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Ciel Voilé

Résultat pour “effet secondaire en attente”

Guerre climatique en Italie : les changements du modus operandi depuis 2005

9 Septembre 2014, 20:06pm

Publié par Ciel Voilé

 

 

Le 25 juin 2014 – Tanker Enemy - Traduction Ciel voilé

 

http://www.tankerenemy.com/2014/06/guerra-climatica-in-italia-come-e.html#.VA9N71fp-4o

 

C’est au mois de mai 2005 que nous avons pu remarquer que quelque chose d'anormal se produisait dans le ciel de San Remo. Rapidement, nous avons cerné le problème : les activités de guerre climatique lancées quelques décennies auparavant aux États-Unis étaient désormais aussi l’apanage de l’Italie, elles concernaient même notre ville. Depuis lors, neuf années ont passé. Plusieurs gouvernements fantoches se sont succédés et ont continué à avaliser, couvrir et favoriser les opérations de géo-ingénierie clandestine qui, peu à peu, se sont étendues à tout le territoire italien et au monde entier. En fait, si l'on exclut quelques rares pays tels que la Syrie, la diffusion de nanoparticules de métaux lourds et de polymères est désormais une pratique courante à l'échelle mondiale.

 

Actuellement, en effet, ce…travail est désormais en quasi-totalité assigné à des avions commerciaux qui, spécifiquement et volontairement, voyagent y compris sans aucun passager à bord et assurent ce que, déjà en 1997, Edward Teller qualifiait d’activité dévolue à la lutte contre un réchauffement climatique inexistant, en réalité une bien puérile feuille de vigne destinée à couvrir la destruction illégale de la biosphère.

 

Les négationnistes à la solde des institutions gouvernementales, les météorologues militaires et civils et les universitaires complices persistent dans leur tentative de justifier la présence d’impossibles couvertures artificielles avec cette seule et unique explication : « Ce ne sont que de simples traînées de condensation, il s’agit donc de vapeur d'eau inoffensive ».

Dans la mesure où il apparaît clairement que ces gens mentent, il est maintenant plus que temps de se concentrer, après des années d'observations, sur  les techniques qui, de 2005 à nos jours, ont été mises en œuvre en Italie dans le but de faciliter les communications radio terre-terre et terre-air. Comme nous l’avons montré de nombreuses fois, une manière de faciliter ces communications consiste à empêcher la formation des nuages porteurs de pluie, lesquels constituent autant d’obstacles à la transmission du signal radio. Pour atteindre cet objectif, des métaux hygroscopiques et des polymères sont diffusés, mais c’est sur le calendrier et sur le modus operandi que nous voulons porter un regard appuyé.

 

Retour en 2005 et description de ce qui pouvait alors être observé.

 

a) Les activités d’épandages aériens clandestins se traduisaient par de classiques traînées de type persistant. Ces dernières s’élargissaient petit à petit jusqu’à former une couverture artificielle dense et compacte, aux contours bien définis, qui masquait totalement la lumière du soleil. Les opérations étaient conduites principalement à l’aide d’avions KC-10, KC-135, MD-80, MD-81, Tupolev et Learjet.

 

b) Ces activités commençaient aux alentours de 9h30 et se poursuivaient jusqu'à la destruction totale de tous les cumulus de beau temps qui avaient pu se former naturellement dans les heures précédentes. Habituellement, cette dévastation se terminait vers la fin de la matinée ou, au plus tard, en tout début d'après midi. Après cela, la mission étant accomplie, tout ce  trafic aérien s’interrompait brusquement. A noter qu’à cette époque, il leur fallait de nombreuses heures pour détruire quelques kilomètres carrés de formations nuageuses. Il n’en n’est plus de même aujourd’hui. Là où, auparavant, il aurait fallu des dizaines d'avions durant plusieurs heures, les choses peuvent désormais être réalisées en peu de temps avec un nombre réellement limité d'avions.

 

c)  Les survols de nuit étaient sporadiques et, de fait, on pouvait encore observer des nuages bas cumuliformes, de jour comme de nuit, au moins tant qu’ils n’avaient pas été détruits. Le ciel était encore à peu près bleu et non pas blanc.

 

d) Au moins pour ce qui concerne San Remo, objet de notre observation constante, les activités de géo-ingénierie clandestine se concentraient sur le week-end, alors que les autres jours de la semaine, aucun avion de ce type n’était observé aux altitudes en cause et le ciel était naturel.

 

e) AUCUN AVION ne produisait de traînée de type évanescent ou non persistant.

 

Au tout début de l’année 2007, les choses ont changé. Les traînées chimiques évanescentes ont fait leur première apparition. Elles pouvaient être observées à la fin des opérations impliquant l’utilisation de traînées chimiques durables et une fois que les formations nuageuses ​​naturelles avaient été dissoutes. 

 

 

À l'époque, nous les nommions « traînées de maintenance », dans la mesure où ces traces éphémères visaient clairement à empêcher la formation de nouveaux nuages ​​bas, en réduisant le taux d'humidité relative (HR), comme le prouvent les mesures enregistrées par les radiosondes de la zone. 

 

Dans le même temps, a été initiée une opération de dissimulation, puisque beaucoup les qualifiaient, comme cela arrive encore aujourd'hui, de traînées de condensation. Ce résultat déplaisant, nous le devons à la caisse de résonance erronée qui, depuis des années, jacasse sur les traînées persistantes, qui seraient prétendument l’unique caractéristique permettant de distinguer les chemtrails des traînées de condensation. Ne soyez pas dupes! Aucun avion volant tellement bas qu’on peut le voir à l'œil nu, ne peut émettre de traînée, y compris non persistante.

 

Il est nécessaire d’insister sur le fait que les épandages avaient lieu en plein jour. Ils ne débutaient pas avant 9 h30 le matin et se terminaient dès que les nuages ​​naturels étaientremplacés par des nuages ​​artificiels, généralement en début d'après midi. Ceci est particulièrement important et nous verrons pourquoi par la suite

 

C'est justement en 2007 que sur les sites météo et dans les prévisions de l'Armée de l'Air italienne pour la RAI est apparue pour la première fois l’expression « voiles inoffensifs ». Inoffensifs ? Pour quels motifs avaient-ils besoin de préciser qu'ils étaient inoffensifs?

 

Scie notturne

 

Cette année là, la pression fut forte sur les météorologues qui ont dû d’une manière ou d’une autre justifier la présence de centaines de traînées persistantes, longues de centaines de kilomètres (un non sens du point de vue des mécanismes physiques en jeu dans la formation des contrails), sur les cartes satellites. Même la NASA est venue à leur rescousse. L’organisme géré par le Pentagone a publié un certain nombre de documents « scientifiques » dans lesquels elle « expliquait » qu’il s’agissait de « contrails »  et que les « experts » essayaient de chercher à comprendre pour quelles raisons les traînées obscurcissaient le ciel et contribuaient à l'effet de serre. Pauvres idiots, dirons-nous, mais en réalité ce sont eux qui traitent l’opinion publique comme une masse d'imbéciles et ils y arrivent très bien! Même les astronautes italiens s’y sont mis, en publiant des photos instantanées prises en orbite, de ce qu’ils ont qualifié de « fascinantes traînées de condensations, témoignage de la civilisation ». La propagande orwellienne a été mise en branle.

 

 

Même dans les films, dans les documentaires, sur les panneaux publicitaires, dans les spots télé, dans les livres scolaires, on a vu fleurir pléthore de « traînées de condensation » décoratives. Les gens devaient s'habituer ! Et ils se sont habitués.

 

Cependant, la connaissance du phénomène « chemtrails » s’est propagée, à la mesure de la véhémence des actions perturbatrices de la désinformation: les architectes des opérations de guerre climatique ne se sentirent pas en sécurité.

 

Les stratégies changèrent donc et, en 2009, la priorité a été donnée à celle que le langage militaire appelle « dissimulation » ou « camouflage ». Les italiens ont été les premiers à mettre en pratique ces nouvelles techniques et ce n'est pas un hasard, car c’est dans notre pays que la connaissance du phénomène, grâce à quelques lanceurs d’alerte, augmentait de façon préoccupante, plus que partout ailleurs.

 

Ils ont donc décidé de décaler la quasi-totalité des opérations d'aérosols à traînées persistantes durant la nuit, afin d’épandre une épaisse couche de particules hygroscopiques sous le couvert de l'obscurité : c’est une méthode utile pour éviter la formation de cumulus en début de matinée, juste avant le lever dusoleil. Cela contribue à prévenir la formation de nuages ​​bas, au lieu de les détruire quand ils sont déjà formés.

 

Cette couverture nuageuse neurotoxique est tout à fait repérable sur les cartes SAT24, de l'aube aux premières heures de la matinée. Progressivement, elle s’étend aux basses altitudes, formant un brouillard blanc dense, tandis que les quelques maigres nuages ​​s’en trouvent désagrégés. Celui qui se lève tôt le matin peut remarquer les allées et retours frénétiques des avions qui libèrent des traînées persistantes. Ces avions disparaissent soudainement, avant l'aube. Le ciel est déjà clair : il n'y a pas un seul nuage ! Partout, flotte la nuée des retombées ... celle-là même que l'on voit sur les cartes satellites en temps réel. Le ciel a déjà pris sa coloration blanchâtre mortelle due à la présence de nanoparticules métalliques. Les métaux reflètent la lumière du soleil, donnant au ciel cette couleur cadavérique à laquelle beaucoup sont maintenant, hélas, devenus accros. Attention ! Ici il y a une différence majeure : nous assistons à la présence d'une couverture illimitée blanchâtre, légèrement bleutée (la couleur vient d’additifs à base de manganèse). Plus un seul nuage, que des traînées. Dans les années précédentes, la couverture artificielle avait des frontières nettes et on pouvait remarquer, s’élargissant, les traînées d’avions persistantes, en forme de quadrillage, qui en étaient à l’origine. A l'étranger, c’est une pratique qui est toujours de mise. A croire que la physique de l’atmosphère serait différente en dehors des frontières italiennes ?

 

 

 

Pendant les heures diurnes, donc, la survenue de conditions propices à la formation de nuages cumuliformes ayant déjà été empêchée pendant la nuit, ils continuent leur travail en catimini, à l'aide de petits avions (généralement des A-319 et des A-320 appartenant à diverses compagnies civiles), qui relâchent à basse altitude des éléments hygroscopiques évanescents qu'il est difficile de distinguer, tant ils se dispersent en quelques secondes ou minutes.

 

Beaucoup pensent que ce sont des traînées de condensation et que ces avions, plus petits à l'œil nu, sont à des altitudes très élevées : en réalité ils croisent à la hauteur des cumulus, parce que les courants ascendants sont exploités de telle sorte que les particules hygroscopiques phagocytent les nuages​​, à peine en contact avec eux.

 

Comme le confirment les bulletins météorologiques, la formation de nuages ​​bas est limitée aux zones situées dans l’intérieur des terres, avec une faible densité de population et / ou en l'absence d’antennes UMTS et de stations Wifi. Là les survols à basse altitude sont presque absents ou rares, et en fait, des nuages ​​se forment encore. En règle générale, donc, tel qu’accepté par les météorologues, il pleut  dans les terres (l'eau contenue dans les hydrométéores est après tout un problème mineur), mais pas sur les zones résidentielles ou sur la côte. Ceci doit être considéré dans le cadre du projet RFMP. Cette courte vidéo en décrit les dynamiques.

 

Donc, résumons.

 

Aujourd'hui, en 2014, les traînées persistantes hygroscopiques de type durable sont utilisées UNIQUEMENT s’il est nécessaire de bloquer, dévier ou inhiber un front  de perturbation. Dans les autres circonstances et surtout en présence de hautes pressions, sont dispersés (en journée) des produits chimiques à faible persistance, facilement pris  pour des traînées de condensation, ce qu'ils ne sont pas, de toute évidence, compte tenu de l’altitude à laquelle ils sont relâchés. Au moins jusqu'en 2009, comme indiqué, les opérations de guerre climatique se concentraient durant la nuit, à l’abri des regards indiscrets et on ne pouvait voir que les nuits de pleine lune ce que ces criminels manigançaient. Depuis quelques années désormais la plupart des activités clandestines d’aérosols est l'apanage des avions commerciaux, grâce à l'utilisation de carburant et d'additifs ad hoc. Il suffit de visiter les portails des grandes compagnies pétrolières (parmi lesquelles on trouve aussi une compagnie italienne) pour vérifier par soi-même que la forte concentration, dans l'eau de pluie et dans les nappes phréatiques de métaux tels que l'aluminium, le baryum et le manganèse, est due à l'utilisation de tels éléments dans les additifs et les carburants d’avion, quoi qu’en dise la désinformation. L'ex-ministre de la Défense du gouvernement Berlusconi avait raison de dire que les militaires n’étaient pas engagés dans des opérations de guerre climatique.

 

 

C'est vrai ... ils ont délégué en grande partie le sale boulot aux compagnies aériennes civiles, comme suggéré par Edward Teller en 1997. Toutefois, ils sont en capacité de prévoir les voiles ​​artificiels ...

 

Insignifiantes, donc, les modifications à apporter aux aéronefs civils et militaires, au sujet desquels les témoignages d’ingénieurs aérospatiaux séditieux qui ont raconté avoir installé des bombonnes à bord d’appareils militaires seraient donc affabulatoires et dénués de tout fondement.

 

Maintenant, si, comme le prétendent les « négationnistes », ce ne sont que des traînées de condensation, comment expliquer que leur apparence ainsi que leur évolution aient changé au fil des ans et de manière objective, données en main, que le trafic civil soit maintenant plus intense la nuit plutôt que le jour ?

 

Nous aimerions poser ces questions et bien d'autres au lieutenant Stefania De Angelis (Office général pour la communication de l'Armée de l'Air). Sera-t-il disposé à nous répondre ? Nous en doutons beaucoup.

 

Pour conclure, nous voulons présenter l'extrait d'une loi italienne datant de 1994, qui montre de quelle manière la guerre météorologique a été ratifiée par nos gouvernants, bien que ces derniers feignent ne pas être au courant. Il se trouvera certainement quelqu’un pour demander : « Mais si les chemtrails sont utilisés pour empêcher la pluie, pourquoi les tempêtes se produisent-elles ? ». Nous répondrons avec les mots du météorologue officiel Luca Mercalli, qui, interrogé sur la question, dit ostensiblement: « L'eau doit bien finir par tomber quelque part ! ».  Ainsi, si nous inhibons les précipitations dans une zone donnée, elles se reportent dans une autre, avec une plus grande véhémence.

 

Loi 36/94

 

Usages de l'eau

 

1. [..]

2. Avec le décret pris, dans les six mois à compter de la date d'entrée en vigueur de la présente loi, par le ministre de l'Environnement (n.d.r Altero Matteoli) et le ministre des Travaux publics, conformément à l'article 17, paragraphe 3, de la loi du 23 Août 1988, no. 400, a été adopté le règlement relatif à la gestion des modifications artificielles de la phase atmosphérique du cycle naturel de l'eau.

 

 

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Stop à la compensation carbone !

9 Décembre 2023, 17:34pm

Stop à la compensation carbone !
Communiqué de presse, 4 décembre 2023

 

 

Depuis plus de vingt ans, la compensation carbone nuit à une véritable action climatique, donne lieu à des violations des droits humains et des droits des peuples autochtones et génère de graves préjudices pour les communautés de première ligne. Malgré cela, la Conférence des Nations unies sur le climat (COP28) qui se tient actuellement dans les Émirats arabes unis s'annonce comme l'un des plus grands événements promotionnels jamais organisés en faveur des compensations carbone. Au cours de la semaine à venir, les gouvernements décideront d'intégrer ou non les compensations carbone dans la politique climatique internationale et la présidence des Émirats arabes unis organisera de nombreux événements thématiques promotionnels.

 

La fraude et les préjudices causés aux communautés locales par les projets des marchés carbone ont été largement documentés. Tout au long de l'année 2023, des études universitaires, des enquêtes des médias et de la société civile ont révélé que ces projets génèrent régulièrement des crédits fantômes et entraînent l'accaparement de terres et des violations des droits humains et des droits des populations autochtones (voir ci-dessous). Parmi les exemples récents, on peut citer le déplacement forcé des peuples Ogiek dans la forêt de Mau au Kenya pour faire place à des projets de compensation carbone, ainsi que les nombreux cas d'abus sexuels commis dans le cadre d'un projet de compensation kenyan géré par l'entreprise américaine Wildlife Works. Au cours des derniers mois, le Kenya, ainsi que le Liberia, la Tanzanie, la Zambie et le Zimbabwe, ont signé avec la société Blue Carbon, basée à Dubaï, des accords portant sur un total de plus de 24 millions d'hectares de terres communautaires.

 

Les nouvelles frontières de la compensation carbone sont régulièrement repoussées, et se basent sur une course à la conversion des sols agricoles et des zones côtières et marines en « puits » de carbone qui, selon les entreprises, séquestrent le carbone et génèrent de « nouveaux » crédits carbone. Aucune de ces techniques n'a jamais démontré qu’elle peut stocker le carbone de manière permanente. La culture industrielle à grande échelle d'algues marines , par exemple, empiète sur les territoires des communautés côtières et crée de nouvelles menaces pour l'environnement marin et la chaîne alimentaire marine.

 

La compensation carbone a également donné naissance à un nouveau secteur en plein essor qui s’appuie sur de dangereuses techniques de géo-ingénierie et des profiteurs du chaos climatique, souvent au détriment des communautés locales et autochtones. Les développeurs de projets de compensation carbone, les organismes de normalisation, les auditeurs et les fournisseurs de crédits ont empoché des millions en produisant des crédits carbone qui n'ont pas permis de réduire les émissions et qui ont exacerbé la crise climatique. Ces projets, souvent présentés comme des « solutions fondées sur la nature » ou des « solutions climatiques naturelles » ou, lorsqu'ils concernent des zones côtières et marines, comme du « carbone bleu », ont également entraîné les communautés paysannes et autochtones dans des batailles juridiques coûteuses et compliquées dans leurs efforts visant à faire reconnaître leurs droits et récupérer leurs territoires communautaires, ainsi que dans leurs luttes pour s'opposer à ces projets. Dans le cadre du projet REDD du parc national de Cordillera Azul (PNCAZ), les communautés Kichwa de l'Amazonie péruvienne ont été affectées par ces dispositifs coûteux. Le projet de restauration et de conservation des tourbières de Katingan, en Indonésie, a également un impact négatif sur les communautés Dayak. La « solution fondée sur la nature » de Total Energies, qui prévoit des plantations d'arbres à des fins de compensation sur les plateaux Batéké, en République du Congo, où vivent des communautés autochtones Aka et des agriculteurs bantous, est un autre cas de compensation dans lequel les droits des communautés sont bafoués. Ces projets s’inscrivent dans la continuité de spoliations séculaires, désormais justifiées par des considérations « vertes », et s'apparentent à un colonialisme d'accaparement « vert ».

 

Les marchés du carbone ne sont pas une solution au changement climatique. Ce qu'il faut d'urgence, c'est se concentrer à nouveau sur le maintien des combustibles fossiles dans le sol et s'engager à mener une véritable action climatique fondée sur l'équité et la justice.

 

CITATIONS

 

Jutta Kill, du Mouvement mondial pour les forêts tropicales, déclare : « L'échange de crédits de carbone est imprudent et irresponsable. On a déjà perdu beaucoup trop de temps à essayer de corriger un concept qui est structurellement défaillant. Beaucoup trop de projets ont conduit à l'accaparement de terres et ont causé des conflits et des préjudices aux paysans, aux peuples autochtones et aux communautés. »

 

Shalmali Guttal, de Focus on the Global South, ajoute : « Les organisations de petits pêcheurs, les communautés côtières et intérieures ont rejeté sans équivoque la soi-disant « économie bleue » et ont souligné que les concepts de durabilité et de résilience sont détournés pour faire avancer la « colonisation climatique » en repoussant continuellement les frontières de l'extraction et de l'exploitation de la nature. »

 

Kirtana Chandrasekaran, des Amis de la Terre International, déclare : « Les marchés du carbone alimentent l'accaparement des ressources vertes par les grands pollueurs. Pourtant, lors de la COP 28, les gouvernements vont décider de l'opportunité d'élargir le champ couvert par les marchés carbone à de nouvelles terres, à de nouvelles mers et à de nouveaux types d'activités de compensation à risque. Ce serait un désastre pour le climat et les communautés de première ligne. Ce dont nous avons besoin, c'est d'une véritable réduction des émissions et d'un véritable financement climatique. Tout résultat en deçà de cet objectif serait un échec. »

 

Devlin Kuyek, de GRAIN, déclare : « Les marchés du carbone, les systèmes de compensation et les « absorptions » de carbone ne peuvent pas offrir de solutions à la crise climatique. Ils soutiennent un système qui a permis aux entreprises polluantes et aux pays riches de retarder l'action et de tirer profit de la crise. Qu'elle soit non réglementée ou approuvée par les Nations Unies, la compensation carbone sous toutes ses formes, notamment REDD ou ce qu'on appelle les « solutions fondées sur la nature » et le « carbone bleu », est une escroquerie à laquelle nous devons mettre un terme immédiatement. »

 

Laura Dunn, du Groupe ETC, explique : « Dans le monde de la compensation carbone, les algues sont présentées comme le nouveau pétrole « vert ». Mais notre récent rapport The Seaweed Delusion montre que la culture industrielle d'algues ne sauvera pas notre climat ni la nature. L'application de la géo-ingénierie à l'échelle de la planète, avec des plantations massives d'algues, détruira les écosystèmes et menacera les communautés côtières. »

 

Anuradha Mittal, directrice exécutive de l'Oakland Institute : « Lors de la COP28, les dirigeants mondiaux et les négociateurs climatiques doivent reconnaître une fois pour toutes que les marchés du carbone sont une source de financement climatique qui a échoué. Ils sont volatiles et instables, entachés par la fraude, incapables de réduire les émissions et en réalité nuisibles pour les communautés. Nous ne pouvons plus nous permettre de perdre du temps avec cette fausse solution. Le monde a besoin de toute urgence d'autres moyens pour stimuler l'action climatique, car les marchés du carbone ont échoué. »

 

Jose Bravo de la Just Transition Alliance, déclare : « Les systèmes d'échange et de compensation de la pollution n'ont servi qu'à remplir les coffres des plus grandes entreprises polluantes de la planète. Pour retrouver une quelconque crédibilité après cette mascarade de la COP 28, la CCNUCC doit renoncer à ces subventions aux pollueurs et commencer à suivre le leadership des travailleurs de première ligne et des communautés qui ouvrent des voies de transition justes et basées sur de vraies solutions climatiques. »

 

fin–

 

NOTES

 

Quelques exemples de dommages causés aux communautés locales par les projets de compensation carbone :


 

  • Près de la moitié des crédits achetées par Chevron font l’objet de plaintes ou d’accusations de dommages causés aux communautés et de dégradation des écosystèmes, en particulier dans le Sud global ou en première ligne de la crise climatique.

  • Une carte mondiale des projets de compensation carbone des cinq dernières années montre que 72 % d'entre eux ont porté préjudice à des communautés autochtones ou locales.

  • Au Kerala, en Inde, un projet de combustible dérivé de déchets, mis en place pour générer des crédits carbone, empoisonne l'air des villages environnants densément peuplés.

  • Le projet de compensation de Total en République du Congo a pris des terres aux agriculteurs et menace leurs moyens de subsistance.

  • Les communautés vivant dans la zone concernée par le projet REDD+ Alto Mayo au Pérou ont été violemment expulsées de leurs maisons lors d'une série d'interventions menées par les autorités du parc.

  • La Plateforme africaine d'impact forestier a récemment acquis Green Resources, une entreprise norvégienne de foresterie de plantation et de crédits carbone dont l'histoire est marquée par des accaparements de terres, des violations des droits humains et des destructions de l'environnement à travers l'Ouganda, le Mozambique et la Tanzanie.

 

Quelques exemples de fraude et de commerce de crédits fantômes :


 

  • Décrit par le New Yorker comme une « arnaque de type cash contre carbone », le projet REDD Kariba de South Pole au Zimbabwe a récolté au moins 100 millions USD en crédits carbone avant de s’effondrer suite à un scandale en octobre 2023.

  • Une étude réalisée en 2023 a révélé que la majorité des principaux projets de compensation carbone dans le monde. pouvaient être classés dans la catégorie des projets « probablement bidon » tandis qu'une autre étude, portant sur le principal certificateur de compensation carbone dans le monde, a révélé que « la plupart des crédits ne représentent probablement aucun avantage pour le climat ».

  • Une étude réalisée par Mongabay et le New Humanitarian montre que les déclarations de neutralité carbone de l'ONU reposent en grande partie sur des crédits de compensation carbone qui ne réduisent pas vraiment les émissions de gaz à effet de serre et dont certains ont fait l’objet de témoignages dénonçant des dommages environnementaux, des déplacements de population ou des problèmes de santé.

  • Une évaluation du Northern Kenya Grassland Carbon Project, géré par le Northern Rangelands Trust (NRT), a révélé qu'il reposait sur des hypothèses méthodologiques erronées, remettant en question la crédibilité des crédits de compensation qu'il génère.

  • Une enquête du journal Le Monde a révélé que trois projets de compensation carbone à Portel, au Brésil, qui ont vendu des crédits à Air France, Boeing, Bayer, Veolia, LCL et Samsung, sont frauduleux et n'ont aucun effet bénéfique sur le climat.

  • En Papouasie-Nouvelle-Guinée, une enquête menée par ABC a permis de découvrir des preuves de l'exploitation commerciale d'une forêt tropicale censée être protégée par un système de crédits carbone géré par l'entreprise américaine NIHT.

  • Une publication du Penn Center for Science, Sustainability and the Media, basé aux États-Unis, conclut que les crédits carbone fragilisent l'Accord de Paris des Nations Unies.

  • Les recherches menées par l'ancien fournisseur de crédits carbone Compensate suggèrent que les crédits issus de la majorité des quelque 170 projets de compensation « fondés sur la nature » qui sont vendus sur les marchés sont « impropres à une utilisation à des fins de compensation ».

  • Sur la base de sa propre analyse, l'agence de notation des crédits carbone BeZeroa note que si « [l]a théorie des marchés du carbone suppose que tous les crédits représentent un évitement ou une absorption d'émissions égal(e) à 1 teqCO₂ [...] les éléments probants montrent de plus en plus que ce n'est pas le cas. »


 

https://grain.org/fr/article/7073-stop-a-la-compensation-carbone

 

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Indication d'une volonté délibérée de provoquer le réchauffement planétaire et la fonte des glaciers

17 Février 2017, 09:44am

Publié par Marvin Herndon

Traduction Ciel voilé

Publié dans Le journal international de géographie, de l'environnement et des sciences de la terre

9(1):1-11,2017 ; Article N° JGEESI.30834 – ISSN : 2454-7352 – www.sciencedomain.org

J. Marvin Herndon, Transdyne Corporation, 11044 Red Rock Drive, San Diego, CA 92131, Etats-Unis

Contribution de l'auteur : Manuscrit conçu, analysé, interprété, préparé par l'auteur seul

Informations sur l'article :

DOI : 10.9734/JGEESI/2017/30834

Editeur : Anthony R. Lupo, département du sol, science de l'environnement et de l'atmosphère, Université du Missouri, Columbia, Etats-Unis.

Comité de lecture :

Nicola Scafetta, Université Frédéric II de Naples, Italie.

Mohammed Suleiman, Université Umaru Musa Yar'adua, Katsina, Nigéria.

Olawale Abiye, Université Obafemi Awolowo, Nigéria.

Historique complet de la revue par des pairs : http://www.sciencedomain.org/review-history/17665

 

Article de recherche, reçu le 2 décembre 2016, accepté le 24 janvier 2017, publié le 29 janvier 2017

 

Résumé

 

Objectifs : Autour du 14 février 2016, une substance d'apparence huileuse et cendreuse a été accidentellement relâchée par un avion et est tombée sur sept résidences et des véhicules de la municipalité d'Harrison ( Michigan – Etats-Unis). Les objectifs de cette étude sont d'analyser cette substance tombée et, des résultats obtenus, déduire l'usage visé de cette substance.

Méthodologie : Analyse au spectroscope de masse à plasma à couplage inductif (ICP-MS) et au microscope à balayage électronique (SEM) et aux rayons X (EDX) de la substance tombée.

Résultats : La substance tombée est constituée d'un assemblage de matière végétale mélangée à des cendres volantes de charbon et du sel. La forme des éclaboussures sur les véhicules, le sol et les toits ressemble aux trous de cryoconite observés sur les glaciers qui disparaissent dans le monde entier. La substance tombée ressemble, dans une certaine mesure, à la cryoconite naturelle et paraît l'imiter avec des cendres volantes de charbon qui lui donnent cette couleur gris sombre laquelle absorbe la lumière solaire, fait fondre la glace des glaciers et contribue au réchauffement planétaire.

Conclusions : Les résultats de cette étude apportent la preuve qu'il s'agit d'une volonté délibérée d'accélérer la fonte des glaciers et par conséquent d'accélérer le réchauffement planétaire. Ainsi, cette étude confirme le net effet des pulvérisations quotidiennes d'aérosols dans la troposphère, observées dans le monde entier. Par ailleurs, l'auteur a prouvé que la matière première employée lors de ces pulvérisations dont l'effet évident est d'augmenter le réchauffement planétaire est constituée de cendres volantes de charbon. Les scientifiques du monde entier devraient lancer un appel et vraiment exiger, une enquête complète et ouverte sur ces activités de géo-ingénierie clandestine dont les impacts potentiels sur le système climatique de la Terre, l'intégrité du biote terrestre et la santé humaine pourraient s'avérer extrêmement dangereux.

 

1.Introduction

 

La vie sur Terre existe dans un état fragile et complexe d'équilibre dynamique de dépendance mutuelle entre et au sein des différents milieux de vie et l'environnement physique. Toute perturbation de ce délicat équilibre est susceptible de le bouleverser et d'entraîner des conséquences potentiellement dévastatrices pour de nombreuses espèces, y compris les êtres humains.

Depuis le début de l'ère industrielle, nous, êtres humains, avons, par inadvertance, matériellement altéré notre planète. Très tôt, les effets ont été localisés, comme par exemple la pollution des villes partout dans le monde et les déforestations régionales tout autour du globe. A mesure que le progrès technologique s'accroît, notre capacité à détruire l'environnement s'amplifie (1). Dans beaucoup de villes actuellement l'air que nous respirons est mauvais pour la santé, les déchets plastiques inondent les océans, les produits de combustion du kérosène et leurs additifs polluent l'atmosphère, les villes ne cessent de s'étendre sur les terres, on continue à éliminer les forêts, et la combustion d' énergies fossiles produit une chaleur artificielle et des gaz d'échappement. Cette liste n'est pas exhaustive. Collectivement, nous, êtres humains, n'avons pas encore appris à vivre en harmonie avec notre planète.

En plus de ces attaques involontaires, il en existe une, intentionnelle, connue sous le nom de géo-ingénierie, qui est potentiellement plus dangereuse que toutes les autres réunies. La géo-ingénierie peut être définie comme « la manipulation délibérée à grande échelle de l'environnement planétaire y compris la manipulation du temps et du climat. » Les débuts de la géo-ingénierie proviennent des expérimentations sur l'ensemencement des nuages dans les années 1946-1947. On a découvert qu'ajouter de la glace sèche ( du C02 gelé) ou de l'iodure d'argent aux nuages pouvait favoriser la nucléation de pluie ou de neige. Le développement de la technologie pour contrôler le temps, comme une arme de guerre, a commencé avec cette découverte[2,3] et s'est dès lors poursuivi dans la clandestinité. De 1967 à 1972, l'opération Popeye impliquait l'ensemencement des nuages avec l'intention de prolonger la mousson sur le route d'Ho Chi Minh pour empêcher le transport des troupes et des fournitures pendant la guerre du Vietnam [4,5]. Mais utiliser les nuages pour aggraver la pluie ou la neige, plus ou moins à volonté, n'était que la première étape. Les militaire voulaient contrôler complètement le temps, comme arme de guerre, comme cela a été décrit plus tard en 1996, dans le document de l'US Air Force : « Le temps comme multiplicateur de force : posséder le temps en 2025[5] ».

Rétrospectivement, ce document aurait dû sonner l'alarme. Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, les militaires américains n'ont eu qu'une obsession, sans aucune notion de responsabilité pour le bien-être des populations civiles ou de l'environnement. Par exemple, dans leur poursuite d'une technologie de guerre nucléaire, les explosions dans l'atmosphère de plus de cent bombes nucléaires ont été menées, en général sans égard pour la santé des résidents exposés[6] ; sans égard pour l'environnement comme le prouve l'explosion d'une bombe à fission nucléaire dans la ceinture de Van Hallen, et à un niveau plus personnel, en faisant croire à des femmes enceintes qu'on leur administrait des vitamines alors qu'il s'agissait de fer radioactif, ou en injectant à des nouveaux-nés de l'iode 131 radioactif [6,9].

Après avoir appris comment faire pour que les nuages produisent de la pluie ou de la neige, plus ou moins à la demande, l'étape technologique suivante a été d'apprendre comment empêcher la pluie pour provoquer sécheresse et famine au sein d'une nation supposée ennemie. Pendant au moins trente ans des expérimentations ont été conduites dans la basse atmosphère (troposphère), à l'aide d'avions pulvérisant des substances inconnues qui laissent des traînées de particules dans le ciel [10] observées par des millions de témoins (Fig.1). Ces traînées ressemblent au début superficiellement à des traînées de condensation, qui sont des cristaux de glace formés par les gaz d'échappement des avions. Cependant les traînées de condensation ne se forment que dans un environnement très humide, à des températures assez basses pour supporter une pression de vapeur saturante permettant le gel, et avec une humidité suffisante dans les gaz d'échappement[11,12]. Les traînées de condensation deviennent rapidement invisibles du fait de l'évaporation, alors que les traînées de particules s'étalent et parfois rapidement forment des nuages artificiels à l'aspect de cirrus, avant de s'étendre pour former une brume blanchâtre dans le ciel.

 

Fig. 1	Photographies de particules de matière utilisée en géo-ingénierie déposées dans la troposphère au-dessus des États-Unis, de la France, de l’Angleterre et de l’Égypte. De façon caractéristique, les traînées de particules épandues par des avions diffusent rapidement, devenant des nuages artificiels, qui se transforment ensuite en brume blanche dans le ciel, parfois si dense que le ciel semble couvert, parfois avec une teinte brunâtre Photos de Patrick Roddie et de Deborah Whitman, avec leur aimable autorisation. Egypte:photo de l’auteur.

Fig. 1 Photographies de particules de matière utilisée en géo-ingénierie déposées dans la troposphère au-dessus des États-Unis, de la France, de l’Angleterre et de l’Égypte. De façon caractéristique, les traînées de particules épandues par des avions diffusent rapidement, devenant des nuages artificiels, qui se transforment ensuite en brume blanche dans le ciel, parfois si dense que le ciel semble couvert, parfois avec une teinte brunâtre Photos de Patrick Roddie et de Deborah Whitman, avec leur aimable autorisation. Egypte:photo de l’auteur.

Le principe pour empêcher la pluie de tomber est très simple depuis les études sur la pollution. Les particules de pollution de l'ordre du micron ou en dessous, quand elles sont pulvérisées dans une zone où les nuages se forment, empêchent les gouttes d'humidité de se réunir pour former des gouttes suffisamment lourdes pour tomber en pluie ou en neige. A l'occasion, les nuages remplis d'humidité doivent relâcher leur charge d'eau causant potentiellement des orages et des averses. Les implications militaires cachées sont claires : pulvériser des particules dans l'air au-dessus d'un ennemi supposé, détruire la production agricole, décimer les élevages et provoquer souffrance et famine[1].

Si les activités de pulvérisation de particules dans l'atmosphère étaient uniquement prévues pour développer cette technologie militaire, les expérimentations seraient limitées dans le temps et dans l'espace. Mais cela ne correspond pas à ce qui a été observé par des millions d'individus à travers le monde [14,19]. Au cours des dernières années, les pulvérisations de particules dans la troposphère sont devenues une activité quasi-quotidienne, dans une majeure partie du monde, sans reconnaissance officielle, et sans le consentement éclairé de ceux qui respirent un air contaminé aux particules fines. Clairement, c'est un programme clandestin mis en œuvre par diverses nations, incluant, sans s'y limiter, les Etats-Unis, le Canada et d'autres nations du Commonwealth, les pays de l'Union Européenne, le Japon, la Russie, le Brésil, la Corée du Sud, l'Egypte et l'Inde. Aucune information officielle n'est disponible publiquement, ni la raison pour laquelle des gouvernements et des organisations mènent cette attaque aérienne contre notre planète. Aucune information officielle n'existe sur son but, les substances pulvérisées dans la troposphère, les implications géophysiques ou les conséquences sur la santé publique et l'environnement. En principe, la communauté des scientifiques de la Terre dispose des instruments et de la compréhension pour vérifier les réponses à certaines de ces questions. Mais, les scientifiques universitaires ont collectivement fermé l'oeil, restant silencieux, ou chantant le mantra du GIEC qui dit que dans le futur il sera peut être nécessaire de déposer en altitude, dans la stratosphère, des substances bloquant le soleil pour contrer le supposé réchauffement planétaire. Récemment, un journal scientifique, qui fut prestigieux, est devenu complice de la tromperie délibérée du public sur les pulvérisations aériennes.

J'estime que les scientifiques, du fait de leur savoir-faire et de leurs connaissances, ont la responsabilité d'être bénéfiques à l'humanité et au progrès de la civilisation. J'ai donc choisi d'appliquer des méthodes scientifiques pour certifier la nature de la principale substance pulvérisée dans la troposphère et j'ai découvert trois modes de preuves indépendants selon lesquelles, la pollution aux particules fines de la troposphère par la géo-ingénierie est essentiellement constituée de cendres volantes provenant de la combustion du charbon. Lorsque le charbon est brûlé dans les usines de production d'électricité, les cendres lourdes tombent et les cendres légères s'élèvent dans les cheminées, mais dans les pays occidentaux, elles sont capturées électro-statiquement et stockées car ce type de cendres contient la plupart des métaux toxiques déjà présents dans le charbon. Quand les cendres volantes de charbon sont pulvérisées dans la troposphère, elles empêchent la pluie ou la neige de tomber, absorbent l'humidité atmosphérique, augmente la conductivité électrique de l'humidité atmosphérique, réchauffent l'atmosphère et bloquent les radiations émises par la surface du globe et qui devraient partir vers l'espace. Quand les cendres volantes de charbon d'une couleur gris sombre typique tombent sur terre, elles absorbent la lumière solaire et modifient l'albédo de la neige et de la glace ce qui provoque leur fonte. En d'autres termes, en plus de provoquer la sécheresse, quand elles sont pulvérisées presque tous les jours, et presque partout, comme actuellement, les cendres volantes de charbon réchauffent la planète provoquant délibérément un réchauffement climatique d'origine anthropique d'un type différent de celui des gaz à effet de serre.

Les avions qui pulvérisent des cendres volantes de charbon dans la troposphère font partie d'un programme clandestin, presque mondial et opèrent à partir de bases aériennes non révélées. Autour du 14 février 2016, un avion probablement de la base aérienne de la Garde Nationale du Michigan ( Etats-Unis) à Selfridge, a momentanément relâché une petite portion de son chargement, qui, comme l'ont rapporté les résidents, est tombée sur la commune d'Harrison ( Michigan- Etats-Unis). Le 14 février, un résident de la municipalité d'Harrison a remarqué une substance étrange, apparemment tombée d'un avion de passage, et qui s'est déposée au moins sur sept propriétés et plusieurs voitures ( Fig 2). «  C'était une substance ressemblant à de la cendre de consistance grasse. » a déclaré le chef des pompiers d'Harrison, Michael Lopez à ABC News. «  C'est apparemment tombé directement. » a-t-il ajouté, remarquant que la substance n'a été trouvée que sur les toits des voitures et des maisons et qu'elle n'a pas tout éclaboussé. 

Fig. 2	Exemples évidents d’éclaboussures de substance tombée sur des véhicules et des  résidences.

Fig. 2 Exemples évidents d’éclaboussures de substance tombée sur des véhicules et des résidences.

Suspectant qu'il s'agissait là d'un dégazage accidentel d'une activité de géo-ingénierie clandestine, j'ai obtenu des échantillons de la substances de l'un des résidents dont la propriété avait été touchée (Fig 2) et je les ai faits analyser. Cette substance a aussi été échantillonnée et analysée par les fonctionnaires du service de la qualité de l'environnement du Michigan. Je rapporte ici les résultats de ces analyses qui apportent la preuve d'une opération délibérée destinée à faire fondre la glace et la neige, ce qui confirme l'hypothèse que les cendres volantes de charbon sont utilisées en aérosols pour délibérément augmenter le réchauffement planétaire [13,22,23].

 

2 Méthodologie

 

Les échantillons de la substance relâchée ont été recueillis par Paul Schlutow sur sa propriété d'Harrison au Michigan ( Etats-Unis). Il a généreusement fait don de ces échantillons à l'auteur pour les faire analyser. Des échantillons de cette substance ont été envoyés au service du Lac du Nord, au laboratoire d'analyses et aux services de l'environnement, à un laboratoire classique pour des analyses au spectromètre de masse à plasma à couplage inductif (ICP-MS). Un échantillon a été envoyé à RJ Lee Group Inc pour une analyse au microscope à balayage électronique (SEM) et à dispersion aux rayons X (EDX).

 

 

3 Résultats et discussion

 

La figure 3 montre des images à faible grossissement de la substance tombée du ciel que le service de la qualité de l'environnement du Michigan a examiné au microscope : « Elle est constituée d'un mélange de particules réunis en groupes noirs qui morphologiquement ressemblent à des morceaux de plantes, incluant des feuilles, des grains et des peaux de fruits qui forment l'essentiel de l'échantillon. » Clairement la substance tombée du ciel n'est pas de la cendre volante de la combustion du charbon, mais comme le montrent les traces, les cendres volantes de charbon sont un matériau couramment utilisé en géo-ingénierie. Quand les cendres volantes de charbon tombent sur la Terre, leur couleur caractéristique gris sombre absorbe la lumière du soleil et augmente le réchauffement planétaire. Donc, la question qui se pose naturellement est de savoir si ces gouttes sombres tombées du ciel contiennent des cendres volantes de charbon. Pour répondre à cette question, trois échantillons de la substance tombée ont été analysés de façon indépendante, au spectromètre de masse, y compris un échantillon recueilli et analysé par le service de la qualité de l'environnement du Michigan. Les résultats d'analyses exprimés en ratios de masse d'éléments sont comparés, Fig 4 aux ratios des masses de 23 échantillons de cendres volantes de charbon européens [25]analysés et publiés et aux 12 échantillons de cendres volantes de charbon américain [26]. Pour des comparaisons ultérieures, les données des ratios ICP-MS sont aussi indiqués pour quatre échantillons de poussière recueillis sur des filtres à air extérieurs, de haute qualité pendant trois mois, en Californie ( Etats-Unis) et en Arizona ( Etats-Unis) en des lieux éloignés de toute installation industrielle au charbon [13,23]. Les données ICP-MS, exprimées en ratios de masse, sont aussi indiquées pour cinq échantillons de fibres recueillis à Laona dans le Wisconsin ( Etats-Unis), sur l'herbe après que la neige ait fondu (Fig.5). Des substances fibreuses blanches, ont été observées tombant sur Terre pendant ou après des pulvérisations d'aérosols dans la troposphère [27,30] on suppose qu'il s'agit d'un sous-produit involontaire formé lorsque la substance aux cendres volantes de charbon et ses additifs rencontre l'environnement de combustion de l'avion où le mélange et la transformation en filaments se produisent.

 

Fig. 3	Images à faible grossissement de la substance tombée

Fig. 3 Images à faible grossissement de la substance tombée

Aucune déduction ne peut être faite de l'observation de la Fig.4 si tous les ratios ne figurent pas pour chaque échantillon mesuré; c'est principalement la conséquence des différentes analyses requises, et secondairement le résultat de différentes limites de détection des laboratoires impliqués. Parmi les résultats présentés il existe une variation, mais qui était prévisible. Les variations par élément chimique étaient attendues car le charbon de différentes sources comprend différentes quantités relatives d'oligoéléments. Les variations d'éléments dans les cendres volantes de charbon peuvent aussi provenir des différents modes de combustion du charbon. Des variations ultérieures, au moins concernant les filaments peuvent provenir d'un mécanisme de production inattendu de fibres. Le traitement statistique des comparaisons de ratios mesurés n'est pas approprié car la comparaison ne porte pas sur la même famille de données, mais sur un groupe d'ensembles indépendants de populations potentiellement variables. Néanmoins, la prépondérance de correspondances sur un grand nombre de ratios d'éléments constitue une preuve solide du fait que les cendres volantes de charbon sont un composant de la substance tombée du ciel, et de même pour les poussières sur filtres ou les filaments.

Fig. 4	Ratios en éléments chimiques, mesurés sur les échantillons de substance tombée indiqués par les symboles X: vert : département de la qualité environnementale du Michigan, rouge : Northern Lake Service et bleu : Basic Laboratory. À titre de comparaison, les lignes rouges et bleues sont respectivement les proportions des éléments mesurés sur des échantillons de cendres volantes européennes [25]et américaines[26] ; les cercles sont des ratios en éléments des échantillons de fibres ( Fig.5) trouvés sur l'herbe à la fonte de la neige à Laona, Wisconsin (USA) le 19 mars 2015, et les triangles sont les ratios en éléments mesurés sur la poussière recueillie sur les filtres à air extérieurs, de haute qualité, par périodes de trois mois [13,23].

Fig. 4 Ratios en éléments chimiques, mesurés sur les échantillons de substance tombée indiqués par les symboles X: vert : département de la qualité environnementale du Michigan, rouge : Northern Lake Service et bleu : Basic Laboratory. À titre de comparaison, les lignes rouges et bleues sont respectivement les proportions des éléments mesurés sur des échantillons de cendres volantes européennes [25]et américaines[26] ; les cercles sont des ratios en éléments des échantillons de fibres ( Fig.5) trouvés sur l'herbe à la fonte de la neige à Laona, Wisconsin (USA) le 19 mars 2015, et les triangles sont les ratios en éléments mesurés sur la poussière recueillie sur les filtres à air extérieurs, de haute qualité, par périodes de trois mois [13,23].

Les figues 6-8 sont des images au microscope à balayage électronique d'un échantillon de la substance tombée. Le rectangle blanc marqué sur chaque image indique la zone où a été déterminée l'analyse spectrale. Les valeurs numériques des éléments mesurés sont réunies dans le tableau 1.

 

Fig. 5 Fibres supposées formées durant la géo-ingénierie troposphérique. En haut : fibres observées sur l'herbe lors de la fonte de la neige et échantillonnées pour analyses (photo de Robert West, avec son aimable autorisation). En bas : aspect typique des fibres, ici prises sur du matériel agricole dans le village d'Argujillo en Castille-Léon, région d’Espagne (photo de Guardacielos – Skyguards, avec leur aimable autorisation).

Fig. 5 Fibres supposées formées durant la géo-ingénierie troposphérique. En haut : fibres observées sur l'herbe lors de la fonte de la neige et échantillonnées pour analyses (photo de Robert West, avec son aimable autorisation). En bas : aspect typique des fibres, ici prises sur du matériel agricole dans le village d'Argujillo en Castille-Léon, région d’Espagne (photo de Guardacielos – Skyguards, avec leur aimable autorisation).

Tableau 1. Composition des éléments analysés aux EDX dans les zones sélectionnées Figs.6-8

 

Elément        Fig.4                                     Fig.5                                       Fig.6

          % Poids      % Atome           % Poids        % Atome          % Poids          % Atome

C           52.21          67.02               46.83             60.53               91.68                94.22

O          19.64          18.93                26.08             25.31                6.64                  5.12

Na          7.85            5.27                   9.93              6.71                0.40                  0.22

Mg         0.11             0.07                  0.58               0.37                0.04                  0.02

Al           0.69             0.39                  0.00              0.00                0.01                  0.00

Si           0.08             0.05                  0.17              0.10                0.03                  0.01

P            0.56            0.28                  0.06               0.03                0.09                  0.03

S            0.48            0.23                  0.75               0.36                0.01                  0.00

Cl         13.26            5.77                10.24               4.48                0.51                  0.18

K            2.87           1.13                   3.17               1.26                0.22                  0.07

Ca         2.25            0.87                  2.19                0.85                0.38                 0.12

 

Total   100.00                                100.00                                    100.00

A l'examen des données des figures 6-8 et du tableau 1, il est clair que la substance larguée est constituée de matières végétales transformées, additionnées d'un peu de cendres volantes de charbon et d'un peu de sel, ce qui est indiqué par les valeurs du sodium et de la chlorine dans la tableau 1. Malheureusement, rien n'a été fait pour vérifier la nature du liant huileux initialement observé dans les échantillons fraîchement tombés ou pour déterminer si des organismes vivants viables étaient présents à l'origine. Dans le contexte des données présentées ici, et de la distribution observée sur la substance tombée, à quoi peut bien servir cette substance qui a été relâchée accidentellement sur la municipalité d'Harrison autour du 14 février 2016 ?

Des motifs en forme de trous presque circulaires, parfois appelés «  trous de cryoconite » sont observés sur toutes les surfaces de glaciers dans le monde (Fig 9) ; ces trous ressemblent au motif de distribution de la substance tombée montrée Figure 2. Selon Cook et al. [31], « La cryoconite est un sédiment granulaire trouvé à la surface des glaciers, qui comprend à la fois des matières minérales et biologiques. Du fait de sa couleur noire, la cryoconite absorbe efficacement la lumière solaire et creuse des trous presque circulaires jusqu'à des dizaines de centimètres de profondeur dans la glace des glaciers. ». La figure 10 est une image de cryoconite au microscope à balayage électronique. Bien qu'ayant un grossissement dix fois plus grand, l'image de cryoconite de la figure 10 ressemble à l'image de substance tombée de la figure 6. Je fais l'hypothèse que la substance tombée est une cryoconite synthétique ou proto-cryoconite, dont le but est de faire fondre la glace des glaciers. Cette explication est cohérente avec la pulvérisation à présent presque quotidienne, presque mondiale d'une substance particulaire, qui, la preuve en est faite, est formée de cendres volantes de charbon, dans la troposphère, ce qui a pour effet de causer un réchauffement planétaire.

On peut raisonnablement supposer que le largage apparemment accidentel et momentané de cette substance sur la commune d'Harrison ne constitue pas un événement unique en son genre, mais n'est qu'une part d'une bien plus grande opération systématique destinée à faire fondre la glace des glaciers. Du temps, du travail et des dépenses considérables ont été nécessaires pour étudier la substance tombée que je désigne comme de la cryoconite synthétique, ou proto-cryoconite. De même, du temps, du travail et des dépenses considérables ont été nécessaires pour étudier et analyser le mécanisme de l'avion qui disperse cette substance de manière systématique et efficace.

Fig. 6	Photographie au microscope à balayage électronique d'un échantillon de substance tombée. Le rectangle blanc indique la zone où l'analyse EDX a été effectuée. Les valeurs EDX numériques sont réunies dans le tableau 1.

Fig. 6 Photographie au microscope à balayage électronique d'un échantillon de substance tombée. Le rectangle blanc indique la zone où l'analyse EDX a été effectuée. Les valeurs EDX numériques sont réunies dans le tableau 1.

Fig. 7 Photographie au microscope à balayage électronique du même échantillon de substance tombée. Le rectangle blanc indique la zone où l'analyse EDX a été effectuée. Les valeurs EDX numériques sont réunies dans le tableau 1.

Fig. 7 Photographie au microscope à balayage électronique du même échantillon de substance tombée. Le rectangle blanc indique la zone où l'analyse EDX a été effectuée. Les valeurs EDX numériques sont réunies dans le tableau 1.

Depuis au moins quinze ans, des activités clandestines de modification du temps/climat se sont déroulées, à une échelle et une fréquence en augmentation constante, qui comprennent la pulvérisation de particules polluantes dans la troposphère. La communauté scientifique a fait preuve d'une grossière négligence en ignorant les pulvérisations à présent presque quotidiennes, dans presque le monde entier, de particules de pollution dans la troposphère, et la preuve en a été faite : il s'agit de cendres volantes de charbon, une substance contenant des toxines préjudiciables à pratiquement tous les êtres vivants, y compris les êtres humains. Non seulement les pulvérisations contaminent l'environnement, mais l'altitude de dispersion de ces particules de pollution provoque le réchauffement planétaire et perturbe les systèmes météorologiques ce qui peut porter atteinte ou endommager la santé humaine et même provoquer la perte de vie, interrompre la production agricole, créer un environnement pestilentiel devenant insalubre à l'échelle planétaire.

Pourtant les conséquences de cette activité de géo-ingénierie climatique quasi-mondiale n'ont été prises en compte par aucun des modèles de changement climatique évalués par le GIEC, ce qui remet en question non seulement les conclusions de cette organisation, mais aussi son autorité morale. A partir des preuves présentées ici, j’affirme qu’il existe une autre activité de géo-ingénierie clandestine en cours dont l'objectif semble être d'accroître encore le réchauffement climatique en faisant fondre la glace des glaciers. La composante de cendres volantes de charbon du matériau à épandre pollue davantage l'environnement avec des métaux lourds toxiques.

 

Fig. 8	Photographie au microscope à balayage électronique d'un autre échantillon de substance tombée. Le rectangle blanc indique la zone analysée. Les valeurs EDX numériques sont réunies dans le tableau 1.

Fig. 8 Photographie au microscope à balayage électronique d'un autre échantillon de substance tombée. Le rectangle blanc indique la zone analysée. Les valeurs EDX numériques sont réunies dans le tableau 1.

Fig. 9 	Trous de cryoconite sur la banquise du Groenland (photo de Joseph Cook, avec son aimable autorisation).

Fig. 9 Trous de cryoconite sur la banquise du Groenland (photo de Joseph Cook, avec son aimable autorisation).

Fig. 10 Image au microscope à balayage électronique de cryoconite de la banquise du Groenland montrant un réseau de filaments cyanobactériens autour des fragments minéraux (photo de Joseph Cook, avec son aimable autorisation).

Fig. 10 Image au microscope à balayage électronique de cryoconite de la banquise du Groenland montrant un réseau de filaments cyanobactériens autour des fragments minéraux (photo de Joseph Cook, avec son aimable autorisation).

 

4. Conclusion

 

Les résultats de cette enquête fournissent la preuve manifeste d'une volonté délibérée d'accélérer la fonte des glaciers et par conséquent d'accélérer le réchauffement planétaire. Du temps, du travail et des dépenses considérables ont été nécessaires pour étudier cette substance tombée, que je nomme cryoconite synthétique ou proto-cryoconite et pour étudier et vérifier la technologie de dispersion de cette substance d'une manière systématique et efficace; par conséquent, il paraît peu probable qu'il s'agisse d'une simple opération locale. Ainsi cette enquête, renforce l'intention présumée des pulvérisations d'aérosols dans la troposphère, observées partout dans le monde, qui ont pour conséquence de provoquer le réchauffement planétaire. Par ailleurs, l'auteur a fourni la preuve que les cendres volantes de charbon sont la matière première principale utilisée lors de ces pulvérisations d'aérosols dont l'effet très net est d'augmenter le réchauffement planétaire. Curieusement, l'un des composants de la substance étudiée, déduit ici des résultats analytiques, est formé de cendres volantes de charbon. Les scientifiques qui étudient les glaciers devraient être conscients de la preuve présentée ici et devraient vérifier si une telle matière est de la cryoconite synthétique ou proto-cryoconite, qui pourrait avoir été épandue.

Les scientifiques du monde entier devraient lancer un appel et vraiment exiger, une enquête complète et ouverte sur ces activités de géo-ingénierie clandestine dont les impacts potentiels sur le système climatique de la Terre, l'intégrité du biote terrestre et la santé humaine pourraient s'avérer extrêmement dangereux.

 

Conflit d'intérêts : L'auteur a déclaré n'avoir aucun conflit d'intérêts.

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25. Moreno N, Querol X, et al. Physico-chemical characteristics of european pulverized coal combustion fly ashes. Fuel. 2005;84:1351-1363.

26. Suloway JJ, Roy WR, Skelly TR, Dickerson DR, Schuller RM, Griffin RA. Chemical and toxicological properties of coal fly ash. Illinois Department of Energy and Natural Resources: Illinois; 1983.

27. Available:https://www.Youtube.Com/watch?V=qpysapxrxye (Accessed December 27, 2016)

28. Available:https://www.Youtube.Com/watch?V=kjmgydexwjq (Accessed December 27, 2016)

29. Available:https://www.Youtube.Com/watch?V=q5t4kcm5gb4 (Accessed December 27, 2016)

30. Available:https://www.Youtube.Com/watch?V=8klu2katavq&feature=youtu.Be (Accessed December 27, 2016)

31. Cook J, Edwards A, Takeuchi N, Irvine-Flynn T. Cryoconite: The dark biological secret of the cryosphere. Prog. Phys. Geog. 2015;1-46.

 

© 2017 Herndon; This is an Open Access article distributed under the terms of the Creative Commons Attribution License (http://creativecommons.org/licenses/by/4.0), which permits unrestricted use, distribution, and reproduction in any medium, provided the original work is properly cited.

email : mherndon@sann.rr.com

 

 

 

 

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Observations nocturnes en infrarouge

17 Mars 2024, 08:36am

Publié par Ciel Voilé

Observations nocturnes en infrarouge

EXCLUSIF … OVNIS … UFO … PAN …

Nouvelles observations en infrarouge

Vous aussi, observez des UFO la nuit !

 

1 - INTRODUCTION 3

2 - DEUX OBSERVATIONS RÉCALCITRANTES 3

2.1 - Les flashs lumineux dans la nuit : 3

2.2 - Les traits lumineux courts et ténus : 3

3 - UNE NOUVELLE TECHNOLOGIE EST DISPONIBLE 3

3.1 - Principe des lunettes infrarouge thermique 3

3.2 - Performances du HIKMICRO FH35 en vision nocturne terrestre 4

3.3 - Stabilisation de la lunette FH35 pour observation prolongée 5

3.4 - Performances du HIKMICRO FH35 en vision nocturne du ciel 5

4 - OBSERVATIONS DU CIEL NOCTURNE 6

4.1 - Vidéos d’avions de ligne 6

4.2 - Vidéos d’oiseaux nocturne 6

5 - ÉPAISSISSEMENT DU MYSTÈRE 7

5.1 - Vol stationnaire 7

5.2 - Vol lent 7

5.3 - Vol rapide 8

5.4 - Vol errratique ou zig zag 8

5.5 - Vol en patrouille 8

5.6 - Accélérations brutales 9

5.7 - Virages radicaux non aérodynamiques 9

5.8 - Formes I.R. clignotantes en infrarouge 10

5.9 - Contours circulaires visibles 10

6 - INTERCEPTION DES FORMES I.R. PAR POINTEUR LASERT VERT 11

6.1 - Portée du pointeur laser 11

6.2 - Vidéos d’interception de formes I.R. avec le pointeur laser 11

7 - DISCRIMINATION ENTRE OISEAUX ET AUTRES FORMES I.R. FILMÉES 12

7.1 - Précisions sur l’altitude de l’observation – plusieurs paramètres 12

7.1.1 - Interaction entre un objet et un avion de ligne 12

7.1.2 - Interaction entre un objet et le pointeur laser 13

7.1.3 - Opacité partielle des nuages à l’infra rouge 13

7.1.4 - Opacité importante d’une couche de pollution visible seulement en infra rouge 13

7.1.5 - Observation simultanée avecFH35 et jumelle infra rouge avec illuminateur à 850 nm. 13

7.2 - Caractéristiques du vol de l’objet 13

7.3 - Limitation de la vidéo par rapport à l’observation directe avec le FH35 13

7.4 - Précisions sur la résolution angulaire du FH35 14

7.4.1 - Surface de l’objet en nombre de pixels 14

7.4.2 - Vitesse de transit dans le champ du FH35 14

7.5 - Bruit thermique du capteur HIKMICRO FH35 en observation du ciel nocturne 14

8 - CONCLUSIONS 15

8.1 - Bilan de six mois d’observation 15

8.2 - Extrapolation ufologique 15

8.3 - Interprétation des flashs présentés en début 15

8.4 - Ovnis et armées 15

8.5 - Le mystère reste entier 16

8.6 - Perçée technologique de l’observation du ciel nocturne par infrarouge 16

8.7 - Vous aussi, observez le ciel en infra rouge thermique ! 16

 

1 -INTRODUCTION

 

La plupart des astronomes ont l’impression prégnante que le monde actuel ne semblent pas prendre conscience à quel point ils ont les pieds posés sur une planète qui file dans l’espace intersidéral, infini et mystérieux, et peut-être le lieu d’une activité insoupçonnée.

 

Lors des nuits étoilées passées avec leur télescope ils remarquent souvent à l’œil nu des phénomènes lumineux dans le ciel. 99,99 % sont des étoiles filantes, des avions de ligne et des satellites. Les satellites ont un déplacement constant en cap et vitesse. Leur luminosité est constante, clignotante, et parfois flashe comme les satellites de la constellation Irridium. Pourtant, deux types d’observations à l’œil nu, très fugaces, ont toujours résisté à notre interprétation.

 

2 -DEUX OBSERVATIONS RÉCALCITRANTES

2.1 -Les flashs lumineux dans la nuit :

La première est un flash lumineux blanc isolé, très court – une fraction de seconde, comme un flash d’appareil photo qui déclencherait dans le ciel ! Ce flash est très différent d’un flash Irridium dont la luminosité croit puis décroît, sorte de gaussienne lumineuse. Plusieurs flashs peuvent survenir en quelques minutes dans la même région du ciel, non corrélés linéairement dans le temps.

 

La seule explication possible serait qu’un panneau solaire de satellite géostationnaire, par définition immobile par rapport à la Terre à 36000 km, renvoie fugitivement la lumière directe du soleil. Mais si on considère que le satellite géostationnaire regarde constamment la terre, alors il tourne sur lui-même en 24 heures. Un calcul des angles des rayons solaires vers la terre montre que l’observateur terrestre voit le reflet du soleil sur un panneau solaire du satellite environ 1 minute, et non une fraction de seconde.

De plus, le reflet des abords de la couronne lumineuse autour du soleil provoquerait aussi une croissance décroissance lumineuse. Le mystère reste entier.

 

2.2 -Les traits lumineux courts et ténus :

Le second phénomène étonnant régulièrement perçu lorsque les yeux sont bien habitués au noir, sont des tout petits ‘traits’ lumineux dans le ciel étoilé très noir. Ils sont très ténus et durent moins d’une seconde. Du début à la fin, ils rayonnent la même puissance lumineuse, et donnent même l’impression de scintiller tellement ils sont fins.

L’interprétation des étoiles filantes est la première qui vient à l’esprit, mais l’aspect récurrent si particulier de ces ‘traits’ semble étonnant. Le mystère reste entier.

 

3 -UNE NOUVELLE TECHNOLOGIE EST DISPONIBLE

 

Récemment, des longues-vues qui révèlent l’infra rouge thermique entre 8 et 14µm de longueur d’onde sont sorties sur le marché des matériels destinés aux chasseurs de gros gibiers. Contrairement aux matériels abordables qui éclairent la scène à 850 nm avec une torche à LED, les jumelles thermiques voient dans la nuit noire tous corps chauds, humains, animaux, mais aussi dispositifs techniques qui chauffent un tant soit peu. Cette technologie est employée de longue date par les militaires.

Pour tenter d’élucider les mystérieux flashs et ‘traits ténus’ qui nous restent incompris, nous avons décidé d’acquérir une lunette infrarouge, le HIKMICRO FH35, en nourrissant il est vrai l’espoir de découvrir non seulement des oiseaux de nuit, mais aussi des appareils techniques qui souhaitent rester discrets, voire secrets …

 

3.1 -Principe des lunettes infrarouge thermique

La science a mesuré que tout corps chaud devient visible dans l’infra rouge thermique, en respectant la ‘loi de Wien’ qui calcule la longueur d’onde rayonnée en fonction de sa température. On voit figure 1 que les corps vivants, dont la peau est à 30°C (300°Kelvin), rayonnent justement au maximum entre 8 et 14 µm.

Fig 1 : Loi de WIEN du rayonnement thermique d’un corps de 100 °K à 10000 °K

 

 

3.2 -Performances du HIKMICRO FH35 en vision nocturne terrestre

 

Les images ci-dessous issues de l’appareil photo du FH35 montrent des scènes saisies en nuit noire. Le chaud est plus blanc, le froid sombre.

 

 

3.3 -Stabilisation de la lunette FH35 pour observation prolongée

Afin de réaliser des vidéos stables avec la caméra du le FH35, un bras articulé a rapidement été réalisé. En soulageant le poids du FH35, il devient possible d’observer longuement le ciel nocturne.

 

Fig 6 : Longue vue FH35 montée sur son bras articulé équilibré

 

3.4 -Performances du HIKMICRO FH35 en vision nocturne du ciel

 

Le ciel est totalement uniforme en infrarouge thermique. Avec le FH3, on ne voit ni planète ni étoiles car le rayonnement de l’atmosphère terrestre domine largement, comme le montre la figure 7.

Seuls la lune, les nuages et les avions de ligne et certaines de leurs ‘traînées’ sont visibles.

Les nuages peu épais laissent passer l’infrarouge : les avions au-dessus restent en infrarouge.

 

Chaque pixel du FH35 voit un carré de 34 x 34 cm à 1 kilomètre, 3,40 x 3,40 mètres aux 10 kilomètres d’altitude des avions de ligne, et 136 kilomètres de côté sur la surface de la lune. La lune ne fait donc que 27 pixels sur le capteur du FH35.

 

Fig 7 : Jupiter rayonne 100 fois moins que l’atmosphère à 10 µm de longueur d’onde.

                                                     Fig 8 : La lune est visible en infrarouge.

                              Fig 9 : oiseaux migrateurs avec nuages légers

 

                                    Fig 10 : Avion avec traînée persistante

 

4 -OBSERVATIONS DU CIEL NOCTURNE

 

Avec le FH35 sont très bien vus chauve-souris, chouettes, mouettes, insectes et papillons nocturnes. Les avions de ligne sont brillants sur fond de ciel noir, même à travers une couche nuageuse. Le contour de leurs ailes, empennage et fuselage est bien discernable par le capteur thermique de 384 x 288 pixels.

 

La lunette FH35 possède une caméra qui enregistre facilement la séquence infra rouge en vidéo avec l’audio ambiant du tournage. La date et l’heure sont incrustées sur chaque vidéo présentée dans cette page. Certaines sont prises à plus de 4 heures du matin !

 

   4.1 -Vidéos d’avions de ligne

V01 Avion à traînée persistante

 

V02 Avion sur couche écran IR-A

 

4.2 -Vidéos d’oiseaux nocturne

V03 Vol heurté de chauve-souris

 

V04 Vol en V migrateurs pleine nuit

 

V05 Oiseau ailes visibles pleine nuit

 

 

5 -ÉPAISSISSEMENT DU MYSTÈRE

 

 

Rapidement, nous observons aussi en infrarouge thermique des ‘corps’ de forme arrondie qui circulent ! Leur contour est fixe, très souvent circulaire ; il ne bouge pas comme ceux des oiseaux et chauve-souris avec leurs ailes.

 

Ces formes I.R. semblent voler d’une façon incompréhensible, tantôt en vol fixe, lent, rapide, erratique, seuls, en groupe, voire en patrouille à grande vitesse. De plus, certains clignotent en infrarouge, ce qui est impossible pour un corps vivant ou un appareil chaud comme un avion. D’autres encore font preuve d’accélérations ou virages pour le moins aérodynamiquement très surprenants.

 

Toutes ces observations sont silencieuses contrairement aux avions de ligne. Les formes I.R. observées en infrarouge semblent surtout présents dans les nuits sans lune, comme si la lumière de notre satellite gênait. De plus, il a été constaté que le nombre des objets infra rouges et leur activité sont extrêmement variables d’un soir à l’autre, imprévisibles, suggérant que ce ne peut pas être une faune animale locale, qui elle serait présente tous les soirs.

Voici donc dessous une sélection de 32 vidéos significatives classées par détail remarquable.

 

5.1 -Vol stationnaire

Cette catégorie d’objet infra rouge semble se sustenter en vitesse de vol très lente, quasi stationnaire. Il s’accompagne souvent d’un mouvement en zig zag, qui sera aussi montré § 5.4

 

V06 Vol sur place avec petits zig-zags A

 

On voit bien en fin de séquence les petits mouvements en zig zag de l’objet surprenants pour un vol aérodynamique par ailleurs très stationnaire. Ce type de vol a été vu de nombreuses fois.

 

V07 Vol très lent en groupe

5.2 -Vol lent

 

Cette catégorie de mouvement accompagne souvent les vols quasi-fixes.

 

V08 : Vol très lent en groupe avec formes clignotantes IR rapides –A

 

V09 : Vol très lent en groupe avec formes clignotantes IR rapides –B 

 

A 21 secondes on note le passage d’un objet très rapide fin et clignotant lentement.

 

5.3 -Vol rapide

 

Un horizon visible à 1 kilomètre permet de voir disparaître des formes infra rouges en mouvement, ici à une vitesse angulaire vive.

 

V10 : disparition objet très rapide derrière horizon –A

 

V11 : disparition objet très rapide derrière horizon -B

 

5.4 -Vol errratique ou zig zag

 

Ce type de mouvement est surtout observé dans les vols quasi-fixes ou lents.

 

 V12 : vol sur place avec petits zig-zags –B 

 

Le vol sur fond de nuages permet d’observer le vol erratique. On pourrait imaginer un artefact du FH35 mais les nuages en fond d’image donnent le repère visuel. A noter toutefois que le FH35 n’était pas encore stabilisé.

 

V13 : vol sur place avec petits zig-zags plus avion

 

Un avion passe dans l’axe d’un vol fixe sans effet, puis celui-ci se met à zigzaguer rapidement sur place.

Les nuages proches restent stables, indiquant que ce n'est pas un artefact video du FH35.

 

5.5 -Vol en patrouille

 

Ces vidéos sont rares. Elles montrent des mouvements étonnants, des vols en formation géométrique serrée dont la vitesse angulaire perçue lors de l’enregistrement, non restituée par la vidéo, ne ressemblent pas à des vols d’oiseaux.

 V14 : patrouille 4 formes mise en place et vol 

 

5 formes I.R. tournent mystérieusement pour trouver leur place, puis 4 s'éloignent rapidement en formation fixe.

 V15 : patrouille 3 objets très rapide 

 

Une ‘patrouille’ de 3 formes I.R en formation vole très rapidement et silencieusement. Durant cette vidéo de 51secondes, la lunette FH35 accompagne le vol depuis la verticale à 30° d’angle avec l’horizon.

 

V16 : patrouille 2 formes I.R très rapides à l'horizon 

 

Deux formes I.R. très groupées au loin à l’horizon disparaissent derrière l'arbre à 10 m qui lui est flou.

 

5.6 -Accélérations brutales

 

Les 3 classements de vidéos qui suivent montrent des sauts brutaux en vitesse, cap et accélérations, et variation de leur intensité de rayonnement dans l’infra rouge que nous ne pouvons attribuer à aucun animal.

 

V17-accélérations et virages brutaux

 

 

Une des vidéos les plus énigmatiques avec 20 accélérations, virages à angle droit et arrêts brutaux. La mise au point est réglée à l’infini sur les nuages.

V18-forte accélération et éloignement entre objets -A

 

 Deux objets semblent en conflit : une forte accélération est suivie d’un vol lent. Nous ne pouvons attribuer à aucun animal un tel écart entre ces deux régimes aérodynamiques.

 

V19-vol très lent et fortes accélérations avec objet clignotant IR

 

  Encore une alternance surprenante entre vol très lent et 3 sauts vifs avec évitement d’un autre objet très rapide.  A 22 secondes on note le passage d’un objet très rapide fin et clignotant lentement … le mystère reste entier.

 

 Un objet qui semble être ‘attaqué’ par un autre accélère très fortement en manœuvre d’évitement. Ici encore, l’accélération considérable implique une impulsion de poussée impossible avec le vivant ni structure aéronautique connue.

 

5.7 -Virages radicaux non aérodynamiques

Sur les deux premières, l’objet clignote (propriété incompatible avec les animaux à température constante) et émet un accroissement d’émission infrarouge très net au moment des virages à angle vif. Le mystère reste entier.

 

V21 : vol très lent clignotant et forte accélération avec flash IR –A

 

V22-vol très lent clignotant et forte accélération avec flash IR -B

 

V23-patrouille 2 objets serrés en demi tour brutal

 

 

Un contour infra rouge évoquant deux formes I.R. en vol très rapprochées se déplacent en formation serrée et font un demi tour brutal à la fin, malheureusement coupé par la fin de la vidéo.

 

V24 : forte accélération au dessus nuages et forme I.R clignotante

 

A 24 secondes, l’objet fait deux accélérations et virages à angle vif au dessus des nuages.

 

5.8 -Formes I.R. clignotantes en infrarouge

 

Vu par le FH35 entre 8 et 14 µm de longueur d’onde, certaines formes I.R. clignotent très lentement. Les oiseaux ne peuvent pas alterner entre froid et chaud aussi régulièrement, y compris par masquage de leurs ailes.

Ce pourrait être une variation de la longueur d’onde émise qui passe hors des capacités du capteur, par un phénomène physique non compris.

Ce peut aussi être un battement entre les 25 hertz du capteur du FH35 et une modulation de la pulsation émise par l’objet à une fréquence plus haute. Cette hypothèse est peu probable, car les photosites du capteur semblent moyennés en temps réel pour réduire leur bruit.

 

V25 - Objet clignotant IR très lentement et avion- A

 

Plusieurs formes I.R. dont un avion, avec une forme I.R. clignotant très nettement à partir de 30 secondes.

 

V26-objet clignotant IR fin et vol zig zag ample

 

 Objet qui se met à accélérer et voler en grands zig zags. Pourrait être un oiseau.  Présence d’un objet fin et clignotant.

 

V27-objet clignotant très lentement -B

 

5.9 -Contours circulaires visibles

 

Parfois, les formes I.R. semblent proches au point que leur surface thermique occupe plusieurs pixels. On y voit bien que sa brillance semble circulaire, et qu’aucune aile ne bat alors que le vol est quasi-stationnaire.

 

V28-forme ronde grossie vol très lent -A

 

Un objet au contour très net vole extrêmement lentement et fait marche arrière à 39 secondes.  À 1min 22 secondes, l’objet circulaire est frôlé par un autre plus ténu et clignotant, peut-être par effet de parallaxe.

 

V29- Forme ronde grossie vol très lent - B

 

Le grossissement d’une forme I.R. de forme bien circulaire montre les limites du capteur du FH35. Ce 8 Août 2023, il y a eu une grosse activité en objets infra rouges. C’est aussi le jour de l’incendie suspect d'un grand nombre de maisons à Lahaina Maui Hawaï.

6 -INTERCEPTION DES FORMES I.R. PAR POINTEUR LASER VERT

 

Ayant cumulé beaucoup d’observations en 3 mois, il est décidé de rajouter un pointeur laser vert - que l'on trouve pour une dizaine d'euros sur internet - aligné à l’axe optique du FH35 de façon à observer une éventuelle modification du vol des étranges points infrarouge volants.

Le laser vert est totalement invisible dans les vidéos du FH35, mais on entend dans l’audio des séquences l’activation du pointeur grâce au bruit de son poussoir et l’observateur qui signale son déclenchement par sa voix.

 

                     Fig 11 : Platine FH35 avec le pointeur laser aligné

 

                             Fig 12 : Activation laser par poussoir

 

Les interceptions laser provoquent souvent - mais pas toujours - des fortes réactions dans le vol de l’objet visé. Elles initient des changements de régime aérodynamique impressionnants, difficiles à imaginer pour des oiseaux ou chauve-souris, qui présentent en outre de fortes accélérations peu compatibles avec des engins volants mécaniques.

 

6.1 -Portée du pointeur laser

Bien que de puissance modérée, il est dangereux pour la rétine de regarder directement le faisceau du laser, et bien entendu, l'étude présentée ici respecte scrupuleusement le fait qu'il est FORMELLEMENT INTERDIT DE POINTER UN LASER VERS UN AVION OU UN HÉLICOPTÈRE EN VOL. Ce type de laser vert est utilisé par les astronomes pour montrer les étoiles dans le ciel grâce à la ligne lumineuse que leur faisceau trace dans l'air.

 

 

6.2 -Vidéos d’interception de formes I.R. avec le pointeur laser

Le pointeur laser créé une interaction des plus intéressantes avec les formes I.R. infra rouge observées. Cela démontre que le pinceau vert est bien vu, et surtout il initie une réaction brutale des conditions de vol incompréhensible aérodynamiquement.

 

V30-interception laser au-dessus couche nuages -A

 

 Le laser provoque une accélération, virage, puis freinage brutaux de l’objet, qui semble au-dessus des nuages.

 

V31-interception laser avec grande vitesse angulaire -A

 

Virage angulaire brutal immédiat et longue accélération linéaires de forte amplitude.

 

V32-interception laser avec grande vitesse angulaire -B

 

Très fortes accélérations et virages successifs indiquant une réaction ressemblant à un affolement. Chauve-souris ?  

 

V33-interception laser chauve-souris -C

 

Laser sur chauve souris pour apprécier son comportement. On note qu’on voit bien ses ailes et l’arbre à la fin de la vidéo est presque focalisé, ce qui signifie que la chauve souris est proche.

 

 V34-interception laser objet grande vitesse angulaire -D

 

 Forts virages anguleux et accélération très rapide accompagnée par le basculement de la lunette jusqu’à l’horizon.

 

V35-interception laser objet clignotant IR -E

 

Un doute subsiste, la nature du vol pourrait être celui d’un animal affolé, comme une chauve souris.

7 -DISCRIMINATION ENTRE OISEAUX ET AUTRES FORMES I.R. FILMÉES

L’altitude des formes I.R. observées est évidemment la grande inconnue des observations. Sur le nombre d'observations, les caractéristiques de vol, l’angle de poursuite de la lunette lors de l’observation, la luminosité et le contour des objets permettent un affinement du diagnostic.

 

7.1 -Précisions sur l’altitude de l’observation – plusieurs paramètres

La distance de focalisation à l’infini du FH35 est d’environ 100 mètres. La position de la mise au point permet donc de savoir que les phénomènes sont observés à une distance supérieure, et en dessous si l’observation devient floue par rapport aux nuages nets..

Au-delà de 100 mètres les oiseaux ont une vitesse angulaire faible et leur trajectoire est aérodynamiquement prévisible.

 

7.1.1 - Interaction entre un objet et un avion de ligne

Sur pratiquement toutes les observations, les formes I.R. infra rouges visibles ne modifient pas leur vol lorsqu'un avion de ligne transite. Sont-ils à la même altitude ?

 

Seule une vidéo a été filmée alors qu'un avion faisait exactement cap vers une forme infra rouge en vol stationnaire.

 

V36-forte accélération et éloignement avion -C

 

 À 2 secondes du début de cette vidéo, on observe l'accélération brutale de l'objet vers la droite, comme s’il se décalait perpendiculairement à la trajectoire de l'avion. La lunette est maintenue fixe par son bras articulé : sa stabilité d'objectiver le déplacement vif de l'objet. Le bruit thermique du FH35 n'avait pas été corrigé.

7.1.2 - Interaction entre un objet et le pointeur laser

 

Nous avons vu § 6.1 que le pointeur laser était visible à plusieurs dizaines de kilomètres d’altitude. La réaction à l’éclairement de l’objet est peu différenciant pour l’altitude de vol.

 

7.1.3 - Opacité partielle des nuages à l’infra rouge

 

- L’observation d’avions de ligne qui volent au dessus de nuages indique que l’infrarouge les traverse alors que les clignotants verts et rouges de l’avion sont déjà opacifiés. On ne peut donc pas conclure sur la position des formes I.R. sur fond de nuages fins.

 

- De plus, de nombreuses vidéos montrent des nuages qui semblent épais alors que ce sont des brumes fines parfois invisibles à l’œil nu. Leur différence de température explique leur visibilité en infra rouge mais diminue peu la luminosité des formes I.R. observées au dessus.

 

7.1.4 - Opacité importante d’une couche de pollution visible seulement en infra rouge

 

Certains jours, on a constaté dans un ciel pourtant clair une couche bien visible en infrarouge uniquement. Très « grumeleuse », elle est invisible à l’œil nu. Ce peut être le résultat d’une ‘pollution’ importante en altitude (par traffic aérien ?). Bien que très ténue, cette couche semble atténuer fortement l’infrarouge, comme le montre cette vidéo v37 d’un avion de ligne. On imagine alors l’effet de réchauffement sur l’atmosphère par effet de serre que peut avoir par son effet thermique en altitude cette couche étrange.

 

V37-avion dessus couche écran IR -B

 

Montre l’image thermique d’un avion atténuée par la couche de ‘pollution grumeleuse’ en altitude. 

 

7.1.5 - Observation simultanée avecFH35 et jumelle infra rouge avec illuminateur à 850 nm.

 

Nous avons eu l’opportunité de pouvoir comparer les formes I.R. dans le ciel nocturne vues par le FH35 et par un modèle de jumelle infra rouge d’observation de la faune nocturne qui illumine la scène avec une torche puissante à 0,85 µm. La portée de cet illuminateur à puissance maximale avoisine les 300 mètres, c'est-à-dire qu’un animal éclairé à cette distance sera perçu par le capteur infra rouge de la jumelle.

Cette caractéristique est intéressante : nous l’avons utilisée pour discriminer si les formes I.R. vues par le FH35 sont aussi illuminées et vus par la jumelle. Nos expérimentations successives ont confirmé que seul le FH35 distingue clairement des objets, au dessus de 300 mètres puisque la jumelle avec torche infra rouge ne voyait rien de ces mêmes cibles. La jumelle infra rouge voit très bien le pointeur laser vert.

Nous avons également noté que le FH35 ne ‘voit’ absolument pas la longueur d’onde des LED 0,85 µm, trop éloignée de sa bande passante optique 8-14 µm.

 

 

7.2 -Caractéristiques du vol de l’objet

 

L’aspect linéaire ou heurté des vols est un élément clé pour apprécier le type de cible. Par exemple, les chauve-souris sont très vives et ont un vol très heurté en permanence, mais elles ne volent pas en altitude pour se nourrir.

Le pointeur laser permet aussi aider à différencier la nature de l’objet illuminé selon sa réaction. Un oiseau ou une chauve-souris ne peuvent sortir de leurs domaines de vol aérodynamique, une sustentation d’une autre nature le peut peut-être …

7.3 -Limitation de la vidéo par rapport à l’observation directe avec le FH35

 

Les vidéos de formes I.R. non expliquées présentées ici sont choisies avec des nuages en arrière-plan pour mieux se rendre compte de leur vitesse angulaire. Mais elles ne rendent pas compte de l’angle de déplacement de la lunette qu’il a fallu faire pour accompagner le mouvement angulaire durant le filmage. Or ce mouvement physique est une indication précieuse pour bien se rendre compte du déplacement dans le ciel. Par exemple, la vidéo n°15 « patrouille à trois » dure 51 secondes durant lesquelles la lunette est passée de la verticale à 30° d’angle avec l’horizon.

7.4 -Précisions sur la résolution angulaire du FH35

 

Le capteur du FH35 présente 384 pixels dans sa largeur pour un champ de 7,53° d’angle. Ainsi, un pixel ‘voit’ un carré de 34x34 centimètres à 1 kilomètre d’altitude, ou 3,40 x 3,40 mètres à 10 kilomètres. A 10 kilomètres d’altitude, les ailes des avions de ligne sont très visibles. Les formes I.R. observées présentent un disque apparent de plusieurs pixels, ce qui signifie qu’ils sont d’autant plus grands s’ils sont en altitude.

Le zoom du FH35 est malheureusement numérique et non optique. Son utilité est donc très limitée pour améliorer les observations.

 

7.4.1 - Surface de l’objet en nombre de pixels

 

Si un oiseau occupe un seul pixel sur le capteur du FH35, il mesure 3,4 centimètres à 100 mètres d’altitude, ou 20 centimètres à 600 mètres pour un oiseau migrateur. Dans les deux cas, leur vitesse maximale, de 20 mètres par seconde environ, même avec effet de perspective, ne permet pas les défilements angulaires importants constatés dans certaines vidéos, encore moins des accélérations et virages brutaux,

A 10 kilomètres d’altitude, un objet apparaissant sur 5 pixels de diamètre ferait déjà 17 mètres de diamètre !

 

7.4.2 - Vitesse de transit dans le champ du FH35

 

À 100 mètres d’altitude (lunette focalisée à l’infini) la vitesse de vol horizontale d’un objet transitant à la verticale dans le champ du FH35 (7,53°) en 1 seconde est de 47 km/h, et 190 km/h si la lunette vise l'horizon à 30°.

À 200 mètres d’altitude, ces vitesses passent respectivement à 94 km/h et 380 km/h.

A 1 kilomètre elles sont de 500 km/h et 1950 km/h !

A 10 kilomètres elles deviennent largement hypersoniques, à 4700 km/h et 19500 km/h !

 

On dispose là d’un détail technique important pendant l’observation qui permet de discriminer les formes I.R. par leur vitesse de vol angulaire. Sans parler des accélérations et virages brutaux observés, 47km/h est déjà une vitesse haute pour beaucoup d’oiseaux, chauve souris et insectes. La présence de vent est également un paramètre important lors des observations.

 

7.5 -Bruit thermique du capteur HIKMICRO FH35 en observation du ciel nocturne

 

Le capteur du FH35 nécessite un reset thermique des pixels régulier pour réduire son bruit intrinsèque et uniformiser son champ. Le ciel nocturne (sans nuage) rayonne très peu en infrarouge, ce qui fait fonctionner le capteur à sa limite de bruit et gène l’observation dans certaines vidéos.

 

 

8 -CONCLUSIONS

8.1 -Bilan de six mois d’observation

 

Six mois d’observation en 2023 à toute heure de la nuit et sur plusieurs sites distants dans le sud de la France ont permis de réaliser 150 séquences courtes en infrarouge thermique avec le FH35, totalisant 1h45.

 

La sélection des 37 vidéos présentées dans ce document totalisent 26 minutes 36 secondes de vol de formes I.R. variées. Leurs présence, mouvement, intention, réaction sont inexplicables. Même si certaines séquences ont saisi le mouvement d’oiseaux ou insectes volants et sont mal interprétées, il n’en reste pas moins un nombre important dont les comportements et mouvements résistent à une explication et pour certaines, semblent défier 1) les lois de l’aérodynamique par leurs accélération ou recul soudains, et 2) du vivant par le clignotement du rayonnement infrarouge.

Les artefacts possibles du FH35 continuent d’être examinés au long des observations de façon à ne pas en être victime.

 

8.2 -Extrapolation ufologique

 

Si on ouvre le champ des possibles à l’ufologie, le rapprochement des mouvements observés en infrarouge par le FH35 d’avec ceux incroyables rapportés dans de nombreux témoignages d‘ovnis nous fournit rapidement des analogies très intéressantes.

Extraterrestre ou non, nous pouvons poser l’hypothèse que nous observons le rayonnement thermique de formes I.R. utilisant une technologie novatrice de sustentation et déplacement qui utiliserait des propriétés de l’espace-temps et de l’énergie que notre science (publique) actuelle n’a pas réussi à comprendre.

 

8.3 -Interprétation des flashs présentés en début

 

Les flashs visuels qui ont été le point de départ des découvertes exposées ici sont peu fréquents, peut-être un par heure. Nous avons eu la chance de pouvoir observer à plusieurs reprises avec la lunette FH35 dans la région d’un d’eux. Très souvent quelques secondes après, il apparaît deux points en infrarouge qui tournoient rapidement en clignotant, puis s’éloignent tout de suite en directions opposées … La séquence est difficile à filmer car les formes I.R. s’éloignent en dépassant rapidement la largeur du champ de 7,53° du FH35.

Le flash visuel pourrait être une émission momentanément visible d’une technologie de sustentation inconnue lors du freinage de formes I.R ralentissant pour se placer en orbite basse par deux et se séparer ensuite. Cette explication fait donc appel à l’hypothèse de technologie avancée de sustentation et déplacement. Le mystère reste entier.

 

8.4 -Ovnis et armées

 

Le dernier livre de Jacques Vallée « Trinity » de 2017 détaille le crash et la saisie en 1945 (2 ans avant Roswell) par l’armée américaine d’un objet volant non humain qui se serait abîmé à 20 km de ‘Ground zero’, lieu du test de la première bombe atomique « Trinity », un mois seulement après ce dernier.

Cette coïncidence remarquable aurait pu initier le début d’une rétro-ingénierie de l’étrange soucoupe subtilisée par l’armée. Durant 80 ans, elle pourrait avoir compris puis mis au point des vaisseaux identiques, aujourd’hui pleinement fonctionnels.

 

De plus, le 20 décembre 2019, Donald J.Trump a créé l’US Space Force officialisant le déploiement d’une activité de nature militaire dans l’espace, avec une attribution d’un budget conséquent de 32 milliards de dollars. Notons avec humour à quel point l’insigne de cette division s’inspire de celui de la légendaire série Startrek.

       Fig 13 : Logos de la Space force et du Starfleet de Startrek

 

                           Fig 14 : Ecusson de la US Space force

 

Fait très remarquable, le Dailymail se fait l’écho fin novembre 2023 d’un rapport officiel de la US Space force surprenant qui annonce observer par ‘milliers des ovnis’ dans l’espace proche de notre planète, au point d’être perturbée dans sa mission d « identification des menaces » !

La lunette FH35 verrait-elle certains de ces formes I.R. lorsqu’ils descendent en orbite basse ?

 

 

8.5 -Le mystère reste entier

 

L’observation avec une lunette FH35 n’a pas résolu le questionnement d’astronome du début, mais a fait surgir un grand nombre de questions :

- sur la nature véritable de ces manifestations multiples, leurs éventuels buts, intention, bienveillante ou hostile.

- Plus largement encore, cela pose la question récurrente de la possibilité de l’existence de peuples extra-terrestres qui seraient présents et superviseraient, voire convoiteraient notre planète !

- Enfin, la dernière hypothèse qui reste humaine, celle de militaires déjà opérationnels dans des vaisseaux à base de technologies avancées hérités d’une rétro-ingénierie …

- Et nous osons à peine avancer l’hypothèse d’une collaboration opérationnelle entre peuples extraterrestres et humains déjà établie !

 

 

8.6 -Perçée technologique de l’observation du ciel nocturne par infrarouge

 

Après recherches sur le net, les éléments exposés dans cet article sont une exclusivité et une nouveauté dans le domaine de l’ufologie grand public, à trois titres :

1 - Elles sont factuelles,

2 - Elles sont dans une longueur d’onde jusque là inaccessible au grand public, celle qui révèle tout objet plus chaud que l’ambiant,

3- Elles sont facilement reproductibles et vont probablement se développer rapidement.

 

Les nombreux plateaux TV du net qui s’expriment sur le sujet des UFO, qui ne cessent de répéter qu’il manque des données nouvelles sur ce sujet vont-ils s’en saisir et le répercuter ? Toujours est-il que l’accessibilité du grand public à des lunettes performantes en infrarouge thermique va inéluctablement permettre le fleurissement de témoignages et vidéos sur internet, comme cet exposé.

 

 

8.7 -Vous aussi, observez le ciel en infra rouge thermique !

 

Le titre de cette présentation est très sérieux. Si ce sujet novateur vous intrigue, pourquoi ne pas acheter une lunette FH35 à plusieurs, faire vos observations et tirer vous-même vos conclusions ?

Bien sûr, si les mystérieuses formes I.R. infra rouges sont informées de cette parution et qu’ils souhaitent continuer à rester discrets, ils risquent de modifier leurs plans de vol …. Le mystère reste entier.

 

Chris – astronome amateur

 

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Feux de forêts et Géo-ingénierie

21 Octobre 2018, 10:19am

Publié par Marvin Herndon

Journal of Geography, Environment and Earth Science

International

 

17(3): 1-18, 2018; Article no.JGEESI.44148

ISSN: 2454-7352

 

 

 

Feux de forêts en Californie : Rôle de la géo-ingénierie et de la manipulation de l'atmosphère gardées secrètes

 

J. Marvin Herndon et Mark Whiteside

 

Transdyne Corporation, 11044 Red Rock Drive, San Diego, Californie 92131, États-Unis.

Florida Department of Health in Monroe County, 1100 Simonton Street, Key West, FL 33040, États-Unis.

 

Contributions des auteurs

Ce travail a été réalisé en collaboration entre les deux auteurs. Les deux auteurs ont lu et approuvé le manuscrit final.

 

Informations sur l'article

DOI: 10.9734/JGEESI/2018/44148

Editor(s):

(1) Dr. Kaveh Ostad-Ali-Askari, Department of Civil Engineering, Isfahan (Khorasgan) Branch, Islamic Azad University, Iran.

Reviewers:

  1. Antipas T. S. Massawe, University of Dar es Salaam, Tanzania.

    1. (2) Kingsley Eghonghon Ukhurebor, Edo University Iyamho, Nigeria.

    2. (3) Eric S. Hall, USA.

(4) R. Cuneyt Erenoglu, Canakkale Onsekiz Mart University, Turkey.

(5) Njoku, Chukwudi Gbadebo, University of Calabar, Nigeria.

 

Historique complet des revues par les pairs: http://www.sciencedomain.org/review-history/26490

 

Article de recherche inédit Reçu le 14 juillet 2018

Accepté le 27 septembre 2018

Publié le 1er octobre 2018

Traduction française : Béatrice Wright et Association Ciel voilé

 

Résumé

 

Dans cet article, nous voulons révéler une cause non reconnue qui provoque l'intensification, la combustibilité et l'expansion des incendies de forêt en Californie, États-Unis d'Amérique, et les dommages qui en découlent pour la santé humaine et l'environnement. Nous passons en revue la littérature, entre autres scientifique et médicale, ainsi que les preuves, notamment photographiques, des pulvérisations de particules dans l'atmosphère, par des avions, presque quotidiennes, presque mondiales, liées aux incendies de forêt. Nous examinerons les preuves selon lesquelles la manipulation atmosphérique utilisant des cendres volantes de charbon en aérosols est un facteur principal dans l'étendue et la gravité des incendies de forêt en Californie et ailleurs. Les effets néfastes comprennent l’exacerbation de la sécheresse, l'assèchement et la mort des arbres et de la végétation, ainsi que le réchauffement artificiel de l’atmosphère et des surfaces terrestres. Les particules pulvérisées absorbent l'humidité, augmentent la combustibilité des forêts, endommagent la couche cireuse des feuilles et des aiguilles d'arbres, réduisant ainsi leur tolérance à la sécheresse. La manipulation aérienne du climat à l'aide de cendres volantes de charbon accroit gravement l'embrasement des forêts par la foudre. Les feux de forêt aggravent dramatiquement la pollution de l'air ambiant, émettant des gaz nocifs ainsi que des composés organiques volatiles, lesquels ensemble concentrent et réémettent des éléments toxiques et des nucléides radioactifs sur une vaste zone.

 

Le type de pollution de l'air induit par les incendies de forêt accroît la mortalité, toutes causes confondues, et a un impact majeur sur les maladies respiratoires et cardiovasculaires. Des études ont montré que les cendres volantes de charbon en aérosols constituent un facteur de risque important pour les maladies pulmonaires chroniques, le cancer du poumon et les maladies neurodégénératives. À notre avis, le fait de ne pas reconnaître les multiples conséquences néfastes des pulvérisations de particules, par avion, dans l'atmosphère, favorisera l'accélération des catastrophes écologiques.

 Mots-clés: feux de forêt; modification du climat; modification de l'atmosphère; risques sanitaires liés aux incendies de forêt, cendres volantes de charbon; géo- ingénierie.

 

  1. INTRODUCTION

 

Les incendies de forêt en Californie, aux États-Unis (Fig. 1), sont symptomatiques de phénomènes anthropiques beaucoup plus graves qui affectent la flore et la faune, y compris les humains, dans le monde entier [1]. Les incendies de forêt en Californie (USA) constituent donc un microcosme des incendies de forêt dans le monde entier [2]. Le changement climatique, en particulier l'augmentation des températures et l'augmentation des déficits de pression de vapeur d'eau [3-6], est considéré comme un facteur déterminant de l'augmentation des incendies, en Californie, dans les régions et dans le monde. Nous approuvons l'affirmation [7] : « Le changement climatique causé par l'homme est maintenant un facteur-clé de l'activité des feux de forêt dans l'ouest des États-Unis », mais l'explication fournie est nettement insuffisante. Bien que les incendies de forêt soient dans une certaine mesure des phénomènes naturels [8], les manipulations artificielles et secrètes de l’atmosphère et de l’hydrosphère de notre planète, que nous décrivons dans le présent article, réchauffent l’atmosphère, exacerbent la combustibilité et provoquent des ravages environnementaux anthropiques d’une ampleur sans précédent.

 

 

 

Fig. 1. Image de la NASA du 7 août 2018 [9] des incendies de forêt en Californie,  les plus importants de l'histoire de l'État [9].

 

Le 12 décembre 2017, le US Forest Service a signalé que 27 millions d'arbres supplémentaires, principalement des résineux, sont morts en Californie depuis novembre 2016, portant ainsi le nombre total d'arbres morts à un record historique de 129 millions sur 8,9 millions d'acres [10]. Les disparitions de forêt, et les incendies de forêt qui les accompagnent [11], ne se limitent pas à la Californie, mais se produisent dans le monde entier [12]. Les raisons habituellement données pour expliquer ces extinctions combinent le réchauffement climatique, la sécheresse et les scolytes [13,14]. Ces explications, cependant, ne sont que les conséquences d’une attaque plus fondamentale des fonctions naturelles de la Terre causée par l’homme, que les scientifiques universitaires n'abordent pas [15], mais qui fait l’objet du présent article.

 

Les nombres sans précédents d’arbres morts, qui fournissent un combustible sur place aux incendies de forêt, ne sont qu’une conséquence négative des manipulations artificielles de l'environnement qui exacerbent le risque d’importants incendies de forêt destructeurs dont le nombre augmente en Californie et même dans le monde [16,17]. Nous examinons ici les conséquences de ces manipulations climatiques artificielles et secrètes, particulièrement leurs implications négatives sur les feux de forêt et la santé humaine.

  1. PARTICULES PULVÉRISÉES DANS LA RÉGION OU SE FORMENT LES NUAGES

 

Ceux qui ont vécu dans le sud de la Californie pendant de nombreuses années, comme l'auteur JMH, se souviennent peut-être du temps où le ciel était d’un bleu d'azur, souvent dépourvu de nuages, et où, peu après le coucher du soleil, la température de l'air chutait [18]. Aujourd’hui, le ciel californien est rempli de traînées de particules laissées par les avions, l’état [californien] fait l'expérience de son propre « réchauffement planétaire » et la température de l’air s’abaisse très lentement peu après le coucher du soleil. Les températures nocturnes augmentent plus rapidement que les températures diurnes [19]. Celles-ci sont la conséquence des traînées de pollution aux particules délibérément pulvérisées par les avions [20]. Une fois expulsées de l'avion, ces traînées s’étalent, ressemblant brièvement à des cirrus, avant de former une brume blanchâtre dans le ciel [21]. Des pulvérisations aériennes intensives peuvent rendre le ciel artificiellement couvert, parfois de teinte brunâtre. La figure 2 montre des exemples des conséquences de telles pulvérisations aériennes de particules à San Diego, Californie, États-Unis, des jours sans nuages ​​naturels.

 

Un article publié le 6 décembre 1958 dans le journal The Bulletin (Bend, Oregon, États-Unis) fait état de la plainte d’un membre du Congrès auprès de l’US Air Force et décrit des traînées d’avion dans le ciel de Palm Springs, Californie, États-Unis, « si épaisses qu'elles commencent à masquer le soleil » et elles ne « disparaissent pas mais se dissolvent dans une brume et créent une apparence nuageuse dans le ciel » [23]. Par la suite, des milliers de citoyens inquiets, de Californie et du monde entier, ont observé de plus en plus fréquemment des traînées similaires pulvérisées par des avions. [21,24,25] Vers 2010, les pulvérisations aériennes de particules sont devenues une activité quasi quotidienne et quasi mondiale, vraisemblablement par un accord international secret [1].

 

Initialement,aux Etats-Unis, ce sont les avions de l'US Air Force qui ont effectué ces pulvérisations aériennes de particules, comme l'avion illustré Fig. 3, sur Palm Springs, Californie (États-Unis). À mesure que leur intensité, leur durée et leur étendue géographique augmentaient progressivement, des contractants non révélés ont été impliqués dans cette pollution aérienne.

 

 

La figure 4 est une séquence chronologique de photographies illustrant la traînée de particules évoluant depuis sa pulvérisation par avion jusqu'à sa dispersion naturelle et son étalement avant de devenir une brume blanche dans le ciel. Toutes les images ont été prises avec le même agrandissement. La photographie « t = 0 min.» a été prise à Coronado, Californie (USA) à 10h59 (HAP) le 19 août 2018 et montre une traînée particulaire qui vient d'être pulvérisée; 13 minutes plus tard, la traînée s’est élargie; à « t = 31 min » une seconde traînée apparaît; et, à « t = 105 min » les deux traînées se sont considérablement étalées pour former une brume blanche dans le ciel.

 

Cette brume est spécifique des particules pulvérisées et ne présente absolument aucune caractéristique de traînées de condensation de cristaux de glace, qui peuvent éventuellement se former dans certaines conditions très inhabituelles, par exemple, si les gaz d'échappement de l'appareil contiennent une certaine humidité, que l'atmosphère est très froide et très humide, et que l’avion vole à des altitudes plus basses où les pressions atmosphériques sont plus élevées et le temps d’évaporation des cristaux de glace réduit [26,27]. Dans les circonstances habituelles et notamment avec les avions à réaction modernes, si des traînées de condensation de cristaux de glace se forment, elles s’évaporent rapidement pour devenir un gaz vaporeux invisible. Les traînées de cristaux de glace qui proviennent d’échappement de moteurs à réaction ne créent pas de longues traînées dans le ciel et ne produisent pas de brume blanche dans le ciel.

 

Les particules pulvérisées par avion absorbent le rayonnement et réchauffent l'atmosphère [20,28], tout en empêchant les pluies jusqu'à ce que les nuages deviennent surchargés et libèrent leur humidité lors de déluges et de tempêtes [29]. Une fois tombées au sol, elles absorbent la chaleur et modifient l'albédo de la glace et de la neige, provoquant ainsi un réchauffement [30,31].

 

 

Fig. 2. Exemples de pollution délibérée par pulvérisations de particules par avion

à San Diego, Californie (États-Unis) dans un ciel sans nuages naturels.

Photos de l'auteur JMH à partir de [22] avec autorisation

 

 

Fig. 3. Un avion de l'US Air Force pulvérise des traînées de particules dans l'air

au-dessus de Palm Springs, Californie (Etats-Unis). Photos de Dan Dapper avec son aimable autorisation

 

 

 

Fig. 4. Séquence chronologique de photographies prises au même agrandissement, d'une traînée de particules s'étalant dans le ciel au-dessus de Coronado, Californie (États-Unis). Photos de l'auteur JMH

 

  1. Présentation systématiquement déformée des pulvérisations aériennes de particules

 

Une partie du document AFD-0561013-001 de l'US Air Force de 2005 concernant les pulvérisations aériennes et intitulée « The Chemtrail Hoax » indique notamment ce qui suit: « Une chose telle qu'une traînée chimique ( ou chemtrail) n'existe pas » [un terme que certains utilisent pour décrire les pulvérisations aériennes] … « Les traînées de condensation ( ou contrails) [cristaux de glace provenant de l'humidité des gaz d'échappement des avions] sont sans danger et constituent un phénomène naturel. Elles ne présentent aucun risque pour la santé » [32].

 

Le général américain en retraite, Charles Jones de l’armée de l’air, aurait déclarer, à propos des traînées d'avion observées dans le ciel [33]: « Quand les gens regardent le bleu du ciel et voient les traînées blanches parallèles et entrecroisées, peu savent qu'ils ne voient pas des traînées de condensation des réacteurs d'avion, mais qu'au lieu de cela, ils sont les témoins d’une crise climatique délibérément créée par l'homme, que subissent tous les êtres humains et tous les animaux sur la planète Terre. Des aérosols atmosphériques toxiques sont utilisés pour modifier les conditions météorologiques, créant des sécheresses dans certaines régions, des inondations et des déluges dans d’autres et même des froids extrêmes dans d'autres circonstances.... »

 

Des citoyens inquiets ont pris de nombreuses photos montrant que les traînées de particules observées ne peuvent physiquement pas être des traînées de condensation de cristaux de glace [25]. La figure 5 comprend quatre photographies d'un avion de ligne Qantas prises en un intervalle de moins de deux minutes. Ces quatre images démontrent de manière concluante qu'il est impossible que l'activité de pulvérisation de particules effectuée par cet avion de ligne commercial survolant Palm Springs, en Californie, soit des traînées de condensation de cristaux de glace.

 

 

Fig. 5. Photographies d'un avion de ligne Qantas pulvérisant des traînées de particules irrégulières et interrompues, absolument incompatibles avec des traînées de condensation de cristaux de glace, puisque l'avion ne s’écrase pas, suite à une panne du moteur. Photos prises à Palm Springs, Californie (États-Unis) par Dan Dapper avec son aimable autorisation

 

La photographie en haut à gauche, à fort agrandissement, montre l’avion de ligne de Qantas engagé dans la pulvérisation aérienne de particules. La photographie en haut à droite, à faible agrandissement, montre la très longue traînée de particules, mais remarquez que la densité de particules n'est pas uniforme le long de la traînée. Une partie de la traînée particulaire semble manquer ou est fortement réduite, ce qui devrait indiquer un dysfonctionnement. La photo en- bas à gauche, comme celle se trouvant en haut à gauche, toutes les deux prises à environ une minute d'intervalle, montre que le mécanisme de pulvérisation de particules est toujours opérationnel. Mais moins d'une minute plus tard, le mécanisme de pulvérisation de particules cesse de fonctionner, comme le montre la photo en bas à droite. Une telle occurrence serait impossible s’il s’agissait de traînées de condensation. S'il s'était agi de traînées de condensation de cristaux de glace, la pause aurait indiqué une panne de moteur et l'avion de ligne se serait écrasé.

 

Fig. 6. Un avion de fret de FedEx disperse une traînée de particules qui ne s'échappe pas d'un réacteur et qui n’est donc pas une traînée de condensation. Photos prises à Palm Springs, Californie (États-Unis) par et avec l'aimable autorisation de Dan Dapper

 

La figure 6 montre deux images du même avion de fret de FedEx pulvérisant des traînées de particules dans le ciel au-dessus de Palm Springs, en Californie. Notez que l'une des traînées ne vient pas d’un réacteur. Les buses de pulvérisation sont généralement situées près des réacteurs de manière à donner l'illusion trompeuse que les traînées proviennent des réacteurs. Dans l'exemple illustré à la Fig. 6, l’une des traînées ne vient pas d'un réacteur, ce qui démontre que la traînée ne peut pas être une traînée de condensation; les véritables traînées de condensation, qui sont rares pour les moteurs à réaction modernes, doivent s'échapper du réacteur et ne peuvent se former que dans des conditions spécifiques très froides et humides, si tant est qu'elles puissent se former.

 

Aucune information n'est rendue publique sur la ou les substances pulvérisées. En l'absence d'informations fiables, des citoyens ont prélevé des échantillons d'eau de pluie après pulvérisations et les ont faits analyser par des laboratoires certifiés. Dans la plupart des cas, ils ont uniquement demandé une analyse de l'aluminium, parfois aussi de baryum et parfois également de strontium. On a supposé à tort que la présence de ces éléments dissous dans l'eau de pluie signifiait que ces trois éléments étaient pulvérisés dans l'air sous forme de métaux. Les données signifient que l’humidité de l'air dissout et absorbe certains éléments de la principale substance pulvérisée.

 

Pour comprendre par analogie le processus chimique impliqué, faisons l'hypothèse de pulvériser des feuilles de thé réduites en fine poudre, dans la région où se forment les nuages. L'humidité atmosphérique « infuserait » le thé, absorberait du tanin et d'autres produits chimiques qui tomberaient sous forme de pluie, comme signatures chimiques du thé. La pluie serait en fait du thé, mais du thé très dilué.

  1. PREUVES QUE LES PULVÉRISATIONS AÉRIENNES SONT DES CENDRES VOLANTES DE CHARBON

 

Comme les pulvérisations aériennes sont devenues une activité quasi quotidienne à San Diego (États-Unis), l'un d'entre nous (JMH) a entamé une série de recherches visant à déterminer la composition des particules pulvérisées. La comparaison entre des analyses de trois éléments contenus dans de l’eau de pluie publiées sur Internet et des analyses expérimentales effectuées sur un échantillon d'eau d'aérosols a fourni la première preuve scientifique que les cendres volantes provenant de la combustion du charbon correspondent à la principale substance polluante pulvérisée dans l'atmosphère par des avions[34]. Par la suite, la comparaison avec 11 éléments extraits de manière similaire a validé ce résultat [35]. En outre, la correspondance a été démontrée en comparant les analyses de cendres volantes de charbon aux 14 éléments mesurés de particules extérieures piégées, puis recueillies sur un filtre à air [29] et aux 23 éléments mesurés dans des particules en aérosols, tombées lors d'une chute de neige et libérées lors de la fonte [35,36].

 

Au cours de sa formation, le charbon piège divers éléments chimiques présents dans l'environnement, dont beaucoup sont nocifs pour la santé humaine et pour l'environnement [37]. Lorsque le charbon est brûlé par les services publics de production d’électricité, il reste environ 10% de cendres. La combustion du charbon concentre ainsi les éléments nocifs dans les cendres. Les cendres lourdes qui se forment tombent sous le brûleur. Les cendres légères, appelées cendres volantes de charbon (CVC), se forment en se condensant et en s'accumulant, généralement sous forme de minuscules sphères (Fig. 7), dans les gaz chauds situés au-dessus des brûleurs [38,39]. Il s'agit d'un environnement artificiel qui n’a pas d’équivalent dans la nature, sauf dans les incendies de gisements de charbon [40]. Par conséquent, on peut facilement extraire de nombreux éléments présents dans les CVC, y compris l'aluminium, par exposition à l'humidité [41]. Les cendres volantes de charbon nouvellement formées au-dessus du brûleur, sortiraient des cheminées industrielles si elles n'étaient pas piégées et enfermées, comme l'exigent les pays occidentaux.

 

Étant l’un des plus importants déchets industriels produits au monde, la production mondiale annuelle de CVC en 2013 était estimée à 600 millions de m3 [42]. Les cendres volantes de charbon sont des déchets bon marché qui nécessitent peu de traitement supplémentaire pour être utilisés comme aérosols pulvérisés par les avions, car les dimensions de leurs particules vont de 0,01 à 50 microns de diamètre [43]. De plus, la capacité des CVC à être partiellement solubles dans l’humidité atmosphérique,qui rend ainsi les gouttelettes d’humidité plus conductrices électriquement [41] est à la fois unique et hautement désirable pour atteindre certains objectifs.

 

D'autres substances peuvent être utilisées de temps en temps à des fins spécifiques ou ajoutées aux CVC, par exemple pour diminuer les agglomérats causés par les forces de van der Waals. Néanmoins, l'omniprésence d'éléments solubles des CVC présents dans les eaux de pluie en Californie et dans le monde indique que la principale substance pulvérisée dans les régions où se forment les nuages ​​correspond aux CVC. Les cendres volantes de charbon - peu coûteuses, largement disponibles et dotées de propriétés utiles - constituent donc un aérosol idéal, si l’on ne se préoccupe ni de santé humaine ni d’environnement.

 

 

Fig. 7. Coupe transversale polie de cendres volantes de charbon ASTM C 618 classe C incorporées dans de l'époxy. L'image a été obtenue à partir d'électrons rétrodiffusés qui montrent des différences de densité atomique représentées par des nuances de gris. Photo avec l’aimable autorisation de Wabeggs: CC BY-SA 3.0

 

4. CONSÉQUENCES DES PULVÉRISATIONS AÉRIENNES DE PARTICULES

 

Les objectifs des pulvérisations aériennes, tout comme la composition des particules d’aérosol, sont des secrets bien gardés. Le comportement physique des particules en aérosols est cependant connu ou peut être déduit. Ainsi, même sans connaître leurs intentions, on peut révéler les conséquences des pulvérisations aériennes.

 

4.1 Empêcher les pluies

 

Les particules pulvérisées en aérosols dans les régions où se forment les nuages sont en réalité des particules de pollution. En 2003, la NASA [44] a créé une animation de page Web intitulée : « Effet des particules sur les pluies » contenant l’explication suivante : « La formation de gouttelettes normales de pluie implique la condensation de vapeur d’eau sur les particules dans les nuages. Les gouttelettes finissent par fusionner pour former des gouttes suffisamment grosses qui tombent sur Terre. Cependant, au fur et à mesure que le nombre des particules de pollution (aérosols) augmente et pénètre dans un nuage de pluie, la même quantité d’eau s’éparpille. Ces gouttelettes d’eau plus petites flottent dans l’air et ne parviennent pas à fusionner pour devenir des gouttes suffisamment larges qui tombent en pluie. Ainsi, le nuage produit moins de pluies au cours de sa durée de vie qu’un nuage propre (non pollué) de même taille ». La NASA donne donc une explication simpliste d’une des principales conséquences des pulvérisations aériennes, à savoir empêcher les pluies, mais il s’agit là d’une explication incomplète car elle ne mentionne pas les averses, les pluies torrentielles ni les tempêtes qui peuvent survenir lorsque les nuages sont surchargés d’humidité.

 

Les particules ultrafines dans les cendres volantes de charbon sont des précurseurs efficaces de noyaux de condensation dans le nuage. Ces particules modifient la microphysique des nuages, l'intensité des précipitations et leur distribution. Ces changements dans le bilan des précipitations pourraient entraîner le passage de pluies régulières et fréquentes à de très fortes averses occasionnelles et à une réduction régionale des précipitations annuelles [45].

 

  1. 2 Réchauffer l'atmosphère

 

Entre autres raisons, la vie sur Terre est possible parce que ses fonctions naturelles maintiennent un équilibre thermique très délicat. Notre planète reçoit continuellement une grande quantité d'énergie solaire sur un large spectre d'énergie, tout en produisant elle même de l'énergie thermique. L'essentiel de cette énergie doit rayonner en permanence vers l'espace sous forme de chaleur (rayonnement infrarouge). Les particules de pollution pulvérisées dans la région où se forment les nuages ​​peuvent refléter une partie du rayonnement solaire, mais elles absorbent également du rayonnement, se réchauffent puis transfèrent cette chaleur à l'atmosphère par collision avec des molécules atmosphériques. Les cendres volantes de charbon sont connues pour absorber efficacement le rayonnement [28]. La conséquence en est que l'atmosphère ambiante est chauffée, sa pression augmente et la Terre ne parvient pas à perdre la quantité de chaleur requise, ce qui conduit ainsi au réchauffement planétaire.

 

Certains membres de la communauté scientifique et universitaire, tout en ignorant les épandages aériens de particules en cours, défendent l’idée fallacieuse qu’à un moment donné dans l’avenir, il pourrait s’avérer nécessaire de placer des particules dans l’atmosphère pour bloquer la lumière du soleil, des « pare-soleils pour la Terre », pour contrecarrer le réchauffement planétaire supposé dû aux gaz à effet de serre [15,46]. Cette proposition est trompeuse et incorrecte, comme de vouloir arroser un feu avec de l'essence pour l'éteindre. Au lieu d'un refroidissement global, les pulvérisations aériennes de particules en cours provoquent le réchauffement planétaire. Même l'augmentation du trafic aérien exacerbe le réchauffement planétaire[47].

 

      4.3 Réchauffer la surface des terres

 

Les particules pulvérisées en aérosols, par avion, dans l'atmosphère où les nuages ​​se forment, n'y restent pas, mais circulent sous l'effet des courants de convection atmosphériques pour finalement se déposer au sol où elles absorbent le rayonnement solaire [30,31]. Si elles se posent sur la glace ou la neige, elles changent leurs propriétés réfléchissantes (albédo) entraînant un réfléchissement moindre de la lumière et une absorption accrue de celle-ci, contribuant ainsi au réchauffement planétaire [48].

 

  1. 4 Rendre l'eau de l'atmosphère plus conductrice électriquement

 

Lorsque les cendres volantes de charbon, qui se sont formées dans un environnement artificiel au-dessus des brûleurs à charbon, sont exposées à l'eau, la plupart de ses éléments chimiques se dissolvent jusqu’à un certain point. Des études de laboratoire ont montré que pas moins de 38 de ces éléments sont dissous dans une certaine mesure et rendent l'eau électriquement conductrice [41]. Rendre l'humidité atmosphérique plus conductrice électriquement pourrait potentiellement être utilisé pour chauffer davantage l'atmosphère avec des micro-ondes, comme chauffer de l'eau dans un four à micro-ondes, ou en utilisant de l'énergie électromagnétique pour faciliter le mouvement des masses météorologiques.

 

  1. 5 Provoquer la sécheresse en Californie

 

Notre planète tourne et une partie de son énergie de rotation est transférée à l'atmosphère; c'est le mouvement principal des masses d'air météorologiques. De plus, les masses d'air météorologiques se déplacent, conduites par des différences de pression, des régions de haute pression vers les régions de basse pression. Les épandages aériens de particules quasi quotidiens, année après année, le long de la côte californienne et au large de l'océan Pacifique est, réchauffent l'atmosphère. L'atmosphère chauffée presque continuellement entraîne des pressions atmosphériques élevées presque en continu. La zone de haute pression créée artificiellement le long de la côte californienne agit comme un mur empêchant le déversement des masses nuageuses humides de l'océan Pacifique (Fig. 8) de venir sur les terres. La conséquence en est une sécheresse artificielle persistante sur la Californie. Comme l’a observé l’un des auteurs (JMH), parfois, après une prévision météorologique annonçant de la pluie pour les jours suivants, les avions intensifient leurs pulvérisations, empêchant souvent la pluie prévue.

 

4.6 Provoquer la mort des arbres

L'aluminium est l'un des éléments principaux de la croûte terrestre, mais il est étroitement lié à d'autres éléments, notamment à l'oxygène. Par conséquent, ni les plantes ni les animaux n’ont développé la capacité de bien vivre dans un milieu où l’aluminium est utilisé sous une « forme chimiquement mobile » dans laquelle il est dissous dans l’eau [49]. L’une des conséquences des pulvérisations aériennes de CVC est que l’humidité atmosphérique absorbe l’aluminium sous une « forme chimiquement mobile » [41]. Les arbres, en particulier les conifères, tout au long de la côte californienne, baignent dans un brouillard contaminé par l’aluminium dissous et d’autres toxines. L'eau du brouillard se condense sur les aiguilles, où l'évaporation partielle concentre les toxines. Finalement, l'eau du brouillard contenant les toxines, tombe goutte à goutte sur le sol et empoisonne lentement les arbres, affaiblissant ainsi leurs défenses contre les scolytes et autres agents pathogènes [50]. La figure 9 montre la silhouette de deux pins de Torrey morts sous un ciel chargé de toxines pulvérisées, lequel est une cause principale de la mort des arbres le long de la côte californienne [50]. Les pulvérisations aériennes de particules observées à la figure 9 sont fréquentes le long de la côte californienne et visent vraisemblablement à créer une zone artificielle de haute pression pour empêcher les nuages ​​chargés d'humidité du Pacifique oriental d'entrer sur les terres (Fig 8).

 

 

 

Fig. 8. Vue satellite de la NASA de la côte californienne, le 11 décembre 2017. Les masses météorologiques de l'océan Pacifique est tournent généralement dans le sens inverse des aiguilles d'une montre en raison des forces de Coriolis associées à la rotation de la Terre, quand elles se dirigent vers l'est. Au fur et à mesure que les masses météorologiques se déplacent vers l'est, elles apportent des nuages chargés d'humidité sur les terres, sauf si des pulvérisations aériennes de particules les en empêchent.

 

 

Fig. 9. Pins de Torrey morts, en voie d'extinction à San Diego, sur fond de ciel pollué par des pulvérisations aériennes toxiques. De [50], avec autorisation.

 

Les cendres volantes de charbon, pulvérisées par avion dans l’atmosphère, contiennent des substances telles que le chlore, qui peuvent endommager la couche d'ozone qui protège la surface de la Terre des rayons ultraviolets du soleil. L’exposition des arbres à des niveaux plus élevés de rayons ultraviolets est susceptible d’affaiblir davantage leurs défenses naturelles [50-53].

 

Non seulement les pulvérisations par avion, dans l'atmosphère, de CVC facilitent la mort à grande échelle des arbres, mais elles pourraient aussi être une cause principale du déclin mondial, dramatique et spectaculaire des populations d'abeilles et d'insectes ainsi que de leur diversité[54]. La mortalité des pollinisateurs et des arbres a des effets négatifs majeurs sur les industries de l’agriculture et de la forêt.

 

 

  1. LES PULVÉRISATIONS AÉRIENNES DE PARTICULES EXACERBENT LES INCENDIES DE FORÊT

 

Les circonstances suivantes favorisent les incendies de forêt en Californie. Les épandages aériens persistants de cendres volantes de charbon qui ont lieu presque quotidiennement, année après année, le long de la côte et dans le Pacifique est, au large de la Californie, provoquent:

 

- Une sécheresse artificielle à long terme en empêchant les pluies et les fronts météorologiques chargés d'humidité de l'océan Pacifique de pénétrer le mur côtier de zones de haute pression artificielles [55].

- Outre la sécheresse provoquée par les épandages aériens de particules polluantes qui endommagent les arbres et aggravent les risques d'incendies de forêt, il existe une autre conséquence adverse. Les cendres volantes de charbon, et peut-être probablement d'autres substances pulvérisées, ont la propriété d'absorber l'humidité. On a montré que les particules absorbant l'humidité endommagent la couche cireuse des feuilles et des aiguilles des arbres, réduisant ainsi leur tolérance à la sécheresse [56]. L'ampleur actuelle de la mortalité des arbres est si vaste qu'il existe une probabilité accrue d'incendies à grande échelle dans les décennies à venir, en raison de la quantité et de la présence permanente de bois mort produit par les grands incendies [57].

- Les pulvérisations aériennes de particules ont considérablement augmenté les températures en Californie en réchauffant l’atmosphère et en réduisant la perte de chaleur naturelle et nécessaire à la Terre. L'air chaud accompagné de températures artificiellement élevées augmente le risque d'incendies de forêt [16,17].

- L'accroissement des coups de foudre dû à des charges électrostatiques de particules aériennes anormalement sèches augmente le nombre des incendies de forêt [58].

- Une hypothèse : il est possible que les particules en suspension se déposant sur les arbres et la végétation puissent, dans certaines conditions, devenir pyrophoriques et s'enflammer [59-62].

 

  1. CONSÉQUENCES NÉGATIVES DES INCENDIES DE FORÊT SUR LA SANTÉ HUMAINE

 

La fumée des incendies de forêt est un risque important et croissant pour la santé publique [63]. L'examen systémique montre une corrélation entre l'exposition à la fumée des incendies de forêt (y compris les particules PM2.5) et toutes les causes de mortalité, en particulier les maladies respiratoires, y compris la pneumonie, l'asthme et la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) [63]. Les populations vulnérables comprennent les personnes atteintes de maladies respiratoires et cardiovasculaires, les personnes âgées, les enfants et les femmes enceintes [63]. L'analyse d'une longue saison d'incendies de forêt en Californie (2015) a montré des risques élevés de maladies cardiovasculaires et cérébrovasculaires, en particulier chez les adultes de plus de 65 ans [64]. Une étude pluriannuelle de l’exposition aux incendies aux États-Unis (2008-2012) a mis en évidence d’importants problèmes de santé publique et d’économie, certains sous-groupes de population étant affectés de manière disproportionnée [65]. Outre les effets négatifs sur les maladies respiratoires et cardiovasculaires, les incendies de forêt présentent des risques généraux pour la santé, notamment l'inhalation de fumée, les brûlures, les maladies induites par la chaleur, les maladies ophtalmiques (oculaires) et les problèmes psychiatriques [66].

 

La fumée des incendies de forêt contient des particules fines et des produits de combustion gazeux [66]. Les particules PM10 (capables de traverser les voies respiratoires supérieures et de s'y déposer), et les plus fines particules PM2,5 (pouvant pénétrer plus profondément dans les poumons) sont émises par la végétation en feu [66]. Des émissions gazeuses, notamment de monoxyde de carbone, dl'oxyde nitreux et de benzène, sont produites, ainsi que des hydrocarbures aromatiques polycycliques (souvent présents dans les particules), des aldéhydes et des composés organiques volatiles [66]. Plusieurs études ont documenté la remobilisation des métaux résultant d'incendies et des niveaux importants de métaux toxiques (plomb/mercure, par exemple) et non toxiques qui sont relâchés dans l'environnement lors d'incendies [67]. Les cendres des incendies de Californie contenaient des niveaux toxiques de métaux lourds, notamment d'arsenic, de cadmium et de plomb [68]. Les feux de forêt concentrent les radionucléides émetteurs de particules alpha que l'on trouve dans les CVC, en particulier le polonium 210, atteignant des niveaux radiotoxiques de 7 255 ± 285 Bq/kg [69].

 

En raison de la nature sporadique et imprévisible des incendies de forêt et de la tendance à placer les appareils de mesure de la pollution de l'air dans les centres urbains, peu d'études ont été menées sur la toxicité des particules fines de fumée d'incendie [70]. Cependant, une étude sur la toxicité des grosses particules et des particules fines des feux de forêt en Californie en 2008 a montré que les particules fines des feux de forêt étaient plus toxiques pour les poumons que des doses égales de particules dans l'air ambiant de la même région pendant une saison comparable [70]. Les grosses particules des incendies de forêt sont environ quatre fois plus toxiques pour les macrophages alvéolaires que les particules de même taille provenant de l'air ambiant normal (sans feux de forêt). La majorité des effets toxiques (cytotoxicité) des particules fines d'incendies de forêt dans les poumons sont le résultat d'un stress oxydatif [71]. Les composants actifs des grosses particules émises par les incendies de forêt comprennent des composés organiques thermolabiles [71]. En Californie, les pesticides sont très utilisés dans l'agriculture, y compris en zone urbaine. Lors d’incendies de forêt, ces produits chimiques et leurs produits de combustion se volatilisent dans l'air et peuvent être inhalés par les êtres humains. Les composants toxiques de la fumée et des cendres des incendies de forêt sont transportés généralement sur de longues distances loin de la source du feu [72].

 

7. CONSÉQUENCES NÉGATIVES DES PULVÉRISATIONS AÉRIENNES SUR LA SANTÉ

 

  1. Problèmes de santé liés à la pollution de l'air

 

La pollution de l'air est déjà la principale cause environnementale de maladie et de mort dans le monde, et elle augmente à un rythme alarmant [73]. L'exposition aux particules fines ambiantes (PM2,5) est un facteur de risque important pour les morts prématurées, y compris les cardiopathies ischémiques, la maladie pulmonaire obstructive chronique et les infections respiratoires [74]. Aux États-Unis, l'exposition cumulée à long terme aux particules fines est associée à la mortalité toutes causes confondues, aux maladies cardiovasculaires et au cancer du poumon [75]. Au cours des dernières années, de nouvelles preuves obtenues d' études cliniques d’observation, épidémiologiques et expérimentales, suggèrent fortement que la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson et l’attaque thrombotique sont associées à la pollution de l’air ambiant [76]. Les enfants vivant dans des environnements urbains très pollués ont des déficits cognitifs, et la majorité d'entre eux montre des anomalies cérébrales à l'IRM [77].

 

  1. Problèmes de santé liés aux cendres volantes de charbon en aérosols

 

La manipulation du climat utilisant des cendres volantes de charbon en aérosols (CVC) constitue une forme de pollution de l'air délibérée, non divulguée et mondiale. Les cendres volantes de charbon constituent également une forme de pollution de l'air extrêmement dangereuse, qui a de profondes répercussions sur la santé humaine et sur l'environnement. Les cendres volantes de charbon contiennent des particules P2,5, des particules ultrafines (0,1-1 um) et des particules de taille nanométrique (<100 nm) [78]. Les particules ultrafines figurent parmi les particules les plus toxiques en raison de leur plus grand nombre, de leur teneur plus importante en composés d’oxydo-réduction, de leur rapport surface/masse plus élevé et de leur capacité à pénétrer les parois cellulaires [79]. La caractérisation des particules des CVC au microscope électronique révèle des sphérules souvent intégrées à une matrice de silicium contenant des métaux, notamment du fer et de l'aluminium [78]. Le fer biodisponible, associé aux espèces réactives de l'oxygène et au stress oxydatif, est dérivé de la fraction vitreuse d'alumino-silicate des particules des CVC [80]. Les cendres volantes de charbon contiennent de nombreux oligo-éléments toxiques, dont l'arsenic, le cadmium, le chrome, le plomb, le mercure, le nickel, le sélénium, le strontium, le thallium et le titane [81]. Les cendres volantes de charbon contiennent également de petites quantités de nucléides radioactifs et leurs produits dérivés [82], et des hydrocarbures polycycliques tels que le benzopyrène qui est connu pour être cancérogène [83].

 

Nous avons démontré que les cendres volantes de charbon en aérosols utilisées dans les opérations de géo-ingénierie atmosphérique constituaient un facteur de risque important pour la maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) [84], le cancer du poumon [85] et les maladies neurodégénératives [86]. Les particules ultrafines et les nanoparticules dans les CVC sont inhalées dans les poumons et produisent de nombreux effets toxiques, notamment un affaiblissement du système immunitaire, une inflammation des tissus, une modification de l'équilibre d'oxydoréduction cellulaire vers l'oxydation et une génotoxicité. Le stress oxydatif et l'inflammation contribuent aux maladies pulmonaires aiguës et chroniques [84]. Les cendres volantes de charbon contiennent diverses substances cancérogènes, notamment la silice, l'arsenic, le cadmium, le chrome hexavalent, et des radionucléides émetteurs de particules alpha. La génération de radicaux catalysés par les métaux de transition associés à la matière particulaire dans les CVC entraîne la signalisation cellulaire, l'activation du facteur de transcription, la libération de médiateur et l'inflammation chronique [85].

 

Un de ces métaux de transition, le fer, induit des cellules souches cancéreuses et des phénotypes agressifs dans le cancer du poumon [87]. La découverte récente de nanoparticules sphériques de magnétite (Fe3O4) exogènes (pollution) dans les tissus du cerveau de personnes atteintes de démence [88] suggère une origine de la pollution de l'air produite par des particules de CVC généralement sphériques. Les composants primaires des CVC (Al, Fe et Si) sont tous présents dans les protéines anormales qui caractérisent la maladie d'Alzheimer, et la présence de ces éléments entraîne un stress oxydatif et une inflammation chronique. L'énergie absorbée par les particules de pollution de magnétite provenant de champs électromagnétiques externes peut contribuer à la neuropathologie humaine [86].

 

  1. CONCLUSIONS

 

Comme le montre notre étude, les incendies de forêt en Californie sont exacerbés par les pulvérisations par avion, non divulguées et en grande partie non reconnues, de matière particulaire dans la région où se forment les nuages, et qui est une activité quasi quotidienne et quasi mondiale. Les incendies de forêt en Californie représentent donc un microcosme des catastrophes mondiales similaires.

 

Le public a été trompé par le gouvernement et les responsables militaires, par les Nations-Unies et par des membres de la communauté scientifique qui soit ferment les yeux sur les pulvérisations aériennes, soit prétendent à tort que les particules pulvérisées dans l'atmosphère proviendraient de l'échappement des réacteurs d'avions et seraient d’inoffensifs cristaux de glace. Polluer délibérément l'atmosphère avec des particules est non seulement dépourvu de raison, mais également désastreux pour la santé humaine, car la pollution de l'air est déjà la principale cause environnementale de maladie et de mort dans le monde et elle augmente à un rythme alarmant.

 

Nous passons en revue les preuves selon lesquelles la manipulation atmosphérique qui utilise des cendres volantes de charbon en aérosols est un facteur principal non divulgué et en grande partie non reconnu, de l'étendue et de la gravité des incendies de forêt en Californie, à l'ouest de l'Amérique du Nord et ailleurs. Les effets négatifs de ce type de manipulation du climat comprennent l’exacerbation de la sécheresse, l'extinction et le dessèchement des arbres et de la végétation, et le réchauffement artificiel de l’atmosphère et des surfaces de la Terre.

 

La combustibilité des arbres et de la végétation au niveau de la canopée et du sol est amplifiée par la propriété des particules pulvérisées d'absorber l'humidité et elles endommagent la couche cireuse des feuilles et des aiguilles, réduisant ainsi leur tolérance à la sécheresse. Alors que les humains déclenchent la plupart des incendies de forêt, la manipulation atmosphérique utilisant des cendres volantes de charbon et éventuellement d'autres substances augmente considérablement la probabilité d'inflammation naturelle des incendies de forêt par la foudre.

 

Les feux de forêt aggravent dangereusement la pollution de l'air ambiant, émettant des gaz nocifs et des composés organiques volatiles. Ils concentrent et réémettent des éléments toxiques et des nucléides radioactifs sur une vaste zone. Le type de pollution de l'air créé par les incendies de forêt est associé à une mortalité accrue, toutes causes confondues, avec un impact plus grand sur les maladies respiratoires et cardiovasculaires. Outre les effets négatifs sur la santé liés à la pollution par les incendies de forêt, des études ont montré que les cendres volantes de charbon en aérosols constituent un facteur de risque important pour les maladies pulmonaires chroniques, le cancer du poumon et les maladies neurodégénératives.

 

Les citoyens inquiets devraient reconnaître ces multiples conséquences négatives et prendre des mesures pour arrêter les pulvérisations de particules par avion, dans l'atmosphère. Sinon, selon nous, la progression accélérée des catastrophes écologiques et sanitaires continuera.

 

INTÉRÊTS CONCURRENTS

Les auteurs ont déclaré n'avoir aucun conflit d'intérêts.

 

 

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© 2018 Herndon et Whiteside; Ceci est un article en libre accès distribué selon les termes de la licence Creative Commons Attribution (http://creativecommons.org/licenses/by/4.0), qui autorise une utilisation, une distribution et une reproduction sans restriction sur tout support, à condition que l'œuvre originale soit correctement citée.

 

 

Historique des revues par les pairs:

L’historique de la revue par les pairs pour cet article peut être consulté ici:

http://www.sciencedomain.org/review-history/26490

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Marvin Herndon : preuve de la production variable de chaleur terrestre

21 Mai 2017, 06:37am

Publié par Marvin Herndon

J
Journal of Geography, Environment and Earth Science International

10(1): 1-16,2017; Article N°JGEESI.32220

ISSN: 2454-7352

 

 Preuve de la production variable de chaleur terrestre, d'un changement climatique mondial non anthropique et d'un réchauffement planétaire et d'une fonte de la banquise polaire dus à la géo-ingénierie

J.Marvin Herndon

Transdyne Corporation,11044 Red Rock Drive, San Diego, CA 92131,USA

                                                                                                   

Contribution de l'auteur

L'auteur seul a conçu, analysé et préparé le manuscrit

 

Référence de l'article

DOI: 10.9734/JGEESI/2017/32220

 

Editeur:

Pere Serra Ruiz, Department of Geography, Universitat Autònoma de Barcelona, Spain

 

Revues :

(1) John Abraham, University of St. Thomas School of Engineering, USA

.(2) Risper Buyaki Nyairo, University of Nairobi, Nairobi, Kenya

.(3) Antipas T.S. Massawe, University of Dar es Salaam, Tanzania

.(4) David A. E. Vares, Laurentian University, Canada

.(5) Ferenc Mark Miskolczi, Holston Lane, Hampton, VA, USA

.(6) Antero Ollila, Aalto University (Emeritus), Finland

 

Historique complet des revues par des pairs :

http://www.sciencedomain.org/review

C

Reçu le 15 février 2017

Accepté le 19 avril 2017

Publié le 21 avril 2017

Traduction française : Ciel voilé

http://www.nuclearplanet.com/variable_heat.pdf

 

Résumé

 

Les modèles climatiques évalués par le GIEC reposent sur les hypothèses selon lesquelles: (1) La chaleur en provenance du Soleil serait constante; (2) La chaleur provenant de l'intérieur de la Terre serait constante; Et (3) les contributions anthropiques au réchauffement atmosphérique proviendraient principalement de la rétention de chaleur par le CO2 et d'autres gaz à effet de serre. Les preuves géophysiques d'une activité sismique variable et les preuves géologiques d'un volcanisme sous-marin variable présentées ici indiquent que la chaleur ajoutée aux océans est variable. Les occurrences en augmentation de tremblements de terre de magnitude ≥6 et ≥7 entre 1973 et 2015 indiquent que l'activité volcanique augmente et, par conséquent, la chaleur terrestre, et aussi les apports de CO2 d'origine volcanique augmentent. En outre, les apports accrus de chaleur dans l'océan agissent en diminuant la solubilité du CO2 dans l'eau de mer, ce qui libère finalement du CO2 additionnel dans l'atmosphère. En outre, l'augmentation de l'activité volcanique sous-marine implique une augmentation de l'acidification des océans, mais les données sont insuffisantes pour calculer les estimations chiffrées. La validité des estimations et des évaluations du GIEC dépend de façon cruciale de la prise en compte de tous les processus susceptibles d'affecter l'équilibre thermique de la Terre. En plus des processus géologiques et géophysiques discutés, la communauté scientifique, y compris les scientifiques du GIEC, a fermé les yeux sur la géo-ingénierie troposphérique en cours pratiquée presque quotidienne ces dernières années, à l'échelle mondiale. Les particules pulvérisées par avion dans la troposphère, dont on a prouvé qu'il s'agissait de cendres volantes de charbon, inhibent les précipitations, chauffent l'atmosphère et provoquent le réchauffement climatique. Les preuves obtenues à partir d'un largage aérien accidentel indiquent la volonté de faire fondre la banquise polaire et d'accélérer le réchauffement climatique. En niant la géo-ingénierie troposphérique en cours, les évaluations du GIEC sont compromises, tout comme l'autorité morale des Nations Unies.

 

1.INTRODUCTION

 

Le premier rapport du Groupe d'experts intergouvernemental des Nations Unies sur le changement climatique (GIEC) en 1990 et tous les rapports ultérieurs [1] ont affirmé que le monde se réchauffait, qu'un réchauffement futur semblait probable et que la cause présumée en serait l'ajout de dioxyde de carbone (CO2), d'origine anthropique, dans l'atmosphère, provoquant un « effet de serre ». Les scientifiques, les politiciens et les citoyens ont été poussés à croire que les activités anthropiques de combustion d'énergies fossiles étaient la cause accablante du réchauffement climatique, de la fonte des calottes polaires, du réchauffement et de l'acidification des océans, et qu'elles menaçaient notre civilisation et le biote planétaire. Au fil du temps, les avertissements du GIEC sont devenus plus terribles. Les discussions pour lutter contre le changement climatique anthropique à l'aide de projets de « géo-ingénierie » sont maintenant courantes dans les milieux scientifiques du climat [2, 3]. Les alertes du GIEC proviennent des évaluations de modèles climatiques qui reposent sur les hypothèses suivantes: (1) La chaleur en provenance du Soleil serait constante; (2) La chaleur provenant de l'intérieur de la Terre serait constante; Et, (3) les contributions anthropiques au réchauffement atmosphérique proviendraient principalement de la rétention de chaleur par le CO2 et d'autres gaz « à effet de serre ». Comme l'a souligné l'éminent économiste George E. P. Box, tous les modèles sont faux, mais quelques-uns sont utiles [4]. Pour être utiles, les modèles devraient représenter correctement tous les phénomènes physiques susceptibles d'affecter leurs résultats. Le but de cette communication est d'apporter à l'attention de la communauté scientifique pour en débattre et en discuter, des considérations anthropiques et géophysiques que le GIEC n'a pas prises en compte dans la construction et l'évaluation de ses modèles climatiques. Abdussamatov [5,6] a remis en cause la validité du (1) ci-dessus, la constance présumée de l'irradiation solaire. Ici, je mets en cause la validité de (2) et (3) ci-dessus.


Un bref examen historique peut nous aider à comprendre pourquoi il est nécessaire, d'un point de vue scientifique, de remettre en question les modèles du GIEC: pendant la première moitié du XX ème siècle, lorsqu'un concept fondamentalement nouveau et important apparaissait et remettait en cause la pensée scientifique sur un sujet, on en débattait et on en discutait, des arguments étaient recherchés pour le réfuter, sinon on n'en parlait plus. Cette norme s'est généralement maintenue en chimie et en physique, mais la communauté des sciences de la terre s'est adaptée lentement à de nouveaux concepts tels que le déplacement continental [7]. Après la seconde guerre mondiale, le débat ouvert sérieux et approfondi a commencé à être corrompu. Le poids du débat a évolué vers l'adoption anticipée d'une «vision du consensus», sans place pour la contestation. Ce changement dans la norme et les habitudes par lesquelles la vérité scientifique est établie provient principalement du financement public de la science civile. Le financement a été administré selon une méthodologie défectueuse qui n'a pas pris en compte la nature humaine, en autorisant l'anonymat des pairs[8]. En outre, l'apparition des ordinateurs numériques à partir de la fin des années 1960 a conduit de nombreux scientifiques à fabriquer des modèles informatiques basés sur des hypothèses, y compris des hypothèses non prouvées, pour trouver des réponses à des questions scientifiques, plutôt que de faire de nouvelles découvertes qui remettent en cause les connaissances existantes et les font avancer. Le problème majeur des modèles informatiques est qu'ils commencent par un résultat final connu (par exemple, le réchauffement climatique d'origine anthropique) et qu' ensuite ils parviennent à ce résultat par des choix sélectifs de paramètres - un processus qui imite une prophétie auto-réalisatrice.


La plupart des spécialistes des sciences de la terre connaissent la découverte du noyau de la Terre par Oldham [9] et de la découverte ultérieure du noyau interne par Lehmann [10], mais peu ont conscience de la propagation des erreurs géophysiques et géodynamiques résultant de l'ignorance systématique d'un défi lancé il y a près de 38 ans concernant la composition du noyau interne de la Terre [11]. On a longtemps pensé que la Terre ressemblait à une météorite de chondrite ordinaire. Dans ces météorites, la majorité du nickel est alliée à du fer métallique. Parce que les éléments plus lourds que le nickel et le fer, pris ensemble, ne pouvaient pas constituer une masse aussi importante que le noyau interne; Birch [11] a pensé que le noyau interne devait être constitué de fer-métal partiellement cristallisé. Birch, cependant, a ignoré les rares chondrites à enstatite (ndt : météorites minérales du groupe des silicates contenant entre 25 et 35% de métal) très réductrices.


Dans les années 1970, lors de l'étude des météorites de chondrites à enstatite, je me suis rendu compte que, dans des conditions hautement réductrices, le nickel pouvait apparaître sous forme de siliciure de nickel. J'ai écrit un court document, résumé ainsi : d'après les observations de la nature, le noyau intérieur de la Terre pourrait ne pas être en nickel-fer-métal, mais en nickel siliciure. Le lauréat du prix Nobel Harold C. Urey a communiqué ce document aux Actes de la Royal Society de Londres [12] et j'ai reçu une lettre complémentaire d'Inge Lehmann, le découvreur du noyau interne. Mais mon travail et le concept du noyau interne du siliciure de nickel de la Terre ont été systématiquement ignorés - l'habitude du consensus prématuré de la seconde guerre mondiale - par la communauté des scientifiques de la Terre qui soutient jusqu'à la frustration le consensus approuvé. Les idées des années 1940 sur la composition et la dynamique de la Terre sont basées sur une compréhension défectueuse, par exemple, la composition du noyau et sa production de chaleur [13]. Pendant ce temps, j'ai démontré que: (1) 82% de l'intérieur de la Terre ressemblent à une chondrite à enstatite [14-16]; (2) une grande partie de l'uranium présent sur Terre se trouve dans le noyau de la Terre qui devrait se concentrer en son centre, formant le géo-réacteur de la Terre capable de réactions de fission nucléaire autonomes et en chaîne[17-21]; (3) les rapports élevés de 3He / 4He observés dans le basalte dans des points chauds tels qu' Hawaï et l'Islande présentent des taux isotopiques attendus des produits de fission de géo-réacteurs [22]; (4) le géo-réacteur peut être le siège du champ géo-magnétique, et non le noyau fluide de la Terre [20,23,24]; (6) la matière à la limite du noyau / manteau peut s'expliquer comme précipités du noyau fluide [25]; Et (7) l'état fortement réduit de l'intérieur de la Terre, comme celui des chondrites E4 à enstatite, peut résulter de la condensation de la matière solaire à des températures élevées et des pressions élevées, à condition que le condensat soit isolé des gaz à haute température [26,27]. Ce dernier point m'a amené à proposer que la formation planétaire progresse principalement par des moyens protoplanétaires plutôt que planétésimaux [26, 28], ce qui ne nécessite pas l'hypothèse d'une fusion complète de la planète pour expliquer la formation du noyau. En reconnaissant que la convection du manteau, qui sous-tend la théorie de la tectonique des plaques, est physiquement impossible [25, 26], j'ai proposé un nouveau paradigme de géoscience indivisible, la dynamique de la décompression de la Terre entière qui explique les innombrables observations, précédemment attribuées à la tectonique des plaques, et de plus, sans nécessiter une convection physique impossible du manteau [26, 29-31]. Les nouveaux concepts sur l'origine des montagnes caractérisées par le pliage [32], l'origine des fjords et des canyons sous-marins [33], et l'origine des gisements de pétrole et de gaz naturel [34] sont parmi les multiples conséquences de WEDD. Donc, quelle est la pertinence ici ?


Au cours des 38 dernières années, les normes de la recherche scientifique ont changé, en particulier parmi ceux qui dépendent du soutien des fonds publics. Les défis basés sur la logique de la pensée actuelle ont été en grande partie remplacés par la conformité du consensus [8]. Mais la science est un processus logique, pas un processus démocratique. L'idée selon laquelle de grands problèmes complexes seraient résolus par quelque chose appelé «consensus scientifique» a pour conséquence de tromper non seulement le public mais aussi les membres de la communauté scientifique.

2. BASE DE PRODUCTION VARIABLE DE CHALEUR PAR LA TERRE


Les scientifiques ont commencé à mesurer la chaleur émanant de la roche continentale en 1939 [35, 36] et ont supposé que la chaleur qu'ils mesuraient, résultait de la désintégration des éléments radioactifs de longue durée de vie: 235U, 238U, 232Th et 40K, de la croûte terrestre. La chaleur qui sort du basalte, au fond de l'océan, a d'abord été mesurée en 1952 [37]. Les mesures ultérieures du fond de l'océan, déterminées loin des dorsales du milieu de l'océan [38], ont montré plus de flux de chaleur du basalte du fond de l'océan que de la roche continentale [39] même si le basalte au fond de l'océan a une teneur beaucoup plus faible en nucléides radioactifs naturels. Néanmoins, pendant des décennies, on a supposé que la chaleur émanant de la Terre résultait de la désintégration radioactive naturelle et de la chaleur supposée provenir de la formation terrestre planétésimale, datant de quelques 4,5 Gya [40]. A l'échelle du temps humain, la chaleur émanant de l'intérieur de la Terre a été considérée comme constante en raison des demi-vies extrêmement longues des radionucléides impliqués (tableau 1).

Le «consensus approuvé»: ca. La conception interne de la Terre des années 1940 ne peut expliquer la production de chaleur terrestre variable. Par exemple, Shearer et Stark [41] ont utilisé un mécanisme élaboré de sélection de données pour montrer que des tremblements de terre de magnitude ≥ 7 n'ont pas augmenté au cours des dernières années, remarquant: « En outre, aucun mécanisme physique plausible ne prédit des changements réels dans le taux global sous-jacent de grands événements ». Leur manque de compréhension d'un « mécanisme physique plausible »est une conséquence de leur incapacité à reconnaître les défauts du « consensus approuvé » : la version des années 1940 de la composition de la Terre et l'impossibilité physique de la convection du manteau qui sous-tend la tectonique des plaques.


Mon nouveau paradigme géo-scientifique, la dynamique de la décompression de la Terre entière [26, 29-31], permet la possibilité d'une chaleur terrestre variable, comme prouvée ci-dessous.

Tableau 1. Demi-vies des principaux radionucléides terrestres de longue vie

 

Radionucléides

de longue vie

Demi-vie

(année)

235U

7.04 X 108

238U

4.47 X 109

232Th

1.41 X 1010

40K

1.25 X 109

 

 

3.PREUVE DE L'AUGMENTATION EN COURS DES APPORTS DE CHALEUR AUX OCÉANS


Les structures thermales se situent sous les îles volcaniques d'Hawaï et d'Islande. Lorsqu'elles sont représentées par tomographie sismique [42, 43], ces structures s'étendent à l'interface entre le noyau terrestre et son manteau inférieur. Bien que les îles volcaniques se situent sur les côtés opposés du globe, Mjelde et al. [44,45] a découvert une périodicité et une synchronicité dans les rejets de lave provenant de l'Islande et des îles hawaïennes tout au long de l'ère cénozoïque. Une telle activité volcanique sous-marine variable implique clairement des apports de chaleur variables aux océans de la Terre dans le passé géologique.


Le lien entre les grands tremblements de terre et l'activité volcanique a longtemps été reconnu [46-48]. Par conséquent, la variabilité dans l'apparition de grands tremblements de terre est directement liée à la variabilité des éruptions volcaniques. Comme la plupart des volcans (~ 80%) sont sous-marins [49], la prépondérance de la chaleur ajoutée à la surface de la Terre en raison de l'activité volcanique variable commence par la chaleur ajoutée aux océans terrestres.


La figure 1 est un graphique du nombre annuel global d'occurrences de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et de magnitude ≥ 7 à partir des données de 1973-2015 tabulées par l'U. S. Geological Survey [50]. Les données dans ce laps de temps sont solides en raison des vastes réseaux sismiques qui fonctionnent pour surveiller les explosions nucléaires. Depuis 1973, le nombre annuel de tremblements de terre de magnitudes ≥ 6 et ≥ 7, basés sur la tablette USGS citée, ont augmenté de manière significative dans le monde, respectivement de 66% et de 74%. Ces données contredisent l'hypothèse d'une production constante de chaleur terrestre. De manière significative, ces données impliquent des augmentations de la production de chaleur terrestre au moins aussi récentes qu'au cours des 43 dernières années.

 



Figure 1. Le nombre annuel de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et ≥ 7 à l'échelle mondiale, extrait de la base de données du géologue U. S. [50], est présenté avec des lignes de régression linéaire. Lignes de régression (pente, y-interception, R2): pour l'ensemble de données ≥ 6 de grandeur (1.672, -3193.1, 0.4495) et pour le jeu de données ≥ 7 de grandeur (0.1799, -344.79, 0.3524). Ce chiffre montre clairement qu'il y a eu une augmentation spectaculaire du nombre annuel de séismes mondiaux dans les plages d'amplitude indiquées au cours de l'intervalle de temps 1973-2015. Pour les tremblements de terre de grandeur ≥ 6, l'augmentation est de 66%; Pour la magnitude des tremblements de terre ≥ 7, l'augmentation est de 74%.

L'augmentation du nombre annuel de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et de magnitude ≥7 indique que l'activité géodynamique de l'énergie n'est pas constante. En outre, l'association fréquente de tremblements de terre et des éruptions volcaniques, dont la majorité (~ 80%) sont sous-marines, indique que la chaleur de la Terre libérée par les volcans, la plupart dans les océans, est également variable, et pendant au moins les 43 dernières années a considérablement augmenté. Les apports de chaleur aux océans, comme en témoigne l'augmentation de l'activité sismique au cours des 43 dernières années, présentent des complications pour tout modèle de climat basé sur l'hypothèse d'une entrée constante et invariable de la chaleur dans les océans.
 

4. PREUVE SUPPLÉMENTAIRE DE L'APPORT DE CHALEUR AUX OCÉANS

Pendant que le présent travail était relu, Chen et al. [51] ont publié des données améliorées et corrigées des flotteurs submersibles Argo qui confirment l'augmentation de la chaleur de l'océan que nous pouvons déduire de l'augmentation observée du nombre annuel de tremblements de terre au cours des 43 dernières années (comme décrit ci-dessus). Chen et al. ont constaté que les changements dans la teneur en chaleur de l'océan étaient relativement faibles avant 1980, mais depuis 1980, les températures des océans ont augmenté de façon constante et, depuis 1990, elles ont impliqué des couches plus profondes de l'océan [51]. La plupart des volcans sous-marins sont associés aux systèmes de dorsales océaniques et ont des dorsales moyennes (sommets) à des profondeurs comprises entre 1000 et 3000 m, bien que certains volcans de la dorsale océanique moyenne apparaissent à des profondeurs de 4000 m ainsi qu'à la surface en Islande [ 52].


5. IMPLICATIONS GEO-PHYSIQUES DE L'AUGMENTATION DU VOLCANISME SOUS-MARIN

L'hypothèse d'une augmentation constante de la chaleur dans les océans simplifie les calculs du GIEC, mais peut conduire à des conclusions incorrectes. Même si les calculs nécessaires sont beaucoup plus complexes et nécessitent des informations actuellement inconnues, il incombe aux scientifiques de discuter des différents facteurs impliqués dans la réalisation de tels calculs.
Les océans constituent le principal réservoir de CO2 de notre planète. Le carbonate est un faible système acide-base existant dans l'océan comme dioxyde de carbone dissous, acide carbonique, ions bicarbonate et leurs complexes [53]. Dans l'eau de mer, le dioxyde de carbone dissous, [CO2], en négligeant les formes mineures, est:

[CO2] = [CO2 (aq) + H2CO3] (1)

Dans l'équilibre thermodynamique, le dioxyde de carbone atmosphérique (gazeux), le CO2 (g) et l'eau de mer [CO2] sont liés par la loi de Henry:


K0
CO2 (g) = [CO2] (2)

Où K0, le coefficient de solubilité, est fonction de la température et de la salinité.

Weiss [54] a dérivé l'équation suivante pour K0 de l'équation intégrée Van't Hoff et la dépendance logarithmique à la salinité de Setchénow [55]:

Dans K0 = A1 + A2 (100 / T) + A3ln (T / 100) + S [B1 + B2 (T / 100) + B3 (T / 100) 2] (3)

Où la salinité, S, est en parties par millier, et les A et B sont des constantes, listées dans le tableau 2 pour les unités molaires et gravimétriques.

La figure 2 montre les valeurs du coefficient de solubilité du CO2, K0, calculé avec l'équation (3) dans toute la gamme des températures et salinités pertinentes pour l'eau de mer. À partir de cette figure, une chose est claire : une augmentation de la température, dans pratiquement toutes les conditions océaniques, entraîne une diminution de la solubilité du CO2 et, parallèlement, une augmentation du CO2 atmosphérique.


Tableau 2. Constantes pour le calcul du coefficient de solubilité du CO2 dans les unités molaires et gravimétriques selon l'équation (2). À partir de [54].

 

Unités de K0

 

moles/l●atm

moles/kg●atm

A1

0.7

4.3

A2

0.73

4.4

A3

33

190

B1

2.4

6.3

B2

11

20

B3

1.02

1.81

 


Comme on le sait à partir d'enquêtes sur des éruptions sous-marines spécifiques, non seulement la chaleur est libérée pendant l'éruption, mais le CO2 non anthropique est ajouté aux océans et en même temps à l'atmosphère. À partir des données indiquées à la figure 1, la quantité de CO2 volcanique ajoutée aux océans a augmenté au cours des 43 dernières années. Une grande partie de cet apport de CO2 volcanique doit évidemment s'échapper dans l'atmosphère car la chaleur volcanique diminue la solubilité du CO2 dans l'eau de mer.


Les volcans sous-marins rejettent non seulement le CO2 en quantité croissante, mais aussi d'autres produits chimiques, tels que le SO2 qui, dans tous les cas connus, abaisse le pH de l'eau de mer environnante [56,57]. En d'autres termes, le volcanisme sous-marin qui varie et qui augmente actuellement, contribue certainement à l'augmentation de l'acidification des océans observée dans le monde entier.

 



Figure 2. Le coefficient de solubilité du CO2, K0, calculé avec l'équation (3) dans toute la gamme des températures et des salinités, entre parenthèses par les deux salinités extrêmes, pertinentes pour l'eau de mer. Ce chiffre montre qu'une augmentation de la température, dans toutes les conditions océaniques, entraîne une diminution de la solubilité du CO2.

La figure 3 montre que le CO2 atmosphérique, par rapport à 1973, à partir de la tabulation NOAA souvent citée [58], augmente d'environ un tiers le taux d'augmentation des séismes de magnitude ≥ 6,0 sur le même intervalle.

L'augmentation du nombre annuel de tremblements de terre de magnitude ≥ 6 et de magnitude≥ 7 indique que les sources d'énergie de l'activité géodynamique ne sont pas constantes, ce qui est compréhensible à partir de la Dynamique de décompression de la Terre entière [29, 30]. La charge de la preuve incombe à toute la communauté scientifique concernée par la compréhension des multiples complexités du changement climatique pour prouver que la variabilité volcanique sous-marine de la Terre peut être légitimement ignorée. Beaucoup de choses sont inconnues, y compris des données fiables sur la variation des taux annuels d'événements sismiques antérieurs à 1973 et le délai pour que les changements dans la progression de la solubilité du CO2 dans la colonne océanique se manifestent en variations de CO2 en surface.


Il existe d'autres preuves à l'appui de l'hypothèse de l'apport variable de chaleur de la Terre. Les données récemment publiées par Tolstoi [59] confirment que le volcanisme sous-marin le long de la dorsale du Pacifique Sud-Est a été variable au cours des 775 000 dernières années, avec des augmentations qui semblent être en corrélation avec les augmentations de CO2 dans les données de la banquise antarctique présentées Figure 4. La variabilité du volcanisme sous-marin est une preuve de confirmation directe, de l'apport variable de chaleur dans l'eau de mer. Les données de Tolstoï mettent en question les modèles climatiques basés sur les hypothèses de température de la Terre constante et de température de l'eau constante. La preuve du volcanisme sous-marin variable témoigne de l'apport variable de CO2 volcanique dans l'eau de mer et de l'apport de chaleur variable à l'eau de mer, ce qui témoigne de la variabilité globale de la température de l'eau de mer et de la solubilité variable du CO2 dans l'eau de mer.


 



Figure 3. Pourcentage de variation annuelle, par rapport à 1973, des tremblements de terre, de magnitude ≥ 6, montrée par la ligne de régression de la Figure 1, et des valeurs de CO2 basées sur le tableau du modèle publié par l'institut Goddard de la NASA (GISS) [ 58]. Ce chiffre montre que les tremblements de terre de magnitude ≥ 6 augmentent à un taux plus rapide que le CO2 atmosphérique. Avant 1973, les données sur les tremblements de terre ne sont pas suffisamment fiables pour être comparées aux données du CO2.

 

6. CONTRIBUTION CLANDESTINE DE LA GEO-INGENIERIE AU RECHAUFFEMENT PLANETAIRE

 

Afin que les modèles informatiques soient utiles, ils doivent représenter fidèlement les effets relatifs de toutes les variables impliquées. Les modèles climatiques produits par la communauté scientifique et ceux utilisés par le GIEC ne tiennent nullement compte des effets de la géo-ingénierie troposphérique en cours. La géo-ingénierie est définie ici comme des activités délibérées et à grande échelle visant à modifier les systèmes météorologiques / climatiques (c'est-à-dire de la troposphère à la stratosphère à l'ionosphère - tous les systèmes naturels). Les programmes de modification climatique ont été utilisés par de nombreuses nations au moins depuis les années 1960, c'est-à-dire depuis plus d'un demi-siècle, généralement à des fins agricoles [62].


Figure 4. Corrélation entre la température locale et le CO2 piégé sur une période de 800 000 ans à partir d'un noyau de glace antarctique : Données sur le noyau de glace du noyau de glace EPICA Dome C (Antarctique): le deutérium est un substitut pour la température locale; Le CO2 provient de l'air du noyau de glace. Données provenant de [60,61]. Reproduit avec l'autorisation de British Antarctic Survey.

 

Au cours de la guerre du Vietnam, les militaires américains ont ensemencé des nuages ​​avec des substances chimiques telles que l'iodure d'argent ou la glace sèche solide (CO2 congelé) pour renforcer les précipitations et empêcher le mouvement des troupes et du matériel sur la route d’Ho Chi Minh. Les activités militaires ultérieures de modification des conditions météorologiques ont porté sur l'inhibition des précipitations [63].

 

La technique d'inhibition des précipitations, qui a été bien comprise à partir d’études sur la pollution atmosphérique, consiste à pulvériser un aérosol chimique dans la troposphère où se forment les nuages. L'aérosol particulaire en place empêche les gouttelettes d'humidité de s'assembler et de grossir suffisamment pour tomber sous forme de pluie ou de neige. L’observation prouve que cette technique a été testée dans les années 1990, peut-être plus tôt, et a augmenté en fréquence et en intensité depuis lors. Au cours des huit dernières années, la pulvérisation aérienne a augmenté jusqu'à devenir quasi quotidienne, quasi globale, ce qui est mis en évidence par les données publiées sur au moins 72 sites anti-géo-ingénierie [64]. La figure 5 montre quelques-unes des milliers de photographies mettant en évidence l'activité de géo- ingénierie troposphérique.

 

Non seulement tout s’est fait dans le plus grand des secrets, mais les gouvernements ont trompé les citoyens, soit en niant cette activité aérienne, soit en affirmant de façon mensongère que les traînées aériennes observées ne seraient que des traînées de condensation, des cristaux de glace formés à partir de la vapeur d'eau dans les gaz d'échappement. En 2005, l’Armée de l’Air des États-Unis a distribué aux organismes gouvernementaux et a publié en ligne un document intitulé « Faits sur les traînées de condensation» [65], qui niait délibérément l'existence des traînées particulaires observées, et qui mentait en prétendant qu'il s'agirait de traînées de condensation.

 

Sauf dans des circonstances très rares de très basses températures et d'humidité très élevée, les traînées de condensation des avions persistent quelques secondes seulement avant de s'évaporer (sublimer) en gaz H2O invisible. La figure 6 montre trois avions volant simultanément dans le même environnement physique. Deux présentent des traînées de condensation courtes car les cristaux de glace qui se trouvent dans la vapeur d'eau de leur échappement s'évaporent rapidement; la troisième traînée qui s'étend sur une grande distance à travers le ciel est une traînée particulaire, et non une traînée de condensation qui serait courte.

 

La figure 7 fournit une preuve supplémentaire que la pulvérisation place délibérément dans l'air une matière particulaire et qu'il ne s'agit pas de cristaux de glace formant naturellement une traînée de condensation. Sur cette photo, deux avions volent dans le même environnement physique, produisant des traînées à travers le ciel quand soudainement, l’une d’entre elles s'interrompt subitement, vraisemblablement parce que le stock d'approvisionnement est épuisé ou que le mécanisme de dispersion a été éteint.

 

Les traînées de particules ne disparaissent pas rapidement, mais s'étalent, formant parfois des nuages ​​artificiels semblables à des cirrus qui se dispersent encore pour former éventuellement une brume blanchâtre dans le ciel. La pulvérisation intensive peut entraîner des couvertures particulaires du ciel, parfois accompagnées d' une brume marron. Quelques exemples sont illustrés en figure 8 qui est un ensemble de photographies prises à San Diego, en Californie (USA) lors de jours sans nuages ​​naturels dans le ciel. Ces phénomènes ne sont pas les caractéristiques des traînées de cristaux de glace qui s’évaporent rapidement et se transforment en vapeur d'eau invisible.

 

Figure 5. Photographies de traînées de géo- ingénierie particulaires aériennes troposphériques. De haut en bas: 1) LaCrosse, Wisconsin (USA), avec la permission de John Brinsko; 2) Bettendorf, Iowa (États-Unis), avec l’autorisation d'Amy Fordham; 3) Sussex, Royaume-Uni, avec l’autorisation de Vicky McCarthy; 4) Portland, Oregon (USA), avec la permission de Linda Pope.

Non seulement les autorités gouvernementales ont trompé le public, mais également des scientifiques gouvernementaux et non gouvernementaux. Malgré les préoccupations publiques exprimées par des citoyens dans le monde entier [64], les scientifiques ont fermé les yeux sur les traînées particulaires. Même les scientifiques qui étudient l'atmosphère prétendent qu'aucun aérosol délibérément pulvérisé n'influence l'atmosphère qu'ils étudient. Les scientifiques du GIEC ignorent également leur existence, alors que ces aérosols ont influencé la météo / le climat à l'échelle régionale et très probablement à l'échelle mondiale depuis la fin des années 1990, et peut-être même depuis plus longtemps. Les matières particulaires pulvérisées dans la troposphère se mélangent à l'air que nous respirons et, d'après les études épidémiologiques de la pollution, peuvent causer ou contribuer à bon nombre de maladies graves [66].

 

Il existe de solides preuves que les principales particules pulvérisées dans la troposphère dans le monde entier sont des cendres volantes de charbon, les cendres légères de la combustion du charbon produites par des fournisseurs d'énergie, dans les pays occidentaux, elles sont considérées comme trop toxiques pour pouvoir quitter les cheminées industrielles, [63,66 -68].

 

Face au déni officiel et à une conception officielle défectueuse, on peut déduire, à partir des effets physiques, les objectifs, sinon les motifs, de la géo-ingénierie troposphérique qui pulvérise des cendres de charbon presque chaque jour, presque dans le monde entier. Les cendres volantes de charbon pulvérisées retardent la pluie, au moins jusqu'à ce que les nuages ​​se surchargent tellement qu'ils relâchent des pluies torrentielles et des orages. Les cendres volantes de charbon rendent l'humidité atmosphérique plus électriquement conductrice, ce qui peut être utile pour les activités électromagnétiques militaires [69]. Les cendres volantes de charbon pulvérisées dans la troposphère réchauffent l'atmosphère et retardent la perte de chaleur de la surface de la terre, ce qui accroît le réchauffement climatique. Comme les cendres volantes de charbon tombent au sol, leur couleur typiquement gris foncé absorbe la lumière du soleil et modifie l'albédo, ce qui renforce encore plus le réchauffement climatique [66].

 

 

Figure 6. Trois avions volent simultanément dans le même environnement physique dans lequel la formation de traînées de condensation est possible dans l'air au-dessus de Tucson, Arizona (États-Unis) en 2011. Notez que deux d’entre eux présentent des traînées de condensation courtes caractéristiques de l'évaporation rapide de la glace. La longue traînée à travers le ciel n'est pas une traînée de condensation sinon, elle se serait évaporée aussi rapidement et serait aussi courte que les deux autres. Au contraire, la longue traînée est formée de fines particules en suspension. Avec l'aimable permission de Bornfree et Russ Tanner.

 

 

 

Figure 7. Deux avions pulvérisant des particules volent dans le même environnement physique lorsque l'une des pulvérisations s'interrompt brusquement. C’est un phénomène totalement impossible pour des traînées créées par la formation de cristaux de glace à partir de la vapeur d'eau se trouvant dans les gaz d'échappement du moteur. Photo de l'auteur.

 

 

 

Figure 8. Quatre photographies du ciel au-dessus de San Diego, en Californie (USA) prises lors de journées sans nuages ​​naturels. Les épaisseurs variables de la brume sont caractéristiques des matières particulaires pulvérisées par des avions à réaction, et totalement impossibles pour des traînées de condensation, des cristaux de glace qui s’évaporent vite et deviennent invisibles. Photos de l’auteur.

 

 

 

7. PREUVE D’UNE VOLONTE DE FAIRE FONDRE LES GLACIERS ET D’AGGRAVER LE RECHAUFFEMENT PLANETAIRE

 

Le 14 février 2016 ou aux environs de cette date, une substance huileuse et cendrée est tombée sur sept résidences et sur des véhicules à Harrison Township, Michigan (États-Unis). Soupçonnant qu'il s'agissait du largage accidentel d'un avion engagé dans un programme seret de géo-ingénierie, j'ai obtenu des échantillons de l'un des résidents pour analyse et j'ai conseillé le Département de la Qualité environnementale du Michigan pour effectuer des analyses. Comme indiqué dans le rapport publié [70], le matériau prélevé consiste en un mélange de particules formant des touffes sombres qui ressemblent à de la matière végétale, comprenant des feuilles, des graines et des peaux de fruits, mélangées à des cendres volantes de charbon et du sel.

 

La figure 9 montre des trous quasi circulaires (appelés « trous de cryoconite») observés dans le monde entier à la surface des glaciers, et qui ressemblent au matériau de la substance prélevée. En raison de sa couleur foncée, la cryoconite naturelle - poussière soufflée par le vent, composée de particules de roche, de suie et de microbes - absorbe la lumière du soleil et fait fondre la glace des glaciers. La ressemblance entre la cryoconite et la substance tombée pendant le largage m'a amené à conclure que le matériau artificiel récolté est une pseudo-cryoconite ou proto-cryoconite, dont je présume que le but est de faire fondre la glace polaire et d'aggraver le réchauffement climatique.

Beaucoup de temps et d'argent ont été, sans aucun doute, investis dans le développement de la pseudo ou proto-cryoconite et dans sa technologie d'application cachée. C'est clairement l'indication d'une application à grande échelle, probablement pour faire fondre la glace polaire et aggraver le réchauffement climatique. Cette intention présumée correspond bien aux pulvérisations aériennes observées, presque dans le monde entier, presque chaque jour, de particules dans la troposphère, dont les preuves publiées indiquent qu'il s'agit principalement de cendres volantes de charbon qui font fondre la glace polaire et augmentent le réchauffement climatique.

 

8. REMISE EN QUESTION DE L’OBJECTIVITE ET DE L’INTENTION DES MODELES CLIMATIQUES

 

La figure 10 à partir de [71] est une représentation du changement de température à l'échelle mondiale et du CO2 à partir des données de l'Administration Océanique et Atmosphérique des Etats-Unis (NOAA) et ses calculs modélisés. Ce type de représentation est bien connu des experts de l'évaluation du modèle climatique du GIEC et des scientifiques du climat. Au cours des dernières décennies, l'augmentation des valeurs de température et de dioxyde de carbone est donnée par le GIEC comme conséquence principale de la combustion anthropique de carbone-combustible, produisant des gaz à effet de serre qui piégeront et conserveront la chaleur qui sinon serait renvoyée dans l'espace. Mais il y existe de bonnes raisons de remettre en question ces affirmations.

 

Figure 9. En haut à gauche: Répartition de l’échantillon; en haut à droite: Répartition de trous de Cryoconite dans le glacier; en bas à gauche: Echantillons de Pseudo- ou Proto-Cryoconite tombés du ciel; en bas à droite : Cryoconite naturelle. Adapté de [70].

 

 

 

 

 

Figure 10. La série chronologique de valeurs annuelles globales des anomalies de la température moyenne (barres rouges et bleues) en degrés Celsius et concentrations de dioxyde de carbone à Mauna Loa, toutes deux fournies par la NOAA. Les données sont relatives à une base de référence des valeurs du XX ème siècle. À partir de [71].

 

Les contributions anthropiques provenant de l'utilisation des combustibles fossiles et, en particulier, le taux croissant d'utilisation des avions à réaction ne peuvent être niées, mais ces contributions sont significatives seulement si les contributions endogènes de la Terre et les contributions secrètes de la géo-ingénierie sont ignorées. Les apports accrus de chaleur aux océans du fait de l'activité volcanique, à en juger par des estimations publiées, ne suffisent pas à expliquer l'augmentation des températures océaniques près de la surface. Dans les limites des données existantes, on ne peut estimer de manière fiable les contributions atmosphériques accrues du CO2 volcanique et du CO2 libéré par le volcanisme sous-marin croissant qui réchauffe l'océan et contribue ainsi à réduire la solubilité du CO2 dans les océans. Mais peut-être la contribution la plus importante au réchauffement climatique et dont on ne tient pas compte, est la suivante: Les modélisateurs du GIEC et les modèles climatiques des scientifiques ignorent totalement le réchauffement climatique dû à la géo-ingénierie troposphérique secrète en cours depuis les années 1960 et qui s'est accélérée en fréquence, en intensité et en ampleur depuis les années 1990. Si les modélisateurs du climat ne tiennent pas compte de cette géo-ingénierie troposphérique, vieille de décennies, leurs estimations resteront incomplètes et peu fiables.

 

Malheureusement, les institutions gouvernementales ont été cooptées pour soutenir le soi-disant programme de réchauffement climatique anthropique de gaz à effet de serre. Le 4 février 2017, le Daily Mail (Royaume-Uni) a signalé que l’America’s National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) avait violé ses propres règles d'intégrité scientifique en publiant un rapport sensationnel mais défectueux visant à avoir un impact maximum sur les leaders mondiaux dont Barack Obama et David Cameron à la conférence des Nations Unies sur le climat à Paris en 2015 [72,73]. Les scientifiques de la NASA et leurs partenaires de NOAA disposent des données climatiques défectueuses; ce n'est qu'un épisode d'une longue série, dont certains ont été dénoncés par des scientifiques critiques et indépendants [74-78].

 

De nombreux scientifiques du climat ont critiqué la NASA GISS (Institut Goddard pour les études spatiales) ces dernières années pour avoir systématiquement affirmé que les températures mondiales seraient significativement plus élevées que celles rapportées par d'autres scientifiques; pour employer des personnels qui se font les avocats de ces théories plutôt que de se conduire en scientifiques; pour s’être fait prendre à affirmer que les dernières années ont été plus chaudes que les données indiquées; et pour ne pas avoir été transparents quant à la façon dont ils ont traité les données de température brutes avant de présenter leurs rapports de température « officiels » ajustés [74-78]. Après que le GISS ait attiré fortement l'attention des médias en revendiquant que le mois d’octobre 2008 avait été le plus chaud de l'histoire, un certain nombre de «sceptiques» du réchauffement climatique, soupçonnant une fraude, ont examiné les données eux-mêmes et ont rapidement découvert que la NASA et ses partenaires de la NOAA avaient inclus les données de température de Russie de septembre 2008 dans l'ensemble de données de température russes d'octobre, ce qui rendait le mois d’octobre anormalement chaud pour la saison [79].

 

9. CONCLUSIONS

 

Les modèles climatiques évalués par le GIEC reposent sur les hypothèses selon lesquelles: (1) La chaleur dérivée du Soleil serait constante; (2) La chaleur provenant de l'intérieur de la Terre serait constante; Et (3) Les contributions anthropiques au réchauffement atmosphérique proviendraient principalement de la rétention de chaleur par le CO2 et d'autres gaz à effet de serre.

 

Les preuves géophysiques de l'activité sismique variable et les preuves géologiques du volcanisme sous-marin variable présentées ici indiquent que la chaleur ajoutée aux océans est variable. Les occurrences croissantes de tremblements de terre de magnitudes ≥6 et ≥7 en 1973-2015 indiquent que l'activité volcanique augmente et que, par conséquent, la chaleur terrestre ainsi que les apports de CO2 d'origine volcanique augmentent. En outre, l'augmentation des apports de chaleur à l'océan diminue la solubilité du CO2 dans l'eau de mer, ce qui libère du CO2 supplémentaire dans l'atmosphère. À la lumière de ces processus géophysiques changeant, il conviendrait vraiment de tenir compte de leurs contributions potentielles aux augmentations actuellement observées du CO2 atmosphérique. Dans tous les cas, depuis 1973, le taux en augmentation des grands tremblements de terre est supérieur au taux en augmentation des apports atmosphériques de dioxyde de carbone. En outre, l'augmentation de l'activité volcanique sous-marine implique une augmentation de l'acidification des océans, bien que les données soient insuffisantes pour faire des estimations quantitatives.

 

La validité des évaluations et des analyses du GIEC dépend de manière critique de tous les processus potentiels qui affectent matériellement l'équilibre thermique de la Terre. Les membres de la communauté scientifique, y compris les scientifiques du GIEC, ont néanmoins fermé les yeux sur la géo-ingénierie troposphérique en cours, laquelle a débuté dans les années 1960 et, au cours des huit dernières années, a été poussée à un plein régime opérationnel de façon presque quotidienne, à une échelle quasi mondiale. Des particules dispersées dans la troposphère, sous forme de cendres volantes de charbon, inhibent les précipitations, réchauffent l'atmosphère et aggravent le réchauffement climatique. Les preuves obtenues à partir d'un largage aérien accidentel d'un matériau modifié indiquent qu'il existe la volonté de faire fondre la glace polaire et ainsi d'amplifier le réchauffement climatique. En ignorant la géo-ingénierie troposphérique en cours, les évaluations climatiques du GIEC ainsi que l'autorité morale des Nations Unies sont compromises.

 

On doit fournir des réponses à beaucoup de questions. Étant donné que la NOAA et la NASA sont les principales sources de données utilisées dans les modèles et les estimations climatiques et qu’apparemment ils participent à l'activité globale de géo- ingénierie troposphérique, leurs données sont-elles objectives? En effet, dans quels buts pulvériser une substance toxique dans l'air que nous respirons presque quotidiennement à l'échelle mondiale ? Il n’y a aucun doute que ceux qui sont étroitement liés à l'opération savent que cela provoque le réchauffement climatique et la fonte de la glace polaire. Les dirigeants gouvernementaux se rendent-ils compte que l'intention de ces déploiements clandestins de géo-ingénierie est de causer le réchauffement climatique? Ou les dirigeants ont-ils été trompés, leur a-t-on raconté que la pulvérisation d'aérosols troposphériques était destinée à prévenir le réchauffement climatique? Est-ce fait pour accéder au pétrole et à d'autres ressources naturelles sous la glace polaire? La géo- ingénierie troposphérique est-elle destinée à provoquer le réchauffement climatique et à permettre aux Nations-Unies de contrôler les principaux éléments de l'économie de chaque nation souveraine ? A moins que d’autres motifs plus sinistres soient impliqués? Les militaires cherchent depuis 1947, à utiliser le climat comme arme de guerre, mais à quel prix pour la santé humaine et environnementale? Qu'a-t-on dit aux dirigeants pour qu’ils acceptent un programme qui n'est rien moins qu'une guerre contre la planète Terre? Qui en bénéficie? Pourquoi les scientifiques font-ils la promotion d’une future géo-ingénierie alors qu'ils savent ou doivent certainement savoir que la géo-ingénierie troposphérique est en cours depuis des décennies dans le monde entier?

 

Pour le bien de l'humanité, du biote et de l'environnement de la Terre, on doit répondre à ces questions sincèrement et publiquement.

 

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Les concepteurs du vaccin d'Oxford-AstraZeneca sont liés au mouvement eugéniste britannique

8 Mai 2021, 16:20pm

Les concepteurs du vaccin d'Oxford-AstraZeneca sont liés au mouvement eugéniste britannique
Les concepteurs du vaccin d'Oxford-AstraZeneca sont liés au mouvement eugéniste britannique
Les concepteurs du vaccin d'Oxford-AstraZeneca sont liés au mouvement eugéniste britannique
Les concepteurs du vaccin d'Oxford-AstraZeneca sont liés au mouvement eugéniste britannique
Les concepteurs du vaccin d'Oxford-AstraZeneca sont liés au mouvement eugéniste britannique
Les concepteurs du vaccin d'Oxford-AstraZeneca sont liés au mouvement eugéniste britannique

Les concepteurs du vaccin d'Oxford-AstraZeneca sont liés au mouvement eugéniste britannique

 

 

Les développeurs du vaccin Oxford-AstraZeneca ont des liens non divulgués auparavant avec la Société Eugénique Britannique rebaptisée ainsi qu'avec d'autres institutions liées à l'Eugénisme comme le Wellcome.

 

Jeremy Loffredo etWhitney Webb 26 décembre 2020

 

 

Le 30 avril, AstraZeneca et l'Université d'Oxford ont annoncé un "accord historique" pour le développement d'un vaccin contre le COVID-19. L'accord prévoit qu'AstraZeneca supervise certains aspects du développement ainsi que la fabrication et la distribution tandis que du côté d'Oxford, via l'Institut Jenner et l'Oxford Vaccine Group, la recherche et le développement du vaccin. Moins d'un mois après la conclusion de cet accord, le partenariat Oxford-AstraZeneca a obtenu un contrat du gouvernement américain dans le cadre de l'opération Warp Speed, l'effort public-privé de vaccination contre le COVID-19 dominé par l'armée et les services de renseignement américains.

 

Bien que le partenariat ait été annoncé en avril, l'Institut Jenner d'Oxford avait déjà commencé à développer le vaccin COVID-19 plusieurs mois auparavant, à la mi-janvier. Selon un récent rapport de la BBC, c'est en janvier que l'Institut Jenner a pris conscience de la gravité de la pandémie, lorsqu'Andrew Pollard, qui travaille pour l'Institut Jenner et dirige le Oxford Vaccine Group, "a partagé un taxi avec un modélisateur qui travaillait pour le Scientific Advisory Group for Emergencies du Royaume-Uni". Pendant le trajet en taxi, "le scientifique lui a dit que des données laissaient penser qu'il allait y avoir une pandémie semblable à celle de la grippe de 1918." En raison de cette unique rencontre, nous dit-on, l'Institut Jenner a commencé à verser des millions dans le développement précoce d'un vaccin contre le COVID-19, bien avant que l'étendue de la crise ne soit claire.

 

Pendant une grande partie de l'année 2020, le vaccin d'Oxford-AstraZeneca a été considéré comme l'un des premiers favoris, bien que son avance ait été entachée par des scandales liés à ses essais cliniques, notamment le décès de participants, des interruptions soudaines de l'essai, l'utilisation d'un "placebo" problématique avec son propre lot d'effets secondaires, et le mauvais dosage "involontaire" de certains participants qui a faussé le taux d'efficacité déclaré.

 

Les problèmes importants qui sont apparus au cours des essais ont suscité peu d'inquiétude de la part des deux principaux développeurs du vaccin, malgré l'attention critique accordée par les médias grand public à ses complications. Le principal développeur du vaccin Oxford-AstraZeneca, Adrian Hill, a déclaré à la chaîne NBC le 9 décembre que le vaccin expérimental devrait être approuvé et distribué au public avant la fin des essais de sécurité, affirmant que "si l'on attendait la fin des essais, ce serait au milieu de l'année prochaine. C'est trop tard, ce vaccin est efficace, disponible à grande échelle et facile à déployer."

 

Sarah Gilbert, l'autre chercheuse principale sur le vaccin, semblait croire qu'une approbation prématurée de la sécurité était probable, déclarant à la BBC le 13 décembre que les chances de déployer le vaccin d'ici la fin de l'année étaient "assez élevées." Aujourd'hui, le Royaume-Uni devrait approuver le vaccin Oxford-AstraZeneca peu après Noël, et l'Inde devrait également approuver le vaccin la semaine prochaine.

 

Bien que les controverses entourant les essais du vaccin aient fini par miner son statut de leader, le vaccin Oxford-AstraZeneca reste fortement promu en tant que vaccin de choix pour le monde en développement, car il est moins cher et présente des exigences de stockage beaucoup moins complexes que celles de ses principaux concurrents, Pfizer et Moderna.

 

Au début du mois, Richard Horton, rédacteur en chef de la revue médicale The Lancet, a déclaré à CNBC que "le vaccin Oxford-AstraZeneca est actuellement le vaccin qui permettra d'immuniser la planète plus efficacement et plus rapidement que tout autre vaccin dont nous disposons", en grande partie parce qu'il s'agit d'un "vaccin qui peut atteindre les pays à revenu moyen inférieur". CNBC a également cité Andrew Baum, responsable mondial des soins de santé pour le groupe Citi, qui a déclaré que le vaccin Oxford-AstraZeneca "est vraiment le seul vaccin qui va supprimer ou même éradiquer le SRAS-CoV-2, le virus qui cause le COVID-19, chez des millions de personnes dans le monde en développement".

 

Outre les affirmations de longue date selon lesquelles le vaccin Oxford-AstraZeneca sera le vaccin de choix pour le monde en développement, ce candidat vaccin a également été traité par plusieurs médias grand public, et même indépendants, comme "bon pour les gens, mauvais pour les profits" en raison de "l'intention explicite du partenariat de fournir [le vaccin] dans le monde entier sans but lucratif, ce qui signifie que les nations les plus pauvres de la planète n'auront pas à s'inquiéter d'être exclues d'un traitement par manque de fonds".

 

Cependant, une enquête sur les développeurs du vaccin et sur les réalités de leur "promesse sans but lucratif" révèle une histoire très différente de celle qui a été présentée pendant la majeure partie de l'année par les communiqués de presse des entreprises, les experts et les universitaires liés au vaccin et la presse grand public.

 

Par exemple, les médias grand public ont peu parlé, voire pas du tout, du rôle de la société privée des développeurs du vaccin - Vaccitech - dans le partenariat Oxford-AstraZeneca, une société dont les principaux investisseurs sont d'anciens hauts dirigeants de la Deutsche Bank, le géant de la Silicon Valley Google et le gouvernement britannique. Tous ces acteurs ont l'intention de tirer profit du vaccin aux côtés des deux concepteurs du vaccin, Adrian Hill et Sarah Gilbert, qui conservent une participation estimée à 10 % dans la société. Un autre point négligé est le projet de modifier radicalement le modèle de vente actuel du vaccin après la première vague d'administration, ce qui ferait exploser les profits, surtout si la volonté désormais évidente de faire de la vaccination par le COVID-19 une affaire annuelle dans un avenir prévisible se concrétise.

 

Le plus troublant est sans doute le lien direct entre les principaux développeurs du vaccin et le Wellcome Trust et, dans le cas d'Adrian Hill, le Galton Institute, deux groupes ayant des liens de longue date avec le mouvement eugéniste britannique. Cette dernière organisation, qui porte le nom du "père de l'eugénisme" Francis Galton, est la Société britannique d'eugénisme, un groupe connu depuis plus d'un siècle pour sa promotion de pseudo-sciences racistes et ses efforts visant à "améliorer les souches raciales" en réduisant la population des personnes jugées inférieures.

 

Les liens d'Adrian Hill avec le Galton Institute devraient susciter des inquiétudes évidentes, étant donné les efforts déployés pour faire du vaccin Oxford-AstraZeneca qu'il a développé avec Gilbert le vaccin de choix pour le monde en développement, en particulier les pays d'Amérique latine, d'Asie du Sud et du Sud-Est, et d'Afrique, les régions mêmes où les anciens membres du Galton Institute ont appelé à réduire la croissance démographique.

 

Le dernier volet de cette série sur l'opération Warp Speed explore en détail les efforts et la course à la vaccination du gouvernement américain, les liens du vaccin Oxford-AstraZeneca avec des institutions liées à l'eugénisme, le rôle secret de Vaccitech et le mythe de la vente du vaccin à "but non lucratif" et motivée par l'altruisme.

 

GlaxoSmithKline et l'Institut Jenner

 

L'Edward Jenner Institute for Vaccine Research a été initialement créé en 1995 à Compton, dans le Berkshire, sous la forme d'un partenariat public-privé entre le gouvernement britannique, via le Medical Research Council et le ministère de la Santé, et le géant pharmaceutique GlaxoSmithKline. Après une "révision par les sponsors [de l'institut]", il a été relancé en 2005 à Oxford sous la direction d'Adrian Hill, qui occupait auparavant un poste de direction au Centre de génétique humaine du Wellcome Trust. Hill, le principal développeur du vaccin COVID-19 d'Oxford-AstraZeneca, dirige toujours un groupe de recherche à Wellcome visant à "comprendre la base génétique de la susceptibilité à différentes maladies infectieuses, en particulier... les infections respiratoires sévères". . les infections respiratoires sévères", qui mène la plupart de ses études en Afrique. Le Medical Research Council du Royaume-Uni est également devenu un collaborateur du Wellcome Trust, notamment pour les initiatives liées aux vaccins. Le Wellcome Trust, dont il est question plus en détail plus loin dans cet article, a été créé à l'origine grâce au financement de Henry Wellcome, qui a fondé la société qui est devenue plus tard GlaxoSmithKline.

 

La partenaire de Hill à l'Institut Jenner et l'autre co-développeur du vaccin COVID-19 d'Oxford est Sarah Gilbert. Mme Gilbert vient également du Wellcome Trust, où elle était "directrice de programme", et est une étudiante de M. Hill. Ensemble, Gilbert et Hill ont travaillé à positionner l'institut comme le centre de tous les futurs efforts de vaccination entrepris en réponse aux pandémies mondiales.

 

La relocalisation de l'Institut Jenner à Oxford a été largement facilitée par le Medical Research Council, qui a fait un don de 1,25 million de livres sterling entre 2005 et 2006, après la décision de remplacer les sponsors initiaux de l'institut (GlaxoSmithKline, le Medical Research Council, le ministère de la santé) par l'université d'Oxford et l'Institute for Animal Health, désormais appelé Pirbright Institute. Grâce à la participation de Pirbright, l'Institut Jenner relancé est devenu le seul à développer des vaccins pour l'homme et le bétail.

 

Le Jenner Institute relancé en est venu à dominer le développement de vaccins financés par des fonds publics au Royaume-Uni, ainsi que l'essai de vaccins produits par les plus grandes sociétés pharmaceutiques du monde par le biais d'essais cliniques, et a supervisé d'importants essais de sécurité pour des vaccins suscitant un grand intérêt médiatique ces dernières années. Certains des essais menés par l'Institut Jenner ont suscité la controverse par la suite, comme ceux réalisés sur des nourrissons sud-africains en 2009, au cours desquels sept nourrissons sont morts.

 

Une enquête menée par le British Medical Journal a révélé que le Jenner Institute dirigé par Hill avait, dans le cas de l'Afrique du Sud, sciemment trompé les parents sur les résultats négatifs et les méthodes douteuses utilisés dans les études sur les animaux, ainsi que sur l'inefficacité avérée du vaccin.

 

Le vaccin en question, un vaccin expérimental contre la tuberculose mis au point conjointement par Emergent Biosolutions et l'Institut Jenner, a été abandonné après que l'étude controversée menée sur des nourrissons a confirmé ce que l'on savait déjà, à savoir que le vaccin était inefficace. L'essai, largement financé par Oxford et le Wellcome Trust, a ensuite été qualifié d'"historique" par la BBC. Hill, au moment où l'étude a été menée, avait un intérêt financier personnel dans le vaccin.

 

Des cas similaires de pratiques douteuses dans les essais d'efficacité et les effets de l'augmentation des doses ont conduit les experts en vaccins à critiquer le vaccin COVID-19 développé par Hill et Gilbert. Hill et Gilbert détiennent un intérêt financier considérable dans le vaccin COVID-19 d'Oxford-AstraZeneca. Alors que le vaccin aurait une efficacité de plus de 90 %, ces chiffres - souvent cités dans les rapports grand public - sont déclarés par les développeurs et les fabricants du vaccin (c'est-à-dire l'équipe d'Oxford et AstraZeneca), ce qui est significatif étant donné que Hill et d'autres scientifiques de l'Institut Jenner ont déjà été surpris en train de manipuler les résultats d'essais pour favoriser un produit vaccinal dans lequel ils étaient personnellement investis.

 

L'importance de l'Institut Jenner dans le développement et l'essai de vaccins s'explique en grande partie par le rôle de premier plan que joue Hill au sein du Réseau britannique des vaccins, qui choisit les vaccins à développer, la manière de les développer et les entreprises qui devraient recevoir des "investissements ciblés" du gouvernement britannique. Le Vaccines Network joue également un rôle clé dans l'identification "des technologies vaccinales qui pourraient jouer un rôle important dans les futures épidémies". Deux des principaux bailleurs de fonds du Vaccines Network britannique sont le Wellcome Trust et GlaxoSmithKline.

 

Il n'est pas surprenant que le Réseau Vaccins ait orienté plusieurs millions de livres vers l'Institut Jenner dirigé par Hill, avec des projets achevés, notamment une plateforme de particules de type viral "plug and display" pour la vaccination à réponse rapide. Les études initiales de l'Institut Jenner sur les nouveaux vaccins à adénovirus de chimpanzés contre le coronavirus (dans ce cas, le MERS), le même vecteur viral que celui utilisé pour le vaccin Oxford-AstraZeneca, ont également été financées par le Vaccines Network. Outre le réseau de vaccins, l'Institut Jenner coordonne également le développement de l'équivalent du réseau de vaccins de l'UE, MultiMalVax.

 

Le Jenner Institute entretient également des relations étroites avec GlaxoSmithKline et la biotech italienne Okairos, qui a été rachetée par GlaxoSmithKline en 2014. Peu après son acquisition, Okairos et son nouveau propriétaire, GlaxoSmithKline, sont devenus des acteurs clés de la campagne de 2014 en faveur d'un vaccin expérimental contre le virus Ebola, un investissement qui reflète à bien des égards la ruée actuelle vers le vaccin COVID-19. Les essais de sécurité précipités de ce vaccin ont été supervisés par Adrian Hill et le Jenner Institute et financés par le gouvernement britannique et le Wellcome Trust. GlaxoSmithKline et Okairos sont les seules entreprises représentées au conseil consultatif scientifique de l'Institut Jenner.

 

L'Institut Jenner ainsi que GlaxoSmithKline-Okairos et une petite biotech française appelée Imaxio développent depuis 2015 un vaccin expérimental contre le paludisme, dont les essais sur l'homme sont annoncés le 12 décembre 2020. Ces essais seront menés sur 4 800 enfants en Afrique au cours de l'année 2021, dans plusieurs des mêmes pays où le groupe de recherche de Hill au Wellcome Center for Human Genetics a étudié la susceptibilité génétique à plusieurs maladies. "Cette année, en Afrique, beaucoup plus de personnes mourront du paludisme que du Covid", a récemment déclaré M. Hill à propos des essais qui débuteront bientôt.

 

Actuellement, le Jenner Institute est financé par la Jenner Vaccine Foundation, mais les documents de la fondation font état à plusieurs reprises d'un afflux considérable d'argent provenant des Wellcome Trust Strategic Awards. Un "comité d'examen spécial" du Wellcome Trust a même fait pression sur l'Institut Jenner pour qu'il demande un nouveau "financement stratégique de base" au trust après avoir visité l'institut et évalué son travail.

Le Jenner Institute présente son financement par le Wellcome comme la principale orientation de ses décisions de développement, qui sont prises "à partir du modèle réussi du soutien stratégique du Wellcome Trust".

 

La fondation de l'Institut Jenner n'est toutefois pas la seule source de revenus de ses chercheurs principaux. Hill et Gilbert ont travaillé à la commercialisation de nombreux vaccins de l'institut par le biais de leur propre société privée, Vaccitech. Bien que les médias décrivent souvent le vaccin comme un effort conjoint entre AstraZeneca et l'université d'Oxford, Vaccitech est une partie prenante clé de ce partenariat, étant donné que le vaccin candidat repose sur une technologie développée par Hill et Gilbert et appartenant à Vaccitech.

 

Un examen plus approfondi de Vaccitech permet de comprendre pourquoi le nom de la société a été absent de presque tous les articles médiatiques sur le vaccin Oxford-AstraZeneca, car il démolit l'affirmation très répandue selon laquelle le vaccin serait "sans but lucratif" et offert à bas prix pour des raisons charitables.

 

Vaccitech : Faire du bien en faisant du "bon" ?

 

La raison officielle pour laquelle Sarah Gilbert et Adrian Hill ont créé Vaccitech en 2016 selon le Times est que "les chercheurs d'Oxford [seraient] encouragés à créer des entreprises pour commercialiser leurs travaux." Vaccitech, comme d'autres entreprises de recherche "commercialisées" d'Oxford, a été créée à partir de l'Institut Jenner via la branche de commercialisation de l'université, Oxford Science Innovations, qui est actuellement la plus grande partie prenante de Vaccitech, avec 46 %. Hill et Gilbert conserveraient une participation de 10 % dans la société.

 

Le plus gros investisseur d'Oxford Science Innovations, et par extension l'un des plus gros actionnaires de Vaccitech, est Braavos Capital, la société de capital-risque lancée en 2019 par Andrew Crawford-Brunt, longtemps responsable mondial des opérations sur actions de la Deutsche Bank dans sa succursale de Londres. Grâce à sa participation dans Oxford Science Innovations, Braavos détient environ 9 % de Vaccitech.

 

Avant leCOVID-19, l'objectif principal de Vaccitech, surtout l'année dernière, était le développement d'un vaccin universel contre la grippe. Les efforts de Vaccitech à cet égard ont été salués par Google, qui a également investi dans Vaccitech. Dans le même temps, la Fondation Bill & Melinda Gates finançait des recherches visant à développer un vaccin universel contre la grippe, apparemment parce que le domaine de la vaccinologie de la grippe n'était pas encore en mesure de "concevoir un vaccin contre la grippe qui protégerait largement contre les souches de grippe qui infectent les gens chaque hiver et celles qui, dans la nature, pourraient émerger pour déclencher une pandémie perturbatrice et mortelle", selon un rapport STAT News de l'année dernière. La Fondation Gates s'était initialement associée au cofondateur de Google, Larry Page, et à sa femme Lucy.

 

Pour financer entièrement le Vaccitech de Hill et Gilbert, et en particulier sa quête d'un vaccin universel contre la grippe, Oxford Science Innovations a demandé 600 millions de livres sterling à des "investisseurs extérieurs", dont les principaux sont le Wellcome Trust et la branche de capital-risque de Google, Google Ventures. Cela signifie que Google est sur le point de faire un profit avec le vaccin d'Oxford-AstraZeneca à un moment où sa plateforme vidéo YouTube a décidé d'interdire tout contenu lié au vaccin COVID-19 qui jeterait une lumière négative sur les vaccins COVID-19, y compris le candidat d'Oxford-AstraZeneca. Parmi les autres investisseurs de Vaccitech figurent la branche chinoise de Sequoia Capital et la société pharmaceutique chinoise Fosun Pharma. En outre, le gouvernement britannique a investi environ 5 millions de livres sterling dans l'entreprise et devrait également obtenir un retour sur le vaccin d'Oxford-AstraZeneca.

 

Les informations sur la rentabilité du vaccin Oxford-AstraZeneca ont été brouillées par la promotion médiatique intensive de l'affirmation selon laquelle Hill et Gilbert ne percevront pas de royalties sur le vaccin et qu'AstraZeneca ne réalise pas de bénéfices sur le vaccin. Toutefois, cela n'est vrai que jusqu'à ce que la pandémie soit "officiellement" déclarée terminée et que le virus soit qualifié de maladie persistante ou saisonnière qui nécessitera l'administration massive de vaccins COVID-19 à intervalles réguliers, voire annuellement. Sky News rapporte que la détermination de la fin de la pandémie "sera basée sur l'avis d'une série d'organismes indépendants [non spécifiés]". À ce moment-là, Vaccitech et Oxford obtiendront des redevances sur les ventes du vaccin par AstraZeneca.

 

Les personnes liées au vaccin ont été au centre de la promotion de l'idée que le vaccin COVID-19 deviendra bientôt une affaire annuelle. Par exemple, au début du mois de mai, John Bell, professeur de médecine à Oxford et "architecte" du partenariat Oxford-AstraZeneca, a déclaré à NBC News : "Je pense que nous pourrions avoir besoin de vaccins relativement réguliers contre les coronavirus à l'avenir", ajoutant que le vaccin serait probablement nécessaire chaque année, comme le vaccin contre la grippe. NBC News a omis de préciser que le vaccin Oxford-AstraZeneca, dans lequel Bell est impliqué, bénéficierait d'un avantage financier considérable si cela se produisait.

 

Plus récemment, Bell a déclaré à The Week que "s'il s'avérait qu'il existe un marché pour des vaccinations régulières contre le coronavirus à l'avenir, il y aurait de l'argent à gagner". Ces sentiments ont été repris par Pascal Soriot, le PDG d'AstraZeneca, qui a déclaré à Bloomberg le mois dernier que la société pourrait réaliser un "bénéfice raisonnable" une fois la pandémie déclarée terminée et le COVID-19 considéré comme une maladie saisonnière nécessitant des vaccinations régulières. A ce sujet, le PDG de Vaccitech, Bill Enright, a déclaré que les investisseurs de Vaccitech recevraient "une grande partie des royalties d'un vaccin réussi ainsi que des paiements d'étape" si et quand la pandémie sera déclarée terminée et que les vaccins COVID-19 deviennent un événement saisonnier.

 

Vaccitech, en particulier, semble tout à fait certain que cette possibilité est appelée à devenir réalité. Pour toutes les itérations ultérieures du vaccin Oxford-AstraZeneca, Vaccitech récupérera un pourcentage beaucoup plus important des droits sur le vaccin, droits qu'elle partage actuellement avec Oxford pour la première itération. Sky News a noté que la technologie détenue par Vaccitech "pourrait conduire à la deuxième génération de vaccins COVID-19" et qu'elle "a [déjà] reçu 2,3 millions de livres sterling de financement public pour la développer."

 

Des représentants du gouvernement américain, comme Anthony Fauci, ont également signalé que le vaccin COVID-19 nécessitera des injections annuelles. Notamment, le gouvernement, par l'intermédiaire de la BARDA du Health and Human Service, a versé plus d'un milliard de dollars dans le développement du vaccin Oxford-AstraZeneca. Outre les représentants du gouvernement, plusieurs rapports récemment publiés dans les médias grand public ont affirmé que le consensus des "experts" "semble pencher en faveur d'une injection annuelle comme pour le vaccin contre la grippe" en ce qui concerne le vaccin COVID-19.

 

Par exemple, Charles Chiu, professeur de maladies infectieuses à l'Université de Californie-San Francisco, a récemment déclaré à Salon : "Il se peut que ce soit un vaccin qui ne soit pas administré une seule fois ou même deux fois... il se peut que ce soit ce que nous appelons soit un vaccin saisonnier, soit un vaccin qui doit être administré tous les deux ans".

 

De telles allusions à un vaccin annuel contre le COVID-19 à partir de 2021 sont récemment devenues courantes de la part des principaux fabricants de vaccins contre le COVID-19 eux-mêmes. Par exemple, le 13 décembre, le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a été cité par le Telegraph comme ayant déclaré : "Nous ne savons pas combien de temps durera cette protection [vaccinale]...". Je pense qu'il est probable que vous aurez besoin de vaccinations périodiques". Pfizer a également publié récemment une déclaration indiquant que "nous ne savons pas comment le virus évoluera et nous ne savons pas non plus dans quelle mesure l'effet protecteur d'une vaccination sera durable", ajoutant que son vaccin conviendrait "à une administration répétée sous forme de rappels" au cas où le vaccin n'induirait une réponse immunitaire que pendant quelques mois.

 

Puis, mardi dernier, Moderna a publié des informations suggérant que l'immunité induite par son vaccin COVID-19 ne durerait que quelques mois, Forbes écrivant que "la durée des anticorps neutralisants du vaccin Moderna sera relativement courte, potentiellement inférieure à un an", un résultat qui favoriserait l'idée d'une injection annuelle de COVID-19.

 

Le développeur du vaccin Pfizer COVID-19, Ugur Sahin de BioNTech, a également déclaré mardi que "le virus restera avec nous pendant les 10 prochaines années . . . Nous devons nous habituer au fait qu'il y aura d'autres épidémies". Il a ensuite ajouté que "si le virus devient plus efficace... ... nous pourrions avoir besoin d'une plus grande utilisation du vaccin pour que la vie revienne à la normale", ce qui implique que les épidémies régulières qu'il prévoit pour les dix prochaines années seraient corrélées à une administration accrue du vaccin.

 

Les citations des développeurs du vaccin Oxford-AstraZeneca eux-mêmes indiquent également un avenir dominé par les pandémies et un désir de voir la crise se prolonger afin que le vaccin puisse être largement distribué. Mme Gilbert a déclaré au UK Independent en août qu'elle pensait que le COVID-19 n'était qu'un début et que les pandémies de type COVID deviendraient plus fréquentes dans un avenir proche. L'équipe de l'Institut Jenner semble si déterminée à créer le vaccin COVID qu'en juin, Hill a été cité par le Washington Post comme déclarant qu'il souhaitait que la pandémie reste, en disant : "Nous sommes dans la position bizarre de vouloir que le COVID reste, au moins pour un petit moment. Mais les cas diminuent." Il a également déclaré que son équipe était dans "une course contre la disparition du virus".

 

Les développeurs de vaccins, les "experts médicaux", les responsables gouvernementaux et les PDG des principaux fabricants de vaccins étant tous d'accord pour dire qu'un vaccin saisonnier COVID-19 est une issue de plus en plus probable, il convient d'envisager une éventuelle arrière-pensée concernant le modèle initial "à but non lucratif" utilisé par le Jenner Institute/Vaccitech et AstraZeneca pour leur vaccin COVID-19 commun.

 

Étant donné que les directives en matière de vaccins dans plusieurs pays stipulent que chaque dose du vaccin multidose COVID-19 doit être produite par le même fabricant que les doses précédentes, il en découle qu'en cas de besoin de variants périodiques du vaccin COVID-19, les personnes ayant initialement reçu le vaccin Oxford-AstraZeneca seraient probablement tenues de recevoir cette même "marque" de vaccin de manière saisonnière. En d'autres termes, les personnes ayant initialement reçu le vaccin Oxford-AstraZeneca devraient non seulement recevoir une seconde dose de la même "marque", mais continuer à recevoir cette même "marque" de vaccin chaque année. Notamment, aucune étude d'interaction n'a encore été menée sur les interactions entre les vaccins COVID-19 et d'autres médicaments ainsi que d'autres vaccins.

 

Si cela s'avère être le cas, l'équipe Oxford-Vaccitech-AstraZeneca aurait certainement intérêt à vouloir que son vaccin soit le plus utilisé la première année afin de garantir le plus grand marché pour les vaccins COVID-19 annuels suivants.

 

Cela pourrait être un motif possible derrière les efforts du partenariat Oxford-AstraZeneca "pour fournir le vaccin Oxford au monde entier" et pour fournir le vaccin "aux groupes les plus vulnérables au COVID-19". Ce vaccin a déjà été acheté, avant même l'approbation réglementaire, par des gouvernements du monde entier, notamment en Europe, en Amérique du Nord, en Australie et dans la plupart des pays d'Amérique latine.

 

Le Wellcome Trust

 

Adrian Hill occupe actuellement un poste de direction au Centre for Human Genomics du Wellcome Trust. Le Wellcome Trust est une organisation caritative scientifique basée à Londres, créée en 1936 grâce aux fonds du magnat de la pharmacie Henry Wellcome. Comme nous l'avons mentionné précédemment, Wellcome a fondé la société pharmaceutique qui est finalement devenue le géant de l'industrie GlaxoSmithKline. Aujourd'hui, le Wellcome Trust dispose d'une dotation de 25,9 milliards de dollars et s'engage dans des activités philanthropiques, notamment le financement d'essais cliniques et de recherches.

 

Hill est étroitement lié à Wellcome depuis des décennies. En 1994, il a participé à la création du Wellcome Centre for Human Genetics et a obtenu une bourse de recherche principale du Wellcome Trust l'année suivante. Il est devenu professeur de génétique humaine au Wellcome en 1996.

 

Le site web du Wellcome Centre for Human Genetics se vante de la cartographie génétique à grande échelle qu'il a réalisée en Afrique. Le centre publie également des articles qui explorent les dispositions génétiques en rapport avec la fertilité masculine et le "succès reproductif". Le croisement entre race et gènes est important dans les travaux du centre, puisqu'un groupe de travail entier du centre, le groupe Myers, se consacre à la cartographie des "impacts génétiques des événements migratoires". Le centre a également financé un article qui soutient que tant que l'eugénisme n'est pas coercitif, il s'agit d'une initiative politique acceptable. Le document pose la question suivante : "Le fait qu'une action ou une politique soit un cas d'eugénisme est-il nécessairement une raison de ne pas la faire ?" Selon la page de Hill sur le site du Wellcome Trust, la race et la génétique ont longtemps joué un rôle central dans son approche scientifique, et son groupe se concentre actuellement sur le rôle que la génétique joue dans les populations africaines en ce qui concerne la susceptibilité à des maladies infectieuses spécifiques.

 

Plus préoccupant encore, l'année dernière, Science Mag a rapporté que Wellcome a été accusé par un dénonciateur et par l'université du Cap, en Afrique du Sud, d'exploiter illégalement des centaines d'Africains en "commercialisant une puce génétique sans accords juridiques appropriés et sans le consentement des centaines d'Africains dont l'ADN donné a été utilisé pour développer la puce". Jantina de Vries, bioéthicienne à l'université de Cape Town, en Afrique du Sud, a déclaré au journal que c'était "clairement contraire à l'éthique". Depuis la controverse, d'autres institutions et peuples africains, comme le peuple autochtone Nama de Namibie, ont exigé que Wellcome restitue l'ADN qu'il a collecté.

 

Le Wellcome Centre cofinance régulièrement la recherche et le développement de vaccins et de méthodes de contrôle des naissances avec la Fondation Gates, une fondation qui s'engage activement et de manière avouée dans le contrôle de la population et de la reproduction en Afrique et en Asie du Sud, notamment en donnant la priorité à la distribution à grande échelle de contraceptifs injectables réversibles à action prolongée (LARC). Le Wellcome Trust a également financé directement des études visant à développer des méthodes pour "améliorer l'utilisation" des LARC dans des endroits tels que les zones rurales du Rwanda.

 

Comme l'a écrit le chercheur Jacob Levich dans l'Encyclopédie Palgrave de l'impérialisme et de l'anti-impérialisme, les LARC offrent aux femmes du Sud "le moins de choix possible, à part la stérilisation réelle". Certains LARC peuvent rendre les femmes infertiles pendant cinq ans et, comme l'affirme Levich, ils "laissent beaucoup plus de contrôle entre les mains des prestataires, et moins entre les mains des femmes, que les préservatifs, les contraceptifs oraux ou les méthodes traditionnelles".

 

Un exemple est le Norplant, un implant contraceptif fabriqué par Schering (maintenant Bayer) qui peut empêcher une grossesse pendant cinq ans. Il a été retiré du marché américain en 2002 après que plus de cinquante mille femmes ont intenté des procès contre la société et les médecins qui le prescrivaient. Soixante-dix de ces recours collectifs étaient liés à des effets secondaires tels que la dépression, des nausées extrêmes, la perte de cheveux, des kystes ovariens, des migraines et des saignements excessifs.

 

Légèrement modifié et rebaptisé Jadelle, ce médicament dangereux a été promu en Afrique par la Fondation Gates en collaboration avec USAID et EngenderHealth.

 

Anciennement appelée Sterilization League for Human Betterment, la mission originale d'EngenderHealth, inspirée de l'eugénisme racial, était d'"améliorer les souches biologiques de la race humaine". L'utilisation de Jadelle n'est pas approuvée par la FDA aux États-Unis.

 

Un autre LARC ayant fait l'objet d'un scandale est le Depo-Provera de Pfizer, un contraceptif injectable utilisé dans plusieurs pays africains et asiatiques. La Fondation Gates et USAID ont collaboré pour financer la distribution de ce médicament et l'introduire dans les systèmes de santé de pays tels que l'Ouganda, le Burkina Faso, le Nigeria, le Niger, le Sénégal, le Bangladesh et l'Inde.

 

Andrew Pollard, directeur de l'Oxford Vaccine Group, où se trouve l'Institut Jenner de Hill, est lié à la Fondation Gates. Son employeur, l'Université d'Oxford, a reçu 11 millions de dollars de la fondation pour la recherche sur le développement de vaccins au cours des trois dernières années et 208 millions de dollars de subventions au cours de la dernière décennie. En 2016, la Fondation Gates a donné 36 millions de dollars à une équipe de chercheurs qui était dirigée par Pollard pour le développement de vaccins. En outre, le laboratoire privé de Pollard est financé par la Fondation Gates. Compte tenu de ces éléments, il n'est pas surprenant que l'Alliance mondiale pour l'initiative vaccinale (GAVI), un partenariat public-privé fondé et actuellement financé par la Fondation Bill et Melinda Gates, prévoie de distribuer le vaccin Oxford-AstraZeneca COVID-19 aux pays à faible revenu, principalement africains et asiatiques, une fois qu'il sera approuvé.

 

 

L'Institut Galton : L'eugénisme au XXIe siècle

 

Le Wellcome Trust et Adrian Hill entretiennent tous deux une relation étroite avec la société eugénique la plus tristement célèbre d'Europe, la British Eugenics Society. La Société d'eugénisme a été rebaptisée Institut Galton en 1989, un nom qui rend hommage à Sir Francis Galton, le soi-disant père de l'eugénisme, un domaine qu'il décrivait souvent comme la "science de l'amélioration des souches raciales".

 

Dans le cas du Wellcome Trust, la bibliothèque du Trust est la gardienne des archives historiques de l'Eugenics Society. Lorsque le Wellcome Trust a créé son centre d'archives médicales contemporaines, la première archive organisationnelle qu'il a cherché à acquérir était, de manière révélatrice, celle de l'Eugenics Society-Galton Institute. Le site Web du Wellcome Trust décrit l'objectif initial de la Société d'eugénisme comme étant "d'améliorer la compréhension de l'hérédité par le public et d'influencer la parentalité en Grande-Bretagne, dans le but d'améliorer la biologie de la nation et d'atténuer les charges que les personnes génétiquement "inaptes" sont censées imposer à la société". Il est également indiqué que les intérêts des membres de la société "allaient de la biologie de l'hérédité, un sujet qui s'est développé rapidement au cours de la première moitié du 20e siècle, à la fourniture de méthodes de contrôle des naissances, d'insémination artificielle, de statistiques, d'éducation sexuelle et d'allocations familiales." Lesley Hall, archiviste principale de Wellcome, a qualifié Francis Galton, un eugéniste raciste, d'"éminent esprit universel de la fin du XIXe siècle" dans son analyse des archives de la Société d'eugénisme conservées à Wellcome.

 

Plusieurs postes de direction de l'ancienne British Eugenics Society, aujourd'hui le Galton Institute, sont occupés par des personnes qui ont travaillé à l'origine au Wellcome Trust, notamment le président du Galton Institute, Turi King. Elena Bochukova, membre actuel du Conseil de l'Institut Galton et conférencière à l'Institut Galton, travaillait auparavant sous la direction d'Adrian Hill au Wellcome Trust Centre for Human Genetics. Le chercheur principal en génétique du Galton Institute, Jess Buxton, était auparavant "chercheur en génétique" au Wellcome Trust, puis a poursuivi des recherches indépendantes financées par le Wellcome. Ses recherches, particulièrement axées sur la race, comprennent la création de la première carte de séquences génétiques d'un Nigérian autochtone. Par ailleurs, Adrian Hill lui-même est intervenu à l'Eugenics Society-Galton Institute lors de la célébration de leur 100e anniversaire en 2008.

 

Le Galton Institute publie ce qu'il appelle désormais la Galton Review, anciennement intitulée Eugenics Review, où divers membres de cette "société savante" autoproclamée publient des articles axés sur les questions de population, la génétique, la biologie de l'évolution et la fertilité.

 

Un regard sur les premiers numéros de l'Eugenics Review met en lumière les ambitions initiales de Galton. Dans le numéro de 1955 intitulé "L'immigration des personnes de couleur", un auteur pose la question suivante : "Qu'adviendra-t-il de notre caractère national, de notre qualité de travail, etc. au cours de quelques décennies si cette immigration de nègres et de négroïdes se poursuit sans contrôle ?" L'article se termine par un appel aux lecteurs pour qu'ils écrivent à leurs représentants parlementaires et leur demandent instamment qu'en vue de "l'amélioration ou de la détérioration de la race", quelque chose soit fait de toute urgence pour "contrôler l'afflux actuel d'Africains et d'autres négroïdes."

 

Aujourd'hui, il semble que l'Institut Galton continue de considérer l'immigration des minorités raciales dans les villes européennes comme une menace incontrôlée. David Coleman, professeur de démographie à Oxford et membre de l'institut, dirige une organisation anti-immigration et un groupe de défense appelé MigrationWatch, dont la mission est de préserver la culture européenne du Royaume-Uni en faisant pression sur le gouvernement pour qu'il endigue l'immigration légale et en publiant des données censées démontrer la menace biologique et culturelle d'une immigration croissante.

 

Un numéro de 1961 de l'Eugenics Review intitulé "The Impending Crisis" affirme que la prochaine conférence de l'institut a pour but "d'honorer Margaret Sanger" et décrit la crise démographique comme "la quantité menaçant la qualité".

 

Sanger, connue comme la "pionnière du mouvement américain de contrôle des naissances", était une fervente partisane de la promotion de "l'amélioration raciale" et l'architecte clé du Negro Project, qui, selon elle, "a été établi pour le bénéfice des personnes de couleur". Mais comme l'affirme Harriet Washington, chargée de l'éthique médicale à la Harvard Medical School, dans son livre Medical Apartheid, "le Negro Project cherchait à trouver le meilleur moyen de réduire la population noire en promouvant les principes eugéniques." Sanger était un membre américain de la British Eugenics Society.

 

Un autre membre précoce de l'Institut Galton était John Harvey Kellogg, homme d'affaires et eugéniste de premier plan. Kellogg a fondé la Race Betterment Foundation et a fait valoir que les immigrants et les non-Blancs porteraient atteinte au patrimoine génétique américain.

 

Un autre exemple est celui de Charles Davenport, un scientifique connu pour ses recherches en collaboration avec les eugénistes de l'Allemagne nazie et ses contributions aux politiques raciales brutales de l'Allemagne nazie, qui était vice-président de l'Institut Galton en 1931.

 

 

Un autre membre plus récent de l'Institut Galton était David Weatherall, dont l'Institut Weatherall de médecine moléculaire à Oxford porte le nom. Weatherall était membre de l'Institut Galton lorsque celui-ci s'appelait encore la Société Eugénique, et il l'est resté jusqu'à sa mort en 2018. Weatherall, qui a été fait chevalier par le monarque britannique en 1987 pour ses contributions à la science, s'est adressé à l'Institut Galton à de nombreuses reprises et a donné une conférence principale sur la génétique à l'institut en 2014, dont aucune transcription ou vidéo n'est disponible. En tant que professeur d'Oxford, Weatherall était le conseiller doctoral d'Adrian Hill et finalement son patron lorsque ce dernier a commencé à travailler à l'Institut Weatherall en menant des recherches sur l'immunogénicité en Afrique. Un élément clé du Weatherall Institute of Molecular Medicine depuis sa fondation est Walter Bodmer, ancien président du Galton Institute.

 

Si l'Institut Galton a tenté de se distancier de son passé de promotion de l'eugénisme racial par des efforts de relations publiques de surface, cela n'a pas empêché les membres de la famille du tristement célèbre raciste d'accéder à des postes de direction au sein de l'institut.

 

Le professeur émérite de génétique moléculaire du Galton Institute et l'un de ses dirigeants n'est autre que David J. Galton, dont l'ouvrage Eugenics : The Future of Human Life in the 21st Century. David Galton a écrit que le projet de cartographie du génome humain, imaginé à l'origine par l'ancien président de l'Institut Galton, Walter Bodmer, avait "énormément augmenté... les possibilités d'eugénisme... en raison du développement d'une technologie très puissante de manipulation de l'ADN".

 

Cette nouvelle "définition plus large de l'eugénisme", a déclaré Galton, "couvrirait les méthodes de régulation des effectifs de la population ainsi que l'amélioration de la qualité du génome par l'insémination artificielle sélective par donneur, la thérapie génique ou la manipulation génétique des cellules de la lignée germinale." En développant cette nouvelle définition, Galton reste neutre quant à "savoir si certaines méthodes doivent être rendues obligatoires par l'État, ou laissées entièrement au choix personnel de l'individu."

 

Qui reçoit les vaccins les plus sûrs ?

 

Compte tenu de l'implication des acteurs et des institutions à l'origine du vaccin Oxford-AstraZeneca (y compris le principal développeur) liés et connectés à des institutions qui ont contribué à l'essor et à la perpétuation de l'eugénisme racial, il est inquiétant que ce vaccin particulier soit présenté par les scientifiques et les médias comme le vaccin COVID-19 pour les pauvres et le Sud.

 

Le vaccin Oxford-AstraZeneca se vend à une fraction du coût de ses concurrents du COVID-19, soit entre 3 et 5 dollars par dose. Moderna et Pfizer coûtent respectivement 25 à 37 dollars et 20 dollars par dose. Comme l'a récemment rapporté CNN, le vaccin d'Oxford-AstraZeneca sera "beaucoup plus facile à transporter et à distribuer dans les pays en développement que ses concurrents", dont plusieurs nécessitent des chaînes d'approvisionnement frigorifiques compliquées et coûteuses. Lorsque la Fondation Thomson Reuters a demandé à plusieurs experts quel vaccin COVID-19 pourrait "atteindre les plus pauvres le plus rapidement", tous ont déclaré une préférence pour le candidat Oxford-AstraZeneca.

 

Il faut ajouter à cela le fait que de nombreux problèmes de sécurité entourent le vaccin. Récemment, le 21 novembre, un participant à l'essai clinique d'AstraZeneca, âgé de 40 ans et vivant en Inde, a envoyé un avis juridique au Serum Institute of India, alléguant que le vaccin lui avait causé une neuroencéphalopathie aiguë, c'est-à-dire des lésions cérébrales. Dans l'avis, le participant a déclaré qu'il "doit être indemnisé, au minimum, pour toutes les souffrances que lui et sa famille ont subies et sont susceptibles de subir à l'avenir".

 

En réponse, le Serum Institute a affirmé que les complications médicales du participant n'étaient pas liées à l'essai du vaccin et a déclaré qu'il engagerait une "action en justice" contre le participant atteint de lésions cérébrales pour avoir porté atteinte à la réputation de l'entreprise, demandant des dommages et intérêts d'un montant supérieur à 13 millions de dollars. "C'est la première fois que j'entends parler d'un sponsor qui menace un participant à un essai clinique", a déclaré Amar Jesani, rédacteur en chef de l'Indian Journal of Medical Ethics, à propos de cet incident. Le Serum Institute a reçu au moins 18,6 millions de dollars de la Fondation Bill et Melinda Gates et a conclu un accord avec AstraZeneca pour fabriquer un milliard de doses du vaccin.

 

Les autres fabricants choisis par Oxford-AstraZeneca pour produire leur vaccin ne sont pas non plus étrangers à la controverse. Par exemple, leur partenaire de fabrication en Chine, Shenzhen Kangtai Biological Products, est au centre de la controverse depuis des années, notamment après que dix-sept nourrissons soient morts à cause de son vaccin contre l'hépatite B en 2013. Le New York Times a cité Yanzhong Huang, chargé de mission pour la santé mondiale au Council on Foreign Relations, qui a déclaré : "Imaginez qu'un scandale similaire soit à nouveau signalé en Chine. . . . Cela ne va pas seulement miner la confiance de la société qui fabrique le vaccin, mais aussi la réputation d'AstraZeneca elle-même et de son vaccin."

 

Dans un autre exemple, le partenaire de fabrication choisi pour produire le vaccin aux États-Unis est la société Emergent Biosolutions, qui a fait l'objet d'un scandale et qui est liée aux attaques à l'anthrax de 2001. Emergent Biosolutions, précédemment connue sous le nom de BioPort, a une longue expérience de la vente et de la commercialisation en connaissance de cause de produits dont la sécurité et l'efficacité n'ont jamais été testées, notamment son vaccin contre l'anthrax BioThrax et son produit de biodéfense Trobigard. L'actuel responsable du contrôle de la qualité de l'unité de production principale d'Emergent Biosolutions aux États-Unis n'a aucune expertise dans le domaine de la fabrication pharmaceutique. Il s'agit plutôt d'un ancien haut responsable des services de renseignement militaire qui a opéré en Irak, en Afghanistan et ailleurs.

 

Les problèmes soulevés par leur décision de s'associer à des fabricants ayant de sombres antécédents en matière de sécurité des produits sont aggravés par les effets indésirables signalés dans les essais Oxford-AstraZeneca ainsi que par la manière dont ces essais ont été menés. En septembre, AstraZeneca a été contraint de suspendre l'essai de son vaccin expérimental COVID-19 après qu'une femme au Royaume-Uni a développé une "réaction grave présumée" qui, selon le New York Times, correspondait à une myélite transverse. La MT est un trouble neurologique caractérisé par une inflammation de la moelle épinière, un élément majeur du système nerveux central. Elle entraîne souvent une faiblesse des membres, des problèmes pour vider la vessie et une paralysie. Les patients peuvent devenir gravement handicapés et il n'existe actuellement aucun traitement efficace.

 

Les préoccupations concernant une association entre la MT et les vaccins sont bien établies. Une revue des études de cas publiées en 2009 a documenté trente-sept cas de MT associés à divers vaccins, dont l'hépatite B, la rougeole, les oreillons et la rubéole, la diphtérie, la coqueluche, le tétanos, entre autres, chez des nourrissons, des enfants et des adultes. Les chercheurs israéliens ont noté que "les associations de différents vaccins avec un seul phénomène auto-immune laissent entrevoir l'idée qu'un dénominateur commun à ces vaccins, tel qu'un adjuvant, pourrait déclencher ce syndrome." Même l'article du New York Times sur la pause de l'essai d'AstraZeneca fait état de "spéculations" antérieures selon lesquelles les vaccins pourraient être capables de déclencher la MT.

 

Holland, avocate générale de Children's Health Defense.

 

 

 

 

 

En juillet, un participant à l'essai d'Oxford-AstraZeneca a développé des symptômes de MT, et l'essai du vaccin a été interrompu à ce moment-là. Un "panel indépendant" a finalement conclu que la maladie n'était pas liée au vaccin, et l'essai a continué. Pourtant, comme l'a déclaré Nikolai Petrovsky de l'Université Flinders à l'Australian Broadcasting Corporation, ces groupes sont généralement composés de "biostatisticiens et de représentants médicaux de la société pharmaceutique qui sponsorise l'essai". Puis, en octobre, un participant à un essai au Brésil est décédé, bien que dans ce cas, AstraZeneca ait suggéré que la personne faisait partie du groupe témoin et n'avait donc pas reçu le vaccin COVID-19.

 

Selon Forbes, le vaccin d'AstraZeneca n'a pas réussi à stopper la propagation du coronavirus lors des essais sur les animaux. Les six singes auxquels on a injecté le vaccin COVID-19 d'AstraZeneca ont tous été infectés par la maladie après avoir été inoculés. Tous les singes ont été mis à mort, ce qui signifie que l'on ignore si ces singes auraient subi d'autres effets indésirables.

 

Une autre préoccupation est que les administrateurs de l'essai ont donné au groupe témoin (pour les essais sur l'homme et sur l'animal) le Nimenrix de Pfizer, un vaccin contre la méningite, plutôt qu'une solution saline, qui est considérée comme l'étalon-or des contrôles parce que les chercheurs peuvent être sûrs que la solution saline ne provoquera pas d'effets indésirables. L'utilisation du vaccin contre la méningite de Pfizer comme placebo de contrôle permet à AstraZeneca de minimiser toute réaction indésirable dans son groupe vacciné avec le COVID-19 en montrant que le groupe de contrôle a lui aussi subi des réactions indésirables. Le vaccin contre la méningite utilisé dans l'essai d'AstraZeneca est ce que j'appellerais un "faux-cabo", un faux contrôle dont le but réel est de déguiser ou de cacher les dommages subis par le groupe vacciné", a déclaré Mary Holland, avocate générale de Children's Health Defense.

 

L'eugénisme sous un autre nom

 

Malgré ces problèmes de sécurité et les scandales liés aux essais cliniques, près de 160 pays ont acheté le vaccin d'Oxford-AstraZeneca, et des articles suggèrent maintenant que l'Inde, le deuxième pays le plus peuplé de la planète, devrait approuver ce vaccin la semaine prochaine.

 

Comme nous l'expliquons ici, même si le vaccin est présenté comme "vital pour les pays à faible revenu", le projet Oxford-AstraZeneca n'est pas une simple entreprise philanthropique. Non seulement la fabrication du vaccin est motivé par le profit, mais le lien entre le chercheur principal et la British Eugenics Society ajoute un autre niveau d'examen justifié.

 

Pour ceux qui rencontrent des histoires d'eugénistes, il est courant de rejeter cette activité comme relevant de "théories du complot". Cependant, il est indéniable que plusieurs personnes et institutions de premier plan qui restent actives aujourd'hui ont des liens évidents avec la pensée eugéniste, qui n'était pas si taboue il y a seulement quelques décennies. Malheureusement, cela vaut pour les personnes et les institutions associées au vaccin COVID d'Oxford-AstraZeneca qui, comme le montre cet article, se plongent dans des études sur la science raciale et le contrôle de la population - principalement en Afrique - tout en travaillant en étroite collaboration avec des institutions qui ont des liens directs et de longue date avec le pire du mouvement eugéniste.

 

Comme l'a montré cette série, les points d'intersection entre la race et la campagne de vaccination COVID-19 aux Etats-Unis et à l'étranger suscitent de nombreuses inquiétudes, tant en public qu'en privé. La première partie de cette série a soulevé des questions sur le rôle du Johns Hopkins Center for Health Security dans l'élaboration des politiques, qui a suggéré que le gouvernement américain mette d'abord les vaccins COVID-19 à la disposition des minorités ethniques et des handicapés mentaux. La deuxième partie explique comment les agences de santé utilisent un programme créé par Palantir, une société qui a l'habitude d'aider les agences américaines à cibler les minorités ethniques par le biais de la politique d'immigration et de la police raciste, afin de répartir les vaccins COVID-19 aux Etats-Unis.

 

En outre, des plans sont en place pour exercer ce que l'on pourrait raisonnablement décrire comme une coercition économique afin de faire pression sur les gens pour qu'ils se fassent vacciner "volontairement". Cette coercition sera évidemment plus efficace sur les communautés pauvres et ouvrières, ce qui signifie que les communautés de couleur seront également touchées de manière disproportionnée.

 

Compte tenu de ces faits et de la nécessité d'examiner minutieusement la sécurité de l'option vaccinale "abordable" d'Oxford-AstraZeneca présentée ci-dessus, tout dommage causé par la politique d'attribution des vaccins aux États-Unis et ailleurs est susceptible d'affecter de manière disproportionnée les communautés pauvres, en particulier les communautés de couleur.

 

En tant que tel, le public devrait prendre toutes les affirmations relatives à la politique de déploiement des vaccins avec un grain de sel, même lorsqu'elles sont habillées d'un langage d'inclusion, de justice raciale et de préservation de la santé publique. Comme le cofondateur de l'American Eugenics Society (rebaptisée plus tard Society for the Study of Social Biology) Frederick Osborn l'a dit en 1968, "les objectifs eugéniques sont plus susceptibles d'être atteints sous un autre nom que l'eugénisme".

 

https://unlimitedhangout.com/2020/12/investigative-series/developers-of-oxford-astrazeneca-vaccine-tied-to-uk-eugenics-movement/

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Destruction intentionnelle de la vie sur Terre

7 Août 2021, 17:47pm

Publié par Ciel Voilé

Advances in Social Sciences Research Journal – Vol. 8, No. 7

Publication Date: July 25, 2021

DOI:10.14738/assrj.87.10597.

___________________________________________________________________________________________________________

Herndon, J. M., & Whiteside, M. (2021). Intentional Destruction of Life on Earth. Advances in Social Sciences Research Journal, 8(7). 295-309. Services for Science and Education – United Kingdom

 

Destruction intentionnelle de la vie sur Terre


J.Marvin Herndon, Ph.D.
Transdyne Corporation, San Diego, Californie, USA
Mark Whiteside, M.D., M.P.H.
Département de la santé de Floride, comté de Monroe, Key West Floride, États-Unis

 

https://journals.scholarpublishing.org/index.php/ASSRJ/article/view/10597

 


Le titre pourrait laisser penser qu'il s'agit d'un ouvrage de fiction sur une invasion venue de l'espace. Faux. Il s'agit d'un récit véridique d'enquêtes scientifiques et médicales médico-légales d'une activité manifeste quasi-mondiale, quasi quotidienne, dont la nature et l'intention réelles sont dissimulées dans le secret et la désinformation.


Toute personne ayant un lien profond avec la nature peut voir à quel point le monde naturel souffre. Fini les forêts et les collines verdoyantes, les ciels bleus et clairs, les nuits étoilées et la galaxie de la Voie lactée clairement visible. Les champs et les bords de route ne sont plus animés par la vie des insectes et chaque migration de printemps et d'automne apporte de moins en moins d'oiseaux. Un rocher renversé qui autrefois révélait une communauté entière d'organismes vivants est maintenant stérile. La chaleur de l'été est devenue insupportable, et vous pouvez sentir les brûlures du soleil sur votre peau. Les forêts disparaissent et les arbres restants affichent un feuillage clairsemé, avec des troncs et des branches brûlés et endommagés par le soleil et les incendies. Les récifs coralliens meurent partout, et les océans sont gravement pollués et remplis d'algues nocives. Il y a une désertification généralisée des terres et une pollution des eaux de surface de la planète. Quiconque lève les yeux peut voir les terribles traînées chimiques qui s'étendent en éventail pour créer un ciel laiteux bloquant l'éclat du soleil, doit réaliser que nous avons fait un véritable gâchis et que nous avons de sérieux problèmes.


Les plus âgés d'entre nous se souviennent peut-être avec tendresse des images passées d'une nature intacte. La richesse et la diversité de la vie sur Terre disparaissent à une vitesse incroyable. Au-delà de l'explosion de l'extinction des espèces, on assiste à un déclin massif des populations de plantes et d'animaux, avec des effets en cascade sur les écosystèmes nécessaires à la poursuite de notre existence [1]. Les activités humaines ont détruit plus des deux tiers de la vie sauvage mondiale au cours des cinquante dernières années seulement [2, 3]. et aucune fin n'est en vue. Peu de scientifiques ont trouvé le courage de tirer la sonnette d'alarme quant à notre situation désastreuse [4] et encore moins parmi eux réalisent que la crise environnementale actuelle est en grande partie délibérément provoquée.


En 1962, Rachel Carson [5] a publié « Printemps silencieux » pour alerter le public sur les effets environnementaux dévastateurs du pesticide DDT et d'autres produits chimiques toxiques, les fabricants mentant sur leur innocuité. « Printemps silencieux », largement lu en partie parce qu'il a été publié en feuilletons dans le New Yorker et sélectionné comme le livre du mois en octobre, a commencé à ouvrir les yeux du public sur les dangers que ces produits chimiques représentent pour l'environnement. Des citoyens inquiets sont devenus militants de l'environnement, certains formant des organisations pour éduquer, politiser et plaider pour un environnement propre et sain.

Pendant des décennies, les organisations environnementales ont récolté d'importantes sommes d'argent du public, ainsi que des fondations et des agences gouvernementales. Aujourd'hui, en 2021, non seulement l'environnement est incommensurablement dans un état pire qu'il ne l'était en 1962, mais nous sommes déjà entrés dans une phase incontestable d'effondrement de la biosphère. L'herbicide glyphosate [6] est le DDT du 21ème siècle, et ce n'est pas tout. A l'insu de tous, sauf de quelques citoyens éclairés, la dégradation et la ruine délibérée de l'environnement ont été institutionnalisées secrètement au niveau international. Même lorsqu'elles sont portées à l'attention des grands médias, des élus, des agences gouvernementales, des académies scientifiques nationales, des organisations environnementales, des éditeurs médicaux -
pour n'en citer que quelques-uns - ces organisations refusent de reconnaître toute preuve de l'attaque intentionnelle sur notre environnement mondial. Pire encore, il y a des tentatives délibérées de tromper le public sur les risques concomitants pour la santé posés par une telle activité délibérée et ruineuse.


Dans la même décennie que la publication de « Printemps silencieux », les humains se sont aventurés pour la première fois dans l'espace et ont vu la Terre comme une île dans le grand vide de l'espace. De cette vision est née la conscience que notre planète est la seule du système solaire capable d'accueillir la vie humaine. Au début des années 1970, James Lovelock et Lynn Margulis [7-9] ont coécrit l'hypothèse Gaïa, comparant la Terre à un biome composé d'un grand réseau de processus physiques et biologiques en interaction.
 


La vie sur Terre est périlleuse même sans activité humaine néfaste.Dans le passé géologique, il y a eu au moins cinq épisodes majeurs d'extinction d'espèces à grande échelle [10]. Les catastrophes naturelles représentent à elles seules de grands risques pour l'humanité, notamment les tremblements de terre, les éruptions volcaniques, les incendies de forêt, les tempêtes et les changements dans le champ magnétique terrestre qui peuvent avoir des répercussions sur la santé humaine, qui augmentent potentiellement les menaces de l'attaque du vent solaire. Néanmoins, les interactions par et entre une myriade de processus physiques et biologiques naturels ont rendu la vie possible sur cette planète depuis plusieurs milliards d'années. Cet équilibre complexe et délicat de la nature est aujourd'hui menacé par l'intervention de l'homme qui, si elle n'est pas contrôlée, conduira presque certainement à à l'extinction de l'Homo sapiens.

 

Le défi pour l'humanité est double : D'une part, les humains doivent devenir de bons gardiens de leur unique planète, en vivant et en travaillant de manière harmonieuse et non toxique avec leur environnement naturel. Beaucoup de choses ont été écrites à ce sujet, mais peu de progrès ont été réalisés [11-13]. A un autre niveau, les humains doivent prendre conscience et mettre un terme aux actions délibérées et secrètes qui visent à détruire l'environnement naturel à des fins politiques. C'est là l'objet de cette étude.

 

Depuis les années 1990 au moins, des citoyens inquiets ont commencé à remarquer des traînées blanches qui s'étendaient dans le ciel et l'assombrissaient, s'étalant rapidement pour ressembler à des cirrus avant de former une brume blanche. Au fil du temps, ces traînées blanches créées par les avions à réaction sont devenues plus fréquentes et ont été observées sur des régions géographiques plus vastes. En 2012, ces traînées étaient devenues un phénomène quasi quotidien et quasi mondial.(Figure 1)

Figure 1. D'après [14]. Traînées de particules délibérément dispersées par avion, dans le sens des aiguilles d'une montre, à partir du haut à gauche : San Diego, Californie (USA) ; Karnack (Egypte) ; Londres (Angleterre) ; Danby, Vermont (USA) ; Luxembourg (Luxembourg) ; Jaipur (Inde).

Figure 1. D'après [14]. Traînées de particules délibérément dispersées par avion, dans le sens des aiguilles d'une montre, à partir du haut à gauche : San Diego, Californie (USA) ; Karnack (Egypte) ; Londres (Angleterre) ; Danby, Vermont (USA) ; Luxembourg (Luxembourg) ; Jaipur (Inde).

Les citoyens concernés avaient de nombreuses questions : Quelles substances étaient pulvérisées par avion pour former les traînées ? Pourquoi faisait-on cela ? Quels étaient les risques pour la santé humaine et l'environnement ? Quelle était la justification légale ? Les enquêtes menées auprès des autorités ont inévitablement donné lieu à la même réponse. A savoir qu'il s'agit de traînées de condensation, des cristaux de glace inoffensifs provenant de l'humidité des gaz d'échappement des avions. [15]. C'est absurde ! Les traînées laissées par les avions, que certains appellent chemtrails, se comportent très différemment des traînées de condensation [16].

 

Les traînées de condensation de cristaux de glace ont tendance à persister pendant plus de quelques secondes (ou parfois quelques minutes) uniquement s'il y a beaucoup d'humidité dans les gaz d'échappement de l'avion et que l'atmosphère ambiante est à la fois froide et humide. En général, surtout avec les moteurs à réaction modernes, les cristaux de glace provenant des gaz d'échappement s'évaporent assez rapidement pour devenir un gaz invisible, ne restant pas sous forme de brume pour disperser la lumière du soleil.

Des observations supplémentaires et des mesures scientifiques démontrent de manière tout à fait concluante que les chemtrails ne sont pas des contrails [17].

 

Comme de nombreux citoyens concernés, nous voulions nous aussi des réponses sur le phénomène des chemtrails, et nous avons réalisé que nous recevions des informations fausses ou trompeuses de la part des différentes autorités. Nous étions très préoccupés par le fait que les communautés scientifiques et médicales des États-Unis, des nations du Commonwealth britannique, et de l'Union européenne aient fermé les yeux sur la pollution atmosphérique provoquée par les avions à réaction. Il est clair que quelque chose n'allait pas du tout et pouvait être dévastateur à l'échelle mondiale.

 

Entre-temps, des citoyens inquiets ont prélevé des échantillons d'eau de pluie après les pulvérisations par avion, analysés dans des laboratoires commerciaux et ont publié les résultats sur Internet. La plupart des individus n'ont demandé que des analyses d'aluminium, certains ont également demandé du baryum, tandis que quelques-uns ont demandé des analyses d'aluminium, de baryum et de strontium. En réponse à ces résultats, une explication largement publiée, vraisemblablement faite pour tromper ou induire en erreur les gens, est que les chemtrails seraient composés d'oxydes et/ou de sulfates d'aluminium, de baryum et de strontium, qui seraient des substances relativement inoffensives car elles seraient pratiquement insolubles dans l'eau. Cette explication, cependant, est contraire aux données analytiques évaluées par les pairs qui montrent que l'aluminium, le baryum et le strontium sont en fait dissous dans l'eau de pluie !

 

Une substance en poudre inconnue, pulvérisée secrètement par avion dans la basse atmosphère (troposphère), produit des chemtrails. Cette substance réagit avec l'humidité, provoquant l'extraction de certains de ses éléments chimiques dans l'eau atmosphérique. Mais quelle substance ? Pulvérisée par qui ? Et pourquoi ? De toute évidence, il fallait faire appel à la science médico-légale, c'est-à-dire au travail de détective scientifique.

 

Il est rapidement apparu que plusieurs millions de tonnes de cette substance inconnue étaient pulvérisées par avion dans l'atmosphère chaque année, mais il n'y avait pas de sources évidentes pour de telles quantités massives de polluants en aérosol, aucune installation de production évidente. Pourtant, quelque part, une production à grande échelle devait avoir lieu. La substance inconnue devait contenir de l'aluminium - trouvé à plusieurs reprises dans tous les échantillons d'eau de pluie prélevés - et n'était clairement pas un produit naturel, comme le sable du désert, parce que l'aluminium de la surface de la Terre est généralement combiné chimiquement, lié étroitement à l'oxygène et n'est pas un produit naturel et ne se dissout pas dans l'eau de pluie.

 

Dans toute la littérature scientifique universitaire, on trouve de nombreuses références à un déchet toxique produit par la combustion industrielle du charbon, appelé cendres volantes de charbon [18-20]. La production mondiale annuelle de cendres volantes de charbon déclarée en 2014 était de 130 millions de tonnes métriques [21]. Cela pourrait constituer un approvisionnement suffisant pour pulvériser par avion sous forme d'aérosols à l'échelle observée. Notamment, les expériences d'un laboratoire espagnol ont été menées en 2005, en mélangeant des cendres volantes de charbon à de l'eau distillée pendant 24 heures. Les résultats ont montré qu'au moins 38 éléments étaient partiellement dissous dans l'eau [22]. Les éléments dissous étaient l'aluminium, le baryum et le strontium. Bingo !

 

En réponse à un appel urgent lancé par des scientifiques indiens en 2015 [23] pour obtenir de l'aide afin de comprendre l'association géologique entre l'aluminium hautement mobile et la santé humaine dans la plaine alluviale du Gange, l'un d'entre nous (JMH) a montré [24] que des paires d'éléments affichées sur Internet, aluminium/baryum et strontium/baryum mesurées dans l'eau de pluie étaient similaires aux paires d'éléments correspondants extraits dans l'eau à partir de cendres volantes de charbon dans les expériences menées par des scientifiques espagnols. Publié en 2015, l'article de Current Science était le premier article de la littérature scientifique qui non seulement mentionnait les "chemtrails" mais fournissait les premières preuves scientifiques que les cendres volantes de charbon toxiques étaient la principale substance pulvérisée dans la basse atmosphère pour produire les chemtrails.

 

La meilleure preuve de l'exactitude de l'article de Current Science a peut-être été la demande immédiate de rétractation adressée non seulement à ce journal, mais peu après à deux journaux de santé publique qui avaient également examiné et publié les travaux ultérieurs de Herndon sur les effets néfastes sur la santé des cendres volantes de charbon délibérément aérosolisées. Dans ces derniers cas, les éditeurs américains ont rétracté les articles sans permettre à l'auteur de voir ou de répondre aux plaintes [25]. Un tel comportement est scandaleux. Seul environ 1 article scientifique sur 15 000 publiés et évalués par des pairs est rétracté, et ce uniquement après que les auteurs aient été confrontés aux allégations d'actes répréhensibles et qu'ils aient eu la possibilité de répondre aux plaintes et allégations d'actes répréhensibles et qu'ils ont eu la possibilité de se défendre.

 

Les efforts concertés visant à supprimer les publications mettant en garde contre les risques pour la santé publique des cendres volantes de charbon pulvérisées par avion étaient une indication claire de la nécessité d'agir, indiquent clairement que ceux qui commandent ou participent aux opérations de pulvérisation par avion connaissent les risques pour la santé et veulent les cacher.

 

Ce n'était qu'un début. Il restait encore beaucoup de travail de détective scientifique à faire. C'est à ce moment que les auteurs actuels (JMH et MW) ont commencé à collaborer pour rassembler les connaissances scientifiques et médicales dans une enquête et un cadre médico-légaux plus complets. Avec des associés occasionnels, nous avons commencé un certain nombre d'enquêtes scientifiques et médicales. Comme décrit dans cet article, les découvertes que nous avons faites fournissent des preuves irréfutables de la pollution massive de notre atmosphère par les cendres volantes de charbon et montrent comment elles modifient l'environnement physique de notre planète au détriment de toute forme de vie, notamment leurs effets dévastateurs sur pratiquement toutes les formes de vie, y compris humaine. De plus, nous avons découvert le plus grand secret de tous, le prétexte "légal" et la véritable intention de la modification de l'environnement.

 

Non contents d'utiliser les analyses d'eau de pluie postées sur Internet, nous avons personnellement collecté ou organisé la collecte et l'analyse commerciale d'échantillons d'eau de pluie et de neige après épandage. Les résultats d'analyse de 10 paires d'éléments sont présentés dans la figure 2, ainsi que les paires d'éléments affichées sur Internet mentionnées précédemment.

 

Figure 2. Extrait de [26], montrant la similitude entre des rapports d'éléments mesurés dans l'eau de pluie et la neige et la gamme des rapports d'éléments comparables mesurés dans le lixiviat de laboratoire des expériences avec l'eau [22, 27].

Figure 2. Extrait de [26], montrant la similitude entre des rapports d'éléments mesurés dans l'eau de pluie et la neige et la gamme des rapports d'éléments comparables mesurés dans le lixiviat de laboratoire des expériences avec l'eau [22, 27].

Des flocons de neige qui tombent piègent et transportent les particules dispersées dans la basse atmosphère. Le prélèvement d'un échantillon de neige, sa fonte puis son évaporation ont laissé un résidu qui a pu être analysé et comparé à la gamme de valeurs mesurées dans divers échantillons de cendres volantes de charbon (Figure 3) Dans certaines régions, comme le nord des États-Unis et du Canada, la moisissure de la neige se développe parfois sur l'herbe, sous la neige.

sous la neige. Lorsque la neige commence à fondre, les particules qu'elle a piégées sont libérées et peuvent être être piégées à nouveau sur la moisissure de neige sous-jacente. La figure 3 montre également les valeurs analytiques des paires d'éléments provenant d'une moisissure de neige et de particules dispersées par avion et recueillies à l'endroit où elles sont tombées sur une automobile à Encinitas, Californie (USA).

 

Figure 3. D'après [28], comparaison des résultats analytiques avec les gammes  d'échantillons de cendres volantes de charbon européens [22] et américains [27].

Figure 3. D'après [28], comparaison des résultats analytiques avec les gammes d'échantillons de cendres volantes de charbon européens [22] et américains [27].

La pollution de l'air, première cause mondiale de mortalité humaine liée à l'environnement, est un facteur important de maladies non transmissibles. Les cendres volantes de charbon en aérosols, une forme particulièrement dangereuse de pollution atmosphérique, se déversent de nombreuses cheminées en Inde et en Chine. Cependant, les citoyens des États-Unis, du Commonwealth britannique et de l'Union européenne vivent dans un paradis des fous. Ils ont été amenés à croire que les centrales thermiques au charbon de leurs pays piègent cette substance très toxique afin qu'elle ne sorte pas des cheminées et ne pollue pas directement l'air. Elles stockent les précipités de gaz d'échappement comme des déchets solides, mais ensuite les compagnies fournissent subrepticement les cendres volantes du charbon pour qu'elles soient secrètement dispersées par avion, pulvérisées dans l'air que les gens respirent, et profitent en fait de cette activité diabolique.

 

Les cendres volantes de charbon sont donc devenues un cauchemar environnemental toxique composé principalement de minuscules particules sphériques. (Figure 4) Ces particules contiennent des concentrations des éléments chimiques les plus dangereux du charbon, chacun d'entre eux pouvant nuire à l'environnement naturel de nombreuses manières. Par exemple : Les cendres volantes de charbon en aérosols contaminent l'environnement avec du mercure, l'un des

l'un des poisons les plus toxiques connus, qui remonte la chaîne alimentaire [29]. Le chlore des cendres volantes de charbon en aérosols, dispersé dans la haute atmosphère (stratosphère), détruit la

couche d'ozone de la Terre et expose toute la vie à la surface aux rayons ultraviolets mortels du soleil [30]. La contamination de l'environnement par les quantités massives de fer contenues dans les cendres volantes de charbon perturbe l'équilibre délicat du fer dans la nature et dans les organismes du biote exposé [31, 32].

 

Figure 4. D'après [16]. Section polie de cendres volantes de charbon noyée dans de l'époxy.

Figure 4. D'après [16]. Section polie de cendres volantes de charbon noyée dans de l'époxy.

Les particules ultrafines et les nanoparticules des cendres volantes de charbon en aérosols peuvent pénétrer dans la circulation sanguine par le bulbe nasal ou par les alvéoles des poumons. Ces particules peuvent s'accumuler dans le cerveau [33, 34] et dans le cœur [32]. Lorsqu'elles sont exposées aux fluides corporels, les cendres volantes de charbon peuvent libérer une multitude de  produits chimiques toxiques, notamment de l'aluminium neurotoxique et chimiquement mobile, ainsi que des substances cancérigènes telles que l'arsenic, le chrome hexavalent et le plomb. ainsi que les éléments radioactifs des cendres. Les éléments provenant des cendres volantes de charbon peuvent produire de nombreux effets toxiques, notamment une diminution des défenses de l'hôte, une inflammation des tissus, l'altération de l'équilibre redox cellulaire en faveur de l'oxydation et de la génotoxicité, ce qui peut conduire à des maladies pulmonaires chroniques [35], au cancer du poumon [36] et à des maladies neurodégénératives [33].

 

La pollution particulaire a des conséquences négatives multiples et graves sur la santé humaine et l'environnement. Plusieurs éléments de preuve indiquent aujourd'hui que la pollution particulaire est un cofacteur possible de la pandémie de COVID19, en particulier en tant que moyen potentiel de transport du virus ; en tant que cofacteur de l'augmentation de la susceptibilité et de la mortalité, et en diminuant la réponse immunitaire au virus SRAS-CoV-2 [14,37]. L'association de la pollution particulaire à la pandémie de COVID-19 est un signal d'alarme pour l'humanité, qui laisse présager une augmentation encore plus importante de la pollution mondiale par le biais d'une pollution aux particules fines dissimulée.

 

Les humains ne sont pas la seule forme de vie affectée par les cendres volantes de charbon dispersées par les avions à réaction. Les plantes, les arbres et même des forêts entières sont affectés par les chemtrails de cendres volantes de charbon de trois manières principales. Les plantes et les arbres sont endommagés par la sécheresse causée par les chemtrails et empoisonnés par l'aluminium chimiquement mobile ajouté à l'humidité atmosphérique. Ils sont également atteints par l'augmentation des niveaux de rayonnement solaire ultraviolet nocif causée par les chemtrails qui détruisent la couche d'ozone (laquelle protège la vie contre les dangereux rayons ultraviolets). Les vergers et les plantations agricoles sont affectés de manière similaire [38].

 

La manipulation de l'atmosphère à l'aide de cendres volantes de charbon en aérosols est un facteur essentiel de l'étendue et de la gravité des incendies de forêt en Californie et ailleurs; d'autres effets néfastes incluent l'exacerbation de la sécheresse, le dessèchement et le dépérissement des arbres et de la végétation, et le réchauffement artificiel de l'atmosphère et des régions de surface de la Terre [16]. La combustibilité des forêts est accrue par les particules aérosolisées absorbant l'humidité qui endommagent les couches cireuses des feuilles et des aiguilles, réduisant ainsi leur tolérance à la sécheresse. La manipulation du climat par les aérosols de cendres volantes de charbon ou chemtrails augmente considérablement le déclenchement potentiel des feux de forêt par la foudre. Les feux de forêt aggravent considérablement la pollution atmosphérique de base, en émettant des gaz nocifs et des composés organiques volatils, et ils concentrent et réémettent à la fois des éléments toxiques et des nucléides radioactifs sur de vastes zones. Le type de pollution atmosphérique créée par les incendies de forêt est associé à une augmentation de la mortalité toutes causes confondues dans le monde entier, avec un impact plus important sur les maladies respiratoires et cardiovasculaires.

 

Les espèces sauvages subissent un déclin précipité à l'échelle mondiale [1]. Les cendres volantes de charbon en aérosols sont un facteur important dans le déclin catastrophique des populations d'insectes [39], d'oiseaux [28], et de chauves-souris [40]. Les insectes peuvent ingérer et/ou accumuler des cendres volantes de charbon toxiques à la surface de leur corps. que les oiseaux et les chauves-souris insectivores consomment ensuite. Les chemtrails de cendres volantes de charbon perturbent l'environnement naturel, modifient les habitats et ont des effets néfastes sur les cycles de vie naturels, perturbant l'équilibre complexe et délicat qui rend la vie possible sur Terre. Même les milieux marins sont touchés; par exemple, les chemtrails provoquent des changements dans l'équilibre de la communauté planctonique mondiale en faveur d'algues nuisibles et de proliférations de cyanobactéries dans les eaux douces et salées [31].Et les coraux sont endommagés par l'augmentation des niveaux de rayonnement ultraviolet solaire [41].

 

Au fur et à mesure que nous découvrions les multiples conséquences des chemtrails de cendres volantes de charbon sur la santé humaine et l'environnement, une question lancinante demeurait : Pourquoi ? Pourquoi les pulvérisations ont-elles lieu, dans le monde entier, sans relâche, année après année ?

 

Les êtres humains sont des créatures opportunistes. Par exemple, beaucoup, sans sens moral, pourraient capitaliser sur les conséquences de l'impact des chemtrails sur l'environnement en achetant des terres agricoles de fermiers dont les récoltes ont été détruites par les chemtrails, ou des biens immobiliers détruits par des incendies de forêt dévastateurs. Il ne s'agit là que d'exemples de conséquences, et non de leur cause. Pourquoi des gens soi-disant civilisés se tairaient-ils et permettraient-ils la destruction massive de la santé humaine et de l'environnement ? Pourquoi cela se produit-il ? Sur quelle base légale sont-ils supposés s'appuyer ? Et, quelles entités sont responsables ? Ces questions ont également façonné notre enquête médico-légale et scientifique.

 

En 1968, au cours de la même décennie que la publication de « Printemps silencieux », le géophysicien Gordon J. F. MacDonald a publié un chapitre de livre intitulé "Comment dévaster l'environnement" [42] dans lequel il décrit comment une nation peut déclencher les forces de la nature pour mener une guerre environnementale contre une nation ennemie. Cinquante ans plus tard, nous avons revu cet ouvrage à la lumière des avancées technologiques réalisées depuis qu'il a été écrit [43].

 

L'attaque aérienne des chemtrails, avec tous ses secrets et sa désinformation, commençait à avoir un sens pervers : c'est une forme de guerre environnementale, apparemment menée au nom d'une future civilisation mondialisée, une nouvelle civilisation qui naîtrait des cendres d'une nouvelle forme de guerre mondiale. Nous avons découvert l'astucieux, mais trompeur et mensonger traité ENMOD des Nations Unies de 1978, un cheval de Troie légal conçu pour contraindre des nations souveraines à mener une guerre environnementale secrète contre leurs propres citoyens et contre les citoyens d'autres nations souveraines [44-46].

 

Comme nous l'avons révélé [45], la "Convention sur l'interdiction de l'utilisation des techniques de modification de l'environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles" de 1978 [ENMOD] contraint les nations signataires à compromettre fondamentalement leur propre souveraineté et à provoquer une destruction de l'agriculture, permanente et étendue. Au lieu d'interdire "l'utilisation hostile de techniques de modification de l'environnement", comme son titre le suggère, ENMOD oblige les nations signataires à participer à des activités "pacifiques" non spécifiées de modification de l'environnement, réalisées par des entités non spécifiées, dans des circonstances non spécifiées, sans limitation des dommages. Que le dommage soit infligé à l'agriculture d'une nation ou d'une région, son environnement, ou à la santé de ses citoyens n'a pas d'importance, du point de vue du droit international d'ENMOD, car son intention est "pacifique".

 

Quoi qu'il en soit, la modification de l'environnement à grande échelle ne peut être considérée comme "pacifique". Elle est au contraire fondamentalement hostile.

 

Le voile de la tromperie d'ENMOD a été percé en appliquant une connaissance précise du droit des contrats aux articles d'ENMOD [45]. L'activité très secrète du projet de modification environnementale "pacifique" a été découverte par un rejet accidentel de matériaux depuis un avion en 2016 [47, 48].

 

Une preuve supplémentaire que le réchauffement climatique est un objectif de modification de l'environnement (géo-ingénierie) a été obtenue le 14 février 2016 ou aux alentours de cette date, lorsqu'une substance huileuse et cendrée a été accidentellement dispersée par avion et est tombée sur sept résidences et véhicules à Harrison Township, Michigan (USA). Il s'est avéré que le "matériau largué par avion" consistait en un assemblage de matières végétales mélangées à des cendres volantes de charbon et à du sel. Le motif des éclaboussures sur les véhicules, le sol et les toits de Harrison Township ressemblait aux trous de cryoconite observés sur les glaciers en cours d'ablation. Le "matériel de largage" semble avoir été modelé d'après la cryoconite naturelle, les cendres volantes de charbon lui donnant la couleur gris foncé qui absorbe la lumière du soleil et fait fondre les glaciers et contribue au réchauffement de la planète [47-49]. (Figure 5)

 

Figure 5. D'après [48]. En haut à gauche : Distribution par dispersion aérienne de gouttes; en haut à droite : Distribution des trous de cryoconite dans le glacier; en bas à gauche : Cryoconite synthétique par largage ; en bas à droite : Cryoconite naturelle

Figure 5. D'après [48]. En haut à gauche : Distribution par dispersion aérienne de gouttes; en haut à droite : Distribution des trous de cryoconite dans le glacier; en bas à gauche : Cryoconite synthétique par largage ; en bas à droite : Cryoconite naturelle

Nous considérons comme une quasi-certitude que la très secrète "amélioration pacifique de l'environnement" ENMOD en fait, est même rendue obligatoire par le traité, et consiste à faire fondre la glace de l'Arctique pour ouvrir des voies maritimes au-dessus du cercle arctique. Modifier l'environnement naturel de la Terre à une telle échelle n'est pas "pacifique", que les objectifs soient commerciaux ou militaires. Nous estimons que la vraie nature de cette activité rendue obligatoire par les Nations Unies, est la conduite d'une guerre environnementale secrète contre les États-nations établis, y compris les États occidentaux, leurs citoyens et leur culture en faveur d'un régime réglementaire supranational et mondial dont la surveillance englobera une économie totalement mondialisée dominée par des multinationales. [44-46].

 

L'objectif d'ENMOD est de renverser l'autorité des États-nations individuels. Quelles sont les autres preuves de l'implication directe des Nations-Unies ? Depuis près de quatre décennies, les Nations Unies, par le biais de son Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du changement climatique a soutiré d'énormes sommes d'argent aux nations riches pour promouvoir l'idée que le changement climatique - le réchauffement de la planète - serait causé par le dioxyde de carbone anthropique produit par les combustibles fossiles.

L'objectif semble être de contrôler ou d'arrêter l'utilisation des combustibles fossiles en faveur des sources d'énergie renouvelables pour atténuer le réchauffement de la planète. Pourtant, à travers son traité ENMOD, l'Organisation des Nations Unies a simultanément contraint les pays signataires à des activités secrètes qui provoquent en fait le réchauffement de la planète [50-56].Ce doit être la plus grande fraude scientifique jamais perpétrée.

 

Un "prospectus", dans un journal médical ou de santé publique, est un court article qui fournit un avertissement précoce d'une crise sanitaire potentielle. Nous avons soumis un tel prospectus au "Bulletin de l'Organisation Mondiale de la Santé" des Nations-Unies, avertissant de la crise sanitaire potentielle causée par les cendres volantes de charbon en aérosols pulvérisées dans la basse atmosphère. Ce prospectus a été rejeté sans examen par le Bulletin de l'Organisation Mondiale de la Santé [57].

 

Le rejet immédiat de cet examen indique l'implication des Nations Unies dans l'activité de modification de l'environnement mondial. Il existe également d'autres mauvais acteurs. En 1968, MacDonald [42] a prédit avec précision la décision de l'armée d'utiliser l'environnement à des fins nationales. Il n'a cependant pas compris que les nations souveraines et leurs armées, les médias grand public, les géants de la technologie, les élites super riches et les agences gouvernementales complices, pouvaient et allaient être cooptés par un accord international secret pour mener une guerre de facto contre la planète Terre et ses processus biogéochimiques. Afin de saper l'autorité de ces états individuels pour protéger leur propre biote et leur environnement naturel, ENMOD les contraint à participer à une modification globale non divulguée.

A moins que et jusqu'à ce que les politiciens, les médias, les scientifiques, et d'autres dans notre société reconnaissent la vérité de ce qui se passe sous leurs yeux et exigent collectivement l'arrêt de ces activités technologiques secrètes, nous continuerons à foncer à toute vitesse vers la première extinction de masse causée par l'homme.

 

Les gens à travers le monde ont un besoin urgent de moyens pour se protéger et protéger leurs familles - et, en fait, toute vie sur Terre - contre les impitoyables assauts technologiques transnationaux. Le bien-être et l'existence même de l'humanité sont en jeu. Aux États-Unis, nos libertés personnelles et nos propriétés sont protégées des excès du gouvernement par la Déclaration des droits, mais les Américains et les autres membres de la communauté mondiale ne sont pas protégés contre les excès technologiques transnationaux. Aux États-Unis, nous avons désespérément besoin d'un ensemble de nouveaux amendements constitutionnels qui forment collectivement une seconde Déclaration des droits, une Déclaration des droits de la technologie, pour protéger nos libertés, et notre droit à l'air pur, à l'eau, au sol, à l'agriculture et à la nourriture, et pour protéger l'environnement planétaire d'une destruction et d'une altération délibérée par le biais d'une modification environnementale ou géo-ingénierie à grande échelle. Cette nouvelle Charte des droits technologiques pourrait servir de modèle à d'autres nations souveraines [58]. Rien de moins qu'un réveil culturel et qu'une nouvelle révolution scientifique, humanitaire et moralement fondée seront nécessaires pour que ce système de protections vis-à-vis de la technologie porte ses fruits.

 

Sans cela, nous sommes condamnés.

 

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Dangers humains et environnementaux posés par les particules dispersées dans la troposphère pour modifier le temps

8 Août 2016, 09:44am

Publié par Marvin Herndon

Dangers humains et environnementaux posés par les particules dispersées dans la troposphère pour modifier le temps

Article original de recherche

Frontiers in Public Heath, le 30 Juin 2016 | http://nuclearplanet.com/frontiers1.pdf

Image J. Marvin Herndon * Transdyne Corporation, San Diego, CA, USA

Traduction française : www.cielvoile.fr



Contexte: La perception des militaires américains d'une guerre nucléaire a conduit à d'innombrables expériences nucléaires contraires à l'éthique faites sur des individus sans méfiance, sans leur consentement éclairé. Comme on le montre ici, la perception des militaires américains d'une guerre du climat a conduit à exposer des millions d'individus sans méfiance aux cendres volantes de charbon toxiques, sans en informer le public, sans son consentement éclairé, et sans alertes sanitaires.

Méthodes: Trois méthodes ont été utilisées: (1) la comparaison de huit éléments analysés dans des échantillons d'eau de pluie, précipités, par hypothèse, des cendres volantes de charbon dispersées en aérosols, avec les lixiviats de cendres volantes de charbon obtenus en laboratoire; (2) la comparaison de 14 éléments analysés dans la poussière d'un filtre à air avec les éléments correspondants dans les cendres volantes de charbon; et (3) la comparaison de 23 éléments analysés dans des mailles fibreuses trouvées après la fonte de la neige avec les éléments correspondants dans les cendres volantes de charbon.

Résultats: Les ratios des éléments d'eau de pluie montrent que la matière particulaire aérienne a essentiellement les mêmes caractéristiques que le lixiviat de cendres volantes de charbon. Les ratios des éléments de la poussière de filtre à air apparaissent dans la même variation de compositions que les cendres volantes de charbon, de même que les ratios d'éléments de mailles fibreuses trouvées sur l'herbe après la fonte de la neige. Les mailles fibreuses fournissent une inférence directe entre la dispersion d'aérosols de cendres volantes de charbon par des avions et la combustion des avions.

Conclusion: Une preuve solide de l'exactitude de l'hypothèse: les cendres volantes de charbon sont probablement les particules d'aérosols dispersées dans la troposphère pour la géo-ingénierie, la modification du temps, et / ou l'altération du climat. Les associations documentées entre santé publique et pollution aux particules fines ≤ 2.5 µm sont également applicables aux aérosols de cendres volantes de charbon. La capacité des cendres volantes de charbon à libérer de l'aluminium sous une forme chimiquement mobile, en présence d'eau ou d'humidité du corps, a des conséquences humaines et environnementales potentiellement graves, dans une fourcette large, y compris des implications pour les maladies neurologiques et l'affaiblissement du biotope. La capacité des cendres volantes de charbon à libérer des métaux lourds et des éléments radioactifs lors de l'exposition à l'humidité du corps a des conséquences potentiellement graves pour la santé humaine, y compris le cancer, les maladies cardiovasculaires, le diabète, les maladies respiratoires, la réduction de la fertilité masculine, et l'accident vasculaire cérébral. Les données des mailles fibreuses rendent possibles la formation désastreuse pour l'environnement, de méthylmercure et d'hydrocarbures chloro-fluorés, destructeurs de la couche d'ozone, dans les gaz d'échappement des avions. Les implications géophysiques comprennent le réchauffement atmosphérique et des précipitations retardées.

Introduction


Dans une société civilisée et humanitaire, les responsabilités de santé publique impliquent de faire connaître les menaces d'origine naturelle ou anthropique. Les menaces d'origine naturelle, à grande échelle, existent depuis longtemps, sont généralement bien connues et ont fait l'objet de recherche scientifique. D'autre part, des menaces bien plus graves, causées par l'homme et pesant sur la santé publique, sont principalement apparues depuis la seconde guerre mondiale et sont généralement le résultat d'activités militaires délibérées, menées secrètement. La divulgation par des scientifiques de dangers pour la santé publique, causés par les militaires, a galvanisé l'indignation du public contre de telles activités dans le passé. Le projet Manhattan a donné lieu à la course aux armements nucléaires. Des expériences nucléaires non-éthiques ont été réalisées sur des individus sans méfiance, se comptant parfois par milliers, sans leur consentement éclairé. Par exemple, on a dit à des femmes enceintes qu'elles recevaient des vitamines, alors qu'on leur administrait du fer radioactif; on a injecté à des nouveaux-nés de l'iode-131 radioactif (1-4). Les explosions dans l'atmosphère de bombes nucléaires ont généralement été menées sans égard pour la santé des résidents sans méfiance, exposés au vent (5). Les essais nucléaires atmosphériques aux États-Unis ont pris fin suite à l'indignation du public qui apprenait les risques associés au strontium-90 absorbé par les enfants (6).

La technologie commerciale moderne de la modification du temps a commencé avec la découverte en 1946 du fait que l'ensemencement des nuages avec de l'iodure d'argent ou de la glace sèche, pouvait provoquer la pluie ou la neige dans bien des cas (7). Cette méthode de modification du temps est largement utilisée à des fins agricoles, commerciales ou autres. Les stations de ski l'utilisent fréquemment pour augmenter la probabilité de neige. Les compagnies d'assurance l'utilisent pour réduire leurs risques en garantissant certaines conditions météorologiques pour des projets commerciaux ou pour réduire au minimum les pertes potentielles causées par des tempêtes de grêle.

L'armée a longtemps rêvé de contrôler le temps à des fins stratégiques (8). Les applications militaires, au début de la modification du temps, avaient pour but de provoquer délibérément des précipitations à un moment précis et dans un lieu précis, par l'ensemencement des nuages ​​avec des substances telles que l'iodure d'argent ou la glace sèche. On a rapporté que les Etats-Unis ont ensemencé les nuages ​​pour faire tomber la pluie, avant qu'ils n'atteignent Cuba pour ruiner la récolte cubaine de canne à sucre (9). De 1967 à 1972, l'Opération Popeye a impliqué l'ensemencement des nuages ​​avec l'intention de prolonger la mousson sur la piste Ho Chi Minh pour empêcher le transport des troupes et du matériel pendant la guerre du Vietnam (8, 10). Le succès de ces activités de modification du climat a activé les intérêts ultérieurs du gouvernement et des militaires pour ces technologies, exprimés dans un document du sénat américain de 1978 (11) et décrits dans le document de l'US Air Force de 1996: " Le temps comme multiplicateur de force: contrôler le temps en 2025 (12) ".

Après la guerre du Vietnam, la modification du temps par les militaires est devenue une activité d'envergure mondiale, secrète, soutenue par une campagne de désinformation. Comme la guerre nucléaire qui la précédait, la modification du temps ou la géo-ingénierie a continué à être secrètement développée et mise en pratique, en particulier au cours des deux dernières décennies (13). Cette activité de géo-ingénierie présente des dangers de santé publique d'envergure mondiale en raison de la nature de la substance principale pulvérisée dans la basse atmosphère, la troposphère (14), où elle se mélange à l'air que nous respirons tous (15) (Figure 1). Non seulement le gouvernement cache les risques connus (et inconnus) pour la santé, mais aussi trompe le public sur son programme de géo-ingénierie et la nature des aérosols employés.

Néanmoins, grâce à l'application de la méthodologie de l'expertise scientifique, à la science, aux observations solides et au raisonnement scientifique, on peut discerner les aspects cruciaux des activités secrètes de pulvérisation de la troposphère. Pour le bien de l'humanité, pour la santé publique et pour leurs implications environnementales, les pulvérisations troposphériques secrètes en-cours menées à l'échelle planétaire sont divulguées ici afin de permettre le débat public, la recherche et la vérification.

Une dichotomie profonde existe entre la technologie, la pratique, la terminologie et la divulgation publique de la géo-ingénierie de telle manière que ses implications pour la santé publique sont réduites au minimum. La communauté universitaire décrit la géo-ingénierie comme une éventuelle intervention future dans la haute atmosphère (stratosphère) pour lutter contre le réchauffement climatique anthropique. La stratosphère est la région où on a observé que les gaz d'éruption volcanique provoquaient un refroidissement global. Il y a relativement peu de convection dans la stratosphère donc ces gaz d'éruption volcanique peuvent rester en suspension dans la stratosphère pendant un an ou plus (16). Des scientifiques universitaires postulent que dans la géo-ingénierie future des substances telles que l'acide sulfurique ou le dioxyde de titane seront pulvérisés dans la stratosphère afin de bloquer une partie de la lumière solaire incidente (17). Diverses méthodes ont été proposées pour disperser les substances de la géo-ingénierie dans la stratosphère, y compris bombarder des substances à partir d'armes à feu, les libérer à partir de ballons ou les disperser à partir d'avions à haute altitude (18). La stratosphère est la région où se situe la couche d'ozone qui nous protège des ultraviolets du rayonnement solaire (19). Dans la perception académique d'une géo-ingénierie hypothétique, les préoccupations de santé publique à propos de la géo-ingénierie sont aussi hypothétiques, quelque chose qui pourrait devenir important à l'avenir quand la géo-ingénierie stratosphérique serait mise en œuvre.


Contrairement à la présomption des géo-ingénieurs d'université, l'activité de géo-ingénierie gouvernementale/ militaire secrète s'est déployée au cours des 70 dernières années et s'est intensifiée depuis la fin de la guerre froide et la découverte du réchauffement climatique comme question de sécurité nationale (20). À l'heure actuelle, la géo-ingénierie se déroule dans la troposphère (basse atmosphère) dans un grand nombre de pays, dont les États-Unis, le Canada, les pays de l'Union européenne, l'Angleterre, l'Australie et la Nouvelle-Zélande (14). La communauté universitaire a hésité à reconnaître publiquement l'activité de géo-ingénierie militaire, bien qu'il existe des preuves d'observation abondantes de son existence (8, 14). Depuis le milieu des années 1990, il y a eu de nombreuses observations de pulvérisation aérienne de matière particulaire dans la troposphère. La figure 2 montre quelques exemples récents des traînées de particules. Cependant, ceci n'est qu' un échantillon minuscule. Il existe de nombreux sites internet consacrés à dénoncer les pulvérisations aériennes à un public mal informé (2-14).

Figure 1. Représentation schématique des couches de l'atmosphère à latitudes moyennes montrant les régions typiques de formations de nuages et la circulation des avions de passagers.

Figure 1. Représentation schématique des couches de l'atmosphère à latitudes moyennes montrant les régions typiques de formations de nuages et la circulation des avions de passagers.


La raison physique des pulvérisations aériennes de particules, est de contrôler le temps et le climat en inhibant la pluie. L'idée derrière l'ensemencement des nuages ​​est d'aider la nucléation de la pluie, de la glace ou de la neige alors que l'idée derrière les pulvérisations de particules en aérosols est d' inhiber la pluviométrie est d'interférer avec le processus de nucléation. La méthodologie est connue d'après les études de pollution (21) et est décrite par la NASA(15) : " La création normale de gouttelettes d'eau de pluie implique la condensation de vapeur d'eau sur des particules situées dans les nuages. Les gouttelettes finalement fusionnent ensemble pour former des gouttes assez grosses pour tomber au sol. Cependant, comme de plus en plus de particules de pollution (aérosols) entrent dans un nuage de pluie, la même quantité d'eau s'étale. Ces gouttelettes d'eau plus petites flottent dans l'air et ne peuvent fusionner et grossir assez pour former une goutte d'eau. Ainsi, le nuage donne moins de pluie au cours de sa durée de vie par rapport à un nuage de la même taille dans un environnement non pollué."

La solution du gouvernement et/ou des militaires pour empêcher la pluie de tomber est de disperser délibérément dans l'air un polluant dans la région où se forment les nuages pour interférer avec la nucléation des gouttelettes d'eau. L'ajout intentionnel de pollution particulaire dans l'air, non seulement inhibe la chute de la pluie, mais réchauffe aussi l'atmosphère (en absorbant l'énergie solaire) et limite les pertes de chaleur émises par la Terre. Par conséquent, la pollution particulaire crée une augmentation artificielle de la pression de l'air, ce qui peut bloquer le mouvement d'un front météorologique venant en sens inverse et empêcher la zone traitée de bénéficier par la suite des précipitations (22, 23). Une conséquence secondaire de la dispersion dans l'air de cette matière polluante sur la couche de glace peut la transformer en collecteur de chaleur solaire et participer à la fonte de la glace (24). Le préjudice pour les citoyens, les plantes et autres biotes ne vient pas seulement d'une diminution des précipitations, mais aussi de la toxicité de la substance polluante largement utilisée pour retarder la chute des pluies (25).

Figure 2. Images de traînées de particules de pollution délibérément produites. Photographies de Patrick Roddie, avec sa permission.

Figure 2. Images de traînées de particules de pollution délibérément produites. Photographies de Patrick Roddie, avec sa permission.

La composition de la matière particulaire dispersée dans l'air, souvent désignée du nom de «chemtrails» pour la distinguer des "contrails",ou traînées de condensation, est restée un secret bien gardé, et soutenu par une campagne de désinformation. Par exemple, en 2005, l'US Air Force a distribué un document intitulé " Des faits sur les Contrails", qui affirmait en partie: « Le canular des "chemtrails" a été étudié et réfuté par de nombreuses universités réputées et reconnues par l'Etat, des organisations scientifiques et des publications majeures dans les médias. Une chose telle qu' un «chemtrail» n'existe pas. Les contrails sont un phénomène naturel et sont inoffensifs. Ils ne posent aucun risque d'aucune sorte pour la santé ».

Mais comme le dit la célèbre phrase d'Abraham Lincoln : " Vous pouvez tromper tout le monde pendant un temps, et quelques-uns tout le temps, mais vous ne pouvez pas tromper tout le monde tout le temps." Le 11 février 2016, un projet de loi a été introduit à l'Assemblée Générale de l'Etat de Rhode Island (États-Unis) exigeant la divulgation publique et des enquêtes de santé et de sécurité sur toutes les activités de géo-ingénierie (26). Le 11 mars 2016, une proposition de recours collectif de masse pour délit envers l'environnement a été présentée à la Cour fédérale du Canada au nom de tous les canadiens affectés par les rejets aériens effectués directement ou indirectement par Sa Majesté la Reine et / ou ses représentants, dans l'espace aérien canadien, et supposés compromettre la fonction cognitive, contribuer à d'autres troubles neurologiques, à des dommages matériels et environnementaux, parmi beaucoup d'autres chefs d'accusation (27).

En apparence, les traînées d'avions persistantes ressemblent à des traînées de condensation ou contrails, qui sont des cristaux de glace formés à partir de gaz d'échappement des avions, mais il y a des différences profondes. Les traînées de condensation ne se forment que dans des environnements très humides, à des températures suffisamment basses pour la pression de vapeur saturante par rapport à la glace, et avec une humidité suffisante dans les gaz d'échappement. En outre, les cristaux de glace qui forment des contrails subliment, et disparaissent par évaporation pour former des gaz invisibles sur une échelle de temps allant de quelques secondes, quelques minutes (typique) à quelques heures (cas extrêmes de froid et d'humidité) (28, 29).

L'auteur vit à San Diego, en Californie (USA) depuis plus de 40 ans et en tant que scientifique expérimenté observe attentivement le ciel. Pendant de nombreuses années, avant les épandages aériens quasi-quotidiens, le ciel était d'une belle et riche couleur bleu azur profond, souvent sans nuages. Dans l'air chaud et sec de San Diego, les contrails émis par les avions sont un spectacle rare et disparaissent en quelques secondes ou quelques minutes, devenant des gaz invisibles. La figure 3 montre six images du ciel de San Diego qui illustrent non seulement la nature omniprésente des particules pulvérisées dans l'air mais fournissent clairement une preuve solide pour réfuter la déclaration publiée par l'US Air Force. Des vidéos d'avions pulvérisant des particules dans le ciel de San Diego sont référencées ici (16-20).

Figure 3. Les photographies du ciel au-dessus de San Diego, en Californie (USA) prises en 2014-2015. En haut à gauche : remarquez le ciel tout bleu, avec une petite quantité de brume blanche. En haut à droite: pulvérisation interrompue en plein vol, ce qui n'est pas caractéristique d'une traînée de condensation d'avion. Au milieu à gauche: des pulvérisations massives transforment le ciel bleu sans nuages, en une couverture nuageuse artificielle. Au milieu à droite: des pulvérisation massives ont changé le ciel bleu en couverture nuageuse brunâtre. En bas à gauche: de nombreuses traînées de particules différentes des traînées du trafic aérien normal. En bas à droite : noter la brume blanche provoquée par des particules de la taille du micron ou en-dessous, ce qui est inhabituel pour des traînées de condensation des avions, car les cristaux de glace disparaissent rapidement par évaporation. La bande bleue copiée à partir de l'image du haut à gauche montre le contraste. Avant le début des pulvérisations aériennes massives, le ciel de San Diego était généralement de la couleur de la bande bleue et souvent sans nuages. Le climat chaud et sec au-dessus de San Diego empêche la formation de contrails persistants, qui sont des cristaux de glace.

Figure 3. Les photographies du ciel au-dessus de San Diego, en Californie (USA) prises en 2014-2015. En haut à gauche : remarquez le ciel tout bleu, avec une petite quantité de brume blanche. En haut à droite: pulvérisation interrompue en plein vol, ce qui n'est pas caractéristique d'une traînée de condensation d'avion. Au milieu à gauche: des pulvérisations massives transforment le ciel bleu sans nuages, en une couverture nuageuse artificielle. Au milieu à droite: des pulvérisation massives ont changé le ciel bleu en couverture nuageuse brunâtre. En bas à gauche: de nombreuses traînées de particules différentes des traînées du trafic aérien normal. En bas à droite : noter la brume blanche provoquée par des particules de la taille du micron ou en-dessous, ce qui est inhabituel pour des traînées de condensation des avions, car les cristaux de glace disparaissent rapidement par évaporation. La bande bleue copiée à partir de l'image du haut à gauche montre le contraste. Avant le début des pulvérisations aériennes massives, le ciel de San Diego était généralement de la couleur de la bande bleue et souvent sans nuages. Le climat chaud et sec au-dessus de San Diego empêche la formation de contrails persistants, qui sont des cristaux de glace.


Toutes les photographies qui composent la figure 3 ont été prises pendant des jours sans nuages ​​naturels dans le ciel de San Diego. L'image en haut à gauche de la figure 3 montre le ciel bleu azur profond de San Diego, sans traces de pulvérisation de particules. L'image en haut à droite montre deux traînées qui se croisent dans la même région du ciel, donc dans le même environnement, mais l'une s'interrompt brusquement, tandis que l'autre se poursuit. Ce n'est pas le comportement normal de contrails, mais plutôt le fonctionnement des pulvérisations de particules interrompu, faute de réserves. Remarquez les « nuages » vaporeux à aspect de cirrus en arrière-plan. Peu après que la traînée de particules ait été pulvérisée, elle commence à diffuser créant d'abord des nuages artificiels à aspect de cirrus, qui s'étalent ensuite pour former une brume blanche dans le ciel. La photographie au milieu à gauche a été prise après des pulvérisations massives, pendant toute la journée, qui ont produit une couverture nuageuse artificielle. La photographie au milieu à droite montre des pulvérisations encore plus massives créant une couverture nuageuse artificielle brunâtre. L'image en bas à gauche montre plusieurs traînées de particules au-dessus d'un lieu connu à San Diego, elles ne sont pas caractéristiques des traînées émises par un trafic normal d'avions de ligne. L'image en bas à droite montre la brume blanche typique émise par les pulvérisations de particules. La bande bleue en haut de l'image, provient de la photo du haut à gauche, pour comparer avec un ciel de San Diego naturel et non pollué. Les contrails d'avions de ligne ne produisent pas de brume blanche dans le ciel de San Diego.

Même sans connaître la nature spécifique des particules qui sont pulvérisées dans l'air que nous respirons, nous pouvons prévoir les risques majeurs potentiels néfastes pour la santé dus aux pulvérisations aériennes de particules, car elles ont la même taille que les particules liées à la pollution de l'air dont les effets sur la santé ont été largement étudiés (30). Les particules d'aérosols qui restent dans l'atmosphère pendant une période de temps avant de se déposer, doivent être de la taille d'un micron (µm) ou de taille submicronique (31). Comme on le sait, à partir d'études épidémiologiques, des particules de pollution ayant des diamètres similaires, ≤ 2.5 µm, appelées PM 2.5, sont associées à une augmentation des hospitalisations (32), la morbidité et la mortalité prématurée (33-35), un risque de maladie cardio-vasculaire (36) et de cancer du poumon (37), d'inflammation des poumons et de diabète (38), un risque d'accident vasculaire cérébral (39), de maladie d'Alzheimer (40, 41), d'apparition d'asthme (42), de trouble de la fonction rénale chez les hommes âgés (43), d'un faible poids à la naissance (44), et de réduction de la fertilité masculine (45).

L'auteur a publié un premier article dans une revue scientifique à comité de lecture, qui a fourni les premières preuves que la substance principale pulvérisée pour la géo-ingénierie militaire troposphérique consistait en des cendres volantes issues de la combustion du charbon (14). Le but du présent article est de fournir des preuves scientifiques beaucoup plus pertinentes que les particules de matière diffusées en aérosols sont des cendres volantes de charbon, et d'offrir un meilleur aperçu des risques considérables pour la santé publique ainsi que de l'impact environnemental de ce polluant aérien multi-composant.

La combustion du charbon industriel produit quatre types de déchets: (1) des mâchefers lourds qui se déposent (2), des poussières de taille de l'ordre du micron et submicroniques, appelées cendres volantes de charbon qui sortiraient par la cheminée si elles n'étaient pas capturées par des électrofiltres et stockées comme c'est actuellement obligatoire dans les pays occidentaux (46, 47) ; (3) les scories sous chaudière ; et (4) des produits issus du traitement de désulfuration des fumées (gypse). Parmi ceux-ci, les cendres volantes de charbon sont de loin la substance la plus toxique. Lorsque le charbon s'est formé, il a piégé une grande variété d'éléments toxiques. Une grande partie des composants toxiques du charbon est libérée lors de la combustion et incorporée dans les cendres volantes de charbon, ce qui fait de ces cendres volantes de charbon un cauchemar toxique pouvant libérer de nombreuses toxines quand exposées à l'eau (48). Ces toxines comprennent de l'aluminium sous une forme chimiquement mobile, impliqué dans les maladies neurologiques humaines (49-51) et l'affaiblissement du biotope (52, 53). « La mortalité massive des forêts et la survie réduite ou les troubles de reproduction des invertébrés aquatiques, des poissons et des amphibiens ont été directement reliés à la toxicité de l'aluminium. Des effets indirects sur les oiseaux et les mammifères ont également été identifiés (54). »

Les cendres volantes de charbon sont un résidu majeur parmi les déchets industriels des centrales électriques fonctionnant au charbon dans les pays occidentaux. En particulier, les cendres volantes de charbon possèdent la distribution granulométrique appropriée pour une pulvérisation sous forme d'aérosols troposphériques, ou encore il est relativement simple de séparer à nouveau un composant extra-fin en utilisant des séparateurs cycloniques. D'énormes quantités de cendres volantes de charbon sont facilement disponibles dans le monde entier à un coût extrêmement faible. Par ailleurs, le piégeage et le traitement électrostatique en usine, ainsi que les infrastructures de transport, sont en place et généralement hors de la vue du public. L'auteur propose l'hypothèse suivante : les cendres volantes de charbon sont probablement la principale source de particules pulvérisées en aérosols dans la troposphère par des avions pour la géo-ingénierie, la modification du temps, et/ou l'altération du climat.

Les objectifs de recherche de l'auteur sont au nombre de quatre : (1) fournir d'autres preuves scientifiques quant à l'exactitude de l'hypothèse que les cendres volantes de charbon sont probablement les particules d'aérosols pulvérisées dans la troposphère pour la géo-ingénierie, la modification météorologique, et/ou l'altération du climat; (2) révéler quelques-unes des conséquences néfastes pour la santé publique humaine ainsi que pour l'environnement et le biotope de la Terre ; (3) fournir la preuve que, en plus d'être directement rejetées dans l'atmosphère, les cendres volantes de charbon peuvent être introduites dans les produits de combustion du carburant d'avion avant d'être dispersées; et (4) suggérer que les hydrocarbures chloro-fluorés qui détruisent la couche d'ozone, ainsi que le méthylmercure toxique (CH3Hg) peuvent être produits lorsque des cendres volantes de charbon sont exposées aux produits de combustion des avions.


Matériaux et méthodes


La méthodologie est triple: (1) comparer les ratios d'éléments analysés dans l'eau de pluie aux ratios d'éléments correspondants analysés dans les lixiviats en laboratoire de cendres volantes de charbon (48, 55); (2) comparer les ratios d'éléments analysés dans la poussière collectée à l'extérieur de filtres à air HEPA, avec les ratios d'éléments correspondants analysés dans des échantillons de cendres volantes de charbon; et (3) comparer les ratios d'éléments analysés dans les mailles fibreuses recueillies sur l'herbe après la fonte de la neige, avec les ratios d'éléments correspondants analysés dans des échantillons de cendres volantes de charbon.

Depuis au moins 2002, des personnes ont recueilli de l'eau de pluie après pulvérisations aériennes pour la faire analyser chimiquement (voir le texte de la note 2-5). Habituellement, seules des analyses d'aluminium ont été demandées, mais parfois aussi le baryum, et plus rarement le strontium ont également été inclus dans la demande d'analyse. En 2015, l'auteur a publié le premier document montrant que pour l'analyse de ces trois éléments dans l'eau de pluie, les rapports Al / Ba et Sr / Ba étaient comparables aux mêmes ratios calculés d'analyses de lixiviats de laboratoire de cendres volantes de charbon (14). Ici, l'auteur compare trois analyses d'eau de pluie de San Diego (USA) après pulvérisation aérienne pour Al / Ba, Sr / Ba, Fe / Ba, Ca / Br, S / Br, Mg / Br et B / Br avec les ratios correspondants de lixiviats de cendres volantes de charbon.

Depuis au moins 2008, des personnes ont recueilli des particules atmosphériques sur des filtres à air HEPA et ont fait analyser cette poussière. Ici, l'auteur compare les résultats d'analyse à partir de quatre échantillons, exprimés en ratios d'éléments par rapport au baryum, avec les ratios correspondants des analyses de cendres volantes de charbon.

Occasionnellement on observe des fibres, parfois appelées « toiles d'araignée », qui tombent du ciel, balayées par le vent, prises au piège dans la végétation, et sur le terrain; 21-24 certains observateurs ont émis l'hypothèse qu'elles proviendraient des pulvérisations aériennes. Récemment, ces fibres ont été trouvées sur l'herbe après la fonte de la neige, recueillies et analysées. Ici, l'auteur compare les résultats d'analyse, exprimés en ratios par rapport au baryum, aux ratios correspondants des analyses des cendres volantes de charbon.


Résultats


Dans les pays occidentaux, les cendres volantes de charbon sont piégées et confinées, car elles contiennent de nombreux éléments toxiques tels que l'aluminium, l'arsenic, le baryum, le cadmium, le chrome, le plomb, le mercure, le sélénium, le thorium et l'uranium, entre autres. Ces éléments sont facilement libérés au contact de l'eau. Moreno et al. (48) ont mené des expériences de lixiviation sur 23 échantillons différents de cendres volantes de charbon provenant de sources européennes (Espagne, Pays-Bas, l'Italie et la Grèce), dont ils ont analysé 33 éléments. Ils précipitaient 100 g de chaque échantillon, dans 1 litre d'eau distillée, dans une bouteille de 2 litres, pendant 24 heures. Ils ont ensuite analysé la solution de lixiviat filtrée de chaque échantillon pour 38 éléments. La raison du plus grand nombre d'analyses de lixiviats (38 au lieu de 33) n'a pas été expliquée. Ces données fournissent la première mesure standard pour comparer les résultats des analyses d'eau de pluie, de poussière de filtre à air HEPA, et de mailles fibreuses comme rapportées ici. Une comparaison supplémentaire est faite sur la composition et les valeurs de lixiviat de 12 échantillons de cendres volantes de charbon américaines, dont dix en provenance du bassin de l'Illinois (55).

Figure 4. Analyse des ratios d'éléments dans les échantillons d'eau de pluie de San Diego collectés en février, mai et décembre 2015, présentés pour comparaison avec l'étendue des ratios correspondants des éléments et des valeurs moyennes de 23 lixiviats en laboratoire de cendres volantes de charbon européen (48) et 12 lixiviats de cendres volantes de charbon américain (55). Les ratios sur Internet publiés précédemment (14) d'éléments dans l'eau de pluie Al / Ba et Sr / Ba sont présentés à titre de comparaison.

Figure 4. Analyse des ratios d'éléments dans les échantillons d'eau de pluie de San Diego collectés en février, mai et décembre 2015, présentés pour comparaison avec l'étendue des ratios correspondants des éléments et des valeurs moyennes de 23 lixiviats en laboratoire de cendres volantes de charbon européen (48) et 12 lixiviats de cendres volantes de charbon américain (55). Les ratios sur Internet publiés précédemment (14) d'éléments dans l'eau de pluie Al / Ba et Sr / Ba sont présentés à titre de comparaison.

Eau de pluie


Avant les pulvérisations aériennes quasi-quotidiennes à San Diego, en Californie (Etats-Unis), où l'auteur réside depuis plus de 40 ans, de nombreux jours dans l'année, le ciel était bleu, sans nuages ​​et sans la brume blanche, conséquence des pulvérisations aériennes; maintenant, les effets visuels des pulvérisations sont clairement évidents (Figure 3). L'auteur a recueilli des échantillons d'eau de pluie à San Diego en février, mai et décembre 2015 pour les analyser. San Diego est idéal pour la collecte d'échantillons d'eau de pluie car il n'y a pas de centrales à charbon à proximité ou sur le trajet des vents dominants et il n'y a pas d'industries lourdes pour provoquer une pollution atmosphérique à San Diego. Le temps de séjour des particules de cheminée dans la troposphère, quelques jours au plus, est trop court pour que ces cendres volantes de charbon arrivent de Chine via le transport "bas", qui prend plus de 10 jours (56). En outre, la densité des particules aériennes observées, est parfois suffisante pour provoquer une couverture nuageuse artificielle (figure 3), créée par les activités de pulvérisations des avions, et ne sont pas présentes en l'absence de ces pulvérisations.

Les échantillons d'eau de pluie ont été envoyés à deux laboratoires certifiés de l'Etat de Californie Babcock Inc., et Basic. Leurs résultats d'analyses, au spectromètre de masse, étaient identiques, dans un intervalle de 2 à 10%. La figure 4 montre les ratios des éléments d'analyses de l'eau de pluie de San Diego pour les comparer aux ratios correspondants des valeurs moyennes et aux variations de Moreno et al. (48), résultats de lixiviation en laboratoire pour 23 échantillons européens de cendres volantes de charbon et la variation du lixiviat de cendres volantes de charbon américaines de Suloway et al. (55). Les échantillons européens de cendres volantes de charbon ont été précipités avec de l'eau distillée (pH = 7,00). Après lixiviation, pendant 24 h, les pH des lixiviats en laboratoire de 23 éléments variaient de 6,40 à 12,54. Les données comparables ne sont pas disponibles pour les expériences de lixiviation américaines car le pH était ajusté en permanence pendant l'expérience pour maintenir une valeur de 5,00. La figure 4 comprend également, pour comparaison, les résultats d'analyses des eaux de pluie publiés sur internet (voir le texte de la note 2-5) par l'auteur (14, 57). Le traçage des données est présenté dans les tableaux 1-3.


On observe des écarts de variations dans les compositions de cendres volantes de charbon (48, 55). Ces variations ne proviennent pas seulement des différences de type de charbon, dans les compositions chimiques et constituants minéraux du charbon provenant des divers endroits, mais proviennent également de caractéristiques des cendres volantes, des configurations de la chaudière et des conditions physiques pendant le processus de combustion. En dépit de ces facteurs variables, il existe néanmoins une cohérence dans la composition globale. Sans surprise, la cohérence de la composition globale semble être le cas pour les compositions de lixiviats à partir d'échantillons de cendres volantes de charbon de différents endroits. Remarquez figure 4 que les ratios d'éléments d'eau de pluie publiés sur Internet Al / Ba (14), calculés sur des échantillons provenant des États-Unis, de France et de Nouvelle-Zélande, sont tout à fait identiques à ceux des eaux de pluie de San Diego Al / Ba et couvrent un écart inférieur à celui des 23 échantillons européens de cendres volantes de charbon. Une observation similaire peut être faite en ce qui concerne les ratios d'éléments d'eau de pluie publiés Sr / Ba. En effet, chacun des sept ratios d'éléments d'eau de pluie de San Diego des trois ensembles de données est remarquablement similaire à la moyenne des lixiviats européens correspondants et à leur variation. Des échantillons d'eau de pluie sans pulvérisation aérienne préalable seraient souhaitables comme standards, mais, l'omniprésence quasi-quotidienne de ces pulvérisations aériennes empêche l'obtention de tels échantillons.

Les données de la figure 4 prouvent-elles que la substance pulvérisée dans l'air est bien de la cendre volante de charbon ? Pas nécessairement, car la preuve irréfutable est difficile à obtenir, sauf en mathématiques. Mais les données de la figure 4 montrent bien qu'une substance dans l'atmosphère peut être filtrée dans l'eau de pluie et que cette substance possède huit éléments caractéristiques de lixiviation semblables à ceux des cendres volantes de charbon.

Tableau 1. Données d'analyses du spectromètre de masse pour les échantillons d'eau de pluie à San Diego.

Tableau 2. Données d'analyses au spectromètre de masse des échantillons d'eau de pluie, publiées sur internet et regroupées figure 4.

Tableau 3. Données d'analyses au spectromètre de masse pour les poussières de filtre HEPA et les fibres.

La poussière des filtres à air HEPA


Des citoyens des pays occidentaux, préoccupés par les particules des pulvérisations qu'ils observent dans la troposphère, ont collectés de nombreux échantillons autres que de l'eau de pluie. Dans certains cas, comme pour les échantillons de sol, il est trop compliqué de tirer des conclusions significatives. Dans de nombreux cas, cependant, trop peu d'éléments ont été commandés dans les analyses. Des personnes à Los Angeles et Montebello, en Californie (USA) en 2011, et à Phoenix, Arizona (USA) en 2008 et 2009 furent des exceptions. Pendant les périodes d'épandages aériens intensifs, ces citoyens ont fait fonctionner leurs filtres à air HEPA durant 3 mois, pour capturer la poussière dans le filtre à air et ils ont fait analysé 14 éléments chimiques par des laboratoires certifiés par l'État. Les résultats de laboratoire ont été publiés sur Internet, mais n'ont conduit à aucune conclusion immédiate autre que la présence évidente d'un certain nombre d'éléments toxiques.

Ayant fait l'expérience de comparer des analyses d'eau de pluie après pulvérisations aériennes et des précipités en laboratoire de cendres volantes de charbon, l'auteur a décidé de comparer les analyses de poussière du filtre à air HEPA aux analyses correspondantes d'échantillons de cendres volantes de charbon non filtrées (48, 55, 57). Comme dans le cas de San Diego, il n'y avait pas de combustion de centrales à charbon ni d'industries lourdes polluantes à proximité ou sur le trajet des vents dominants pour Los Angeles, Montebello, et Phoenix, où les collectes d'échantillons ont eu lieu. Comme indiqué ci-dessus, le temps de séjour des particules de cheminée dans la troposphère, quelques jours au plus, est trop court pour que les cendres volantes de charbon arrivent de Chine par transport "bas", qui prend plus de 10 jours (56).

La figure 5 montre les comparaisons des quatre séries d'analyses de poussière de filtre à air HEPA , normalisées au baryum, avec les ratios correspondants de la moyenne et de la variation des compositions européennes de cendres volantes de charbon de Moreno et al. (48) et d'une suite de 12 étudiés par Suloway et al. (55) dont dix du bassin de l'Illinois (États-Unis), l'un du Nord Dakota (USA) et un du Minnesota (Etats-Unis). Même si les cendres volantes de charbon varient dans leur composition selon leur emplacement, les données présentées dans la figure 5 montrent la grande similitude entre les quatre échantillons de poussière du filtre HEPA et la variation des compositions des cendres volantes de charbon. Cette grande similitude est une preuve supplémentaire à l'appui de l'hypothèse suivante: les cendres volantes de charbon sont probablement les principales particules d'aérosols pulvérisées dans la troposphère par des avions pour la géo-ingénierie, la modification du temps, et/ou l'altération du climat.

Il s'en suit logiquement, que si les centres volantes de charbon pulvérisées en aérosols sont à l'origine du contenu de l'eau de pluie en aluminium,baryum, strontium, et d'autre éléments filtrés, comme les preuves le montrent ( figure 4), alors les cendres volantes de charbon se retrouvent piégées dans les filtres à air HEPA( figure 5), car l'air troposphérique aux altitudes de pulvérisation se mélange à l'air que nous respirons (15).

Figure 5. Analyse des ratios d'éléments de poussière collectée sur quatre filtres à air à haut rendement pour comparaison avec la variation des ratios d'éléments correspondants et des valeurs moyennes pour les 23 échantillons non filtrés de cendres volantes de charbon européen (48) et variations des ratios d'éléments de 12 échantillons de cendres volantes de charbon américain (55).

Figure 5. Analyse des ratios d'éléments de poussière collectée sur quatre filtres à air à haut rendement pour comparaison avec la variation des ratios d'éléments correspondants et des valeurs moyennes pour les 23 échantillons non filtrés de cendres volantes de charbon européen (48) et variations des ratios d'éléments de 12 échantillons de cendres volantes de charbon américain (55).

Fibres trouvées après la fonte de la neige

Durant l'été 2015, un citoyen de Laona, Wisconsin (USA) a remarqué qu'aussitôt après que la neige ait fondu, des mailles fibreuses, au départ flexibles, recouvraient l'herbe au sol (figure 6). Après séchage pendant une période de 24 heures, les mailles fibreuses blanches sont devenues cassantes; par la suite l'ajout d'eau les a transformées en une masse gélatineuse noire. Des échantillons de mailles fibreuses blanches et cassantes ont été analysés au spectromètre de masse par les services de Northern Lake Inc., à Crandon, Wisconsin. Sur les 26 éléments détectés et mesurés dans les mailles fibreuses, 23 avaient été mesurés par Moreno et al. (48) dans les échantillons européens non-filtrés de cendres volantes de charbon. Parmi les 22 ratios d'éléments relatifs au baryum, commun à chaque série de données, 11 étaient communs aux ratios d'éléments mesurés sur la poussière de filtre à air HEPA, et sont présentés avec ces ratios sur la figure 5. Etant donné la variabilité de la composition des cendres volantes de charbon de différentes sources, il est raisonnable de conclure que les ratios d'éléments des mailles fibreuses pour l'essentiel sont identiques aux ratios des données mesurées sur les filtres à air HEPA, lesquels sont identiques aux ratios mesurés sur les cendres volantes de charbon non filtrées. La figure 7 est une comparaison des 11 ratios restant de mailles fibreuses avec les ratios correspondants à la moyenne et à la variation des compositions de cendres volantes de charbon européen de Moreno et al.(48) et de la variation des compositions de cendres volantes de charbon américain publiés par Suloway et al.(55). La grande similarité observée des données rassemblées en figure 7 renforce encore l'assertion selon laquelle la composition des mailles fibreuses blanches est essentiellement identique à celle des cendres volantes de charbon.

Les cendres volantes de charbon sont électrostatiquement piégées comme une poudre dont la couleur va du gris clair au gris foncé selon la composition, ce qui correspond aux observations faites sur la poussière des filtres à air HEPA, qui correspond aussi à l'hypothèse selon laquelle des cendres volantes de charbon sont pulvérisées dans l'air par des avions. Donc comment comprendre l'apparence si différente à tous points de vue, de la forme des mailles fibreuses, si en fait, comme les preuves le montrent, leur composition est essentiellement identique à celle des cendres volantes de charbon ? Pour les raisons et les observations décrites dans la section suivante, l'auteur pense que dans certaines circonstances où les cendres volantes de charbon sont exposées à la combustion du carburant des avions, ce qui habituellement conduit à des cendres volantes de charbon en aérosols, mais occasionnellement, selon différentes variables physiques, produit à la place des fibres. Vues de cette manière, les mailles fibreuses fournissent un lien direct d'inférence avec les aérosols dispersés par les avions et permet d'envisager la recherche de formation de méthylemercure ( CH3Hg), désastreuse pour l'environnement, ou la production d'hydrocarbures chloro-fluorés, destructeurs de la couche d'ozone, dans l'échappement gazeux des avions.

Figure 6 : Photographies de mailles fibreuses observées sur l'herbe après la fonte de la neige,montrant sa nature collante. Photos de Robest West avec sa permission. Figure 7 : 11 des 22 ratios d'éléments analysés de mailles fibreuses après la fonte de la neige, comparés aux ratios et moyennes des 23 échantillons de cendres volantes de charbon européen et de 12 échantillons de cendres volantes de charbon américain.
Figure 6 : Photographies de mailles fibreuses observées sur l'herbe après la fonte de la neige,montrant sa nature collante. Photos de Robest West avec sa permission. Figure 7 : 11 des 22 ratios d'éléments analysés de mailles fibreuses après la fonte de la neige, comparés aux ratios et moyennes des 23 échantillons de cendres volantes de charbon européen et de 12 échantillons de cendres volantes de charbon américain.

Figure 6 : Photographies de mailles fibreuses observées sur l'herbe après la fonte de la neige,montrant sa nature collante. Photos de Robest West avec sa permission. Figure 7 : 11 des 22 ratios d'éléments analysés de mailles fibreuses après la fonte de la neige, comparés aux ratios et moyennes des 23 échantillons de cendres volantes de charbon européen et de 12 échantillons de cendres volantes de charbon américain.


Discussion


Les résultats analytiques rapportés pour l'eau de pluie (figure 4), les particules en suspension recueillies sur des filtres à air HEPA (Figure 5), et les mailles fibreuses (figures 4 et 6) présentent la preuve que les cendres volantes de charbon sont le principal matériau dispersé dans la troposphère pour la géo-ingénierie secrète en- cours, la modification du temps, et / ou la modification du climat. Pour des informations plus précises, les expériences futures devraient prélever les particules en suspension à l'altitude où elles sont dispersées dans l'atmosphère. Autrement, la nature des substances pulvérisées dans l'air que les gens respirent peut être recherchée par des procédures judiciaires, comme récemment au Canada (27).


Conséquences des pulvérisations troposphériques sur la santé humaine et le biotope


Les particules ultra-fines de cendres volantes de charbon dispersées dans l'air, ne restent pas longtemps aux altitudes auquelles elles sont pulvérisées dans la troposphère. Les particules se mélangent à l'air que les gens respirent et le polluent (15), elles contaminent le sol avec l'aluminium soluble toxique. Les cendres volantes de charbon provoquent également des changements de pH du sol. L'aluminium est un élément abondant dans la croûte terrestre, mais généralement il est étroitement lié à l'oxygène et d'autres éléments. Le biote de la Terre a évolué sans mécanismes de défense vis-à-vis des composés d'aluminium solubles. Les aérosols troposphériques de cendres volantes de charbon présentent des menaces pour la santé de l'environnement dues à l'aluminium, comme celles posées par les pluies acides, mais sans nécessiter un environnement acide. Le pH des cendres volantes de charbon varie et peut être acide ou basique en fonction de la source du charbon. Les cendres volantes de charbon bitumineux, de l'Est américain, par exemple, sont acides avec un pH de 4.3 à 4.9 (58), tandis que les cendres volantes de charbon de l'Ouest des Etats-Unis ont tendance à être plus basiques, avec un pH variant de 8.16 à 12.4, selon une étude (59). L'eau de pluie naturelle non contaminée a un pH acide d'environ 5,7 en raison de l'interaction avec le CO2 atmosphérique (60); cependant, un pH acide n'est pas nécessaire pour filtrer les toxines des cendres volantes de charbon. Dans les expériences sur des échantillons européens de cendres volantes de charbon de Moreno et al. (48), de l'eau distillée a conduit à l'extraction d'aluminium tandis que d'autres produits chimiques extraits ont conduit à des filtrations dont le pH variait de 6.2 à 12.5.


Avant les mesures prises pour éviter les pluies acides (61), l'aluminium chimiquement mobile, qui est soluble dans l'eau, était libéré dans l'environnement par des sources géologiques, telles que les résidus miniers, et provoquait des effets indésirables graves sur les forêts. La mort des forêts en Amérique du Nord était attribuée à la toxicité de l'aluminium. Ces forêts flétries abritaient le sapin baumier, le sapin Fraser, le pin à encens, l'épinette rouge, le pin blanc, et les érables à sucre (54). Alors que la réduction des émissions de NOx et de SO2 a sérieusement réduit la menace de pluie acide, il y a une baisse globale des grands arbres anciens (62), en particulier à l'ouest des Etats-Unis (63). Le cycle biochimique-géochimique de l'aluminium est complexe. Sa forme dissoute est plus facilement assimilable par les organismes vivants. Une fois en solution, l'aluminium peut se combiner avec plusieurs complexes organiques, en particulier les acides oxaliques, humiques et fulviques. Le métal peut aussi se combiner avec des anions inorganiques comprenant des sulfates, des fluorures, des phosphates, des bicarbonates, ou des hydroxydes, en fonction de leurs concentrations relatives. L'activité biologique et la toxicité varient avec la composition et le pH. En général, les sulfates d'aluminium sont moins toxiques que l'hydroxyde d'aluminium ou que les liaison organiques; cependant, l'aluminium trivalent aqueux est nettement plus actif chimiquement et biologiquement (64). L'aluminium soluble est toxique pour les plantes de façons multiples et variées, y compris la formation de lésions des racines (65) qui peuvent affaiblir la plante, la rendant vulnérable à la maladie, ou peuvent la tuer purement et simplement. Les études des précipités de cendres volantes de charbon révèlent que l'eau même distillée peut solubiliser l'aluminium, mais les détails du mécanisme n'ont pas été divulgués (48, 55). L'auteur affirme que les cendres volantes de charbon en aérosols directement placées dans le sol ou apportées par l'eau de pluie endommagent les plantes à la fois par la toxicité de l'aluminium soluble et les changements de pH (14).


L'exposition aux particules de pollution de l'air, pas nécessairement de cendres volantes de charbon, de taille inférieure à 2.5µm de diamètre - souvent désignées PM 2,5 - est particulièrement préjudiciable à la santé humaine (66). Bien que les mécanismes spécifiques ne soient pas bien connus, les études épidémiologiques commencent à révéler quelques-unes des conséquences néfastes de telles expositions. Comme indiqué précédemment, on a montré que l'exposition aux PM 2,5 est associée à une augmentation des hospitalisations (32), la morbidité et la mortalité prématurée (33-35), le risque de maladies cardiovasculaires (36), le cancer du poumon (37), l'inflammation pulmonaire et le diabète (38), le risque d'accident vasculaire cérébral (39), la maladie d'Alzheimer (40, 41), l'apparition de l'asthme (42), la fonction rénale chez les hommes âgés (43), un faible poids de naissance (44), et la réduction de la fertilité masculine(45). On peut donc raisonnablement conclure que les cendres volantes de charbon dispersées dans l'air, au moins celles dont la taille est inférieure à 2.5μm, sont nocives pour la santé humaine.


La taille des cendres volantes de charbon peut descendre en granulométrie jusqu'à ~ 0,1μm de diamètre (67). En principe, l'extraction d'une fraction ultra-fine des cendres volantes de charbon à l'aide de séparateurs cycloniques est relativement simple et peu coûteuse. Certes, une telle fraction ultra-fine serait avantageuse pour la pulvérisation en raison du peu de temps ajouté. Mais il y a un inconvénient grave : les éléments toxiques des cendres volantes de charbon ont tendance à se concentrer dans la fraction ultra-fine (55). On ne sait pas si ce mécanisme d'enrichissement en particules ultra-fines est utilisé pour les pulvérisations troposphèriques secrètes, mais si c'est le cas, alors ce composant serait encore plus toxique que les cendres volantes de charbon classiques.


Les toxines des cendres volantes de charbon rendent cette substance particulièrement dangereuse pour la santé humaine. La petite taille des particules d'aérosols de cendres volantes de charbon (PM 2,5) permet l'absorbtion de ces particules par inhalation, ingestion, et induction à travers les yeux ou la peau (68). Lorsqu'elles sont inhalées, les particules PM 2,5 peuvent pénétrer et se coincer dans les voies respiratoires et les alvéoles pulmonaires, et y rester piégées pendant de longues périodes de temps. Là, elles peuvent causer inflammation et lésion par contact antagoniste (69), par la libération de toxines, in situ, en présence de l'humidité du corps (70), et par des rayonnements ionisants d'uranium, de thorium et leurs dérivés radioactifs présents dans les cendres volantes de charbon (71). Les cendres volantes de charbon ont été décrites comme étant plus radioactives que les déchets nucléaires (72).


Les cendres volantes de charbon sont capables de libérer un grand nombre de toxines quand exposées à l'humidité du corps (70), y compris l'aluminium, l'arsenic, le baryum, le bore, le cadmium, le chrome, le plomb, le lithium, le sélénium, le strontium, le thallium, le thorium et l'uranium et par les propriétés radioactives de leurs dérivés et d'autres toxines. Chacune d'entre elles peut avoir des conséquences néfastes sur la santé humaine, mais quand elles se combinent, leurs effets synergiques peuvent être encore plus néfastes. En outre, selon la règle de Haber, la relation entre le temps d'exposition et la concentration, peut s'appliquer dans certains cas, une concentration faible sur une longue durée d'exposition est à peu près équivalente à une concentration plus élevée sur une courte durée d'exposition (16).


L'étendue des dommages physiologiques des cendres volantes de charbon dispersées dans la troposphère est fonction d'une variété de facteurs, y compris la concentration et la durée d'exposition, ainsi que l'âge de l'individu, son état de santé, et sa sensibilité. En général, les personnes les plus à risque sont les femmes enceintes, les enfants, les personnes âgées et celles dont les systèmes immunitaires et respiratoires sont affaiblis. Les fœtus des femmes enceintes exposées à l'arsenic inorganique de cendres volantes de charbon sont en danger car l'arsenic peut traverser le placenta. L'arsenic peut être impliqué dans des maladies liées à l'hypertension cardiovasculaire (73), le cancer (74), le diabète (75), les maladies respiratoires (76), et les AVC (74). En outre, l'arsenic n'est qu'un des nombreux éléments toxiques des cendres volantes de charbon libérés au contact de l'eau ou des fluides corporels. Un autre composant, le chrome VI, qui représente 10% de la teneur en chrome des cendres volantes de charbon, est non seulement cytotoxique pour les poumons et les reins, mais est également un cancérogène capable de causer le cancer du poumon (77). Ces exemples ne sont que des bribes d'une vaste gamme de maladies débilitantes qui peuvent apparaître du fait de l'exposition humaine aux aérosols de cendres volantes de charbon.


Bien que l'aluminium soit abondant dans la croûte continentale de la Terre, pour environ 8%, il est étroitement lié à des minéraux, et est donc essentiellement insoluble, à savoir immobile. Mais, dans les cendres volantes de charbon qui ne sont pas un produit naturel, l'aluminium n'est pas si étroitement lié. L'aluminium des cendres volantes de charbon peut être extrait sous une forme (soluble) chimiquement mobile,en présence d'eau ou in situ par les fluides corporels (70). L'aluminium est impliqué dans les maladies neurologiques telles que les troubles du spectre autistique d'Alzheimer (ASD), la maladie de Parkinson, et le trouble déficitaire de l'attention (TDAH) (49, 51, 78-80), qui ont tous fortement augmenté ces dernières années. De plus, on estime que l'aluminium réduit la fertilité masculine (81) et est impliqué dans les troubles neurologiques des abeilles et d'autres créatures (82-84).


Comme on peut le prévoir venant d'une opération secrète, il n'y a eu aucune divulgation publique pour identifier la substance principale pulvérisée, aucun consentement éclairé, aucune alerte de santé, et aucune enquête sérieuse sur les conséquences néfastes pour la santé. Les données décrites ici, cependant, fournissent des preuves solides que la substance principale pulvérisée dans l'air est de la cendre volante de charbon; les implications pour la santé publique peuvent être tirées d'une littérature étendue, certaines sont citées ici. Ces implications ne donnent qu'un aperçu des risques potentiels, mais sont suffisantes pour suggérer la possibilité d'une crise de la santé publique mondiale multi-dimensionnelle, la fabrication d'une lente pandémie.


Risques potentiels imprévus causés par les mailles fibreuses


D'après les observations, les preuves photographiques et vidéos, l'historique des brevets, et les déclarations de pilotes de ligne, il semble y avoir deux méthodes principales pour la dispersion de la matière particulaire dans la troposphère: (1) le soufflage ou le pompage de poudre par des pulvérisateurs; et (2) la libération de grandes quantités de poudre pour qu'elle soit propagée par les vents. La preuve d'une forme fibreuse des cendres volantes de charbon décrite ici présente la possibilité d'un troisième mécanisme de dispersion, lequel peut poser encore d'autres risques pour la santé publique.


L'auteur ne peut expliquer pourquoi les cendres volantes de charbon seraient délibérément transformées en une forme fibreuse aérienne. De plus, cette forme fibreuse n'est que sporadiquement observée, ce qui suggère qu'elle serait le résultat d'une défaillance occasionnelle d'un mécanisme de dispersion spécifique de pulvérisation de particules. Ce mécanisme de production de fibres est différent en ce qu'il nécessite une source de chaleur pour liquéfier le matériau qui génère des fibres, une matrice qui peut contenir des additifs en plus des cendres volantes de charbon, et un mécanisme moteur d'"allongement" du liquide en fibres. Un mécanisme connu pour produire des fibres consiste à injecter un liquide dans un courant d'air de soufflage, ce qui provoque l"allongement" (85, 86). En principe, les gouttes liquides de cendres volantes de charbon et ces additifs lorsqu'ils sont soumis à la grande vitesse d'échappement de combustion de l'avion, dans des conditions physiques appropriées, peuvent être "allongés" pour former des fibres. Deux procédés possibles viennent à l'esprit qui pourraient exposer les cendres volantes de charbon aux températures de combustion du carburant de l'avion: (1) la poudre de cendres volantes de charbon, qui peut contenir des additifs de dispersion, est injectée à proximité de la chambre de combustion du moteur à réaction, ou (2) les cendres volantes de charbon sont mises en suspension dans le carburéacteur, avec éventuellement ajout d' un agent tensio-actif au centre de raffinerie ou de distribution du carburant.


L'exposition des cendres volantes de charbon à l'environnement de combustion du carburéacteur a en outre des conséquences, peut-être imprévues, sur la santé publique mondiale.


Comme cela est bien connu, les cendres volantes de charbon contiennent du mercure (87-91) à des concentrations de 0,1 à 1,1 µg/g, on peut donc s'attendre à ce que le mercure pollue l'environnement puisque les cendres volantes de charbon dispersées dans l'air, se déposent sur le sol surface ou y sont amenées par les précipitations. Le mercure est facilement volatile; on doit envisager la possibilité que, à des températures élevées en présence d'hydrocarbures abondants, comme on en trouve dans l'environnement de combustion du carburéacteur, en théorie, le méthylmercure toxique (CH3Hg) puisse se former, et être libéré dans l'environnement. Cela pourrait expliquer la présence de méthylmercure récemment découvert dans le brouillard en Californie (92). A la connaissance de l'auteur, cette explication n'a pas été proposée jusqu'à présent, et l'auteur n'a pas pu trouver de vérification expérimentale ou théorique dans la littérature scientifique. La vérification expérimentale devrait être relativement simple. En outre, ceux qui mesurent le méthylmercure dans le brouillard pourrait chercher d'autres gaz toxiques qui pourraient avoir été produits à partir de cendres volantes de charbon à des températures élevées en présence d'hydrocarbures abondants dans l'environnement de combustion du carburéacteur. Une possibilité qui vient à l'esprit est l'arsine, AsH3, mais il peut y en avoir d'autres; c'est un domaine potentiel inexploré de l'enquête.


Les cendres volantes de charbon contiennent du chlore facilement volatile, ca. 200 μ/g (93) et du fluor, environ 225 μ/g (94). A des températures élevées en présence d'hydrocarbures abondants, comme dans l'environnement de combustion du carburéacteur, en théorie, le chlore et le fluor peuvent réagir pour former des hydrocarbures chloro- fluorés susceptibles d'endommager la couche d'ozone de la Terre (95, 96). Cela pourrait expliquer les émissions observées après le protocole de Montréal s de ces composés nuisibles à la couche d'ozone (97). Mais, comme dans le cas du méthylmercure, la vérification expérimentale est extrêmement importante en raison des implications potentiellement profondes.


Examens géophysiques


Au sein de la communauté universitaire, il y a eu un débat quant à savoir si les substances dispersées dans la stratosphère auraient le résultat escompté de refroidissement de la Terre pour contrer le réchauffement climatique (18). Il n'y a pas de débat, cependant, dans la littérature scientifique ouverte sur l'efficacité de la dispersion troposphèrique secrète en-cours de particules d'aérosols. Il devrait y en avoir. Les examens géophysiques fournissent une base pour cette discussion.


Bien qu'il n'y ait pas de littérature scientifique ouverte sur les cendres volantes de charbon dispersées dans l'air, il existe quelques articles publiés sur les effets des particules de carbone ou de suie. Bien que les cendres volantes de charbon puissent être moins efficaces que le noir de carbone, généralement leurs effets sont semblables. On attend des cendres volantes de charbon pulvérisées dans la troposphère qu'elles empêchent le rayonnement de la Terre vers l'espace et qu'elles chauffent l'atmosphère (98). Les particules de cendres volantes de charbon, dispersées au-dessus des glaciers, vont contribuer à leur fonte (99).


En grandes quantités les particules d'aérosols de cendres volantes de charbon, comme d'autres particules de pollution, vont inhiber les précipitations en empêchant les gouttelettes d'eau trop petites de se regrouper pour former des gouttes de pluie (voir le texte de la note 15). En outre, les cendres volantes de charbon sont hygroscopiques. Formées dans des conditions anhydres, elles piègent les gouttelettes d'eau, ce qui inhibe davantage les précipitations. En outre, la pollution particulaire réchauffe l'atmosphère (par l'énergie solaire absorbée) et retarde les pertes de chaleur de la Terre; par conséquent, cela produit une augmentation artificielle de la pression atmosphérique locale, qui bloque les fronts météorologiques entrants, ce qui limite encore les précipitations. Plutôt que de refroidir la Terre, les cendres volantes de charbon dispersées dans l'air contribuent au réchauffement de la planète. Elles ont également des effets potentiellement dévastateurs sur les habitats, y compris l'agriculture, des changements dans les régimes climatiques naturels, des changements de pH du sol, du fait des substances toxiques multiples qui dérivent des cendres volantes de charbon.


Depuis au moins 15 ans, les activités secrètes de modification du temps et du climat se déroulent, ce qui implique la pulvérisation de particules polluantes dans la troposphère comme observé par plusieurs milliers de personnes (voir le texte de la note 2-14). Pourtant, aucune des conséquences de cette activité de modification du temps et du climat, quasi-mondiale, n'a été prise en compte par l'un des modèles de changement climatique évalués par le Groupe d'experts intergouvernemental des Nations Unies sur les changements climatiques (GIEC), qui remet en question leur validité.


En tant qu'armes, les cendres volantes de charbon dispersées dans l'air peuvent être utilisées pour provoquer des sécheresses et par conséquent des pertes de bétail et la famine humaine. Pire, comme on l'a abordé ci-dessus, les cendres volantes de charbon représentent un danger pour la santé publique et environnementale à composantes multiples, une pandémie lente qui est déjà évidente dans l'augmentation observée des maladies neurologiques.


Conclusion


Les résultats de recherche présentés ici fournissent des preuves solides en faveur de l'hypothèse de l'auteur : les cendres volantes de charbon sont probablement les particules d'aérosols dispersées dans la troposphère pour la géo-ingénierie, la modification du temps, et / ou l'altération du climat. Les ratios d'éléments d'eau de pluie montrent que cette matière particulaire aérienne a essentiellement les mêmes caractéristiques que le lixiviat de cendres volantes de charbon. Les ratios d'éléments de poussière de filtre à air HEPA se produisent dans la même variation de compositions que les cendres volantes de charbon, ainsi que les ratios des éléments de mailles fibreuses trouvées sur l'herbe après la fonte de la neige.


Les liens documentés entre la pollution particulaire PM 2,5 et la santé publique sont également applicables aux aérosols de cendres volantes de charbon, qui ont une granulométrie similaire. Ces liens comprennent l'augmentation des admissions à l'hôpital, la morbidité et la mortalité prématurée, un faible poids de naissance, l'inflammation des poumons et le diabète, le risque de maladies cardiovasculaires, le cancer du poumon, le risque d'accident vasculaire cérébral, la maladie d'Alzheimer, l'apparition de l'asthme, la fonction rénale chez les hommes âgés et la baisse de fertilité masculine.


La capacité des cendres volantes de charbon à libérer l'aluminium sous une forme chimiquement mobile lors de l'exposition à l'eau ou à l'humidité du corps a des conséquences humaines et environnementales potentiellement graves sur un large spectre, y compris les implications pour les maladies neurologiques, la fertilité masculine réduite, les troubles neurologiques des abeilles et autres créatures et l'affaiblissement du biotope. La capacité des cendres volantes de charbon à libérer des métaux lourds et des éléments radioactifs lors de l'exposition à l'humidité du corps a potentiellement de graves conséquences sur la santé humaine sur un large spectre, y compris, mais sans s'y limiter, le cancer, les maladies cardiovasculaires, le diabète, les maladies respiratoires, et l'accident vasculaire cérébral.


Le méthylmercure toxique et les hydrocarbures chloro-fluorés, nuisibles à la couche d'ozone, affirme l'auteur, peuvent être produits à partir de certains types de pulvérisations troposphériques qui mettent les cendres volantes de charbon dans l'environnement de combustion du carburéacteur. La vérification expérimentale est justifiée. Du point de vue géophysique, les cendres volantes de charbon pulvérisées dans la troposphère réchauffent l'atmosphère, bloquent la chaleur émise de la Terre vers l'espace, et retardent les précipitations, ce qui peut élever artificiellement les pressions atmosphériques, lesquelles peuvent bloquer les fronts météorologiques entrants, ce qui conduit en outre à la sécheresse. Si quoi que ce soit de cette activité contribue au réchauffement climatique, l'objectif de cette activité clandestine est inconnue de la communauté scientifique et du public. Le temps est venu pour la communauté scientifique et en particulier les sciences de l'environnement et les service de santé publique de comprendre que la multiplicité des substances toxiques qui sont pulvérisées dans l'air que les gens respirent, dans de nombreuses parties du monde, nuira pratiquement à toute la vie sur Terre.


Contribution de l'auteur


L'auteur confirme être le seul contributeur de ce travail et approuve sa publication.


Déclaration de conflits d'intérêts


L'auteur déclare n'avoir aucune relations commerciales ou financières qui pourraient être interprétées comme un conflit d'intérêt potentiel.


Financement


Financement interne seulement, pas de financement externe.

Notes

  1. ^http://NuclearPlanet.com/AFD-051013-001.pdf
  2. ^http://globalskywatch.com
  3. ^http://www.cielvoile.fr
  4. ^http://www.geoengineeringwatch.org
  5. ^https://chemtrailsnorthnz.wordpress.com
  6. ^http://www.endgeoengineering.com
  7. ^http://stopsprayingcalifornia.com
  8. ^http://socalskywatch.net
  9. ^http://byebyebluesky.com
  10. ^http://www.tankerenemy.com
  11. ^http://weatherwars.info
  12. ^http://www.sauberer-himmel.de
  13. ^http://www.canadaskywatch.com
  14. ^http://www.guardacielos.org
  15. ^http://nuclearplanet.com/NASA_Particulates_Effect_on_Rainfall.pdf
  16. ^https://www.youtube.com/watch?v=tp2wWuqfbi0
  17. ^https://www.youtube.com/watch?v=0Gjw_7c7GzA
  18. ^https://www.youtube.com/watch?v=ty1cDrUYwYg
  19. ^https://www.youtube.com/watch?v=b1zNJzCXHZQ
  20. ^https://www.youtube.com/watch?v=RbwbhzCgGYw
  21. ^https://www.youtube.com/watch?v=qpysApXRXYE
  22. ^https://www.youtube.com/watch?v=KJMgYdExWjQ
  23. ^https://www.youtube.com/watch?v=Q5T4KcM5GB4
  24. ^https://www.youtube.com/watch?v=8KLU2kATAvQ&feature=youtu.be

Références :

pages 14-15-16 de l'article original :http://nuclearplanet.com/frontiers1.pdf










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Les experts de la santé admettent que le port du masque en plein air est ridicule

7 Mai 2021, 08:10am

Les experts de la santé admettent que le port du masque en plein air est ridicule

Analyse du Dr Joseph Mercola - Vérification des faits - Le 7 mai 2021

 

L'histoire en un coup d'œil

 

Selon un expert des mécanismes de transmission virale, les brèves rencontres en plein air présentent un " très faible risque " de transmission du COVID-19. Les particules virales se dispersent rapidement dans l'air extérieur, de sorte que le risque d'inhalation de virus en aérosol par des passants est négligeable.

 

À l'aide de modèles mathématiques, des chercheurs italiens ont calculé le temps qu'il vous faudrait pour contracter le virus du SRAS-CoV-2 en plein air à Milan. Si 10 % de la population était infectée, il vous faudrait 31,5 jours d'exposition continue à l'extérieur pour inhaler une dose de virus suffisante pour transmettre l'infection.

 

D'autres recherches ont montré que les chances de transmettre le COVID-19 sont 18,7 fois plus élevées à l'intérieur qu'en plein air.

 

Plusieurs études portant sur les concentrations d'ARN du SRAS-CoV-2 dans l'air n'ont rien donné. Aucun ARN détectable n'a été trouvé dans les échantillons d'air prélevés à divers endroits à Wuhan, en Chine, à Venise, dans le nord de l'Italie, ou à Lecce, dans le sud de l'Italie, pendant la pandémie.

 

Le premier registre allemand des effets secondaires du port du masque chez les enfants a recensé 24 problèmes de santé physiques, psychologiques et comportementaux, dont l'irritabilité (60 %), les maux de tête (53 %), les difficultés de concentration (50 %), la baisse de la joie de vivre (49 %), la réticence à aller à l'école ou au jardin d'enfants (44 %), les malaises (42 %), les difficultés d'apprentissage (38 %) et la somnolence ou la fatigue (37 %).

 

Après une année de conseils douteux sur le port du masque, allant de la prise de tête à l'amusement léger en passant par le ridicule - comme l'Espagne qui rend obligatoire le port du masque pour nager dans l'océan - les experts de la santé qui vont à l'encontre du discours dominant sur le port universel de masques ont enfin droit à un peu de temps d'antenne dans les médias grand public.

 

Dans un article paru le 22 avril 2021 dans le New York Times1, Tara Parker-Pope cite plusieurs médecins et virologues qui déconseillent le port universel du masque en plein air.

 

Des experts de la santé s'expriment sur le port du masque en extérieur

 

Parmi eux, Linsey Marr, professeur de génie civil et environnemental à Virginia Tech et experte en mécanique de la transmission virale, note que les brèves rencontres en plein air, comme le fait de passer à côté de quelqu'un sur un trottoir ou un sentier de randonnée, présentent un "risque très faible" de transmission.

 

"Les particules virales se dispersent rapidement dans l'air extérieur et le risque d'inhaler le virus en aérosol d'un joggeur ou d'un passant est négligeable", a déclaré le Dr Marr à Parker-Pope.2 "Même si une personne tousse ou éternue à l'extérieur alors que vous passez à côté d'elle, les chances que vous receviez une dose suffisamment importante de virus pour être infecté restent faibles."

 

De même, le Dr Muge Cevic, maître de conférences clinique en maladies infectieuses et virologie médicale à l'école de médecine de l'université de St Andrews en Écosse, aurait déclaré :3.

 

"Je pense que c'est un peu trop demander aux gens de mettre le masque lorsqu'ils sortent se promener, faire du jogging ou du vélo. Nous sommes à un stade différent de la pandémie. Je pense que les masques d'extérieur n'auraient pas dû être obligatoires du tout. Ce n'est pas là que l'infection et la transmission se produisent."

 

Parker-Pope cite également le Dr Nahid Bhadelia, médecin spécialiste des maladies infectieuses et directeur médical de l'unité des pathogènes spéciaux au Boston Medical Center4.

 

« Étant donné que j'ai été très prudent dans mes opinions tout au long de l'année, cela devrait vous indiquer à quel point le risque de transmission à l'extérieur par contact sur de courtes périodes est faible, en général. »

 

Vaccinés ou non, les masques ne fonctionnent pas

 

Bien entendu, la plupart des médecins cités dans l'article du New York Times affirment que la vaccination réduit le risque de contracter le COVID-19 et que vous pouvez donc être plus indulgent en présence d'autres personnes vaccinées. J'ai écrit de nombreux articles expliquant pourquoi cette affirmation est absurde et tout simplement fausse.

 

Pour résumer, cela n'a aucun sens car tous les "vaccins" contre le COVID-19 sont conçus pour réduire vos symptômes quand vous êtes infecté. Ils ne sont pas conçus pour prévenir l'infection, ils ne vous donnent pas d'immunité contre le SRAS-CoV-2 et ils ne préviennent pas la transmission, de sorte que vous pouvez toujours transmettre le virus à d'autres personnes si vous êtes infecté.

 

Tout cela signifie que vous présentez le même " risque " pour les autres, que vous soyez vacciné ou non. Et, pour être clair, si vous ne présentez aucun symptôme d'infection respiratoire, le risque sanitaire que vous représentez pour les autres est pratiquement inexistant.5 Vous ne pouvez tout simplement pas propager une infection que vous n'avez pas.

 

Les minuscules fragments d'ARN viral que le test PCR peut détecter s'il est soumis à un trop grand nombre de cycles d'amplification - donnant ainsi un résultat faussement positif - ne sont pas infectieux. Il faut un virus entier, et vivant, pour cela.

 

Le CDC accorde une permission spéciale aux personnes entièrement vaccinées

 

Bien que la science soit plutôt claire sur ces points, à la fin du mois d'avril 2021, les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies ont assoupli leurs directives concernant les masques extérieurs pour les personnes entièrement vaccinées.

 

Si vous avez reçu toutes les doses requises du "vaccin" COVID-19, vous n'avez plus besoin de porter un masque à l'extérieur lorsque vous êtes en petits groupes ou lorsque vous faites de l'exercice. Le port d'un masque reste toutefois recommandé dans les lieux extérieurs très fréquentés, comme les stades.

 

Selon un autre article du New York Times6

 

"Le président Biden a salué cet événement comme un moment marquant de la pandémie, en portant un masque lorsqu'il s'est approché du pupitre par une chaude journée de printemps dans l'enceinte de la Maison Blanche - et en le gardant bien en évidence lorsqu'il est rentré dans la Maison Blanche après avoir terminé. Allez vous faire vacciner. Cela n'a jamais été aussi facile", a déclaré M. Biden. Et une fois que vous serez complètement vacciné, vous pourrez vous passer de masque lorsque vous serez à l'extérieur et loin des grandes foules".

 

Des chercheurs remettent les pendules à l'heure

 

Rompant avec la propagande typique du New York Times, Parker-Pope poursuit en fait en citant une recherche7 publiée en février 2021 dans la revue Environmental Research :

 

"Pour comprendre à quel point le risque de transmission en extérieur est faible, des chercheurs italiens ont utilisé des modèles mathématiques pour calculer le temps qu'il faudrait à une personne pour être infectée en extérieur à Milan.

 

Ils ont imaginé un scénario sinistre dans lequel 10 % de la population serait infectée par le coronavirus. Leurs calculs ont montré que si une personne évitait les foules, il lui faudrait, en moyenne, 31,5 jours d'exposition continue à l'extérieur pour inhaler une dose de virus suffisante pour transmettre l'infection.

 

Les résultats montrent que ce risque est négligeable dans l'air extérieur si l'on évite les foules et les contacts directs entre les personnes", a déclaré Daniele Contini, auteur principal de l'étude et spécialiste des aérosols à l'Institut des sciences atmosphériques et du climat de Lecce, en Italie.

 

Même si des variants de virus plus infectieux circulent, la physique de la transmission virale à l'extérieur n'a pas changé, et le risque d'être infecté à l'extérieur reste faible, selon les experts en virus."

 

D'autres recherches8 ont montré que les chances de transmettre le COVID-19 sont 18,7 fois plus élevées à l'intérieur que dans un environnement en plein air. Plusieurs enquêtes portant sur les concentrations d'ARN du SRAS-CoV-2 dans l'air n'ont pas non plus donné de résultats, notamment les échantillonnages d'air effectués à divers endroits à Wuhan9,10 en Chine, à Venise dans le nord de l'Italie et à Lecce dans le sud de l'Italie11.

 

Les problèmes que nous ignorons lorsque nous rendons le masque obligatoire

 

En dehors de toutes les recherches démontrant que le port du masque est une stratégie inefficace et largement inutile contre les virus respiratoires - que j'ai détaillées dans plusieurs articles, notamment "More Evidence Masks Don't Work to Prevent COVID-19", "Mindless Mask Mandates Likely Do More Harm Than Good" et "Landmark Study Finds Masks Are Ineffective" - il y a la question des effets indésirables potentiels.

 

Cette partie de l'équation a été largement ignorée depuis le début, même si le port universel des masques présente des inconvénients pour l'environnement et des risques pour la santé des individus, notamment les suivants :12

 

Le port d'un masque facial augmente la résistance respiratoire et, comme il rend l'inspiration et l'expiration plus difficiles, les personnes souffrant de problèmes de santé préexistants peuvent être exposées à un risque d'urgence médicale si elles portent un masque facial.

 

Il s'agit notamment des personnes souffrant d'essoufflement, de maladies pulmonaires, de crises de panique, de difficultés respiratoires, de douleurs thoraciques à l'effort, de maladies cardiovasculaires, d'évanouissements, de claustrophobie, de bronchite chronique, de problèmes cardiaques, d'asthme, d'allergies, de diabète, de crises d'épilepsie, d'hypertension artérielle et de personnes portant un stimulateur cardiaque. L'impact du port d'un masque facial pendant la grossesse est également totalement inconnu.

 

Les masques faciaux peuvent réduire l'absorption d'oxygène, ce qui entraîne un manque d'oxygène (hypoxie) potentiellement dangereux.

 

Ils provoquent également une accumulation rapide de dioxyde de carbone nocif, ce qui peut avoir des répercussions cognitives et physiques importantes. Le premier registre allemand13,14 recensant les effets du port du masque sur les enfants a identifié 24 problèmes de santé physique, psychologique et comportementale associés au port de masque. Les symptômes enregistrés comprennent :

 

"... irritabilité (60%), maux de tête (53%), difficultés de concentration (50%), moins de bonheur (49%), réticence à aller à l'école/au jardin d'enfants (44%), malaise (42%), troubles de l'apprentissage (38%) et somnolence ou fatigue (37%)."

 

Sur les 25 930 enfants inclus dans le registre, 29,7% ont déclaré être essoufflés, 26,4% avoir des vertiges et 17,9% ne pas vouloir bouger ou jouer. Des centaines d'autres ont connu "une respiration accélérée, une oppression thoracique, une faiblesse et des troubles de la conscience de courte durée".

 

Le port d'un masque facial augmente la température corporelle et le stress physique, ce qui peut entraîner une lecture de température élevée qui n'est pas liée à une infection.

 

Tous les masques faciaux peuvent provoquer des infections bactériennes et fongiques chez l'utilisateur, car l'air chaud et humide s'accumule à l'intérieur du masque. Il s'agit là d'un terrain propice à la prolifération des agents pathogènes. C'est pourquoi les masques médicaux jetables ont été conçus pour une utilisation de courte durée, pour une tâche spécifique uniquement, après quoi ils sont censés être jetés.

 

Les médecins ont mis en garde contre l'augmentation des pneumonies bactériennes, des éruptions cutanées sur le visage, des infections fongiques sur le visage15, de la "bouche du masque" (dont les symptômes comprennent la mauvaise haleine, la carie dentaire et l'inflammation des gencives) et des infections buccales à candida16.

 

Une étude17,18 publiée dans le numéro de février 2021 de la revue Cancer Discovery a également révélé que la présence de microbes dans vos poumons peut aggraver la pathogenèse du cancer du poumon et contribuer à un cancer du poumon à un stade avancé. Ces mêmes types de bactéries, principalement des Veillonella, des Prevotella et des Streptococcus, peuvent également être cultivés par le port prolongé d'un masque19.

 

En cas d'utilisation prolongée, les masques médicaux commencent à se dégrader et à libérer des produits chimiques qui sont ensuite inhalés. De minuscules microfibres sont également libérées, ce qui peut entraîner des problèmes de santé en cas d'inhalation. Ce danger a été mis en évidence dans une étude de performance20 qui sera publiée dans le numéro de juin 2021 du Journal of Hazardous Materials.

 

Les masques obligatoires représentent également une autre atteinte à nos libertés, et normalisent la fausse notion selon laquelle les gens sont malades à moins qu'il ne soit prouvé qu'ils sont en bonne santé, et qu'il est acceptable d'être obligé de se couvrir le visage simplement pour vaquer à ses occupations quotidiennes, même à l'extérieur.

 

Le discours public renforce les préjugés à l'encontre des personnes qui refusent de porter un masque ou de recevoir un vaccin expérimental, à tel point que certains craignent désormais les personnes qui ne portent pas de masque ou celles qui choisissent de ne pas se faire vacciner. L'évolution rapide des normes sociétales et l'émergence d'un environnement de plus en plus autoritaire posent la question de savoir si le public continuera ou non à obéir aveuglément, quelles que soient les conséquences.

 

Le seul type de masque qui soit sûr et efficace

 

Pour bénéficier d'un quelconque avantage, les utilisateurs doivent être équipés du bon type et de la bonne taille de masque respiratoire, et doivent subir des tests d'ajustement effectués par un professionnel qualifié. Cependant, les masques N95, même lorsqu'ils sont correctement ajustés, ne protègent pas contre les expositions virales, mais peuvent protéger de manière adéquate contre les particules plus grosses.

 

Les masques chirurgicaux, qui ne s'appliquent pas sur le visage, ne filtrent rien. Ils sont conçus pour empêcher les bactéries de la bouche, du nez et du visage de pénétrer dans le patient pendant les procédures chirurgicales, et les chercheurs ont averti que les masques chirurgicaux contaminés présentent en fait un risque d'infection.21 Après seulement deux heures, une augmentation significative de la charge bactérienne sur le masque a été observée.

 

Les masques non médicaux en tissu sont non seulement inefficaces, mais aussi particulièrement dangereux car ils ne sont pas conçus pour purger efficacement le dioxyde de carbone expiré, ce qui les rend totalement inadaptés à l'utilisation.

 

Le seul type de masque dont le port est réellement sûr et efficace est le masque à gaz que vous utilisez pour vous protéger contre les fumées de peinture, les vapeurs organiques, la fumée et la poussière. Ces masques sont conçus pour filtrer l'air que vous inspirez et pour éliminer le dioxyde de carbone et l'humidité de l'air que vous expirez, ce qui garantit qu'il n'y a pas d'accumulation dangereuse de dioxyde de carbone ou de réduction d'oxygène à l'intérieur du masque.

 

 

Où sont les données qui confirment le port obligatoire du masque ?

 

Alors qu'il existe de nombreuses données et données scientifiques montrant que les masques sont inefficaces contre la transmission virale et que l'obligation ne fait rien pour protéger la santé publique, les porte-parole du gouvernement continuent simplement à débiter le récit de propagande selon lequel le port du masque sauve des vies. " Écoutez les experts, suivez la science ", disent-ils. Pourtant, ils n'ont pas encore produit la moindre preuve scientifique crédible en faveur du port universel des masques.

 

Où sont les données montrant que les masques fonctionnent ? Où sont les données montrant qu'ils réduisent les taux d'infection et d'hospitalisation ? Où sont les preuves que les masques obligatoires ont eu une quelconque influence positive sur la pandémie de COVID-19 au cours des 14 derniers mois ? Nous devrions avoir une montagne de données à l'appui.

 

Le masque fait partie d'un appareil plus large, d'un mouvement de riches bureaucrates non élus, qui volent nos libertés et perpétuent les mensonges. ~ Jeff Hoverson, représentant de la Chambre des représentants du Dakota du Nord.

 

Je soupçonne que la raison pour laquelle nous n'avons pas d'études massives remplies de données globales montrant que l'obligation du port des masques a été un succès éclatant est qu'ils n'ont eu aucun impact, ou qu'ils ont aggravé la situation. Un exemple concret : " Le Texas et le Mississippi enregistrent le nombre de cas de COVID le plus bas depuis presque un an, un mois après la levée de l'obligation de porter un masque ", rapporte Newsweek dans un article paru le 6 avril 202122.

 

Oui, ironiquement, malgré les craintes que la levée de l'obligation de porter un masque entraîne une surabondance de cas de COVID-19 dans les hôpitaux, c'est le contraire qui s'est produit. Quatre semaines plus tard, le Texas et le Mississippi enregistrent leur plus faible nombre de cas et de décès liés au COVID depuis mai 2020.

 

Le Dakota du Nord cherche à se libérer de l'obligation de porter un masque

 

Un rayon d'espoir particulier brille dans le Dakota du Nord, où la Chambre des représentants a approuvé un projet de loi (H.B.1323) qui interdirait aux écoles, aux entreprises et aux collectivités locales d'exiger le port d'un masque pour le service. Le projet de loi, qui a été adopté par 50 voix contre 44 à la fin du mois de février 2021, est maintenant examiné par le Sénat.

 

L'auteur du projet de loi, le représentant Jeff Hoverson, a qualifié de "folie diabolique" l'obligation de porter un masque imposée par l'État en novembre 2020.23 Il a déclaré à la Prairie Public Press qu'il avait reçu "beaucoup de courriels" d'électeurs opposés à l'obligation de porter un masque, ajoutant :24

 

"Ils ne veulent pas que le Dakota du Nord soit aspiré dans ce qui devient évident. Le masque fait partie d'un appareil plus vaste, d'un mouvement de bureaucrates riches et non élus, qui volent nos libertés et perpétuent les mensonges."

 

Oui. Ça résume bien la situation.

 

https://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2021/05/07/outdoor-face-mask.aspx?

 

 

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