Guerre climatique en Italie : les changements du modus operandi depuis 2005
Le 25 juin 2014 – Tanker Enemy - Traduction Ciel voilé
http://www.tankerenemy.com/2014/06/guerra-climatica-in-italia-come-e.html#.VA9N71fp-4o
C’est au mois de mai 2005 que nous avons pu remarquer que quelque chose d'anormal se produisait dans le ciel de San Remo. Rapidement, nous avons cerné le problème : les activités de guerre climatique lancées quelques décennies auparavant aux États-Unis étaient désormais aussi l’apanage de l’Italie, elles concernaient même notre ville. Depuis lors, neuf années ont passé. Plusieurs gouvernements fantoches se sont succédés et ont continué à avaliser, couvrir et favoriser les opérations de géo-ingénierie clandestine qui, peu à peu, se sont étendues à tout le territoire italien et au monde entier. En fait, si l'on exclut quelques rares pays tels que la Syrie, la diffusion de nanoparticules de métaux lourds et de polymères est désormais une pratique courante à l'échelle mondiale.
Actuellement, en effet, ce…travail est désormais en quasi-totalité assigné à des avions commerciaux qui, spécifiquement et volontairement, voyagent y compris sans aucun passager à bord et assurent ce que, déjà en 1997, Edward Teller qualifiait d’activité dévolue à la lutte contre un réchauffement climatique inexistant, en réalité une bien puérile feuille de vigne destinée à couvrir la destruction illégale de la biosphère.
Les négationnistes à la solde des institutions gouvernementales, les météorologues militaires et civils et les universitaires complices persistent dans leur tentative de justifier la présence d’impossibles couvertures artificielles avec cette seule et unique explication : « Ce ne sont que de simples traînées de condensation, il s’agit donc de vapeur d'eau inoffensive ».
Dans la mesure où il apparaît clairement que ces gens mentent, il est maintenant plus que temps de se concentrer, après des années d'observations, sur les techniques qui, de 2005 à nos jours, ont été mises en œuvre en Italie dans le but de faciliter les communications radio terre-terre et terre-air. Comme nous l’avons montré de nombreuses fois, une manière de faciliter ces communications consiste à empêcher la formation des nuages porteurs de pluie, lesquels constituent autant d’obstacles à la transmission du signal radio. Pour atteindre cet objectif, des métaux hygroscopiques et des polymères sont diffusés, mais c’est sur le calendrier et sur le modus operandi que nous voulons porter un regard appuyé.
Retour en 2005 et description de ce qui pouvait alors être observé.
a) Les activités d’épandages aériens clandestins se traduisaient par de classiques traînées de type persistant. Ces dernières s’élargissaient petit à petit jusqu’à former une couverture artificielle dense et compacte, aux contours bien définis, qui masquait totalement la lumière du soleil. Les opérations étaient conduites principalement à l’aide d’avions KC-10, KC-135, MD-80, MD-81, Tupolev et Learjet.
b) Ces activités commençaient aux alentours de 9h30 et se poursuivaient jusqu'à la destruction totale de tous les cumulus de beau temps qui avaient pu se former naturellement dans les heures précédentes. Habituellement, cette dévastation se terminait vers la fin de la matinée ou, au plus tard, en tout début d'après midi. Après cela, la mission étant accomplie, tout ce trafic aérien s’interrompait brusquement. A noter qu’à cette époque, il leur fallait de nombreuses heures pour détruire quelques kilomètres carrés de formations nuageuses. Il n’en n’est plus de même aujourd’hui. Là où, auparavant, il aurait fallu des dizaines d'avions durant plusieurs heures, les choses peuvent désormais être réalisées en peu de temps avec un nombre réellement limité d'avions.
c) Les survols de nuit étaient sporadiques et, de fait, on pouvait encore observer des nuages bas cumuliformes, de jour comme de nuit, au moins tant qu’ils n’avaient pas été détruits. Le ciel était encore à peu près bleu et non pas blanc.
d) Au moins pour ce qui concerne San Remo, objet de notre observation constante, les activités de géo-ingénierie clandestine se concentraient sur le week-end, alors que les autres jours de la semaine, aucun avion de ce type n’était observé aux altitudes en cause et le ciel était naturel.
e) AUCUN AVION ne produisait de traînée de type évanescent ou non persistant.
Au tout début de l’année 2007, les choses ont changé. Les traînées chimiques évanescentes ont fait leur première apparition. Elles pouvaient être observées à la fin des opérations impliquant l’utilisation de traînées chimiques durables et une fois que les formations nuageuses naturelles avaient été dissoutes.
À l'époque, nous les nommions « traînées de maintenance », dans la mesure où ces traces éphémères visaient clairement à empêcher la formation de nouveaux nuages bas, en réduisant le taux d'humidité relative (HR), comme le prouvent les mesures enregistrées par les radiosondes de la zone.
Dans le même temps, a été initiée une opération de dissimulation, puisque beaucoup les qualifiaient, comme cela arrive encore aujourd'hui, de traînées de condensation. Ce résultat déplaisant, nous le devons à la caisse de résonance erronée qui, depuis des années, jacasse sur les traînées persistantes, qui seraient prétendument l’unique caractéristique permettant de distinguer les chemtrails des traînées de condensation. Ne soyez pas dupes! Aucun avion volant tellement bas qu’on peut le voir à l'œil nu, ne peut émettre de traînée, y compris non persistante.
Il est nécessaire d’insister sur le fait que les épandages avaient lieu en plein jour. Ils ne débutaient pas avant 9 h30 le matin et se terminaient dès que les nuages naturels étaientremplacés par des nuages artificiels, généralement en début d'après midi. Ceci est particulièrement important et nous verrons pourquoi par la suite
C'est justement en 2007 que sur les sites météo et dans les prévisions de l'Armée de l'Air italienne pour la RAI est apparue pour la première fois l’expression « voiles inoffensifs ». Inoffensifs ? Pour quels motifs avaient-ils besoin de préciser qu'ils étaient inoffensifs?
Cette année là, la pression fut forte sur les météorologues qui ont dû d’une manière ou d’une autre justifier la présence de centaines de traînées persistantes, longues de centaines de kilomètres (un non sens du point de vue des mécanismes physiques en jeu dans la formation des contrails), sur les cartes satellites. Même la NASA est venue à leur rescousse. L’organisme géré par le Pentagone a publié un certain nombre de documents « scientifiques » dans lesquels elle « expliquait » qu’il s’agissait de « contrails » et que les « experts » essayaient de chercher à comprendre pour quelles raisons les traînées obscurcissaient le ciel et contribuaient à l'effet de serre. Pauvres idiots, dirons-nous, mais en réalité ce sont eux qui traitent l’opinion publique comme une masse d'imbéciles et ils y arrivent très bien! Même les astronautes italiens s’y sont mis, en publiant des photos instantanées prises en orbite, de ce qu’ils ont qualifié de « fascinantes traînées de condensations, témoignage de la civilisation ». La propagande orwellienne a été mise en branle.
Même dans les films, dans les documentaires, sur les panneaux publicitaires, dans les spots télé, dans les livres scolaires, on a vu fleurir pléthore de « traînées de condensation » décoratives. Les gens devaient s'habituer ! Et ils se sont habitués.
Cependant, la connaissance du phénomène « chemtrails » s’est propagée, à la mesure de la véhémence des actions perturbatrices de la désinformation: les architectes des opérations de guerre climatique ne se sentirent pas en sécurité.
Les stratégies changèrent donc et, en 2009, la priorité a été donnée à celle que le langage militaire appelle « dissimulation » ou « camouflage ». Les italiens ont été les premiers à mettre en pratique ces nouvelles techniques et ce n'est pas un hasard, car c’est dans notre pays que la connaissance du phénomène, grâce à quelques lanceurs d’alerte, augmentait de façon préoccupante, plus que partout ailleurs.
Ils ont donc décidé de décaler la quasi-totalité des opérations d'aérosols à traînées persistantes durant la nuit, afin d’épandre une épaisse couche de particules hygroscopiques sous le couvert de l'obscurité : c’est une méthode utile pour éviter la formation de cumulus en début de matinée, juste avant le lever dusoleil. Cela contribue à prévenir la formation de nuages bas, au lieu de les détruire quand ils sont déjà formés.
Cette couverture nuageuse neurotoxique est tout à fait repérable sur les cartes SAT24, de l'aube aux premières heures de la matinée. Progressivement, elle s’étend aux basses altitudes, formant un brouillard blanc dense, tandis que les quelques maigres nuages s’en trouvent désagrégés. Celui qui se lève tôt le matin peut remarquer les allées et retours frénétiques des avions qui libèrent des traînées persistantes. Ces avions disparaissent soudainement, avant l'aube. Le ciel est déjà clair : il n'y a pas un seul nuage ! Partout, flotte la nuée des retombées ... celle-là même que l'on voit sur les cartes satellites en temps réel. Le ciel a déjà pris sa coloration blanchâtre mortelle due à la présence de nanoparticules métalliques. Les métaux reflètent la lumière du soleil, donnant au ciel cette couleur cadavérique à laquelle beaucoup sont maintenant, hélas, devenus accros. Attention ! Ici il y a une différence majeure : nous assistons à la présence d'une couverture illimitée blanchâtre, légèrement bleutée (la couleur vient d’additifs à base de manganèse). Plus un seul nuage, que des traînées. Dans les années précédentes, la couverture artificielle avait des frontières nettes et on pouvait remarquer, s’élargissant, les traînées d’avions persistantes, en forme de quadrillage, qui en étaient à l’origine. A l'étranger, c’est une pratique qui est toujours de mise. A croire que la physique de l’atmosphère serait différente en dehors des frontières italiennes ?
Pendant les heures diurnes, donc, la survenue de conditions propices à la formation de nuages cumuliformes ayant déjà été empêchée pendant la nuit, ils continuent leur travail en catimini, à l'aide de petits avions (généralement des A-319 et des A-320 appartenant à diverses compagnies civiles), qui relâchent à basse altitude des éléments hygroscopiques évanescents qu'il est difficile de distinguer, tant ils se dispersent en quelques secondes ou minutes.
Beaucoup pensent que ce sont des traînées de condensation et que ces avions, plus petits à l'œil nu, sont à des altitudes très élevées : en réalité ils croisent à la hauteur des cumulus, parce que les courants ascendants sont exploités de telle sorte que les particules hygroscopiques phagocytent les nuages, à peine en contact avec eux.
Comme le confirment les bulletins météorologiques, la formation de nuages bas est limitée aux zones situées dans l’intérieur des terres, avec une faible densité de population et / ou en l'absence d’antennes UMTS et de stations Wifi. Là les survols à basse altitude sont presque absents ou rares, et en fait, des nuages se forment encore. En règle générale, donc, tel qu’accepté par les météorologues, il pleut dans les terres (où l'eau contenue dans les hydrométéores est après tout un problème mineur), mais pas sur les zones résidentielles ou sur la côte. Ceci doit être considéré dans le cadre du projet RFMP. Cette courte vidéo en décrit les dynamiques.
Donc, résumons.
Aujourd'hui, en 2014, les traînées persistantes hygroscopiques de type durable sont utilisées UNIQUEMENT s’il est nécessaire de bloquer, dévier ou inhiber un front de perturbation. Dans les autres circonstances et surtout en présence de hautes pressions, sont dispersés (en journée) des produits chimiques à faible persistance, facilement pris pour des traînées de condensation, ce qu'ils ne sont pas, de toute évidence, compte tenu de l’altitude à laquelle ils sont relâchés. Au moins jusqu'en 2009, comme indiqué, les opérations de guerre climatique se concentraient durant la nuit, à l’abri des regards indiscrets et on ne pouvait voir que les nuits de pleine lune ce que ces criminels manigançaient. Depuis quelques années désormais la plupart des activités clandestines d’aérosols est l'apanage des avions commerciaux, grâce à l'utilisation de carburant et d'additifs ad hoc. Il suffit de visiter les portails des grandes compagnies pétrolières (parmi lesquelles on trouve aussi une compagnie italienne) pour vérifier par soi-même que la forte concentration, dans l'eau de pluie et dans les nappes phréatiques de métaux tels que l'aluminium, le baryum et le manganèse, est due à l'utilisation de tels éléments dans les additifs et les carburants d’avion, quoi qu’en dise la désinformation. L'ex-ministre de la Défense du gouvernement Berlusconi avait raison de dire que les militaires n’étaient pas engagés dans des opérations de guerre climatique.
C'est vrai ... ils ont délégué en grande partie le sale boulot aux compagnies aériennes civiles, comme suggéré par Edward Teller en 1997. Toutefois, ils sont en capacité de prévoir les voiles artificiels ...
Insignifiantes, donc, les modifications à apporter aux aéronefs civils et militaires, au sujet desquels les témoignages d’ingénieurs aérospatiaux séditieux qui ont raconté avoir installé des bombonnes à bord d’appareils militaires seraient donc affabulatoires et dénués de tout fondement.
Maintenant, si, comme le prétendent les « négationnistes », ce ne sont que des traînées de condensation, comment expliquer que leur apparence ainsi que leur évolution aient changé au fil des ans et de manière objective, données en main, que le trafic civil soit maintenant plus intense la nuit plutôt que le jour ?
Nous aimerions poser ces questions et bien d'autres au lieutenant Stefania De Angelis (Office général pour la communication de l'Armée de l'Air). Sera-t-il disposé à nous répondre ? Nous en doutons beaucoup.
Pour conclure, nous voulons présenter l'extrait d'une loi italienne datant de 1994, qui montre de quelle manière la guerre météorologique a été ratifiée par nos gouvernants, bien que ces derniers feignent ne pas être au courant. Il se trouvera certainement quelqu’un pour demander : « Mais si les chemtrails sont utilisés pour empêcher la pluie, pourquoi les tempêtes se produisent-elles ? ». Nous répondrons avec les mots du météorologue officiel Luca Mercalli, qui, interrogé sur la question, dit ostensiblement: « L'eau doit bien finir par tomber quelque part ! ». Ainsi, si nous inhibons les précipitations dans une zone donnée, elles se reportent dans une autre, avec une plus grande véhémence.
Loi 36/94
Usages de l'eau
1. [..]
2. Avec le décret pris, dans les six mois à compter de la date d'entrée en vigueur de la présente loi, par le ministre de l'Environnement (n.d.r Altero Matteoli) et le ministre des Travaux publics, conformément à l'article 17, paragraphe 3, de la loi du 23 Août 1988, no. 400, a été adopté le règlement relatif à la gestion des modifications artificielles de la phase atmosphérique du cycle naturel de l'eau.