Les procès américains contre le Gardasil rappellent les dangers du vaccin contre le papillomavirus, de plus en plus « imposé » en France
Dr Gérard Délépine – Le 19 octobre – mondialisation.ca
Les lobbies de l’industrie des vaccins s’efforcent, via les médecins généralistes (1), pédiatres, infirmiers, pharmaciens etc.. de convaincre les parents de faire vacciner garçons et filles contre les HPV en agitant le spectre du cancer (2, 3, 4, 5) (col de l’utérus pour les filles, anus et ORL pour les garçons). Ils prétendent que ces vaccins sont efficaces contre les cancers et sans risque, et nous avons déjà démontré depuis plusieurs années le caractère fallacieux de ces informations. (6 ,7, 8, 9)
Les procès Gardasil (10, 11) qui s’ouvrent aux USA prouvent que ces vaccins ne sont pas dénués de complications graves.
Les complications post Gardasil ont déjà motivé des manifestations de victimes et de leurs familles dans de nombreux pays : Japon (12), Danemark (13), Irlande (14), Colombie (15) alors qu’on ne peut pas accuser ces familles d’être des antivax puisqu’elles ont fait vacciner leurs enfants !
En août 2022, une commission judiciaire américaine a rendu une ordonnance validant plus de 31 actions en justice intentées contre Merck pour des complications graves survenues après injection de son vaccin anti-VPH Gardasil.
Les poursuites montrent que le géant pharmaceutique a accéléré le processus d’approbation de Gardasil par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis et a mené des essais cliniques trompeurs pour masquer les effets secondaires graves et pour exagérer l’efficacité du vaccin. La commission n’a pas été « convaincue » par l’argument de Merck selon lequel la tenue des procès augmenterait l’hésitation à se faire vacciner et provoquerait un afflux de plaintes « infondées » pour complications dues aux vaccins.
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