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Ciel Voilé

Nouvelle-Zélande : politique de déni du Ministère de l'Environnement sur les opérations d'aérosols atmosphériques en cours

13 Avril 2016, 09:23am

Publié par Ciel Voilé

Nouvelle-Zélande : politique de déni du Ministère de l'Environnement sur les opérations d'aérosols atmosphériques en cours
Nouvelle-Zélande : politique de déni du Ministère de l'Environnement sur les opérations d'aérosols atmosphériques en cours
Nouvelle-Zélande : politique de déni du Ministère de l'Environnement sur les opérations d'aérosols atmosphériques en cours

Le Ministère de l'Environnement de Nouvelle-Zélande demande à un chercheur enquêtant sur les aérosols atmosphériques de détruire un document qu'il lui a envoyé par erreur


Publié le 11 Avril, 2016 par Clare Swinney

https://chemtrailsnorthnz.wordpress.com/2016/04/11/atmospheric-aerosol-researcher-asked-to-destroy-document-sent-in-error-by-the-ministry-for-the-environment/


Une note interne a été envoyée par erreur par un employé du ministère de l'Environnement à un chercheur post-universitaire nommé Malcolm Scott de Canterbury. M. Scott, qui enquête sur les problèmes liés aux opérations d'aérosols atmosphériques en Nouvelle-Zélande, n'a pas réalisé l'importance du document de six pages, jusqu'à ce que quelqu'un l'appelle et lui demande de le détruire.


Le 11 mars 2016, M. Scott a reçu un appel téléphonique d'un membre du personnel de la Direction du climat pour l'informer que le mémo de 6 pages lui avait été envoyé par erreur et qu'ils voulaient qu'il le détruise. Malcolm a exigé que cette demande lui soit faite par écrit et plus tard dans l'après-midi il a reçu ce mail:

"Pouvez-vous s'il vous plaît confirmer par retour que vous avez détruit la note interne de 6 pages qui vous a été envoyée par inadvertance en vertu de la loi sur l'information officielle (EID). Il s'agit d'une erreur de notre part dont nous nous excusons."

La demande était surprenante, car la note interne faisait partie du matériel envoyé en réponse à ses questions, qui incluait la lettre affichée ci-dessous et datée du 29 février 2016. Toutefois, en examinant plus en détail la note interne, il a compris pourquoi le ministère de l'Environnement ne voulait pas qu'il la conserve.


Intitulée "Malcolm Scott 16-D-00142"et datée du 24 février 2016, la note interne répond aux questions de M. Scott soumises au ministère en vertu de la Loi sur l'information officielle, (EID) le 8 février 2016, concernant les opérations d'aérosols atmosphériques. Il n'est pas autorisé à la publier mais il la cite dans le présent article.


Sous la rubrique «Risques» la note mentionne que leur réponse à M. Scott est considérée comme « un risque faible » car : "Il n'y a pas beaucoup de "matériel" dans le champ d'application et ce qui est publié est seulement une liste de dates."


La note se réfère également à la perception du risque par rapport aux médias, ce qui indique que la dissimulation des opérations d'aérosols atmosphériques sur la conscience du public est importante pour le gouvernement. Il est écrit: " Les correspondants font souvent des demandes multiples, mais toutes les enquêtes ont prouvé qu'elles étaient à faible risque, attirant peu ou pas l'attention du public ou des médias."


M. Scott ajoute: "Il y a des références répétées à l'évaluation de la divulgation de l'information des risques, et il est évident que le personnel surveille activement l'attention du public et des médias par rapport aux opérations d'aérosols atmosphériques. Cela nous surprend car les fonctionnaires du ministère ont à maintes reprises nié toute connaissance des opérations d'aérosols atmosphériques et affirmé à plusieurs reprises qu'il n'y avait aucune preuve de ces opérations en Nouvelle-Zélande".


Inutile de préciser que la note interne fournit des informations importantes sur la politique du Ministère de l'environnement concernant les demandes d'informations EID au sujet des opérations d'aérosols atmosphériques. Elle suggère fortement qu'il existe l'ordre de nier que les opérations d'aérosols atmosphériques aient lieu, ce qui indique que le pouvoir ne respecte pas le droit du public à connaître les faits lorsque la Loi sur l'information officielle est appliquée.


Lorsque M. Scott a reçu la demande de détruire la note interne, nous avons consulté un certain nombre de personnes pour savoir ce qu'il pouvait faire, car il estime que le public a le droit de savoir. Nicky Hagar, journaliste d'investigation, qui a écrit " Pouvoir secret" et " Sales politiques" a conseillé: "Malcolm n'a aucune obligation de détruire ce mémo. Ils se sont trompés et ont envoyé un document interne. Ils le lui ont adressé. C'est leur problème. Il serait sans doute en droit de recevoir ce même document, s'il le demandait sous la Loi de protection des renseignements ( The Privacy Act)... "


Dans une lettre datée du 5 avril 2016, M. Scott a demandé la note en vertu de la Loi sur la protection des renseignements car ses demandes de recherche portent des références significatives quant à l'information sur lui-même. "J'ai aussi rappelé aux officiels et aux employés du ministère qu'ils ont la responsabilité d'agir dans l'intérêt public, de faire respecter la législation environnementale existante et de travailler avec d'autres autorités gouvernementales pour garantir l'application de la législation qui protège l'environnement." Il attend leur réponse.


M. Scott, qui est très préoccupé par cette question, a dit qu'il estime que le temps est venu pour le ministère de l'Environnement d'assumer ses responsabilités concernant les opérations de pulvérisation d'aérosols atmophériques en cours en Nouvelle-Zélande et de prouver qu'il a autorité sur l'environnement et qu'il le protège, comme l'attend le public.

La démocratie est minée par le refus d'accès à l'information. Une réforme des politiques du ministère est impérative pour protéger l'environnement et la santé des êtres humains et des autres espèces. Ceci est bien plus important que le maintien du secret. Les faits concernant les opérations d'aérosols atmosphériques doivent être divulgués.


Nouvelle-Zélande : politique de déni du Ministère de l'Environnement sur les opérations d'aérosols atmosphériques en cours
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Commenter cet article
A
La science-fiction a été dépassée par la réalité. C’est un crime contre l’humanité et la nature ! Un autre holocauste inimaginable sous nos yeux et nous ne bougeons pas ! que font donc nos responsables politiques ? Même Greenpeace est acheté et complice en niant ces faits !
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