Vaccin Pfizer, la Rolls-Royce des poisons?
4 mai 2021 Philippe Huysmans - Le vilain petit canard
En cette époque où le pouvoir, les médias à la botte et les vedettes stipendiées essayent à toute force de nous vendre le vaccin comme s’il s’agissait de la panacée, puisqu’il n’existe aucun remède contre le covid (mantra), je crois qu’il serait bon de s’arrêter deux minutes pour réfléchir, avant de commettre l’irréparable.
Se faire inoculer un vaccin n’a rien d’anodin, surtout qu’en l’espèce, on ne peut pas vraiment parler de vaccins, mais bien de thérapies géniques n’ayant jamais été expérimentées sur l’homme, dont on ne connaît rien des effets à long terme, et qui restent, quoi qu’on en dise, au stade expérimental de phase III jusqu’en 2023 au moins. On a oublié de vous le dire, ça? Ce sont pourtant des données publiques fournies par les fabricants et centralisées sur le site https://clinicaltrials.gov/.
D’ailleurs ces thérapies n’ont jamais fait l’objet d’une autorisation de mise sur le marché autre qu’une AMMC, soit une autorisation de mise sur le marché conditionnelle. La condition sine qua non pour qu’un traitement encore en phase de test puisse être mis sur le marché étant qu’il n’existe aucun traitement reconnu contre la maladie. Vous commencez à comprendre l’empressement des États, des Diafoirus de plateau et des lobbies qui leur graissent la patte pour nier l’efficacité des nombreux traitements qui ont pourtant fait la preuve de leur efficacité? Ceci est aujourd’hui attesté par des dizaines d’études scientifiques publiées dans des revues à comité de lecture.
Exit donc l’hydroxychloroquine, déclarée substance vénéneuse de classe II par Agnès Buzin en date du 13 janvier 2020, soit trois mois avant les premiers cas de covid en France. Je ne sais trop ce qu’elle vaut comme médecin, mais en tout cas elle aurait pu faire une belle carrière comme voyante extra-lucide. Exit aussi l’Ivermictine récemment déclarée tout aussi dangereuse et inefficace contre le covid.