Si vous pouvez prouver que les directives thérapeutiques de l'OMS et du NIH sont justes, vous pourriez gagner 2 millions d'euros
France Soir
Publié le 26/05/2021 à 17:26 - Mise à jour le 27/05/2021 à 11:28
Cet article est le deuxième d'une série montrant que l'obéissance à des protocoles de traitement restrictifs s'appuyant sur la médecine fondée sur les preuves, en cas de pandémie, entraîne la perte inutile de centaines de milliers de vies.
Dans mon article précédent, j'ai montré que les directives de traitement actuelles du NIH et de l'OMS pour la fluvoxamine et l'ivermectine ne correspondent pas du tout aux preuves. Au contraire, un avis favorable pour ces deux médicaments correspond presque parfaitement à toutes les données. Dans cet article, je vais faire comprendre à tout le monde que leurs recommandations sont tellement indéfendables qu'aucune autorité respectée ne pourra se présenter pour les soutenir avec un argument crédible, même si je leur offre une incitation d'un million de dollars pour le faire.
Tout protocole médicamenteux utilisé pour le traitement précoce du COVID appartient à l'une des trois catégories suivantes :
1. Utile
2. Neutre
3. ou Nuisible
J'affirme qu'il y a de nombreuses preuves sur la table depuis au moins 7 mois, et qu'elles sont toutes publiques. J'affirme aussi que la fluvoxamine et l'ivermectine, lorsqu'elles sont administrées tôt à une dose efficace, sont utiles parce que c'est cette hypothèse que les preuves confirment, et que les deux autres alternatives - neutre ou nuisible - ne correspondent pas du tout aux preuves.
Pour gagner le prix d'un million de dollars, il vous suffit de fournir un argument convaincant à nos juges, selon lequel les recommandations du NIH ou de l'OMS sur la fluvoxamine ou l'ivermectine (existantes le 21 mai 2021, date à laquelle je fais cette offre) sont plus susceptibles de correspondre aux preuves, c'est à dire que l'avis "défavorable" conviendrait mieux que l'avis "favorable". Ou, vous pouvez simplement montrer pourquoi les recommandations du NIH ou de l'OMS sont susceptibles de sauver plus de vies que les recommandations "favorables" à ces deux médicaments. Les deux méthodes de preuve sont acceptables.