"Surmortalité Covid" en 2020 ? C'est la démographie, idiot !
Lundi 01 mars 2021 10h20 - Blog de Jean-Dominique Michel
C’est un honneur mais aussi une action de salubrité publique qu’il m’est donné aujourd’hui de réaliser sur cette page en republiant, avec son aimable autorisation, l’analyse de M. Thomas Fernique, chargé de recherche au CNRS, portant sur la surmortalité attribuée au Covid en 2020.
Comme l’a fait Fabien Balli-Frantz en Suisse, ce mathématicien reprend les statistiques avec sérieux (soit l’inverse de la presse payée par l’état) et arrive à la conclusion que cette surmortalité (constatée en termes numériques) est bel et bien expliquée intégralement par le vieillissement de la population !
L’adage est connu (nous le devons à Alfred Sauvy) que les chiffres sont des innocents qui avouent facilement sous la torture tout ce qu’on veut leur faire dire. C’est hélas bel et bien le cas avec le Covid puisque TOUS les chiffres dont on nous abreuve depuis une année sont faux : le nombre de « cas » est faux (avec des tests PCT réglés bien au-delà de 25-30 CT, et qui ne veulent donc plus rien dire) ; le nombre réel de « malades » et par conséquent le fameux RT restent parfaitement inconnus ; le nombre d’ « hospitalisations Covid » est faux (environ 87% d’entre elles le sont pour d’autres raisons que le Covid) ; idem pour le nombre de décès (tous les décès de personnes RCT+ sont comptabilisés comme « dus au Covid », ce qui est à 90% faux !) ; le taux d’occupation des services de soins intensifs à l’automne était présenté fallacieusement comme inhabituel alors qu’il était parfaitement normal pour la saison; et enfin, la « surmortalité » -due comme nous le verrons plus bas au vieillissement de la population- reste elle aussi parfaitement normale en termes relatifs.
Une somme invraisemblable de mensonges et de désinformations donc, expliquant comment on a pu transformer une épidémie correspondant à une grippe un peu sévère (mais rien de plus) en psychose planétaire. Rappelons à ce sujet que si vous êtes âgé de moins de 65 (et même 75) ans, votre risque de mourir, l’an passé comme actuellement, est exactement pareil à n’importe quelle autre année !
Il aurait été difficile de faire paniquer une population avec ça… raison pour laquelle, selon toute vraisemblance (les tribunaux nous le diront), les autorités et les médias n’ont cessé de déformer les chiffres et données d’une manière aussi stupidement alarmiste que pénalement répréhensible…