« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
Lettre du Dr Jean-Michel Crabbé à l'Ordre des médecins : discours apocalyptique et mesures injustifiées autour du Covid
par Ghislain Martel*
Lettre du Dr Jean-Michel Crabbé adressé à l'Ordre des médecins au sujet des manquements continus envers le code de déontologie de la pratique médicale pendant la crise sanitaire du Covid19.
"Monsieur le Président, mes chers confrères,
Dans le contexte « covid-19 », je dénonce publiquement de graves violations du Code de Déontologie et du Serment d’Hippocrate par l’Ordre des médecins. Face aux discours apocalyptiques diffusés dans les médias par les hommes politiques et de soi-disant spécialistes, l’Ordre des médecins avait le devoir de rétablir la vérité et de fournir à l’ensemble des praticiens et au public les véritables chiffres issus des registres de l’État Civil et de différents services mortuaires hospitaliers ou autres : ces chiffres n’ont rien d’alarmant. Au cours des vraies épidémies comme la peste ou la tuberculose, il y avait des malades et des morts dans chaque maison, dans chaque famille, nous sommes très loin d’une telle situation.
1) HYSTERIE COLLECTIVE : Face à la phobie du virus et à l’hystérie collective déclenchées par le risque de contamination par simple contact ou respiration à proximité des malades, l’Ordre des médecins devait rappeler que les professionnels de santé ne sont pratiquement jamais contaminés par leurs contacts multiples et répétés avec les malades, et que la contagion met en jeu d’autres facteurs mal connus.
2) MESURES INVENTEES : L’Ordre des médecin, garant des bonnes pratiques médicales basées sur des études scientifiques, devait rappeler que le port du masque, l’isolement des sujets en bonne santé et la distanciation sociale sont des mesures inventées en 2020, qui ne s’appuient sur aucune expérience passée, sur aucune étude scientifique, et ne figurent dans aucun ouvrage de médecine.
Alors que les médias dominants et nombre de chefs d’État ou de gouvernement veulent nous faire croire que l’Humanité est en guerre contre un virus, il existe bien une forme de conflit, mais d’une tout autre nature. Celui-ci a dépassé les niveaux habituels connus jusqu’alors. Il ne s’agit plus d’un conflit militaire, qu’il soit chaud ou froid, de forte ou de faible intensité, ni même de querelles idéologiques, ni un conflit intellectuel, bien que toutes ces dimensions puissent être présentes en divers lieux de la planète. En fait, le terrain ou domaine précis qui se révèle finalement comme le principal enjeu du conflit est celui de la conscience, ou de l’âme qui en est le pourvoyeur. Il reste alors à en déterminer les armes, les soldats, l’extension et l’objectif majeur d’une telle guerre d’ordre spirituel.
Par le biais de la crise artificielle de la covid-19, la guerre s’est manifestement étendue à l’ensemble de la planète et de l’Humanité. Il n’y a pratiquement aucun pays qui ne soit pas touché ou affecté d’une manière ou d’une autre, ne serait-ce que par les retombées économiques dues au manque de création d’entreprise, de mouvement… et par insuffisance des réactions salvatrices. Les guerriers assaillants, dont les chefs sont le plus souvent cachés aux yeux de la plupart des individus, bénéficiaient dès le départ des meilleures armes sur les plans les plus formels : physique, émotionnel et mental. Concrètement, ils disposaient et disposent encore de la plus vaste et efficace couverture médiatique, et donc du plus important système de propagande et de désinformation, à supposer que les défenseurs ou résistants aient pour souhait d’utiliser une telle arme (leur approche consiste plutôt à recourir principalement à Internet, leur principale ressource de diffusion d’information, pour au contraire partager le plus largement possible la « vérité », dans le sens de la traduction la plus fidèle possible du réel observé).
Sur le plan émotionnel, les attaquants qui agissent contre l’Humanité entraînent sa division en deux camps de plus en plus séparés et visibles sur le champ de bataille, ceci en utilisant deux armes additionnelles : la peur et les idéologies (religieuses, politiques, économiques, etc.).
L’AP-HP a annoncé ce jeudi 17 décembre avoir mis fin aux fonctions de chef de service du Professeur Christian Perronne, chef du service des maladies infectieuses et tropicales de l’hôpital Raymond Poincaré à Garches. Cette décision lui a été signifiée sans préambules par M. Martin Hirsch le directeur général de l’AP-HP, lui reprochant d’avoir notamment affirmé que les malades du Covid représentaient une aubaine financière pour des médecins, « des propos considérés comme indignes de la fonction qu’il exerce ».
Le SNMH-FO est très inquiet de ce qui se passe, en ce moment, au regard de questions aussi fondamentales que la liberté de pensée, la liberté d’expression. Et, particulièrement pour ce qui nous concerne, dans le domaine de la médecine, la liberté de prescrire et la liberté de la pensée médicale.
Il ne s’agit pas des discussions entre médecins sur les thérapeutiques possibles, les moyens à utiliser en matière de diagnostic, d’interprétation des données cliniques et biologiques pour soigner au mieux les malades. Elles ont toujours eu lieu. La médecine n’est pas une science exacte, mais un art. C’est surtout une pratique où les échanges et les confrontations des expériences individuelles des médecins sont essentiels. Dès lors, les médecins discutent, ne sont pas toujours d’accord entre eux, surtout quand il s’agit de maladies nouvelles et ne se sont jamais privés d’en parler.
Il peut arriver que ces discussions, normales, salutaires, prennent une tournure moins courtoise. Il peut même arriver qu’il y ait des outrances. Les différends concernant la confraternité peuvent toujours se régler par la conciliation. En outre, il y a toujours la possibilité, pour un médecin s’estimant diffamé d’en demander réparation à la justice.
Le SNMH-FO n’a nullement l’intention d’entrer dans le débat sur les positions médicales des uns ou des autres.
Le SNMH-FO comme syndicat, totalement impliqué dans les fondements de sa Confédération, se situe sur le terrain de la défense des intérêts matériels et moraux de ses mandants, les médecins hospitaliers de tous statuts, PH et hospitalo-universitaires.
Sur le terrain des intérêts matériels des médecins hospitaliers :
Le SNMH-FO qui le premier a alerté sur la question de la grille « pseudo revalorisée » appelle à la grève du 11 janvier avec le SNPHARE pour défendre ce statut de médecins hospitaliers dans toutes ses données dont l’excellence et l’indépendance font partie, ce qui justifie de ne pas accepter la nouvelle grille du Ségur. C’est ce qui motive l’ensemble du corps médical dans la mobilisation qui se prépare.
Sur le terrain des intérêts moraux des médecins hospitaliers
Les opinions et expressions sur les traitements médicaux relèvent de la liberté de penser et de s’exprimer. Aucune « autorité » ne peut demander aux médecins de se plier à une « vérité officielle ».
En septembre 2020, nous nous trouvons dans une situation extraordinaire et extrêmement menaçante. Nous sommes actuellement confrontés à la pire récession des temps modernes d'une part, et d'autre part à des marchés financiers en plein essor comme si tout allait merveilleusement bien. À première vue, cela peut sembler contradictoire, mais ce n'est pas le cas, et pourtant c'est le signe avant-coureur d'une évolution extrêmement dangereuse pour nous tous. Voyons d'abord comment nous nous sommes retrouvés dans cette situation. Le système financier mondial n'a été maintenu en vie après la crise de 2007-2008 que grâce à l'intervention des banques centrales, qui ont injecté des centaines de milliards dans le système et ont ensuite réduit plus de 700 fois les taux d'intérêt dans le monde entier. Cependant, l'argent n'a pas afflué dans l'économie réelle ou n'est pas allé à ceux qui ont été le plus durement touchés par la crise, mais il est allé presque exclusivement dans la spéculation sur les marchés financiers, et en conséquence nous avons vu une tendance continue à la hausse sur les marchés financiers pendant plus de 12 ans malgré un développement économique lent. Au cours du second semestre de l'année dernière, des signes de plus en plus évidents de récession ont fortement ralenti cette tendance. Et en mars de cette année, le prix du pétrole a chuté plus fortement que jamais, entraînant avec lui les marchés dans la chute. Toutefois, cela n'a donné lieu à aucune contre-mesure ni à aucune tentative de relance économique, mais plutôt exactement le contraire : pour la toute première fois, le verrouillage a presque complètement bloqué l'économie dans le monde entier, avec pour conséquence que les marchés boursiers ont chuté plus rapidement et plus sévèrement qu'en 1929. Les banques centrales ont alors saisi l'occasion de ce krach délibérément provoqué pour injecter les plus grosses sommes d'argent jamais vues dans le système financier mondial. Cela a permis aux six plus grands groupes numériques du monde, qui avaient déjà le monopole, d'étendre leur position tant dans le secteur économique que sur les marchés financiers. Voici quelques chiffres : Le cours de l'action d'Alphabet (la société mère de Google) a augmenté de 17 % entre janvier et fin juillet 2020, celui de Microsoft de 38 % et celui de Facebook de 45 %. Netflix a augmenté de 66 %, Apple de 68,5 % et Amazon de 81 %. Nous avons vu plusieurs records mondiaux à ce sujet : Apple est la première entreprise au monde dont la valeur marchande dépasse les 2 000 milliards de dollars depuis la semaine dernière. Après sa fondation en 1976, il a fallu 42 ans pour qu'Apple franchisse la barre de mille milliards. Pour doubler en valeur, deux ans ont suffi. Elon Musk a atteint une fortune de 100 milliards de dollars en moins de temps que toute autre personne, et Jeff Bezos, le fondateur d'Amazon, a été la première personne dont la fortune a dépassé la barre des 200 milliards de dollars depuis quelques jours. Les donateurs en arrière-plan ont également beaucoup profité. Un dollar sur cinq créé par la FED depuis mars est allé dans les poches des milliardaires américains et a permis aux actifs des 12 plus riches d'entre eux d'atteindre plus de 1 000 milliards de dollars depuis mi-août. Tout cela s'est produit alors que, dans le même temps, des millions de personnes, tant aux États-Unis que dans d'autres pays industrialisés, ont perdu leur emploi et beaucoup d'entre elles leurs moyens de subsistance. La situation est encore pire dans les pays émergents : selon l'Organisation internationale du travail, le revenu de 1,6 des deux milliards de personnes qui travaillent au noir, c'est-à-dire sans contrat, a diminué en moyenne de 60 % dans le monde entier, et de plus de 80 % en Afrique et en Amérique latine. Le confinement délibérément provoqué par les gouvernements et la politique monétaire ultérieure des banques centrales ont ainsi déclenché d’un côté de la société un processus historique de concentration des actifs et du pouvoir en faveur des grandes multinationales informatiques et de l’autre côté de la société une catastrophe humanitaire aux proportions inimaginables. Et ce n'est que le début. On est dans l'erreur si on croit aujourd'hui que les emplois qui ont été perdus reviendront. Après tout, le modèle économique des grands monopoles informatiques, qui nous dominent plus que jamais après le confinement, n'envisage pas une augmentation, mais au contraire la perte rapide de millions d'emplois supplémentaires. La généralisation du télétravail, de l'enseignement à domicile, des voitures autonomes, des robots de travail, des imprimantes 3D et l'introduction généralisée de la biométrie, jusqu'à la mise en réseau directe des personnes et des technologies – en d'autres termes, tout le spectre de la numérisation – rendra des millions et des millions d'autres emplois superflus, et ce très bientôt. Mais la société humaine sous sa forme actuelle ne peut pas supporter cela. En raison de l'explosion des dépenses sociales causée par le chômage, les États déjà complètement surendettés devront recourir à des programmes d'austérité qui éclipseront tout ce qu'ils ont vu jusqu'à présent et entraîneront certainement d'énormes bouleversements sociaux qui seront alors difficilement contrôlables par la police ou l'armée. Et ensuite ? Notre société va-t-elle finir dans le chaos et les guerres civiles ? C'est une question que les puissants se sont probablement déjà posée, car il y a déjà une réponse de leur part. Elle s'appelle : contrôle total avec l'aide de l'argent numérique. Toutes les grandes banques centrales et toutes les grandes multinationales informatiques travaillent actuellement au développement de nouvelles options de paiement sans numéraire. Deux concepts jouent un rôle important à cet égard : la monnaie hélicoptère et la monnaie numérique de la banque centrale. Comme les chômeurs ne gagnent pas d'argent et ne sont donc pas des consommateurs, il faudra inévitablement leur fournir de l'argent pour stimuler la demande dans l'économie. Cet argent sera appelé par euphémisme « revenu de base inconditionnel », alors qu’il sera lié à la condition que les bénéficiaires le consomment immédiatement et ne l'épargnent pas. Pour garantir que l'argent sera utilisé comme prévu, les banques centrales le distribueront directement aux destinataires sous forme numérique. Cela signifie que les chômeurs et les allocataires sociaux recevront, par exemple, un portefeuille sur leur téléphone portable avec lequel ils pourront recevoir de l’argent et effectuer leurs paiements. Mais cela ouvrirait la boîte de Pandore, car ce serait le premier pas vers une transformation complète de notre système monétaire actuel, qui est piloté par les banques centrales sans que le public s’en aperçoive… système qui va vers la monnaie numérique d’une banque centrale. Le plan prévoit d'éliminer complètement l'activité traditionnelle de dépôt des banques, d'attribuer à chaque citoyen un seul compte à la banque centrale et d'effectuer toutes les transactions monétaires sans espèces par son intermédiaire. Le fait qu'il ne s'agit pas d'un rêve lointain est démontré, entre autres, par la réduction actuelle des liquidités, la fermeture progressive des agences bancaires et surtout par l'exemple de la Chine, qui a commencé à introduire ce nouvel argent le 16 avril de cette année – en d'autres termes, en pleine crise du coronavirus. Personne ne peut dire pour le moment quand ces plans seront mis en œuvre, mais nous devons être conscients d'une chose : Nous sommes à un tournant historique. Le confinement n'était certainement rien d'autre que le prétexte délibéré pour le dernier grand sauvetage du système financier existant. Sous sa forme actuelle, le monde de l'argent est à la fin de son existence, le système bancaire qui a vu le jour il y a 600 ans également. Si ceux qui détiennent le pouvoir continuent à décider de notre avenir, ils n'ont pas d'autre choix que de recourir à la monnaie numérique de la banque centrale et d'essayer de tous nous contrôler et nous réguler de cette manière. Le fait que les banques centrales forment une alliance avec les multinationales numériques, et que nous pouvons donc nous attendre à une monnaie semi-privée, montre que nous sommes actuellement sur le point d'entrer dans la pire forme d'économie planifiée imposée d'en haut, le corporatisme autocratique, l'image idéale de Benito Mussolini. Le temps est plus que mûr pour un système monétaire démocratique
La technocratie ne repose pas sur des mécanismes communs de fixation des prix tels que l'offre et la demande ou le libre-échange. Au contraire, l'économie de la technocratie est basée sur les ressources énergétiques, qui dictent ensuite les types de produits qui sont produits, achetés, vendus et consommés
Les scientifiques et les ingénieurs ont inventé la technocratie,elle nécessite une ingénierie sociale pour maintenir le système en état de marche, d'où la nécessité d'une surveillance et d'une exploration massive des données
Beaucoup de termes que nous avons entendus de plus en plus souvent ces dernières années font référence à la technocratie sous un autre nom. Citons par exemple le développement durable, l'Agenda 21, l'Agenda 2030, le Nouvel agenda urbain, l'économie verte, le new deal vert et le mouvement de lutte contre le réchauffement climatique en général. L'accord de Paris sur le climat fait également partie intégrante de l'agenda technocratique
D'autres termes sont synonymes de technocratie, notamment "la grande réinitialisation", "la quatrième révolution industrielle" et "mieux reconstruire
L'objectif commun de tous ces mouvements est l'appropriation de toutes les ressources du monde par une petite élite mondiale qui possède le savoir-faire pour programmer les systèmes informatiques qui viendront dicter la vie de chacun. C'est la forme ultime de totalitarisme et la destruction absolue de la liberté individuelle et de la vie privée
Dans la vidéo ci-dessus, James Delingpole s'entretient avec Patrick Wood, un économiste, analyste financier et constitutionnaliste américain qui a consacré sa vie à rechercher et à comprendre la technocratie - un système économique basé sur les ressources naturelles créé de toutes pièces et qui n'a pas vraiment d'équivalent en termes de ce que le citoyen moyen comprend.
Wood a écrit deux livres fascinants sur ce sujet : "La montée de la technocratie" : Le cheval de Troie de la Transformation mondiale "1 et "Technocratie : La dure route vers l'ordre mondial "2.
Comme l'explique Wood, ce nouveau système économique - qui n'est pas naturel - ne repose pas sur des mécanismes de prix communs tels que l'offre et la demande ou le libre-échange. Au contraire, l'économie de la technocratie est basée sur les ressources énergétiques, qui dictent ensuite les types de produits à produire, acheter, vendre et consommer. En substance, l'énergie remplace le concept de l'argent en tant que marchandise.
C'est assez étrange, mais ça l'est encore plus. La technocratie, apparue dans les années 1930 au plus fort de la Grande Dépression, dont les inventeurs étaient des scientifiques et des ingénieurs, nécessite également une ingénierie sociale pour faire fonctionner le système.
Le développement durable entend prendre le contrôle de toutes les ressources, de toutes les productions et de toutes les consommations de la planète Terre, laissant à une dictature scientifique la micro-gestion de tous ses habitants. ~ Patrick Wood
Si les gens sont autorisés à faire ce qu'ils veulent, c'est la demande des consommateurs qui, en fin de compte, fait tourner le commerce, mais cela ne fonctionnera pas ici. Il faut plutôt orienter les consommateurs, si vous voulez, pour qu'ils consomment ce que le système a besoin qu'ils consomment, et pour que cela se produise, il faut plus ou moins leur faire subir un lavage de cerveau. Par conséquent, le système technocratique nécessite une surveillance étendue et des technologies basées sur l'intelligence artificielle pour garder tout le monde sous contrôle.
La technocratie n'est pas un système politique
De plus, la technocratie cherche à éliminer les élus et le gouvernement dans son ensemble. Ils n'ont pas leur place dans ce système qui, lorsqu'il sera pleinement mis en œuvre, fonctionnera de manière plus ou moins automatique, avec l'apport au sommet des génies technologiques. Il n'y a pas non plus de place pour les nations ou les nationalismes qui pourraient influencer les comportements.
Comme l'a noté Wood, le roman d'Aldous Huxley "Brave New World" offre un aperçu fascinant de la technocratie. Il n'y a pas de système politique. Tout est dirigé par des ingénieurs et des scientifiques, et les algorithmes qu'ils créent. Comme indiqué dans la description de la "Technocratie : La dure route vers l'ordre mondial "3
En tant que système économique basé sur les ressources, le développement durable entend prendre le contrôle de toutes les ressources, de toute la production et de toute la consommation sur la planète Terre, laissant tous ses habitants être micro-gérés par une dictature scientifique.
Alors que le plan technocratique est en cours depuis des décennies, les choses se sont mises en place rapidement cette année. Si vous avez l'impression que nous souffrons tous d'une sorte de syndrome de la "grenouille bouillie", vous avez probablement raison.
Des droits évidents nous ont été retirés et les gens ont plus ou moins accepté des situations qui auraient été impensables il y a un an. On nous a dit de travailler à la maison et d'éviter d'aller où que ce soit. Nos entreprises ont été fermées "pour protéger la santé publique".
On nous a dit de nous couvrir le visage même lorsque nous sommes à l'extérieur, en mangeant et dans nos propres maisons. On nous dit maintenant que nous devrons avoir des passeports de vaccin si nous voulons prendre un vol à l'avenir, et les dirigeants mondiaux parlent ouvertement de la Grande Réinitialisation.
Il est évident que les banques centrales ont également participé à ce plan dès le début. Le système des banques centrales est en train de s'effondrer au moment où nous parlons, ayant atteint la fin de sa vie fonctionnelle, car le fardeau de la dette mondiale dépasse la capacité des pays à payer les intérêts, mais la Grande réinitialisation dont ils parlent n'est pas un autre système de banque centrale.
Il sera centralisé, oui, mais là encore, la base même de l'économie mondiale se déplacera du produit de la monnaie vers le produit de l'énergie. Dans l'interview, M. Wood explique comment l'élite technocratique, les membres de la Commission trilatérale en particulier, ont influencé et manipulé les réglementations économiques pour assurer leur succès.
Développement durable, Agenda 21 - Tout est technocratie
Comme l'explique M. Wood, de nombreux termes que nous entendons de plus en plus ces dernières années font référence à la technocratie sous un autre nom. Citons par exemple le développement durable, l'Agenda 21, l'Agenda 2030, le New Urban Agenda, l'économie verte, le Green New Deal et le mouvement contre le réchauffement climatique en général.
Ils font tous référence et font partie de la technocratie et de l'économie basée sur les ressources. D'autres termes sont synonymes de technocratie, notamment la Grande Réinitialisation4, la quatrième révolution industrielle5 et le slogan "Build Back Better "6.
L'objectif commun de tous ces mouvements et programmes est l'accaparer toutes les ressources du monde - dont elles sont la propriété - par une petite élite mondiale qui possède le savoir-faire nécessaire pour programmer les systèmes informatiques qui, en fin de compte, dicteront la vie de chacun. C'est vraiment la forme ultime du totalitarisme.
Quand ils parlent de "redistribution des richesses", ce à quoi ils font réellement référence, note Wood, c'est la redistribution des ressources de nous vers eux. Mon article précédent, "Le coup d'état mondial est en route", présente une vidéo du Forum économique mondial où l'on dit sans détour que d'ici 2030, vous ne posséderez plus rien. Tout ce dont vous avez besoin, vous le louerez.
Technocratie 2030 - Un aperçu de l'avenir
Un aperçu de cet avenir a également été présenté dans un article du Forbes de novembre 2016, écrit par une personne anonyme de l'équipe de la stratégie de leadership du Forum économique mondial. On peut y lire, en partie:7
"Bienvenue en 2030. Bienvenue dans ma ville - ou devrais-je dire, "notre ville". Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède pas d'appareils électroménagers ni de vêtements.
Cela peut vous sembler étrange, mais c'est parfaitement logique pour nous dans cette ville. Tout ce que vous considériez comme un produit, est devenu un service. Nous avons accès au transport, au logement, à la nourriture et à toutes les choses dont nous avons besoin dans notre vie quotidienne ...
Dans notre ville, nous ne payons pas de loyer, parce que quelqu'un d'autre utilise notre espace libre chaque fois que nous n'en avons pas besoin. Mon salon est utilisé pour les réunions d'affaires lorsque je ne suis pas là.
De temps en temps, je choisis de cuisiner moi-même. C'est facile - le matériel de cuisine nécessaire est livré à ma porte en quelques minutes ... Des courses ? Je ne me souviens pas vraiment de ce que c'est. Pour la plupart d'entre nous, cela s'est transformé en choix de choses à utiliser. Parfois, je trouve cela amusant, et parfois je veux juste que l'algorithme le fasse pour moi. Il connaît mes goûts mieux que moi maintenant …
Le concept d'heure de pointe n'a plus de sens, puisque le travail que nous faisons peut être fait à tout moment. Je ne sais pas vraiment si j'appellerais encore ça du travail. Il s'agit plutôt de temps de réflexion, de création et de développement...
Ma plus grande inquiétude concerne tous les gens qui ne vivent pas dans notre ville. Ceux que nous avons perdus en chemin. Ceux qui ont décidé que c'était devenu trop, toute cette technologie. Ceux qui se sont sentis obsolètes et inutiles lorsque les robots et l'IA ont pris le contrôle de grandes parties de nos emplois.
Ceux qui se sont fâchés contre le système politique et se sont retournés contre lui. Ils mènent des vies différentes en dehors de la ville. Certains ont formé de petites communautés autosuffisantes. D'autres sont restés dans les maisons vides et abandonnées des petits villages du 19ème siècle.
De temps en temps, le fait de ne pas avoir de véritable vie privée m'ennuie. Je ne peux aller nulle part et ne pas être enregistré. Je sais que, quelque part, tout ce que je fais, pense et rêve est enregistré. J'espère juste que personne ne l'utilisera contre moi. Dans l'ensemble, c'est une bonne vie".
Cependant, si vous louez tout et que vous n'avez pas de propriété privée, alors qui possède toutes ces choses ? L'élite technocratique qui possède toutes les ressources énergétiques. Il est troublant de constater qu'une des formes de ressources énergétiques que les technocrates modernes ont apparemment l'intention de récolter, si l'on en croit les brevets, est le corps humain.
L'activité du corps humain en tant que ressource énergétique
Le brevet international de Microsoft8 WO/2020/060606 décrit un "système de cryptomonnaie utilisant des données sur l'activité corporelle". Le brevet international a été déposé le 20 juin 2019. La demande de l'office américain des brevets9, 16128518, a été déposée le 21 septembre 2018. Comme l'explique le résumé :10
"L'activité du corps humain associée à une tâche fournie à un utilisateur peut être utilisée dans un processus d'extraction d'un système de cryptomonnaie. Un serveur peut fournir une tâche à un dispositif d'un utilisateur qui est couplé au serveur de manière à communiquer. Un capteur couplé ou compris dans le dispositif de l'utilisateur peut détecter l'activité corporelle de l'utilisateur.
Les données relatives à l'activité corporelle peuvent être collectées à partir de l'activité corporelle détectée de l'utilisateur. Le système cryptomonnaie couplé au dispositif de l'utilisateur peut vérifier si les données d'activité corporelle satisfont à une ou plusieurs conditions fixées par le système de cryptomonnaie, et attribuer une cryptomonnaie à l'utilisateur dont les données d'activité corporelle sont vérifiées".
La demande de brevet américain comprend le résumé du processus suivant11. Ce brevet, s'il est mis en œuvre, transformerait essentiellement des êtres humains en robots. Si vous vous êtes déjà demandé comment l'homme moyen va gagner sa vie dans le monde sans argent liquide de l'avenir, axé sur la technologie de l'IA, cela pourrait faire partie de votre réponse.
Les gens seront réduits à être comme des drones sans esprit, passant leurs journées à effectuer des tâches automatiquement distribuées par, disons, une application de téléphone portable, en échange d'une "récompense" en cryptomonnaie. Ce type de fusion des systèmes numériques et biologiques est en fin de compte ce qu'est la "quatrième révolution industrielle".
Qui sont les technocrates ?
Alors que la technocratie était autrefois un véritable club privé, les technocrates d'aujourd'hui n'ont pas nécessairement de carte de membre, de sorte qu'il peut être difficile de les identifier tous correctement. Les principaux acteurs sont cependant les membres de la Commission trilatérale, explique M. Wood.
Vous ne pouvez pas simplement adhérer à la Commission trilatérale. Ils choisissent leurs propres membres, et ce uniquement sur invitation. Une liste des membres à partir de 2020 peut être consultée sur FredDonaldson.com.12 Parmi les noms connus du groupe trilatéral américain figurent David Rockefeller, Henry Kissinger, Michael Bloomberg et les poids lourds de Google Eric Schmidt et Susan Molinari, vice-présidente de la politique publique chez Google.
Reconnaissant la nécessité des médias, il y a aussi David Ignatius, chroniqueur au Washington Post, David Sanger, correspondant en chef du New York Times à Washington, et Gerald Seib, rédacteur en chef du Wall Street Journal.
Il s'agit d'une liste intéressante de personnes qu'il peut être utile d'examiner pour avoir une idée de l'endroit, de la manière et des personnes par lesquelles la technocratie gagne du terrain et est mise en œuvre. Parmi les autres groupes à examiner, on peut citer
Le Club de Rome
L'Aspen Institute, qui a formé et encadré des cadres du monde entier sur les subtilités de la mondialisation. Nombre des membres de son conseil d'administration sont également membres de la Commission trilatérale
L'Institut Atlantique
Le Forum économique mondial
Le Brookings Institute et d'autres groupes de réflexion
Certains individus peuvent également être identifiés par leurs actions. Parmi les exemples donnés dans l'interview, on peut citer Bill Gates et le Premier ministre britannique Boris Johnson. Une fois que vous vous êtes familiarisé avec le programme technocratique, vous pouvez commencer à reconnaître les acteurs assez facilement.
La pandémie fait aussi partie de la prise de contrôle technocratique
Enfin et surtout, la pandémie fait partie intégrante de la grande réinitialisation des technocrates, qui inaugurera un tout nouveau monde de restrictions inimaginables de la liberté. Elle a déjà permis une redistribution massive des richesses - encore une fois, de la classe moyenne, des propriétaires de petites entreprises, aux grandes multinationales comme Amazon.
Enfin, ne soyez pas surpris si vous entendez parler de fournir à chacun un revenu de base - un pas vers l'"utopie" sans numéraire de 2030 où vous ne possédez rien - et d'une remise universelle de la dette en échange de la renonciation à tous les droits de propriété privée à l'avenir.
La fermeture des marchés a également eu pour effet de démolir les économies locales dans le monde entier - une situation artificielle totalement inutile qui sert maintenant d'excuse pour expliquer pourquoi nous avons si désespérément besoin de "réinitialiser" le système économique, et pendant que nous y sommes, nous devrions "reconstruire en mieux".
Les fermetures d'écoles ont suscité des appels à davantage d'apprentissage en ligne, ce qui enferme les jeunes dans la matrice de surveillance numérique encore plus grande qu'auparavant, et alors que le vaccin COVID-19 est en cours de déploiement, il prépare le terrain pour la surveillance biométrique, le suivi et la localisation, qui seront finalement liés à tous vos autres dossiers médicaux, à l'identification numérique, aux opérations bancaires numériques et à un système de crédit social.
Tout cela nécessite à son tour la 5G, qui est déployée au beau milieu de cette pandémie. Une fois de plus, une fois que vous vous serez familiarisé avec le programme technocratique, vous verrez que tous ces événements apparemment aléatoires ne le sont pas du tout, mais qu'ils s'entremêlent pour former un grand filet - et nous sommes ce qu'il y a de mieux pour le dîner.
La réponse est, tout d'abord, de vous éduquer et d'éduquer les autres. Je vous invite à écouter l'interview de Wood dans son intégralité, car il passe en revue beaucoup de choses que je n'ai pas résumées ici. Une fois que vous pouvez voir le plan, l'étape suivante consiste à résister et à s'opposer à toute mise en œuvre de l'agenda technocratique. Nous pouvons gagner, pour le simple fait que nous sommes plus nombreux qu'eux, mais nous devons nous faire entendre - nous devons unir nos forces et présenter un front uni.
Dans le Tennessee, des journalistes et cameramen de différentes chaînes télévisées sont venus interviewer le personnel médical venant de recevoir l'injection du vaccin Pfizer.
Quinze minutes après l'injection, une jeune infirmière, belle comme le jour, s'exprime devant les micros. Mais malgré ses efforts, elle s'effondre.
Apparemment c'est en direct, et le cameraman de MSNBC filme le tour de la pièce alors que ses confrères savent qu'ils doivent interrompre : on filme ce qui marche, pas ce qui échoue. Sans surprise, la vidéo n'est plus disponible.
Sans image, (Il est très important de ne pas entamer la propagande!) une autre chaîne expliquera plus tard que l'infirmière qui a fait un malaise, en aurait l'habitude ! Et nous serions censés le croire ?
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