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Objets connectés : Quels dangers ?
Électrosensibilité : une réalité biologique enfin démontrée
Électrosensibilité : une réalité biologique enfin démontrée
L'âge de fer- Le 1er octobre 2025
Une unité de l’Inserm vient de démontrer que, derrière les déclarations des personnes se considérant électrosensibles, se trouve bel et bien une réalité moléculaire. Un pas de géant pour la reconnaissance de l’électrosensibilité.
L’électrosensibilité n’est pas un problème psychosomatique : il y a bien une réalité moléculaire derrière les déclarations des personnes expliquant souffrir des ondes électromagnétiques. C’est ce que vient de démontrer l’unité U1296 de l’Inserm (1) à travers une étude financée par l’Anses et publiée dans la revue à comité de lecture International journal of molecular sciences (2). Cette unité est la seule, en France, à être entièrement consacrée à la radiobiologie généraliste – autrement dit à l’étude des effets des radiations ionisantes, quels que soient les scénarios d’exposition : militaires, civils, professionnels, accidentels, médicaux, environnementaux… Ainsi, elle travaille aussi bien avec le Service de santé des armées qu’avec le Centre national des études spatiales (Cnes), ou les organismes de santé publique, étudiant par exemple l’effet de la radiothérapie sur les individus. Elle est, surtout, à l’origine d’une découverte essentielle dans le domaine, à savoir l’importance de la protéine ATM dans la réponse individuelle aux radiations ionisantes.
Radiorésistants et radiosensibles
La protéine ATM, quèsaco ? Accrochez-vous deux minutes, si vous pigez ça, vous comprendrez tout le reste… Chacune de nos cellules comporte, en son noyau, 3 mètres d’ADN double-brin. Il arrive que ces brins d’ADN se cassent, notamment après une irradiation : la décomposition de l’eau contenue dans la cellule produit alors de l’eau oxygénée, qui a la particularité de casser l’ADN. C’est à ce moment là qu’intervient la protéine ATM : au repos dans le cytoplasme sous la forme d’un dimère (assemblage de 2 protéines), ATM se divise en deux monomères sous l’effet de l’eau oxygénée, et donc en proportion du stress : la cellule est son propre dosimètre. Les ATM monomériques se dirigent alors dans le noyau, signalent les cassures de l’ADN et activent la réparation. C’est rudement bien foutu, on est d’accord. Sauf que l’efficacité de ces protéines ATM n’est pas uniforme à tous et toutes. Trois groupes d’individus peuvent être identifiés au sein de la population. Le groupe I, qui concerne au moins les trois quarts de la population, est constitué des « radiorésistants ».
La suite :
https://lagedefaire-lejournal.fr/electrosensibilite-une-realite-biologique-enfin-demontree/
Trente ans de lobbying contre la recherche critique en matière de téléphonie mobile
Téléphonie mobile : le NIH ne rend pas public 2500 pages d'études
Californie : témoignage d'une victime de la 5G
Quelque chose ne va vraiment pas
Comment une start-up spécialisée dans la téléphonie mobile 5G a changé la vie de notre famille
Lorsque Lenka Kabilka, une habitante de Santa Monica, en Californie, a remarqué des bruits de travaux sur le toit de son immeuble, elle a enquêté. Elle a appris qu’une station de base était en cours d’installation juste au-dessus de son appartement par Starry Inc., une jeune start-up de téléphonie mobile qui déploie sa nouvelle technologie 5G à ondes millimétriques.
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Fin novembre 2020, ma vie a changé, ma santé m’a été enlevée et mon combat a commencé.
Tout a commencé lorsque j’ai remarqué des bruits de travaux sur le toit de notre immeuble, juste au-dessus du mien. J’habite avec plaisir cet appartement depuis 30 ans avec mes deux fils.
En général, je ne prête pas beaucoup d’attention aux travaux de construction dans notre immeuble. Cependant, cette fois-ci, comme nous étions en plein confinement lié à la COVID-19 et que mon travail m’obligeait à travailler à domicile, le bruit des travaux était un élément incontournable.
J’ai découvert qu’un site cellulaire/station de base était en cours d’installation juste au-dessus de mon appartement par Starry Inc. Je n’avais jamais entendu parler de cette entreprise, alors je les ai recherchés sur le Web et j’ai appris qu’il s’agissait d’une nouvelle entreprise sans fil en démarrage qui déployait sa nouvelle technologie à ondes millimétriques 5G .
Je n’y ai pas prêté attention jusqu’à ce que le site soit activé et que l’horreur commence. J’entendais un bruit électrique aigu et continu, particulièrement perceptible la nuit, m’empêchant de dormir. Le bruit était si violent que j’ai eu des maux de tête et des bourdonnements d’oreilles persistants.
Le terme « brouillard cérébral », que je ne connaissais pas auparavant, était constant. Une tension inévitable régnait dans mon corps lorsque j’étais chez moi. Cette tension s’accompagnait d’un malaise et d’une douleur intérieure inhabituels, signe que quelque chose n’allait pas du tout.
La suite :
https://collectif-accad.fr/site/quelque-chose-ne-va-vraiment-pas/#more-13867
URGENT : Dites NON à l'augmentation scandaleuse des seuils d'exposition aux ondes électromagnétiques !
URGENT : Dites NON à l'augmentation scandaleuse des seuils d'exposition aux ondes électromagnétiques !
L'Agence Nationale des Fréquences (ANFR) a lancé une consultation publique visant à modifier le seuil des "points atypiques" de 6 V/m à 9 V/m en zone urbaine. Cette consultation se terminera le 12 septembre 2025 et ce changement est carrément scandaleux ! Nous devons nous mobiliser.
Un pas en arrière pour notre santé
En 2015, la "loi Abeille" a été mise en place pour encadrer l'exposition du public aux ondes électromagnétiques, notamment autour des antennes relais. Elle a introduit la notion de "point atypique", désignant un lieu où l'exposition dépasse la moyenne nationale habituelle. En 2017, l'ANFR a fixé ce seuil "atypique" à 6 V/m, qui correspondait à 99% des valeurs mesurées à l'époque par les organismes agréés et l'ANFR elle-même.
Les raisons de notre opposition sont multiples et alarmantes :
Un seuil arbitraire et non sanitaire : Les valeurs de 6 V/m ou 9 V/m ne sont pas des valeurs sanitaires mais des valeurs arbitraires ou de protection. La valeur sanitaire fixée par l'ICNIRP (Commission Internationale de Protection contre les Rayonnements Non Ionisants) est de 61 V/m pour les fréquences supérieures à 2 GHz (comme la 5G à 3,5 GHz). Cela offre une marge de manœuvre très, très très élevée aux opérateurs. Cependant, certains rapports scientifiques estiment qu'il ne faudrait pas dépasser 0,6 V/m, voire moins, ce qui rend les seuils actuels (et encore plus les futurs) excessivement élevés.
Des mesures trompeuses
Le protocole de l'ANFR préconise des mesures moyennées sur une période précise (6 minutes), ce qui signifie que tous les pics de mesures, notamment ceux créés par les techniques modernes de modulation (4G et 5G), sont "absorbés" dans la moyenne. Ces pics peuvent pourtant largement dépasser les 20 V/m. Ainsi, même 6 V/m RMS (Root Mean Square) est déjà considéré comme un niveau beaucoup trop élevé.
Risques avérés pour le vivant
Les champs électromagnétiques artificiels ne sont pas sans conséquence sur le vivant. Leurs niveaux ont explosé en zone urbaine au cours des 30 dernières années avec le déploiement de la 5G et des objets connectés. Contrairement à ce que certains opérateurs et scientifiques voudraient nous faire croire, de nombreuses publications scientifiques internationales démontrent depuis les années 1970 l'existence de risques thermiques et athermiques (avec des répercussions biologiques).
Des modifications possibles de puissance qu'en dessous de 9 V/m
Dans l'état actuel des choses, lorsque vous demandez une mesure gratuite auprès de l'ANFR, celle-ci peut contacter l'opérateur pour une éventuelle modification de puissance de l'antenne lorsque la mesure est égale ou supérieure à 6V/m . Si ce seuil de 9V/m est validé, les citoyens seront encore plus exposés aux champs électromagnétiques élevés.
Les porteurs d'implants
Les porteurs d'implants de type DMIA ( pacemaker, défibrillateurs actif, etc.) seront encore plus exposés à un risque qu'ils ne pourront pas maitriser.
Certains dispositifs équipés de sondes sont très sensibles à certaines fréquences et champs électromagnétiques.
L'ANFR "prend le problème à l'envers"
Au lieu de demander aux opérateurs de limiter la puissance de leurs antennes, l'ANFR a décidé de modifier le seuil de sécurité, ce qui est plus simple pour donner satisfaction aux opérateurs et aux industriels. On peut penser que l'ANFR est sous la pression des opérateurs. C'est une régression inacceptable du principe de précaution.
Manque de transparence et urgence suspecte
Il est intéressant de noter que cette consultation est mise en place en période de vacances…
Notre environnement a changé drastiquement en moins de 30 ans avec les champs électromagnétiques artificiels et il est illusoire de penser que cela n'aura pas d'impact. La prochaine étape sera-t-elle 12 V/m, pour atteindre un jour les 61 V/m, pendant que l'ICNIRP (non sans conflits d'intérêts) repoussera encore ses propres seuils ?
Exigeons la protection de notre santé et de celle de nos enfants !
Dites NON à ce changement de seuil de sécurité pour notre santé, celle de nos enfants et celle des personnes fragiles !
Laissons nous une marge par principe de précaution !
Agissez maintenant
Exprimez votre opposition directement sur le site de l'ANFR en participant à la consultation publique : https://www.anfr.fr/liste-actualites/actualite/exposition-aux-champs-electromagnetiques-lanfr-lance-une-consultation-publique-sur-levolution-du-seuil-des-points-atypiques
Alter Ondes 35 est une association rennaise qui communique sur les risques potentiels des champs électromagnétiques dans l’habitat et en espace urbain et rural. Email : alterondes35@protonmail.com
https://www.change.org/p/non-au-changement-de-seuil-de-protection-pour-les-champs-électromagnétiques?
Les souffrances causées par la 5G
Comment les pays de l’UE restreignent l’accès des enfants aux réseaux sociaux
Comment les pays de l’UE restreignent l’accès des enfants aux réseaux sociaux
Petit tour d’horizon des pays de l’UE les plus en pointe sur la protection en ligne des mineurs.
Anupriya Datta – Euractiv – Le 24 juillet 2025
Les récentes directives de Bruxelles sur la protection en ligne des mineurs ont permis aux pays de l’UE d’adopter des règles plus strictes limitant, voir interdisant, l'accès des enfants aux réseaux sociaux. Le point sur la situation.
Au début du mois, l'exécutif européen a présenté de nouvelles lignes directrices dans le cadre de sa loi sur les services numériques (DSA). Celles-ci définissent les attentes de Bruxelles en matière de protection des enfants sur Internet.
La Commission a aussi autorisé les États membres à adopter une « majorité numérique » leur permettant d’interdir l'accès des réseaux sociaux aux enfants sous un certain âge, ou en exigeant un consentement parental.
La Grèce, l'Espagne et la France ont en juin signé une déclaration - paraphée par la suite par Chypre, le Danemark et la Slovénie - qui exhortait la Commission à introduire une majorité numérique à l'échelle de l'UE et à mettre en œuvre des règles plus strictes en matière de vérification de l'âge sur les plateformes.
La Commission a rejeté cette idée, soulignant que les différences culturelles rendent une norme européenne inappropriée, mais elle a autorisé les pays de l’UE à fixer leurs propres seuils d'âge pour l'accès des adolescents aux réseaux sociaux.
Elle a également mis au point un prototype d'outil de vérification de l'âge que les pays membres peuvent utiliser pour personnaliser leurs propres applications nationales de contrôle de l'âge afin de soutenir diverses approches visant à protéger les enfants en ligne.
Nous avons résumé ci-dessous la situation de plusieurs pays de l'UE qui adaptent leur législation nationale afin de restreindre l'accès des enfants aux réseaux sociaux, ou qui prennent d'autres mesures visant à améliorer la sécurité des enfants en ligne.
La suite :
https://www.euractiv.fr/section/tech/news/pays-ue-acces-enfants-reseaux-sociaux/
L’exposition aux écrans désormais interdite dans les lieux d’accueil des jeunes enfants
L’exposition aux écrans désormais interdite dans les lieux d’accueil des jeunes enfants
Publié le 11 juillet 2025 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)
Un arrêté publié dans le Journal officiel du 2 juillet 2025 a modifié la charte nationale pour l'accueil du jeune enfant. Il est désormais interdit d’exposer les enfants de moins de 3 ans aux écrans, notamment dans les crèches, les haltes-garderies ou les lieux d’accueil proposés par les assistants maternels.
Une commission d’experts sur l'impact de l'exposition des jeunes aux écrans avait été mise en place en janvier 2024 par le président de la République. Dans le rapport de cette commission, publié le 30 avril 2024, il était notamment indiqué que : « un consensus net s’est exprimé au sein de la commission sur la nécessité de préserver de façon volontariste les plus jeunes enfants de l’exposition aux écrans, avec une vigilance particulièrement renforcée lors des premières années de la vie ». Les membres de la commission proposaient notamment de « renforcer la recommandation en vigueur de ne pas exposer les enfants de moins de 3 ans aux écrans ».
Depuis le 3 juillet 2025, il est indiqué au sein de la charte nationale pour l'accueil du jeune enfant qu’il est « interdit d'exposer un enfant de moins de 3 ans devant un écran (smartphone, tablette, ordinateur, télévision) compte tenu des risques pour son développement ».
Jusqu’alors, il était signalé dans cette charte qu’ « il n’est pas recommandé de laisser un enfant de moins de 3 ans devant un écran (smartphone, tablette, ordinateur, télévision) compte tenu des risques pour son développement ».
Cette charte nationale s’adresse à tous les professionnels de l’accueil du jeune enfant, qu’ils exercent en mode d’accueil individuel ou collectif (assistants maternels, employés de crèches, de micro-crèches ou d’haltes-garderies, etc.).
Le document précise aussi que l’enfant a besoin d'interagir avec son environnement, d'utiliser ses cinq sens et d'être en mouvement.
La suite :
https://www.service-public.fr/particuliers/actualites/A18388?xtor=EPR-100
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