Une épidémie… de mensonges (ou les informations-bidon du Covid)
Jean-Dominique Michel – Le 17 janvier 2022
La sagesse populaire reconnaît qu’en matière d’entourloupes et de crapuleries, « plus c’est gros mieux ça passe ». La crise pseudo-sanitaire valide cet adage d’une manière à la fois hautement pédagogique et désolante. Alors que le « narratif » officiel continue de se craqueler au point de ressembler à un vieux plat en porcelaine ébréché et fendu, les « autorités » et la « presse » continuent d’enfoncer avec l’énergie du désespoir le clou d’une doxa proprement délirante.
Ne boudons pas notre plaisir : les temps deviennent de plus en plus rudes pour ceux qui nous gouvernent. Leur acharnement à faire illusion ressemble à un chant du cygne et l’on voit mal comment la déferlante actuelle d’informations contraires pourrait se briser indéfiniment sur les digues (massives il est vrai) de leur dénégations forcenées.
C’est une des beautés vénéneuses de l’hypnose collective dans laquelle reste plongée (mais elle s’en éveille peu à peu) la majorité de la population que la flambée de tentatives de rationalisations exonérantes. Les « vaccins » (qui n’en sont pas) ne ralentissement aucunement l’épidémie, ils ne protègent pas contre l’infection (ce qui est faut-il le rappeler la définition du mot), ni même contre les hospitalisations ? Never mind, ils protègent contre les formes graves et les décès nous dit-on – ce qui s’avère à nouveau parfaitement faux, nous le montrerons plus bas.
Alors ?…