Le dispositif à ARNm anti-Covid n’est PAS un « vaccin », ni même un médicament, un traitement ou une thérapie – Alors, c’est quoi ?
Le dispositif à ARNm anti-Covid n’est PAS un « vaccin », ni même un médicament, un traitement ou une thérapie – Alors, c’est quoi ?
Makia Freeman Mondialisation.ca, 21 janvier 2021
La substance anti-Covid à ARNm préparée en laboratoire et désormais déployée par des militaires dans de nombreux pays du monde, n’est PAS un « vaccin ». Je le répète : ce n’est pas un « vaccin ». On peut certes le qualifier de beaucoup de choses, mais certainement pas de « vaccin ».
Nous devons prendre conscience du fait que la fraudémique du Covid a rapidement accéléré les aspects technocratiques et transhumanistes du Nouvel Ordre mondial au point que des milliers de personnes font aveuglément la queue pour se faire injecter un « traitement » qui est aussi un dispositif chimique, un système d’exploitation, un agent pathogène synthétique et un dispositif de production d’agents pathogènes chimiques.
Comme nous l’avons vu dans un article précédent, cette nouvelle « concoction bizarre» anti-Covid constitue un tout nouveau type de technologie, potentiellement encore plus dangereux que le toxique vaccin moyen. Dans cet article, nous allons explorer plus en profondeur ce qu’est cette « concoction » à ARNm.
Les docteurs David Martin et Judy Mikovits expliquent que la « substance » anti-Covid n’est pas un « vaccin »
Voici le court extrait d’un échange entre les docteurs David Martin et Judy Mikovits (qui ont tous deux jusqu’à présent été très éloquents pour mettre en lumière les éléments relatifs à la soi-disant-pandémie de Covid) qui s’entretiennent avec Robert Kennedy Jr. et l’avocat Rocco Galati, lequel représente un groupe canadien de défense de la liberté qui poursuit en justice le gouvernement quant à la vaste escroquerie que constitue le Covid. David Martin fait valoir des points extrêmement importants sur le fait que nous ne pouvons pas étiqueter avec précision le dispositif que Moderna et Pfizer/BioNTech présentent de manière coercitive comme un « vaccin », puisque tant sur le plan médical que juridique, ça n’en est pas un :
« Il ne s’agit pas d’un vaccin […] le terme vaccin est utilisé pour rendre cette substance subrepticement acceptable en vertu d’une autorisation d’utilisation d’urgence dans le cadre de la santé publique […] Il s’agit d’un ARNm encapsulé dans une enveloppe de graisse qui doit pénétrer une cellule. C’est un dispositif [soi-disant – NdT] médical conçu pour stimuler la cellule humaine de manière à ce qu’elle puisse produire elle-même des agents pathogènes. Ce n’est pas un vaccin ! Le vaccin en tant que tel est en fait un terme défini de manière légale […] en vertu de la loi sur la santé publique […] et en vertu des normes du CDC et de la FDA, un vaccin doit spécifiquement stimuler à la fois l’immunité de la personne qui le reçoit, mais il doit également perturber la transmission […] Ils se sont montré très clairs en disant que le brin d’ARNm qui entre dans la cellule n’est pas conçu pour arrêter la transmission [de la maladie]. Il s’agit d’un traitement. Mais si on en parlait comme d’un traitement, il ne recevrait pas l’oreille compatissante des autorités de santé publique, car les gens diraient alors : Existe-t-il d’autres traitements ?