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Affaire Azalbert / Wargon : une attaque contre la liberté d'expression ?
France-Soir Publié le 06 février 2025 - 15:20
L’affaire opposant Xavier Azalbert, directeur de publication de France-Soir, et le docteur Mathias Wargon a connu un nouvel épisode ce lundi lors de l’audience en appel. L’enjeu : déterminer si le comportement et les propos tenus par Mathias Wargon en septembre 2021 sur BFM TV constituaient une faute civile envers Xavier Azalbert, en empêchant tout débat de se tenir. En première instance Mathias Wargon avait été relaxé par le tribunal correctionnel pour son comportement et ses propos. Cependant, il a été débouté de ses demandes civiles.
Un procès révélateur d’une volonté de censure ?
L’audience a débuté avec Mathias Wargon qui a pris la parole avec un comportement démontrant une certaine animosité opiniâtre : « France-Soir est un acteur majeur de la désinformation », a-t-il lancé, accusant Xavier Azalbert d’être responsable d’incitations à la violence contre les médecins en raison d’un article publié sur France-Soir.
Le médecin urgentiste a enchaîné en attaquant directement France-Soir et le professeur Didier Raoult, à qui le journal avait donné la parole, le dr Wargon a affirmé que « des gens non vaccinés sont morts à cause de la désinformation » et a ajouté que « ses clients sont morts à cause de sites comme France-Soir », établissant un lien direct entre ligne éditoriale du média et mort de ses patients.
Mathias Wargon avait fait appel au Docteur Barraud pour lui faire une attestation de moralité. Me Protat lui demandera s'il cautionnait les propos choquants du Dr Barraud dont elle lut quelques tweets à la barre. "Si vous êtes choqué par la conclusion de la tribune, n'êtes vous pas choqué par les propos du Dr Barraud ? Des patients à la lecture des tweets de Dr Barraud auraient pu être très choqués »».
La suite :
CO2 : Le casse du siècle
Erreurs d’interprétation sur l’évolution des États-Unis (2/2)
En 1838, 4 à 8 000 Cherokesse sont morts de froid, de faim ou d’épuisement, sur la « piste des larmes ». En application de l’Indian Removal Act, signé par le président Andrew Jackson, ils laissaient la côte Est des États-Unis aux Européens et acceptaient de se rendre au sud du fleuve Mississippi. Cependant, c’est aujourd’hui la seule tribu indienne a avoir réussi à maintenir son mode de vie sans être éradiquée par les Européens. Cette déportation est l’exemple suivi par Donald Trump pour mettre fin au nettoyage ethnique de la Palestine et résoudre le conflit israélo-palestinien qui s’éternise depuis 80 ans.
Thierry Meyssan Réseau Voltaire | Paris (France) | 4 février 2025
Poursuivant notre analyse des erreurs d’interprétation des actions de l’administration Trump, nous revenons sur la fermeture de nombreuses agences fédérales, sur la raison pour laquelle elle envisage de déporter les Palestiniens, et sur son approche de la guerre en Ukraine.Le retour du sudisme
Les États-Unis ont été à la fois sudistes et fédéralistes. Les sudistes ayant été vaincus à la fin de la guerre de Sécession, leurs vainqueurs ont imposé le mythe selon lequel cette guerre aurait opposé les esclavagistes aux abolitionnistes. En réalité, au début de la guerre, les deux camps étaient esclavagistes et, à la fin, ils étaient tous les deux abolitionnistes. Le vrai sujet du conflit était de savoir si les douanes ressortaient des compétences des États fédérés ou de l’État fédéral.
Les Jacksoniens, précurseurs des sudistes, souhaitaient un « État fédéral minimum ». Ils ont ainsi renvoyé aux États fédérés de nombreuses compétences. C’est ce qu’a fait Donald Trump lorsque les juges qu’il avait nommé ont soutenu le renvoi de la question de l’avortement de l’État fédéral aux États fédérés. À titre personnel, il ne semble pas avoir d’opinion tranchée sur ce sujet. Sa rivale, Kamala Harris, a eu tort, en tant que woke, de le présenter comme un réactionnaire alors que la moitié des États fédérés respectent les droits des femmes et autorisent l’interruption volontaire de grossesse (IVG). C’est l’une des principales causes de son échec.
Lorsque Donald Trump a annoncé la création d’un Department of Government Efficiency (Département de l’efficacité gouvernementale - DOGE), il entendait casser une administration fédérale décidant depuis Washington comment chaque citoyen devait vivre même à 2 500 kilomètres de là. Certes, il en a confié la responsabilité à un libertarien, Elon Musk, mais il ne s’agit pas pour lui de dégraisser l’État fédéral par libéralisme reaganien. Il va dissoudre des milliers d’agences gouvernementales, non pas parce qu’elles coûtent cher, mais parce qu’elles sont, à ses yeux, illégitimes.
La suite
https://www.voltairenet.org/article221745.html
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