L'association Ciel voilé a pour but de diffuser de l'information sur la géo-ingénierie, les atteintes à l'environnement et à la santé humaine.
Les ONG et la presse armes politiques de la CIA
Publié le 12 février 2025 par pgibertie
L’administration Trump apporte les preuves d’une ingérence de la CIA et des Etats Unis. Pour se protéger de cette explosion de vérité, les affidés des administrations américaines précédentes hurlent à…l’ingérence de Musk
Privés d’argent américains ils annoncent la mise en danger de la presse libre…. C ‘est à dire sous influence…
Nathalie Loiseau se dit «fière d’exercer son influence» au sein d’un think tank lié à George Soros
Benjamin Haddad, nommé Benjamin Haddad, nommé ministre de l’Europe, est une figure controversée dont le parcours et les positions suscitent de nombreuses interrogations. Avant de devenir député macroniste, Haddad a été un lobbyiste influent de l’Atlantic Council, une organisation pro-américaine. Son rôle dans cette organisation a été marqué par une forte orientation pro-guerre contre la Russie et la Chine, utilisant des conflits comme ceux en Ukraine et à Taïwan comme catalyseurs.
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Becoming Brigitte: Jean-Michel Trogneux | Ep 4
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Mort & renaissance de l'Occident - conférence avec Philippe Bobola
La démission de Klaus Iohannis : Véritable tournant pour la Roumanie ? Comme pour l'Europe ?
France-Soir - le 10 février 2025 – 15:08
Ce 10 février 2025, le paysage politique roumain, et donc européen vient d’être profondément bouleversé par l'annonce de la démission du président Klaus Iohannis, marquant la fin effective de son mandat. Ce dernier avait été prolongé suite à l'annulation des élections présidentielles en décembre 2024, après l’arrivée en tête de l’indépendant Călin Georgescu (23 %) devant Elena Lasconi (Union sauvez la Roumanie 19 %).
Klaus Iohannis, en fonction depuis 2014, avait vu son mandat prolongé après que la Cour constitutionnelle roumaine a eu annulé le scrutin présidentiel de décembre 2024, citant des interférences russes présumées en faveur de Călin Georgescu. Interférences qui n'ont été prouvées d'aucune manière, mais qui furent l’objet de nombreux commentaires par les leaders de l’Union européenne. Ces derniers prônant un interventionnisme opportun au motif de la protection de la liberté d’opinion sans avoir aucun respect pour la voix du peuple dans les urnes. Călin Georgescu et ses soutiens étaient bien évidemment qualifiés d'extrême droite par la presse mainstream biberonnée aux subventions afin de promouvoir la position d’un fédéralisme européen. Positions éloignées de ce que désirent les Roumains, s’ils pensent comme les Français comme en témoigne le récent sondage France-Soir/BonSens.org en France. En effet 58 % des Français demandent une Europe des Nations, et ils sont 53 % à rejeter le fédéralisme européen. Cette annulation a suscité une vague de critiques et de contestations, exacerbant la polarisation politique déjà présente dans le pays.
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Changement climatique, petit vent de rébellion face à l’ONU
France-Soir avec AFP Publié le 10 février 2025 – 14:12
Une dizaine de pays seulement auront respecté la date fixée ce lundi par l'ONU pour soumettre leur nouveau plan de lutte contre le changement climatique avec, parmi les retardataires, la plupart des grandes économies mondiales, moins pressées de présenter des stratégies exemplaires après le retrait des Etats-Unis et la vindicte de Trump.
Selon une base de données de l'ONU Climat, seuls 10 sur les près de 200 signataires de l'accord de Paris de 2015 ont soumis leur stratégie actualisée de réduction des gaz à effet de serre d'ici 2035 avant la date limite. La roue semble tourner, à l’image de ces Suisses qui à travers un référendum populaire ne semblent plus vouloir continuer l’accélération destructrice de leur économie.
Si le Royaume-Uni, ou le Brésil - hôte de la prochaine COP30 en novembre - ont bien déposé leur document actualisé, d'autres manquent à l'appel et non des moindres : la Chine, l'Inde ou l'Union européenne par exemple. Elles sont toutefois attendues dans l'année... ou pas !
Quant au plan déposé par les Etats-Unis sous l'administration Biden, il restera probablement lettre morte compte tenu de la réélection de Donald Trump, qui a annoncé un nouveau retrait de son pays de l'accord de Paris.
L'accord prévoit que les signataires révisent régulièrement leurs engagements de décarbonation, appelés "contributions déterminées au niveau national" (CDN dans le jargon onusien). Ces textes détaillent, par exemple, la manière dont un pays compte s'y prendre pour développer les énergies renouvelables ou sortir du charbon.
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https://www.francesoir.fr/politique-monde/changement-climatique-petit-vent-de-rebellion-face-l-onu
Archive novembre 2018
Archive novembre 2018
Google admet enfin poursuivre des programmes d’armes d’IA avancées : « L’IA doit protéger la sécurité nationale »
Drago Bosnic – mondialisation.ca – Le 9 février 2025
La prétendue « non-implication pour des raisons morales » de Google s'est révélée être un nouveau mensonge flagrant, Eric Schmidt, l'un des hauts responsables d'Alphabet, ayant déclaré que l'entreprise avait « tiré les leçons de l'Ukraine pour développer une nouvelle génération de drones autonomes qui pourraient révolutionner la guerre ».
Google est l’une des plus grandes entreprises au monde. Son influence sur l’industrie mondiale de la haute technologie ne peut être sous-estimée, et constitue un levier très puissant pour les États-Unis.
Officiellement, l’entreprise est « pacifiste » et insiste sur « une utilisation pacifique de la haute technologie ». C’était le cas jusqu’à il y a quelques jours. En effet, Alphabet, la société mère de Google, a abandonné tout ce « pacifisme » superficiel, notamment en promettant publiquement de « ne jamais poursuivre » la recherche sur l’intelligence artificielle avancée à des fins militaires, telles que le développement d’armes et d’équipements ISR (intelligence, surveillance, reconnaissance).
Dans un billet de blog publié le 4 février (voir ci-dessous), Google a mis à jour ses « lignes directrices éthiques » publiques concernant l’IA, en supprimant toute référence à l’utilisation de ces technologies avancées uniquement à des fins pacifiques. Pendant des années, l’entreprise controversée s’est montrée inflexible sur le fait qu’elle ne poursuivrait « jamais des technologies de pointe qui pourraient causer ou sont susceptibles de causer un préjudice global ».
L’un des auteurs, Demis Hassabis, a déclaré que ces lignes directrices étaient « révisées dans un monde en mutation » et que « l’IA devrait protéger la sécurité nationale ». M. Hassabis est le PDG et le cofondateur de Google DeepMind et d’Isomorphic Labs, deux entreprises intégrées à Alphabet qui se consacrent à la recherche avancée en matière d’IA. Il est également conseiller officiel en matière d’IA auprès du gouvernement britannique.
La suite :
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