Renouvellement d’AMMc du vaccin Comirnaty, Al Capone habite-t-il à l’EMA?
La rédaction de l'AIMSIB | 9 Jan 2022
Plus grand chose ne pourra vraiment nous étonner dans ce dossier politico-mafieux sans fin que représente la gestion mondiale de la Covid. Nous nous étions déjà émus de ce que ces vaccins circulaient en Europe sans AMMC valide (1), on apprend ici que la réalité peut se révéler plus incroyable encore que la fiction. Il est officiellement interdit d’aborder le sujet épineux des effets indésirables graves de ces injections (2), c’est dommage, car si le caractère profondément ganstérien de toute cette affaire n’était pas si absolu, ces produits seraient déjà interdits d’utilisation depuis déjà des lustres. Merci à Martin Mazurkiewicz (3), un des rares journalistes ayant survécu à la pétrification généralisé des rédactions parisiennes, de nous démontrer à nouveau tout le pitoyable de ces produits de santé. Bonne lecture.
Des faits, des faits et rien que des faits
Grande joie aux laboratoires Pfizer : les experts du Comité des médicaments à usage humain (en anglais : CHMP) de l’Agence Européenne du Médicament (EMA) ont rendu le 15 novembre dernier un avis favorable à la demande de renouvellement de l’AMM conditionnelle pour leur vaccin COVID à ARN messager.
L’UE s’apprêtait à dire amoureusement « voui !» dans les 24 langues officielles de l’UE. Chez Pfizer, on s’apprête à sabrer le champagne : « Yes ! ».
Et moi je me suis dit : « Et m…. (f… en anglais), je vais encore devoir me taper les documents et données qui valident cette décision ». Parce que non, désolé, je ne crois pas tout ce qu’on me dit. Et surtout pas ce qu’ils disent.