Déclaration de Reiner Fuellmich « la procédure pénale me visant, est un pur simulacre de procès »
Xavier Azalbert France-Soir Publié le 25 juillet 2024 – 11:11
Kerstin Heusinger suit l’affaire pénale dont l’avocat Reiner Fuellmich a fait l’objet en Allemagne. Après 20 jours d’audience, Reiner Fuellmich fait un communiqué détaillé expliquant la situation. Plus combatif que jamais, voilà sa déclaration complète :
« La procédure pénale pour abus de confiance à mon encontre - et je pense que c'est maintenant tout à fait évident pour le public - est un pur simulacre de procès, un procès-spectacle qui sert à me discréditer publiquement et surtout à nous ruiner financièrement, mon épouse et moi. Car, les faits reprochés se sont déjà révélés faux il y a environ un mois : en tant que dirigeant seul habilité à gérer le Comité Corona, j'ai été en mesure de contracter des prêts afin de mettre en sécurité une partie des dons dans une situation de danger sans cesse aggravée pour les fonds. En effet, j'étais prêt à rembourser, car j'étais le fondateur et le visage du Comité Corona et je travaillais avec le groupe d'avocats internationaux pour que les preuves obtenues par le Comité Corona soient utilisées dans des procédures juridiques contre les responsables de la « plandémie ». Et, j'étais également en mesure de rembourser l'argent et je l'aurais effectivement fait, comme le tribunal le reconnaît lui-même, si l'argent prévu à cet égard ne m'avait pas été subtilisé par les plaignants avec le soutien du ministère Public
Le tribunal a vu et constaté tout cela et tente donc de m’accuser soudainement de nouveaux faits complètement inventés, bien que même l'acte d'accusation lui-même se réfère sans changement aux accusations reconnues comme fausses, et que le parquet ait classé son enquête contre Viviane Fischer pour abus de confiance identique, parce qu'elle a remboursé le prêt (et non une quelconque réserve de liquidités) - même si ce n'est que six semaines après avoir reçu la plainte pénale et à l'aide de fonds obtenus par escroquerie puis détournés - et parce que son mari l'aurait soi-disant aidée à tout moment avec des liquidités.
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