"Hold-On" : un an plus tard, les réponses aux questions du film "Hold-Up" ?
Publié le 25/11/2021 à 18:36 - FranceSoir
"Hold-Up" a fait couler beaucoup d'encre fin 2020. Un an plus tard, la suite risque d'en faire couler au moins tout autant, pour finir l'année 2021 en beauté. Il y a un mois, la bande-annonce de "Primum (non) nocere" était dévoilée. Aujourd'hui, c'est sous le nom symbolique de "Hold-On" (Tenez bon) que le deuxième volet fait son apparition. La promesse est la suivante :
HOLD-UP POSAIT LES QUESTIONS, HOLD-ON APPORTE LES RÉPONSES...
Une enquête menée par un collectif d'anciens journalistes de TF1, France Télévisions ou encore Canal +, qui s'ouvre avec beaucoup de recul, grâce à une intervention de Jean-Dominique Michel, anthropologue de la santé :
« Pourquoi est-ce que je devrais vous croire vous, plutôt que ce que me dit l'État ? C'est très honnête comme posture. Maintenant, ça fait des décennies que l'on connaît la fabrication de l'ignorance. C'est l'industrie du tabac qui a posé les premiers jalons de ce savoir-faire, mais après, l'industrie pétrolière, l'industrie alimentaire. Dès qu'il y a une vérité scientifique embarrassante qui sort, ces industries paient des scientifiques pour produire des études qui montrent l'inverse. Entre le moment où le lien a été établi entre le tabagisme et le cancer du poumon, et le moment où les sociétés médicales l'ont reconnu, il y eut plus de 40 ans qui se sont écoulés. »
Le décor est planté ; le film entend lutter contre cette fabrication de l'ignorance. Dès les premières minutes, on rencontre les parents de Maxime Beltra, un jeune de 22 ans décédé le jour même de sa vaccination, ainsi que plusieurs gendarmes, militaires, pompiers, infirmières, psychologues qui ont perdu leur travail à cause de l'obligation vaccinale. Maintenant, on sait. Mais peut-être cette introduction bouleversante biaise-t-elle notre regard, alors que commence la première partie du documentaire : les injections.
« On veut nous contraindre à participer à une expérimentation »