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Avant la crise sanitaire, notre association diffusait de l'information essentiellement sur le contrôle en cours du climat, sur la géo-ingénierie en cours et sur la destruction, délibérée ou non, de l'atmosphère, du sol, de l'eau et de tout le vivant sur terre. Mais devant la démesure des décisions prises par tant de gouvernements qui semblent tous suivre la même feuille de route, devant les atteintes gravissimes au droit et aux libertés individuelles et collectives, devant les dévastations économiques sans précédent, nous donnons la parole à ceux que les médias aux ordres, ignorent ou censurent. Nous sommes les témoins d'un basculement de civilisation.
En direct de l'Assemblée Nationale pour le débat sur le passe vaccinal de la HONTE
Dr Gérald Kierzek : le pass vaccinal est caduque
Autopsies : les vaccins covid tuent
Vincent Jauvert : la mafia d'Etat en France
Martine Wonner : contre la pass sanitaire
Lettre ouverte d’une médecin « suspendue » aux Conseils de l’Ordre des Médecins
Publié le janvier 2, 2022 par Zineb
Au Dr BOUET Patrick, Président du Conseil National de l’Ordre des Médecins, 4, rue Léon Jost, 75855 PARIS Cedex 17
Dr DEVYS Pierre-Yves, Président du Conseil Régional Ile-de-France de l’Ordre des Médecins, 9, rue Borromée, 75015 PARIS
Dr THERON Patrick, 4, rue Octave du Mesnil, 94000 CRETEIL
Le 18/12/2021
Messieurs et chers confrères : rendons-la médecine aux médecins
Messieurs et chers confrères,
Je vous adresse cette lettre ouverte pour vous exhorter à réagir face à l’incurie gouvernementale. Cette mascarade de politique prétendument sanitaire que nous, français, vivons n’a que trop duré et je pense que le conseil national de l’Ordre des Médecins a toute sa place pour rappeler à l’Etat le rôle du médecin.
Je tiens tout d’abord à vous rappeler vos devoirs envers les médecins. Vous avez pour mission de « défendre l’indépendance et l’honneur de la profession médicale auprès de l’ensemble de la société française ». Vous êtes les « garant[s] de la relation médecin-patient ».
Depuis la loi honteuse du 5 août 2021, vous acceptez que l’agence régionale de santé outrepasse ses fonctions et soumette les médecins libéraux. Pourquoi acceptez-vous que cette entité administrative boursouflée interdise aux médecins d’exercer ?
L’Etat français s’est arrogé, en opposition complète avec le serment d’Hippocrate, la déclaration de Genève de 1948, l’article 36 du code de déontologie médicale, les articles R4127-36 et L1122-1 du code de santé publique, l’article 16-1 du Code civil français, le code de Nuremberg de 1947, l’article 25 de la déclaration d’Helsinki de 1996, les articles 5 et 16 de la convention d’Oviedo sur les Droits de l’Homme et la biomédecine de 1997, l’article L1111-4 de la loi Kouchner de 2002, l’arrêt Salvetti de 2002, l’article 3 de la directive européenne 2001/20/CE, le droit d’imposer lâchement un traitement expérimental à base d’ARN messager au peuple français.
Un confrère du conseil m’a obligeamment indiqué en août dernier qu’il était de son devoir de me convaincre d’accepter cette « vaccination ». Je vous rappelle qu’en vertu des textes de lois cités et en tant que personne majeure, non soumise à tutelle ou curatelle, j’ai le droit de décider de mon intérêt à participer ou non à des essais de phase 3 dont la fin est prévue le 27 octobre 2022 pour le laboratoire Moderna et le 15 mai 2023 pour le laboratoire Pfizer. Si l’Etat français me refuse ce droit, pourquoi m’a-t-il donc donné des diplômes de docteur en médecine et de spécialiste en dermatologie et vénéréologie en 2016 et m’a donc par ce biais autorisé à prendre des décisions pour la santé de mes patients ? Serais-je devenue, sans que personne ne m’en ait informé, une mineure perpétuelle ?
La situation est grave car le gouvernement actuel, qui n’a pas conscience des limites de son pouvoir, cherche à nous retirer, à nous, médecins, notre capacité de décider des traitements que nous administrons à nos patients. Il a également émis une liste limitative des contre-indications à l’injection d’ARN messager. Cela signifie-t-il que les médecins n’ont plus de légitimité à faire valoir leur art et leur expérience ?
Un médecin a-t-il le droit d’injecter un traitement expérimental à une personne alors même qu’il a conscience que le consentement de cette personne a pu lui être extorqué par l’Etat ? Notre serment d’Hippocrate ne nous enjoint-il pas à ne pas exploiter « [notre] pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences » ? Qu’en est-il alors des corps ? Le médecin aurait maintenant le droit de forcer les corps ? Jamais vous ne me convaincrez de cette ineptie.
Alors que les pouvoirs législatif, judiciaire, médiatique ont laissé l’hubris présidentielle se déchaîner et l’ont même parfois encouragée, je pense que le médecin, conscient qu’il est des limites de son art, doit affirmer le principe de sacralité du corps humain.
Sommes-nous encore des médecins si nous acceptons d’être les instruments de cet Etat ? N’avez-vous pas conscience que l’Etat veut faire des médecins des techniciens médicaux sans âme ?
Avez-vous conscience que le gouvernement qui utilise actuellement l’autorité des médecins pour imposer des restrictions de tous ordres utilisera demain, dès que le vent tournera, les médecins comme boucs-émissaires ?
Je pense que nous risquons de perdre définitivement la confiance des Français.
Nous avons collectivement montré notre refus de traiter dans les meilleurs délais les personnes atteintes de la maladie à SARS-CoV-2.
Nous avons abandonné les patients non atteints de la maladie à SARS-CoV-2.
Nous nous sommes réfugiés derrière nos écrans, avec la téléconsultation, alors même qu’une nouvelle maladie inconnue était à définir.
Nous avons montré notre incapacité à nous opposer au viol du consentement des Français.
Nous avons montré notre incapacité à évaluer correctement les bénéfices et les risques de l’injection d’ARN messager.
Nous avons montré notre mépris du principe de précaution, notamment pour les enfants, les adolescents et les femmes enceintes alors même que l’histoire de notre discipline regorge d’exemples sordides incitant à la prudence.
Nous avons montré notre incapacité à rapporter efficacement les effets indésirables de l’injection d’ARN messager aux services de pharmacovigilance.
Nous avons montré notre incapacité à défendre les infirmières, les aides-soignantes et tous les autres soignants.
Quel exemple donnons-nous aux jeunes étudiants en médecine ?
Que ferons-nous demain quand l’étendue des complications de l’injection d’ARN messager sur les enfants, les adolescents, les jeunes adultes, les personnes âgées et surtout les femmes enceintes sera révélée ? Que dirons-nous durant les procès qui s’annoncent pour les décennies à venir ? Pensez-vous réellement que les hommes politiques nous protégerons ?
Enfin, je pense qu’il est temps pour le conseil de l’Ordre des médecins d’exiger du gouvernement le respect qui nous est dû et de retirer du code de la santé publique la loi n°2021-1040 du 5 août 2021 dont l’article L3136-1 menace d’emprisonnement les médecins et soignants qui exercent sans avoir au préalable participé aux études de phase 3 des laboratoires Pfizer et Moderna.
Dans l’attente d’une réponse de votre part, je vous prie d’agréer, Messieurs et chers confrères, l’expression de ma considération distinguée.
Docteur Zineb Deheb
Fabrice Di Vizio : la désespérance du peuple
Une lettre du Lancet remet en question le récit de l'efficacité des injections de COVID-19
Sara Middleton, rédactrice | 1 janvier 2022
https://www.naturalhealth365.com/lancet-letter-questions-covid-jab-efficacy-3497.html
(NaturalHealth365) Si les responsables de la santé publique et les représentants élus devaient " suivre la science " pendant cette pandémie, ils devraient en conclure que les injections de COVID n'ont absolument aucun sens, n'est-ce pas ?
Une lettre récente de la prestigieuse revue médicale The Lancet a soulevé cette question en soulignant le manque apparent d'efficacité des injections de COVID-19. Pourtant, de Boston à Chicago et dans un nombre effarant d'autres villes américaines, nous continuons à voir ces obligations vaccinales insensées et contraires à l'éthique. Le public américain comprendra-t-il enfin qu'il doit voter avec son argent et cesser de fréquenter les entreprises qui exigent une preuve de vaccination ?
L'efficacité insuffisante des vaccins est "l'éléphant dans la pièce", selon le Lancet.
Au début, on nous a dit que tout le monde devait se faire vacciner pour mettre fin à la pandémie, arrêter la propagation du SRAS-CoV-2 et assurer la sécurité de tous.
Remarquez à quelle vitesse ce discours a changé.
Aujourd'hui, au mieux, le vaccin peut réduire le risque d'hospitalisation grave et de décès lié au COVID-19, mais il ne vous empêchera pas de l'attraper (et nous n'avons pas encore totalement découvert tous les risques potentiels d'effets indésirables de ces vaccins, dont les gens assument l'entière responsabilité une fois qu'ils ont accepté de se faire vacciner).
Bien entendu, cela soulève une question importante : "Quel est mon risque de tomber gravement malade et d'être hospitalisé à cause du COVID-19 de toute façon, même sans le vaccin ?" Ce niveau de risque est très différent selon les personnes, en fonction de facteurs comme l'âge et les comorbidités. Et comme l'a écrit un groupe de scientifiques dans une lettre adressée au Lancet en juillet 2021, Big Pharma présente les statistiques avec soin pour faire croire que les vaccins sont beaucoup plus efficaces qu'ils ne le sont en réalité.
"L'efficacité des vaccins est généralement rapportée comme une réduction du risque relatif (RRR)", expliquent les auteurs du Lancet. "Elle utilise le risque relatif (RR) - c'est-à-dire le rapport entre les taux d'attaque avec et sans vaccin" (c'est nous qui soulignons).
Les auteurs poursuivent en indiquant que les réductions du risque relatif des vaccins COVID à ARNm de Pfizer et Moderna sont respectivement de 94 % et 91 %. Cela semble impressionnant. "Cependant", poursuit l'équipe, "le RRR doit être considéré par rapport au risque de fond d'être infecté et de tomber malade avec le COVID-19, qui varie selon les populations et dans le temps.
Bien que le RRR ne tienne compte que des participants qui pourraient bénéficier du vaccin, la réduction du risque absolu (ARR), qui est la différence entre les taux d'attaque avec et sans vaccin, tient compte de l'ensemble de la population" (c'est nous qui soulignons).
En d'autres termes, la réduction du risque absolu est la mesure dans laquelle VOTRE risque personnel de contracter le COVID-19 diminue grâce au vaccin (ou à toute autre variable en question). En revanche, la réduction du risque relatif ne fait que comparer le risque de deux groupes de personnes différentes (par exemple, les personnes ayant reçu le vaccin et celles qui ne l'ont pas reçu).
Alors, quelle est la réduction du risque absolu de ces vaccins ? Comme le soulignent les auteurs, elle est inférieure à 2 pour cent pour toutes les injections de COVID à ARNm - seulement 1,2 % pour Moderna et seulement 0,84 % pour Pfizer !
Cela signifie essentiellement que si vous avez reçu les injections, votre risque de contracter le COVID-19 a diminué, au mieux, d'un ou deux maigres points de pourcentage. Et pourtant, ce niveau d'efficacité décevant justifie de forcer une population mondiale entière à prendre ces médicaments ?
Plus d'informations dans le Lancet : Les obligations vaccinales "ignorent" le fait que les personnes vaccinées peuvent transmettre le COVID-19.
N'oubliez pas qu'il est bien établi que ces vaccins n'empêchent pas la transmission. Cela inclut le troisième rappel, qui n'est probablement qu'une des nombreuses doses supplémentaires à venir. En effet, les cas de COVID-19 dits "révolutionnaires", qui étaient autrefois considérés comme "rares", sont aujourd'hui incroyablement courants.
De plus, les personnes ayant reçu le double ou le triple vaccin qui contractent le COVID-19 peuvent le transmettre à d'autres personnes et être tout aussi infectieuses que les personnes n'ayant pas reçu le vaccin - une vérité qui dérange les responsables de la santé publique car elle détruit l'impératif moral de se faire vacciner.
The Lancet a publié d'autres lettres mettant en lumière ce problème en novembre et décembre 2021, rédigées par un chercheur du nom de Günter Kampf, de l'Institut d'hygiène et de médecine environnementale de la faculté de médecine de l'université de Greifswald, en Allemagne.
Parmi les nombreux points saillants, Kampf souligne l'insanité flagrante de l'affirmation selon laquelle "les non-vaccinés seraient une menace pour les vaccinés" (car, après tout, si les vaccins étaient vraiment "sûrs et efficaces", les personnes qui les reçoivent ne seraient pas menacées par celles qui ne les reçoivent pas).
Kampf a également averti que les décideurs qui "partent du principe que les personnes vaccinées peuvent être exclues en tant que source de transmission" font preuve d'une "grave négligence" lorsqu'ils mettent en œuvre des mesures de contrôle de la santé publique - comme l'interdiction des espaces publics aux personnes non- vaccinées, alors que leurs homologues vaccinés peuvent manifestement encore contracter et transmettre le virus.
Enfin, Kampf affirme à juste titre que "la stigmatisation des personnes non vaccinées" est inappropriée et "non justifiée."
Cela n'a jamais été aussi évident dans le sillage du variant dit Omicron.
Posez-vous la question :
Si vous avez reçu trois vaccins contre la grippe en moins d'un an et que vous avez TOUJOURS contracté la grippe, commenceriez-vous à douter sérieusement de l'efficacité du vaccin ? Vos doutes seraient-ils justifiés ? Qu'en est-il d'un vaccin contre toute autre maladie ? Pourquoi, alors, le vaccin COVID serait-il différent ?
Les sources de cet article sont les suivantes :
TheLancet.com – NBCchicago.com - NBCboston.com – MDPI.com – TheLancet.com - Patientinfo.com