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« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
Le puzzle de la pandémie – #1 L’argent
Editorial Senta Depuydt- CHD Europe - octobre 12, 2021
Vous êtes-vous demandé pourquoi ? Pourquoi nos gouvernements ne nous écoutent-ils pas ?
Chaque fois que j’entends des hommes et des femmes médecins, avocats, enseignants ou commerçants se lamenter parce que l’on ne les a pas écoutés et que l’on n’a pas agi avec intelligence et humanité, cela me désespère.
Pendant des mois, on s’est évertué à parler de maladresse, d’ignorance ou de réaction de panique pour justifier l’intégralité des décisions catastrophiques qui ont été prises par nos dirigeants. Mais aujourd’hui, tout le monde est à même de voir que la réponse à la pandémie des gouvernements de cette planète ressemble plus à une entreprise de démolition contrôlée, qu’à un effort de servir les populations avec intelligence et humanité.
J’entends régulièrement des intellectuels et des scientifiques dire ‘je refuse de croire que’. Pourquoi s’infliger de telles limites ? Il ne s’agit pas de croire, mais de s’autoriser à voir et réfléchir, car c’est la condition nécessaire pour être libre et pour être acteur de notre destin.
La situation actuelle nous oblige à repenser le monde en passant du détail de l’expérience personnelle, venue confirmer ou contredire nos croyances préalables, à une vue d’ensemble qui résulte d’un travail d’intelligence collective. Cette démarche est à l’image d’un puzzle où l’on doit tantôt se pencher sur les détails, tantôt prendre du recul pour avoir une vue d’ensemble de ce qui se présente à nous.
Documentaire-événement "Vers un Climat Artificiel" avec Jacqueline Roche - 9 novembre 2021
« Notre ciel est souvent voilé et nous perdons de la lumière ». C’est ce constat qui a d’abord intrigué Jacqueline Roche, photographe professionnelle et donc sensible à la lumière. Un constat qui l’a amené à étudier le sujet puis à mener une véritable enquête et à découvrir la Géo-ingénierie : la science de la modification du climat.
Après l’artificialisation des sols, nous assistons aujourd’hui à une artificialisation globale du climat. La géo-ingénierie regroupe l’ensemble des techniques qui visent à modifier le climat et l’environnement de la Terre à grande échelle. Dans le ciel, cette technologie industrielle, parmi d’autres que nous découvrirons, consiste à pulvériser des aérosols dans l’atmosphère pour créer un ensemencement de l’air et des nuages et filtrer le rayonnement solaire.
Une enquête complète menée dès 2014 sur un phénomène qui ne fait l’objet d’aucun débat citoyen et dans l’ignorance totale du grand public. Attention, les résultats de cette enquête risquent de vous surprendre.
Au plaisir de partager avec vous les découvertes de Jacqueline Roche.
GARANTIR L’INTERET SUPERIEUR DE L’ENFANT en situation d'état d'urgence
Pétition à signer avant le 7 novembre 2021
GARANTIR L’INTERET SUPERIEUR DE L’ENFANT
en situation d'état d'urgence
Au regard de la Convention relative aux Droits de l’Enfant (CDE) et du droit français, il apparaît une carence législative sur la situation des enfants lors d’un état d’urgence.
Ce vide législatif a autorisé le gouvernement français à imposer en milieu scolaire, à partir de Mai 2020, un protocole sanitaire de plus en plus contraignant, sans documents justificatifs, et sans considération des débats d’experts inhérents au contexte sanitaire.
Or l’efficacité et la pertinence de protocole ont largement été remises en question la communauté scientifique et pédiatrique.
Par cette pétition, nous demandons que cette carence législative soit comblée au plus vite dans les textes législatifs nationaux.
Nous demandons que la loi exige que toute décision contrevenant aux droits fondamentaux de l’enfant soit scientifiquement solidement justifiée et motivée.
Sans cela, le risque est réel de ne plus assurer dignement sa santé, sa liberté et sa protection.
UNE « PETITION LEGISLATIVE EXCEPTIONNELLE »
Cette pétition n’est pas une pétition « ordinaire », pour alerter les autorités en espérant que nous serons entendus. Car il est fort probable que, dans le contexte actuel, nous ne le serions pas, malgré des milliers de signatures.
Il s’agit d’une pétition législative, déposée sur le site du Sénat.
L’objectif est de s’appuyer sur un mécanisme légal précis : atteindre 100 000 signatures mettra automatiquement cette question à l’ordre du jour de la Commission des Présidents du Sénat.
L’authentification FranceConnect constitue une contrainte supplémentaire par rapport aux pétitions habituelles : mais c’est ce qui fera l’efficacité finale de la démarche. Il nous semble que la défense des enfants mérite bien cet effort.
OBJECTIF
Malgré un contexte d’état d’urgence notamment sanitaire, garantir l’intérêt supérieur de l’enfant.
MESURES D’EXCEPTION ET DROITS FONDAMENTAUX
En déclarant l’état d’urgence sanitaire, le gouvernement français a imposé un protocole sanitaire contraignant, dont le port du masque aux enfants dès l’âge de 6 ans en milieu scolaire.
Au moment des prises de décisions, la communauté scientifique et professionnelle a largement exprimé des avis contraires étayés quant à la nécessité et à l’efficacité de ces mesures. Elle alerte également sur les risques néfastes du port du masque et du protocole sanitaire sur les enfants.
Au regard de la Convention relative aux Droits de l’Enfant (CDE) et du droit français, il apparaît une carence législative sur la situation des enfants lors d’un état d’urgence.
La CDE a été adoptée par l’ONU à l’unanimité en 1989 et a été renforcée ensuite par trois protocoles :
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Portant sur la vente d’enfants, la prostitution des enfants et la pornographie mettant en scène des enfants,
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Portant sur l’implication d’enfants dans les conflits armées
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Et portant sur le recours possible devant le Comité des droits de l’enfant des Nations Unies en cas de non-respect des deux précédents protocoles.
Une carence est cependant constatable dans la CDE en ce qui concerne la protection des enfants en situation d’état d’urgence. Le droit français n’y répond pas non plus.
CHRONOLOGIE
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En Mars 2020, l’exécutif décide de confiner le pays, avec fermeture des écoles. Les enfants sont officiellement jugés contagieux. Les critères et études ayant servi à ces arbitrages ne sont pas connus à ce jour.
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En Juillet 2020, les masques chirurgicaux (jugés inutiles au printemps) deviennent obligatoires autant en intérieur qu’en extérieur, mais les moins de 11 ans peuvent respirer librement.
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En Septembre 2020, le masque devient obligatoire pour les collégiens et les lycéens. Les critères et études ayant conduit à cette décision ne sont pas non plus connus à ce jour.
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Le 2 novembre 2020, les enfants du primaire sont à leur tour masqués. Les critères et études ayant déclenché cet élargissement ne sont toujours pas identifiés à ce jour, malgré les questionnements récurrents de parents, enseignants et professionnels de l’enfance.
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En Avril 2021, les écoles sont fermées avec une semaine de cours en distanciel et deux semaines en vacances anticipées. Les critères et études utilisés par les décisionnaires, une fois encore, ne sont pas connus à ce jour.
Au regard desdits événements, chaque décision a été prise sans documents justificatifs ni motivations, et sans considération des débats d’experts inhérents au contexte sanitaire. Or, ces éléments auraient dû être les requis préalables à chacune d’entre elles.
La carence à la fois dans le droit français, mais aussi dans la CDE, de la situation des enfants en état d’urgence autorise ainsi ce genre de dérives.
CHIFFRES
Alors que des propos médiatiques insistaient sur la dangerosité des enfants dans la propagation du Covid-19, Santé Publique France rapportait les données suivantes :
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Les 0-14 ans comptabilisent 5 décès depuis mars 2020, soit 0,006% des décès hospitaliers avec une mention « covid-19 ».
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Les 15-44 ans (tranche des fratries et parents) représentent 0,67% des décès hospitaliers.
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La Société Française de Pédiatrie (SFP) rapporte qu’au sein du Ministère de l’Education nationale le niveau de contamination des enseignants (0,09 à 0,18%) est très faible de même que le nombre de classes ou écoles fermées depuis la rentrée scolaire de septembre 2020 (respectivement <0,2% et <0,14%).
Ces chiffres, non exhaustifs, étayent l’idée que les jeunes enfants ne sont majoritairement ni victimes du SARS-CoV2 (le bénéfice des mesures est pour eux relativement faibles), ni contaminants (le bénéfice de la communauté nationale est mineur au regard d’autres mesures impactant le reste de la population).
Ces avis contrebalancent fortement les risques et bénéfices invoqués par l’exécutif lors de la mise en œuvre des mesures sanitaires, qu’il n’a pas jugé utile de motiver avant ses prises de décisions.
IMPACT SUR LA SANTÉ PUBLIQUE, SUR LES LIBERTÉS ET SUR LES DROITS FONDAMENTAUX
Les multiples décisions impactent directement la santé publique, les libertés et les droits fondamentaux en lien avec les enfants, notamment :
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Le droit à l’éducation stipulé par l’article 28 de la CDE
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Le respect de l’autorité parentale
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La qualité de l’encadrement éducatif et pédagogique
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La dimension socioculturelle
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Le droit à la santé physique et psychique (au sens de la définition de l’OMS) des enfants et des familles.
CONCLUSION
A la lecture des nombreux événements et de l’importance des chiffres énoncés, non exhaustifs, ainsi qu’aux impacts physiques et psychologiques sur la santé publique et l’équilibre sociétal, la situation de l’enfant lors d’un état d’urgence (notamment sanitaire) n’est aujourd’hui pas prise en compte dans les textes législatifs nationaux. Cette même situation d’exception aurait dû être fondée dans la CDE qui est malheureusement incomplète.
Toute décision contrevenant aux droits fondamentaux de l’enfant se doit ainsi d’être justifiée et motivée, sans quoi le risque est réel de ne plus assurer dignement leur santé, leur liberté et leur protection.
Afin de garantir l’intérêt supérieur de l’enfant, nous proposons que cette carence législative sur sa santé, ses libertés et ses droits soit prise en compte dans les textes législatifs nationaux au service de l’intérêt supérieur de l’enfant.
Hommage à Michel Fernex
7 octobre 2021 | Sortir du nucléaire
C’est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès de Michel Fernex, le samedi 2 octobre 2021 à l’âge de 92 ans.
Né en 1929 à Genève, spécialiste de médecine tropicale, professeur émérite à l’université de Bâle, Michel Fernex avait passé douze ans au Sénégal puis en Tanzanie avant de s’installer à Biederthal, dans le sud de l’Alsace. Avec sa femme Solange (écologiste, féministe, opposante de la première heure à construction de la centrale de Fessenheim, députée européenne de 1989 à 1995 et administratrice du Réseau Sortir du nucléaire de 2001 à 2003), ils formaient un couple très uni, deux figures inspirantes qui ont marqué le mouvement écologique en Alsace.
Membre de l’Association Internationale des Médecins pour la Prévention de la Guerre Nucléaire (IPPNW), Michel est resté engagé toute sa vie contre le nucléaire, civil et militaire. En tant qu’ancien membre du comité directeur de recherche pour les maladies tropicales de l’Organisation Mondiale de la Santé, il était révolté par le silence de l’OMS au sujet des conséquences de l’accident de Tchernobyl. Il s’est énormément engagé, notamment au sein du collectif IndependentWHO, pour dénoncer les liens entre cette organisation onusienne et l’Agence Internationale de l’Énergie Atomique. Dans le documentaire Controverses nucléaires (2001), on le voit dénoncer ce déni orchestré par l’industrie atomique.
Gaspard d'Allens : déchets nucléaires
L'anthropologie de la santé : analyse de Jean-Dominique Michel
Le scandale des éoliennes Fabrice Bouglé
«Le sanitaire est un prétexte à une gouvernance totalitaire»
Jean-Dominique Michel – Le 14 octobre 2021
Ce qui semble caractéristique de la pseudo-élite médiatico-politique. Dès lors qu’elle est arrosée de généreuses subventions, la presse peine à voir que la société est actuellement sous un véritable bombardement qui détruit de manière irrémédiable une partie de son tissu économique et pousse des catégories entières de la population au désespoir et à la ruine.
Cette minimisation de la part de ceux qui ont le ventre plein (comme les responsables des hôpitaux, les fonctionnaires et les rédacteurs en chef) est en elle-même assez indécente – pour reprendre le moralisme du rédacteur.
Elle fait aussi écran en confondant deux réalités : bien sûr que nos pays ne sont pas encore (formellement du moins) des dictatures. Même si on peut nourrir un légitime souci à ce sujet : dès lors que deux des trois pouvoirs s’effacent et que les contre-pouvoirs se font inconditionnellement complices du premier -contre rémunération, rappelons-le- nous ne sommes déjà plus vraiment en démocratie !