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« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
La peur assure l'obéissance dans la guerre contre le COVID-19
Analyse du Dr Joseph Mercola – Le 24 octobre 2020
Aperçu de l'histoire
Les scientifiques, les juristes, les professionnels de la santé et les universitaires reconnaissent de plus en plus que la campagne de peur délibérée qui a maintenu la pandémie de COVID-19 en vie menace de remplacer la démocratie par des modèles de gouvernement totalitaires fascistes
Au cours des dernières années, la menace du bioterrorisme et des virus en général a été mise en évidence comme l'une des plus graves menaces pour l'humanité, mais nous continuons à financer de dangereuses recherches sur des gains de recherche fonctionnelle - la source et le fondement même de cette menace
Les données nous indiquent que le SRAS-CoV-2 n'est pas la menace existentielle qu'on lui prête. La situation mondiale qui se dessine semble indiquer une direction, à savoir la mise en œuvre d'un plan de longue date visant à instaurer et à établir de manière permanente une société technocratique
En quelques mois seulement, nous sommes passés de façon spectaculaire d'un état de liberté à un état de totalitarisme, et cela s'est fait par l'ingénierie sociale, qui implique une manipulation psychologique, dont les deux outils sont la propagande basée sur la peur et la censure
Il semble que les opérateurs de téléphonie mobile fournissent déjà des données aux gouvernements des États à des fins de quarantaine et de recherche des contacts à votre insu et sans votre consentement, même si on nous a dit que les applications de suivi et de localisation seraient volontaires
Une citation célèbre de Franklin D. Roosevelt est "La seule chose que nous devons craindre est la peur elle-même". Il a compris que la peur est en fin de compte ce qui nous prive de nos droits humains et pousse une société au totalitarisme, et que la seule façon de contourner un tel destin est de résister courageusement à la peur. Aujourd'hui, l'une des plus grandes menaces (c'est du moins ce qu'on nous raconte) serait une pandémie mondiale.
Aujourd'hui, nous disposons également de quelque chose qu'aucun tyran précédent n'a eu, à savoir la technologie permettant de suivre, de localiser, de contrôler et de manipuler les individus où qu'ils se trouvent. La plupart des gens sont entourés d'appareils électroniques et de dispositifs sans fil qui récoltent tous les points de données imaginables sur leur vie personnelle. La monnaie numérique est prête à compléter le filet de la tyrannie.
Contagion fabriquée
J'ai écrit de nombreux articles passant en revue les preuves scientifiques qui soutiennent l'affirmation selon laquelle le SRAS-CoV-2 est une création de laboratoire. Que l'agent pathogène ait été libéré accidentellement ou intentionnellement est probablement moins important que d'établir la vérité sur son origine.
La raison pour laquelle je dis cela est que l'intention serait difficile à prouver, alors que le fait que nous sommes toujours en train de concevoir des armes biologiques est incontestable - et, tant que nous poursuivrons des recherches dangereuses sur les gains de recherche fonctionnelle, le résultat final ne pourra être que plus identique. D'autres épidémies. Plus de pandémies. Plus de peur. Plus de contrôle. Plus de restrictions. Moins de libertés.
L'hystérie est contagieuse. Nous nous transformons en une mousse dans laquelle nous exagérons la menace et cessons de nous demander si le remède ne serait pas pire que la maladie. ~ Lord Sumption, Juge à la Cour suprême
Si nous voulons démanteler la version de la menace bioterroriste, nous devons nous pencher sur les recherches qui font de cette menace une possibilité en premier lieu. La vidéo ci-dessus présente la journaliste indépendante Whitney Webb, qui donne un aperçu des recherches qu'elle a accumulées au cours de la rédaction d'articles sur le bioterrorisme.
Son article du 25 septembre 2020 1 "Engineering Contagion : UPMC, Corona-Thrax et "The Darkest Winter" (L'hiver le plus sombre), examine comment le complexe industriel de bio défense travaille déjà sur une forme d'anthrax turbocompressée.
Des documents obtenus via la FOIA révèlent que l'anthrax, un pathogène déjà mortel, est génétiquement manipulé pour exprimer la protéine de pointe SARS-CoV-2, la partie du virus qui lui permet d'accéder aux cellules humaines. Il est clair que cela n'a pas grand-chose à voir avec le fait de garder une longueur d'avance sur la nature, car les bactéries ne sont pas susceptibles de se mélanger à un virus et d'en prendre les caractéristiques si elles sont laissées à elles-mêmes. Je vous encourage à regarder la vidéo et/ou à lire son article si ce sujet vous intéresse.
La démocratie menacée
Comme l'a fait remarquer le Dr Reiner Fuellmich2 - cofondateur de la commission d'enquête extra-parlementaire allemande sur la Corona3,4 qui prépare le plus grand recours collectif de l'histoire5,6,7,8 - les scientifiques, les avocats, les professionnels de la santé et les universitaires reconnaissent de plus en plus que les campagnes de peur délibérées qui ont maintenu la pandémie de COVID-19 bien au-delà de sa date d'expiration menacent de remplacer la démocratie par des "modèles de gouvernement totalitaires fascistes".
Heureusement, ils sont de plus en plus nombreux à se rendre compte qu'ils doivent s'exprimer, avant qu'il ne soit trop tard. C'est le cas de l'article 9 de Stephen Thompson et Eric C. Ip, tous deux de l'université de Hong Kong, paru dans le Journal of Law and the Biosciences et intitulé "COVID-19 Emergency Measures and the Impending Authoritarian Pandemic", dont voici un extrait :
"Cet article démontre - à l'aide de divers exemples tirés du monde entier - qu'il y a des régressions indubitables vers l'autoritarisme dans les mesures gouvernementales pour contenir le virus. Malgré la nature sans précédent de ce défi, il n'y a pas de justification solide pour une érosion systémique des idéaux et des institutions démocratiques protectrices des droits au-delà de ce qui est strictement exigé par les exigences de la pandémie.
L'approche "tout ou rien" de Wuhan en matière d'endiguement du virus crée un dangereux précédent pour les pandémies et les catastrophes futures, la réaction mondiale des imitateurs indiquant une "pandémie" imminente d'une autre nature, celle de la normalisation de l'autoritarisme.
Avec un tribut gratuit infligé à la démocratie, aux libertés civiles, aux libertés fondamentales, à l'éthique des soins de santé et à la dignité humaine, cela pourrait déclencher, à long terme, des crises humanitaires non moins dévastatrices que le COVID-19".
La version du bioterrorisme utilisée pour alimenter la peur
Au cours des dernières années, la menace du bioterrorisme et des virus en général a été mise en évidence comme l'une des plus graves menaces pour l'humanité. Bill Gates, qui investit dans les vaccins contre les pandémies et en tire profit, fait craindre depuis des années l'émergence de maladies mortelles au public.
En 2015, il a averti son auditoire du TED Talk que la prochaine grande menace pour l'humanité serait "un virus hautement infectieux" pour lequel "nous ne sommes pas prêts "10 et, en 2017, il a prédit que des dizaines de millions de personnes pourraient être tuées par des armes biologiques11.
"La prochaine épidémie pourrait naître sur l'écran d'ordinateur d'un terroriste qui aurait l'intention d'utiliser le génie génétique pour créer une version synthétique du virus de la variole ... ou une souche de grippe super contagieuse et mortelle", avait alors déclaré Gates.12
Bien entendu, M. Gates a également co-organisé la simulation de préparation à une pandémie d'octobre 2019, connue sous le nom d'Event 201, avec le Johns Hopkins Center for Health Security et le Forum économique mondial. L'événement a sinistrement prédit ce qui allait se passer 10 semaines plus tard, lors de l'apparition de COVID-19.
Cet exercice sur table, scénarisé, comprenait tout ce que nous voyons aujourd'hui se dérouler dans le monde réel, de la pénurie d'EPI, du confinement et de la suppression des libertés civiles aux campagnes de vaccination obligatoires, en passant par les émeutes, les troubles économiques et l'effondrement de la cohésion sociale. Ils ont même trouvé le bon type de virus : un "nouveau coronavirus".
Le document de travail détaillé13 "Bioterrorisme et bio criminalité : The Illicit Use of Biological Agents Since 1900", publié initialement en 1998 et révisé en 2001, passe en revue quelque 270 incidents de guerre biologique présumés enregistrés.
Étant donné que ce document a maintenant près de 20 ans, cette liste est probablement encore plus longue aujourd'hui. Cette liste pourrait même inclure le SRAS-CoV-2, si l'on en croit Francis Boyle, qui a rédigé la loi anti-terroriste sur les armes biologiques de 1989, et d'autres.
La montée de la technocratie
Le Dr Lee Merritt, chirurgien orthopédique spécialisé dans la colonne vertébrale et exerçant à Logan, dans l'Iowa, est un autre professionnel de la santé qui parle désormais ouvertement de la pandémie de COVID-19 comme d'une prise de pouvoir effrontée de l'élite technocratique.14
Le 16 août 2020, elle a prononcé un discours lors de la convention « Docteurs pour la préparation aux catastrophes15 à Las Vegas, Nevada, présenté dans "Comment la technocratie médicale a rendu la plandémie possible", dans lequel elle a disséqué les nombreux mensonges alarmistes qu'on nous a racontés sur cette pandémie.
Lorsqu'on examine les données et les statistiques disponibles et qu'on les compare à ce que nous disent les responsables gouvernementaux et les médias, il devient évident qu'il existe un fossé entre les deux. Les données nous indiquent que le SRAS-CoV-2 n'est pas la menace existentielle qu'on lui prête. Ce qui pose la question : "Pourquoi veulent-ils que nous vivions dans la peur ? Il doit y avoir une raison à cela".
Bien sûr qu'il y en a une, et elle n'a rien à voir avec le fait de s'assurer que vous et votre famille restiez en bonne santé et à l'abri de l'infection. La situation globale qui se dessine semble aller dans une direction, à savoir la mise en œuvre d'un plan de longue date visant à instaurer et à établir de manière permanente une société technocratique.
En résumé, la technocratie16,17 est une idéologie économique construite autour d'un régime totalitaire par des dirigeants non élus. Un technocrate est une personne qui exerce un pouvoir sur vous à partir de ses connaissances. En tant que système économique, la technocratie est basée sur les ressources. Dans ce système, on dit aux entreprises quelles ressources elles sont autorisées à utiliser, quand et pour quoi, et on dit aux consommateurs quoi acheter.
L'ingénierie sociale est en plein essor
Le système technocratique exige également une ingénierie sociale, qui repose sur la collecte massive de données et l'utilisation de l'intelligence artificielle. Les technocrates ont fait avancer ce programme en silence et sans relâche depuis les années 1930, et les signes de sa mise en œuvre sont de plus en plus visibles.
En quelques mois seulement, nous sommes passés de façon spectaculaire d'un état de liberté à un état de totalitarisme, et la façon dont cela s'est fait a été l'ingénierie sociale, qui implique bien sûr une manipulation psychologique.
La censure et la propagande ne sont que deux stratégies qui façonnent et modèlent une population. Le "tableau de la coercition "18,19 du professeur de psychiatrie Albert Biderman comprend également les méthodes suivantes, qui peuvent toutes être clairement liées à la réponse au COVID-19 :
Techniques d'isolement - Quarantaine, distanciation sociale, isolement des proches et isolement cellulaire
Monopolisation de la perception - Monopolisation du cycle de l'information 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, censure des opinions dissidentes et création d'environnements stériles par la fermeture des bars, des gymnases et des restaurants
Techniques de dégradation - Tromper, humilier (ou même attaquer physiquement) ceux qui refusent de porter un masque ou de prendre leurs distances sociales, ou qui choisissent généralement la liberté plutôt que la peur
Débilité induite - Être obligé de rester à la maison et de ne pas pouvoir faire d'exercice ou de se socialiser
Menaces - Menace de retrait de vos enfants, quarantaine prolongée, fermeture de votre entreprise, amendes pour non-respect des règles relatives aux masques et à la distanciation sociale, vaccination forcée, etc.
Démonstration de la toute-puissance/omniscience - Fermer le monde entier, revendiquer l'autorité scientifique et médicale
Exécution de demandes insignifiantes - Par exemple, les membres de la famille sont obligés de se tenir à un mètre de distance à la banque alors qu'ils sont arrivés ensemble dans la même voiture, de porter un masque lorsque vous entrez dans un restaurant, même si vous pouvez l'enlever dès que vous vous asseyez, ou de porter un masque lorsque vous marchez seul sur la plage
Indulgence occasionnelle - Réouverture de certains magasins et restaurants mais seulement à une certaine capacité, par exemple. Une partie du plan de coercition est que les indulgences sont toujours reprises, cependant, et ils disent déjà que nous pourrions devoir fermer le monde à nouveau cet automne
Le piétinement de la vie privée et des droits de l'homme
Les empreintes digitales de la technocratie sont également évidentes dans les programmes de traçage et de traçage invasif qui ont été mis en place dans le monde entier, ainsi que dans l'avertissement répété selon lequel, à moins que chaque homme, femme et enfant ne soit vacciné contre le SRAS-CoV-2, la vie ne reviendra jamais à la normale.
La vérité est que les technocrates n'ont aucune intention de nous laisser revenir à la normale. Le plan consiste à modifier la société de façon permanente. Une partie de cette modification consiste à supprimer les libertés civiles et les droits de l'homme, et cela se produit maintenant à une vitesse vertigineuse.
Comme l'a rapporté Alex Berenson dans un post Twitter du 30 septembre 2020 20 , l'expérience du monde réel suggère que les opérateurs de téléphonie mobile, dont AT&T et Verizon, fournissent déjà des données aux gouvernements des États à des fins de quarantaine et de recherche des contacts sans que vous le sachiez ou y consentiez, même si on nous a dit que les applications de recherche des contacts seraient volontaires.
Nous sommes également bombardés de reportages qui nous disent de nous préparer à retrousser nos manches et à nous faire vacciner dès qu'un vaccin COVID-19 sera disponible - ou sinon.
Un article 21 paru le 1er octobre 2020 dans le prestigieux New England Journal of Medicine déplore un sondage qui a révélé que seulement 49 % des Américains prévoient de se faire vacciner contre le COVID-19 lorsqu'il sera disponible. La réponse, suggère l'article, est de le rendre obligatoire pour tous.
Rédigé par des avocats de la faculté de droit de Stanford et d'autres experts en politique de santé, l'article présente ce que les auteurs considèrent comme "six critères de fond" qui permettraient de défendre le premier vaccin jamais rendu obligatoire pour les adultes, en dehors du vaccin antigrippal pour les travailleurs de la santé.
Reconnaissant que ce sont les États (Etats-Unis), et non le gouvernement fédéral, qui seraient chargés de l'homologation, les auteurs passent également en revue les mesures que les États devraient mettre en œuvre pour obtenir une obligation vaccinale.
"Les obligations vaccinales des États ne devraient pas être structurées comme une vaccination obligatoire (exigences absolues) ; au lieu de cela, le non-respect devrait entraîner une sanction", affirment les auteurs, ajoutant que cette sanction devrait être "substantielle", sous la forme d'une suspension d'emploi ou d'une interdiction de séjour à domicile. Si le refus d'un vaccin vous prive d'un revenu et vous oblige à rester à la maison, alors ce n'est pas vraiment volontaire, n'est-ce pas ? C'est aussi obligatoire que possible.
Avec M. Gates, le Dr Anthony Fauci a également sensibilisé le public à la pandémie en l'avertissant que, sans vaccin, nous ne pourrons jamais revenir à la normale.22 Tout ce discours porte sur la vaccination forcée, malgré l'absence totale de garantie que les candidats vaccins sont sûrs.
Les preuves émergentes suggèrent en fait que les nouveaux vaccins à ARNm contre le SRAS-CoV-2 pourraient être une catastrophe de santé publique en devenir. Un rapport publié le 1er octobre 2020 23 par CNBC passe en revue les expériences de cinq participants aux essais de vaccins contre le SRAS-CoV-2 de Moderna et de Pfizer. L'un des participants à l'essai du vaccin de Pfizer "s'est réveillé avec des frissons, en tremblant si fort qu'il s'est cassé une dent après avoir pris la deuxième dose", rapporte CNBC24.
Un participant à l'essai de Moderna a déclaré qu'il avait une faible fièvre et qu'il s'était senti "mal" pendant plusieurs jours après sa première injection. Huit heures après sa deuxième injection, il était "cloué au lit avec une fièvre supérieure à 101, des tremblements, des frissons, un mal de tête intense et un essoufflement". Il a dit que la douleur dans le bras où il a reçu la piqûre, ressemblait à "une patte d'oie sur mon épaule". Il n'a pratiquement pas dormi cette nuit-là, enregistrant une température supérieure à 100 degrés pendant cinq heures "25.
Deux autres ont signalé des effets secondaires similaires, et un troisième a averti que vous devriez prendre un jour de congé après la deuxième injection. Le CNBC a également noté que "au fur et à mesure que les entreprises progressaient dans les essais cliniques, plusieurs fabricants de vaccins ont abandonné leurs doses les plus élevées suite à des rapports faisant état de réactions plus graves".
Les avocats de la commission d'enquête extra-parlementaire allemande sur le Corona 26,27 ne sont pas les seuls à qualifier la pandémie COVID-19 de fraude et de dissimulation d'un programme plus néfaste.
Dans la vidéo ci-dessus, Vladimir Kvachkov, un ancien colonel des services de renseignements militaires russes, qualifie le COVID-19 de fausse pandémie, planifiée et mise en œuvre dans le but d'obtenir un contrôle totalitaire sur la population mondiale. Tout a commencé avec le 11 septembre, dit Kvachkov, et le coronavirus est l'étape suivante pour poursuivre la prise de pouvoir.
"Tout cela n'est qu'un mensonge et doit être considéré comme une opération spéciale stratégique mondiale", déclare Kvachkov. "Ce sont des exercices de commandement et d'état-major des puissances mondiales, dans les coulisses, pour contrôler l'humanité."
En le comparant à un exercice militaire, Kvachkov dit que le but ultime est de réduire la population mondiale à un milliard de personnes "ordinaires" et à seulement 100 millions de ceux qui contrôlent - les gens ordinaires étant là pour servir les 100 millions.
En bref, dit-il, le coronavirus "créé artificiellement" et "répandu intentionnellement" a quatre dimensions. La première est la religion et la réduction de la population ; la deuxième est d'établir un contrôle politique sur l'humanité ; la troisième est de dégonfler l'économie mondiale ; et la quatrième est d'éliminer la concurrence géo-économique.
Les règles du COVID-19 marquent le "glissement hystérique vers l'État policier".
Je terminerai par quelques observations du juge de la Cour suprême britannique Lord Sumption, qui, dans une interview 28 accordée le 30 mars 2020 au Post, a averti que les règles du COVID-19 ouvrent la voie au despotisme - l'exercice du pouvoir absolu de manière cruelle et oppressive.
"Le vrai problème est que lorsque les sociétés humaines perdent leur liberté, ce n'est généralement pas parce que des tyrans l'ont enlevée. C'est généralement parce que les gens abandonnent volontairement leur liberté en échange d'une protection contre une menace extérieure. Et la menace est en général réelle mais généralement exagérée.
C'est ce que je crains que nous constatons actuellement. La pression sur les politiciens vient du public. Ils veulent que des mesures soient prises. Ils ne s'arrêtent pas pour demander si l'action va fonctionner. Ils ne se demandent pas si le coût en vaudra la peine. Ils veulent quand même agir. Et quiconque a étudié l'histoire reconnaîtra ici les symptômes classiques de l'hystérie collective.
L'hystérie est contagieuse. Nous nous transformons en une mousse dans laquelle nous exagérons la menace et cessons de nous demander si le remède ne serait pas pire que la maladie".
Il est temps de se poser des questions très pressantes. Est-il raisonnable d'attendre du gouvernement qu'il élimine TOUTE infection et TOUS les décès ? Ils ont prouvé qu'ils ne le peuvent pas, et pourtant nous continuons à renoncer à de plus en plus de libertés et de droits parce qu'ils prétendent que cela permettra à chacun d'être plus en sécurité. C'est un mensonge séduisant, mais un mensonge quand même.
Souvenez-vous, ils nous ont vendu les fermetures d'entreprises et les mises en quarantaine à domicile en disant que nous devions simplement aplatir la courbe d'infection pour éviter la surpopulation des hôpitaux. Aujourd'hui, les hôpitaux sont presque vides et les décès sont si peu nombreux qu'ils ne sont même plus signalés. Pourtant, les fermetures d'hôpitaux se poursuivent dans de nombreuses régions et certaines - l'Australie en est un bon exemple - ont atteint de nouveaux sommets choquants.
Tôt ou tard, chacun doit décider ce qui est le plus important : la liberté personnelle ou la fausse sécurité ? La bonne nouvelle, c'est que beaucoup commencent à voir l'écriture sur le mur ; ils commencent à voir que nous avons été "eus", et commencent à choisir la liberté plutôt que le totalitarisme brutal au nom de la santé publique.
(Pour les vidéos : voir l'article en anglais)
Lactalis : pollution en bande organisée
Disclose – le 19 octobre 2020
https://lactalistoxique.disclose.ngo/fr/chapter/pollution-en-bande-organisee
L’odeur les prend à la gorge. Ce jeudi 25 juin 2020, alors qu’ils franchissent un pont au-dessus de la Véronne, les gendarmes s’arrêtent net. La rivière qui traverse Riom-ès-Montagnes, au cœur du parc naturel régional des volcans d’Auvergne, dans le Cantal, dégage un parfum âcre. En contrebas, l’eau est trouble, blanchâtre. Intrigués, les militaires longent la rive et remontent jusqu’à un conduit d’évacuation d’où s’échappe un liquide laiteux. A l’autre bout du tuyau : la société fromagère de Riom, une filiale de Lactalis spécialisée dans la fabrication du bleu d’Auvergne, du Cantal ou du Saint-Nectaire, des fromages emblématiques de la région. La pollution s’étend sur quatre kilomètres.
Le même scénario se produit le 27 juillet puis le 1er août. Les gendarmes découvrent alors des dizaines de poissons et d’écrevisses flottant à proximité du point de rejet de l’usine. Cette fois, son directeur a signalé le problème à la préfecture du Cantal : il assure que la pollution est liée à un problème sur un camion qui aurait perdu de l’eau et du lait mélangés. L’affaire remonte jusqu’à la Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP) du Cantal. Le 5 août, un inspecteur fait le déplacement depuis Aurillac, en présence des gendarmes locaux.
38 usines mises en cause
Dans le rapport d’inspection que Disclose s’est procuré, l’enquêteur rapporte la présence à la surface de la Véronne de « matières visqueuses, épaisses, vert noirâtre » ainsi qu’une « matière brunâtre » correspondant « vraisemblablement à une accumulation de boues de stations d’épurations ». Autrement dit, des effluents industriels qui n’ont rien à faire là. Après ce premier constat, la délégation se rend à l’usine de Riom où l’attendent le directeur du site et la responsable « du projet environnement » pour l’ensemble du groupe.
« La visite ne s’est pas très bien passée, témoigne le président de la fédération de pêche de Riom, Joseph Escourolles, présent ce jour-là. Les cadres de Lactalis voulaient orienter les recherches en expliquant qu’il fallait faire des prélèvements à tel endroit mais pas à tel autre. L’inspecteur a dû leur expliquer qu’il avait tous les pouvoirs de contrôle sur l’usine. » Le lendemain, son rapport est transmis au préfet : l’enquêteur ne retient pas la thèse de l’accident isolé (le camion) et requiert un arrêté de mise en demeure justifié par « la gravité des faits » et les « dysfonctionnements majeurs » constatés au sein de l’entreprise. De son côté, Joseph Escourolles a déposé plainte contre X pour pollution le 3 août.
La pollution de la Véronne est loin d’être un cas isolé. Entre 2010 et aujourd’hui, Disclose a découvert que 38 usines Lactalis ont été ou sont toujours en violation du code de l’environnement, le recueil de lois qui encadre le droit en la matière. Soit plus de la moitié des 60 établissements recensés et analysés dans le cadre de cette enquête. Pour créer cette data et établir la carte ci-dessous, nous avons passé au crible des centaines de rapports des services de l'Etat, des arrêtés et des mises en demeure des Préfets. La particularité de ces usines (pour plus d'information, cliquez sur les points ci-dessous) : ce sont toutes des installations classées pour la protection de l’environnement, ou ICPE.
Université citoyenne du 24/25 octobre 2020 reportée en avril 2021
Dr Delépine : " Au secours, retour de l'euthanasie en EPHAD !"
Dr Nicole Delépine – France-Soir – Le 23 octobre 2020
Tribune : Terrifiante succession des faits en cet automne sordide : il apparait ainsi successivement :
l’interdiction de la prescription d’azithromycine chez les ainés en septembre et en octobre,
un nouveau décret Rivotril pour euthanasie des résidents en EHPAD réactualisé dans le cadre des nouvelles mesures anticovid !
Sans parler bien sûr de l’enfermement nocturne qu’on n’avait pas vu depuis août 44,
du scandale des masques inutiles et dangereux par infection bactérienne entre autres,
des tests covid non fiables, base de la propagande éhontée du gouvernement.
Edouard Philippe a la mémoire courte.
Ce jour (21 Octobre) le premier ministre du confinement a affirmé sous serment devant la commission d’enquête parlementaire qu’il n’y avait pas d’instruction pour interdire aux pensionnaires des Ehpad d’aller à l’hôpital. Comment peut-il ignorer la fiche d’admission rédigée par les ARS[1][2] [3] et la SFAR le 19 mars (2 jours après le confinement) et les Recommandations professionnelle multidisciplinaire opérationnelles qui ont organisé le tri des malades à l’entrée en soins intensifs en excluant les plus fragiles, précisément ceux que l’état d’urgence était censé protéger.
Cette « pertinence de l’admission » était jugée à froid, le plus souvent sur dossier, sans voir le malade en fonction de « critères médicaux et éthiques » (sic[4] ) Si le pronostic du malade était jugé mauvais[5] ou sa qualité de vie insuffisante[6], critères discutables, théoriquement jugés de façon collégiale (pour diluer les responsabilités personnelles ?), on ne vous acceptait pas en réanimation et on préparait une seringue de Rivotril à votre nom.
Comment peut -il ignorer les consignes et recommandations concernant l’appui des établissements de santé aux établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes adressée le 31 mars[7] et rappelant que « la prise en charge des cas suspects et confirmés ne présentant pas de critères de gravité doit être assurée en priorité au sein des EHPAD afin de ne pas saturer les établissements de santé » et que « la décision de transfert vers un établissement de santé ne peut être prise que par un médecin du SAMU centre 15. Par ailleurs, les régulateurs du SAMU doivent avoir un accès facilité aux éventuelles directives anticipées et aux notes écrites dans le dossier médical. Ainsi, un médecin d’astreinte réanimateur doit pouvoir être contacté H24 pour participer le cas échéant à la décision collégiale de non-admission en réanimation[8] ».
A quoi joue Olivier Véran ?
Il devrait se douter qu’un jour plus ou moins lointain, des familles ne comprenant pas la mort par euthanasie de leur proche en EHPAD, en leur absence, tenteront d’avoir des explications devant un tribunal. Et même si les responsables sont en général déclarés non coupables selon la formule bien connue, ces procès feront apparaître le sordide des évènements qui peuvent se révéler au moins politiquement coûteux pour leurs responsables.
Rebelote… Le nouveau décret n’oublie pas de rappeler « l’autorisation d’euthanasie non volontaire » pour des gens âgés dont le directeur d’EHPAD aura estimé que ses chances de guérison en réanimation, si le besoin s’en faisait sentir, seraient insuffisantes pour encombrer les hôpitaux et tant pis si les lits privés interdits de travail normal sont vides.
La suite sur France-Soir
Didier Raoult sur Radio Classique le 22 octobre
Premier décès dans l'essai du vaccin Covid-19 d'AstraZeneca
Premier décès signalé dans l'essai du vaccin Covid-19 d'AstraZeneca, mais l'expérimentation sur l'homme se poursuivra quand même
Jeudi 22 octobre 2020 - Lance D Johnson – Natural News
Les essais hâtifs et contraires à l'éthique du vaccin Covid-19 ont fait leur première victime humaine [signalée]. Les autorités brésiliennes ont confirmé le premier décès dans l'essai du vaccin covid-19 d'AstraZeneca. Le décès a été signalé aux autorités le 19 octobre, soit quatre jours après qu'il se soit réellement produit. La victime était un homme de 28 ans, originaire de Rio de Janeiro.
Le fabricant du vaccin ne sera pas poursuivi en justice pour ce décès, et ne sera même pas obligé de suspendre ses essais. Au lieu de cela, AstraZeneca et l'université d'Oxford poursuivront leurs expériences sur les vaccins sans relâche, sans aucun interrogatoire ni enquête formelle sur leur méthode scientifique et leurs ingrédients toxiques.
Les organismes de réglementation des vaccins ne se préoccupent pas des décès
Anvisa, l'autorité qui supervise l'affaire, n'arrêtera pas les essais de vaccins. Ils ont également déclaré qu'aucun détail sur le décès ne sera rendu public. AstraZeneca est l'une des quatre entreprises financées par les contribuables américains, alors que le gouvernement fédéral continue de pousser les produits biologiques expérimentaux et les inoculations d'ARNm pour obtenir une autorisation d'urgence.
Anvisa a indiqué que "les données sur les volontaires de la recherche clinique doivent rester confidentielles, conformément aux principes de confidentialité, de dignité humaine et de protection des participants". En d'autres termes, tout décès causé par des vaccins sera balayé sous le tapis, car tuer des gens avec des vaccins est un processus "confidentiel" qui protège la "dignité humaine".
Anvisa s'est abstenue de toute enquête supplémentaire parce que les agences de régulation au Brésil n'ont "reçu que des données partielles liées à l'enquête". Les agences de régulation n'ont pas fourni un compte-rendu complet sur la mort du volontaire et n'ont pas fourni un ensemble complet de données au comité d'Anvisa. En fin de compte, les organismes de réglementation ont "suggéré de poursuivre l'étude" - poussant sans pitié l'essai du vaccin.
L'arrogance effrayante et la science frauduleuse des fabricants de vaccins sont révélées au grand jour
Les essais d'AstraZeneca sont coordonnés au Brésil par l'Université fédérale de Sao Paulo. Les épidémiologistes de l'université d'État de São Paulo n'étaient pas trop inquiets de la mort et ont supposé que le mort avait pu prendre la dose de placebo. "Le fait que les essais n'aient pas été suspendus pourrait indiquer que la personne a pris une dose de placebo", a déclaré Carlos Fortaleza, un épidémiologiste de l'université de l'État de São Paulo. La dose de placebo pour les essais du vaccin covid-19 n'est pas un placebo inerte et salin. Le "placebo" pour cette expérience du vaccin de la corruption est un vaccin contre la méningite. Les fabricants de vaccins utilisent d'autres vaccins comme placebo pour fausser les données, ce qui donne au nouveau vaccin l'air plus sûr et plus efficace qu'il ne l'est en réalité. Quel que soit le type de dose reçue par la victime, sa mort a été causée par une expérience du vaccin de la corruption !
Mais AstraZeneca a écrit dans une déclaration : "Nous ne pouvons pas commenter les cas individuels dans un essai en cours du vaccin d'Oxford car nous respectons strictement la confidentialité médicale et les règlements des essais cliniques, mais nous pouvons confirmer que tous les processus d'examen requis ont été suivis".
La Food and Drug Administration américaine, actuellement sous pression pour délivrer une autorisation d'urgence pour tout vaccin covid-19 présentant une efficacité factice d'au moins 50 %, a en fait mis l'essai clinique de phase avancée d'AstraZeneca en attente aux États-Unis, empêchant les volontaires américains de recevoir la deuxième dose de ce vaccin frauduleux. Le vaccin a déjà provoqué une maladie chez un patient au Royaume-Uni, mais les essais du vaccin continuent à reprendre dans le monde entier, malgré tout.
Le décès le plus récent [signalé] au Brésil est balayé sous le tapis en plein jour, mettant en lumière l'arrogance effrayante des fabricants de vaccins qui assassinent des volontaires innocents en plein jour, sans pitié, sans recours et sans justice. Cette recherche sur les coronavirus rappelle étrangement le programme Auschwitz-Birkenau dirigé par le médecin Josef Mengele.
L'expérimentation médicale de Mengele, faite pour le "bien de la société", a exposé environ 3000 jumeaux à la maladie, au défigurement et à la torture sous le couvert de la "recherche" médicale sur la maladie - laissant finalement beaucoup de gens souffrir et mourir.
https://www.naturalnews.com/2020-10-22-first-death-reported-in-astrazeneca-covid-19-vaccine-trial.html#
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Fukushima va déverser 1 million de tonnes d'eau radioactive dans le Pacifique
par Tyler Durden – Dimanche 18/10/2020 - 22:55 - Zero Hedge
La centrale nucléaire de Fukushima Daiichi de Tokyo Electric Power devrait rejeter plus d'un million de tonnes d'eau radioactive traitée de la centrale nucléaire détruite dans l'océan après les Jeux olympiques de Tokyo de 2021, selon l'Asian Nikkei Review.
Plus d'un millier de réservoirs de stockage sur le site de Fukushima Daiichi recouvrent la propriété et stockent plus de 1,23 million de tonnes d'eau radioactive traitée. Ces dernières années, nous avons souligné (voir: ici et ici) comment la capacité des réservoirs de stockage s'épuisait et que les batailles s'emballaient sur les perspectives de libération de l'eau contaminée.
L'eau en question a eu des isotopes radioactifs éliminés par un processus de filtration complexe - à l'exception du tritium. Même avec la technologie existante, le tritium ne peut pas être éliminé. En grandes quantités, l'eau mélangée au tritium pourrait présenter de graves risques pour la faune et les humains. La sortie prévue aurait lieu après 2022.
La décision de mettre fin à plusieurs années de débat sur le rejet de l'eau mélangée au tritium semble toucher à sa fin. Mais, en 2019, la Corée du Sud a fait part de ses préoccupations à l'Agence internationale de l'énergie atomique au sujet de la publication prévue.
Plus tôt cette année, un panel du gouvernement japonais a envisagé plusieurs stratégies de rejet: la première était de déverser l'eau mélangée au tritium dans l'océan; la seconde était de permettre à l'eau de s'évaporer. La décision semble être un rejet contrôlé dans l'océan Pacifique.
Le secrétaire en chef du Cabinet, Katsunobu Kato, a déclaré vendredi, sans commenter directement le rejet prévu par Fukushima d'eau radioactive traitée, que:
"Nous ne pouvons pas reporter une décision pour traiter ... l'eau traitée, pour éviter des retards dans les travaux de déclassement de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi", a déclaré Kato.
Les militants écologistes n'ont pas été ravis du rejet à venir. Les pêcheurs, les agriculteurs et les citoyens ordinaires ont exprimé leurs inquiétudes sur le fait que le rejet de l'eau contaminée pourrait déclencher un «choc environnemental» et endommager l'écosystème environnant.
Nikkei note, lors de la libération, l'eau mélangée au tritium serait "diluée jusqu'à environ 600 fois par de l'eau non contaminée. L'eau libérée serait alors bien dans les normes internationales."
Le dilemme croissant des déchets nucléaires de Fukushima a été observé en 2014, lorsque Tokyo Electric Power a déversé des centaines de tonnes d'eau radioactive stockées dans l'installation nucléaire directement dans le Pacifique.
Le dilemme des déchets nucléaires de Fukushima ouvre les yeux sur l'énergie nucléaire présentée comme «une forme prometteuse de production d'énergie pour une économie mondiale décarbonisée», a noté Oilprice.com.
Les lecteurs se souviendront peut-être que l'entreprise d'énergie nucléaire de Bill Gates a proposé de construire des centrales nucléaires miniatures dans les principales régions métropolitaines pour développer une électricité sans carbone.
Une économie mondiale décarbonisée semble excellente jusqu'à ce que le dilemme croissant des déchets nucléaires se pose.
Chinon : Rejets radioactifs dans la Loire, par erreur selon EDF
1er octobre 2020 - Sortir du nucléaire
Erreur d’analyse. C’est l’explication avancée par EDF pour avoir déversé plusieurs jours durant en septembre 2020 des centaines de mètres cubes d’effluents radioactifs dans la Loire.
La centrale nucléaire de Chinon (Centre-Val de Loire) a déclaré fin septembre 2020 un évènement significatif pour l’environnement. Dans un communiqué lissé et peu détaillé, elle explique qu’en raison d’une erreur d’analyse, un réservoir d’effluents liquides radioactifs a été déversé dans la Loire alors qu’il n’aurait pas dû.
Comme tous les industriels, les installations nucléaires d’EDF ont obtenu du gouvernement le droit de rejeter régulièrement des substances polluantes (chimiquement et radiologiquement) dans l’air et dans l’eau. Ces rejets sont donc légaux, pour peu qu’ils respectent certaines conditions. Le but est de jouer sur la dilution des matières radioactives dans l’environnement, ce qui permet de réduire leur concentration. Encore faut-il que ce que rejette EDF respecte les limites fixées et que les débits des fleuves soient suffisant quand les rejets se font dans l’eau. Pour cela, des analyses sont faites avant les rejets, afin de déterminer le niveau de radioactivité des effluents dont EDF veut se débarrasser - les capacités de stockage étant limitées, ces rejets d’effluents représentent un enjeu industriel important pour l’exploitant nucléaire.
Le 19 septembre 2020, EDF ouvre les vannes et déverse ses effluents liquides dans la Loire. Trois jours plus tard, le 22 septembre, des mesures dans l’eau en aval de la centrale révèlent une radioactivité anormale, bien supérieure à ce qu’elle est habituellement (la dilution n’efface pas la présence de substances radioactives dans l’eau). Si le communiqué d’EDF ne livre aucune notion quantitative sur les rejets (le volume total rejeté dans la nature, le type de radionucléides déversées et le niveau de radioactivité mesuré), une réunion de la Commission locale d’information (CLI) le 6 octobre a permis d’obtenir quelques éléments chiffrés permettant de mieux se figurer l’ampleur de l’incident causé par cette "erreur d’analyse" d’EDF : 600 mètres cubes d’effluents liquides radioactifs déversés en 48h, à un débit ayant une (radio)activité de 60 Bq/l/h au lieu de 20 Bq/l/h (soit trois fois supérieur à la "normale") et des mesures dans l’eau de la Loire relevant des concentrations de 140 Bq/l au lieu des 20 à 50 Bq/l attendus et habituels pendant de tels rejets. La limite réglementaire est justement de 140 Bq/l, ce qui permet à EDF de dire - très clairement - dans son communiqué que l’activité calculée dans l’eau de la Loire est conforme aux limites réglementaires. Des limites réglementaires qui pourraient être remises en question, au vu de la dégradation environnementale globale.
Le Collectif Chinonais Environnement, qui siège à la CLI, et l’Association pour le contrôle de la radioactivité dans l’Ouest (ACRO), qui réalise des prélèvements et des analyses indépendants, alertent d’ailleurs depuis des mois sur la présence de tritium dans la Loire et dans l’eau potable, puisée à Saumur, en aval de la centrale de Chinon. Les prélèvements réalisés par l’Acro remettent en question les méthodes utilisées par les autorités pour surveiller l’impact des rejets dans l’environnement. L’ASN et l’IRSN doivent d’ailleurs entamer des mesures quotidiennes des niveaux de tritium à partir de novembre, afin d’approfondir leurs modélisations concernant le rejet de cet élément radioactif dans les eaux fluviales nous dit la Nouvelle République dans un article du 14 octobre signé Baptiste Decharme (voir ci-dessous).
Quoiqu’il en soit, même en respectant la limite autorisée, il y a bien eu rejets de substances trop radioactives dans un cours d’eau. Et l’erreur d’EDF n’a été découverte qu’après coup, une fois que les rejets terminés. Ce nouvel incident démontre un nouvelle fois que c’est l’environnement, et avec lui tous ses habitants, qui paie directement les conséquences du fonctionnement de l’industrie atomique et qui encaisse régulièrement les surcoûts dus aux erreurs de l’exploitant.
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