La toxicité des injections Covid augmente-elle avec le nombre de rappels ?
Laurent Laventin – Le 12 juillet 2022 6 Le courrier des stratèges
C’est un article récent de Jean Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS et docteur en biologie cellulaire et microbiologie qui relance l’affaire sur le déni des effets indésirables des injections Covid. Si tant est que l’on puisse parler de « relance ». Il s’agit davantage d’une guerre de communication où la réalité est occultée par un discours rassurant pour le consommateur contraint par des privations de liberté. Le directeur de recherche propose de s’appuyer sur les chiffres de l’ANSM, source publique de la pharmacovigilance en France.
La question des effets indésirables ne devrait pas tarir car plus le temps passe et plus les effets à terme sont visibles. Il restera cependant toujours un discours d’opposition sur la démonstration d’un lien de cause à effet entre les injections et des maladies à long court (cancer, maladie de Guillain Barré, scléroses en plaques…) ou des accidents cardiovasculaires.
Jean Marc Sabatier revient sur les chiffres et le slogan publicitaire tant entendu : « on peut discuter de tout sauf des chiffres ». Le chercheur évoque les données récentes de l’ANSM qui dans son rapport de juin 2022 indique que 24% des effets indésirables sont considérés comme graves depuis le début de l’épidémie (cf. schéma ci-dessous).