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Conflits géopolitiques et perspectives de paix : Entretien entre Jeffrey Sachs et Judge Napolitano. Proche orient et Covid
France-Soir Publié le 31 janvier 2025 – 10:00
Le juge Napolitano s'entretient régulièrement avec le professeur Jeffrey Sachs. Dans cette interview, il aborde les questions complexes entourant la politique étrangère des États-Unis, notamment en lien avec le Moyen-Orient et les relations israélo-palestiniennes. L’objectif étant d’apporter une analyse des défis auxquels le président Donald Trump pourrait être confronté dans sa nouvelle administration, en particulier en ce qui concerne la reconnaissance de l'État palestinien et le respect des droits de l'homme. Il évoque aussi l’origine de la Covid un sujet d’actualité et de possibles tensions internationales, notamment avec la Chine.
La pandémie de la covid-19 et l’origine du virus (00:21:15 - chapitre en cliquant en haut à droite de la vidéo)
Jeffrey Sachs déclare ses préoccupations importantes concernant la pandémie de COVID-19. Il souligne que le virus présente des signes révélateurs d'une fabriquation en laboratoire. Pour Jeffrey Sachs, « la Covid a été causée par un virus qui, dès le début, a eu des effets révélateurs, signes qu'il a été fabriqué en laboratoire. »
Il mentionne qu'après des recherches intensives, il est arrivé à la conclusion que le virus pourrait avoir été conçu dans un laboratoire américain, probablement à l'Université de Caroline du Nord, et non en Chine comme souvent supposé. Il exprime ses préoccupations quant à la transparence de l'Université de Caroline du Nord, qui refuse de divulguer certains courriels de 2019, et suggère que cette rétention d'informations nuit à la compréhension complète de ce qui s'est passé. « C’est incroyable. Il y a de bonnes raisons de croire que Tony Fauci a financé des recherches extraordinairement imprudentes et dangereuses qui ont mal tourné » dit-il. Elles pourraient donc être à l'origine de la crise sanitaire.
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Zuckerberg accepte de payer 25 millions de dollars pour mettre fin aux poursuites engagées par Trump après sa suspension sur Facebook en 2021
Mark Zuckerberg a beau frotter, il reste encore de la craie sur l’ardoise. Après un don d’un million de dollars pour le fonds d’investiture de Donald Trump, un engagement à soutenir le projet de “renouveau national" de ce dernier et le changement de la stratégie de modération de ses réseaux sociaux pour remettre les pendules à l’heure de l’actuelle administration, il restait encore au patron du groupe Meta un compte à solder avec le président des États-Unis. La firme de Menlo Park a annoncé mercredi 29 janvier avoir accepté de payer 25 millions de dollars de dédommagement à Donald Trump pour mettre fin aux poursuites engagées après la suspension de ses comptes Facebook et Instagram en 2021.
Cette année-là, après l'assaut du Capitole par les partisans du républicain, le groupe Meta, maison-mère de WhatsApp, Facebook et Instagram, a été suspendu sur ces deux dernières plateformes. Estimant être victime de censure, Donald Trump a porté plainte contre Meta et son fondateur, Mark Zuckerberg.
Quatre ans plus tard
Cet épisode marquait le début d’une relation tendue entre les deux hommes et le président américain ne ratait pas une occasion pour critiquer le fondateur de Facebook. “La prochaine fois que je serai à la Maison Blanche, il n'y aura plus de dîners, à sa demande, avec Mark Zuckerberg et sa femme. Il n'y aura que des affaires !”, avait-il promis. Il avait aussi accusé Mark Zuckerberg d'utiliser sa plateforme pour influencer les élections en faveur des démocrates, dont il était un traditionnel soutien, aussi bien lui-même que nombreux de ses employés.
Lorsque Donald Trump raflait au début de l’année dernière les États lors de l’investiture républicaine, il avait évoqué les appels à interdire l’application chinoise TikTok aux États-Unis, estimant que pareille mesure permettrait à Facebook de “doubler son activité”. “Je ne veux pas que Facebook, qui a triché lors des dernières élections, fasse mieux. C'est un véritable ennemi du peuple !”, avait-il écrit sur Truth Social, sa plateforme. Il faisait allusion aux 400 millions de dollars que le co-fondateur de Facebook et son épouse, Priscilla Chan, ont injecté dans les bureaux électoraux en 2020 à travers le Centre pour la technologie et la vie civique (CTCL).
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Pfizer accepte de payer 60 millions de dollars pour régler des accusations de corruption liées à l’une de ses filiales
France-Soir Publié le 30 janvier 2025 - 11:25
Encore un scandale de corruption que Pfizer s’empresse de vite camoufler. Le laboratoire pharmaceutique a accepté de payer la bagatelle de 60 millions de dollars pour résoudre une affaire liée à de fausses déclarations portant sur des paiements inappropriés à des médecins par l’une de ses filiales, a annoncé vendredi dernier le département de la Justice (DOJ). La société américaine, déjà condamnée pour corruption et dont les vaccins anti-COVID font l’objet de poursuites, rappelle que les faits qui sont reprochés à Biohaven ont eu lieu avant son acquisition en 2022.
Dans son communiqué, la Justice américaine explique que Biohaven Pharmaceuticals a violé entre mars 2020 et septembre 2022 la loi fédérale sur les fausses déclarations (False Claims Act).
Une “affaire héritée” du passé
Ce laboratoire offrait ainsi des sommes d’argent et des avantages à des médecins, sous forme d’honoraires de conférencier ou de repas dans des restaurants de luxe afin de les inciter à prescrire plus fréquemment son médicament, le Nurtec, un traitement contre la migraine.
Bien que des médecins aient bien suivi régulièrement certains séminaires ou conférences, le département américain de la Justice fait remarquer dans son communiqué que ces événements n’avaient aucun bénéfice éducatif. Parfois, les conjoints, des membres de la famille ou des collègues des médecins les remplaçaient et ces derniers n'avaient aucun intérêt ni aucun bénéfice à être présents.
Il s’agit-là d’un cas de corruption puisque le DOJ cite l’Anti-Kickback Statute, une loi fédérale anti-corruption, qui interdit aux entreprises de payer ou d'offrir quoi que ce soit de valeur pour inciter à la prescription de services ou de produits couverts par des programmes fédéraux de soins de santé tels que Medicare ou Medicaid, pour expliquer les faits reprochés à la filiale de Pfizer. Cette loi vise à garantir que les décisions des prestataires de soins de santé ne soient pas “compromises par des incitations financières inappropriées”, explique encore le communiqué.
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Discours de Tulsi Gabbard
"Les preuves sont désormais officielles et irréfutables !" - Pierre Chaillot
Autisme : conséquence des vaccins ?
Déclaration de Robert F. Kennedy Jr. lors de son grand oral ce mercredi pour sa confirmation devant le Sénat americain afin de prendre la tête du ministère de la Santé
France-Soir Publié le 29 janvier 2025 – 19:33
Pour son grand oral devant le Sénat américain, dans un humble et éloquent discours, Robert Kennedy Junior se présente et décline son programme. Vous trouverez ici une traduction de ce moment unique.
“Je suis honoré d’être ici aujourd’hui en tant que candidat du Président Trump pour diriger le Département de la Santé et des Services sociaux des États-Unis. Je tiens à remercier le Président Trump de m’avoir confié la mission de tenir sa promesse de rendre l’Amérique en bonne santé à nouveau.”
“Je veux également remercier Cheryl, Kik, Bobby et tous mes autres enfants qui sont ici aujourd’hui, ainsi que les nombreux membres de ma grande famille élargie pour l’amour qu’ils m’ont si généreusement témoigné. Notre famille s’est toujours engagée dans le service public, et j’ai hâte de perpétuer cette tradition.”
“Mon engagement envers les questions de santé a commencé avec ma carrière d’avocat spécialisé en droit de l’environnement, en travaillant aux côtés de chasseurs, de pêcheurs et de mères dans une petite ville de la vallée de l’Hudson et le long de la rivière Hudson. J’ai très vite compris que la santé humaine et les atteintes à l’environnement sont étroitement liées. Les mêmes substances chimiques qui tuent les poissons rendent également les gens malades.”
“Aujourd’hui, la santé globale des Américains est dans un état désastreux. Plus de 70 % des adultes et un tiers des enfants sont en surpoids ou obèses. Le diabète est dix fois plus répandu qu’il ne l’était dans les années 1960. Les cas de cancer chez les jeunes augmentent de 1 à 2 % par an. Les maladies auto-immunes, les troubles neurodéveloppementaux, Alzheimer, l’asthme, le TDAH, la dépression, les addictions et bien d’autres affections physiques et mentales sont en hausse, certaines de manière exponentielle.”
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Erreurs d’interprétation sur l’évolution des États-Unis (½)
Nous avons tous été étonnés par le président Trump signant des décrets à la chaîne juste après son investiture. La presse européenne y a vu un autocrate affirmant sa puissance. Pas du tout ! : une bonne partie de ces documents limite le pouvoir de l’État fédéral au bénéfice des États fédérés. Les erreurs d’interprétation de ce type sont désormais légion entre les États-Unis et l’Europe.
Thierry Meyssan- Le 28 janvier 2025
Nous voyons que l’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche bouleverse les règles du jeu international. Cependant, nous interprétons souvent mal ses actions : nous ignorons les us et coutumes de son pays et nous projetons sur lui nos propres débats politiques. Nous sommes d’autant plus perdus qu’au cours des dernières années, nous avons plus ou moins adhéré à l’idéologie à la mode à Washington. Nous avons considéré celle-ci comme la doxa états-unienne, alors qu’elle n’était qu’un moment dans son histoire, et que nous avons oublié ses nombreuses écoles de pensée.
https://www.voltairenet.org/article221744.html