« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
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François Asselineau répond en direct à vos questions N°4
Ciel unique européen : l’accord de l’UE déçoit le secteur de l’aviation
Olivia Gyapong – Euractiv – le 8 mars 2024
Les acteurs du secteur de l’aviation sont mécontents des nouvelles règles d’optimisation des liaisons aériennes de l’UE — plus connues sous le nom de proposition de « Ciel unique européen » (Single European Sky, SES) — qui ont fait l’objet d’un accord provisoire entrer le Conseil de l’UE et le Parlement européen mercredi (6 mars). Ils estiment que l’accord ne va pas assez loin pour réduire les retards ou améliorer la capacité de transport aérien.
Ces règles, initialement proposées en 2013, ont été adoptées après plus d’une décennie d’opposition de la part des États membres de l’UE, qui étaient réticents à céder le contrôle de leur espace aérien à l’Union européenne.
« Ils n’étaient pas disposés à libéraliser une plus grande partie du secteur », a déclaré un responsable de l’UE à Euractiv. « C’est une question de compétence nationale par rapport à la compétence communautaire. »
Marian-Jean Marinescu (Parti populaire européen), rapporteur du Parlement sur le dossier, a déclaré que les États membres n’étaient pas satisfaits de la proposition de la Commission de contrôler leur activité de transport aérien afin d’évaluer dans quelle mesure ils se conformaient aux objectifs de performance fixés par l’exécutif de l’UE.
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