L’innocuité des vaccins à ARNm remise en cause
Publié le 23/02/2022 à 19:03 - Le Collectif Citoyen, FranceSoir
TRIBUNE — Contrairement à ce qui est avancé depuis plus d’un an par les fabricants de vaccin, la protéine Spike vaccinale et l’ARNm des vaccins restent présents au moins deux mois dans le corps des patients.
Une étude revue par les pairs et publiée dans la revue scientifique Cell, une revue scientifique internationale de haut niveau, révèle que l'antigène Spike produite par le vaccin et l'ARNm vaccinal persistent pendant deux mois dans les centres germinatifs des ganglions lymphatiques et que la production de protéines Spike est supérieure à celle des patients gravement malades atteints de COVID-19. Cette étude remet totalement en cause l’innocuité des vaccins à base d’ARNm tels que ceux de Pfizer ou Moderna et pourrait expliquer les nombreux effets indésirables déclarés en pharmacovigilance (myocardites, thromboses etc) et faire craindre des effets indésirables à long terme. Explications.
L’article publié le 24 janvier 2022 dans la revue Cell, est titré « Empreinte immunitaire, étendue de la reconnaissance des variants et réponse du centre germinal dans l'infection et la vaccination par le SARS-CoV-2 » (« Immune imprinting, breadth of variant recognition, and germinal center response in human SARS-CoV-2 infection and vaccination »).
Les auteurs de cette étude ont cherché à savoir « si les anticorps stimulés par la vaccination par ARNm (BNT162b2), y compris le rappel à la troisième dose, diffèrent de ceux générés par une infection ou des vaccins adénoviraux (ChAdOx1-S et Gam-COVID-Vac) ou viraux inactivés (BBIBP-CorV) ».
Selon la revue Cell, les faits saillants de cette étude seraient les suivants :