« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
actualites
Pénurie alimentaire : Catherine Austin Fitts
Covid 19 « état des lieux » : les mensonges dévoilés dans une revue scientifique
Jean-Dominique Michel – Le 19 mai 2022
Coup de tonnerre dans la mare des publications scientifiques, massivement corrompues. Un neurochirurgien à la retraite vient en effet de publier dans la revue Surgical Neurology International une « mise à jour » de son analyse du scandale criminel de la gestion du Covid.
L’inventaire des crapuleries couvertes sans vergogne par nos « autorités de santé » et « professeurs des universités » fait à juste titre froid dans le dos. Ayant déjà beaucoup décrit ces réalités et usé d’épithètes explicites, je me tais ici pour donner la parole au Dr Russell L. Blaylock pour une description des crimes auquel ont participé activement (et continuent de le faire) nos « autorités ».
Le texte que je re-publie infra est également dû à une traduction automatique par DeepL.
« Pouah ça puire ! » dirait Jacquouille la fripouille. Ce qui n’embarrasse guère ce vilain « beau monde » semble-t-il…
COVID mise à jour : Quelle est la vérité ? par Russell L. Blaylock
La pandémie de COVID-19 est l’un des événements liés aux maladies infectieuses les plus manipulés de l’histoire, caractérisé par des mensonges officiels dans un flot incessant mené par les bureaucraties gouvernementales, les associations médicales, les commissions médicales, les médias et les agences internationales [3,6,57]. Nous avons été témoins d’une longue liste d’intrusions sans précédent dans la pratique médicale, y compris des attaques contre les experts médicaux, la destruction des carrières médicales parmi les médecins refusant de participer au meurtre de leurs patients et une réglementation massive des soins de santé, dirigée par des individus non qualifiés disposant d’une énorme richesse, de pouvoir et d’influence.
CSI du 19 mai 2022
De l'importance du désordre
Xavier Azalbert - le 20/05/2022 à 15:25 – France Soir
EDITO - L’ordre, ne l’avons-nous pas essayé ?
L'ordre des médecins. L'ordre de ceci, de cela, ces entités professionnelles, disciplinaires et autres, nous les avons toutes essayées. Y compris les « ordres » des sociétés savantes, ces « avis/opinions » qui passent du rang d'avis consultatif à celui de norme, de législation, lorsque les Gouvernants s’abritent derrière l'opinion qui est donnée par l'autorité « technique » officielle en la matière.
Cette tendance déjà fortement à la mode avant la crise du Covid, a atteint son paroxysme depuis son déclenchement. En effet, peut-être par facilité ou par crainte de voir leur responsabilité engagée, les gouvernants s'en sont entièrement remis, entre autres, à l'ordre des médecins ou divers comités consultatifs. À tel point que depuis deux ans, on est en mesure de s’interroger sur qui « dirige l'action du gouvernement » ? Est-ce le Premier ministre, comme l’indique l’article 21 de la Constitution, ou celui qui est en quelque sorte le « Big Boss » de l'ordre des médecins, le directeur général de la santé ?
https://www.francesoir.fr/opinions-editos/de-limportance-du-desordre
Monsanto et le contrôle total de l'approvisionnement alimentaire
Armes et milliards pour la guerre
Manlio Dinucci RÉSEAU VOLTAIRE | 19 MAI 2022
Le champ de bataille ukrainien est le plus subventionné au monde à la fois par les Etats-Unis, par le Royaume-Uni et par l’Union européenne. Cet investissement massif vise à soutenir non pas les Ukrainiens, mais les bandéristes, en totale contradiction avec les buts de l’Alliance durant la Seconde Guerre mondiale. Cet argent est prélevé dans les programmes sociaux des pays donateurs, c’est-à-dire qu’il manque aux populations pauvres occidentales.
https://www.voltairenet.org//article216943.html
Azovstal: Le Parlement russe se prononce pour le déferrement en justice des membres néonazis d’Azov
Karine Bechet-Golovko Mondialisation.ca, 19 mai 2022
Les combattants ukrainiens d’Azovstal continuent à se rendre, à la nuit tombée. Et se pose la question – que faire d’eux ? Quand il s’agit de forces armées régulières, qui combattent régulièrement, c’est une chose. Quand il s’agit de membres de groupes, prenant des civils en otage et soutenant une idéologie néonazie, s’en est une autre. La Douma doit se prononcer pour demander que les membres du groupe extrémiste Azov ne soient pas échangés, mais jugés pour leur crime. Même pendant la guerre, les hommes sont responsables de leurs crimes et les Etats doivent l’être ensuite de leurs choix politiques. L’impunité ne conduit qu’à l’aggravation de la criminalité et à la détérioration morale, elle n’est jamais une solution.
En plus des 300 combattants ukrainiens déjà sortis hiers d’Azovstal (dont nous avons parlé ici), le ministère russe de la Défense annonce qu’environ encore 700, dont 29 blessés, se sont rendus depuis. En tout, le ministère estime que, environ 2000 combattants ukrainiens pouvaient se trouver dans Azovstal, il en resterait donc un millier.
Les militaires, faisant partie de l’armée régulière et n’ayant pas commis de crimes de guerre sont protégés par la Convention de Genève. Les membres des groupes extrémistes néonazis, eux, ne le sont pas – le droit international humanitaire ne couvre pas les criminels de guerre.
Si la pratique veut que les prisonniers soient échangés entre les parties belligérantes, peut-on moralement accepter d’échanger des criminels de guerre néonazis, donc de les libérer de leur responsabilité, contre des prisonniers de guerre russes ?
Plusieurs membres de la Douma, la chambre basse du Parlement russe, se sont ouvertement prononcés contre. Ainsi, le député Oleg Morozov, président du Comité de la Douma du contrôle, écrivait hier sur son canal Telegram :