Néosanté : la science accuse
Le 14 septembre 2022
Est-ce un tournant dans la saga corona? Comme j’ai déjà annoncé des virages qui ne se sont pas vraiment produits, je ne vais pas trop m’avancer. Mais il me semble quand même que nous vivons un moment charnière en cette fin d’été : on voit des scientifiques de grande envergure sortir du bois et pointer un doigt accusateur sur les injections géniques expérimentales. Je ne parle pas des médecins lanceurs d’alerte ou des savants dissidents qui dénoncent depuis longtemps les « vaccins » covid à travers des déclarations, des livres ou des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux. Je fais allusion aux chercheurs du sérail qui, sans faire trop de bruit, ont planché sur le sujet, joué le jeu de la science et publient à présent leurs travaux dans des revues de renom. Ces dernières semaines, sont sorties trois études dont les résultats et les conclusions devraient normalement secouer le Landerneau scientifique et parvenir à l’opinion publique car elles sont autant de pavés dans la mare vaccinaliste.
Maintenant, plus personne ne pourra dire que la dangerosité des produits inoculés est une lubie de « complotistes antivax » puisque les procureurs sont souvent issus de grandes universités réputées, que leurs accusations sont fondées sur une méthodologie rigoureuse et que leurs réquisitoires paraissent dans des journaux habituellement favorables à la médecine vaccinale.
La balance penche bien dans le mauvais sens
Postée sur Science Direct il y a quelques jours, la première étude embarrassante est triplement intéressante : elle a été acceptée par une prestigieuse publication à comité de lecture (la revue Vaccine), elle répond aux critères les plus élevés de l’Evidence Based Medecine (c’est une analyse actualisée des essais cliniques de phase III de Pfizer et Moderna, avec randomisation et contrôle contre placebo) et elle aboutit à la conclusion que les injections à ARNm présentent des risques (très) supérieurs à leurs bénéfices.