L’heure des comptes Covid sonnera un jour, la justice pénale est saisie
La rédaction de l'AIMSIB | 11 Nov 2021
Trop c’est trop! le monde libre de toute influence pharmaceutique a vu ce mois-ci arriver la limite du tolérable en terme de recul de ses libertés. Prorogation de passes sanitaires absolument imbéciles, violations perpétuelles des droits du public à une information contradictoire, restriction généralisée des autorisations de déplacement, intrusion permanente des industriels du médicament dans la gestion des politiques publiques, empoisonnement des population par administration forcée de pseudo-vaccins totalement inefficaces quelques semaines après injections (1), certainement non conformes au droit européen (2), épouvantablement toxiques (3)(4)(5), refus catégorique de reconnaître l’existence de thérapeutiques tant préventives que curatives (6), répression féroce de tous les opposants à la politique édictée par Pfizer et ses employés (7), mais où va le monde? La France Libre et quelques-uns de ses représentants ont choisi de saisir la justice en désespoir de cause. Si celle-ci décide d’instruire, les conséquences seront incalculables en terme de retour à une démocratie respectueuse de ses fondamentaux essentiels… Bonne lecture.
« On ne saurait prétendre que le droit d’informer est pleinement exercé quand la majorité des citoyens en sont exclus et que le droit d’être informé est garanti quand il est arbitrairement mutilé. Le droit d’informer est, comme la liberté d’expression et d’opinion, un droit social qui devrait être universellement partagé. Le droit d’informer ne saurait être réservé à des groupements publics et privés qui prétendent s’en réserver l’usage parce qu’ils en monopolisent les moyens. »