États-Unis — Le débat sur les soi-disant « vaccins » sans danger explose grâce à des données médicales du ministère de la Défense partagées par des lanceurs d'alerte
Daniel Horowitz — The Blaze Sott.net jeu., 27 jan. 2022 11:53 UTC
Données, transparence et surveillance. C'est ce qui manque à la plus grande expérience sur les humains de tous les temps depuis le début de cette [soi-disant - NdSott] pandémie. Aujourd'hui, des lanceurs d'alerte parmi les médecins militaires ont présenté ce qu'ils disent être l'ensemble de données le plus précis et le plus révélateur que l'on puisse trouver sur la sécurité des vaccins [Covid - NdSott].
Les politiciens et les médias pro-pharma affirment que l'outil de pharmacovigilance du CDC, le VAERS, n'est pas assez performant pour déclencher des enquêtes sur les vaccins, car n'importe qui peut soi-disant soumettre une entrée d'événement indésirable lié à un vaccin. Ainsi, tous les signaux de sécurité inquiétants émis par le VAERS sont ignorés, même si ce système a été mis en place pour rassurer le public tout en dégageant les fabricants de vaccins de toute responsabilité. Aujourd'hui, des lanceurs d'alerte chez les militaires présentent des données concernant ces « vaccins » qui, si elles sont vérifiées, indiquent qu'il existe des problèmes extrêmement inquiétants quant à leur [soi-disant - NdSott] sécurité qui font passer les données du VAERS pour insignifiantes.
Lundi, au cours de l'audition de cinq heures du sénateur Ron Johnson sur un « Une seconde opinion quant au Covid-19 », l'avocat de l'Ohio Thomas Renz, qui représente des clients qui poursuivent en justice les obligations « vaccinales », a présenté des données de facturation médicale du DOD [pour Décès/décès de maladie - NdSott] provenant de la base de données d'épidémiologie médicale de la défense (DMED), lesquelles brossent un tableau choquant et inquiétant de la santé des militaires en 2021.