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Ciel Voilé

Résultat pour “qu'est-ce qui a causé la grippe espagnole ?”

Les « guerriers du climat » vaincus par la banquise

28 Septembre 2019, 13:48pm

Les « guerriers du climat » vaincus par la banquise

Par Rémy Prud’homme, Professeur des Universités (émérite)

     Tous les savants du monde, d’Al Gore à Greta, le savent et le disent : la banquise du pôle nord fond rapidement. En fait, elle a déjà fondu. En 2007, Al Gore, conjointement avec le GIEC, recevait le prix Nobel (de la paix, pas de science, mais passons), et il déclarait à Oslo : « La banquise est en chute libre … Une étude récente nous avertit qu’elle pourrait avoir complètement disparu l’été dans sept ans seulement ». Dans sept ans, en 2014 donc. Les membres du GIEC présents avaient chaleureusement applaudi ce magnifique discours prophétique.

     Armés de beaucoup de courage, et surtout d’argent, 17 guerrier/ère/s du climat (c’est ainsi qu’ils se nomment) ont donc, fin août 2019, affrété un bateau de croisière suédois spécialisé, le Malmo, fonctionnant au mazout, et sont partis vers le pôle nord. Ils voulaient voir par eux mêmes la mort de la banquise, et la filmer pour l’éducation des masses encore ignorantes.

     Ils ont vu. Arrivé aux iles Svalbard, à 1400 km du pôle, le Malmo a été bloqué, puis encerclé par les glaces, comme dans un roman de Jules Verne. La banquise-qui-n’existe-plus avait gagné. Plus moyen d’avancer, ni de reculer. Les ours blancs, qui-ont-également- disparu, nombreux dans ces parages, et affamés, pouvaient venir manger nos valeureux et savants combattants. Ces derniers ont du être secourus par hélicoptère (toujours au mazout). On ne sait pas si cette retraite stratégique a été filmée par l’équipe de cinéastes embarquée.

     Bien entendu, cette histoire hilarante ne prouve rien du tout sur l’évolution du climat à moyen ou long terme. Mais elle renseigne sur l’instrumentalisation de la science  de l’environnement.

     L’évolution de la banquise arctique, qui est un phénomène complexe, est en fait étudiée et bien connue. L’Institut Météorologique Danois, ou le  Centre de données sur la neige et la glace arctique de l’Université du Colorado, par exemple, permettent de suivre les évolutions en temps réel. Si au lieu de crier avec les loups nos militants cherchaient à s’informer, ils sauraient que la banquise du pôle nord, qui s’est beaucoup réduite dans les années 1990, a tendance à se stabiliser depuis une quinzaine d’années : en septembre 2019, elle est certes moins étendue qu’en 1990, mais elle est plus étendue (d’environ un million de km carrés, excusez du peu) qu’en 2012. Et ils auraient fait preuve d’un peu plus de prudence.

      La mésaventure du Malmo a été systématiquement cachée par les grands médias (radios, journaux, télévision) français et étranger.

     Elle n’aura certainement pas entamée les certitudes de nos hélitreuillés. Comme dit Proust : « Les faits ne pénètrent pas dans le monde où vivent nos croyances, ils n’ont pas fait naître celles-ci, ils ne les détruisent pas ; ils peuvent leur infliger les plus constants démentis sans les affaiblir ».

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LEVEE DE LA SANCTION CONTRE LE Pr CHRISTIAN PERRONNE

20 Décembre 2020, 08:07am

LEVEE DE LA SANCTION CONTRE LE Pr CHRISTIAN PERRONNE

snmh-fo le 18 décembre 2020

 

Paris le 18/12/20

 

L’AP-HP a annoncé ce jeudi 17 décembre avoir mis fin aux fonctions de chef de service du Professeur  Christian Perronne, chef du service des maladies infectieuses et tropicales de l’hôpital Raymond Poincaré à Garches. Cette décision lui a été signifiée sans préambules  par M. Martin Hirsch le directeur général de l’AP-HP, lui reprochant d’avoir notamment affirmé que les malades du Covid représentaient une aubaine financière pour des médecins, « des propos considérés comme indignes de la fonction qu’il exerce ».

Le SNMH-FO est très inquiet de ce qui se passe, en ce moment,  au regard de questions aussi fondamentales que la liberté de pensée, la liberté d’expression. Et, particulièrement pour ce qui nous concerne, dans le domaine de la médecine, la liberté de prescrire et la liberté de la pensée médicale.

Il ne s’agit pas des discussions entre médecins sur les thérapeutiques possibles, les moyens à utiliser en matière de diagnostic, d’interprétation des données cliniques et biologiques pour soigner au mieux les malades. Elles ont toujours eu lieu. La médecine n’est pas une science exacte, mais un art. C’est surtout une pratique où les échanges et les confrontations des expériences individuelles des médecins sont essentiels. Dès lors, les médecins discutent, ne sont pas toujours d’accord entre eux, surtout quand il s’agit de maladies nouvelles et ne se sont jamais privés d’en parler.

Il peut arriver que ces discussions, normales, salutaires, prennent une tournure moins courtoise. Il peut même arriver qu’il y ait des outrances. Les différends concernant la confraternité peuvent toujours se régler par la conciliation. En outre, il y a toujours la possibilité, pour un médecin s’estimant diffamé d’en demander réparation à la justice.

Le SNMH-FO  n’a nullement l’intention d’entrer dans le débat sur les positions médicales des uns ou des autres.

Le SNMH-FO comme syndicat, totalement impliqué dans les fondements de sa Confédération, se situe sur le terrain de la défense des intérêts matériels et moraux de ses mandants, les médecins hospitaliers de tous  statuts, PH et hospitalo-universitaires.

  • Sur le terrain des intérêts matériels des médecins hospitaliers :

Le SNMH-FO qui le premier a alerté sur la question de la grille « pseudo revalorisée » appelle à la grève du 11 janvier avec le SNPHARE pour défendre ce statut de médecins hospitaliers dans toutes ses données dont l’excellence et l’indépendance font partie, ce qui justifie de ne pas accepter la nouvelle grille du Ségur. C’est ce qui motive l’ensemble du corps médical dans la mobilisation qui se prépare.

  • Sur le terrain des intérêts moraux des médecins hospitaliers

Les opinions et expressions sur les traitements médicaux relèvent de la liberté de penser et de s’exprimer. Aucune «  autorité » ne peut demander aux médecins de se plier à une « vérité officielle ».

 



 
 

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Priartem : communiqué de presse du 29 septembre 2020

2 Octobre 2020, 14:08pm

Priartem : communiqué de presse du 29 septembre 2020

COMMUNIQUÉ DE PRESSE DU 29/09/2020

Mardi 29 septembre marque une étape décisive dans le dossier 5G avec le lancement officiel par l’ARCEP de la procédure d’enchères des fréquences, permettant aux quatre opérateurs déjà assurés d’obtenir un accès minimal à la 5G, d’acquérir plus de fréquences.

Côté société civile, cette date symbolise l’incapacité de l’Etat à respecter les règles qu’il s’impose à lui-même en matière d’environnement et à tenir compte des attentes de la société.

Pour François Lafforgue, avocat des associations, « le dossier de la 5G est conduit en dépit du bon sens, s’affranchissant des règles de droit, prévoyant une évaluation environnementale. Faute d’évaluations sérieuses et malgré leurs alertes, les associations n’ont d’autres choix que de saisir le Conseil d’État ».

Pour Ginette Vastel, de France Nature Environnement, « il est maintenant clair que la Convention citoyenne sur le Climat qui a demandé un moratoire le temps d’évaluer la 5G, est totalement désavouée. Les maires demandant un débat ont été raillés. Dans ces conditions, comment croire encore à un dialogue environnemental honnête et contradictoire fondé sur des données objectives ? »

Sophie Pelletier, présidente de PRIARTEM, condamne l’inconséquence avec laquelle le volet sanitaire a été traité : « L’État contrevient aux recommandations de réduction des expositions aux ondes radiofréquences émises de longue date par son agence sanitaire.

Le rapport commandité dans l’urgence aux inspections cet été n’a d’autre objectif que de garantir une sorte d’immunité aux décideurs en concluant qu’il n’y a pas de risque avéré et que si des risques existent la preuve formelle sera difficile à établir ». Elle s’insurge contre ce pari fou à l’encontre de la santé de la population : « Effet suspecté sur les cancers, effet avéré sur l’activité cérébrale, normes inadéquates pour les enfants, personnes devenues électrosensibles vivant un enfer... pendant combien de temps encore servirons-nous de cobayes ? ».

Stephen Kerckove, délégué général d’Agir pour l’Environnement va plus loin : « Incapable de justifier ses choix technologiques et stratégiques dans le contexte de crise écologique autrement que par des arguments approximatifs voire mensongers, l’État passe en force en misant sur le dénigrement des voix s’y opposant. Aujourd’hui, il récolte une levée de boucliers y compris dans des milieux a priori technophiles ». Dans cette situation, les associations continuent à plaider pour un véritable débat public mené en toute indépendance. Elles appellent les citoyens et les maires à amplifier la mobilisation afin de bloquer le développement de la 5G tant qu’une évaluation sérieuse n’aura pas été conduite dans les règles de l’art.

Face à l’entêtement du gouvernement, les associations poursuivent leur action judiciaire devant le Conseil d’État, afin notamment d’obtenir la suspension, en référé, puis l’annulation de l’attribution des fréquences. Elles entendent obtenir une véritable évaluation environnementale permettant d’évaluer sérieusement les effets écologiques et sanitaires de la 5G.

 

P.R.I.A.R.T.EM - Association Loi de 1901
Boite 64 - 206 quai de Valmy - 75010 Paris
Tél : 01 42 47 81 54 - Fax : 01 42 47 01 65 - Contactez-nous
 

 

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Un convoi massif de camionneurs lève 1,3 million de dollars pour alimenter la manifestation contre l'obligation vaccinale en direction d’Ottawa

24 Janvier 2022, 20:40pm

Un convoi massif de camionneurs lève 1,3 million de dollars pour alimenter la manifestation contre l'obligation vaccinale en direction d’Ottawa

"Des milliers d'entre nous garerons nos camions sur la Colline du Parlement aussi longtemps qu'il le faudra", déclare l'organisateur

 

Jared Gnam – The Epoch Time – Le 24 janvier 2022

 

VANCOUVER—Après avoir recueilli 1,3 million de dollars en une semaine, un groupe massif de camionneurs parcourt le pays pour camper dans la capitale du Canada jusqu’à ce que l'obligation vaccinal contre la Covid-19 pour les camionneurs soit levée.

 

Le Freedom Convoy 2022 devrait partir de la côte ouest le 23 janvier, se dirigeant de la Colombie-Britannique à Ottawa. Des camionneurs de toutes les provinces prévoient de se joindre à un groupe appelé Canada Unity et de former une grande manifestation contre le mandat dans la capitale nationale le 29 janvier.

 

« Des milliers d’entre nous gareront nos camions sur la Colline du Parlement aussi longtemps qu’il le faudra jusqu’à ce que les obligations vaccinales soient levées », a déclaré Tamara Lich, une organisatrice principale, à Epoch Times.

 

Lich, qui travaille dans l’industrie pétrolière et gazière de l’Alberta, a déclaré que lorsqu’elle et quelques-uns de ses amis camionneurs ont lancé une  campagne GoFundMe le 14 janvier, elle ne s’attendait pas au soutien qu’ils ont reçu.

 

« Ça a été écrasant », a déclaré Lich. « Je vois des Canadiens se rassembler comme je ne l’ai jamais vu auparavant.

 

La campagne a recueilli 1 299 477 $ au matin du 22 janvier.

 

Tamara Lich, organisatrice de Freedom Convoy 2022.

 

La prochaine manifestation des camionneurs survient alors que l’industrie est déjà aux prises avec une pénurie de chauffeurs et que le pays est aux prises avec des perturbations de la chaîne d’approvisionnement et des taux d’inflation les plus élevés depuis 30 ans .

 

En vertu du mandat fédéral entré en vigueur le 15 janvier, tous les camionneurs entrant au Canada doivent être entièrement vaccinés. Les conducteurs canadiens non vaccinés devront subir des tests et une mise en quarantaine à leur entrée, et les conducteurs non canadiens ne seront pas autorisés à entrer.

 

Lich dit qu’elle connaît de nombreuses personnes dans l’industrie qui ont été affectées par l'obligation vaccinale. L’objectif du groupe est d’exiger que le gouvernement fédéral mette fin non seulement à l'obligation vaccinale pour les camionneurs, mais à toutes les autres obligations Covid-19 dans le pays.

« Les petites entreprises sont détruites, les maisons sont détruites et les gens sont maltraités et privés des nécessités fondamentales pour survivre », lit-on sur la page de la campagne GoFundMe.

 

Lich estime qu’environ 2 000 camionneurs rejoindront le convoi en provenance de l’Ouest canadien. Deux autres convois ont des points de départ différents : la route sud partira le 27 janvier de Windsor, en Ontario, tandis que la route est partira le même jour d’Enfield, en Nouvelle-Écosse.

 

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Analyses de vaccins par une association italienne Corvelva

27 Juin 2019, 20:26pm

Publié par Michel Dogna

Analyses de vaccins par une association italienne Corvelva

Michel Dogna - le 27 juin 2019

 

L'association pour la liberté de vaccination, Corvelva, fondée en 1993 et composée de scientifiques et de juristes, a annoncé avoir reçu un don de 10.000 euros de l'Ordre national des biologistes italiens le 26 octobre 2018 afin de tester la sécurité et l'efficacité des vaccins couramment utilisés pour la vaccination des enfants. 

Le premier vaccin qu'ils ont testé de manière approfondie avec ce don est Infanrix Hexa, un vaccin "six en un" fabriqué par GlaxoSmithKline (GSK) qui est supposé contenir les antigènes suivants :

• taxoïdes du tétanos,
• de la diphtérie et de la coqueluche,
• souches virales 1-2-3 inactivées de la poliomyélite,
• antigène de surface de l'hépatite B.

Corvelva n'a trouvé AUCUN de ces antigènes dans le vaccin, ce qui signifie qu'aucun anticorps ne serait créé contre les antigènes prévus. Non seulement aucun antigènes vaccinaux n'ont été détectés, mais ils ont trouvé ce qui suit :

des traces de 65 contaminants chimiques dont 35% seulement sont connus, issus du processus de fabrication ou de contamination croisée avec d'autres chaînes de fabrication,
• toxines chimiques,
• toxines peptidiques bactériennes, des allergènes potentiels capables d'induire des réactions auto-immunes,
• macromolécule insoluble et non digestible qui réagit au dosage des protéines, mais qui ne peut être reconnue par aucune base de données de protéines. 

Vous pouvez trouver le résumé des premières analyses du vaccin Infanrix Hexa, de l'Association Corvelva sur leur site : 

https://www.corvelva.it/speciali-corvelva/analisi/vaccingate-initial-results-on-infanrix-hexa-chemical-composition.html 

Le 24 décembre 2018, sur leur site, Corvelva a publié une mise à jour concernant les résultats d'analyses, débutées il y a quelques mois, du vaccin Priorix Tetra (rougeole-rubéole-oreillons-varicelle) fabriqué par GlaxoSmithKline (GSK)
Les analyses précédentes montraient des problèmes au niveau des mutations dans le génome des virus et au niveau des quantités absurdes d’ADN.  L'extension des analyses chimiques/protéines révèlent la présence de traces de composés de contaminants résiduels, dont :

des traces du médicament Vigabatrin et Gabapentine (antiépileptiques),
• d'un médicament expérimental anti-VIH,
• d'antibiotiques,
• d'herbicides,
• d'acaricides (insecticides),
• de métabolites de la morphine,
• de la petite "pilule bleue"...,
• à vos souhaits !

Mais ce n'est pas tout...

La présence d'ADN fœtal en grande quantité a été confirmée (1,7 µg dans le premier lot et 3,7 µg dans le deuxième lot), soit environ 325 fois la limite maximale fixée à 10 nanogrammes et 325 000 fois supérieur à la limite minimale de 10 picogrammes. 
• Les cellules issues de bébés avortés font partie de la composition des vaccins, c'est connu et utilisé depuis les années 60 !

La suite sur le site de Michel Dogna

 

 

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Qui pousse la 5G ?

30 Mars 2019, 08:34am

Qui pousse la 5G ?

Publié le 19/03/2019 par Dean Henderson -Traduction  Ciel voilé

 

https://hendersonlefthook.wordpress.com/2019/03/19/whos-behind-the-5g-cull-of-humanity/

 

 

En 1999, le scientifique HP Richard P. Walker a obtenu un brevet pour ce qui allait devenir l’internet du tout connecté, maintenant plus connu sous le nom de 5G. Walker et le reste de ses collègues de la Silicon Valley ont reçu de la technologie militaire de Lockheed Martin et IBM.


HP a créé Agilent Technologies, structure qui mettra à profit le brevet Walker. Tous les brevets ultérieurs relatifs à la 5G seront mystérieusement absorbés par Agilent, que ce soit dans les domaines de la surveillance, de la cybernétique, du génie génétique, du puçage humain ou des activités criminelles.


La société qui fait progresser le brevet Agilent de Walker est SERCO, une puissante société britannique proche de Lockheed Martin, General Electric et BAE Systems. La première et la dernière sont les deux plus grandes entreprises fournissant la Défense dans le monde. Toutes les quatre font partie de Crown Agents USA Inc. La reine Elizabeth II disposait d'actions de veto dans SERCO, via British Nuclear Fuels (BNFL).


En 2000, SERCO et Lockheed Martin ont pris le contrôle du site d’armes britannique Aldermaston. Ils contrôlent également les deux tiers de la société britannique Atomic Weapons Establishment (AWE). L’autre tiers appartenait à BNFL. Au cours de la dernière décennie, AWE a commencé à exporter de l'uranium enrichi des États-Unis, volé sur une installation d'Eunice, au Nouveau-Mexique, par l'intermédiaire de sa filiale URINCO. Le Highland Group, composé notamment des Clinton et de Robert Mueller, les y a aidés..


SERCO contrôle l'immigration et possède un laboratoire de pathologie au Royaume-Uni et gère des centres de détention, des prisons et des hôpitaux en Australie et en Nouvelle-Zélande. Mais l'essentiel de ses revenus provient de contrats sans appel d'offres du gouvernement américain qui lui ont été accordés par des membres du Senior Executive Services (SES). SES est composé d'initiés du gouvernement qui, contrairement à un fonctionnaire typique, ne peuvent être licenciés après un an de service. Le président Obama en a nommé 8 000.


Les membres de SES sont en fait des agents de la Couronne britannique qui transmettent les contrats, les innovations, les ressources et les informations sensibles du gouvernement américain à leurs patrons de la Couronne.


SERCO reçoit entre 15 et 20 milliards de dollars par an de contrats du gouvernement américain. SERCO gère 63 tours de contrôle de la circulation aérienne, gère Obama Care, des parcomètres urbains, des parcs, des bus et des trains, des prêts outre-mer à des sociétés d'outre-mer (OPIC) et gère les envois de l'USAID.


Mais 75% des contrats de SERCO sont passés avec le ministère de la Défense. Avec des bureaux dans les centres bancaires offshore d'argent sale de Guernesey, Jersey et des îles Caïmans contrôlés par la Banque d'Angleterre, SERCO assure la «sécurité» de toutes les branches de l'armée américaine et de nos services du renseignement.


SERCO participe activement au programme spatial américain via Aerospace Corporation, qui prévoit de déployer 24 000 nouveaux satellites 5G via Elon Musk SpaceX et OneWeb d’Amazon au cours de la prochaine année. SERCO a également conclu avec la Fondation Millenium de Bill Gates des contrats portant sur la stérilisation d'africains et d’indiens par la vaccination.


Fondé en 1929, SERCO est issu de RCA, un autre agent de la Couronne devenu General Electric (GE). RCA est surtout connu pour ses appareils électroniques grand public mais son activité principale était le radar et le sonar militaires. C'est cette même technologie qui est actuellement déployée en tant que 5G. Dans mon livre « Big Oil & Their Bankers »…, je cite RCA comme un acteur clé de l'assassinat du président John F. Kennedy par la Couronne.


Au début des années 1960, RCA développa le système britannique d’alerte rapide concernant les missiles balistiques. Au cours des années 80, ils ont obtenu le contrat de soutien à la nouvelle Agence spatiale européenne et ont commencé à entretenir les lampadaires de Londres. En 1987, une grande part de RCA était absorbée par GE, le reste par SERCO.


Au cours des années 90, SERCO a lancé ses « services » à l’international, en se concentrant sur les pays de l’Alliance Five Eyes (Royaume-Uni, Canada, Australie, Nouvelle-Zélande et États-Unis). Trois de ces pays font partie du Commonwealth et sont donc directement contrôlés par la Couronne britannique. SERCO opère également dans les monarchies fantoches du Conseil de Coopération du Golfe (GCC) au Moyen-Orient, où elle gère toutes les opérations de contrôle du trafic aérien. SERCO a également pris le contrôle de l’autorité de l’aviation civile iraquienne. Cela facilite grandement le trafic de drogue, d'armes, de pétrole et d'humains entrant et sortant de cette région.


SERCO fournit un « soutien technique » à l’accélérateur de particules du CERN, gère les services de transport à l’hôpital North District de Hong Kong (un autre centre majeur du trafic de drogue) et fournit un «soutien» aux bases militaires des nations Five Eyes. SERCO gère le laboratoire national de physique du Royaume-Uni et entraîne des soldats aux États-Unis et en Allemagne.


SERCO domine également les contrats de l'US Homeland Security et est responsable de la région 9 de la FEMA, qui comprend l'Alaska, Hawaï et la côte ouest des États-Unis, qui a récemment connu une série de catastrophes qui ne sont pas si naturelles.


SERCO est devenu en 2014 le fournisseur informatique du Parlement Européen, a commencé à former les pompiers américains en Afghanistan en 2016 et a commencé à exploiter des satellites météorologiques européens en 2017.


SERCO se spécialise dans le traitement des cyber-données sensibles, y compris les casiers judiciaires, les dossiers de permis de conduire, les dossiers de vaccination, les bases de données ADN, les dossiers militaires et les communications. Ce qui leur permet de contrôler complètement les gouvernements Five Eyes et leurs citoyens.


Mais l’infiltration de services de communication gouvernementaux la plus importante de SERCO a eu lieu en 2015, avec l’attribution du contrat de classification des brevets aux États-Unis, qui pour l'essentiel gère l’Office américain des brevets. À ce titre, ils sont en mesure de piloter et de gérer le brevet Walker 5G dans la direction souhaitée par la Couronne.


Cette direction, selon leurs propres documents, consiste en une réduction de 70% de la population britannique d'ici 2025, et des réductions du même ordre dans le monde entier.


SERCO est dirigé par deux chevaliers hospitaliers britanniques, Sir Roy Gardner est le président de SERCO qui gère, selon le site Internet de SERCO, « les relations avec la City (de Londres) et les principales parties prenantes (la reine Elizabeth II)». Le PDG, Rupert Soames, est le petit-fils de Winston Churchill. En 2010, il a été nommé officier de l'ordre de l'empire britannique (ce qui, bien sûr, n'existe pas).


Tous deux viennent de l'agent de la Couronne, General Electric, qui fabrique les compteurs intelligents et l'éclairage DEL déployés avant la 5G. Monsanto (qui fait maintenant partie du descendant nazi d’IG Farben, Bayer), est également tenu par la Couronne, ce qui explique pourquoi le Roundup continue à empoisonner l’humanité.


De nombreuses personnes identifient maintenant les multiples menaces qui pèsent sur l’humanité, des chemtrails à la fluoration de l'eau en passant par les vaccins, le glyphosphate et la 5G. Cette prise de conscience a pris une ampleur telle que l’oligarchie interdit désormais ces informations à DARPAnet. Quelques autres ont identifié ces attaques comme une tentative coordonnée de réduire de 90% le nombre d'êtres humains.


Mais la prochaine tâche à accomplir dans cette enquête criminelle est la plus importante et doit devenir notre priorité. Nous devons identifier les criminels. Depuis des décennies, l’oligarchie banquière au pouvoir, les Illuminati, exprime son obsession de la surpopulation. Le mari de la reine Elizabeth, le Prince Philip, a exprimé son désir de se réincarner en parasite afin de détruire l’humanité.


Mais il semble que la Couronne n’attende pas cette éventualité. Dans son programme d'accélération en vue de « l'abattage » de milliards d'êtres humains de cette planète, SERCO est le pivot qui implique la Couronne comme coupable de ce génocide bien planifié. La 5G est la clef de leur plan et doit être stoppée.


Quiconque protège ou soutient ces criminels est un traître à son pays. Toute personne consciente doit diffuser cet acte d'accusation à sa famille, à ses amis, à ses voisins et aux organismes chargés de l'application de la loi. Il est temps de concentrer toute notre énergie sur l’ennemi et de mettre ces sociopathes lucifériens sous clef avant qu’il ne soit trop tard.

Dean Henderson


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Nuages et plastique : les microplastiques sont partout

16 Mars 2024, 19:20pm

Nuages et plastique : les microplastiques sont partout

https://cleantechnica.com/2023/10/05/cloudy-with-a-chance-of-plastics-microplastics-are-everywhere/

Médias Nexus https://www.instagram.com/p/Cx6BWn_g3-o/

 

Les objets du quotidien comme les vêtements, les emballages alimentaires, les cosmétiques et les pneus de voiture libèrent de minuscules particules de plastique, qui à leur tour se retrouvent dans le sang, les crottes de bébé, le placenta et le lait maternel. Selon des recherches récentes, les plastiques se trouvent même dans les tissus complexes et délicats qui constituent nos poumons.

 

Nous respirons environ 16 morceaux de microplastique chaque heure, soit l'équivalent d'une carte de crédit chaque semaine, selon une étude récente publiée dans la revue Physics of Fluids.


"Les gens n'auraient jamais pensé que nous pouvions inhaler des microplastiques, donc les données sont sous-estimées et les résultats sont plus graves", explique Saidul Islam, auteur principal de l'article et professeur à l'Université de technologie de Sydney.

 

Selon les chercheurs, ces plastiques peuvent se loger dans nos voies respiratoires et y rester au fil du temps. Pourtant, malgré son omniprésence dans l’environnement et dans notre corps, les scientifiques ne comprennent pas pleinement ses impacts à long terme sur notre santé.

 

Un rapport de 2019 publié dans Environmental Science & Technology a révélé que les Américains consomment chaque année environ 39 000 à 52 000 particules de microplastiques dans la nourriture et l’eau. C’est la taille de deux girafes en un an et la taille de la Tour Eiffel entière en une vie. Selon le Programme des Nations Unies pour l'environnement, des recherches sur plus de 13 000 produits chimiques associés aux plastiques ont révélé qu'au moins 3 200 d'entre eux se sont révélés dangereux pour la santé humaine. Des expériences en laboratoire ont montré que les microplastiques peuvent endommager les cellules humaines.

 

Les producteurs de plastique, comme la British Plastics Federation, ont souligné les traités internationaux qui visent à « éliminer, restreindre, réduire ou éliminer » les polluants organiques persistants (POP) de l’environnement afin de protéger la santé humaine. En réponse à un récent rapport de Greenpeace sur les produits chimiques toxiques présents dans les plastiques, BPF a répondu que lutter contre la pollution plastique « est essentiel, mais cela ne peut pas être fait de manière isolée, sans tenir compte de l’impact d’autres problèmes environnementaux mondiaux clés ».

 

La plupart des études ont tendance à se concentrer uniquement sur l’ingestion de microplastiques, même si nous inhalons également ces plastiques, a déclaré Islam. Son étude est l’une des premières du genre à quantifier la quantité que nous respirons.


« On ignore encore comment cela affecte réellement notre santé respiratoire », explique Islam. On sait que les particules de pollution atmosphérique pénètrent dans l’organisme et provoquent des millions de décès prématurés chaque année – on ne sait pas exactement dans quelle mesure cela est dû aux microplastiques.

 

Les experts commencent à établir une corrélation entre les microplastiques et l’inflammation pulmonaire, l’essoufflement et un risque plus élevé de cancer du poumon. Les recherches sur les rats suggèrent que lorsque les microplastiques infiltrent les cellules pulmonaires, ils peuvent commencer à perturber la composition cellulaire. Cela suggère que l’exposition aux microplastiques peut également provoquer des lésions pulmonaires chez l’homme.


Des études similaires suggèrent que les plastiques polypropylène – des matériaux rigides que l’on trouve souvent dans les contenants jetables, les pièces automobiles et même les masques utilisés pour empêcher la propagation du coronavirus – endommagent les mitochondries à l’intérieur des cellules, ce qui provoque également une inflammation des poumons.

 

"Nous avons besoin de plus d'études sur la manière dont le plastique s'incruste dans la surface des poumons, comment il agit sur la surface des poumons, comment sa toxicité augmente avec le temps et comment il crée des maladies", a déclaré Islam, ajoutant que son équipe envisageait d'aborder ces questions dans le futur. futur proche. "Nous commençons seulement à comprendre comment il se transporte dans les voies respiratoires."

 

Islam a mené des expériences sur trois formes et tailles différentes de microplastiques (sphérique, tétraédrique et cylindrique) (1,6, 2,56 et 5,56 microns). Il a découvert que la forme, la taille et les modes de respiration affectaient la destination des matériaux.

 

Les sujets de l’étude effectuant une activité physique vigoureuse et respirant fortement ont respiré plus de volume de plastique qu’au repos. Mais une respiration plus lente, associée au sommeil, était associée à des particules plus petites se logeant profondément dans les poumons.

 

"Habituellement, la plupart des microplastiques plus gros se déposent dans les cavités nasales et la trachée, car la cavité nasale agit comme un filtre", explique Islam. "Lorsque vous respirez lentement, des particules plus petites tombent dans les zones les plus profondes [du système respiratoire]." Islam a ajouté que les nanoparticules de plastique peuvent ensuite se déplacer vers différents organes du corps.


La recherche sur les microplastiques et la santé humaine en est encore à ses débuts, a déclaré Mary Johnson, chercheuse scientifique principale à Harvard T.H. École Chan de santé publique. Mais une chose est claire : chaque étape du cycle de vie du plastique a un impact disproportionné sur les communautés vulnérables.

 

"En général, les populations vulnérables courent un risque encore plus grand de subir les effets négatifs sur la santé de la production, de l'utilisation et de la dégradation des plastiques", explique Johnson. Elle a cité un rapport des Nations Unies de 2021 sur la pollution mondiale par les plastiques qui détaillait la situation des communautés autochtones.


l'extraction de pétrole, la contamination des réserves d'eau dans les communautés à faible revenu, les problèmes de santé parmi les communautés à prédominance noire vivant à proximité des raffineries de pétrole dans le Sud, entre autres dangers auxquels sont confrontées les communautés à risque. .

 

Une autre étude publiée plus tôt cette année dans Annals of Global Health a révélé que les travailleurs des combustibles fossiles, les producteurs de plastique et les communautés vivant à proximité des sites de production et d'élimination des plastiques connaissaient des taux plus élevés de certains cancers, de maladies respiratoires et de complications de grossesse et d'accouchement.


Environ 99 % du plastique provient de produits chimiques issus de combustibles fossiles et, tout au long de leur cycle de vie, la production de plastique génère environ 3,4 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre.


De nombreux cancérogènes humains et perturbateurs endocriniens connus, tels que les produits chimiques dits éternels, sont ajoutés aux plastiques pendant la production pour en améliorer les performances. « Les plastiques sont hautement toxiques », déclare Islam. « Parce que lorsque nous inhalons simplement le plastique, ce n’est pas seulement le plastique, il pourrait aussi contenir des produits chimiques plus toxiques. »


Une version plus longue de cet article est disponible sur Discover Magazine. Nexus Media News est un service d'information à but non lucratif et indépendant sur le plan rédactionnel qui couvre le changement climatique. Suivez-nous @NexusMediaNews.

 

Republié à partir de Nexus Media News. Par SOFIA QUAGLIA

 

Histoire connexe :

 

Les microplastiques sont littéralement partout

Il est de plus en plus difficile d’éviter les plastiques.

 

Dans une étude publiée dans Environmental Chemistry Letters le mois dernier, des scientifiques japonais ont documenté comment ils ont collecté l'eau des nuages ​​au sommet du mont Fuji et du mont Oyama pour réaliser une étude inédite sur les microplastiques en suspension dans l'air dans les nuages. L’équipe a observé des concentrations de microplastiques comprises entre 6,7 et 13,9 pièces par litre d’eau nuageuse.

 

Dans deux études distinctes menées à Saint-Louis, dans le Missouri, des chercheurs ont découvert de grandes quantités de microplastiques dans l'eau et les sédiments d'une grotte fermée aux humains depuis des décennies.


"Si le problème de la "pollution atmosphérique plastique" n'est pas traité de manière proactive, le changement climatique et les risques écologiques pourraient devenir une réalité, causant de graves dommages environnementaux irréversibles à l'avenir", a déclaré l'auteur principal de l'étude sur les nuages, Hiroshi Okochi de l'Université Waseda. a déclaré dans un communiqué.

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Aujourd'hui, le climat, c'est un programme

8 Juillet 2014, 06:56am

Publié par Ciel Voilé

 

 

 

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Interview  radiophonique du météorologue américain Scott Stevens  le 9 novembre 2012 pour la radio Veritas http://icietmaintenant.fr/SMF/index.php?topic=3719.795 Traduction française donnée par Diouf le 1er octobre 2013, revue par Ciel voilé


 « Pendant des années Scott Stevens a été météorologue pour plusieurs chaînes de télévision, il a obtenu plusieurs prix pour le sérieux de son travail. Il y a une dizaine d’années, il remarqua des anomalies dans le ciel et commença son enquête sur les chemtrails. Avec méthode et constance, il a découvert que notre climat est entièrement numérisé. Sa carrière s’est déroulée sur une période de 20 ans dans le Kansas, le Nebraska, l’Oaklahoma et New-York. Scott Stevens  a poursuivi ses investigations tout en sachant qu’il ne pourrait plus continuer à travailler pour les médias."

Question 1 : C’est la première fois pour Veritas qu’un météorologue vient parler des chemtrails. Dites-nous comment vous en êtes arrivé là, voulez-vous ?

 Oh là là…ça ne s’est pas fait en un jour ! C’est une évolution sur plusieurs années. Je connaissais le terme chemtrail dès 1998 et 5 ans plus tard je comprenais les mobiles de ces manifestations. Au départ c’est mon intérêt pour l’énergie du point zéro et les recherches assimilées qui m’ont mis sur la piste. Et en consultant le site du
Lt. Colonel Thomas Bearden, j’ai trouvé un article sur l’ingénierie du climat en Union Soviétique. Il y avait des photos de nuages étranges.

En 2000, j’ai acheté mon premier appareil photo numérique et ma « conversion » s’est faite graduellement, mais il y a eu vraiment un point de non-retour : c’est le jour où il y a eu pour moi un avant et un après.


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En allant à la pêche aux nuages, je regardais des images satellite en haute résolution, un front froid dans le Montana – j’étais dans l’est de l’Idaho – et je voyais des structures extrêmement régulières dans ce front froid. À l’époque j’étais conscient de l’existence de la technologie capable de créer  des courants d’air pour augmenter la force d’un ouragan, je le savais et j’acceptais que cette arme, ce programme, ait sa place quelque part au sein du système climatique mondial, mais je n’étais pas préparé à voir que l’empreinte de cette technologie était centrée non seulement sur des évènements climatiques majeurs mais aussi sur les affaires courantes de notre quotidien. C’est ce que j’ai vu, ce 6 juin 2000.

Ce qui a attiré mon attention dans cette imagerie satellite du Montana était un nuage carré, bien carré, découpé en face d’une vallée près de la ville de Billings. J’ai d’abord vu l’ombre du nuage car on était à la fin du jour si bien que l’ombre était repoussée vers l’est….je vois l’ombre, je vois le nuage carré…et du coup je fais attention aux détails. À environ 240 kilomètres vers l’ouest, il y a un vide dans ce front froid qui a la forme exacte d’un carré, il avait exactement  la même taille que ce nuage carré !


C’était comme s’il avait été découpé là-bas et inséré à cet endroit et là…j’ai senti mon estomac se retourner et je me suis trouvé mal pendant environ 30 minutes, le temps que je comprenne…J’ai réalisé à cet instant que le climat de notre planète avait été numérisé. Ils pouvaient disposer en étapes les actions HAARP d’une zone vers la suivante, puis la suivante et ainsi de suite. Je ne comprenais pas le rôle des chemtrails dans tout ça mais la compréhension allait venir plus tard.

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(Ce vide carré n’est pas spécialement celui qu’il décrit)


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Question 2 : Comment se fait-il que des centaines de météorologues sortent de chez eux chaque jour, voient le ciel et ne se posent pas de questions ?

Lorsque j’ai compris, je me suis demandé comment ça n’était pas arrivé plus tôt, comment je n’avais pas vu le ciel avec ce regard neuf. J’en ai parlé avec des collègues de la 3 et de la 8, je les ai informés mais c’était trop. Ils pouvaient voir les anomalies, ils disaient : « Je n’avais pas vu les choses ainsi avant…»,mais ne réalisaient pas l’ampleur de la situation générale. Ils ne comprennent pas la nature des chemtrails, j’ai passé plusieurs mois à les étudier avant de pouvoir en parler.

Il a aussi fallu que je me procure du matériel car je savais que je voyais des ondes là-haut en forme de nuages, qui ne collaient pas avec la dynamique des fluides et qui ne collaient pas avec l’apparence que devrait avoir un fluide, ni avec le comportement des gaz. Il m’a fallu 4 caméras, 2 ordinateurs, un logiciel time-lapse et du temps passé à observer tous ces films puis à les analyser.

Au départ, je me suis lancé dans cette étude pour voir si quelque chose m’échappait dans le comportement des nuages, principalement parce que je n’aimais plus me retrouver en face des téléspectateurs pour leur présenter des excuses au sujet des prévisions météo erronées, je ne pouvais pas leur dire pourquoi elles étaient  inexactes.

Question 3 : Avez-vous approché des collègues ou même vos supérieurs pour leur parler de ce que vous appreniez lors de vos recherches ?

Je n’ai jamais eu peur de parler. Neuf années de suite j’ai été le N° 1 dans la profession, j’avais un statut et une audience sur 3 chaines TV, mais pour partager ce genre de connaissances il faut aussi partager des antécédents sur l’énergie du vide, sur la capacité de faire avec des distorsions temporelles, sur l’origine de l’énergie qui peut créer un impact sur la thermodynamique des ouragans ou les fronts froids…on parle de quantités énormes. Tout cela était trop pour eux. Je sais que chaque salle de rédaction dans le pays, et aussi chaque salle de rédaction en Europe a vu circuler ce mot : chemtrail, mais que faire à ce sujet ?

Parfois le service météo ou bien le rédacteur en chef ou encore le service scientifique auront fait l’effort d’appeler la FAA [L’Administration Fédérale de l’Aviation] et les bases militaires du coin, la réponse est toujours la même : « Ca ne vient pas de nous…nous ne savons pas ». Fin de l’histoire pour les salles de rédaction.  C’est pareil pour l’EPA, [L’Agence de Protection de l’Environnement] je connais des gens là-bas et les employés ont des instructions précises : « Ne posez pas de questions sur les chemtrails ».

Question 4 : Avec les centaines d’avions que l’on voit tous les jours comment se fait-il qu’on n’ait pas encore entendu un pilote ? Est-ce que ces avions seraient des drones ?

C’est mon opinion echem2 zps82feecd1certains d’entre eux parce que j’observe des avions qui interceptent les chemtrails à des endroits bien précis et il est impossible que les avions de ligne civils interceptent un endroit particulier d’une traînée à la seconde près. Nous avons dans le ciel un ballet excellemment orchestré. Je pense que ce sont des drones et que nous avons aussi une flotte civile, ça c’est certain. Il se peut qu’ils ajoutent des particules dans l’atmosphère mais pour les chemtrails,  celles qui persistent en se décomposant lentement et qui restent longtemps dans le ciel, je pense que c’est une flotte tout à fait différente. Certains jours le nombre de ces avions peut atteindre  celui des avions civils en vol ! C’est un nombre d’avions très élevé et pour moi la question la plus importante est : Où ont lieu les opérations au sol pour ces flottes? Je travaille actuellement là-dessus… où a lieu l’entretien de ces avions ?


Question 5 : Et d’où vient l’argent ?


Pour l’argent je ne pense pas que la question se pose vraiment. Quand on a le système bancaire que nous avons… doté d’un système bancaire invisible, l’argent est presque insignifiant. Quand on a des trillions de dollars qui disparaissent et réapparaissent en faisant le tour de la planète, tous les faux, toutes les sommes obscènes qui sortent de la FED et qui alimentent Boeing, Lockheed, Honeywell et aussi toutes les industries militaires pour tous ces autres programmes simultanément, l’argent n’est pas un problème.

Question 6 : Comment se fait-il que les autres pays – je pense au Mexique par exemple qui est un pays souverain et qui n’a pas les moyens de se payer ce programme – comment se fait-il qu’il ait autant de chemtrails dans son ciel ?


Je les vois aussi. Les chemtrails vont du Texas jusqu’au Mexique, il se peut que ce soit dû à ce qui a été nommé les accords Ciel Ouvert, c’est peut-être le mécanisme officiel qui permet aux puissances occidentales le survol des espaces aériens de tous ces pays souverains, selon leur bon vouloir ?

Ce qui m’inquiète c’est l’apparition de ces vols en Amérique du Sud depuis les 5 dernières années et je pense que le Chili, l’Argentine, l’Uruguay, le Paraguay, la Bolivie et le Brésil ne se sont pas empressés de signer des accords pour avoir des chemtrails ? Alors pourquoi ces pays ont courbé la tête et ont accepté ? Je me demande…puisque nous savons qu’il y a des armes à énergie dirigée…peut-être, je dis bien peut-être… le tremblement de terre au Chili, celui de Haïti…peut-être que ces gros tremblements de terre étaient des ultimatums, leur méthode de chantage pour que ces pays se soumettent ?  Les dégâts matériels de ces tremblements de terre se chiffrent  par millions de dollars, des villes entières à reconstruire, sans parler des deux milles morts ou plus.

Je ne soupçonnais pas que vous iriez si loin… vous avez mentionné les armes à énergie dirigée, avez-vous lu le livre de Dr. Judy Wood ?


Elle est brillante, absolument.

Question 7 : Je ne veux pas trop détourner la conversation des chemtrails, mais que dire de l’ouragan Erin de septembre 2001, catégorie 3 à l’est de New-York…On sait ce qui est arrivé la semaine dernière avec l’ouragan Sandy, même pas catégorie 1 …On a vu les dégâts, ils nous ont prévenu à l’avance et pour Erin ils n’avaient rien annoncé …Que pouvez-vous dire là-dessus en tant que météorologue ?

 A l’époque je travaillais dans l’ouest des États-Unis, donc Erin n’était pas une menace pour les gens qui suivaient mes bulletins. Ce n’est que des années plus tard que j’ai fait l’association avec le 11 septembre et que j'ai compris qu'Erin était un tank d'énergie.

Je pense que HAARP est l’outil principal ou plutôt la généralisation de tous les outils qui peuvent manipuler l’atmosphère, que ce soit des ondes scalaires, des ondes acoustiques ou de l’énergie éthérique. Pour faire simple on va juste appeler tout ça : HAARP. Ils ont une boîte à outils et elle ne contient pas qu’un marteau, un tourne- vis et un pied de biche… Ils ont différents outils et chacun a sa place.

Pour les chemtrails, l’outil principal est que l’architecte, pour le Temps, a besoin d’une ébauche ou d’un avant-projet ou brouillon de ce que le Temps va faire  et quand vous avez le brouillon, vous commencez vos sketches avec des lignes droites. Ce sont vos traînées. Ce ne sont que des lignes droites,  là où l’atmosphère sera dirigée intentionnellement.

Si je suis dans les États de l’Ouest, le jet stream vient du Nord-Ouest, ils peuvent assembler à la queue leu leu ces chemtrails de l’Ouest vers le Nord-Ouest avec un écart de 20 %. Ils commenceront à pulser l’atmosphère avec des ondes que vous pouvez voir dans les nuages, particulièrement lors d’un ciel bleu quand il n’y a rien d’autre à part les débris des traînées, vous voyez ces ondes apparaître et au lieu d’avoir un vent qui bouge à 1/20…[inaudible]…. sur la boussole, ils peuvent le faire tourner de 100° dans une direction orientée plus à l’Est et ça, ça change la forme du courant et vous avez besoin de ces chemtrails  tout comme une carabine a besoin d’une mire ou d’un mécanisme de ciblage pour atteindre la cible désirée.

Les chemtrails leur donnent des lignes longues et droites, au début, ce qui leur permet d’aligner leurs armes et une fois que leur solution a été appliquée (HAARP, scalaires, électromagnétisme…). Comment en mesurent-ils l’efficacité ? Et bien vous attendez, vous commencez une nouvelle ligne, une autre grille dans le ciel et vous observez les formes et la dissolution, les données vont tout de suite dans une base de modèles météo, une solution est générée et s’ils en sont contents ils n’y touchent plus.

S’ils ne sont pas satisfaits ils cherchent quelle est la conduite à tenir, c’est-à-dire commencer une autre grille, appliquer une solution ou attendre et observer. C’est donc une surveillance constante, une collecte ininterrompue de données qui servent à établir des modèles de base.

Le service météo national se sert de ballons, environ 150 pour le pays, ils les envoient deux fois par jour et c’est tout…mais ces types…ont des centaines d’appareils qui génèrent les chemtrails et des douzaines d’autres qui observent ces traînées. Nous avons un service météo resté au Moyen- Âge et un service militaro-industriel au XXIIème  siècle. C’est l’étendue de la disparité.

Question 8 : Quand  j’en parle aux gens en leur montrant le ciel, ils restent sceptiques et répondent toujours « À quoi ça peut servir ? Pourquoi feraient-ils ça ? »  Comment informer plus sérieusement ?


Pour ce genre d’exemple, observez l’endroit précis où une traînée en croise une plus ancienne et vous verrez par vous-même, ainsi que vos interlocuteurs, que dans 95% des cas la traînée qui vient d’être croisée est maintenant différente de part et d’autre du croisement.  Ça peut se manifester avec les poudres qui vont vers le haut d’un côté et vers le bas de l’autre ou bien vers la gauche d’un côté et ratatinées de l’autre.


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Ce sont ces données : comment ces poudres ou pulvérisations ondulent dans l’atmosphère, qui leur fournissent les informations en temps réel. Ces avions se trouvent exactement là où ils doivent se trouver quand elles se manifestent. Observez bien les traînées après les croisements, vous verrez souvent arriver un  avion qui coupera une traînée et le côté gauche de la traînée coupée aura disparu alors que le côté droit restera en place, une demi-traînée claire et précise.

Vous verrez que ce qui les intéresse c’est comment les traînées changent dans le temps, ces changements révèlent ce qui se passe dans l’atmosphère, quels endroits contiennent plus d’humidité, quels autres contiennent plus de force, plus d’orgone, d’énergie. C’est pourquoi les chemtrails sont si importants pour leur travail, ils leur donne un niveau d’exactitude qui ferait pleurer d’envie n’importe quel météorologue.

J’ai compris que ce que l’on observe au-dessus de notre tête ne concerne pas le climat que nous avons ce jour-là. Hier j’ai observé des chemtrails en formation au large de la Floride au nord des Bahamas, et j’ai vu que cela concernait le temps qu’il fait aujourd’hui dans le nord-est  au large de la côte du Massachussets, cette perturbation se dirige maintenant lentement vers le Maine. Que faisaient-ils au-dessus de la Floride ? Ils construisaient des nuages et créaient une tempête deux milles kilomètres plus loin au nord. Quand ils sont au-dessus de votre maison ça n’a rien à voir avec  votre météo, c’est important des centaines de kilomètres plus loin, des centaines !

Ce qu’ils font et qui vous affecte (pour ne parler que de météo)  ils le font au-dessus du Pacifique ! Les tempêtes californiennes sont générées à Hawaï ou au-dessus de la côte japonaise. S’ils travaillent au-dessus de la Californie, c’est pour générer une tempête au Texas et c’est pourquoi ils ont besoin d’avoir accès à l’espace aérien mondial, parce que c’est un programme mondial. Ils doivent surveiller l’atmosphère en temps réel absolument partout.


Question 9 :Bon. La question de fond : Pourquoi ? Pourquoi ça arrive ?

Tout d’abord parce qu’ils le peuvent. Personne n’est venu leur dire : «  Vous ne pouvez pas ». Je me demande ce qui leur en a donné l’idée au départ, d’où est venue l’intention ? Je devine mais je pense que ça vient des années 50. Je pense que ces programmes ont été conçus dans ces années-là pendant que les militaires et leur industrie commençaient à acquérir secrètement des connaissances et du pouvoir, ils avaient affaire à la question extraterrestre et à la technologie d’après guerre.


Quand vous pensez à l’idée de contrôler le climat…imaginez quelques généraux dans une pièce. Ils feront tout ce qu’il est possible de faire pour atteindre cet objectif. Eisenhower ne se trompait pas, il nous a prévenus.

Je me demande si l’origine ne viendrait pas d’Allemagne, avec l’opération Paperclip et tous ces scientifiques. Pendant la guerre du Vietnam où ils pulvérisaient l’agent Orange.

Oui. Ils ont besoin de guerres pour conduire leurs tests, des guerres sans fin au fur et à mesure de l’évolution des technologies. Ils ne peuvent plus tester dans le Nevada ! Il leur faut des guerres pour tester leurs plateformes d’armement et leurs nouveaux jouets. On vient de terminer une décennie entière de guerres !

La photo de chemtrails la plus ancienne en ma possession date du printemps 1957, prise dans l’état de New-York. On a donc une histoire de ces programmes encore bien plus ancrée que ce qui est accepté sur le web conspirationniste.

Après des années d’observations je peux dire aujourd’hui que 90% des trainées que nous voyons ne sont pas des trainées de condensation mais des chemtrails.  Ce qui se passe dans le ciel (pour la météo) se produit en dessous de 9 000 mètres alors que le trafic commercial a lieu au-dessus de 11 000 mètres. Les chemtrails sont les plus marquants de 5 500 mètres à 9 500 mètres. Les avions de ligne sont bien au-dessus.
Les avions chemtrails dépassent en nombre la flotte commerciale : c’est de l’ordre de 1 à 10.

Question 10 : Tant que ça ? Quel est le programme réel ?

Oui, avec les avions commerciaux impliqués. Pour parler de ces programmes car il y en a probablement plusieurs, il faut parler des différentes couches d’énergie dans l’atmosphère.

Les météorologues travaillent avec les principes de thermodynamique, à savoir la chaleur et l’humidité. Bouger les 2 autour de la planète à travers les pôles froids et l’équateur chaud, transporter constamment cette énergie, ce chaud et cette humidité de l’équateur vers les pôles et des pôles vers l’équateur. C’est le premier aspect, l’autre aspect de la météo c’est l’électromagnétisme qui nous donne la foudre, les orages et les éclairs; ce qui fait aussi que des millions de tonnes d’eau soient contenues dans des nuages sur des kilomètres et verticalement. Il y a une suspension électrique lorsque des nuages sont en mouvement.

Les nuages n’éclatent pas ils tournent et en tournant ils commencent à créer un courant électrique, puis la charge statique augmente et un orage l’évacuera en connectant le haut de l’atmosphère avec la croûte terrestre ; et au-delà de tout ça il y a une autre énergie, une couche d’enrobage…c’est la matière noire que les physiciens rêvent de comprendre et de maîtriser. C’est l’énergie du point zéro, l’énergie de l’éther. C’est elle qui fait marcher tout ça.

L’énergie qui dirige notre climat vient d’abord du plan éthérique, puis du plan électromagnétique, puis de la thermodynamique : trois sphères d’enrobage. Nous devons comprendre comment elles interagissent. Je pense que les chemtrails sont très importants pour bouger l’énergie à travers ces membranes afin de séparer les trois  champs d’énergie différents.

Questions 11 : Je sais que vous êtes un fan des travaux de Tesla…n’est-ce pas ?

On ne peut éviter d’en parler ! Cet homme avait deux siècles d’avance et malheureusement il n’a pu nous faire évoluer comme il l’aurait souhaité. Nous aurions dû avoir de l’énergie gratuite depuis 1910-1920, nous aurions un monde si différent !

Question  12 : Au sujet des avions, on ne les voit jamais décoller ni même atterrir d’ailleurs, pourquoi personne n’a eu l’idée de suivre l’un d’entre eux ?


Il serait repéré par les radars et accompagné rapidement par deux F-18S, je crois que c’est ce qui se produirait. Je pense qu’il doit y avoir un endroit au sol pour ces avions,  mais je pense aussi que ces Lockheed-Martin, ces triangles noirs de grande taille sont des porte-avions dans le ciel et tout ça peut être fait en vol, il se peut qu’un bon nombre de ces avions n’aient presque ou jamais besoin d’atterrir.

Question 13 : Y-a-t-il une possibilité que les chemtrails soient quelque chose de positif comme par exemple combler des trous dans la couche d’ozone?

C’est possible mais si c’est le cas, alors la situation est vraiment plus catastrophique qu’on ne le pense pour qu’ils le fassent sans rien dire et de façon si agressive. Nous aurions aussi beaucoup de mutations animales et végétales. Cependant cette possibilité n’explique pas la géométrie si précise des chemtrails que nous voyons dans le ciel. Ça ressemble plus à une chasse aux anomalies énergétiques, à des changements de dimension révélés par les traînées. Ils surveillent et cherchent des anomalies comme s’ils contrôlaient des événements dimensionnels microscopiques dans l’atmosphère. Et, je ne sais pas, mais un jour nous devrons le savoir.

Question 14 : Pourquoi les pilotes gardent le silence ?


Pour ceux qui savent, ils ne peuvent faire autrement, ils ont des familles, la vie de leurs passagers entre leurs mains. Les gens à la tête de ces programmes n’ont pas peur de provoquer un crash et de sacrifier des vies pour conserver leurs secrets, ce n’est pas un problème pour eux. Je me demande combien de crashs, dans les années 80, ont amené Delta, puis Skywest dans le programme. Et, puisqu’ils dirigent les finances de la planète, combien de compagnies aériennes ont fait faillite ou ont dû fusionner et se faire avaler par d’autres ?
C’est encore une autre consolidation de pouvoirs car si vous avez six compagnies, c’est plus facile de contrôler 6 « PDG » et non 16 ou 20. Ça explique pourquoi les secrets restent des secrets.


Il est même possible que pour les pubs filmées en extérieur, un ciel chemtrails soit imposé ! Pour nos enfants c’est un ciel normal. Ah ! Je crois même que le système de notre trafic aérien n’a pas été amélioré depuis près de 50 ans.


 Source  

 


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On peut voir ici que les chemtrails ne viennent pas du trafic aérien normal, les lignes ne connectent pas les villes entre elles, nous voyons des figures intentionnelles, des carrés ou des croix. L'eau de pluie analysée révèle des montants toxiques de baryum et d'aluminium.

Scott Stevens ne travaille plus en tant que météorologue, il donne des conférences : son site.



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Violations et manipulations sérieuses du protocole d'essai : Comment Pfizer a obtenu l'autorisation d'urgence de la FDA pour les enfants

10 Juin 2021, 18:29pm

Violations et manipulations sérieuses du protocole d'essai : Comment Pfizer a obtenu l'autorisation d'urgence de la FDA pour les enfants

https://americasfrontlinedoctors.org/frontlinenews/serious-violations-and-manipulations-of-trial-protocol-how-pfizer-obtained-fda-emergency-authorization-for-children/

 

 

par le Dr Yaffa Shir-Raz

 

L'analyse et la comparaison du document d'examen soumis par Pfizer à la Food and Drug Administration américaine, à partir duquel la FDA a donné son feu vert pour étendre l'autorisation d'urgence de vaccination également aux enfants âgés de 12 à 15 ans (1), par opposition au protocole d'étude chez les enfants (2, 3), révèlent des résultats inquiétants, notamment des violations du protocole établi par Pfizer lui-même, et non moins graves, la conception du protocole d'essai de manière à permettre à la société de présenter des résultats aussi positifs que possible en termes de sécurité du vaccin chez les enfants.

 

Violation des conditions du protocole - Comment des enfants présentant un diagnostic psychiatrique ont-ils pu être inclus dans l'étude ?

 

Selon le document d'examen soumis par Pfizer à la FDA, quatre des 1 131 enfants du groupe d'étude qui ont reçu le vaccin Pfizer-BioNTech COVID-19 ont souffert d'événements indésirables graves ("EIG"), c'est-à-dire d'événements pour lesquels au moins un critère était rempli : décès, menace pour la vie, hospitalisation ou prolongation d'une hospitalisation existante, invalidité/incapacité persistante, anomalie congénitale/défaut de naissance.

 

Sur ces quatre enfants, trois présentaient une dépression si grave qu'ils ont été hospitalisés peu de temps après la vaccination (respectivement 7 jours après la première dose, un jour seulement après la deuxième dose pour le deuxième et 15 jours après la première dose pour le troisième).

 

La conséquence de ce résultat est extrêmement inquiétante, car cela signifie qu'un enfant vacciné sur 350-400 pourrait souffrir d'une dépression grave et nécessiter une hospitalisation.

 

Pour nous rassurer, Pfizer note dans son document d'examen qu'en fait, les trois enfants avaient un diagnostic préexistant d'anxiété et de dépression. De plus, expliquent-ils - les trois ont en fait déclaré avoir pris un inhibiteur sélectif de la recapture de la sérotonine (ISRS) dans les 1 à 2 mois précédant la vaccination.

 

"L'aggravation des idées suicidaires lors du traitement initial par ISRS chez les adolescents", expliquent-ils, "est un risque reconnu et constitue une explication alternative raisonnable de l'exacerbation de la dépression chez ces receveurs de BNT162b2". Alors voilà - pourquoi accuser le vaccin, alors qu'il existe une autre explication parfaitement raisonnable et logique de l'exacerbation de leur dépression ?

 

Quel est le problème de cette explication ?

 

Deux problèmes :

 

  1. L'affirmation selon laquelle les ISRS que les enfants ont reçus constituent une explication alternative à la détérioration de l'état mental des enfants est douteuse. Selon la littérature scientifique, l'exacerbation du suicide et de l'état mental se produit dès le début du traitement par antidépresseurs, généralement dans les deux premières semaines, et certainement pas plus d'un mois après le début du traitement - qui est le moment où l'on commence à voir une amélioration. En fait, c'est le contraire qui est vrai : s'il n'y a pas d'amélioration dans les quatre semaines, on remplace généralement un médicament.

 

2. Plus important encore, selon le protocole de l'étude, les participants ayant déjà reçu un diagnostic psychiatrique n'auraient jamais dû être inclus dans l'étude (voir la page 41 du protocole).

Il s'avère que l'un des critères d'exclusion de l'étude est : "Autre condition médicale ou psychiatrique, y compris des idées/comportements suicidaires récents (au cours de la dernière année) ou actifs, ou une anomalie de laboratoire qui pourrait augmenter le risque de participation à l'étude ou, selon le jugement de l'investigateur, rendre le participant inapproprié pour l'étude".

 

Il s'agit donc d'une violation flagrante du protocole d'étude établi par la société elle-même et approuvé par la FDA. Les conséquences d'une telle violation sont graves : si Pfizer a été négligente au point d'inclure des sujets ayant des antécédents psychiatriques dans l'expérience - contrairement au protocole qu'ils ont eux-mêmes établi - cela signifie que le bien-être des sujets n'est pas leur principale préoccupation. Comme Pfizer le note elle-même dans le protocole : un tel passé peut augmenter le risque en participant à l'étude. Et s'ils ne respectent pas l'éthique dans le recrutement des sujets, qui peut nous assurer qu'ils respectent l'éthique dans d'autres sections de l'étude - par exemple, l'analyse des résultats ?

 

Concevoir le protocole de manière à permettre à l'entreprise de présenter des résultats positifs concernant la sécurité du vaccin.

 

Dans au moins deux critères, l'entreprise semble avoir manipulé le protocole de manière à pouvoir présenter des résultats aussi positifs que possible en termes de sécurité du vaccin chez les enfants :

 

Concevoir le protocole de manière à réduire, autant que possible, l'inclusion d'événements indésirables graves dans un rapport soumis à la FDA.

 

Dans le protocole de l'étude pédiatrique (voir tableau page 12), Pfizer s'est engagé à ce que la durée du suivi des événements indésirables graves (EIG) soit "de la première dose à 6 mois après la deuxième dose".

 

Une période de suivi de six mois est considérée comme très courte par rapport à la durée habituelle de suivi dans les études de phase 3 pour les vaccins.

 

Selon la FDA, la phase 3 des études sur les vaccins doit durer entre un et quatre ans (4).

Or, il s'avère, à la lecture du document d'examen de Pfizer, que la société n'a même pas effectué cette période de suivi relativement courte, et qu'elle s'est en fait contentée de 30 jours de suivi des événements indésirables graves. Ce fait ressort du chapitre traitant de la date de l'analyse (page 30, sous le titre du chapitre sur les EIG) : "12-15 ans : Les EIG de la dose 1 jusqu'à 30 jours après la dose 2 dans le cadre du suivi continu ont été signalés par 0,4 % des bénéficiaires de BNT162b2 et 0,1 % des bénéficiaires du placebo".

 

Comment cela a-t-il été rendu possible ?

 

À la page 114 du protocole de l'étude - dans le chapitre traitant du moment où les analyses statistiques seront effectuées, Pfizer a fixé un certain nombre de points dans le temps aux fins de la réalisation de ces analyses. Alors que la période maximale de surveillance des effets indésirables graves dans la population générale de l'étude est de six mois (septième section), la cinquième section fixe un point de coupure supplémentaire, de seulement 30 jours après la deuxième dose, afin de comparer les données entre deux groupes d'âge - l'un des 12-15 ans et l'autre des 16-25 ans.

 

En d'autres termes, le protocole semble être conçu de telle sorte que l'examen soumis à la FDA n'inclura que les événements indésirables graves apparus au cours du premier mois suivant la vaccination.

 

En effet, le suivi des événements indésirables graves se poursuit pendant cinq mois supplémentaires, mais tout événement indésirable qui sera découvert au cours de ces mois, ou un événement indésirable qui a été observé au cours du premier mois mais qui a été défini comme non grave et qui s'est aggravé au cours des mois suivants (ou dont le diagnostic a changé) - n'apparaîtra tout simplement pas dans le rapport d'examen.

 

L'implication préoccupante de cette pratique est que les événements indésirables graves peuvent ne pas apparaître dans le rapport à partir duquel la FDA délivre l'autorisation d'urgence pour les enfants, de sorte que le suivi continu, même s'il est publié quelques mois ou années après la délivrance de l'autorisation temporaire, n'aidera pas les enfants qui seront lésés ou mourront après le feu vert de la FDA.

 

Concevoir le protocole de manière à ce que les diagnostics d'événements indésirables graves donnés dans des hôpitaux non liés au site de l'étude puissent être ignorés.

 

Dans le cadre des mesures des résultats du protocole de l'étude, tel qu'il est présenté dans Clinicaltrials.gov, Pfizer a déterminé que l'équipe de recherche sélectionnée par Pfizer sera celle qui définira les événements indésirables comme tels : "Tels qu'ils ont été obtenus par le personnel du site d'investigation".

 

De cette façon, l'entreprise a en fait donné aux chercheurs qu'elle a sélectionnés le pouvoir de définir eux-mêmes le diagnostic, quel que soit le diagnostic donné à l'hôpital ou au service qui n'est pas défini comme le site de recherche.

 

Pourquoi cela pose-t-il problème ?

 

Parce qu'une telle détermination signifie que si un participant particulier souffre d'événements indésirables graves et a été traité, par exemple, en dehors de l'hôpital ou du service qui fait office de site de recherche, alors en fait, le diagnostic posé par les médecins traitants de l'hôpital/service dans lequel le participant est traité n'est pas pertinent.

 

De cette façon, Pfizer a en fait permis à son équipe de définir ce que sera le diagnostic, plutôt que de laisser le diagnostic donné par les médecins traitants les dérouter.

 

Au-delà des critiques sévères à l'égard de Pfizer, l'analyse et la comparaison soulèvent de sérieuses questions pour la FDA elle-même :

 

Comment est-il possible que la FDA ait même approuvé un protocole qui permet de telles manipulations ?

 

Pourquoi la FDA a-t-elle permis à l'entreprise d'effectuer l'analyse des données et de soumettre la demande d'autorisation d'urgence chez les enfants après une période de suivi aussi courte de seulement 30 jours ?

 

Pourquoi la FDA était-elle si pressée d'approuver l'autorisation d'urgence pour les enfants ?

 

Pourquoi cette approbation est-elle donnée sur la base d'un rapport de sécurité qui n'est même pas "cuit" à moitié ? Après tout, il n'y a pas de situation d'urgence pour les enfants.

 

Pourquoi la FDA ne s'est-elle pas penchée sur ces manipulations et violations du protocole après que l'entreprise a soumis son rapport ?

 

Yaffa Shir-Raz, PhD, est chercheur en communication des risques et chargé d'enseignement à l'Université de Haïfa et au Centre interdisciplinaire Herzliya en Israël.

 

Références :

  1. Pfizer-BioNTech. (2021). Emergency Use Authorization (EUA) Amendment for an Unapproved Product Review Memorandum. https://www.fda.gov/media/148542/download

 

  1. (2021). A PHASE 1/2/3, PLACEBO-CONTROLLED, RANDOMIZED, OBSERVER-BLIND, DOSE-FINDING STUDY TO EVALUATE THE SAFETY, TOLERABILITY, IMMUNOGENICITY, AND EFFICACY OF SARS-COV-2 RNA VACCINE CANDIDATES AGAINST COVID-19 IN HEALTHY INDIVIDUALS https://cdn.pfizer.com/pfizercom/2020-11/C4591001_Clinical_Protocol_Nov2020.pdf

 

 

  1. (2021). Étude visant à décrire la sécurité, la tolérabilité, l'immunogénicité et l'efficacité des candidats vaccins ARN contre le COVID-19 chez des individus sains. https://clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT04368728

 

 

  1. (2018). Étape 3 : Recherche clinique https://www.fda.gov/patients/drug-development-process/step-3-clinical-research

 

 

 

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Message du Pr. PERRONNE sur les vaccins !

1 Décembre 2020, 12:55pm

Message du Pr. PERRONNE sur les vaccins !

Le 30 novembre 2020

 

Chers amis,

 

La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.

 

Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie.

 

En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d'être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de "rassuriste", termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la pensée unique.

 

Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n'ayant jamais changé depuis le début de l'épidémie. Je considère donc qu'il est de ma responsabilité de m'exprimer à nouveau ce jour sur l'ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l'élément central et quasiment unique de la politique de santé de l'Etat.

 

Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l'épidémie, pire que la première.

 

Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l'Elysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l'Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés.

 

Même le Président de la République, lors d'une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit pas moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur.

 

Ces chiffres irréalistes n'avaient qu'un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l'usage généralisé des masques en population générale n'a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l'épidémie de SARS-COV-2.

 

L'utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.

 

Or l'épidémie régresse et n'a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d'un rebond épidémique saisonnier qui s'observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée.

 

Cela témoigne de l'adaptation du virus à l'homme et est aussi le reflet de l'immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement.

 

Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence. Les autorités ne pourront pas dire que c'est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place.

 

La régression de l'épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l'instauration du couvre-feu.

 

Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d'un diabète sévère, d'hypertension artérielle grave,de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes.

 

Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l'hydroxychloroquine et l'azithromycine dont l'efficacité et l'innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocement.

 

Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter.

 

Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.

 

Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l'intérêt d'un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.

 

Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l'évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu'aucun résultat de l'efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n'a été publié à ce jour.

 

Nous n'avons eu le droit qu'à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse.

 

Le pire est que les premiers « vaccins » qu'on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique.

 

On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d'éléments du virus par nos propres cellules.

 

On ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c'est une première chez l'homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d'éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ?

 

Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l'ADN. Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l'ADN vers l'ARN, mais l'inverse est possible dans certaines circonstances, d'autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l'ADN de nos chromosomes.

 

Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs

(contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l'envers, de l'ARN vers l'ADN.

 

Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l'ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s'intégrer dans nos chromosomes.

 

Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants.

 

Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus

généralement les citoyens du monde, pour des cobayes.

 

Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le mais transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés). Un responsable médical d'un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu'il espérait un effet de protection individuelle, mais qu'il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l'épidémie.

 

C'est bien là un aveu déguisé qu'il ne s'agit pas d'un vaccin. Un comble.

 

Je suis d'autant plus horrifié que j'ai toujours été en faveur des vaccins et que j'ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale.

 

Aujourd'hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.

 

La science, l'éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.

Christian PERRONNE

 

 

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