurs de CO2 basées sur le tableau du modèle publié par l'institut Goddard de la NASA (GISS) [ 58]. Ce chiffre montre que les tremblements de terre de magnitude ≥ 6 augmentent à un taux plus rapide que le CO2 atmosphérique. Avant 1973, les données sur les tremblements de terre ne sont pas suffisamment fiables pour être comparées aux données du CO2.

 

6. CONTRIBUTION CLANDESTINE DE LA GEO-INGENIERIE AU RECHAUFFEMENT PLANETAIRE

 

Afin que les modèles informatiques soient utiles, ils doivent représenter fidèlement les effets relatifs de toutes les variables impliquées. Les modèles climatiques produits par la communauté scientifique et ceux utilisés par le GIEC ne tiennent nullement compte des effets de la géo-ingénierie troposphérique en cours. La géo-ingénierie est définie ici comme des activités délibérées et à grande échelle visant à modifier les systèmes météorologiques / climatiques (c'est-à-dire de la troposphère à la stratosphère à l'ionosphère - tous les systèmes naturels). Les programmes de modification climatique ont été utilisés par de nombreuses nations au moins depuis les années 1960, c'est-à-dire depuis plus d'un demi-siècle, généralement à des fins agricoles [62].


Figure 4. Corrélation entre la température locale et le CO2 piégé sur une période de 800 000 ans à partir d'un noyau de glace antarctique : Données sur le noyau de glace du noyau de glace EPICA Dome C (Antarctique): le deutérium est un substitut pour la température locale; Le CO2 provient de l'air du noyau de glace. Données provenant de [60,61]. Reproduit avec l'autorisation de British Antarctic Survey.

 

Au cours de la guerre du Vietnam, les militaires américains ont ensemencé des nuages ​​avec des substances chimiques telles que l'iodure d'argent ou la glace sèche solide (CO2 congelé) pour renforcer les précipitations et empêcher le mouvement des troupes et du matériel sur la route d’Ho Chi Minh. Les activités militaires ultérieures de modification des conditions météorologiques ont porté sur l'inhibition des précipitations [63].

 

La technique d'inhibition des précipitations, qui a été bien comprise à partir d’études sur la pollution atmosphérique, consiste à pulvériser un aérosol chimique dans la troposphère où se forment les nuages. L'aérosol particulaire en place empêche les gouttelettes d'humidité de s'assembler et de grossir suffisamment pour tomber sous forme de pluie ou de neige. L’observation prouve que cette technique a été testée dans les années 1990, peut-être plus tôt, et a augmenté en fréquence et en intensité depuis lors. Au cours des huit dernières années, la pulvérisation aérienne a augmenté jusqu'à devenir quasi quotidienne, quasi globale, ce qui est mis en évidence par les données publiées sur au moins 72 sites anti-géo-ingénierie [64]. La figure 5 montre quelques-unes des milliers de photographies mettant en évidence l'activité de géo- ingénierie troposphérique.

 

Non seulement tout s’est fait dans le plus grand des secrets, mais les gouvernements ont trompé les citoyens, soit en niant cette activité aérienne, soit en affirmant de façon mensongère que les traînées aériennes observées ne seraient que des traînées de condensation, des cristaux de glace formés à partir de la vapeur d'eau dans les gaz d'échappement. En 2005, l’Armée de l’Air des États-Unis a distribué aux organismes gouvernementaux et a publié en ligne un document intitulé « Faits sur les traînées de condensation» [65], qui niait délibérément l'existence des traînées particulaires observées, et qui mentait en prétendant qu'il s'agirait de traînées de condensation.

 

Sauf dans des circonstances très rares de très basses températures et d'humidité très élevée, les traînées de condensation des avions persistent quelques secondes seulement avant de s'évaporer (sublimer) en gaz H2O invisible. La figure 6 montre trois avions volant simultanément dans le même environnement physique. Deux présentent des traînées de condensation courtes car les cristaux de glace qui se trouvent dans la vapeur d'eau de leur échappement s'évaporent rapidement; la troisième traînée qui s'étend sur une grande distance à travers le ciel est une traînée particulaire, et non une traînée de condensation qui serait courte.

 

La figure 7 fournit une preuve supplémentaire que la pulvérisation place délibérément dans l'air une matière particulaire et qu'il ne s'agit pas de cristaux de glace formant naturellement une traînée de condensation. Sur cette photo, deux avions volent dans le même environnement physique, produisant des traînées à travers le ciel quand soudainement, l’une d’entre elles s'interrompt subitement, vraisemblablement parce que le stock d'approvisionnement est épuisé ou que le mécanisme de dispersion a été éteint.

 

Les traînées de particules ne disparaissent pas rapidement, mais s'étalent, formant parfois des nuages ​​artificiels semblables à des cirrus qui se dispersent encore pour former éventuellement une brume blanchâtre dans le ciel. La pulvérisation intensive peut entraîner des couvertures particulaires du ciel, parfois accompagnées d' une brume marron. Quelques exemples sont illustrés en figure 8 qui est un ensemble de photographies prises à San Diego, en Californie (USA) lors de jours sans nuages ​​naturels dans le ciel. Ces phénomènes ne sont pas les caractéristiques des traînées de cristaux de glace qui s’évaporent rapidement et se transforment en vapeur d'eau invisible.

 

Figure 5. Photographies de traînées de géo- ingénierie particulaires aériennes troposphériques. De haut en bas: 1) LaCrosse, Wisconsin (USA), avec la permission de John Brinsko; 2) Bettendorf, Iowa (États-Unis), avec l’autorisation d'Amy Fordham; 3) Sussex, Royaume-Uni, avec l’autorisation de Vicky McCarthy; 4) Portland, Oregon (USA), avec la permission de Linda Pope.

Non seulement les autorités gouvernementales ont trompé le public, mais également des scientifiques gouvernementaux et non gouvernementaux. Malgré les préoccupations publiques exprimées par des citoyens dans le monde entier [64], les scientifiques ont fermé les yeux sur les traînées particulaires. Même les scientifiques qui étudient l'atmosphère prétendent qu'aucun aérosol délibérément pulvérisé n'influence l'atmosphère qu'ils étudient. Les scientifiques du GIEC ignorent également leur existence, alors que ces aérosols ont influencé la météo / le climat à l'échelle régionale et très probablement à l'échelle mondiale depuis la fin des années 1990, et peut-être même depuis plus longtemps. Les matières particulaires pulvérisées dans la troposphère se mélangent à l'air que nous respirons et, d'après les études épidémiologiques de la pollution, peuvent causer ou contribuer à bon nombre de maladies graves [66].

 

Il existe de solides preuves que les principales particules pulvérisées dans la troposphère dans le monde entier sont des cendres volantes de charbon, les cendres légères de la combustion du charbon produites par des fournisseurs d'énergie, dans les pays occidentaux, elles sont considérées comme trop toxiques pour pouvoir quitter les cheminées industrielles, [63,66 -68].

 

Face au déni officiel et à une conception officielle défectueuse, on peut déduire, à partir des effets physiques, les objectifs, sinon les motifs, de la géo-ingénierie troposphérique qui pulvérise des cendres de charbon presque chaque jour, presque dans le monde entier. Les cendres volantes de charbon pulvérisées retardent la pluie, au moins jusqu'à ce que les nuages ​​se surchargent tellement qu'ils relâchent des pluies torrentielles et des orages. Les cendres volantes de charbon rendent l'humidité atmosphérique plus électriquement conductrice, ce qui peut être utile pour les activités électromagnétiques militaires [69]. Les cendres volantes de charbon pulvérisées dans la troposphère réchauffent l'atmosphère et retardent la perte de chaleur de la surface de la terre, ce qui accroît le réchauffement climatique. Comme les cendres volantes de charbon tombent au sol, leur couleur typiquement gris foncé absorbe la lumière du soleil et modifie l'albédo, ce qui renforce encore plus le réchauffement climatique [66].

 

 

Figure 6. Trois avions volent simultanément dans le même environnement physique dans lequel la formation de traînées de condensation est possible dans l'air au-dessus de Tucson, Arizona (États-Unis) en 2011. Notez que deux d’entre eux présentent des traînées de condensation courtes caractéristiques de l'évaporation rapide de la glace. La longue traînée à travers le ciel n'est pas une traînée de condensation sinon, elle se serait évaporée aussi rapidement et serait aussi courte que les deux autres. Au contraire, la longue traînée est formée de fines particules en suspension. Avec l'aimable permission de Bornfree et Russ Tanner.

 

 

 

Figure 7. Deux avions pulvérisant des particules volent dans le même environnement physique lorsque l'une des pulvérisations s'interrompt brusquement. C’est un phénomène totalement impossible pour des traînées créées par la formation de cristaux de glace à partir de la vapeur d'eau se trouvant dans les gaz d'échappement du moteur. Photo de l'auteur.

 

 

 

Figure 8. Quatre photographies du ciel au-dessus de San Diego, en Californie (USA) prises lors de journées sans nuages ​​naturels. Les épaisseurs variables de la brume sont caractéristiques des matières particulaires pulvérisées par des avions à réaction, et totalement impossibles pour des traînées de condensation, des cristaux de glace qui s’évaporent vite et deviennent invisibles. Photos de l’auteur.

 

 

 

7. PREUVE D’UNE VOLONTE DE FAIRE FONDRE LES GLACIERS ET D’AGGRAVER LE RECHAUFFEMENT PLANETAIRE

 

Le 14 février 2016 ou aux environs de cette date, une substance huileuse et cendrée est tombée sur sept résidences et sur des véhicules à Harrison Township, Michigan (États-Unis). Soupçonnant qu'il s'agissait du largage accidentel d'un avion engagé dans un programme seret de géo-ingénierie, j'ai obtenu des échantillons de l'un des résidents pour analyse et j'ai conseillé le Département de la Qualité environnementale du Michigan pour effectuer des analyses. Comme indiqué dans le rapport publié [70], le matériau prélevé consiste en un mélange de particules formant des touffes sombres qui ressemblent à de la matière végétale, comprenant des feuilles, des graines et des peaux de fruits, mélangées à des cendres volantes de charbon et du sel.

 

La figure 9 montre des trous quasi circulaires (appelés « trous de cryoconite») observés dans le monde entier à la surface des glaciers, et qui ressemblent au matériau de la substance prélevée. En raison de sa couleur foncée, la cryoconite naturelle - poussière soufflée par le vent, composée de particules de roche, de suie et de microbes - absorbe la lumière du soleil et fait fondre la glace des glaciers. La ressemblance entre la cryoconite et la substance tombée pendant le largage m'a amené à conclure que le matériau artificiel récolté est une pseudo-cryoconite ou proto-cryoconite, dont je présume que le but est de faire fondre la glace polaire et d'aggraver le réchauffement climatique.

Beaucoup de temps et d'argent ont été, sans aucun doute, investis dans le développement de la pseudo ou proto-cryoconite et dans sa technologie d'application cachée. C'est clairement l'indication d'une application à grande échelle, probablement pour faire fondre la glace polaire et aggraver le réchauffement climatique. Cette intention présumée correspond bien aux pulvérisations aériennes observées, presque dans le monde entier, presque chaque jour, de particules dans la troposphère, dont les preuves publiées indiquent qu'il s'agit principalement de cendres volantes de charbon qui font fondre la glace polaire et augmentent le réchauffement climatique.

 

8. REMISE EN QUESTION DE L’OBJECTIVITE ET DE L’INTENTION DES MODELES CLIMATIQUES

 

La figure 10 à partir de [71] est une représentation du changement de température à l'échelle mondiale et du CO2 à partir des données de l'Administration Océanique et Atmosphérique des Etats-Unis (NOAA) et ses calculs modélisés. Ce type de représentation est bien connu des experts de l'évaluation du modèle climatique du GIEC et des scientifiques du climat. Au cours des dernières décennies, l'augmentation des valeurs de température et de dioxyde de carbone est donnée par le GIEC comme conséquence principale de la combustion anthropique de carbone-combustible, produisant des gaz à effet de serre qui piégeront et conserveront la chaleur qui sinon serait renvoyée dans l'espace. Mais il y existe de bonnes raisons de remettre en question ces affirmations.

 

Figure 9. En haut à gauche: Répartition de l’échantillon; en haut à droite: Répartition de trous de Cryoconite dans le glacier; en bas à gauche: Echantillons de Pseudo- ou Proto-Cryoconite tombés du ciel; en bas à droite : Cryoconite naturelle. Adapté de [70].

 

 

 

 

 

Figure 10. La série chronologique de valeurs annuelles globales des anomalies de la température moyenne (barres rouges et bleues) en degrés Celsius et concentrations de dioxyde de carbone à Mauna Loa, toutes deux fournies par la NOAA. Les données sont relatives à une base de référence des valeurs du XX ème siècle. À partir de [71].

 

Les contributions anthropiques provenant de l'utilisation des combustibles fossiles et, en particulier, le taux croissant d'utilisation des avions à réaction ne peuvent être niées, mais ces contributions sont significatives seulement si les contributions endogènes de la Terre et les contributions secrètes de la géo-ingénierie sont ignorées. Les apports accrus de chaleur aux océans du fait de l'activité volcanique, à en juger par des estimations publiées, ne suffisent pas à expliquer l'augmentation des températures océaniques près de la surface. Dans les limites des données existantes, on ne peut estimer de manière fiable les contributions atmosphériques accrues du CO2 volcanique et du CO2 libéré par le volcanisme sous-marin croissant qui réchauffe l'océan et contribue ainsi à réduire la solubilité du CO2 dans les océans. Mais peut-être la contribution la plus importante au réchauffement climatique et dont on ne tient pas compte, est la suivante: Les modélisateurs du GIEC et les modèles climatiques des scientifiques ignorent totalement le réchauffement climatique dû à la géo-ingénierie troposphérique secrète en cours depuis les années 1960 et qui s'est accélérée en fréquence, en intensité et en ampleur depuis les années 1990. Si les modélisateurs du climat ne tiennent pas compte de cette géo-ingénierie troposphérique, vieille de décennies, leurs estimations resteront incomplètes et peu fiables.

 

Malheureusement, les institutions gouvernementales ont été cooptées pour soutenir le soi-disant programme de réchauffement climatique anthropique de gaz à effet de serre. Le 4 février 2017, le Daily Mail (Royaume-Uni) a signalé que l’America’s National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) avait violé ses propres règles d'intégrité scientifique en publiant un rapport sensationnel mais défectueux visant à avoir un impact maximum sur les leaders mondiaux dont Barack Obama et David Cameron à la conférence des Nations Unies sur le climat à Paris en 2015 [72,73]. Les scientifiques de la NASA et leurs partenaires de NOAA disposent des données climatiques défectueuses; ce n'est qu'un épisode d'une longue série, dont certains ont été dénoncés par des scientifiques critiques et indépendants [74-78].

 

De nombreux scientifiques du climat ont critiqué la NASA GISS (Institut Goddard pour les études spatiales) ces dernières années pour avoir systématiquement affirmé que les températures mondiales seraient significativement plus élevées que celles rapportées par d'autres scientifiques; pour employer des personnels qui se font les avocats de ces théories plutôt que de se conduire en scientifiques; pour s’être fait prendre à affirmer que les dernières années ont été plus chaudes que les données indiquées; et pour ne pas avoir été transparents quant à la façon dont ils ont traité les données de température brutes avant de présenter leurs rapports de température « officiels » ajustés [74-78]. Après que le GISS ait attiré fortement l'attention des médias en revendiquant que le mois d’octobre 2008 avait été le plus chaud de l'histoire, un certain nombre de «sceptiques» du réchauffement climatique, soupçonnant une fraude, ont examiné les données eux-mêmes et ont rapidement découvert que la NASA et ses partenaires de la NOAA avaient inclus les données de température de Russie de septembre 2008 dans l'ensemble de données de température russes d'octobre, ce qui rendait le mois d’octobre anormalement chaud pour la saison [79].

 

9. CONCLUSIONS

 

Les modèles climatiques évalués par le GIEC reposent sur les hypothèses selon lesquelles: (1) La chaleur dérivée du Soleil serait constante; (2) La chaleur provenant de l'intérieur de la Terre serait constante; Et (3) Les contributions anthropiques au réchauffement atmosphérique proviendraient principalement de la rétention de chaleur par le CO2 et d'autres gaz à effet de serre.

 

Les preuves géophysiques de l'activité sismique variable et les preuves géologiques du volcanisme sous-marin variable présentées ici indiquent que la chaleur ajoutée aux océans est variable. Les occurrences croissantes de tremblements de terre de magnitudes ≥6 et ≥7 en 1973-2015 indiquent que l'activité volcanique augmente et que, par conséquent, la chaleur terrestre ainsi que les apports de CO2 d'origine volcanique augmentent. En outre, l'augmentation des apports de chaleur à l'océan diminue la solubilité du CO2 dans l'eau de mer, ce qui libère du CO2 supplémentaire dans l'atmosphère. À la lumière de ces processus géophysiques changeant, il conviendrait vraiment de tenir compte de leurs contributions potentielles aux augmentations actuellement observées du CO2 atmosphérique. Dans tous les cas, depuis 1973, le taux en augmentation des grands tremblements de terre est supérieur au taux en augmentation des apports atmosphériques de dioxyde de carbone. En outre, l'augmentation de l'activité volcanique sous-marine implique une augmentation de l'acidification des océans, bien que les données soient insuffisantes pour faire des estimations quantitatives.

 

La validité des évaluations et des analyses du GIEC dépend de manière critique de tous les processus potentiels qui affectent matériellement l'équilibre thermique de la Terre. Les membres de la communauté scientifique, y compris les scientifiques du GIEC, ont néanmoins fermé les yeux sur la géo-ingénierie troposphérique en cours, laquelle a débuté dans les années 1960 et, au cours des huit dernières années, a été poussée à un plein régime opérationnel de façon presque quotidienne, à une échelle quasi mondiale. Des particules dispersées dans la troposphère, sous forme de cendres volantes de charbon, inhibent les précipitations, réchauffent l'atmosphère et aggravent le réchauffement climatique. Les preuves obtenues à partir d'un largage aérien accidentel d'un matériau modifié indiquent qu'il existe la volonté de faire fondre la glace polaire et ainsi d'amplifier le réchauffement climatique. En ignorant la géo-ingénierie troposphérique en cours, les évaluations climatiques du GIEC ainsi que l'autorité morale des Nations Unies sont compromises.

 

On doit fournir des réponses à beaucoup de questions. Étant donné que la NOAA et la NASA sont les principales sources de données utilisées dans les modèles et les estimations climatiques et qu’apparemment ils participent à l'activité globale de géo- ingénierie troposphérique, leurs données sont-elles objectives? En effet, dans quels buts pulvériser une substance toxique dans l'air que nous respirons presque quotidiennement à l'échelle mondiale ? Il n’y a aucun doute que ceux qui sont étroitement liés à l'opération savent que cela provoque le réchauffement climatique et la fonte de la glace polaire. Les dirigeants gouvernementaux se rendent-ils compte que l'intention de ces déploiements clandestins de géo-ingénierie est de causer le réchauffement climatique? Ou les dirigeants ont-ils été trompés, leur a-t-on raconté que la pulvérisation d'aérosols troposphériques était destinée à prévenir le réchauffement climatique? Est-ce fait pour accéder au pétrole et à d'autres ressources naturelles sous la glace polaire? La géo- ingénierie troposphérique est-elle destinée à provoquer le réchauffement climatique et à permettre aux Nations-Unies de contrôler les principaux éléments de l'économie de chaque nation souveraine ? A moins que d’autres motifs plus sinistres soient impliqués? Les militaires cherchent depuis 1947, à utiliser le climat comme arme de guerre, mais à quel prix pour la santé humaine et environnementale? Qu'a-t-on dit aux dirigeants pour qu’ils acceptent un programme qui n'est rien moins qu'une guerre contre la planète Terre? Qui en bénéficie? Pourquoi les scientifiques font-ils la promotion d’une future géo-ingénierie alors qu'ils savent ou doivent certainement savoir que la géo-ingénierie troposphérique est en cours depuis des décennies dans le monde entier?

 

Pour le bien de l'humanité, du biote et de l'environnement de la Terre, on doit répondre à ces questions sincèrement et publiquement.

 

REFERENCES

 

1. http://www.ipcc.ch/report/ar5/. Accessed March 21, 2017.

2. Vaughan, N.E.; Lenton, T.M. A review of climate geoengineering proposals. Climate Change 2011, 109, 748-790.

3. Goldblatt, C.; Watson, A.W. The runaway greenhouse: Implications for future climate change, geoengineering and planetary atmospheres. Phil. Trans. R. Soc. Lond. A 2012, 370, 4197-4216.

4. Box, G.E.P. Empirical model-building and response surfaces. Wiley: 1987.

5. Abdussamatov, H.I. The sun defines the climate. Russian journal "Nauka i Zhizn" ("Science and Life") 2008, 1, 34-42.

6. Abdussamatov, H.I. Grand minimum of the total solar irradiance leads to the little ice age. Geol. Geosci. 2013, 2, 1-10.

7. Le Grand, H.E. Drifting continents and shifting theories. Cambridge University Press: Cambridge, UK, 1988.

8. Herndon, J.M. Corruption of Science in America. The Dot Connector 2011. http://www.nuclearplanet.com/corruption.pdf. Accessed March 21, 2017.

9. Oldham, R.D. The constitution of the interior of the earth as revealed by earthquakes. Q. T. Geol. Soc. Lond. 1906, 62, 456-476.

10. Lehmann, I. P'. Publ. Int. Geod. Geophys. Union, Assoc. Seismol., Ser. A, Trav. Sci. 1936, 14, 87-115.

11. Birch, F. The transformation of iron at high pressures, and the problem of the earth's magnetism. Am. J. Sci. 1940, 238, 192-211.

12. Herndon, J.M. The nickel silicide inner core of the earth. Proc. R. Soc. Lond 1979, A368, 495-500.

13. Hirose, K.; Morard, G.; Sinmyo, R.; Umemoto, K.; Hernlund, J.; Helffrich, G.; Labrosse, S. Crystallization of silicon dioxide and compositional evolution of the earth’s core. Nature 2017, 543, 99-102.

14. Herndon, J.M. The chemical composition of the interior shells of the earth. Proc. R. Soc. Lond 1980, A372, 149-154.

15. Herndon, J.M. The object at the centre of the earth. Naturwissenschaften 1982, 69, 34-37.

16. Herndon, J.M. Composition of the deep interior of the earth: Divergent geophysical development with fundamentally different geophysical implications. Phys. Earth Plan. Inter 1998, 105, 1-4.

17. Herndon, J.M. Feasibility of a nuclear fission reactor at the center of the earth as the energy source for the geomagnetic field. J. Geomag. Geoelectr. 1993, 45, 423-437.

18. Herndon, J.M. Planetary and protostellar nuclear fission: Implications for planetary change, stellar ignition and dark matter. Proc. R. Soc. Lond 1994, A455, 453-461.

19. Herndon, J.M. Sub-structure of the inner core of the earth. Proc. Nat. Acad. Sci. USA 1996, 93, 646-648.

20. Herndon, J.M. Terracentric nuclear fission georeactor: Background, basis, feasibility, structure, evidence and geophysical implications. Curr. Sci. 2014, 106, 528-541.

21. Hollenbach, D.F.; Herndon, J.M. Deep-earth reactor: Nuclear fission, helium, and the geomagnetic field. Proc. Nat. Acad. Sci. USA 2001, 98, 11085-11090.

22. Herndon, J.M. Nuclear georeactor origin of oceanic basalt 3He/4He, evidence, and implications. Proc. Nat. Acad. Sci. USA 2003, 100, 3047-3050.

23. Herndon, J.M. Nuclear georeactor generation of the earth's geomagnetic field. Curr. Sci. 2007, 93, 1485-1487.

24. Herndon, J.M. Nature of planetary matter and magnetic field generation in the solar system. Curr. Sci. 2009, 96, 1033-1039.

25. Herndon, J.M. Geodynamic basis of heat transport in the earth. Curr. Sci. 2011, 101, 1440-1450.

26. Herndon, J.M. Solar system processes underlying planetary formation, geodynamics, and the georeactor. Earth, Moon, and Planets 2006, 99, 53-99.

27. Herndon, J.M.; Suess, H.E. Can enstatite meteorites form from a nebula of solar composition? Geochim. Cosmochim. Acta 1976, 40, 395-399.

28. Herndon, J.M. New indivisible planetary science paradigm. Curr. Sci. 2013, 105, 450-460.

29. Herndon, J.M. Whole-earth decompression dynamics. Curr. Sci. 2005, 89, 1937-1941.

30. Herndon, J.M. Energy for geodynamics: Mantle decompression thermal tsunami. Curr. Sci. 2006, 90, 1605-1606.

31. Herndon, J.M. A new basis of geoscience: Whole-earth decompression dynamics. New Concepts in Global Tectonics 2013, 1, 81-95.

32. Herndon, J.M. Origin of mountains and primary initiation of submarine canyons: The consequences of earth’s early formation as a jupiter-like gas giant. Curr. Sci. 2012, 102, 1370-1372.

33. Herndon, J.M. New concept for the origin of fjords and submarine canyons: Consequence of whole-earth decompression dynamics. Journal of Geography, Environment and Earth Science International 2016, 7, 1-10.

34. Herndon, J.M. New concept on the origin of petroleum and natural gas deposits. J Petrol Explor Prod Technol 2016, 6, 1-12.

35. Benfield, A.F. Terrestrial heat flow in great britain. Proc. R. Soc. Lond 1939, Ser A 173, 428-450.

36. Bullard, E.C. Heat flow in south africa. Proc. R. Soc. Lond 1939, Ser. A 173, 474-502.

37. Bullard, E. The flow of heat through the floor of the atlantic ocean. Proceedings of the Royal Society of London. Series A. Mathematical and Physical Sciences 1954, 222, 408-429.

38. Korenaga, T.; Korenaga, J. Evolution of young oceanic lithosphere and the meaning of seafloor subsidence rate. Journal of Geophysical Research: Solid Earth 2016, 121, 6315-6332.

39. Jaupart, C.; Mareschal, J.-C.; Iarotsky, L. Radiogenic heat production in the continental crust. Lithos 2016, 262, 398-427.

40. Kellogg, L.H.; Hager, B.H.; van der Hilst, R.D. Compositional stratification in the deep mantle. Science 1999, 283, 1881-1884.

41. Shearer, P.M.; Stark, P.B. Global risk of big earthquakes has not recently increased. Proc. Nat. Acad. Sci. USA 2012, 109, 717-721.

42. Bijwaard, H.; Spakman, W. Tomographic evidence for a narrow whole mantle plume below iceland. Earth Planet. Sci. Lett. 1999, 166, 121-126.

43. Nataf, H.-C. Seismic imaging of mantle plumes. Ann. Rev. Earth Planet. Sci. 2000, 28, 391-417.

44. Mjelde, R.; Faleide, J.I. Variation of icelandic and hawaiian magmatism: Evidence for co-pulsation of mantle plumes? Mar. Geophys. Res. 2009, 30, 61-72.

45. Mjelde, R.; Wessel, P.; Müller, D. Global pulsations of intraplate magmatism through the cenozoic. Lithosphere 2010, 2, 361-376.

46. Darwin, C. On the connexion of certain volcanic phenomena in south america; and on the formation of mountain chains and volcanos, as the effect of the same power by which continents are elevated. Geol. Soc. Lond. Trans. 1840, 2, 601-632.

47. Walter, T.R.; Amelung, F. Volcano-earthquake interaction at mauna loa volcano, hawaii. J. Geophys. Res. 2006, 111.

48. Nostro, C.; Setein, R.S.; Cocco, M.; Belardinelli, M.E.; Marzocchi, W. Two-way coupling between vesuvius eruptions and southern apennine earthquakes, italy, by elastic stress transfer. J. Geophys. Res. 1998, 103, 24487-24504.

49. Lawson, C.; Lazarus, M.E. U.S. Geological survey open file report 98-507-b; U. S. Geological Survey: Menlo Park, CA, USA, 2002.

50. http://earthquake.usgs.gov/earthquakes/search/. Accessed March 21, 2017.

51. Cheng, L.; Trenberth, K.E.; Fasullo, J.; Boyer, T.; Abraham, J.; Zhu, J. Improved estimates of ocean heat content from 1960 to 2015. Science Advances 2017, 3.

52. Wilson, B.M. Igneous petrogenesis a global tectonic approach. Springer: The Netherlands, 2007.

53. Al-Anezi, K.; Hilal, N. Scale formation in desalination plants: Effect of carbon dioxide. Desalination 2007, 204, 385-402.

54. Weiss, R.F. Carbon dioxide in water and seawater: The solubility of a non-ideal gas. Mar. Chem. 1974, 2, 203-215.

55. Weiss, R.F. The solubility of nitrogen, oxygen and argon in water and seawater. Deep-Sea Res. 1970, 17, 735.

56. Resing, J.A.; Sansone, F.J. The chemistry of lava–seawater interactions: The generation of acidity. Geochem. Cosmochem. Acta 1999, 63, 2183-2198.

57. Santana-Casiano, J.M.; Gonza´lez-Da´vila, M.; Fraile-Nuez, E.; de Armas, D.; Gonza´lez, A.G.; Domı´nguez-Yanes, J.F.; Esca´ne, J. The natural ocean acidification and fertilization event caused by the submarine eruption of el hierro. Sci. Rep. 2013, 3, 1140.

58. ftp://ftp.cmdl.noaa.gov/ccg/co2/trends/co2_annmean_mlo.txt. Accessed March 21, 2017.

59. Tolstoy, M. Mid-ocean ridge eruptions as a climate valve. Geophys. Res. Lett. 2015, 42, 1346-1351.

60. Jouzel, J., et al. Orbital and millennial antarctic climate variability over the last 800,000 years. Sci. 2007, 317, 793-796.

61. Lüthi, D., et al. High-resolution carbon dioxide concentration record 650,000-800,000 years before present. Nature 2008, 453, 379-382.

62. Bruintjes, R.T. A review of cloud seeding experiments to enhance precipitation and some new prospects. Bull. Am. Meterol. Soc. 1999, 80, 805-820.

63. Herndon, J.M. Adverse agricultural consequences of weather modification. AGRIVITA Journal of agricultural science 2016, 38, 213-221.

64. http://www.nuclearplanet.com/websites.pdf. Accessed March 21, 2017.

65. http://www.nuclearplanet.com/USAF.pdf. Accessed April 17, 2017.

66. Herndon, J.M.; Whiteside, M. Further evidence of coal fly ash utilization in tropospheric geoengineering: Implications on human and environmental health. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn. 2017, 9, 1-8.

67. Herndon, J.M. Aluminum poisoning of humanity and earth's biota by clandestine geoengineering activity: Implications for india. Curr. Sci. 2015, 108, 2173-2177.

68. Herndon, J.M. Obtaining evidence of coal fly ash content in weather modification (geoengineering) through analyses of post-aerosol spraying rainwater and solid substances. Ind. J. Sci. Res. and Tech. 2016, 4, 30-36.

69. Bertell, R. Planet earth, the latest weapon of war: A critical study into the military and the environment. The Women's Press: London, 2000.

70. Herndon, J.M. An indication of intentional efforts to cause global warming and glacier melting. J. Geography Environ. Earth Sci. Int. 2017, 9, 1-11.

71. Yan, X.-H.; Boyer, T.; Trenberth, K.; Karl, T.R.; Xie, S.-P.; Nieves, V.; Tung, K.-K.; Roemmich, D. The global warming hiatus: Slowdown or redistribution? Earth's Future 2016, 4, 472-482.

72. http://www.Telegraph.Co.Uk/comment/columnists/christopherbooker/6679082/climate-change-this-is-the-worst-scientific-scandal-of-our-generation.html. Accessed March 21, 2017.

73. http://www.Washingtontimes.Com/news/2017/feb/5/climate-change-whistleblower-alleges-noaa-manipula/. Accessed March 21, 2017.

74. https://www.Forbes.Com/sites/larrybell/2011/07/19/nasas-inconvenient-ruse-the-goddard-institute-for-space-studies/#2b315d0a6963. Accessed March 21, 2017.

75. https://climateaudit.org/2010/12/26/nasa-giss-adjusting-the-adjustments/. Accessed March 21, 2017.

76. http://www.cnsnews.com/news/article/barbara-hollingsworth/german-scientist-accuses-nasa-massive-alteration-temperature. Accessed March 21, 2017.

77. https://wattsupwiththat.Com/2013/01/18/hansens-nasa-giss-cooling-the-past-warming-the-present/. Accessed March 21, 2017.

78. http://www.dailymail.co.uk/news/article-2915061/nasa-climate-scientists-said-2014-warmest-year-record-38-sure-right.html. Accessed March 21, 2017.

79. https://wattsupwiththat.com/2008/11/10/giss-releases-october-2008-data/. Accessed March 21, 2017.

80. Fleming, J.R. Fixing the sky: The checkered history of weathe and climate control. Columbia University Press: New York, 2010.

 

Voir les commentaires

Destruction intentionnelle de la vie sur Terre

7 Août 2021, 17:47pm

Publié par Ciel Voilé

Advances in Social Sciences Research Journal – Vol. 8, No. 7

Publication Date: July 25, 2021

DOI:10.14738/assrj.87.10597.

___________________________________________________________________________________________________________

Herndon, J. M., & Whiteside, M. (2021). Intentional Destruction of Life on Earth. Advances in Social Sciences Research Journal, 8(7). 295-309. Services for Science and Education – United Kingdom

 

Destruction intentionnelle de la vie sur Terre


J.Marvin Herndon, Ph.D.
Transdyne Corporation, San Diego, Californie, USA
Mark Whiteside, M.D., M.P.H.
Département de la santé de Floride, comté de Monroe, Key West Floride, États-Unis

 

https://journals.scholarpublishing.org/index.php/ASSRJ/article/view/10597

 


Le titre pourrait laisser penser qu'il s'agit d'un ouvrage de fiction sur une invasion venue de l'espace. Faux. Il s'agit d'un récit véridique d'enquêtes scientifiques et médicales médico-légales d'une activité manifeste quasi-mondiale, quasi quotidienne, dont la nature et l'intention réelles sont dissimulées dans le secret et la désinformation.


Toute personne ayant un lien profond avec la nature peut voir à quel point le monde naturel souffre. Fini les forêts et les collines verdoyantes, les ciels bleus et clairs, les nuits étoilées et la galaxie de la Voie lactée clairement visible. Les champs et les bords de route ne sont plus animés par la vie des insectes et chaque migration de printemps et d'automne apporte de moins en moins d'oiseaux. Un rocher renversé qui autrefois révélait une communauté entière d'organismes vivants est maintenant stérile. La chaleur de l'été est devenue insupportable, et vous pouvez sentir les brûlures du soleil sur votre peau. Les forêts disparaissent et les arbres restants affichent un feuillage clairsemé, avec des troncs et des branches brûlés et endommagés par le soleil et les incendies. Les récifs coralliens meurent partout, et les océans sont gravement pollués et remplis d'algues nocives. Il y a une désertification généralisée des terres et une pollution des eaux de surface de la planète. Quiconque lève les yeux peut voir les terribles traînées chimiques qui s'étendent en éventail pour créer un ciel laiteux bloquant l'éclat du soleil, doit réaliser que nous avons fait un véritable gâchis et que nous avons de sérieux problèmes.


Les plus âgés d'entre nous se souviennent peut-être avec tendresse des images passées d'une nature intacte. La richesse et la diversité de la vie sur Terre disparaissent à une vitesse incroyable. Au-delà de l'explosion de l'extinction des espèces, on assiste à un déclin massif des populations de plantes et d'animaux, avec des effets en cascade sur les écosystèmes nécessaires à la poursuite de notre existence [1]. Les activités humaines ont détruit plus des deux tiers de la vie sauvage mondiale au cours des cinquante dernières années seulement [2, 3]. et aucune fin n'est en vue. Peu de scientifiques ont trouvé le courage de tirer la sonnette d'alarme quant à notre situation désastreuse [4] et encore moins parmi eux réalisent que la crise environnementale actuelle est en grande partie délibérément provoquée.


En 1962, Rachel Carson [5] a publié « Printemps silencieux » pour alerter le public sur les effets environnementaux dévastateurs du pesticide DDT et d'autres produits chimiques toxiques, les fabricants mentant sur leur innocuité. « Printemps silencieux », largement lu en partie parce qu'il a été publié en feuilletons dans le New Yorker et sélectionné comme le livre du mois en octobre, a commencé à ouvrir les yeux du public sur les dangers que ces produits chimiques représentent pour l'environnement. Des citoyens inquiets sont devenus militants de l'environnement, certains formant des organisations pour éduquer, politiser et plaider pour un environnement propre et sain.

Pendant des décennies, les organisations environnementales ont récolté d'importantes sommes d'argent du public, ainsi que des fondations et des agences gouvernementales. Aujourd'hui, en 2021, non seulement l'environnement est incommensurablement dans un état pire qu'il ne l'était en 1962, mais nous sommes déjà entrés dans une phase incontestable d'effondrement de la biosphère. L'herbicide glyphosate [6] est le DDT du 21ème siècle, et ce n'est pas tout. A l'insu de tous, sauf de quelques citoyens éclairés, la dégradation et la ruine délibérée de l'environnement ont été institutionnalisées secrètement au niveau international. Même lorsqu'elles sont portées à l'attention des grands médias, des élus, des agences gouvernementales, des académies scientifiques nationales, des organisations environnementales, des éditeurs médicaux -
pour n'en citer que quelques-uns - ces organisations refusent de reconnaître toute preuve de l'attaque intentionnelle sur notre environnement mondial. Pire encore, il y a des tentatives délibérées de tromper le public sur les risques concomitants pour la santé posés par une telle activité délibérée et ruineuse.


Dans la même décennie que la publication de « Printemps silencieux », les humains se sont aventurés pour la première fois dans l'espace et ont vu la Terre comme une île dans le grand vide de l'espace. De cette vision est née la conscience que notre planète est la seule du système solaire capable d'accueillir la vie humaine. Au début des années 1970, James Lovelock et Lynn Margulis [7-9] ont coécrit l'hypothèse Gaïa, comparant la Terre à un biome composé d'un grand réseau de processus physiques et biologiques en interaction.
 


La vie sur Terre est périlleuse même sans activité humaine néfaste.Dans le passé géologique, il y a eu au moins cinq épisodes majeurs d'extinction d'espèces à grande échelle [10]. Les catastrophes naturelles représentent à elles seules de grands risques pour l'humanité, notamment les tremblements de terre, les éruptions volcaniques, les incendies de forêt, les tempêtes et les changements dans le champ magnétique terrestre qui peuvent avoir des répercussions sur la santé humaine, qui augmentent potentiellement les menaces de l'attaque du vent solaire. Néanmoins, les interactions par et entre une myriade de processus physiques et biologiques naturels ont rendu la vie possible sur cette planète depuis plusieurs milliards d'années. Cet équilibre complexe et délicat de la nature est aujourd'hui menacé par l'intervention de l'homme qui, si elle n'est pas contrôlée, conduira presque certainement à à l'extinction de l'Homo sapiens.

 

Le défi pour l'humanité est double : D'une part, les humains doivent devenir de bons gardiens de leur unique planète, en vivant et en travaillant de manière harmonieuse et non toxique avec leur environnement naturel. Beaucoup de choses ont été écrites à ce sujet, mais peu de progrès ont été réalisés [11-13]. A un autre niveau, les humains doivent prendre conscience et mettre un terme aux actions délibérées et secrètes qui visent à détruire l'environnement naturel à des fins politiques. C'est là l'objet de cette étude.

 

Depuis les années 1990 au moins, des citoyens inquiets ont commencé à remarquer des traînées blanches qui s'étendaient dans le ciel et l'assombrissaient, s'étalant rapidement pour ressembler à des cirrus avant de former une brume blanche. Au fil du temps, ces traînées blanches créées par les avions à réaction sont devenues plus fréquentes et ont été observées sur des régions géographiques plus vastes. En 2012, ces traînées étaient devenues un phénomène quasi quotidien et quasi mondial.(Figure 1)

Figure 1. D'après [14]. Traînées de particules délibérément dispersées par avion, dans le sens des aiguilles d'une montre, à partir du haut à gauche : San Diego, Californie (USA) ; Karnack (Egypte) ; Londres (Angleterre) ; Danby, Vermont (USA) ; Luxembourg (Luxembourg) ; Jaipur (Inde).

Figure 1. D'après [14]. Traînées de particules délibérément dispersées par avion, dans le sens des aiguilles d'une montre, à partir du haut à gauche : San Diego, Californie (USA) ; Karnack (Egypte) ; Londres (Angleterre) ; Danby, Vermont (USA) ; Luxembourg (Luxembourg) ; Jaipur (Inde).

Les citoyens concernés avaient de nombreuses questions : Quelles substances étaient pulvérisées par avion pour former les traînées ? Pourquoi faisait-on cela ? Quels étaient les risques pour la santé humaine et l'environnement ? Quelle était la justification légale ? Les enquêtes menées auprès des autorités ont inévitablement donné lieu à la même réponse. A savoir qu'il s'agit de traînées de condensation, des cristaux de glace inoffensifs provenant de l'humidité des gaz d'échappement des avions. [15]. C'est absurde ! Les traînées laissées par les avions, que certains appellent chemtrails, se comportent très différemment des traînées de condensation [16].

 

Les traînées de condensation de cristaux de glace ont tendance à persister pendant plus de quelques secondes (ou parfois quelques minutes) uniquement s'il y a beaucoup d'humidité dans les gaz d'échappement de l'avion et que l'atmosphère ambiante est à la fois froide et humide. En général, surtout avec les moteurs à réaction modernes, les cristaux de glace provenant des gaz d'échappement s'évaporent assez rapidement pour devenir un gaz invisible, ne restant pas sous forme de brume pour disperser la lumière du soleil.

Des observations supplémentaires et des mesures scientifiques démontrent de manière tout à fait concluante que les chemtrails ne sont pas des contrails [17].

 

Comme de nombreux citoyens concernés, nous voulions nous aussi des réponses sur le phénomène des chemtrails, et nous avons réalisé que nous recevions des informations fausses ou trompeuses de la part des différentes autorités. Nous étions très préoccupés par le fait que les communautés scientifiques et médicales des États-Unis, des nations du Commonwealth britannique, et de l'Union européenne aient fermé les yeux sur la pollution atmosphérique provoquée par les avions à réaction. Il est clair que quelque chose n'allait pas du tout et pouvait être dévastateur à l'échelle mondiale.

 

Entre-temps, des citoyens inquiets ont prélevé des échantillons d'eau de pluie après les pulvérisations par avion, analysés dans des laboratoires commerciaux et ont publié les résultats sur Internet. La plupart des individus n'ont demandé que des analyses d'aluminium, certains ont également demandé du baryum, tandis que quelques-uns ont demandé des analyses d'aluminium, de baryum et de strontium. En réponse à ces résultats, une explication largement publiée, vraisemblablement faite pour tromper ou induire en erreur les gens, est que les chemtrails seraient composés d'oxydes et/ou de sulfates d'aluminium, de baryum et de strontium, qui seraient des substances relativement inoffensives car elles seraient pratiquement insolubles dans l'eau. Cette explication, cependant, est contraire aux données analytiques évaluées par les pairs qui montrent que l'aluminium, le baryum et le strontium sont en fait dissous dans l'eau de pluie !

 

Une substance en poudre inconnue, pulvérisée secrètement par avion dans la basse atmosphère (troposphère), produit des chemtrails. Cette substance réagit avec l'humidité, provoquant l'extraction de certains de ses éléments chimiques dans l'eau atmosphérique. Mais quelle substance ? Pulvérisée par qui ? Et pourquoi ? De toute évidence, il fallait faire appel à la science médico-légale, c'est-à-dire au travail de détective scientifique.

 

Il est rapidement apparu que plusieurs millions de tonnes de cette substance inconnue étaient pulvérisées par avion dans l'atmosphère chaque année, mais il n'y avait pas de sources évidentes pour de telles quantités massives de polluants en aérosol, aucune installation de production évidente. Pourtant, quelque part, une production à grande échelle devait avoir lieu. La substance inconnue devait contenir de l'aluminium - trouvé à plusieurs reprises dans tous les échantillons d'eau de pluie prélevés - et n'était clairement pas un produit naturel, comme le sable du désert, parce que l'aluminium de la surface de la Terre est généralement combiné chimiquement, lié étroitement à l'oxygène et n'est pas un produit naturel et ne se dissout pas dans l'eau de pluie.

 

Dans toute la littérature scientifique universitaire, on trouve de nombreuses références à un déchet toxique produit par la combustion industrielle du charbon, appelé cendres volantes de charbon [18-20]. La production mondiale annuelle de cendres volantes de charbon déclarée en 2014 était de 130 millions de tonnes métriques [21]. Cela pourrait constituer un approvisionnement suffisant pour pulvériser par avion sous forme d'aérosols à l'échelle observée. Notamment, les expériences d'un laboratoire espagnol ont été menées en 2005, en mélangeant des cendres volantes de charbon à de l'eau distillée pendant 24 heures. Les résultats ont montré qu'au moins 38 éléments étaient partiellement dissous dans l'eau [22]. Les éléments dissous étaient l'aluminium, le baryum et le strontium. Bingo !

 

En réponse à un appel urgent lancé par des scientifiques indiens en 2015 [23] pour obtenir de l'aide afin de comprendre l'association géologique entre l'aluminium hautement mobile et la santé humaine dans la plaine alluviale du Gange, l'un d'entre nous (JMH) a montré [24] que des paires d'éléments affichées sur Internet, aluminium/baryum et strontium/baryum mesurées dans l'eau de pluie étaient similaires aux paires d'éléments correspondants extraits dans l'eau à partir de cendres volantes de charbon dans les expériences menées par des scientifiques espagnols. Publié en 2015, l'article de Current Science était le premier article de la littérature scientifique qui non seulement mentionnait les "chemtrails" mais fournissait les premières preuves scientifiques que les cendres volantes de charbon toxiques étaient la principale substance pulvérisée dans la basse atmosphère pour produire les chemtrails.

 

La meilleure preuve de l'exactitude de l'article de Current Science a peut-être été la demande immédiate de rétractation adressée non seulement à ce journal, mais peu après à deux journaux de santé publique qui avaient également examiné et publié les travaux ultérieurs de Herndon sur les effets néfastes sur la santé des cendres volantes de charbon délibérément aérosolisées. Dans ces derniers cas, les éditeurs américains ont rétracté les articles sans permettre à l'auteur de voir ou de répondre aux plaintes [25]. Un tel comportement est scandaleux. Seul environ 1 article scientifique sur 15 000 publiés et évalués par des pairs est rétracté, et ce uniquement après que les auteurs aient été confrontés aux allégations d'actes répréhensibles et qu'ils aient eu la possibilité de répondre aux plaintes et allégations d'actes répréhensibles et qu'ils ont eu la possibilité de se défendre.

 

Les efforts concertés visant à supprimer les publications mettant en garde contre les risques pour la santé publique des cendres volantes de charbon pulvérisées par avion étaient une indication claire de la nécessité d'agir, indiquent clairement que ceux qui commandent ou participent aux opérations de pulvérisation par avion connaissent les risques pour la santé et veulent les cacher.

 

Ce n'était qu'un début. Il restait encore beaucoup de travail de détective scientifique à faire. C'est à ce moment que les auteurs actuels (JMH et MW) ont commencé à collaborer pour rassembler les connaissances scientifiques et médicales dans une enquête et un cadre médico-légaux plus complets. Avec des associés occasionnels, nous avons commencé un certain nombre d'enquêtes scientifiques et médicales. Comme décrit dans cet article, les découvertes que nous avons faites fournissent des preuves irréfutables de la pollution massive de notre atmosphère par les cendres volantes de charbon et montrent comment elles modifient l'environnement physique de notre planète au détriment de toute forme de vie, notamment leurs effets dévastateurs sur pratiquement toutes les formes de vie, y compris humaine. De plus, nous avons découvert le plus grand secret de tous, le prétexte "légal" et la véritable intention de la modification de l'environnement.

 

Non contents d'utiliser les analyses d'eau de pluie postées sur Internet, nous avons personnellement collecté ou organisé la collecte et l'analyse commerciale d'échantillons d'eau de pluie et de neige après épandage. Les résultats d'analyse de 10 paires d'éléments sont présentés dans la figure 2, ainsi que les paires d'éléments affichées sur Internet mentionnées précédemment.

 

Figure 2. Extrait de [26], montrant la similitude entre des rapports d'éléments mesurés dans l'eau de pluie et la neige et la gamme des rapports d'éléments comparables mesurés dans le lixiviat de laboratoire des expériences avec l'eau [22, 27].

Figure 2. Extrait de [26], montrant la similitude entre des rapports d'éléments mesurés dans l'eau de pluie et la neige et la gamme des rapports d'éléments comparables mesurés dans le lixiviat de laboratoire des expériences avec l'eau [22, 27].

Des flocons de neige qui tombent piègent et transportent les particules dispersées dans la basse atmosphère. Le prélèvement d'un échantillon de neige, sa fonte puis son évaporation ont laissé un résidu qui a pu être analysé et comparé à la gamme de valeurs mesurées dans divers échantillons de cendres volantes de charbon (Figure 3) Dans certaines régions, comme le nord des États-Unis et du Canada, la moisissure de la neige se développe parfois sur l'herbe, sous la neige.

sous la neige. Lorsque la neige commence à fondre, les particules qu'elle a piégées sont libérées et peuvent être être piégées à nouveau sur la moisissure de neige sous-jacente. La figure 3 montre également les valeurs analytiques des paires d'éléments provenant d'une moisissure de neige et de particules dispersées par avion et recueillies à l'endroit où elles sont tombées sur une automobile à Encinitas, Californie (USA).

 

Figure 3. D'après [28], comparaison des résultats analytiques avec les gammes  d'échantillons de cendres volantes de charbon européens [22] et américains [27].

Figure 3. D'après [28], comparaison des résultats analytiques avec les gammes d'échantillons de cendres volantes de charbon européens [22] et américains [27].

La pollution de l'air, première cause mondiale de mortalité humaine liée à l'environnement, est un facteur important de maladies non transmissibles. Les cendres volantes de charbon en aérosols, une forme particulièrement dangereuse de pollution atmosphérique, se déversent de nombreuses cheminées en Inde et en Chine. Cependant, les citoyens des États-Unis, du Commonwealth britannique et de l'Union européenne vivent dans un paradis des fous. Ils ont été amenés à croire que les centrales thermiques au charbon de leurs pays piègent cette substance très toxique afin qu'elle ne sorte pas des cheminées et ne pollue pas directement l'air. Elles stockent les précipités de gaz d'échappement comme des déchets solides, mais ensuite les compagnies fournissent subrepticement les cendres volantes du charbon pour qu'elles soient secrètement dispersées par avion, pulvérisées dans l'air que les gens respirent, et profitent en fait de cette activité diabolique.

 

Les cendres volantes de charbon sont donc devenues un cauchemar environnemental toxique composé principalement de minuscules particules sphériques. (Figure 4) Ces particules contiennent des concentrations des éléments chimiques les plus dangereux du charbon, chacun d'entre eux pouvant nuire à l'environnement naturel de nombreuses manières. Par exemple : Les cendres volantes de charbon en aérosols contaminent l'environnement avec du mercure, l'un des

l'un des poisons les plus toxiques connus, qui remonte la chaîne alimentaire [29]. Le chlore des cendres volantes de charbon en aérosols, dispersé dans la haute atmosphère (stratosphère), détruit la

couche d'ozone de la Terre et expose toute la vie à la surface aux rayons ultraviolets mortels du soleil [30]. La contamination de l'environnement par les quantités massives de fer contenues dans les cendres volantes de charbon perturbe l'équilibre délicat du fer dans la nature et dans les organismes du biote exposé [31, 32].

 

Figure 4. D'après [16]. Section polie de cendres volantes de charbon noyée dans de l'époxy.

Figure 4. D'après [16]. Section polie de cendres volantes de charbon noyée dans de l'époxy.

Les particules ultrafines et les nanoparticules des cendres volantes de charbon en aérosols peuvent pénétrer dans la circulation sanguine par le bulbe nasal ou par les alvéoles des poumons. Ces particules peuvent s'accumuler dans le cerveau [33, 34] et dans le cœur [32]. Lorsqu'elles sont exposées aux fluides corporels, les cendres volantes de charbon peuvent libérer une multitude de  produits chimiques toxiques, notamment de l'aluminium neurotoxique et chimiquement mobile, ainsi que des substances cancérigènes telles que l'arsenic, le chrome hexavalent et le plomb. ainsi que les éléments radioactifs des cendres. Les éléments provenant des cendres volantes de charbon peuvent produire de nombreux effets toxiques, notamment une diminution des défenses de l'hôte, une inflammation des tissus, l'altération de l'équilibre redox cellulaire en faveur de l'oxydation et de la génotoxicité, ce qui peut conduire à des maladies pulmonaires chroniques [35], au cancer du poumon [36] et à des maladies neurodégénératives [33].

 

La pollution particulaire a des conséquences négatives multiples et graves sur la santé humaine et l'environnement. Plusieurs éléments de preuve indiquent aujourd'hui que la pollution particulaire est un cofacteur possible de la pandémie de COVID19, en particulier en tant que moyen potentiel de transport du virus ; en tant que cofacteur de l'augmentation de la susceptibilité et de la mortalité, et en diminuant la réponse immunitaire au virus SRAS-CoV-2 [14,37]. L'association de la pollution particulaire à la pandémie de COVID-19 est un signal d'alarme pour l'humanité, qui laisse présager une augmentation encore plus importante de la pollution mondiale par le biais d'une pollution aux particules fines dissimulée.

 

Les humains ne sont pas la seule forme de vie affectée par les cendres volantes de charbon dispersées par les avions à réaction. Les plantes, les arbres et même des forêts entières sont affectés par les chemtrails de cendres volantes de charbon de trois manières principales. Les plantes et les arbres sont endommagés par la sécheresse causée par les chemtrails et empoisonnés par l'aluminium chimiquement mobile ajouté à l'humidité atmosphérique. Ils sont également atteints par l'augmentation des niveaux de rayonnement solaire ultraviolet nocif causée par les chemtrails qui détruisent la couche d'ozone (laquelle protège la vie contre les dangereux rayons ultraviolets). Les vergers et les plantations agricoles sont affectés de manière similaire [38].

 

La manipulation de l'atmosphère à l'aide de cendres volantes de charbon en aérosols est un facteur essentiel de l'étendue et de la gravité des incendies de forêt en Californie et ailleurs; d'autres effets néfastes incluent l'exacerbation de la sécheresse, le dessèchement et le dépérissement des arbres et de la végétation, et le réchauffement artificiel de l'atmosphère et des régions de surface de la Terre [16]. La combustibilité des forêts est accrue par les particules aérosolisées absorbant l'humidité qui endommagent les couches cireuses des feuilles et des aiguilles, réduisant ainsi leur tolérance à la sécheresse. La manipulation du climat par les aérosols de cendres volantes de charbon ou chemtrails augmente considérablement le déclenchement potentiel des feux de forêt par la foudre. Les feux de forêt aggravent considérablement la pollution atmosphérique de base, en émettant des gaz nocifs et des composés organiques volatils, et ils concentrent et réémettent à la fois des éléments toxiques et des nucléides radioactifs sur de vastes zones. Le type de pollution atmosphérique créée par les incendies de forêt est associé à une augmentation de la mortalité toutes causes confondues dans le monde entier, avec un impact plus important sur les maladies respiratoires et cardiovasculaires.

 

Les espèces sauvages subissent un déclin précipité à l'échelle mondiale [1]. Les cendres volantes de charbon en aérosols sont un facteur important dans le déclin catastrophique des populations d'insectes [39], d'oiseaux [28], et de chauves-souris [40]. Les insectes peuvent ingérer et/ou accumuler des cendres volantes de charbon toxiques à la surface de leur corps. que les oiseaux et les chauves-souris insectivores consomment ensuite. Les chemtrails de cendres volantes de charbon perturbent l'environnement naturel, modifient les habitats et ont des effets néfastes sur les cycles de vie naturels, perturbant l'équilibre complexe et délicat qui rend la vie possible sur Terre. Même les milieux marins sont touchés; par exemple, les chemtrails provoquent des changements dans l'équilibre de la communauté planctonique mondiale en faveur d'algues nuisibles et de proliférations de cyanobactéries dans les eaux douces et salées [31].Et les coraux sont endommagés par l'augmentation des niveaux de rayonnement ultraviolet solaire [41].

 

Au fur et à mesure que nous découvrions les multiples conséquences des chemtrails de cendres volantes de charbon sur la santé humaine et l'environnement, une question lancinante demeurait : Pourquoi ? Pourquoi les pulvérisations ont-elles lieu, dans le monde entier, sans relâche, année après année ?

 

Les êtres humains sont des créatures opportunistes. Par exemple, beaucoup, sans sens moral, pourraient capitaliser sur les conséquences de l'impact des chemtrails sur l'environnement en achetant des terres agricoles de fermiers dont les récoltes ont été détruites par les chemtrails, ou des biens immobiliers détruits par des incendies de forêt dévastateurs. Il ne s'agit là que d'exemples de conséquences, et non de leur cause. Pourquoi des gens soi-disant civilisés se tairaient-ils et permettraient-ils la destruction massive de la santé humaine et de l'environnement ? Pourquoi cela se produit-il ? Sur quelle base légale sont-ils supposés s'appuyer ? Et, quelles entités sont responsables ? Ces questions ont également façonné notre enquête médico-légale et scientifique.

 

En 1968, au cours de la même décennie que la publication de « Printemps silencieux », le géophysicien Gordon J. F. MacDonald a publié un chapitre de livre intitulé "Comment dévaster l'environnement" [42] dans lequel il décrit comment une nation peut déclencher les forces de la nature pour mener une guerre environnementale contre une nation ennemie. Cinquante ans plus tard, nous avons revu cet ouvrage à la lumière des avancées technologiques réalisées depuis qu'il a été écrit [43].

 

L'attaque aérienne des chemtrails, avec tous ses secrets et sa désinformation, commençait à avoir un sens pervers : c'est une forme de guerre environnementale, apparemment menée au nom d'une future civilisation mondialisée, une nouvelle civilisation qui naîtrait des cendres d'une nouvelle forme de guerre mondiale. Nous avons découvert l'astucieux, mais trompeur et mensonger traité ENMOD des Nations Unies de 1978, un cheval de Troie légal conçu pour contraindre des nations souveraines à mener une guerre environnementale secrète contre leurs propres citoyens et contre les citoyens d'autres nations souveraines [44-46].

 

Comme nous l'avons révélé [45], la "Convention sur l'interdiction de l'utilisation des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles" de 1978 [ENMOD] contraint les nations signataires à compromettre fondamentalement leur propre souveraineté et à provoquer une destruction de l'agriculture, permanente et étendue. Au lieu d'interdire "l'utilisation hostile de techniques de modification de l'environnement", comme son titre le suggère, ENMOD oblige les nations signataires à participer à des activités "pacifiques" non spécifiées de modification de l'environnement, réalisées par des entités non spécifiées, dans des circonstances non spécifiées, sans limitation des dommages. Que le dommage soit infligé à l'agriculture d'une nation ou d'une région, son environnement, ou à la santé de ses citoyens n'a pas d'importance, du point de vue du droit international d'ENMOD, car son intention est "pacifique".

 

Quoi qu'il en soit, la modification de l'environnement à grande échelle ne peut être considérée comme "pacifique". Elle est au contraire fondamentalement hostile.

 

Le voile de la tromperie d'ENMOD a été percé en appliquant une connaissance précise du droit des contrats aux articles d'ENMOD [45]. L'activité très secrète du projet de modification environnementale "pacifique" a été découverte par un rejet accidentel de matériaux depuis un avion en 2016 [47, 48].

 

Une preuve supplémentaire que le réchauffement climatique est un objectif de modification de l'environnement (géo-ingénierie) a été obtenue le 14 février 2016 ou aux alentours de cette date, lorsqu'une substance huileuse et cendrée a été accidentellement dispersée par avion et est tombée sur sept résidences et véhicules à Harrison Township, Michigan (USA). Il s'est avéré que le "matériau largué par avion" consistait en un assemblage de matières végétales mélangées à des cendres volantes de charbon et à du sel. Le motif des éclaboussures sur les véhicules, le sol et les toits de Harrison Township ressemblait aux trous de cryoconite observés sur les glaciers en cours d'ablation. Le "matériel de largage" semble avoir été modelé d'après la cryoconite naturelle, les cendres volantes de charbon lui donnant la couleur gris foncé qui absorbe la lumière du soleil et fait fondre les glaciers et contribue au réchauffement de la planète [47-49]. (Figure 5)

 

Figure 5. D'après [48]. En haut à gauche : Distribution par dispersion aérienne de gouttes; en haut à droite : Distribution des trous de cryoconite dans le glacier; en bas à gauche : Cryoconite synthétique par largage ; en bas à droite : Cryoconite naturelle

Figure 5. D'après [48]. En haut à gauche : Distribution par dispersion aérienne de gouttes; en haut à droite : Distribution des trous de cryoconite dans le glacier; en bas à gauche : Cryoconite synthétique par largage ; en bas à droite : Cryoconite naturelle

Nous considérons comme une quasi-certitude que la très secrète "amélioration pacifique de l'environnement" ENMOD en fait, est même rendue obligatoire par le traité, et consiste à faire fondre la glace de l'Arctique pour ouvrir des voies maritimes au-dessus du cercle arctique. Modifier l'environnement naturel de la Terre à une telle échelle n'est pas "pacifique", que les objectifs soient commerciaux ou militaires. Nous estimons que la vraie nature de cette activité rendue obligatoire par les Nations Unies, est la conduite d'une guerre environnementale secrète contre les États-nations établis, y compris les États occidentaux, leurs citoyens et leur culture en faveur d'un régime réglementaire supranational et mondial dont la surveillance englobera une économie totalement mondialisée dominée par des multinationales. [44-46].

 

L'objectif d'ENMOD est de renverser l'autorité des États-nations individuels. Quelles sont les autres preuves de l'implication directe des Nations-Unies ? Depuis près de quatre décennies, les Nations Unies, par le biais de son Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du changement climatique a soutiré d'énormes sommes d'argent aux nations riches pour promouvoir l'idée que le changement climatique - le réchauffement de la planète - serait causé par le dioxyde de carbone anthropique produit par les combustibles fossiles.

L'objectif semble être de contrôler ou d'arrêter l'utilisation des combustibles fossiles en faveur des sources d'énergie renouvelables pour atténuer le réchauffement de la planète. Pourtant, à travers son traité ENMOD, l'Organisation des Nations Unies a simultanément contraint les pays signataires à des activités secrètes qui provoquent en fait le réchauffement de la planète [50-56].Ce doit être la plus grande fraude scientifique jamais perpétrée.

 

Un "prospectus", dans un journal médical ou de santé publique, est un court article qui fournit un avertissement précoce d'une crise sanitaire potentielle. Nous avons soumis un tel prospectus au "Bulletin de l'Organisation Mondiale de la Santé" des Nations-Unies, avertissant de la crise sanitaire potentielle causée par les cendres volantes de charbon en aérosols pulvérisées dans la basse atmosphère. Ce prospectus a été rejeté sans examen par le Bulletin de l'Organisation Mondiale de la Santé [57].

 

Le rejet immédiat de cet examen indique l'implication des Nations Unies dans l'activité de modification de l'environnement mondial. Il existe également d'autres mauvais acteurs. En 1968, MacDonald [42] a prédit avec précision la décision de l'armée d'utiliser l'environnement à des fins nationales. Il n'a cependant pas compris que les nations souveraines et leurs armées, les médias grand public, les géants de la technologie, les élites super riches et les agences gouvernementales complices, pouvaient et allaient être cooptés par un accord international secret pour mener une guerre de facto contre la planète Terre et ses processus biogéochimiques. Afin de saper l'autorité de ces états individuels pour protéger leur propre biote et leur environnement naturel, ENMOD les contraint à participer à une modification globale non divulguée.

A moins que et jusqu'à ce que les politiciens, les médias, les scientifiques, et d'autres dans notre société reconnaissent la vérité de ce qui se passe sous leurs yeux et exigent collectivement l'arrêt de ces activités technologiques secrètes, nous continuerons à foncer à toute vitesse vers la première extinction de masse causée par l'homme.

 

Les gens à travers le monde ont un besoin urgent de moyens pour se protéger et protéger leurs familles - et, en fait, toute vie sur Terre - contre les impitoyables assauts technologiques transnationaux. Le bien-être et l'existence même de l'humanité sont en jeu. Aux États-Unis, nos libertés personnelles et nos propriétés sont protégées des excès du gouvernement par la Déclaration des droits, mais les Américains et les autres membres de la communauté mondiale ne sont pas protégés contre les excès technologiques transnationaux. Aux États-Unis, nous avons désespérément besoin d'un ensemble de nouveaux amendements constitutionnels qui forment collectivement une seconde Déclaration des droits, une Déclaration des droits de la technologie, pour protéger nos libertés, et notre droit à l'air pur, à l'eau, au sol, à l'agriculture et à la nourriture, et pour protéger l'environnement planétaire d'une destruction et d'une altération délibérée par le biais d'une modification environnementale ou géo-ingénierie à grande échelle. Cette nouvelle Charte des droits technologiques pourrait servir de modèle à d'autres nations souveraines [58]. Rien de moins qu'un réveil culturel et qu'une nouvelle révolution scientifique, humanitaire et moralement fondée seront nécessaires pour que ce système de protections vis-à-vis de la technologie porte ses fruits.

 

Sans cela, nous sommes condamnés.

 

Références

 

[1]. Ceballos, G., P.R. Ehrlich, and R. Dirzo, Biological annihilation via the ongoing sixth mass extinction signaled by vertebrate population losses and declines. Proceedings of the National Academy of Sciences, 2017. 114(30): p. E6089-E6096.

 

[2]. Blanchard, J., Living Planet Report 2020: Bending the Curve of Biodiversity Loss. 2020.

 

[3]. Dirzo, R., et al., Defaunation in the Anthropocene. Science, 2014. 345(6195): p. 401-406.

 

[4]. Bradshaw, C.J., et al., Underestimating the challenges of avoiding a ghastly future. Frontiers in Conservation Science, 2021. 1: p. 9.

 

[5]. Carson, R.L., Silent Spring. 1962, Boston, MA: Houghton Mifflin.

 

[6]. Seneff, S., Toxic Legacy: How the Weedkiller Glyphosate Is Destroying Our Health and the Environment. 2021: Chelsea Green Publishing.

 

[7]. Lovelock, J. and L. Margulis, The Gaia Hypothesis. 2007, New York.

 

[8]. Lovelock, J.E. and L. Margulis, Atmospheric homeostasis by and for the biosphere: the Gaia hypothesis. Tellus, 1974. 26(1-2): p. 2-10. 307 Herndon, J. M., & Whiteside, M. (2021). Intentional Destruction of Life on Earth. Advances in Social Sciences Research Journal, 8(7). 295-309. URL: http://dx.doi.org/10.14738/assrj.87.10597

 

 

[9]. Margulis, L. and J.E. Lovelock, Biological modulation of the Earth's atmosphere. Icarus, 1974. 21(4): p. 471-489.

 

[10]. Raup, D.M. and J.J. Sepkoski, Mass extinctions in the marine fossil record. Science, 1982. 215(4539): p. 1501-1503.

 

[11]. Harrop, S.R., ‘Living in harmony with nature’? Outcomes of the 2010 Nagoya Conference of the Convention on Biological Diversity. Journal of Environmental Law, 2011. 23(1): p. 117-128.

 

[12]. Sólon, P., The rights of mother earth. The climate crisis. South African and global democratic eco-socialist alternatives, 2018: p. 107-130.

 

[13]. McGregor, D., Mother Earth. An Insider’s Guide to a Rapidly Changing Planet, 2020: p. 133.

 

[14]. Herndon, J.M. and M. Whiteside, Aerosol particulates, SARS-CoV-2, and the broader potential for global devastation. Open Access Journal of Internal Medicine, 2020. 3(1): p. 14-21.

 

[15]. http://www.nuclearplanet.com/usaf1.pdf

 

[16]. Herndon, J.M. and M. Whiteside, California wildfires: Role of undisclosed atmospheric manipulation and geoengineering. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn., 2018. 17(3): p. 1-18.

 

[17]. Herndon, J.M., R.D. Hoisington, and M. Whiteside, Chemtrails are not contrails: Radiometric evidence. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn., 2020. 24(2): p. 22-29.

 

[18]. Borm, P.J.A., Toxicity and occupational health hazards of coal fly ash (cfa). A review of data and comparison to coal mine dust. Ann. occup. Hyg., 1997. 41(6): p. 659-676.

 

[19]. Roy, W.R., R. Thiery, and J.J. Suloway, Coal fly ash: a review of the literature and proposed classification system with emphasis on environmental impacts. Environ. Geology Notes #96, 1981.

 

[20]. Walls, S.J., et al., Ecological risk assessment for residual coal fly ash at Watts Bar Reservoir, Tennessee: Site setting and problem formulation. Integrated environmental assessment and management, 2015. 11(1): p. 32-42.

 

[21]. Dwivedi, A. and M.K. Jain, Fly ash–waste management and overview: A Review. Recent Research in Science and Technology, 2014. 6(1).

 

[22]. Moreno, N., et al., Physico-chemical characteristics of European pulverized coal combustion fly ashes. Fuel, 2005. 84: p. 1351-1363.

 

[23]. Jigyasu, D.K. and e. al., High mobility of aluminum in Gomati River Basin: implications to human health. Curr. Sci., 2015. 108(3): p. 434-438.

 

[24]. Herndon, J.M., Aluminum poisoning of humanity and Earth's biota by clandestine geoengineering activity: implications for India. Curr. Sci., 2015. 108(12): p. 2173-2177.

 

[25]. http://www.nuclearplanet.com/Retraction_Deception.html

 

[26]. Herndon, J.M., D.D. Williams, and M. Whiteside, Previously unrecognized primary factors in the demise of endangered torrey pines: A microcosm of global forest die-offs. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn. , 2018. 16(4): p. 1-14.

 

[27]. Suloway, J.J., et al., Chemical and toxicological properties of coal fly ash, in Environmental Geology Notes 105. 1983, Illinois Department of Energy and Natural Resources: Illinois.

 

[28]. Whiteside, M. and J.M. Herndon, Aerosolized coal fly ash: A previously unrecognized primary factor in the catastrophic global demise of bird populations and species. Asian J. Biol., 2018. 6(4): p. 1-13.

 

[29]. Herndon, J.M. and M. Whiteside, Contamination of the biosphere with mercury: Another potential consequence of on-going climate manipulation using aerosolized coal fly ash J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn., 2017. 13(1): p. 1-11.

 

[30]. Herndon, J.M., R.D. Hoisington, and M. Whiteside, Deadly ultraviolet UV-C and UV-B penetration to Earth’s surface: Human and environmental health implications. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn., 2018. 14(2): p. 1-11.

 

[31]. Whiteside, M. and J.M. Herndon, Role of aerosolized coal fly ash in the global plankton imbalance: Case of Florida's toxic algae crisi. Asian Journal of Biology, 2019. 8(2): p. 1-24. 308 Advances in Social Sciences Research Journal (ASSRJ) Vol. 8, Issue 7, July-2021 Services for Science and Education – United Kingdom

 

[32]. Whiteside, M. and J.M. Herndon, Geoengineering, coal fly ash and the new heart-Iron connection: Universal exposure to iron oxide nanoparticulates. Journal of Advances in Medicine and Medical Research, 2019. 31(1): p. 1-20.

 

[33]. Whiteside, M. and J.M. Herndon, Aerosolized coal fly ash: Risk factor for neurodegenerative disease. Journal of Advances in Medicine and Medical Research, 2018. 25(10): p. 1-11.

 

[34]. Maher, B., et al., Iron-rich air pollution nanoparticles: An unrecognised environmental risk factor for myocardial mitochondrial dysfunction and cardiac oxidative stress. Environmental research, 2020. 188: p. 109816.

 

[35]. Whiteside, M. and J.M. Herndon, Aerosolized coal fly ash: Risk factor for COPD and respiratory disease. Journal of Advances in Medicine and Medical Research, 2018. 26(7): p. 1-13.

 

[36]. Whiteside, M. and J.M. Herndon, Coal fly ash aerosol: Risk factor for lung cancer. Journal of Advances in Medicine and Medical Research, 2018. 25(4): p. 1-10.

 

[37]. Whiteside, M. and J.M. Herndon, COVID-19, immunopathology, particulate pollution, and iron balance. Journal of Advances in Medicine and Medical Research, 2020. 32(18): p. 43-60.

 

[38]. Herndon, J.M., Adverse agricultural consequences of weather modification. AGRIVITA Journal of agricultural science, 2016. 38(3): p. 213-221

 

[39]. Whiteside, M. and J.M. Herndon, Previously unacknowledged potential factors in catastrophic bee and insect dieoff arising from coal fly ash geoengineering Asian J. Biol., 2018. 6(4): p. 1-13.

 

[40]. Herndon, J.M. and M. Whiteside, Unacknowledged potential factors in catastrophic bat die-off arising from coal fly ash geoengineering. Asian Journal of Biology, 2019. 8(4): p. 1-13.

 

[41]. Sharifan, H., Alarming the impacts of the organic and inorganic UV blockers on endangered coral's species in the Persian Gulf: A scientific concern for coral protection. Sustainable Futures, 2020. 2: p. 100017.

 

[42]. MacDonald, G.J., How to wreck the environment, in Unless Peace Comes: A Scientific Forecast of New Weapons. 1968, The Viking Press: New York. p. 181-205.

 

[43]. Herndon, J.M., M. Whiteside, and I. Baldwin, Fifty Years after “How to Wreck the Environment”: Anthropogenic Extinction of Life on Earth. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn., 2018. 16(3): p. 1-15.

 

[44]. Herndon, J.M. and M. Whiteside, Global Environmental Warfare. Advances in Social Sciences Research Journal, 2020. 7(4): p. 411-422.

 

[45]. Herndon, J.M., M. Whiteside, and I. Baldwin, The ENMOD treaty and the sanctioned assault on agriculture and human and environmental health. Agrotechnology, 2020. 9(191): p. 1-9.

 

[46]. Herndon, J.M. and M. Whiteside, Environmental warfare against American citizens: An open letter to the Joint Chiefs of Staff. Advances in Social Sciences Research Journal, 2020. 7(8): p. 382-397.

 

[47]. Herndon, J.M., An indication of intentional efforts to cause global warming and glacier melting. J. Geography Environ. Earth Sci. Int., 2017. 9(1): p. 1-11.

 

[48]. Herndon, J.M., Evidence of variable Earth-heat production, global non-anthropogenic climate change, and geoengineered global warming and polar melting. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn., 2017. 10(1): p. 16.

 

[49]. Herndon, J.M. and M. Whiteside, Further evidence that particulate pollution is the principal cause of global warming: Humanitarian considerations. Journal of Geography, Environment and Earth Science International, 2019. 21(1): p. 1-11.

 

[50]. Herndon, J.M., Air pollution, not greenhouse gases: The principal cause of global warming. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn., 2018. 17(2): p. 1-8.

 

[51]. Herndon, J.M., Scientific misrepresentation and the climate-science cartel. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn., 2018. 18(2): p. 1-13.

 

[52]. Herndon, J.M., Fundamental climate science error: Concomitant harm to humanity and the environment J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn., 2018. 18(3): p. 1-12. 309 Herndon, J. M., & Whiteside, M. (2021). Intentional Destruction of Life on Earth. Advances in Social Sciences Research Journal, 8(7). 295-309. URL: http://dx.doi.org/10.14738/assrj.87.10597

 

[53]. Herndon, J.M., Role of atmospheric convection in global warming. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn., 2019. 19(4): p. 1-8.

 

[54]. Herndon, J.M., World War II holds the key to understanding global warming and the challenge facing science and society. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn., 2019. 23(4): p. 1-13.

 

[55]. Herndon, J.M. and M. Whiteside, Geophysical consequences of tropospheric particulate heating: Further evidence that anthropogenic global warming is principally caused by particulate pollution. Journal of Geography, Environment and Earth Science International, 2019. 22(4): p. 1-23.

 

[56]. Herndon, J.M., True science for government leaders and educators: The main cause of global warming. Advances in Social Sciences Research Journal, 2020. 7(7): p. 106-114.

 

[57]. Herndon, J.M. and M. Whiteside, Geoengineering: The deadly new global “Miasma”. Journal of Advances in Medicine and Medical Research, 2019. 29(12): p. 1-8.

 

[58]. Herndon, J.M. and M. Whiteside, Technology Bill of Rights needed to protect human and environmental health and the U. S. Constitutional Republic Advances in Social Sciences Research Journal, 2020. 7(6)

Voir les commentaires

Bill Gates : philanthrope ou eugéniste?

16 Mai 2020, 19:52pm

Bill Gates : philanthrope ou eugéniste?

Bill Gates - philanthrope ou eugéniste?

Ty Bollinger - 13 mai 2020

 

https://thetruthaboutcancer.com/bill-gates-eugenicist-philanthropist/

 

Que savez-vous vraiment de Bill Gates ?

 

Voyons voir ... il a cofondé Microsoft et possède des milliards de dollars. Selon Wikipedia, Gates est "un magnat américain des affaires, un développeur de logiciels, un investisseur et un philanthrope".

Vous avez peut-être entendu que M. Gates a récemment démissionné du conseil d'administration de Microsoft pour se consacrer à plein temps à la "philanthropie" et aussi à la "santé mondiale et aux vaccins".

 

Il a l'air d'être un type formidable !

 

Mais quelles sont exactement les qualifications requises pour que le fondateur d'un géant du logiciel de mille milliards de dollars devienne un leader dans le domaine de la "santé mondiale et des vaccins" ?

 

AUCUNE.

 

Néanmoins, les "lecteurs de téléprompteurs" des grands médias (pardon, je voulais dire "présentateurs") ont été ravis, surtout à la lumière de l'annonce faite en février que la Fondation Bill et Melinda Gates s'engageait à verser 100 millions de dollars supplémentaires pour lutter contre COVID-19.

 

LA FONDATION BILL & MELINDA GATES

 

La BMGF est la plus grande fondation privée au monde avec plus de 50 milliards de dollars d'actifs. Elle est le deuxième plus grand donateur de l'OMS après le gouvernement américain.

Mais vous êtes-vous déjà demandé comment et pourquoi la Fondation Bill et Melinda Gates (BMGF) a vu le jour ?

 

Saviez-vous que la BMGF a été créée à l'origine pour aider à "dissimuler" la réputation en lambeaux de Bill lors du procès antitrust de Microsoft à la fin des années 1990 ?

 

Vous voyez, Microsoft a été accusé d'avoir tenté de créer un monopole qui a conduit à l'effondrement de son concurrent Netscape en donnant gratuitement son logiciel de navigation. Au cours du procès de 18 mois qui a débuté en mai 1998, M. Gates a donné des heures de témoignages enregistrés sur vidéo, dans lesquels il s'est montré de manière transparente, évasif, pompeux et égoïste. Vous pouvez regarder le témoignage ici, si vous avez l'envie de regarder Gates pendant une période prolongée.

 

Pendant la déposition, il a régulièrement donné des réponses nébuleuses et ambiguës et a marmonné "Je ne me souviens pas" si souvent que même le président du tribunal a dû ricaner. Il a également fait une longue liste de revendications qui ont été directement réfutées au tribunal par rapport à ses propres courriels. (Traduction : Gates a menti ... beaucoup)

 

Tout au long du procès, Gates et Microsoft ont pris une raclée en matière de relations publiques. Ils ont donc lancé ce que l'on a appelé une "offensive de charme" visant à améliorer leur image. C'est à cette époque que Gates a découvert les "merveilles du don de charité". (clin d'œil) Souvenez-vous ... la "philanthropie" financée par des milliardaires est généralement une tromperie à destination du public.

 

Le fait est qu'entre le début du procès et le verdict, M. Gates a versé 20,3 milliards de dollars (oui, MILLIARDS) à la BMGF. Selon Ken Auletta, auteur du livre "World War 3.0" de 2001 : Microsoft et ses ennemis, les contributions "sont devenues une partie de l'investissement en relations publiques de Microsoft pour humaniser Gates". En d'autres termes, M. Gates a utilisé les dons pour aider à "relooker" son nom en tant que philanthrope, alors qu'en réalité, les dons n'étaient rien de plus qu'une feuille de vigne pour reconstruire sa réputation d'impitoyable, de prédateur, de condescendant et de prétentieux de la classe dirigeante. Et les grands médias ont été plus qu'heureux de contribuer à redorer son blason en tant que "généreux bienfaiteur de l'humanité" plutôt qu'en tant qu'ordure mesquine et intimidante.

 

Entre 2002 et 2012, Gates a vendu pour 22 milliards de dollars d'actions Microsoft, mais n'a versé que 3,7 milliards de dollars à la BMGF. Cela représente moins de 20 %. Disons simplement que Bill n'était pas trop préoccupé par "l'argent de la nourriture" ou "le paiement du loyer" avec les 18,3 milliards de dollars restants.

 

 

GATES, OGM et GÉO-INGENIERIE

 

En 2006, la BMGF a fait un don de 100 millions de dollars et a formé une alliance avec la Fondation Rockefeller pour contribuer à l'impulsion d'une "révolution verte" en Afrique, avec pour objectif principal d'encourager l'utilisation de pesticides et de semences "avancées" (c'est-à-dire OGM).

 

En 2010, la BMGF a acheté 500 000 actions de Monsanto, le plus grand producteur mondial d'aliments OGM et de pesticides comme le glyphosate (Roundup), ce qui montre clairement que cette organisation caritative dite bienveillante ne cherche pas seulement à éradiquer les maladies et à nourrir les pauvres du monde.

 

Depuis 2015, la BMGF a donné un total de 15 millions de dollars à deux campagnes mondiales visant à "mettre fin à la faim dans le monde" en encourageant les petits agriculteurs du monde entier à utiliser des OGM.

 

Il est intéressant de noter que si la BMGF promeut fortement les OGM auprès des agriculteurs, elle investit en même temps dans la "Doomsday Crop Diversity Vault", une banque de semences située en Norvège. Parmi les autres investisseurs figurent le gouvernement norvégien, la Fondation Rockefeller et de grandes entreprises de semences OGM et de produits agrochimiques.

 

Réflexion ... Pourquoi la BMGF pousse-t-elle les semences OGM (qui détruisent les variétés de semences végétales) tout en investissant des dizaines de millions de dollars pour préserver toutes les variétés de semences connues dans une chambre forte à l'épreuve des bombes près du lointain cercle arctique "afin que la diversité des cultures puisse être conservée pour l'avenir" ? Pensez-y.

 

Depuis 2007, M. Gates finance personnellement et participe étroitement au Fonds pour la recherche innovante sur le climat et l'énergie (FICER), basé à l'université de Harvard, qui mène des recherches sur la possibilité de bloquer le soleil afin d'atténuer le réchauffement climatique, en utilisant des produits chimiques ou des particules de métaux tels que l'aluminium.

 

En 2012, le FICER a annoncé son intention de pulvériser des particules de sulfate pour renvoyer dans l'espace le rayonnement solaire afin de refroidir artificiellement la planète, et il a également envisagé d'utiliser l'aluminium dans le même but.

 

C'est vrai, ce n'est plus une « théorie d complot » les gars. Ces quadrillages dans le ciel ne sont pas des nuages aux formes étranges et ne sont pas des gaz d'échappement normaux des avions. Il s'agit de traînées chimiques (ou "chemtrails") qui sont intentionnellement pulvérisées dans l'atmosphère. En fait, il existe de nombreux brevets sur cette technologie.

 

L'HÉRITAGE DE LA FAMILLE GATES

 

Le père de Bill (William H. Gates, Sr.) était un banquier et un avocat, qui a servi le même "agenda caché" que son fils tout en promouvant "l'hygiène raciale" pendant le mouvement eugéniste financé par Rockefeller dans les années 1930 et 1940.

 

Gates Sr. est depuis longtemps impliqué dans le groupe eugéniste Planned Parenthood( Planning familial), une nouvelle organisation issue de l'American Eugenics Society. Dans une interview accordée à PBS en 2003, Bill Gates a reconnu que son père était à la tête de Planned Parenthood, qui a été fondé sur le concept que la plupart des êtres humains ne sont que des "éleveurs imprudents" et des "mauvaises herbes humaines" qui ont besoin d'être éliminées.

 

Au cours de l'entretien, Bill Gates a également admis que sa famille s'était beaucoup impliquée dans les "questions de reproduction", faisant référence à sa propre adhésion antérieure aux convictions de l'eugéniste Thomas Robert Malthus, qui pensait que la population mondiale devait être contrôlée par des restrictions en matière de reproduction.

 

Mary Gates, la mère de Bill, était une éminente femme d'affaires de Seattle. Son père, Willard Maxwell, était vice-président de la Pacific National Bank, qui est devenue plus tard la First Interstate. Mary a aidé son fils Bill "à obtenir le contrat qui a conduit à une relation lucrative avec I.B.M. pour sa jeune société Microsoft", selon sa nécrologie du New York Times.

 

Il s'avère que l'héritage de la famille Gates a longtemps consisté à essayer de dominer et de contrôler les systèmes mondiaux, y compris dans les domaines de la technologie, de la médecine et maintenant de l'agriculture. Grâce à la BMGF, Bill Gates est en mesure d'éviter les impôts tout en conservant le contrôle des actifs et en utilisant ce contrôle pour influencer les politiques privées et publiques concernant les produits pharmaceutiques, les vaccins et les OGM. L'argent parle.

Parle de vaccins...

 

GATES ET VACCINS

 

Les vaccins sont l'entreprise "philanthropique" pour laquelle Gates et la BMGF sont les plus connus.

 

Le "bienveillant Bill Gates" est né en décembre 1998 - pendant le procès antitrust de Microsoft - lorsque la BMGF a annoncé un don de 100 millions de dollars pour établir le Programme Bill et Melinda Gates de vaccination des enfants.

 

L'année suivante, la BMGF a promis 750 millions de dollars comme "capital de départ" pour mettre en place l'Alliance mondiale pour les vaccins et l'immunisation (GAVI). Parmi les partenaires de la GAVI figurent certains pays, le Programme Bill et Melinda Gates de vaccination des enfants, la Fédération internationale de l'industrie du médicament, la Fondation Rockefeller, le Fonds des Nations unies pour l'enfance, l'OMS et la Banque mondiale. Le conseil d'administration de la GAVI « l’Alliance Globale pour les Vaccins et l’Immunisation », est composé de représentants des "Big Pharma".

 

  1. Gates a été associé à de nombreuses initiatives de vaccination dans les pays du tiers monde qui sont non seulement immorales et contraires à l'éthique, mais qui ont eu des conséquences désastreuses.

 

Par exemple, dans un rapport de 2013 au Parlement indien, le BMGF a été accusé de cibler des adolescents analphabètes sans consentement pour des essais sur le VIH (virus du papillome humain) en Inde. Ces prétendues expériences médicales ne prévoyaient aucune enquête ni aucun rapport sur les effets indésirables connus des médicaments.

 

L'année suivante, en août 2014, l'Economic Times India a publié un rapport qui affirmait que des "études d'observation" (c'est-à-dire des "expériences" de vaccination) avaient été menées sur 30 000 écoliers tribaux dans l'Andhra Pradesh et à Vadodara, Gujarat, en Inde, en utilisant les vaccins anti-papillomavirus (Gardasil et Cervarix) et que dans le mois suivant la réception du vaccin, des centaines d'enfants étaient tombés malades et sept enfants étaient morts. Il est choquant de constater que de nombreux formulaires de consentement utilisés pour vacciner les filles ont été signés "illégalement", soit par les directeurs des foyers où vivaient beaucoup de filles, soit par des parents illettrés qui ne savaient même pas écrire et qui ont utilisé l'empreinte de leur pouce.

 

Les enquêtes du gouvernement indien ont montré que les chercheurs financés par la BMGF ont commis des violations éthiques généralisées : pressions exercées sur les villageoises vulnérables pour qu'elles participent au procès, intimidation des parents, falsification des formulaires de consentement et refus de soins médicaux aux jeunes filles endommagées.

 

Cependant, après que ces effets indésirables aient été connus, un rapport financé par la BMGF a été publié, expliquant qu'il n'y avait "aucune corrélation" entre les effets indésirables et le vaccin contre le HPV.

 

L'enfant va bien - se fait vacciner - tombe malade - puis meurt. Aucune corrélation ? Mmmm ouais... C'est vrai !

 

En 2000, le vaccin oral contre la polio (OPV) a finalement été retiré des programmes américains après quatre décennies, lorsque les autorités ont enfin admis que le vaccin causait plus de cas de polio que le virus de type sauvage lui-même. Cependant, malgré ce fait, la BMGF s'est engagée dans une campagne agressive pour promouvoir le OPV en Inde.

 

Selon un rapport de 2018 de Prakash et Puliyel, depuis le début de la campagne en faveur du OPV, alors que les taux de "polio" ont diminué, il y a eu 491 000 nouveaux cas de NPAFP ("non-polio acute flaccid paralysis") qui est cliniquement indiscernable de la paralysie de la polio mais deux fois plus mortelle.

 

La polio a-t-elle donc été éradiquée ? Ou ont-ils simplement créé une "nouvelle" définition et l'ont appelée NPAFP, qui est maintenant 12 fois plus élevée que prévu ?

 

M. Gates ne savait-il pas que le OPV avait été abandonné aux États-Unis, car il avait laissé entendre qu'il voulait apporter la "bonne santé" aux pays pauvres du tiers monde ? Quelqu'un de la BMGF s'est-il précipité en Inde pour suspendre ses vaccins contre la polio jusqu'à ce que l'on puisse répondre à des questions importantes sur les causes de la NPAFP et les décès qu'elle entraîne ?

Je parie que vous pouvez deviner les réponses à ces deux questions rhétoriques.

 

En décembre 2012, dans le petit village de Gouro, au Tchad (Afrique), 500 enfants ont été enfermés dans leur école et ont été menacés de ne plus recevoir d'éducation s'ils n'"acceptaient" d'être vaccinés avec un vaccin contre la méningite non homologué (MenAfriVac). Les "travailleurs humanitaires" ont alors procédé à la vaccination forcée des enfants sans que leurs parents en soient informés ni qu'ils y consentent.

 

En quelques heures, plus de 100 enfants ont commencé à souffrir de maux de tête, de vomissements, de graves convulsions incontrôlables et de paralysie. Des dizaines d'enfants ont été transférés dans un hôpital de Faya et plus tard emmenés par avion dans deux hôpitaux de N'Djamena, la capitale du Tchad.

 

Les journaux sud-africains se sont plaints : "Nous sommes des cobayes pour les fabricants de médicaments". Finalement, beaucoup de ces enfants endommagés par des vaccins ont été renvoyés à Gouro sans diagnostic et chaque famille a reçu du gouvernement une somme non confirmée de 1000 livres sterling. Elles ont été informées que leurs enfants n'avaient pas subi de dommages dûs au vaccin. (Hmmmm .... si c'était vrai, pourquoi le gouvernement aurait-il donné à chaque famille un "prix de silence" ?)

 

Quel groupe était responsable de ce désastre vaccinal qui pourrait être décrit comme un "crime contre l'humanité" au Tchad ?

 

(Roulement de tambour)

 

C'est exact ! Le BMGF a financé la distribution du vaccin contre la méningite (MenAfriVac) au Tchad où des dizaines d'enfants ont souffert d'hallucinations, de convulsions et finalement de paralysie.

 

Surprise !

 

Malgré le fait que la BMGF qualifie les vaccins de "l'un des meilleurs achats en matière de santé mondiale", une enquête gouvernementale au Pakistan a révélé le contraire.

 

ISLAMABAD : Une enquête gouvernementale a révélé que les vaccins contre la polio pour les nourrissons, financés par l'Alliance mondiale pour la vaccination et l'immunisation, causent des décès et des handicaps dans les pays de la région, dont le Pakistan.

 

Cette révélation surprenante fait partie d'un rapport d'enquête préparé par la Commission d'inspection du Premier ministre (PMIC) sur le fonctionnement du Programme élargi de vaccination (PEV). La PMIC, dirigée par Malik Amjad Noon, a recommandé au Premier ministre Yousaf Raza Gilani de suspendre immédiatement l'administration de tous les types de vaccins financés par la GAVI"« l’Alliance Globale pour les Vaccins et l’Immunisation » .

 

Les principales vaccinations en question étaient le vaccin contre la polio et le vaccin pentavalent 5 en 1, qui seraient responsables de la mort et de l'invalidité d'un certain nombre d'enfants au Pakistan, en Inde, au Sri Lanka, au Bhoutan et au Japon.

 

Ah oui, j'allais oublier. Le BMGF a financé la distribution au Kenya d'un vaccin antitétanique contenant de la gonadotrophine chorionique humaine (HCG) qui rend la femme stérile et provoque des fausses couches. C'est l'Église catholique qui a découvert l'antigène.

 

Une erreur ?

 

Souvenez-vous, c'est le même Bill Gates qui a dit : "Le monde d'aujourd'hui compte 6,8 milliards de personnes. Ce qui fait environ neuf milliards. Maintenant, si nous faisons vraiment un excellent travail sur les nouveaux vaccins, les soins de santé, les services de contraception, nous pourrions réduire ce chiffre de dix ou quinze pour cent". (Voir la vidéo ci-dessous).

L'obsession de Bill Gates pour les vaccins semble être alimentée par une volonté mégalomaniaque d'expérimenter avec la vie des "petits humains".

 

MICROPUCES & COVID-19

 

Lors du sommet mHealth à Washington, D.C. en 2010, Bill Gates a proposé un plan visant à utiliser la technologie sans fil pour enregistrer chaque nouveau-né de la planète dans une base de données de vaccins, afin de garantir que tous les enfants soient vaccinés à temps. La BMGF a financé le développement par le MIT d'une puce informatique contraceptive pouvant être contrôlée à distance. La puce est implantée sous la peau d'une femme, libérant une petite dose de l'hormone lévonorgestrel. Le BMGF a également financé le MIT pour développer un implant de microparticules qui permettra d'administrer automatiquement des vaccins aux bébés.

 

Plus troublant encore est la preuve que Bill Gates a activement mené le scénario du coronavirus en utilisant son influence. Selon le Washington Times, "l'OMS n'a annoncé que le coronavirus était une pandémie que le jour après que Gates - qui souhaitait depuis un certain temps que l'OMS déclare le coronavirus comme une pandémie - fasse un don très important à une cause qui bénéficie à l'OMS".

 

Il n'est pas surprenant que M. Gates soit activement impliqué dans la recherche d'une "solution" à la pandémie avec un consortium de partenariats d'entreprises, des investissements dans les vaccins et des solutions de "recherche des contacts" dans le secteur technologique.

 

Gates s'est récemment fait prendre lors d'un "TED Talk" et a fait supprimer une phrase, mais Gary Franchi (et ZeroHedge) ont obtenu la séquence originale. Pourquoi l'auraient-ils supprimée, à moins qu'ils ne veuillent la cacher ?

 

Découvrez ce que Gates veut vraiment. (Il suffit de passer la vidéo et elle commencera à l'endroit approprié).

 

Un certificat numérique ou une preuve de vaccination - c'est le plan ! Pourquoi M. Gates insiste-t-il sur ce point ? Voici pourquoi : Microsoft et GAVI prévoient de contrôler le programme "d'identification numérique de la vaccination mondiale", annoncé en 2019 lors du sommet annuel de l'Alliance ID2020 à New York.

 

Dans la dernière vague de folie, il semble qu'il y ait un mouvement vers un système d'enregistrement où les gens seront désignés comme "immunisés" ou "vaccinés" ; et ce n'est qu'avec des ID de registre appropriées et vérifiables que les citoyens seront autorisés à s'engager dans la société.

 

Il y a quelques années, il a parlé de la nécessité de se préparer à une pandémie. L'automne dernier, il a parrainé un exercice de planification mondiale en cas de pandémie, en association avec John Hopkins. Et puis, dans ses récents écrits et ses financements technologiques, nous voyons son récit pour une "solution" utilisant des identités numériques et des puces électroniques.

 

Vous souvenez-vous, il y a quelques années, lorsque le président Trump allait nommer notre ami de l'industrie alimentaire, Robert F. Kennedy Jr, à la tête de la Commission sur la sécurité vaccinale et l'intégrité scientifique ? Finalement, Bobby a déclaré que l'administration Trump ne l'avait jamais contacté après les premières réunions. Nous nous sommes toujours demandé pourquoi le président Trump avait apparemment laissé tomber sur cette question.

 

Voici l'une des raisons. (Il suffit de passer la vidéo et elle commencera à l'endroit approprié).

 

Alors Gates a dit à M. Trump : "Non, c'est une mauvaise chose, ne faites pas ça" - n'examinez PAS les vaccins ! ... Parce que si nous commencions à étudier les vaccins, nous pourrions bien découvrir la VÉRITÉ !

 

Eugéniste convaincu et mondialiste de l''élite", Gates vit pour vacciner. Après avoir commodément abandonné le conseil d'administration de Microsoft au moment où la "pandémie" COVID-19 commençait à battre son plein, Gates n'a fait que plaider en faveur d'une vaccination de masse et le confinement indéfini jusqu'à ce que tous les habitants de la planète soient vaccinés.

 

Bien que beaucoup remettent en question leur intégrité et leur éthique, Bill et Melinda Gates ne sont pas des gens stupides. Ils sont assez intelligents pour savoir que les vaccins, les médicaments et les industries médiatiques qu'ils promeuvent génèrent des MILLIARDS de dollars tout en causant des MILLIARDS de pertes humaines et de tragédies.

 

QUESTION : Sur la base des FAITS présentés dans cet article, Gates est-il le type de personne à qui vous feriez confiance pour être le leader "de facto" dans la course mondiale à la création d'un vaccin COVID-19 ? Est-il qualifié ? A-t-il l'intégrité morale nécessaire ?

 

Il est difficile de croire que, malgré les preuves de plus en plus nombreuses qui soulignent les nombreux crimes contre l'humanité qui ont été commis par la BMGF et la GAVI, nombreux sont ceux qui considèrent encore Bill Gates comme un "héros".

 

Cependant, selon la définition du mot "héros" dans le dictionnaire Oxford, le mot "héros" signifie "Une personne, généralement un homme, qui est admirée ou idéalisée pour son courage, ses réalisations exceptionnelles ou ses nobles qualités."

 

J'ai consulté le dictionnaire Mirriam-Webster et d'autres dictionnaires, mais je n'ai jamais trouvé de définition du mot "héros", qui désigne quelqu'un qui vaccine des enfants innocents et vulnérables avec des vaccins non testés et dangereux, ce qui leur cause des souffrances et des morts prématurées.

 

Pour votre information, il existe une pétition de la Maison Blanche avec plus de 550 000 signatures pour enquêter sur le BMGF pour "crimes contre l'humanité".

 

Voir les commentaires

Coronavirus: les «remèdes» seront pires que le mal

14 Mars 2020, 08:15am

Coronavirus: les «remèdes» seront pires que le mal
Coronavirus: les «remèdes» seront pires que le mal
Coronavirus: les «remèdes» seront pires que le mal
Coronavirus: les «remèdes» seront pires que le mal
Coronavirus: les «remèdes» seront pires que le mal
Coronavirus: les «remèdes» seront pires que le mal

 


James Corbett corbettreport.com 29 février 2020

Traduction Ciel voilé

https://steemit.com/coronavirus/@corbettreport/coronavirus-the-cures-will-be-worse-than-the-disease?fbclid=IwAR3zn5PZJqiNYfvFktOMRkymIWZlJ6zD6Q1npHAbRlm32KsXx8FOz4T_bko


Ça se répand. Ça mute. Ça devient viral.
Est-ce que je parle du coronavirus? Non! Je parle de théories sur le coronavirus.
C'est un virus naturel. / Non, c'est une arme biologique créée par l'homme!
C'est moins mortel que la grippe ordinaire. / C'est pire que la grippe espagnole! / C'est la batte volante du SIDA !!
Les chiffres sont sous-déclarés. / Les chiffres sont gonflés!
Il a été breveté en 2015! / Non, ce n'était vraiment pas le cas.
Il a été déclenché par accident. / Il a été déclenché exprès. / Ça n'existe même pas!


Oui, il existe autant de théories sur la maladie des coronavirus 2019 (Covid-19) qu'il y a de gens qui en parlent. La réalité est que je ne connais pas la vérité sur ce qu'est vraiment ce virus ou d'où il vient et vous non plus.


Mais il y a quelque chose que nous savons avec certitude, peu importe d'où vient ce virus ou s'il existe vraiment. Le battage médiatique, la peur, la panique et le pandémonium entourant cette (supposée) épidémie vont être bien pires que la maladie ne pourrait jamais l'être. Parce que, comme je le crie depuis plus d'une décennie maintenant, une attaque par arme biologique (réelle ou humaine, faux drapeau ou autre) est la couverture parfaite pour une flopée d'objectifs de l'agenda de contrôle mondialiste. Et plus la population panique, plus elle se met entre les mains des mondialistes.


Voici cinq objectifs sur la liste des souhaits des «  Pouvoirs Qui Ne Devraient Pas Etre », livrés sur un plateau d'argent, alors que les gens se précipitent pour paniquer à propos du coronavirus.

 

  1. Surveillance et contrôle sans précédent de la population


Comme Corbett Reporteers le sait maintenant, la Chine est à bien des égards le modèle du Brave Nouvel Orre Mondial technocratique du XXIème siècle. Les scores de crédit social et les réseaux de vidéosurveillance de reconnaissance faciale et Internet contrôlé par le gouvernement ne sont que les exemples les plus évidents de la façon dont les gouvernements chercheront à surveiller et contrôler leurs populations à l'avenir. Il ne faut donc pas s'étonner que la Chine, en tant qu'épicentre de cette nouvelle épidémie de coronavirus, ouvre la voie à de nouvelles et jusqu'ici inimaginables façons de maintenir sa population sous contrôle pendant la crise.


La première chose à noter est l'ampleur de ce que le gouvernement chinois tente ici. La quarantaine imposée à Wuhan le mois dernier, englobant une ville de 11 millions d'habitants, était déjà la plus grande quarantaine de l'histoire de l'humanité. Mais lorsque cette mise en quarantaine s'est étendue pour englober toute la province du Hubei - une population de 57 millions d'habitants - la portée de l'isolement est devenue presque inimaginable. Comment maintenir une telle quarantaine?


Eh bien, comme nous l'avons tous vu, cela peut être fait par une bonne force brute à l'ancienne. En cas de doute, il suffit de souder la porte du malade pour qu'il ne puisse pas quitter sa chambre!


Mais pour vraiment gérer des millions de personnes, vous avez besoin d'une aide technologique. Et donc le gouvernement chinois a déployé tous les outils de son arsenal pour surveiller et maintenir des restrictions sur les citoyens et leurs mouvements.


Des drones volants pour harceler quiconque se promène sans masque? Vérifier.
Un système de surveillance vidéo à l'échelle nationale appelé — vous ne pouvez pas inventer — Skynet pour aider à repérer les fraudeurs de quarantaine? Vérifier.


Une note codée par couleur sur une application de paiement pour smartphone pour identifier les personnes à risque faible ou élevé de port du virus en fonction de leur historique de paiement et de voyage? Vérifier.

 

 

Si vous pouvez penser à un moyen effrayant et invasif de suivre et de contrôler la population, vous pouvez parier votre dernier dollar que le gouvernement chinois y a déjà pensé (et l'utilise probablement déjà).


Mais voici la vraie question: quand tout sera fini, pensez-vous que le gouvernement va simplement mettre ces technologies et ces systèmes à l'écart? Ou pensez-vous qu'une fois ce niveau de contrôle normalisé, les autorités du Parti communiste chinois continueront de l'utiliser?


Et voici la question encore plus vraie: pensez-vous qu'il existe un gouvernement partout dans le monde qui n'utiliserait pas cette technologie sur sa propre population si on lui donnait une excuse pratique (comme, disons, une panique sur un nouveau coronavirus)?


Les réponses à ces questions sont évidentes, mais il suffit de regarder le conditionnement des prisonniers qui a eu lieu dans les aéroports au cours des deux dernières décennies. Même les gens comme moi qui ont grandi avant le 11 septembre peuvent à peine croire qu'il fut un temps où l'on pouvait sauter dans un avion avec un peu plus d'un pas à travers un détecteur de métaux.

 

Quoi ? Vous voulez passer les contrôle de sécurité avec une bouteille d'eau !? Quoi, vous êtes fou ? En seulement deux décennies, toute l'expérience du transport aérien a été complètement transformée, et aucune déclaration de victoire dans la soi-disant «guerre contre le terrorisme» ne ramènera jamais les anciennes pratiques de filtrage de sécurité. Pour l'américain moyen, le TSA n'est plus qu'une réalité de la vie maintenant.


Et pour ceux qui vivent assez longtemps dans une répression de quarantaine, une surveillance gouvernementale complète de tous les mouvements, achats et interactions des citoyens ne sera qu'une réalité. Ces outils de contrôle sont là pour durer, et plus ces quarantaines durent et plus les zones concernées sont importantes, plus cela conditionnera le public à l'accepter.

 

  1. Un chèque en blanc pour Big Pharma et l'OMS


Lorsqu'un détective cherche à résoudre un crime, il est important de demander à qui profite le crime. Bien que cela puisse être circonstanciel, déterminer à qui profite un crime vous indique au moins certains suspects.


Dans ce cas, cependant, la question de savoir qui en bénéficie a une réponse simple: l'OMS en bénéficie, bien sûr. C'est l'OMS, L'Organisation Mondiale de la Santé, c'est. En tant qu'organisme des Nations Unies chargé de diriger la santé internationale et de diriger la réponse aux préoccupations sanitaires mondiales, l'OMS prend toujours le pouvoir au lendemain de chaque crise.


Pendant la non-crise de la grippe porcine et la non-crise de l'Ebola et la non-crise de la zika, l'OMS était dirigée par la Directrice générale Margaret Chan. C'est sous la surveillance de Chan, rappelez-vous, que l'OMS a déclaré que l'épidémie de grippe porcine de 2009 était une «pandémie mondiale», une décision qui a automatiquement déclenché des milliards de dollars d'achat de vaccins par divers gouvernements. Il s'agissait bien sûr d'une ponction d'argent flagrante, et même le Conseil de l'Europe était obligé de noter que les membres du conseil de l'OMS qui avait fait la déclaration de pandémie siégeaient également aux conseils des fabricants de vaccins qui devaient bénéficier de cette décision.


Avec l'épidémie de Covid-19 aussi, l'OMS joue un jeu avec la déclaration de pandémie, mais cette fois, sa motivation est exactement le contraire. En 2017, la Banque mondiale a émis une obligation de 425 milliards de dollars à l'appui de son mécanisme de financement d'urgence en cas de pandémie. Les investisseurs dans cette émission obligataire perdront tout si une pandémie mondiale est déclarée avant juillet. . . une raison principale, selon certains, pour laquelle l'OMS refuse d'appeler le coronavirus une pandémie bien qu'elle réponde très clairement aux critères.


Alors, qui dirige l'OMS cette fois-ci? Eh bien, ce n'est plus Margaret Chan. Elle a démissionné en 2017 et a été remplacée par Tedros Adhanom Ghebreyesus, un politicien et universitaire éthiopien qui, note William Engdahl, est le premier directeur général de l'OMS qui n'est même pas médecin.

 

Au lieu de cela, après avoir obtenu son diplôme en biologie à l'Université d'Asmara en Érythrée et avoir occupé un poste subalterne au ministère de la Santé sous la dictature marxiste de Mengistu, il:
"[...] est ensuite devenu ministre de la Santé de 2005 à 2012 sous la direction du Premier ministre Meles Zenawi. Il y a rencontré l'ancien président Bill Clinton et a entamé une étroite collaboration avec Clinton et la Fondation Clinton et son initiative Clinton sur le VIH / sida ( CHAI). Il a également développé une relation étroite avec la Fondation Bill et Melinda Gates. En tant que ministre de la Santé, Tedros présiderait également le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, cofondé par la Fondation Gates. Ce Fonds mondial est truffé de scandales de fraude et de corruption. "


Oh, vous voulez dire la Fondation Gates et leur Alliance GAVI pour la vaccination qui sont les plus grands donateurs de l'OMS? La Fondation Gates qui a aidé à organiser l'événement 201 « exercice de pandémie de haut niveau » à New York en octobre dernier, pendant lequel la guerre a mis à mal tout le scénario du coronavirus que nous vivons actuellement? Exact.


 

Et comment l'OMS va-t-elle sauver la situation? Avec les médicaments de Big Pharma, naturellement! Les gouvernements font déjà la queue pour promettre des dizaines de millions de dollars pour financer l'effort de développement d'un vaccin contre les coronavirus. Et ce n'est que le financement pour développer le vaccin. Il y a beaucoup plus de milliards qui attendent les grands fabricants pharmaceutiques qui peuvent livrer le premier vaccin sur le marché.


Oui, le coronavirus va être un gros revenu pour certaines personnes riches et bien connectées dans la mafia médicale internationale. Mais ne vous inquiétez pas, les politiciens vont aussi s'amuser. . .

 

  1. Une excuse pour appliquer la loi martiale médicale


Il y a dix ans, au milieu du battage médiatique contre la grippe porcine, j'ai publié un épisode du podcast The Corbett Report sur la loi martiale médicale. Dans cet épisode, j'ai exposé les différentes manières dont les gouvernements du monde entier (y compris, bien sûr, le gouvernement américain) ont discrètement adopté une législation qui leur permettrait d'appliquer la loi martiale en cas de pandémie mondiale. Cela leur permettrait de mettre en quarantaine et d'incarcérer les citoyens soupçonnés d'infection, et permettrait au gouvernement d'administrer tous les médicaments (y compris les vaccinations) qu'il jugerait nécessaires pour arrêter la propagation de l'infection.


Aux États-Unis en particulier, cette législation a pris la forme du Model State Emergency Health Power Act, un texte législatif élaboré par le Center for Disease Creation (CDC). La loi accorde au gouvernement le pouvoir de mettre en quarantaine, de forcer la vaccination et de mobiliser l'armée pour aider à mettre en œuvre les procédures d'urgence jugées nécessaires pour contenir l'épidémie. Il est conçu pour être transmis à chaque législature d'État afin que les États puissent harmoniser leurs plans d'urgence en cas de pandémie, créant essentiellement un système fédéral permettant la loi martiale médicale. Comme le note l'ACLU:


« La loi permet à un gouverneur de déclarer l'état d'urgence unilatéralement et sans contrôle judiciaire, ne prévoit pas de procédures modernes de mise en œuvre régulière de la quarantaine et d'autres pouvoirs d'urgence, ne dispose pas d'une compensation adéquate pour la saisie d'avoirs et ne contient aucun contrôle sur le pouvoir d'ordonner le traitement et la vaccination forcés. » 


Quoi qu'il en soit, au dernier décompte, cette loi a servi à la base pour 133 textes législatifs dans 33 États différents.


Et, bien sûr, les citoyens du monde occidental développé qui pensaient que la loi martiale ne concernait que les républiques bananières et les pays exotiques de l'Est sont sur le point de goûter à ce médicament amer, derrière le battage médiatique des coronavirus.


L'Australie vient d'activer son plan d'urgence en cas de pandémie malgré l'absence de cas de transmission interhumaine de Covid-19. Le plan accorde au gouvernement le pouvoir d'annuler les événements publics, de forcer les gens à travailler à domicile, de fermer les garderies et d'imposer autrement des obligations et des restrictions sur la vie quotidienne de ses citoyens comme bon lui semble.


Pour ne pas être en reste, le Conseil fédéral suisse vient de déclarer une « situation particulière » qui permet au conseil d'émettre des ordonnances de police d'urgence « sans fondement en droit fédéral ». Certains des pouvoirs explicitement assumés par le conseil comprennent le pouvoir de mandater des vaccinations, d'ordonner des quarantaines et d'interdire des événements ou de fermer des institutions.


Maintenant, la Grande-Bretagne, les États-Unis et d'autres pays dépoussièrent leurs propres plans d'urgence et se préparent à participer à la manne de la loi martiale.


Bien sûr, ce n'est pas seulement la réponse parfaitement prévisible au battage médiatique actuel de l'épidémie, c'était la réponse prévue. C'est vrai, comme indiqué ci-dessus, l'exercice de haut niveau baptisé Event 201 qui a eu lieu en octobre dernier et qui simulait une pandémie mondiale de coronavirus a fait l'objet de discussions approfondies sur la nécessité de mettre en œuvre la loi martiale médicale afin de contrôler le virus.


Ainsi, nous avons vu Stephen Redd du CDC exprimer pendant l'exercice que « les gouvernements doivent être prêts à faire des choses qui sont hors de leur perspective historique [sic].. C'est vraiment un pied de guerre sur lequel nous devons être ».


De même, Brad Connett, du fabricant de fournitures médicales Henry Schein Inc, a déclaré que «cela peut arriver rapidement. Un plan de type [loi] martiale - ils ne le diront peut-être pas exactement - mais un plan de type [loi] martiale peut être mis en oeuvre et stimuler le changement très rapidement. »


C'est certainement possible. Et quelle place pensez-vous que les gouvernements qui appliquent la loi martiale vont laisser la dissidence sur la question? Bien sûr, aucun. Mais comment vont-ils arrêter la diffusion d'informations à l'ère des réseaux sociaux toujours connectés 24 heures sur 24, 7 jours sur 7?


C'est drôle, devriez-vous vous demander, car cela nous amène à notre prochain objectif de l'agenda du Nouvel Ordre Mondial.

 

  1. Une excuse pour sévir contre Internet


Dans New World Next Year 2020 - l'épisode de clôture annuelle de New World Next Week en fin d'année - j'ai prédit que 2020 allait être la fin d'Internet telle que nous l'avons connu ! Au moment où j'ai formulé cette prédiction, le cirque électoral de 2020 (s) et la vague inévitable de censure qu'elle entraînerait pesaient lourdement dans mon esprit. Dans l'état actuel des choses, il est tout à fait possible que le coronavirus soit l'excuse commode pour que les gouvernements se fassent les muscles sur la censure d'Internet.

 

Zero Hedge a déjà vu son compte Twitter suspendu pour avoir publié les détails d'un scientifique chinois particulier travaillant dans le laboratoire bio de Wuhan, dont certains suspects étaient à l'origine de l'épidémie. Cela a été fait au nom de la politique de Twitter sur les «abus et le harcèlement», mais étant donné que le site Web n'a rien fait de plus que de publier les informations de contact déjà disponibles pour le scientifique, il semble plus probable que cela fasse partie d'une campagne pour contrôler la narration sur le coronavirus dès le départ.


Au moment où j'écris cet éditorial, la première page de Google Actualités (que je déconseille fortement d'utiliser comme source d'information, pour mémoire) est remplie de "Fact Checks" sur diverses théories sur les coronavirus qui flottent sur Internet.


Étant donné l'état actuel de la censure en ligne, peut-on douter que les gouvernements du monde entier sauteront sur l'occasion pour éliminer les voix dissidentes d'Internet? Alors que des informations alternatives sur le virus, ses origines et les vaccins destinés à le "guérir" inondent le net, une campagne de propagande différente de celles que nous avons vues auparavant sera menée pour présenter les fournisseurs de ces informations comme une menace pour l'ordre public. . Ils seront purgés d'Internet en conséquence, avec (sans aucun doute) l'approbation d'une grande partie de la population. Et avec ce précédent, ce ne sera qu'une question de temps avant que toute information contestant le pouvoir au pouvoir soit considérée comme une « menace pour l'ordre public » et effacée d'Internet.


Pour qu'il n'y ait aucun doute que la purge en ligne soit un aspect du scénario de pandémie qui est particulièrement important pour les Pouvoirs Qui Ne Devraient Pas Etre, il convient de noter que l'événement 201 a longuement insisté sur la façon de « stopper la propagation de la désinformation ». Leur réponse: coupures d'Internet et censure, bien sûr!

 

  1. Précipitation de la crise économique


Étant donné que je gagne ma vie en ligne, les perspectives de coupures d'Internet et de répression de la censure m'inquiètent. Mais avant d'être trop bouleversé par le sort d'un pauvre podcasteur, mettons cette crise en perspective: en supposant que le virus devienne pandémique, il est fort probable que ce sera la plus grande perturbation économique de notre vie.


C'est à ce point, que je voudrais mettre en avant certains faits pour appuyer une déclaration aussi audacieuse, mais étant donné que nous venons de voir la pire semaine sur les marchés depuis la crise financière, y compris la pire baisse de deux jours dans l'histoire du Dow Jones, je doute qu'il soit vraiment nécessaire d'élaborer.


Alors que les quarantaines de masse se développent, les événements publics sont annulés, les entreprises sont fermées et l'activité économique s'arrête généralement, il ne faut pas un génie pour déduire que nous sommes dans une crise économique mondiale aux proportions presque impensables. Mais les véritables perturbations vont commencer bien avant d'arriver à ce point.


Étant donné que les quarantaines de masse ont commencé en Chine, alias le maillon le plus important de la chaîne d'approvisionnement mondiale juste à temps, nous allons voir des difficultés importantes pour de nombreux fabricants produisant des biens de consommation de base dans un avenir très proche. Smartphones. Voitures. Même, dans une ironie perverse, des fournitures médicales. Une grande partie de l'économie mondiale qui dépend de l'industrie manufacturière chinoise connaît déjà des fermetures et des pénuries. Et ce n'est que le fil du rasoir de ce qui promet d'être une gigantesque lame.


Voici le pire: ces perturbations sont déjà intégrées dans le gâteau. Même si chacun sur la planète était soudainement guéri de sa maladie du jour au lendemain et que toutes les quarantaines étaient levées, les effets de ces dernières semaines de fermetures et de fermetures continueraient à se répercuter sur l'économie mondiale pendant des mois. Mais à mesure que la peur et le battage médiatique se propagent d'un continent à l'autre et que les perturbations massives augmentent, ces effets vont empirer de plus en plus.


Je voudrais développer ce point, mais j'ai le sentiment que cela va devenir un sujet de révision dominant et récurrent dans ces éditoriaux à l'avenir. Permettez-moi de dire ceci pour l'instant: que le coronavirus soit naturel ou d'origine humaine ou même qu'il existe, les effets économiques de cet événement vont être très réels et très profonds. Étant donné que j'écris pour l'International Forecaster et que je documente le schéma de Ponzi qui est l'économie mondiale moderne depuis plus d'une décennie maintenant, on me demande souvent quand l'arnaque va s'effondrer et la crise financière mondiale prévue depuis longtemps va frapper. Eh bien, il est très possible que la crise ait maintenant officiellement frappé et que les décennies de folie pie-in-the-sky-taux d'intérêt négatif hélicoptère-drôle-argent qui a tapi sur notre sombre réalité économique est sur le point de s'écrouler d'un coup.


Conclusion: la panique du coronavirus est un énorme coup de pouce pour l'agenda mondialiste


J'ai récemment entendu dire que si cela se transformait en pandémie mondiale, cela retarderait de plusieurs décennies l'ordre du jour mondialiste. Après tout, un événement comme celui-ci nous apprendra sûrement à tous une dure leçon d'autosuffisance nationale et le danger inhérent d'une chaîne d'approvisionnement mondiale surdimensionnée et juste à temps, non?
 

Bien sûr que non. Non, c'est la conclusion à laquelle aboutirait une personne rationnelle qui penserait la crise de manière rationnelle. Alors bien sûr, les mondialistes vont nous forcer à nourrir l'idée exactement opposée: qu'une crise comme celle-ci démontrera combien nous avons besoin d'une intégration encore plus globale entre tous les niveaux de la société publique et privée.


Vous ne me croyez pas ? Il suffit de lire le communiqué de presse que Johns Hopkins et les participants à l'événement 201 ont publié le mois dernier juste avant que "Wuhan" et "coronavirus" ne deviennent des sujets de conversation quotidiens:


« La prochaine pandémie grave entraînera non seulement de grandes maladies et des pertes de vies humaines, mais pourrait également entraîner des conséquences économiques et sociétales en cascade qui pourraient grandement contribuer à l'impact et à la souffrance à l'échelle mondiale. Des efforts pour empêcher de telles conséquences ou les réponses à leur apporter quand elles arrivent nécessitent des niveaux sans précédent de collaboration entre les gouvernements, les organisations internationales et le secteur privé. »


Oh c'est vrai. C'est une autre occasion de «faire échec». Après tout, comme ce grand devin mondialiste Rahm Emanuel nous l'a dit lors de la dernière catastrophe financière, le mantra de l’élite mondialiste est de « ne jamais laisser une bonne crise se perdre. » Pensez-vous vraiment que la présente «crise» (qu'elle soit réelle ou imaginaire) serait une exception?

Voir les commentaires

Lettre ouverte au GIEC de Marvin Herndon

17 Septembre 2017, 09:20am

Publié par Marvin Herndon

Lettre ouverte au GIEC de Marvin Herndon
Lettre ouverte aux membres de l'AGU,de l'EGU et du GIEC qui font la promotion d'une science mensongère au détriment de la santé humaine et de l'environnement

Commentaires sur le projet AGU de «  Déclaration de position sur la géo-ingénierie » [1]

J. Marvin Herndon (Membre AGU No. 10195343, Membre EGU N ° 144380)

© 2017 Creative Commons License: CC BY-NC-ND 4.0

Texte original en anglais : http://www.nuclearplanet.com/aguol1.pdf

Traduction Ciel voilé

 

Je suis membre de l'American Geophysical Union (AGU) depuis 45 ans. Durant cette période, j'ai publié des avancées scientifiques fondamentales dans des revues scientifiques connues mondialement [2]. En 2011, l'AGU a créé son groupe de travail sur l'éthique scientifique et l'intégrité et a sollicité les contributions de ses membres. Le 2 février 2012, j'ai répondu [3] par une déclaration de base sur l'éthique scientifique et l'intégrité: « Les scientifiques sont des personnes d'intégrité : ils défendent ce qui est juste. Ils disent la vérité et veillent à ce que la vérité soit connue. Ils ne mentent pas. » Dans cette réponse, j'ai donné des exemples précis de transgressions éthiques flagrantes par de telles « lumières » de l'AGU, comme Don Anderson médaillé de Science. Deux semaines plus tard, le président de ce groupe de travail, Peter Gleick, a démissionné, déshonoré par sa propre transgression éthique, rapportée nationalement.
 

De nombreux membres de l'AGU, ainsi que des membres du Groupe d'experts intergouvernemental des Nations Unies sur le changement climatique (GIEC) et l'Union européenne des géosciences (EGU) se sont engagés à ne pas dire toute la vérité sur le changement climatique. Ces scientifiques font la promotion d'une affirmation selon laquelle les gaz à effet de serre, en particulier le dioxyde de carbone anthropique, sont responsables du réchauffement climatique. Ils restent silencieux sur les conséquences de la géo-ingénierie par aérosols, quasi-quotidienne, et presque mondiale, qui se déroule depuis au moins les années 1990 à une échelle et avec une intensité accrues [4]. Le fait de ne pas discuter de ce phénomène anthropique mondial massif non seulement contredit la validité des affirmations de ces scientifiques sur le changement climatique, mais je prétends que ces individus et leurs institutions associées font partie de la plus grande arnaque scientifique jamais perpétrée. Et, aussi, qu'ils participent à une activité que beaucoup peuvent considérer comme un crime contre l'humanité et l'environnement [5].
 

Pendant 70 ans, l'intérêt militaire pour le contrôle de la météo a été bien documenté [6]. Les expériences militaires ont cherché comment provoquer la pluie et la neige ou comment empêcher les précipitations en pulvérisant des particules polluantes dans l'atmosphère à l'endroit où les nuages ​​se forment. Finalement, l'atmosphère devient trop chargée en humidité et des pluies torrentielles et des orages se déclenchent. L'effet net de l'activité de géo-ingénierie clandestine, presque quotidienne, presque planétaire sur l'environnement, par pulvérisations de particules de pollution dans l'atmosphère, est de contribuer au réchauffement climatique. Alors qu'une partie du rayonnement solaire est renvoyée dans l'espace par les aérosols, les particules de pollution délibérément répandues chauffent aussi l'atmosphère et entravent la perte de chaleur de la Terre. [4]. L'albédo de la neige et de la glace est abaissé par certaines particules lorsqu'elles tombent sur Terre. En outre, la preuve existe d'une opération secrète pour faire fondre délibérément la banquise en dispersant une pseudo-cryoconite [7].


La science du climat qui ne tient pas compte des activités en cours de géo-ingénierie par pulvérisations d'aérosols peut être considérée comme étant immorale - par omission, les mensonges se perpétuent à dessein. Cette explication malhonnête du climat,c'est un peu comme essayer de comprendre et de prévoir les marées océaniques sans tenir compte de l'existence de la lune et de son influence gravitationnelle.


Des membres haut placés et d'autres membres de l'AGU, de l'EGU et du GIEC ont été scandaleusement négligents en ignorant la géo-ingénierie par aérosols en cours. Non seulement leurs résultats en science du climat sont corrompus, mais ces scientifiques, qui refusent de reconnaître les preuves de l'ingénierie climatique en cours, manifestent un désintérêt total pour la santé humaine et l'environnement.


Même sans connaître la composition spécifique des particules de pollution qui sont pulvérisées dans l'air que nous respirons, certains de leurs effets potentiellement négatifs peuvent être déduits des études épidémiologiques de la pollution des aérosols de particules de même taille. Comme ces études l'ont montré [8], les particules de pollution dans la gamme de taille PM2.5 sont associées à la maladie d'Alzheimer [9,10], au cancer du poumon [11], au risque d'accident vasculaire cérébral [12], au risque de maladie cardiovasculaire [13 ], à l'inflammation pulmonaire et au diabète [14], à la réduction de la fonction rénale chez les hommes plus âgés [15], à la morbidité et à la mortalité prématurée [16-18], à la diminution de la fertilité masculine [19], au faible poids à la naissance [20], à l'apparition de l'asthme [21], et à l'augmentation des hospitalisations [22]. En outre, les résultats de l'enquête médico-légale sont compatibles avec les cendres volantes de charbon, déchets toxiques de la combustion du charbon en usines, probablement l'aérosol de la géo-ingénierie utilisé dans le monde entier [23-26]. Les composants chimiques des cendres volantes de charbon présentent une gamme de risques pour la santé extrêmement toxiques pour les humains et les autres biotes.


Certains membres de l'AGU, de l'EGU et du GIEC ont trompé le public, soit ouvertement, soit en ignorant la géo-ingénierie par aérosols en cours. Maintenant, l'AGU est en train d'établir un projet de « Déclaration de position de géo-ingénierie» [1] et, conformément à sa procédure normale, a demandé des commentaires à ses membres, via un formulaire internet à espace limité. Les fausses déclarations flagrantes contenues dans ce projet de déclaration exigent beaucoup plus de documents d'espace et de preuves que ceux qui peuvent être pris en compte par le formulaire internet. Par conséquent, mes commentaires sur le projet d'énoncé de position de la géo-ingénierie sont présentés ici, et sont disponibles pour une divulgation publique, ce qui peut être bénéfique dans le cas des responsabilités pénales et / ou civiles futures découlant des activités de géo-ingénierie passées, présentes et futures.


Personne n'a le droit d'empoisonner l'air que nous respirons tous, et personne n'a le droit d'en cacher les risques pour la santé au public.


Les membres du groupe contributeur responsables de l'ébauche de la déclaration de position de la géo-ingénierie [1] sont les suivants: David Victor (président), Ken Caldeira, Piers Forster, Ben Kravitz, Marcia McNutt, Joyce Penner, Alan Robock, Naomi Vaughan et Jennifer Wilcox.

Le projet de déclaration de position sur la géo-ingénierie est un document douteux qui non seulement ne dit pas la vérité, mais est produit par un panel composé d'au moins deux individus, Ken Caldeira et Marcia McNutt, qui, je l'affirme, ont l'habitude d'agir, c'est documenté, pour tromper la communauté scientifique et le public sur l'existence et les conséquences néfastes pour la santé humaine et l'environnement de la géo-ingénierie en cours par pulvérisations d'aérosols particulaires dans la troposphère.


Le programme militaire en cours de géo-ingénierie par aérosols a été mené sans divulgation publique. Dans un document de 2005, l'US Air Force a menti, affirmant qu'une telle activité n'existait pas [27]. Il existe deux sites internet de désinformation, exploités par Mick West, dont j'affirme qu'ils ont pour but de tromper le public au sujet des pulvérisations aériennes. En 2016, Ken Caldeira a fait équipe avec le « scientifique » Mick West et a publié un article dans Environmental Research Letters qui trompe la communauté scientifique sur « l'existence d'un programme secret de pulvérisation atmosphérique à grande échelle » en recueillant des opinions [28]. J'ai présenté une réfutation que la revue a refusé de publier [29].


Au début de l'arrivée d'Hitler au pouvoir en tant que chancelier, son régime a secrètement assassiné des « déficients», mais plus tard, avec le soutien de la communauté scientifique et de sa science raciale mensongère, Hitler a pu commettre certaines atrocités, comme la stérilisation forcée, légale [30]. La déclaration de position actuelle sur la géo-ingénierie est un parallèle déconcertant. Il y a des efforts concertés pour rendre la géo-ingénierie légale, mais en aucun cas à ma connaissance, l'histoire complète n'est racontée. La vérité complète n'est pas dévoilée dans le projet actuel de déclaration de l'AGU, et la volonté clandestine de légaliser l'ingénierie climatique est ainsi avancée.


Les femmes sont les porteuses et les protectrices de notre espèce et de notre descendance. Qu'est-il arrivé aux femmes de l'AGU ? Est-ce que l'une d'entre elles a été interrogée ou a parlé de la géo-ingénierie en cours par pulvérisations aériennes de particules ? Ont-elles été trompées, ou ont-elles avorté de leur humanité? Au moins, une membre du panel féminin, Marcia McNutt, présidente de l'Académie Nationale des Sciences (NAS), a été informée de la géo-ingénierie en cours [31], mais, par ce projet de déclaration, je prétends qu'elle a l'intention de tromper l'AGU et tous ceux qui pourraient être convaincus par l'énoncé de position sur la géo-ingénierie de l'AGU.


Au lieu d'être un corps de scientifiques disposés et en mesure de fournir des conseils scientifiques indépendants au Congrès des États-Unis, l'Académie Nationale des Sciences, je l'affirme, a été corrompue et cooptée pour servir un programme politique qui peut être qualifié de tyrannie contre les populations humaines, qui implique des crimes contre l'humanité [5]. Au fur et à mesure que les conséquences néfastes pour la santé de la géo-ingénierie continue et en cours deviendront publiques, peut-être la communauté juridique déclenchera-t-elle des poursuites en recours collectif.


Personne n'a le droit d'empoisonner l'air que nous respirons et personne n'a le droit de tromper le public sur les risques néfastes pour la santé impliqués par la géo-ingénierie clandestine. Même l'armée n'a pas ce droit.


J'ai publié trois articles dans les Actes de l'Académie Nationale des Sciences (PNAS) en 1996 [32], 2001 [33] et 2003 [34]. Le 28 avril 2016, j'ai présenté un document au PNAS intitulé « Nouvelle preuve de toxines pulvérisées en aérosols dans la basse atmosphère ». Au lieu d'envoyer le manuscrit pour qu'il soit revu par des pairs, un membre NAS du comité de rédaction de PNAS a rejeté le document car il « manquait l'intérêt général nécessaire à un examen plus approfondi par le journal ». Mon appel a reçu un rejet similaire d'un autre membre NAS du comité de rédaction PNAS. Ces actions, faites sans évaluation par les pairs, je l'affirme, ont eu pour conséquence de tromper la communauté scientifique et le public sur l'existence d'une opération à grande échelle, non divulguée, qui pose potentiellement des risques pour la santé de pratiquement tous les biotes, presque à l'échelle planétaire.


Récemment, PNAS a publié un article d'avis de pro-géo-ingénierie [35] qui comme le projet de position AGU se garde bien de mentionner la géo-ingénierie en cours par pulvérisations aériennes de particules. Les institutions dont les cadres / le corps enseignant / le personnel s'engagent dans des activités de gouvernance de la géo-ingénierie en se basant sur la tromperie et le refus de dire toute la vérité, ne devraient pas, à mon avis, recevoir des subventions et des contrats fédéraux.


Le projet de Déclaration de Position sur la Géo-ingénierie encourage les efforts internationaux alors qu'en fait, la géo-ingénierie par aérosols est déjà une opération internationale à laquelle des millions de personnes s'opposent [36] parmi lesquelles certaines ont déposé des plaintes auprès de leurs gouvernements [37].


Enfin, les professionnels de la désinformation ont déployé des efforts concertés pour tromper le public sur les risques sanitaires impliqués par la géo-ingénierie par aérosols troposphériques, y compris trois cas, deux réussis, où les rédacteurs de revues de santé publique ont été contraints de rétracter injustement mes articles scientifiques revus par des pairs et publiés, qui sonnent l'alarme sur les risques pour la santé, sans jamais me permettre de voir ni de répondre à la désinformation [38].

 

 Ma réputation a été diffamée sur des sites internet de désinformation. Même ma page Wikipedia a été marginalisée et falsifiée. C'est peut-être la preuve la plus révélatrice de l'opération honteuse, délétère et, je l'affirme, criminelle, que l'AGU est cooptée pour son projet de déclaration de position sur la géo-ingénierie. En tant que membre de longue date de l'AGU, je suis consterné. Je crois que de nombreux autres membres seront également consternés lorsque la vérité de cette tromperie sera révélée.


Plutôt que de devenir une partie volontaire et juridiquement coupable de cette débâcle, la directrice générale / chef de la direction de l'AGU, Christine W. McEntee, devrait publier ma réponse dans son intégralité sur EOS.

 

 

Références

 

1. http://www.nuclearplanet.com/agudgs.pdf From: Landau, E. (2017), Position statement on geoengineering: Call for comments, Eos, 98, https://doi.org/10.1029/2017EO080579. Published on 24 August 2017.

 

2. http://www.nuclearplanet.com/cv2.pdf

 

3. http://www.nuclearplanet.com/aguethics.pdf

 

4. Herndon, J.M. Evidence of variable Earth-heat production, global non-anthropogenic climate change, and geoengineered global warming and polar melting. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn. 2017, 10, 16.

 

5. Sands, P. East west street: On the origins of "genocide" and "crimes against humanity". Knopf: New York, 2016.

 

6. Fleming, J.R. Fixing the sky: The checkered history of weather and climate control. Columbia University Press: New York, 2010.

 

7. Herndon, J.M. An indication of intentional efforts to cause global warming and glacier melting. J. Geography Environ. Earth Sci. Int. 2017, 9, 1-11.

 

8. Kampa, M.; Castanas, E. Human health effects of air pollution Environmental Pollution 2008, 151, 362-367.

 

9. Calderon-Garciduenas, L.; Franko-Lira, M.; Mora-Tiscareno, A.; Medina-Cortina, H.; Torres-Jardon, R.; et al. Early alzheimer's and parkinson's diese pathology in urban children: Friend verses foe response - it's time to face the evidence. BioMed Research International 2013, 32, 650-658.

 

10. Moulton, P.V.; Yang, W. Air pollution, oxidative stress, and alzheimer's disease. Journal of Environmental and Public Health 2012, 109, 1004-1011.

 

11. Beeson, W.L.; Abbey, D.E.; Knutsen, S.F. Long-term concentrations of ambient air pollutants and incident lung cancer in california adults: Results from the ahsmog study. Environ. Health Perspect. 1998, 106, 813-822.

 

12. Hong, Y.C.; Lee, J.T.; Kim, H.; Kwon, H.J. Air pollution: A new risk factor in ischemic stroke mortality. Stroke 2002, 33, 2165-2169.

 

13. Haberzetti, P.; Lee, J.; Duggineni, D.; McCracken, J.; Bolanowski, D.; O'Toole, T.E.; Bhatnagar, A.; Conklin, D., J. Exposure to ambient air fine particulate matter prevents vegf-induced mobilization of endothelial progenitor cells from bone matter. Environ. Health Perspect. 2012, 120, 848-856.

 

14. Potera, C. Toxicity beyond the lung: Connecting pm2.5, inflammation, and diabetes. Environ. Health Perspect. 2014, 122, A29.

 

15. Mehta, A.J.; Zanobetti, A.; Bind, M.-A., C.; Kloog, I.; Koutrakis, P.; Sparrow, D.; Vokonas, P.S.; Schwartz, J.D. Long-term exposure to ambient fine particulate matter and renal function in older men: The va normative aging study. Environ. Health Perspect. 2016, 124(9), 1353-1360.

 

16. Dai, L.; Zanobetti, A.; Koutrakis, P.; Schwartz, J.D. Associations of fine particulate matter species with mortality in the united states: A multicity time-series analysis. Environ. Health Perspect. 2014, 122, 837-842.

 

17. Dockery, D.W.; Pope, C.A.I.; Xu, X.P.; Spengler, J.D.; Ware, J.H.; et al. An association between air polution and mortality in six U. S. Cities. N. Eng. J. Med. 1993, 329, 1753-1759.

 

18. Pope, C.A.I.; Ezzati, M.; Dockery, D.W. Fine-particulate air polution and life expectancy in the united states. N. Eng. J. Med. 2009, 360, 376-386.

 

19. Pires, A.; de Melo, E.N.; Mauad, T.; Saldiva, P.H.N.; Bueno, H.M.d.S. Pre- and postnatal exposure to ambient levels of urban particulate matter (pm2.5) affects mice spermatogenesis. Inhalation Toxicology: International Forum for Respiratory Research: DOI: 10.3109/08958378.2011.563508 2011, 23.

 

20. Ebisu, K.; Bell, M.L. Airborne pm2.5 chemical components and low birth weight in the northeastern and mid-atlantic regions of the united states. Environ. Health Perspect. 2012, 120, 1746-1752.

 

21. Tetreault, L.-F.; Doucet, M.; Gamache, P.; Fournier, M.; Brand, A.; Kosatsky, T.; Smargiassi, A. Childhood exposure to ambient air pollutants and the onset of asthma: An administrative cohort study in quebec. Environ. Health Perspect. 2016, 124(8), 1276.

 

22. Bell, M.L.; Ebisu, K.; Leaderer, B.P.; Gent, J.F.; Lee, H.J.; Koutrakis, P.; Wang, Y.; Dominici, F.; Peng, R.D. Associations of pm2.5 constituents and sources with hospital admissions: Analysis of four counties in connecticut and massachusetts (USA). Environ. Health Perspect. 2014, 122, 138-144.

 

23. Herndon, J.M. Aluminum poisoning of humanity and earth's biota by clandestine geoengineering activity: Implications for india. Curr. Sci. 2015, 108, 2173-2177.

 

24. Herndon, J.M. Obtaining evidence of coal fly ash content in weather modification (geoengineering) through analyses of post-aerosol spraying rainwater and solid substances. Ind. J. Sci. Res. and Tech. 2016, 4, 30-36.

 

25. Herndon, J.M. Adverse agricultural consequences of weather modification. AGRIVITA Journal of agricultural science 2016, 38, 213-221.

 

26. Herndon, J.M.; Whiteside, M. Further evidence of coal fly ash utilization in tropospheric geoengineering: Implications on human and environmental health. J. Geog. Environ. Earth Sci. Intn. 2017, 9, 1-8.

27. http://www.nuclearplanet.com/usaf1.pdf

 

28. Shearer, C.; West, M.; Caldeira, K.; Davis, S.J. Quantifying expert consensus against the existence of a secret large-scale atmospheric spraying program. Environ. Res. Lett. 2016, 11(8), p. 084011.

 

29. http://www.nuclearplanet.com/Public_Deception_by_Scientists.html

30. Friedlander, H. The origins of nazi genocide: From euthanasia to the final solution. University of North Carolina Press: Chapel Hill, North Carolina, USA, 1995.

31. http://www.nuclearplanet.com/mcnutt1.pdf

 

32. Herndon, J.M. Sub-structure of the inner core of the earth. Proc. Nat. Acad. Sci. USA 1996, 93, 646-648.

 

33. Hollenbach, D.F.; Herndon, J.M. Deep-earth reactor: Nuclear fission, helium, and the geomagnetic field. Proc. Nat. Acad. Sci. USA 2001, 98, 11085-11090.

 

34. Herndon, J.M. Nuclear georeactor origin of oceanic basalt 3He/4He, evidence, and implications. Proc. Nat. Acad. Sci. USA 2003, 100, 3047-3050.

 

35. Parson, E.A. Opinion: Climate policymakers and assessments must get serious about climate engineering. Proceedings of the National Academy of Sciences 2017, 201713456.

 

36. http://www.nuclearplanet.com/websites.pdf

 

37. http://www.guardacielos.org/

 

38. http://www.nuclearplanet.com/explainretractions.pdf

 

 

 

 

 

 

Voir les commentaires

L'aluminium de la géo-ingénierie clandestine empoisonne les êtres humains et le biote terrestre : implications pour l'Inde

9 Juillet 2015, 08:54am

Publié par J Marvin Herndon

J Marvin Herndon

J Marvin Herndon

Article de J Marvin Herndon publié le 25 juin dans Current Science - Traduction française : Ciel voilé

En réponse à un urgent appel à l'aide lancé par un article de Current Science pour comprendre le lien géologique entre une mobilité extrêmement élevée de l'aluminium et la santé humaine dans la plaine alluviale du Gange, j'apporte la preuve qu'une activité de géo-ingénierie clandestine est en cours depuis au moins 15 ans, et qu'elle s'est accrue fortement ces deux dernières années. La géo-ingénierie, via des avions-citernes, disperse dans l'atmosphère terrestre une substance toxique, qui n'y est pas présente naturellement et qui avec la pluie libère de l'aluminium extrêmement mobile. De plus, j'apporte la preuve que cette substance toxique est de la cendre de charbon. Je fais l'hypothèse que la dispersion clandestine de cendres de charbon et la libération d'aluminium très mobile qui en résulte, est une cause déterminante de l'augmentation rapide et de la fréquence des maladies neurologiques ainsi que de l'actuelle dégradation du biote* terrestre.

Mots-clés : empoisonnement à l'aluminium, biote, activité de géo-ingénierie clandestine, cendre volante de charbon.

Dans leur article intitulé " Extrême mobilité de l'aluminium dans le bassin de la rivière Gomati : implications pour la santé humaine" Jigyasu et al[1]. constatent "qu'une étude pluridisciplinaire sytématique est nécessaire, de façon urgente, pour comprendre le lien entre une haute mobilité de l'aluminium et la santé humaine dans la vallée alluviale du Gange, l'une des régions les plus peuplées au monde." Le présent article se veut une réponse, au moins partielle, à cet appel à l'aide.

La vie sur Terre est née et a évolué dans des conditions d'une extrême immobilité de l'aluminium (Al), un élément chimique qui représente 8% du poids de la croûte terrestre. Par conséquent, le biote de la planète, y compris les êtres humains, n'a pas développé de mécanismes de défense naturelle face à l'exposition à une forme chimiquement mobile d'aluminium. Dans le monde entier, depuis au moins dix ans, et avec une intensité dramatiquement croissante, notre planète est délibérément et clandestinement exposée à une substance pas naturelle, qui disperse dans l'environnement de l'aluminium chimiquement toxique.

J'apporte ici la preuve de la dispersion et de la nature de cette substance artificielle et je décris son implication potentielle dans la dégradation de l'environnement12 et de la santé humaine2-11, et je discute des implications pour l'Inde à la lumière des niveaux extrêmement élevés publiés récemment d'aluminium chimiquement mobile observé dans l'eau de la rivière Gomati, un affluent majeur du Gange, dans la plaine alluviale du Gange au nord de l'Inde.

Le programme du "réchauffement climatique" a commencé dans les années 1980, en particulier avec la création du GIEC ( Groupement International d'Experts du Climat) en 1988, par l'ONU. Le premier rapport du GIEC en 1990 affirme que la planète se réchauffe et que ce réchauffement climatique se poursuivra probablement dans le futur. Le présumé coupable serait l'activité humaine : le rejet de dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère, serait supposé produire des gaz à effet de serre. C'est alors que les modélisateurs apparaissent munis de modèles climatiques à l'échelle planétaire, basés sur l'assertion fausse selon laquelle la chaleur émise par le Soleil et la chaleur émise par la Terre seraient toutes deux constantes.

Considérer, de façon irréaliste, ces deux variables prédominantes comme des constantes, permet de rendre significatif le minuscule effet de serre dû à l'augmentation du dioxyde de carbone. Le résultat voulu de ces modèles climatiques est de démontrer que les activités humaines provoqueraient le réchauffement climatique et que les conséquences seraient désastreuses, menaçant la vie sur terre et toute forme de vie. Mise en avant par la politique, la finance et la glorification d'intérêts personnels, l'idée d'un réchauffement climatique d'origine anthropique prend racine. Pourtant il existe une autre explication qui n'a rien à voir avec l'activité humaine13.

Depuis 1996, le GIEC mentionne dans ses rapports la possibilité de manipuler le climat ou d'utiliser la "géo-ingénierie", l'idée de disperser des substances réfléchissantes dans la haute atmosphère ( la stratosphère) pour renvoyer dans l'espace une partie du rayonnement solaire incident afin de compenser le soi-disant réchauffement climatique anthropique. L'élan pour cette idée de manipuler le climat par la géo-ingénierie est venu de l'observation, après une importante éruption volcanique : les cendres peuvent rester pendant une année ou plus dans la stratosphère, où peu d'échanges se produisent, obscurcissant l'ensoleillement et abaissant globalement les températures.

On trouve beaucoup d'informations et de preuves sur internet et dans des livres montrant que des activités de géo-ingénierie clandestines sont menées depuis des années, remontant même au début des années 2000. De façon notable et alarmante, on a observé de profondes augmentations de l'activité de géo-ingénierie, depuis début 201314-16. Mais ce n'est pas reconnu publiquement, il n'y aucune explication donnée, aucune recherche académique, aucun consentement éclairé, et aucune divulgation quant à la nature des substances toxiques dispersées dans l'air. A l'inverse, apparaît une forme systématique de désinformation, la volonté d'étiqueter les observateurs concernés du surnom péjoratif de "théoriciens du complot", et d'en déduire à tort que les traînées chimiques toxiques que l'on observe, caractéristiques de la géo-ingénierie, seraient simplement dues à la formation de cristaux de glace provenant des émissions des avions de ligne commerciaux volant à des altitudes élevées17.

Figure 1. Trainées chimiques toxiques d'épandages aériens clandestins de géo-ingénierie, en début de journée à San Diego, États-Unis, le 8 août 2014. La trainée de l'avion-citerne s'étale, formant au début un nuage fin, puis un voile blanc.  Figure 2. Plusieurs trainées chimiques toxiques de géoingénierie clandestine, au-dessus d'une d'une zone reconnaissable de San Diego, Kearney Mesa, le 16 janvier 2015.  Figure 3. Intense épandage par des avions-citernes pour les programmes clandestins de géo-ingénierie, le 23 Novembre 2014 sur San Diego. Initialement, le ciel était d'un bleu pur ce jour-là, dépourvue de tout nuage naturel.Le matériau toxique utilisé ne reste pas dans la haute atmosphère, mais contamine l'air respiré par les habitants de San Diego, la pluie et le sol.
Figure 1. Trainées chimiques toxiques d'épandages aériens clandestins de géo-ingénierie, en début de journée à San Diego, États-Unis, le 8 août 2014. La trainée de l'avion-citerne s'étale, formant au début un nuage fin, puis un voile blanc.  Figure 2. Plusieurs trainées chimiques toxiques de géoingénierie clandestine, au-dessus d'une d'une zone reconnaissable de San Diego, Kearney Mesa, le 16 janvier 2015.  Figure 3. Intense épandage par des avions-citernes pour les programmes clandestins de géo-ingénierie, le 23 Novembre 2014 sur San Diego. Initialement, le ciel était d'un bleu pur ce jour-là, dépourvue de tout nuage naturel.Le matériau toxique utilisé ne reste pas dans la haute atmosphère, mais contamine l'air respiré par les habitants de San Diego, la pluie et le sol.
Figure 1. Trainées chimiques toxiques d'épandages aériens clandestins de géo-ingénierie, en début de journée à San Diego, États-Unis, le 8 août 2014. La trainée de l'avion-citerne s'étale, formant au début un nuage fin, puis un voile blanc.  Figure 2. Plusieurs trainées chimiques toxiques de géoingénierie clandestine, au-dessus d'une d'une zone reconnaissable de San Diego, Kearney Mesa, le 16 janvier 2015.  Figure 3. Intense épandage par des avions-citernes pour les programmes clandestins de géo-ingénierie, le 23 Novembre 2014 sur San Diego. Initialement, le ciel était d'un bleu pur ce jour-là, dépourvue de tout nuage naturel.Le matériau toxique utilisé ne reste pas dans la haute atmosphère, mais contamine l'air respiré par les habitants de San Diego, la pluie et le sol.

Figure 1. Trainées chimiques toxiques d'épandages aériens clandestins de géo-ingénierie, en début de journée à San Diego, États-Unis, le 8 août 2014. La trainée de l'avion-citerne s'étale, formant au début un nuage fin, puis un voile blanc. Figure 2. Plusieurs trainées chimiques toxiques de géoingénierie clandestine, au-dessus d'une d'une zone reconnaissable de San Diego, Kearney Mesa, le 16 janvier 2015. Figure 3. Intense épandage par des avions-citernes pour les programmes clandestins de géo-ingénierie, le 23 Novembre 2014 sur San Diego. Initialement, le ciel était d'un bleu pur ce jour-là, dépourvue de tout nuage naturel.Le matériau toxique utilisé ne reste pas dans la haute atmosphère, mais contamine l'air respiré par les habitants de San Diego, la pluie et le sol.

J'habite la même maison depuis 1977, et j'ai vu la même portion du ciel presque chaque jour. Après que les brumes marines matinales se soient dispersées, le ciel de San Diego, en Californie, aux États-Unis, a souvent été sans nuage et la pluie rare. L'air y est chaud et sec, peu propice à la formation de cristaux de glace en provenance des traînées émises par les avions de ligne à haute altitude. Depuis le printemps 2014, j'ai observé l'apparition régulière de trainées toxiques de géo-ingénierie dans la basse atmosphère ( troposphère) qui se mélangent à l'air que nous respirons, et l'augmentation de leur fréquence (figures 1 et 2). Depuis novembre 2014, les épandages en provenance d'avions-citernes sont devenus presque quotidiens, parfois au point de transformer le ciel bleu en une couverture de nuages artificiels (figure 3). De façon troublante, ni le maire ni le chef de la police de San Diego n'ont lancé d'avertissements même pour les personnes les plus à risque : les enfants, les femmes enceintes, les personnes âgées et ceux dont le système immunitaire et respiratoire est déjà compromis.

Si on utilisait des cendres volcaniques naturelles pour les épandages aériens de la géo-ingénierie, ce qui n'est pas le cas, ce ne serait pas sans risque pour la santé. On a observé un manque de souffle, des respirations sifflantes, de la toux et des irritations des yeux et du nez18.

Mais à ma connaissance, la dispersion dans l'atmosphère d'aluminium mobile n'est pas faite avec des cendres volcaniques naturelles. L'extraction et le fraisage de pierre pour produire des cendres volcaniques artificielles en quantité suffisante, 10 à 12 millions de tonnes par an, afin de mettre en œuvre un programme à grand échelle de géo-ingénierie dans le but de refroidir la planète, serait horriblement coûteux. Des produits chimiques de synthèse seraient aussi bien trop chers, sauf pour un usage occasionnel clandestin, lors d'expériences de modification du temps ou de guerre climatique.

Cependant, il existe des déchets extrêmement bon marché et immédiatement disponibles, en quantité illimitée, d'une taille adaptée aux dispersions d'aérosols, des déchets qui nécessitent un retraitement : les cendres de charbon volantes représentent le second déchet industriel le plus important de l'économie américaine. Bien que rien ne filtre sur les opérations massives de géo-ingénierie stratosphérique, même non reconnues à ce jour, comme décrit ci-dessous, il y a de bonnes raisons de penser que les cendres de charbon volantes soient le principal ingrédient utilisé en géo-ingénierie.

La combustion du charbon dans l'Ouest des États-Unis, surtout dans les usines électriques, produits des cendres lourdes qui se déposent, ainsi que des cendres volantes qui autrefois étaient rejetées par les cheminées extérieures dans l'atmosphère, mais qui de nos jours sont conservées et stockées en raison de leurs effets nocifs bien connus sur la santé humaine et leurs dommages sur l'environnement.

Les cendres de charbon volantes sont des déchets dangereux à stocker parce que l'eau infiltre les éléments toxiques19. Les opérations de lixiviation** sur des cendres volantes de charbon sont classiquement menées pour comprendre/atténuer leur mobilité chimique induite par les nappes phréatiques20-21. Moreno et al20. ont étudié en laboratoire le comportement de 23 échantillons de cendres volantes de charbon en provenance de différentes centrales électriques européennes. La sélection couvrait la plupart des types de cendres de charbon volantes produites dans l'Union Européenne. Toutes sauf une ont été collectées sur des précipitateurs électrostatiques. La procédure de lixiviation employée nécessitait le mélange de 100 g de cendres volantes de charbon et d'un litre d'eau distillée dans des bouteilles de 2 litres pendant 24 heures. Les auteurs rapportent l'importance de 38 éléments dans le précipité incluant de l'uranium et du thorium radioactifs, et d'un intérêt particulier ici : de l'aluminium, du baryum et du strontium. Ensemble, l'aluminium, le baryum et le strontium sont la marque de la principale substance toxique utilisée dans la géo-ingénierie clandestine.

De juillet 2011 à novembre 2012, on a analysé l'aluminium et le baryum présents dans 73 échantillons d'eau de pluies. 71 échantillons ont été prélevés en Allemagne sur 60 lieux différents, 1 en France et 1 en Autriche. L'aluminium était présent dans 77% des échantillons à une concentration moyenne de 17.68 µg/l. La concentration moyenne du baryum s'élevait à 3.38 µg/l. Celle du strontium à 2.16 µg/l également observée dans 23 échantillons d'eau de pluie22.

A ma connaissance, il n'y a pas eu d'expérience de filtration sur les cendres volantes de charbon, exposées à des conditions telles que celles que l'on pourrait attendre d'une dispersion d'aérosols dans l'atmosphère, comme l'exposition aux UV, l'abrasion par le contact avec des particules ou les décharges électrostatiques. Lors d'une analyse faite dans une zone non industrielle du nord de la Californie, l'eau de pluie collectée pendant un orage et des éclairs contenait 3450 µg/l d'aluminium, alors qu'un échantillon similaire collecté 10 jours plus tôt contenait 850 µg/l d'aluminium16, la différence peut avoir ou non un rapport avec une décharge électrique.

Figure 4. Aluminium contenu dans les échantillons d'eau de pluie en fonction de la date de prélèvement. L'écart entre 2002 et 2006 ne signifie pas une absence de géoingénierie clandestine : de nombreuses photos sont disponibles durant cette période.

Figure 4. Aluminium contenu dans les échantillons d'eau de pluie en fonction de la date de prélèvement. L'écart entre 2002 et 2006 ne signifie pas une absence de géoingénierie clandestine : de nombreuses photos sont disponibles durant cette période.

La figure 4 montre la mesure de l'aluminium dans des échantillons d'eau de pluie collectés de 2001 à 2014. En général, ce sont des scientifiques indépendants qui ont payé de leur poche les frais d'analyses en laboratoire, d'où le peu de données. Les scientifiques universitaires subventionnés par le gouvernement n'ont pas fait de mesures comparables ou bien ne les ont pas publiées. L'évaporation de l'eau de pluie concentre l'aluminium présent. Dans une mare étanche remplie par la pluie et l'eau d'un puits contenant un niveau indétectable d'aluminium, la concentration d'aluminium s'élevait à 375 000 µg/l16.

Figure 5. Empreinte comparable des ratios Al / Ba dans des eaux de pluie prélevées après épandages de géo-ingénierie et le lixiviat de cendres volantes de charbon. Le placement sur l'axe horizontal est arbitraire pour étaler  les points de données.

Figure 5. Empreinte comparable des ratios Al / Ba dans des eaux de pluie prélevées après épandages de géo-ingénierie et le lixiviat de cendres volantes de charbon. Le placement sur l'axe horizontal est arbitraire pour étaler les points de données.

En utilisant des ratios, on peut comparer directement la composition de l'eau de pluie à celle des cendres volantes de charbon dans les expériences de lixiviation. La figue 5 compare le ratio du poids de l'aluminium sur celui du baryum Al/Ba dans l'eau de pluie et dans le lixiviat de cendres de charbon volantes. Les dispersions des valeurs Al/Ba pour l'eau de pluie et pour le lixiviat de cendres volantes de charbon sont si proches qu'on ne peut les distinguer, alors que les échantillons d'eau de pluie ont été collectés à différents endroits, à différentes périodes, avec des degrés différents d'épandages d'aérosols toxiques, et les cendres volantes de charbon varient aussi dans leur lieu d'origine et leur composition.

Figure 6. Empreinte comparable des ratios Sr / Ba dans des eaux de pluie prélevées après épandages de géo-ingénierie et le lixiviat de cendres volantes de charbon. Le placement sur l'axe horizontal est arbitraire pour étaler  les points de données.

Figure 6. Empreinte comparable des ratios Sr / Ba dans des eaux de pluie prélevées après épandages de géo-ingénierie et le lixiviat de cendres volantes de charbon. Le placement sur l'axe horizontal est arbitraire pour étaler les points de données.

La figure 6 compare le rapport des poids du strontium et du baryum Sr/Ba dans les eaux de pluie et dans les lixiviats de cendres de charbon. Les dispersions des valeurs Sr/Ba se confondent virtuellement alors que les échantillons d'eau de pluie ont été collectés à différents endroits, à différentes périodes, avec des degrés différents d'épandages d'aérosols toxiques, et les cendres volantes de charbon varient aussi dans leur lieu d'origine et leur composition. Les données présentées ci-dessus constituent la preuve que les cendres volantes de charbon sont la substance principale employée dans les activités de géo-ingénierie clandestines depuis au moins 15 ans aux États-Unis et depuis des périodes inconnues en Europe de l'Ouest, en Nouvelle Zélande et peut-être ailleurs.

De telles activités de géo-ingénierie clandestines ont exposé l'humanité et le biote de la Terre à de l'aluminium très mobile, une substance toxique qu'on ne trouve pas dans l'environnement naturel et face à laquelle aucune immunité naturelle n'a été développée.

Pendant la période d'utilisation des cendres volantes de charbon pour les activités de géo-ingénierie clandestines, les maladies neurologiques impliquant l'aluminium ont explosé, elles comprennent l'autisme, la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson, le trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité, et bien d'autres, ainsi que des destructions multiples de la vie végétale et animale. L'aluminium très mobile des cendres volantes de charbon dispersé par la géo-ingénierie en est la cause selon moi. Comment vérifier cette information ? En principe, on devrait observer une corrélation entre la quantité de cendres volantes de charbon dispersées dans l'atmosphère par la géo-ingénierie et l'apparition des maladies neurologiques impliquant l'aluminium. Mais il y a peu de chance que les données des activités de géo-ingénierie clandestines soient un jour divulguées. Après la réélection du Président Barack Hussein Obama pour un second mandat le 20 janvier 2013, les activités de géo-ingénierie clandestines ont fortement augmenté devenant quasi-quotidiennes dans beaucoup d'endroits aux Etats-Unis14-16. Si les activités de géo-ingénierie clandestines sont les causes majeures des maladies neurologiques impliquant l'aluminium, alors leur apparition devrait avoir fortement augmenté depuis le 20 janvier 2013, bien que ce soit une preuve horrible des crimes contre l' humanité et le biote terrestre d'une ampleur et d'une gravité jamais expérimentées jusqu'alors.

Figure 7. Carte de localisation du bassin de la rivière Gomati (courtoisie: Jigyasu et al.1).  Figure 8. Répartition saisonnière de la concentration d'aluminium dissout dans les eaux de pluie et rejet dans la rivière Gomati à Chandwak (courtoisie: Jigyasu et al.1).Figure 7. Carte de localisation du bassin de la rivière Gomati (courtoisie: Jigyasu et al.1).  Figure 8. Répartition saisonnière de la concentration d'aluminium dissout dans les eaux de pluie et rejet dans la rivière Gomati à Chandwak (courtoisie: Jigyasu et al.1).

Figure 7. Carte de localisation du bassin de la rivière Gomati (courtoisie: Jigyasu et al.1). Figure 8. Répartition saisonnière de la concentration d'aluminium dissout dans les eaux de pluie et rejet dans la rivière Gomati à Chandwak (courtoisie: Jigyasu et al.1).

plaine alluviale du Gange, comme on peut la voir figure 7, longe les montagnes himalayennes qui forment une barrière naturelle au passage des nuages. En fonction des saisons, comme l'ont découvert Jigyasu et al. la pluie déverse des quantités toxiques d'aluminium extrêmement mobile dans le bassin de la rivière Gomati. Je fais l'hypothèse que la première origine de cet aluminium extrêmement mobile est la cendre volante de charbon dispersée en aérosols. Cette hypothèse est relativement facile à vérifier en prélevant des échantillons d'eau de pluie et en y analysant l'aluminium, le baryum et le strontium. Si la cendre de charbon est l'origine première de cet aluminium extrêmement mobile, alors une question plus difficile doit se poser. Quelle proportion de cendres volantes de charbon pulvérisées en aérosols vient des activités de géo-ingénierie clandestines et quelle proportion provient de la combustion industrielle du charbon en Inde ? Une approche experte à envisager serait de prélever des échantillons de cendres volantes de charbon directement dans les nuages de mousson et dans les nuages avant qu'ils n'entrent dans l'espace aérien indien. Ces échantillons pourraient alors être comparés aux échantillons de cendres volantes de l'industrie indienne. Bien que l'investigation experte décrite ci-dessus soit difficile et coûteuse, ses résultats pourraient aider l'Inde à améliorer la santé de ses citoyens.

* En écologie, un biote ou biota [du grec βίος, vie] est l’ensemble des organismes vivants (flore, faune et champignons ainsi que les micro-organismes tels que bactéries, levures, microchampignons…) présents dans un habitat (naturel, semi-naturel) ou biotope particulier, ou un lieu ou une région précise.

**La lixiviation (du latin lixivium ; souvent lessivage1) désigne dans le domaine de la chimie, de la pharmacie ou des sciences du sol, toutes les techniques d'extraction de produits solubles par un solvant, et notamment par l'eau circulant dans le sol (éventuellement polluée) ou dans un substrat contenant des produits toxiques (décharge industrielle en particulier).

Sources :

http://www.currentscience.ac.in/Volumes/108/12/2173.pdf
http://nuclearplanet.com/2173.pdf

1. Jigyasu, D.K. et al.,High mobility of aluminum in Gomati River Basin: implications to human health.

Curr. Sci., 2015, 108(3),434-438.

2. Bondi,S.C., Prolonged exposure to low levels of aluminum leads tochanges associated with brain aging and neurodegeneration.Toxicology,2014,315,1-7.

11. Tripathi, M.et al.,Risk factors of dementia in North India : a case-control study. Aging Mental Hearth, 2012,16(2),228-235.

12. Sparling,D.W.and Lowe,T.P., Environmental hazards of aluminum ro plants, invertebrates, fish and wildlife. Rev.Environ. Contam.Toxicol.,1996,145,1-127.

13. Herndon,J.M., Variables unaccounted for in global warming and climate change models. Curr.Sci., 2008, 95(7), 815-816.

14. http://stopsprayingcalifornia.com/

16. http://www.geoengineeringwatch.org/

17. Oliver,J.E.and Wood,T.J., Conspiracy theories and the paranoid styles of mass opinion. Am.J.Polit.Sci.,2014;doi:10.1111/ajps.12084.

18. Bolong,R.J., Volcanic Hazards : A Sourcebook on the Effects of Eruptions, Academic Press, Australia,1984,p.424.

19. Izquierdo, M. and Querol,X., Leaching behavior of elements from coal combustion fly ash : an overview. Int.J.Coal Geol., 2012,94,54-66.

20. Moreno,N. et al., Physico-chemical characteristics of European pulverized coal combustion fly ashes. Fuel, 2005, 84, 1351-1363.

21. Cheng-you, Wu, Hong-fa, Yu and Hui-Fang, Z., Extraction of aluminum by pressure acid-leaching method from coal fly ash.Trans.Nonferrous Met. Soc. China, 2012, 22, 2282-2288.

22. http://www.cielvoile.fr/article-concentrations-de-metaux-lourds-dans-l-eau-de-pluie-en-allemagne-118778899.html

Ndt : pour les autres numéros de renvois, consulter l'article original.

Voir les commentaires

Changement climatique et coronavirus : même combat

31 Mars 2020, 15:57pm

Changement climatique et coronavirus : même combat

Les racines communes du changement climatique et de l'hystérie COVID-19


Traduction Ciel voilé
 

Introduction


Les gens veulent savoir: à quel point le virus COVID-19 est-il mauvais et le combat vaut-il la destruction du système économique et financier mondial tout en perturbant la vie de centaines de millions de personnes? Les faits derrière la narration montreront clairement que les choses sont rarement ce qu'elles paraissent être.


En bref et vu à travers la lentille du développement durable, alias Technocratie, le monde entier vient d'être trompé puis paniqué pour se détruire sur COVID-19.


Le coupable? Un technocrate de classe mondiale en Grande-Bretagne: Dr. Neil Ferguson, PhD est professeur à l'Imperial College de Londres qui se présente comme une «université mondiale». Elle est profondément ancrée dans le développement durable et se consacre davantage aux causes sociales qu'à la réussite scolaire. En fait, l'Impérial est très connu pour ses rapports de recherche alarmistes sur le changement climatique, la réduction du CO2, la dégradation de l'environnement, la perte de biodiversité, etc.


Le problème avec le thème du réchauffement climatique est qu'il s'agit d'un cheval de course fatigué et épuisé que la plupart des gens ignore tout simplement. Les alarmistes du réchauffement climatique ont essayé toutes les astuces possibles pour précipiter le monde dans le développement durable. Ils ont sciemment falsifié des données climatiques, inondé le monde de rapports académiques inexacts, tenu des réunions mondiales comme l'Accord de Paris en France, menacé et intimidé leurs détracteurs, créé un mouvement mondial de jeunesse pour faire honte aux dirigeants, etc. Toutes ces stratégies ont échoué à inaugurer le développement durable de l'ONU, alias Technocratie, et présentent peu de promesses de succès à l'avenir.


Ce dont les partisans du développement durable avaient besoin était de mettre leur cheval de course non performant «Le réchauffement climatique» au pâturage et de trouver un tout nouveau cheval qui pourrait enfin courir et gagner la course à ce que l'ONU appelle une «transformation profonde» de l'ensemble du système économique mondial. Le nouveau cheval est nommé «COVID-19». Cheval différent, même jockey, même course, même ligne d'arrivée.


Imperial College


Le président de l'Imperial College est le professeur Alice Gast. Elle considère que le collège fait partie d'un «nouveau paradigme de l'université mondiale» qui veut être «un contributeur à un avenir meilleur». Gast note également que les trois principaux domaines d'intérêt de l'Imperial sont les «épidémies, les pénuries de ressources naturelles et les crises environnementales». En d'autres termes, l'environnement, les ressources naturelles et les épidémies sont considérés comme entrelacés et indissociables.


L '«université mondiale» est en effet un nouveau paradigme, qui transforme radicalement le rôle traditionnel de l'éducation en un rôle d'activisme social. Le succès est mesuré par l'impact social sur la société et non en fonction des résultats scolaires.


En outre, l’université mondiale est invariablement présentée comme une championne du développement durable des Nations Unies et l’Imperial ne fait pas exception. Le directeur du développement durable à l'Imperial est le professeur Paul Lickiss. Sa page Web déclare: «La durabilité devrait traverser toute la réflexion et l'activité du Collège à tous les niveaux et sur tous les campus.» Un examen informel des différents départements de l'Imperial confirme cette affirmation: les thèmes de la durabilité, de l'environnement et du changement climatique sont partout présents.


Le travail commence


Une fois que la libération de COVID-19 à Wuhan a été reconnue comme une pandémie potentielle, le chercheur universitaire, le Dr Neil Ferguson, s'est mis au travail pour développer un modèle informatique afin de suivre et de prévoir sa propagation rapide. Au sommet de son domaine, Ferguson est professeur de biologie mathématique à l'Imperial College de Londres et possède une vaste expérience dans le suivi d'autres maladies infectieuses telles que la grippe porcine en 2009, la dengue en 2015 et le Zika en 2016.


Ferguson est un épidémiologiste britannique et professeur de biologie mathématique à l'Imperial College. Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS) :


L'épidémiologie est l'étude de la distribution et des déterminants des états ou événements liés à la santé (y compris les maladies), et l'application de cette étude au contrôle des maladies et autres problèmes de santé. Diverses méthodes peuvent être utilisées pour mener des enquêtes épidémiologiques: la surveillance et des études descriptives peuvent être utilisées pour étudier la distribution; des études analytiques sont utilisées pour étudier les déterminants.


Titulaire d'une maîtrise ès arts en physique, il a obtenu un doctorat en philosophie en physique théorique. Il n'a aucun diplôme médical ou apparenté, mais a plutôt choisi d'appliquer ses études pour utiliser ses compétences mathématiques en modélisant la propagation des maladies infectieuses.


En d'autres termes, Ferguson est un technocrate axé sur les données avec un accès direct aux décideurs du monde entier. Selon le New York Times :


L'Imperial College a conseillé le gouvernement sur sa réponse aux épidémies précédentes, notamment le SRAS, la grippe aviaire et la grippe porcine. Il a des liens avec l'Organisation mondiale de la santé et une équipe de 50 scientifiques, dirigée par un épidémiologiste de renom, Neil Ferguson, l'Impériale est traitée comme une sorte d'étalon-or, ses modèles mathématiques alimentant directement les politiques gouvernementales.


Étude COVID-19 de Ferguson


Au début de l'épidémie de COVID-19, Ferguson a commencé à conseiller les autorités britanniques et américaines sur la propagation de l'infection ainsi que sur les moyens de la combattre. Ainsi, il a été à la fois chercheur et conseiller politique.


La conclusion de Ferguson selon laquelle COVID-19 tuerait jusqu'à 500 000 personnes en Grande-Bretagne et plus de 1,1 million aux États-Unis, a déclenché un raz de marée de panique qui ne s'est pas calmé. Ses recommandations politiques étaient tout aussi choquantes, à savoir que les sociétés doivent être entièrement verrouillées pour survivre.


Le 16 mars 2020, Ferguson a finalement publié son rapport officiel, Impact des interventions non pharmaceutiques (NPI) pour réduire la mortalité par COVID19 et la demande de soins de santé.
Voici quelques observations rapides à la lecture de ce rapport:


- Bien avant de publier, il a conseillé les décideurs. Son étude de modélisation «a éclairé l'élaboration des politiques au Royaume-Uni et dans d'autres pays au cours des dernières semaines»
Comparable à la grippe espagnole de 1918: « Il représente le plus dangereux virus respiratoire observé depuis la pandémie de grippe H1N1 de 1918».


- Application de ce modèle et du modèle précédent au Royaume-Uni et aux États-Unis: «nous appliquons un modèle de micro-simulation précédemment publié à deux pays: le Royaume-Uni (en particulier la Grande-Bretagne) et les États-Unis»


- Il existe deux stratégies possibles: atténuation et suppression


- Atténuation: cette proposition de distanciation sociale, d'isolement à domicile des malades, de mise en quarantaine à domicile des proches, «Nous constatons que les politiques d'atténuation optimales (combinant l'isolement à domicile des cas suspects, la mise en quarantaine à domicile de ceux vivant dans le même ménage que les cas suspects et les distance des personnes âgées et des personnes les plus à risque de maladie grave) pourrait réduire de moitié les pics de demande de soins de santé et les décès de moitié »


- En dépit de la réduction de moitié des décès, «l'épidémie atténuée qui en résulterait aurait probablement pour conséquence que des centaines de milliers de décès et des systèmes de santé (notamment des unités de soins intensifs) seraient submergés à plusieurs reprises»
Ainsi, il soutient que la suppression est la seule option


- Suppression: des mesures supplémentaires comprennent l'éloignement social de l'ensemble de la population, l'isolement du domicile des personnes infectées, la mise en quarantaine des membres de la famille des ménages, la fermeture des écoles et des universités.


- À long terme: la suppression «devra être maintenue jusqu'à ce qu'un vaccin soit disponible (potentiellement 18 mois ou plus)».


Ces prévisions apocalyptiques, basées entièrement sur des simulations informatiques similaires à celles utilisées dans les études climatiques, étaient suffisamment crédibles pour que les dirigeants nationaux les acceptent à leur valeur nominale. Pire, ils ont également accepté les recommandations de politique de Ferguson, qui ont ensuite été mises en œuvre avec des détails précis. Voici certains des extraits les plus prémonitoires de la section de conclusion du rapport:


Nos résultats démontrent qu'il sera nécessaire de superposer plusieurs interventions, que la suppression ou l'atténuation soit l'objectif politique primordial. Cependant, la suppression nécessitera la superposition de mesures plus intensives et perturbatrices sur le plan social

que l'atténuation. Le choix des interventions dépend en fin de compte de la faisabilité relative de leur mise en œuvre et de leur efficacité probable dans différents contextes sociaux. (p. 14)


Dans l'ensemble, nos résultats suggèrent que la distanciation sociale appliquée à la population dans son ensemble aurait le plus grand impact; et en combinaison avec d'autres interventions - notamment l'isolement des cas à domicile et la fermeture des écoles et des universités - a le potentiel de supprimer la transmission en dessous du seuil de R = 1 requis pour réduire rapidement l'incidence des cas. Une politique minimale pour une répression efficace est donc une distanciation sociale à l'échelle de la population combinée à l'isolement des cas et à la fermeture des écoles et des universités. (p. 14)


Pour éviter un rebond de la transmission, ces politiques devront être maintenues jusqu'à ce que d'importants stocks de vaccins soient disponibles pour immuniser la population - ce qui pourrait être de 18 mois ou plus. (p.15)


La technologie - comme les applications de téléphonie mobile qui suivent les interactions d'un individu avec d'autres personnes dans la société - pourrait permettre à une telle politique d'être plus efficace et évolutive si les problèmes de confidentialité associés peuvent être surmontés. (p. 15)
 

Notre conclusion la plus importante est peut-être qu'il est peu probable que l'atténuation soit possible sans que les limites de capacité de pointe d'urgence des systèmes de santé britanniques et américains soient dépassées à plusieurs reprises. Dans la stratégie d'atténuation la plus efficace examinée, qui conduit à une seule épidémie relativement courte (isolement des cas, mise en quarantaine des ménages et éloignement social des personnes âgées), les limites de surtension pour les lits de l'unité générale et des soins intensifs seraient dépassées d'au moins 8 fois dans le scénario plus optimiste pour les besoins en soins intensifs que nous avons examiné. De plus, même si tous les patients pouvaient être traités, nous prévoyons qu'il y aurait encore de l'ordre de 250 000 décès en Grande-Bretagne et de 1,1 à 1,2 million aux États-Unis. (p. 16)


L'esprit d'un technocrate est clairement visible dans tout ce package. Toutes ces mesures draconiennes doivent être maintenues jusqu'à ce qu'un vaccin soit créé, soit au moins 18 mois. L’utilisation d’applications de téléphonie mobile pour suivre la population mondiale pourrait être efficace si les citoyens pouvaient y accéder par chemin de fer. Ce que l'on ne voit pas, c'est un mot sur la destruction du système économique mondial qui résulterait certainement de ces mesures politiques draconiennes.


Les alarmistes climatiques qui ont articulé les politiques du Green New Deal appellent également à des mesures radicales pour transformer la société et ils sont également muets sur les effets destructeurs inévitables que ces politiques auraient sur l'économie mondiale.


Détruire le capitalisme et la libre entreprise


Pourquoi les technocrates ne discutent-ils pas de la destruction du capitalisme et de la libre entreprise? Parce que c'est leur objectif exact. Lorsque Christiana Figueres était à la tête du changement climatique aux Nations Unies en 2015. Elle a clairement déclaré:


«C'est probablement la tâche la plus difficile que nous nous soyons jamais donnée, qui est de transformer intentionnellement le modèle de développement économique, pour la première fois dans l'histoire de l'humanité. C'est la première fois dans l'histoire de l'humanité que nous nous donnons pour tâche de changer intentionnellement, dans un délai défini, le modèle économique qui règne depuis au moins 150 ans, depuis la révolution industrielle. Cela ne se fera pas du jour au lendemain et cela ne se produira pas lors d'une seule conférence sur le changement climatique, que ce soit la COP 15, 21, 40 - vous choisissez le nombre. Cela ne se produit tout simplement pas comme ça. C'est un processus, en raison de la profondeur de la transformation. » (pas d'italique dans l'original)


Les gens soutiennent que cela ne peut pas être le but, que c'est tout simplement trop vaste pour être compris. Ma réponse est que si un tueur pointe une arme sur vous et dit avec colère qu'il va vous tuer, allez-vous prendre des mesures défensives ou simplement rester là et le laisser vous tirer dessus? À peine. Les menaces directes doivent être prises au sérieux, surtout lorsque l’auteur a les moyens d’exécuter la menace.


Dans la chaleur de la Grande Dépression au début des années 1930, les technocrates étaient certains que le capitalisme et la libre entreprise seraient morts dans quelques mois. Leur système de remplacement économique de la technocratie ne fonctionnerait et ne pourrait fonctionner que si le système économique existant était complètement défaillant. Malheureusement pour eux, le capitalisme s'est rétabli et la technocratie s'est amoindrie.


Aujourd'hui, cependant, l'Organisation des Nations Unies exprime clairement la même prémisse et elle est prête avec son système économique basé sur les ressources appelé Développement durable, alias Technocratie. L'exemple le plus clairement exprimé de développement durable est le Green New Deal récemment dévoilé par la représentante américaine Alexandria Ocasio-Cortez (D-NY) et le sénateur Ed Markey (D-MA).


Le monde panique


Grâce à Neil Ferguson et à l'Imperial College, le monde entier a paniqué à propos du COVID-19 et pire encore, les dirigeants ont mis en œuvre toutes leurs recommandations de politique de verrouillage, de stock et de baril. Pendant ce temps, tous les médias mondiaux suivent docilement derrière, attisant les flammes de la peur dans un feu de forêt qui fait rage.


En conséquence, l'économie américaine est en chute libre, le système financier est au bord de l'effondrement total, les actions sont entrées dans un marché baissier à part entière, certains billets du Trésor américain se négocient à des taux d'intérêt négatifs et les demandes de chômage ont grimpé à 3,3 millions la semaine dernière alors que les entreprises fermaient leurs portes. Les experts de l'emploi prévoient que plus de 40 millions d'Américains auront perdu leur emploi d'ici la fin avril.


En bref, l'économie a subi une blessure mortelle. Même si toutes les restrictions ont été immédiatement levées à l'échelle mondiale, il est très douteux que l'économie puisse retrouver son ancien état. De plus, ce doute augmente chaque semaine que l'activité restreinte continue.

 

Aux États-Unis, le principal agent de panique a été le très estimé Dr Anthony Fauci, qui a également des liens étroits avec l'Organisation mondiale de la santé. Selon la National Review, Fauci a émis l'hypothèse fin février dans le New England Journal of Medicine que le taux de mortalité lié au COVID-19 pourrait être «considérablement inférieur à 1% car de nombreuses personnes infectées ne présentent aucun symptôme ou des symptômes très légers non rapportés.»

Et pourtant, les médias déclarent régulièrement que le taux de mortalité est de 3,4% ou plus. Le Dr Fauci lui-même continue d'affirmer que COVID-19 est 10 fois pire que la grippe, même si ses propres estimations de 100 000 à 200 000 décès se comparent aux décès signalés par les CDC pendant la saison grippale 2019-2020, entre 24 000 et 62 000. Si le chiffre 10X de Fauci est exact, alors il devrait estimer entre 240 000 et 620 000 décès, ce qu'il n'est pas. Ses chiffres ne collent tout simplement pas!


Conclusion


Nous sommes tous, à juste titre, attristés par quiconque perd la vie à COVID-19, mais nous serons bien plus désolés d'avoir fait confiance à un technocrate pour nous dire comment faire face à la pandémie. La destruction de l'économie entraînera beaucoup plus de morts et de difficultés que COVID-19 n'aurait pu imaginer.


Il y a encore beaucoup à écrire sur ce sujet. Le point principal de cet article est d'établir la «panique de 2020» comme une opération technocrate afin que le développement durable, alias la Technocratie, puisse être rapidement mis en avant ,s'il n'est pas complètement introduit. En outre, c'est une stratégie de remplacement pour le réchauffement climatique pour provoquer la panique. Comme indiqué ci-dessus, cheval différent, même jockey, même course, même ligne d'arrivée.

Voir les commentaires

Vaccin Covid : Le même schéma partout ?

18 Mai 2021, 20:36pm

Vaccin Covid : Le même schéma partout ?


La vaccination de masse entraîne une forte augmentation des cas et des décès.


Par Mike Whitney Global Research, 17 mai 2021

 

https://www.mondialisation.ca/vaccination-covid-19-le-meme-schema-partout/5656660



Les cas de Covid ont fortement augmenté dans presque tous les pays qui ont lancé une campagne de vaccination de masse.


Veuillez regarder cette courte vidéo avant que You Tube ne la supprime.


Pourquoi cela se produit-il ?


La vaccination de masse était censée réduire la menace du Covid mais, à court terme, elle semble l'aggraver. Pourquoi ? Et pourquoi le Covid est-il maintenant "en pleine expansion dans 4 des 5 pays les plus vaccinés" ? Selon le magazine Forbes :


"Les pays ayant les taux de vaccination les plus élevés au monde - y compris quatre des cinq pays les plus vaccinés - se battent pour contenir les épidémies de coronavirus qui sont, par habitant, plus élevées que la vague qui a dévasté l'Inde, une tendance qui amène les experts à s'interroger sur l'efficacité de certains vaccins ... et sur la sagesse d'assouplir les restrictions, même si la majorité de la population est vaccinée." (Covid Surges...Here's why the US should Worry", Forbes)


Pire que l'Inde ? Comment cela peut-il être possible ? Et pourquoi 8 membres "entièrement vaccinés" des Yankees de New York ont-ils été testés positifs au Covid ? Voici l'histoire de l'Associated Press :


Gleyber Torres des New York Yankees (baseball) a été testé positif au Covid-19 bien qu'il soit entièrement vacciné et qu'il ait déjà contracté le coronavirus pendant l'intersaison. Torres fait partie des huit personnes des Yankees qui ont été testées positives alors qu'elles étaient complètement vaccinées." (NBC News)


Et si cela n'est pas assez déroutant, regardez ce qui se passe au Cambodge. Le Cambodge a commencé sa campagne de vaccination au début du mois de février alors qu'il comptait zéro décès. C'est vrai, le pays n'a enregistré aucun décès lié au Covid jusqu'en mars, quelques semaines après avoir lancé son programme de vaccination. Et c'est à ce moment-là que les décès ont commencé à s'accumuler, comme vous pouvez le voir sur le tableau ci-dessous.


Donc, voyons si on peut comprendre ça. Il n'y avait aucun décès avant le lancement de la campagne de vaccination, mais peu après le début des injections, les décès ont commencé à augmenter. Pensez-vous qu'il pourrait y avoir un lien ? Pensez-vous que, peut-être, les décès pourraient être liés aux vaccins ?


Bien sûr, ils le sont. Et c'est pourquoi les médias essaient de balayer cette histoire sous le tapis. Elle ne correspond pas au "récit officiel" sur les vaccins, alors ils ont décidé de la faire disparaître. "Pouf" et c'est parti ! Et, en fait, c'est pire qu'une dissimulation parce que, peu après que Biden ait pris ses fonctions, le CDC a changé sa méthodologie de test, rendant plus difficile un test positif. En d'autres termes, ils ont truqué le système pour qu'il apparaisse que moins de personnes "totalement vaccinées" ont contracté le Covid après l'inoculation. Le Dr Joseph Mercola explique ce qui se passe en coulisses :


"Maintenant, les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies ont encore abaissé le CT, dans ce qui semble être une volonté claire de cacher les cas de COVID-19 post-vaccinaux, c'est-à-dire les cas dans lesquels des personnes entièrement vaccinées sont diagnostiquées avec le COVID-19." ("CDC embarks on a new Covid Coverup", Mercola. Com)


C'est un grand jeu de dupes. Ils manipulent le système pour faire croire que les vaccins arrêtent l'infection alors que les preuves prouvent le contraire. Et remarquez le surnom délibérément trompeur que les médias ont inventé pour les personnes qui reçoivent le vaccin anti-Covid après avoir été vaccinées. Ils les appellent "cas révolutionnaires".


"Percée" ? Vraiment ?


Si les cas se multiplient dans presque tous les pays qui lancent une campagne de vaccination de masse, alors il n'y a rien de "révolutionnaire". C'est le résultat prévisible d'une expérience ratée. Voici plus d'informations tirées d'un article intitulé : " Taux de cas de covid post-vaccination dans le monde " :


"... le gouvernement a supposé que si "vous vaccinez beaucoup de gens, le problème disparaît", mais ceux qui s'interrogent parmi nous n'ont pas supposé cela. En particulier après avoir lu le document d'information de la FDA sur le vaccin COVID-19 de Pfizer-BioNTech, par exemple, beaucoup d'entre nous se sont posés des questions ; à la page 42, il est indiqué :


"Les cas suspects de COVID-19 survenus dans les 7 jours suivant une vaccination étaient de 409 dans le groupe vacciné contre 287 dans le groupe placebo. Il est possible que le déséquilibre des cas suspects de COVID-19 survenant dans les 7 jours suivant la vaccination représente une réactogénicité du vaccin avec des symptômes qui se chevauchent avec ceux du COVID-19. Dans l'ensemble, cependant, ces données ne soulèvent pas d'inquiétude quant à la possibilité que la déclaration, prévue par le protocole, des cas suspects mais non confirmés de COVID-19 ait pu masquer des événements indésirables cliniquement significatifs qui n'auraient pas été détectés autrement." ("Covid rates post-vaccination around the world", Inform Scotland)
WTF ! ?!


Donc, la FDA SAVAIT que les personnes vaccinées étaient plus susceptibles de contracter le Covid que celles du groupe placebo, mais elle a approuvé les vaccins quand même ! !!? Est-ce une négligence criminelle ou une simple stupidité ?


S'il vous plaît, relisez le paragraphe ci-dessus et demandez-vous si vous auriez donné le "feu vert" à ces injections douteuses ou non ? Voici un autre extrait du même article :
 

"Le tableau suivant présente des données provenant du monde entier et de certains endroits sélectionnés. Il est bien sûr essentiel de souligner que corrélation n'est pas causalité. Et qu'il existe des pays où le déploiement des vaccins ne précède ni ne coïncide avec une augmentation des infections. Cependant, je n'ai pu trouver aucun pays où les taux de cas de covid ont commencé à baisser après le début de la vaccination, ou où une baisse a coïncidé avec le début de la vaccination. En Indonésie, par exemple, le taux de cas de covid était en baisse lorsque la vaccination a commencé et semble ne pas avoir été affecté dans sa trajectoire par le déploiement du vaccin. Le lecteur peut consulter ces graphiques par lui-même sur le site web. Jetez-y un coup d'œil et voyez ce que vous en pensez." ("Taux de coqueluche post-vaccination dans le monde", Inform Scotland)


Bon, l'auteur essaie de donner l'image la plus charitable possible de la performance des vaccins. Il dit que "corrélation n'est pas causalité", ce qui signifie : "Ne vous fiez pas à vos yeux lorsque vous regardez les graphiques, car si vous le faites, vous tirerez la conclusion évidente que les vaccins augmentent considérablement vos chances de contracter le Covid dans les quelques semaines qui suivent". Les graphiques vous convaincront également que Fauci, Biden et les médias ont menti comme des arracheurs de dents sur l'efficacité des vaccins. (S'il vous plaît, consultez les graphiques dans l'article et jugez par vous-même.) Voici plus :


"Ce qui est très clair en regardant les données au niveau mondial, c'est que les vaccinations ne sont certainement pas associées à une baisse fiable des cas de covid dans n'importe quelle période de temps prévisible. Ce point, ainsi que les observations faites dans le cadre de l'essai, doivent certainement être abordés. Que se passe-t-il ici ? Les vaccinations sont-elles simplement déployées par coïncidence au moment où les épidémies sont attendues ? Dans de très nombreux endroits ? Ou bien le vaccin ne fonctionne-t-il pas immédiatement ? Si ce n'est pas le cas, pourquoi ? ... Ou bien le vaccin rend-il les gens plus sensibles à l'infection ? Si c'est le cas ... s'agit-il d'un effet temporaire ? Quelle en est la cause ? ... Combien de temps faut-il pour que la susceptibilité accrue diminue ? "...On nous dit que tout le monde doit être vacciné (mais) Comment peut-on donner un consentement libre et éclairé dans ces conditions ?" ("Covid-rates Post Vaccination around the World", Inform Scotland)


Ce sont toutes de bonnes questions, malheureusement, le Dr Fauci et ses collaborateurs n'ont pas l'intention d'y répondre. Au lieu de cela, leurs alliés dans les médias font tout ce qu'ils peuvent pour faire disparaître l'histoire et détourner l'attention vers les insaisissables "variants", qui sont la diversion du jour. Suis-je trop sévère ?
 

Peut-être, mais peut-être pas assez. Jetez un coup d'œil à cet extrait d'un article de Conservative Woman intitulé "Every reason to doubt the vaccine makers' reassurances" :
 

"J'ai déjà fait état d'un étonnant pic de décès survenu parallèlement à une campagne de vaccination intensive à Gibraltar, où la petite communauté a par conséquent enregistré le taux de mortalité lié au Covid le plus élevé au monde. Nous savons également que des milliers de décès ont été observés aux États-Unis, dans l'UE et au Royaume-Uni à la suite de vaccinations Covid, souvent immédiatement après l'administration du vaccin.
 

Les fabricants, les principales revues médicales et la plupart des gouvernements insistent sur le fait que ces décès ne sont pas liés au vaccin. Dans de nombreux cas, les décès et les maladies graves ont été attribués à une infection fortuite par le virus. Mais les preuves s'accumulent que, pour certains, en particulier les personnes faibles et âgées, le vaccin lui-même crée ou aggrave la maladie contre laquelle il est censé protéger.....
.

..un phénomène inquiétant qui apparaît systématiquement dans les études sur le vaccin Covid est un pic des prétendues "infections" qui se produit précisément au cours de cette période de trois semaines, et généralement immédiatement après le vaccin... Les chercheurs évoquent la possibilité que le vaccin puisse déclencher "des symptômes similaires à ceux du Covid-19, y compris la fièvre" chez les personnes récemment exposées au virus...

 

Il suggère que le mécanisme pourrait être une dépression de l'immunité causée par une perte de globules blancs post-injection, observée à la fois dans les essais Pfizer et AstraZeneca, rendant les vaccinés plus vulnérables au virus à court terme." ("Every reason to doubt the vaccine makers' reassurances", Conservative Woman)
 

Ok, donc l'auteur arrive à la même conclusion que l'auteur précédent ; peut-être que le vaccin rend les gens plus vulnérables au virus en diminuant leurs défenses et, ainsi, en invitant l'infection. C'est certainement une possibilité, mais il y a d'autres possibilités qui pourraient être infiniment plus graves. Jetez-y un coup d'œil :


"Il n'a pas été généralement reconnu que le vaccin est conçu pour nous protéger en provoquant la production par nos cellules de la toxine même qui rend le virus plus dangereux que ses prédécesseurs de la famille des coronavirus. Cette toxine, connue sous le nom de protéine spike, peut endommager non seulement les poumons mais aussi des organes tels que le cerveau, le cœur et les reins.
 

Le raisonnement qui sous-tend l'administration du vaccin est que l'exposition temporaire à la toxine peut offrir une protection à long terme contre le virus. Les premières indications montrent que cette stratégie fonctionne, même si l'on ne sait pas encore avec certitude si la baisse des taux d'infection observée dans les populations intensément vaccinées est saisonnière et liée aux vagues d'infection, ou s'il s'agit d'un avantage durable.

 

Mais il existe également une possibilité très réelle, étayée par des expériences sur les animaux ainsi que par les études citées ci-dessus, que le vaccin lui-même produise des symptômes chez les personnes vulnérables qui sont ensuite attribués au Covid-19. Les dommages à la santé peuvent être particulièrement graves chez un individu qui a été récemment ou simultanément infecté par le véritable virus.

 

Il y a donc toutes les raisons de douter de l'assurance des fabricants que les décès et les accidents qui semblent accompagner la vaccination et qui, dans certains cas, ressemblent au Covid-19 et lui sont attribués, n'ont aucun rapport avec les vaccins. La situation est suffisamment grave pour que certains médecins et scientifiques demandent un moratoire sur les nouvelles vaccinations au Covid jusqu'à ce qu'elle ait été correctement étudiée." ("Every reason to doubt the vaccine manufacturers' reassurances", Conservative Woman)

 

Donc, il se pourrait que quelque chose dans le vaccin lui-même tue des gens. C'est une possibilité distincte. Bien sûr, les entreprises pharmaceutiques et les responsables de la santé publique rejettent l'idée d'un revers de la main, mais les professionnels de la santé et les scientifiques pensent que le danger est suffisamment important pour exiger que le programme de vaccination de masse soit temporairement interrompu.

 

Certains lecteurs se souviendront que le Salk Institute a récemment publié une étude montrant que la protéine "spike" caractéristique du SRAS-CoV-2... "endommage les cellules, confirmant que le COVID-19 est une maladie essentiellement vasculaire". Voici un extrait de l'article daté du 30 avril 2021 :

 

"Dans la nouvelle étude, les chercheurs ont créé un "pseudovirus" qui était entouré de la couronne classique de protéines spike du SRAS-CoV-2, mais qui ne contenait pas de véritable virus.

 

L'exposition à ce pseudovirus a entraîné des lésions des poumons et des artères d'un modèle animal, ce qui prouve que la protéine de pointe seule suffit à provoquer la maladie. Les échantillons de tissus ont révélé une inflammation des cellules endothéliales qui tapissent les parois des artères pulmonaires. (Note : "Les cellules endothéliales vasculaires tapissent l'ensemble du système circulatoire, du cœur aux plus petits capillaires").

 

L'équipe a ensuite reproduit ce processus en laboratoire, en exposant des cellules endothéliales saines (qui tapissent les artères) à la protéine spike. Ils ont montré que la protéine spike endommageait les cellules en se liant à l'ACE2. Cette liaison a perturbé la signalisation moléculaire de l'ACE2 aux mitochondries (organites qui produisent de l'énergie pour les cellules), ce qui a endommagé et fragmenté les mitochondries.

 

Des études antérieures ont montré un effet similaire lorsque les cellules étaient exposées au virus SRAS-CoV-2, mais il s'agit de la première étude à montrer que les dommages se produisent lorsque les cellules sont exposées à la protéine spike seule." ("The novel coronavirus' spike protein plays additional key role in illness", Salk.edu)

 

On ne saurait trop insister sur l'importance de cette étude. Les chercheurs de Salk confirment que les principaux dommages causés par le vaccin anti-Covid sont dus à la protéine spike et non au virus. Et, si c'est le cas, pourquoi injecter aux gens des vaccins qui apprennent à leurs cellules à fabriquer des protéines spike ?

 

Cela n'a aucun sens.

 

Et comment cela affecte-t-il notre compréhension du phénomène que nous avons observé dans des pays du monde entier, à savoir la forte augmentation des cas après une vaccination de masse ?

Permettez-moi de proposer une explication plausible, mais non encore prouvée :

 

La forte augmentation des cas et des décès suite à la vaccination de masse n'est PAS liée au Covid "la maladie respiratoire", mais au Covid "la maladie vasculaire". La composante vasculaire est principalement le résultat de protéines de pointe produites par des cellules de la paroi des vaisseaux sanguins (Endothilium) qui activent les plaquettes qui provoquent des caillots sanguins et des saignements. L'autre facteur principal est la réaction auto-immune, dans laquelle les lymphocytes tueurs attaquent le propre corps, déclenchant une inflammation généralisée (et une défaillance potentielle des organes). En bref, les décès post-injection sont causés par les protéines de pointe produites par les vaccins et non par Covid. Une fois encore, regardez le graphique du Cambodge. Il n'y a eu aucun décès avant la vaccination. Tous les décès sont survenus après. Cela suggère que les décès sont attribuables aux vaccins.

 

Une dernière réflexion : 118 millions d'Américains se sont maintenant vu injecter une protéine de pointe génératrice de caillots. À l'heure actuelle, personne ne semble savoir combien de temps ces protéines potentiellement mortelles restent piégées dans la paroi des vaisseaux sanguins ni quels dommages elles peuvent éventuellement causer. En gardant cela à l'esprit, ne serait-ce pas le moment de faire preuve d'un peu de prudence ? Maintenant que les cas ont fortement diminué dans le pays, pourquoi ne pas relâcher les vaccinations jusqu'à ce que nous ayons une meilleure idée des risques à long terme ? Ce serait l'approche raisonnable, non ? Il suffit de reporter les nouvelles injections jusqu'à ce que la sécurité du produit soit assurée.

S'il y a jamais eu un temps pour la prudence, c'est maintenant.

 

 

Cet article a été initialement publié sur The Unz Review.

 

Mike Whitney est un collaborateur fréquent de Global

 

https://www.forbes.com/sites/roberthart/2021/05/11/covid-surges-in-4-of-5-worlds-most-vaccinated-countries-heres-why-the-us-should-worry/?sh=678c4d00d677

 

https://informscotland.uk/2021/04/covid-rates-post-vaccination-around-the-world/comment-page-1/#comment-131

 

https://www.conservativewoman.co.uk/every-reason-to-doubt-the-vaccine-makers-reassurances/

 

 

 

 

Voir les commentaires

Le climat et la piste de l'argent

7 Novembre 2021, 16:45pm

Le climat et la piste de l'argent

F. William Engdahl Global Research, 06 novembre 2021

https://www.globalresearch.ca/climate-money-trail/5690209

 

Note d'introduction de l'éditeur de Global Research

 

La vérité inavouée est que Big Oil finance la campagne contre Big Oil. Cela semble contradictoire ?

On a menti aux militants pour le climat. Le mouvement pour le climat (New Green Deal) est financé par de grandes organisations caritatives et des fondations d'entreprise, notamment la National Endowment for Democracy, les Soros Open Society Foundations, le Rockefeller Brothers Trust, la Shell Foundation, BP, Goldman Sachs, entre autres.

 

Alors que "Big Oil" est tenu responsable des effets dévastateurs de l'industrie des combustibles fossiles, l'architecte de Big Oil, à savoir la famille Rockefeller, est le principal protagoniste du Green New Deal : "À partir des années 1980, le Rockefeller Brothers Fund est devenu le principal défenseur de l'agenda du réchauffement climatique. ...

 

Dans son examen du programme de développement durable, le Rockefeller Brothers Fund se vante d'avoir été l'un des premiers grands activistes du réchauffement climatique, citant son fort plaidoyer à la fois pour la formation en 1988 du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) de l'ONU et pour l'établissement en 1992 de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques. " (L'Institut juridique de l'énergie et de l'environnement publié en 2016).Le débat sur le climat de la planète est d'une importance cruciale.

 

Mais qui contrôle ce débat ? Les grandes fondations capitalistes mènent finalement la barque ?

L'article suivant de F. William Engdahl documente soigneusement le rôle des puissants acteurs économiques derrière la "finance verte". Cet article a été publié pour la première fois en septembre 2019, coïncidant avec la tenue de la COP25 à Madrid.

 

Il existe une relation contradictoire évidente. Selon William Engdahl, le New Green Deal est un "projet économique" de plusieurs milliards : Le prince Charles, [...] ainsi que la Banque d'Angleterre et la finance de la City de Londres ont promu des "instruments financiers verts", avec en tête les obligations vertes, pour réorienter les plans de retraite et les fonds mutuels vers des projets verts."

 

Michel Chossudovsky, Global Research, 6 novembre 2021

 

***

Le climat. Qui l'eût cru ? Les mêmes méga-corporations et méga-milliardaires à l'origine de la mondialisation de l'économie mondiale au cours des dernières décennies, dont la recherche de la valeur actionnariale et de la réduction des coûts a causé tant de dommages à notre environnement, tant dans le monde industriel que dans les économies sous-développées d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine, sont les principaux bailleurs de fonds du mouvement "populaire" de décarbonisation, de la Suède à l'Allemagne en passant par les États-Unis et au-delà.

 

S'agit-il d'un sentiment de culpabilité ou d'un objectif plus profond de financiarisation de l'air que nous respirons et plus encore ?

 

Quelle que soit l'opinion que l'on peut avoir sur les dangers du CO2 et les risques de réchauffement de la planète, qui pourraient provoquer une catastrophe mondiale avec une augmentation de la température moyenne de 1,5 à 2 degrés Celsius dans les 12 prochaines années, il convient de noter qui encourage le flot actuel de propagande et d'activisme climatique.

 

La finance verte

 

Plusieurs années avant qu'Al Gore et d'autres ne décident d'utiliser une jeune écolière suédoise pour être l'enfant-vedette de l'urgence de l'action climatique, ou aux États-Unis l'appel d'Alexandria Ocasio-Cortez pour une réorganisation complète de l'économie autour d'un Green New Deal, les géants de la finance ont commencé à concevoir des schémas pour orienter des centaines de milliards de fonds futurs vers des investissements dans des entreprises "climatiques" souvent sans valeur.

 

En 2013, après des années de préparation minutieuse, une société immobilière suédoise, Vasakronan, a émis la première "obligation verte" d'entreprise. Elles ont été suivies par d'autres, dont Apple, la SNCF et la grande banque française Crédit Agricole. En novembre 2013, la société Tesla Energy d'Elon Musk, en proie à de nombreux problèmes, a émis le premier titre adossé à des actifs solaires.

 

Aujourd'hui, selon la Climate Bonds Initiative, plus de 500 milliards de dollars d'obligations vertes sont en circulation. Les créateurs de l'idée des obligations déclarent que leur objectif est de conquérir une part importante des 45 000 milliards de dollars d'actifs sous gestion dans le monde qui se sont engagés nominalement à investir dans des projets "respectueux du climat".

 

Bonnie Prince Charles, futur monarque du Royaume-Uni, ainsi que la Banque d'Angleterre et la City de Londres ont promu des "instruments financiers verts", au premier rang desquels les obligations vertes, afin de réorienter les plans de retraite et les fonds communs de placement vers des projets verts. Un acteur clé dans la mise en relation des institutions financières mondiales avec l'agenda vert est le chef sortant de la Banque d'Angleterre, Mark Carney.

 

En décembre 2015, le Conseil de stabilité financière (FSB) de la Banque des règlements internationaux, présidé alors par Carney, a créé la Task Force on Climate-related Financial Disclosure (TCFD), pour conseiller "les investisseurs, les prêteurs et les assurances sur les risques liés au climat." C'était certainement un centre d'intérêt bizarre pour les banquiers centraux mondiaux.

 

En 2016, la TCFD ainsi que la City of London Corporation et le gouvernement britannique ont lancé l'initiative Green Finance, visant à canaliser des milliers de milliards de dollars vers des investissements "verts".

 

Les banquiers centraux du FSB ont nommé 31 personnes pour former la TCFD. Présidée par le milliardaire Michael Bloomberg du fil financier, elle comprend des personnes clés de JP MorganChase, de BlackRock, l'un des plus grands gestionnaires d'actifs au monde avec près de 7 000 milliards de dollars, de la Barclays Bank, de HSBC, la banque de Londres-Hong Kong condamnée à plusieurs reprises pour avoir blanchi de la drogue et d'autres fonds noirs, de Swiss Re, le deuxième réassureur mondial, de la banque chinoise ICBC, de Tata Steel, de ENI Oil, de Dow Chemical, du géant minier BHP Billington et de David Blood de Generation Investment LLC d'Al Gore. En fait, il semble que les renards écrivent les règles du nouveau poulailler vert.

 

Carney, de la Banque d'Angleterre, a également joué un rôle clé dans les efforts visant à faire de la City de Londres le centre financier de la finance verte mondiale. Le chancelier de l'Échiquier britannique sortant, Philip Hammond, a publié en juillet 2019 un livre blanc intitulé "Green Finance Strategy : Transformer la finance pour un avenir plus vert". Selon ce document, "l'une des initiatives les plus influentes à voir le jour est le groupe de travail du secteur privé du Conseil de stabilité financière sur les informations financières liées au climat (TCFD), soutenu par Mark Carney et présidé par Michael Bloomberg. Cette initiative a été approuvée par des institutions représentant 118 000 milliards de dollars d'actifs dans le monde." Il semble y avoir un plan ici. Ce plan consiste à financiariser l'ensemble de l'économie mondiale en utilisant la peur d'un scénario de fin du monde pour atteindre des objectifs arbitraires tels que "des émissions nettes de gaz à effet de serre nulles."

 

Goldman Sachs, acteur clé

 

L'omniprésente banque de Wall Street, Goldman Sachs, qui a notamment donné naissance au président sortant de la BCE, Mario Draghi, et au directeur de la Banque d'Angleterre, Carney, vient de dévoiler le premier indice mondial des meilleures valeurs environnementales, réalisé en collaboration avec le CDP, anciennement Carbon Disclosure Project, basé à Londres. Le CDP, notamment, est financé par des investisseurs tels que HSBC, JPMorgan Chase, Bank of America, Merrill Lynch, Goldman Sachs, American International Group, et State Street Corp.

 

Le nouvel indice, appelé CDP Environment EW et CDP Eurozone EW, vise à attirer les fonds d'investissement, les systèmes de retraite d'État tels que le CalPERS (California Public Employees' Retirement System) et le CalSTRS (California State Teachers' Retirement System), dont les actifs combinés s'élèvent à plus de 600 milliards de dollars, pour qu'ils investissent dans leurs cibles soigneusement sélectionnées. Parmi les entreprises les mieux notées de l'indice figurent Alphabet, propriétaire de Google, Microsoft, ING Group, Diageo, Philips, Danone et, comme par hasard, Goldman Sachs.

 

C'est alors qu'entrent en scène Greta, AOC et consorts

 

À ce stade, les événements prennent une tournure cynique, car nous sommes confrontés à des activistes climatiques très populaires, dont la promotion est très forte, comme la Suédoise Greta Thunberg ou la New-Yorkaise Alexandria Ocasio-Cortez, 29 ans, et le Green New Deal. Aussi sincères que soient ces militants, il y a une machine financière bien huilée derrière leur promotion pour le gain.

 

Greta Thunberg fait partie d'un réseau bien connecté lié à l'organisation d'Al Gore qui est cyniquement et professionnellement commercialisé et utilisé par des agences telles que l'ONU, la Commission européenne et les intérêts financiers derrière l'agenda climatique actuel. Comme le documente le chercheur et militant canadien pour le climat Cory Morningstar dans une excellente série d'articles, ce qui est en jeu, c'est un réseau bien ficelé lié à l'investisseur américain pour le climat et profiteur climatique extrêmement riche, Al Gore, président du groupe Generation Investment.

 

L'associé de Gore, David Blood, ancien fonctionnaire de Goldman Sachs, est membre de la TCFD créée par la BRI. Greta Thunberg et son ami américain de 17 ans, Jamie Margolin, ont tous deux été répertoriés comme "conseiller spécial pour la jeunesse et administrateur" de l'ONG suédoise We Don't Have Time, fondée par son PDG Ingmar Rentzhog. Rentzhog est membre de l'organisation Climate Reality Organization Leaders d'Al Gore, et fait partie de la Task Force européenne sur la politique climatique. Il a été formé en mars 2017 par Al Gore à Denver, et à nouveau en juin 2018, à Berlin. Le projet de réalité climatique d'Al Gore est un partenaire de We Don't Have Time.

 

La députée Alexandria Ocasio-Cortez (AOC), qui a fait grand bruit dès ses premiers jours au Congrès américain pour avoir dévoilé un "Green New Deal" visant à réorganiser complètement l'économie américaine pour un coût de peut-être 100 000 milliards de dollars, n'est pas non plus dépourvue de conseils avisés. AOC a ouvertement admis qu'elle s'est présentée au Congrès à l'instigation d'un groupe appelé Justice Democrats. Elle a déclaré à un journaliste : "Je ne me présenterais pas si je n'avais pas reçu le soutien de Justice Democrats et de Brand New Congress. Umm, en fait, ce sont ces organisations, Justice Democrats et Brand New Congress également, qui m'ont demandé de me présenter en premier lieu. Ce sont eux qui m'ont appelé il y a un an et demi..." Aujourd'hui, en tant que membre du Congrès, les conseillers d'AOC comprennent le cofondateur de Justice Democrats, Zack Exley. Exley était un boursier de l'Open Society et a obtenu des fonds, entre autres de l'Open Society Foundations et de la Ford Foundation, pour créer un prédécesseur de Justice Democrats afin de recruter des candidats sélectionnés pour les élections.

 

Le véritable programme est économique

 

Les liens entre les plus grands groupes financiers, les banques centrales et les entreprises mondiales et la pression actuelle en faveur d'une stratégie climatique radicale visant à abandonner l'économie des combustibles fossiles au profit d'une économie verte vague et inexpliquée, semblent moins relever d'un souci réel de faire de notre planète un environnement propre et sain où vivre. Il s'agit plutôt d'un programme, intimement lié à l'Agenda 2030 de l'ONU pour l'économie "durable", et au développement de milliers de milliards de dollars de nouvelles richesses pour les banques mondiales et les géants financiers qui constituent les véritables pouvoirs en place.

 

En février 2019, à la suite d'un discours de Greta Thunberg à la Commission européenne à Bruxelles, Jean-Claude Juncker, alors président de la Commission européenne, après avoir galamment baisé la main de Greta, a semblé être poussé à l'action. Il a déclaré à Greta et à la presse que l'UE devrait dépenser des centaines de milliards d'euros pour lutter contre le changement climatique au cours des dix prochaines années. Juncker a proposé qu'entre 2021 et 2027, "un euro sur quatre dépensé dans le cadre du budget de l'UE soit consacré à des actions visant à atténuer le changement climatique."

 

Ce que le rusé Juncker n'a pas dit, c'est que cette décision n'avait rien à voir avec le plaidoyer de la jeune militante suédoise. Elle avait été prise conjointement avec la Banque mondiale une année entière auparavant, le 26 septembre 2018, lors du One Planet Summit, avec la Banque mondiale, les fondations Bloomberg, le Forum économique mondial et d'autres. Juncker avait habilement utilisé l'attention médiatique accordée à la jeune suédoise pour promouvoir son agenda climatique.

 

Le 17 octobre 2018, quelques jours après l'accord de l'UE au One Planet Summit, l'UE de Juncker a signé un protocole d'accord avec Breakthrough Energy-Europe dans lequel les sociétés membres de Breakthrough Energy-Europe auront un accès préférentiel à tout financement.

 

Parmi les membres de Breakthrough Energy figurent Richard Branson (Virgin Air), Bill Gates, Jack Ma (Alibaba), Mark Zuckerberg (Facebook), SAR le Prince Al-waleed bin Talal, Ray Dalio (Bridgewater Associates), Julian Robertson (Tiger Management), David Rubenstein (Carlyle Group), George Soros (Soros Fund Management LLC), Masayoshi Son (Softbank).

 

Ne vous y trompez pas. Lorsque les multinationales les plus influentes, les plus grands investisseurs institutionnels du monde, dont BlackRock et Goldman Sachs, les Nations Unies, la Banque mondiale, la Banque d'Angleterre et d'autres banques centrales de la BRI s'allient pour financer un soi-disant programme vert, appelé Green New Deal ou autre, il est temps de regarder derrière la surface des campagnes publiques d'activistes climatiques pour connaître le véritable programme.

 

Le tableau qui se dessine est celui d'une tentative de réorganisation financière de l'économie mondiale en utilisant le climat, par rapport auquel le soleil et son énergie ont des ordres de grandeur plus importants que l'humanité ne le pourra jamais, pour essayer de nous convaincre, nous les gens ordinaires, de faire des sacrifices incalculables pour "sauver notre planète".

 

En 2010, le chef du groupe de travail 3 du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations unies, le Dr Otmar Edenhofer, a déclaré à un journaliste : "... il faut dire clairement que nous redistribuons de facto les richesses du monde par la politique climatique. Il faut se libérer de l'illusion que la politique climatique internationale est une politique environnementale. Cela n'a presque plus rien à voir avec la politique environnementale, avec des problèmes comme la déforestation ou le trou dans la couche d'ozone." Depuis lors, la stratégie de politique économique s'est considérablement développée.

 

F. William Engdahl est consultant en risques stratégiques et conférencier, il est diplômé en politique de l'Université de Princeton et est un auteur à succès sur le pétrole et la géopolitique, exclusivement pour le magazine en ligne "New Eastern Outlook". Il contribue fréquemment à Global Research.

 

 

 

Voir les commentaires