UrsulaGates : quel virus traine en ce début d’année et plus particulièrement à Liège ? Von der Leyen en arrêt pour 15 jours, la procureure Vanderputten en arrêt depuis un mois !
Xavier Azalbert, France-Soir Publié le 05 janvier 2025 – 19:00
Demain matin s’ouvre une nouvelle étape dans la plainte pénale visant Ursula von der Leyen, Albert Bourla, Pfizer et BioNTech dans le cadre des contrats mirobolants d'achat des vaccins covid-19. C'est devant la Chambre des mises en accusation du tribunal de Liège qu'ils se retrouveront face à plus de 1000 plaignants dont Frédéric Baldan, la Hongrie, La Pologne, des partis politiques (Vivant en Belgique, les Patriotes en France), des navigants aériens, un ancien député européen, des victimes des effets secondaires des vaccins covid, ainsi que l'ONG italienne Generazione Future.
Une mobilisation sans précédent qui ne faiblit pas malgré les nombreuses manœuvres de l’EPPO, l’omerta de la plupart des médias. L’étau se resserre donc autour d'Ursula von der Leyen, d’Albert Bourla et de Pfizer BioNTech. Lors de la dernière audience à huis clos du 6 décembre 2024, de manière surprenante et sans en avoir fait part au préalable, l’EPPO a déclaré que la Cour d’Appel devrait trancher le 6 janvier 2025 sur divers aspects de l’affaire (recevabilité des plaignants, immunité de von der Leyen, et compétence de l’EPPO). La présidente Anne-Marie Jacquemart a donc remis l’audience « sine die » c’est-à-dire sans fixer de date afin de prendre connaissance de la décision de la chambre des mises en accusation. Une manœuvre dénoncée par toutes les parties comme étant attentatoire aux droits de la défense, démontrant encore une fois encore les jeux troubles joués par l’agence de coopération et coordination qui se nomme Parquet européen.
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