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Mercier : dérives du système médical
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Une étude en Floride révèle des différences de mortalité entre les vaccins Pfizer et Moderna
Xavier Azalbert, France-Soir Publié le 29 avril 2025 – 23:38
Résumé : Une étude menée en Floride sur 9 162 484 adultes non institutionnalisés a comparé les effets des vaccins Pfizer-BioNTech (BNT162b2) et Moderna (mRNA-1273) sur la mortalité toutes causes confondues sur une période de 12 mois. Parmi eux, 1 470 100 personnes ont été appariées selon des critères précis. Les résultats montrent que les receveurs du vaccin Pfizer ont un risque significativement plus élevé de mortalité toutes causes (847,2 contre 617,9 décès pour 100 000 personnes ; rapport de cotes [RC] : 1,384), de mortalité cardiovasculaire (248,7 contre 162,4 ; RC : 1,540), de mortalité liée à la COVID-19 (55,5 contre 29,5 ; RC : 1,882) et de mortalité non liée à la COVID-19 (791,6 contre 588,4 ; RC : 1,356) par rapport à ceux ayant reçu le vaccin Moderna. Aucun biais majeur n’a été détecté dans les analyses de contrôle.
Pourquoi cette étude est importante
Depuis le début de la pandémie de COVID-19, les vaccins à ARN messager (ARNm), comme ceux de Pfizer-BioNTech (BNT162b2) et de Moderna (mRNA-1273), ont été largement utilisés pour protéger contre le virus. Mais au-delà de leur efficacité contre la COVID-19, des questions se posent sur leurs effets à long terme sur la santé globale, notamment sur la mortalité. Une étude récente, en preprint, menée en Floride, publiée le 29 avril 2025 sur medRxiv, s’est penchée sur cette question en comparant les taux de mortalité sur un an entre les personnes vaccinées avec Pfizer et celles vaccinées avec Moderna. Voici ce qu’il faut retenir de cette recherche, expliquée de manière simple et accessible.
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Santé publique France et les médias : désinformation institutionnelle qui frôle la tromperie ?
France-Soir Publié le 30 avril 2025 – 12:00
Une communication fallacieuse est-elle orchestrée par Santé publique France ?
Le 28 avril 2025, Santé publique France (SPF) publie un communiqué dans le cadre de la Semaine européenne de la vaccination, s’appuyant sur le Baromètre 2023. Le message, d’une opacité troublante, proclame que « 84 % des personnes interrogées en France hexagonale déclarent être favorables à la vaccination en général », tout en mentionnant une « tendance à la baisse » chez les seniors, sans chiffres précis ni explication. Cette communication, censée promouvoir la vaccination comme un « acte essentiel »intervient dans un contexte où le ministre de la Santé, Yannick Neuder, prétend lutter contre la désinformation.
Mais cette publication est une trahison de la mission de SPF : elle manipule les perceptions publiques par des données biaisées et incomplète, un acte qui, pourrait être qualifié de tromperie et mise en danger de la vie d’autrui, engageant la responsabilité civile et administrative d’une institution publique censée incarner la rigueur scientifique.
Une reprise complice par les médias traditionnels dont CNEWS
Le même jour, CNEWS relaie cette information dans un article intitulé « Sondage : 8 Français sur 10 restent favorables à la vaccination, malgré une adhésion déclinante chez les séniors ». Lors d’une conférence de presse ce lundi, à l’occasion de la Semaine européenne de la vaccination, le directeur général de la Santé, le Dr Grégory Emery (1), a insisté sur la nécessité de « renforcer la promotion de la vaccination dans une dynamique de lutte contre la désinformation en santé ». mises à disposition du public.
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Le gouvernement américain manipule le temps- Réveillez-vous !
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