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Ciel Voilé

Confinement planétaire, géo-ingénierie et « État profond »

27 Juillet 2019, 15:00pm

Comme à l’aube d’une ère géologique nouvelle, dans un fracas gigantesque, l’univers entier s’effondre et de nouvelles montagnes surgissent, tandis que des abîmes béants s’ouvrent, que des plaines et des mers nouvelles définissent leurs limites, de même la structure présente de l’Europe sera renversée dans un immense cataclysme.(…) La seule chance qu’ait l’Allemagne de pouvoir résister à cette pression, c’est de prendre elle-même l’initiative et la conduite du bouleversement inévitable d’où naîtra la nouvelle ère historique. – Hermann Rauschning, Hitler m’a dit, 1939

(…) c’est que nous avons fondé notre société sur la science et la technologie, et personne ne comprend rien à la science et à la technologie. Et ce mélange détonnant d’ignorance et de pouvoir, tôt ou tard, va nous sauter à la figure. Je veux dire, qui dirigera la science et la technologie dans la démocratie si le public n’y connaît rien?  Carl Sagan à Charlie Rose, 27 mai 1996

La course au contrôle de l’espace a débuté en 1945, lorsque l’opération Paperclip [1] a attiré aux États‑Unis des ingénieurs, des techniciens et des scientifiques acquis à la cause nazie pour qu’ils conçoivent leurs merveilles au cours de cette ruse hégélienne de la raison qu’était la Guerre froide. Parmi les 10 000 nazis qui ont trouvé refuge aux USA se trouvait Arthur Rudolph, ex-collègue de Wernher von Braun, ingénieur en aérospatiale et directeur du Centre de vol spatial Marshall de la NASA.

Rudolph avait été le directeur de l’usine souterraine Mittelwerk, surnommée « l’enfer de Dante », où 52 000 prisonniers ont fabriqué 6 000 fusées V-2. De1951 à 1961, Rudolph était à l’emploi de Martin Marietta à Waterton, au Colorado. En 1995, Martin Marietta a fusionné avec la Lockheed Corporation pour former la société Lockheed Martin. D’abord chargé de la R. et D. liée au missile Pershing, Rudolph est devenu un citoyen étasunien, a été à la tête du projet Saturne pour la NASA et a reçu le Distinguished Service Award, la plus haute distinction accordée par la NASA. En 1984, il a renoncé à sa citoyenneté étasunienne et est retourné en Allemagne, après avoir fidèlement servi au transfert du Troisième Reich aux États-Unis.

C’est donc poussé par le complexe militaro-industriel que le cheval de Troie que le crypto-nazisme est entré aux États-Unis riches en ressources. La loi sur la sécurité nationale, la formation de la CIA et la Guerre froide ont suivi peu après. Les fusées, les satellites, les ordinateurs, le projet de manipulation mentale MK-ULTRA et la propulsion exotique ont donné pendant le 20e siècle l’impulsion nécessaire à l’entrée dans le nouveau millénaire.

L’ère spatiale – « l’ultime frontière » de Star Trek – était d’abord une question de domination de l’espace aérien, de l’espace circumterrestre et du climat. La recherche militaire pour le contrôle du climat s’est faite discrète tout au long de la Guerre froide, pendant que des avertissements alarmistes au sujet du « petit âge glaciaire » des « gaz à effet de serre », de la « désertification » puis des « conditions climatiques extrêmes » et du « réchauffement planétaire » étaient lancés pour que les fonds continuent d’arriver.

Aujourd’hui, on utilise davantage le terme plus neutre de « changement climatique », qui fait l’objet de retentissantes conférences internationales réunissant des tas de titulaires de doctorat, qui recommandent toutes sortes de « solutions » coûteuses relevant de la géo‑ingénierie, qui est une manipulation intentionnelle des systèmes climatiques de la Terre par l’être humain (Stanford Environmental Law Journal) visant à transformer les conditions climatiques en « multiplicateur de force » [2] pour les sept opérations militaires mentionnées dans mon livre précédent Chemtrails, HAARP, and the Full Spectrum Dominance of Planet Earth : 1) modification climatique; 2) modification de l’environnement et de la géophysique; 3) manipulation électromagnétique; 4) suprématie militaire totale; 5) manipulation biologique; 6) collecte de renseignements et surveillance; 7) détection et obscurcissement de la technologie de propulsion exotique. [3]

« Contrôle du climat »

L’administration fédérale est engagée depuis plus de 30 ans dans la modification climatique sous divers aspects, par l’entremise d’activités menées par le Congrès et le pouvoir exécutif. Depuis 1947, des projets de loi liés à la modification climatique, qui portent sur un soutien à la recherche, des opérations, des examens de politique, des règlements, des responsabilités, des rapports d’activités, la création de groupes et de comités d’experts et des réponses à des préoccupations internationales, sont présentés au Congrès. Des audiences ont été tenues sur bon nombre des mesures proposées et les programmes en cours pertinents ont fait l’objet d’audiences de surveillance. [4]

Infiltration et cooptation, compartimentation, accords de confidentialité, ententes secrètes, menaces, pots‑de‑vin, recherches faussées, comités des pairs noyautés, médias internationaux infiltrés – c’est incroyable de voir tous ces tours de passe‑passe employés pour orienter les conférences internationales, les comités, les maisons d’édition, les organes de presse et les programmes scolaires des universités et des écoles primaires de façon à échafauder cet immense château de cartes transformant le carbone, un élément constitutif de la vie, en une cause célèbre pour justifier le fait que la manipulation de l’ionosphère par les militaires a transformé notre atmosphère et notre climat. De plus, les taxes sur le carbone et l’échange de quotas d’émission permettent de faire encore plus d’argent sur le dos de l’environnement, qui est utilisé comme une arme. La réalité est pourtant différente, car le niveau de CO2 n’est pas très loin au‑dessus du seuil minimal requis pour soutenir la vie végétale [5] et les pays devraient augmenter le CO2 au lieu d’être pénalisés pour le CO2 qu’ils possèdent. [6]

Puis l’empereur est nu. Le premier rapport du Congrès sur la géo‑ingénierie à la Chambre des représentants n’a pas été présenté avant octobre 2010, soit juste avant le moratoire contre la géo‑ingénierie adopté à la 10e Conférence des Parties à la Convention sur la diversité biologique (CDB10) à Nagoya, au Japon (un moratoire que les USA ne comptaient pas ratifier). [7] Les délégués de 193 pays savaient‑ils que les USA et d’autres pays de l’OTAN recouraient à la géo‑ingénierie depuis plus d’une décennie? Quatre mois après le moratoire de Nagoya, un tremblement de terre géo‑orchestrée a frappé le Japon.

Depuis le moratoire, les médias infiltrés rajoutent de la confusion à propos du climat dans l’esprit des gens, en blâmant les voitures et les polluants industriels sans dénoncer les pires pollueurs et propagandistes de tous : l’armée étasunienne gonflée à l’excès et le complexe militaro‑industriel qui la dirige. En 2013, le Cinquième rapport d’évaluation du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) signalait que la gestion des radiations solaires (GRS) était déjà une réalité : « Si la GRS était abandonnée pour une quelconque raison, on peut affirmer, avec un degré de confiance élevé, que la moyenne de la surface du globe augmenterait très rapidement jusqu’à atteindre des valeurs correspondant au forçage des gaz à effet de serre. » [8]

Ce forçage gaz à effet de serre est le moindre de nos soucis. Qu’en est‑il des militaires voyous qui transforment notre atmosphère dans le cadre de leur programme de suprématie totale?

De temps à autre, des scientifiques comme le chercheur en physique des particules élémentaires du CERN Jasper Kirby [9] et l’héliophysicien du Centre des vols spatiaux Goddard de la NASA Douglas E. Rowland (« Il y a différents types de traînées chimiques, comme vous le savez probablement déjà ») [10] révèlent des bribes d’information révélatrices sur ce qui se passe vraiment, qui sont tacitement ignorées par les médias institutionnels. On apprend qu’un sénateur italien exige qu’on déclassifie les documents sur les traînées chimiques [11] que le ministre de l’Agriculture et de l’Environnement chypriote promet de se pencher sur les traînées chimiques [12], puis plus rien.

Encore et toujours, les organismes publics qui défendent le plus la thèse du « changement climatique » (NASA, NOAA, EPA, etc.) sont surpris à mentir, mais les médias infiltrés font comme si de rien n’était. La NASA a déclaré que juillet 2012 était le mois le plus chaud à n’avoir jamais été enregistré, ce que le Centre national des données climatiques de la NOAA (Administration océanique et atmosphérique nationale) a corroboré : la moyenne des températures en juillet 2012, qui s’établissait à 77,6ºF, dépassait de 3,3ºF la moyenne du 20e siècle et de 0,2ºF le record précédent de juillet 1936 (pendant la grande sécheresse des années 1930). Cependant, quand le météorologue Anthony Watts a vérifié les données de la NOAA, il a découvert que juillet 1936 était redevenu le mois le plus chaud jamais enregistré. « Il n’y a pas de preuve plus claire que la NOAA modifie des températures déjà enregistrées », a‑t‑il écrit.

« Ce n’est pas seulement une question de mise en grille, d’anomalies ou de méthode. Nous parlons ici de la NOAA qui n’arrive pas à présenter des renseignements climatiques historiques exacts pour les USA (…). C’est inacceptable. Ce n’est pas honnête envers la population. Ce n’est pas scientifique. Cela viole la loi sur la qualité des données. » [13]

David L. Lewis, PhD, un ancien microbiologiste du Bureau de la recherche et du développement de la EPA (Agence pour la protection de l’environnement) a écrit dans Science For Sale: How the Government Uses Powerful Corporations and Leading Universities to Support Government Policies, Silence Top Scientists, Jeopardize Our Health, and Protect Corporate Profits (Skyhorse éd., 2014) que la direction de la EPA « gère mal la science » continuellement. Un incident s’est produit en 2003, lorsque l’ancien administrateur adjoint par intérim Henry L. Longest II a demandé aux responsables de niveau intermédiaire de la EPA de lire un livre de la conseillère en gestion Margaret Wheatley (Turning to One Another), qui appelle les environnementalistes « à abandonner la science occidentale en faveur de la ‘nouvelle science’ (…), de ‘l’espace du non‑savoir’ et de ‘l’abîme.’ En sautant dans l’abîme, les nouveaux scientifiques font abstraction de leurs croyances religieuses et de leurs inhibitions sexuelles, puis se tournent les uns vers les autres. » [14] Les candidats aux postes de gestion devaient ensuite remplir un questionnaire confidentiel portant sur leur promiscuité, leur religion, leur moralité et leur disposition à garder un secret. (Que faisait exactement la EPA pendant les années Bush II?)

Ajoutez le meurtre à la propagande, à la manipulation des convocations internationales, à l’obtention d’information sur des écarts sexuels pour nouer des liens secrets et au chantage sur des pays en les menaçant d’influencer leur climat par la géo-ingénierie. Le membre de la Chambre des représentants Dennis Kucinich (Ohio) s’est battu avec acharnement pour que soit adoptée la loi sur la préservation de l’espace de 2001 (HR2977) qui, au cours des années qui ont suivi, s’est retrouvée bloquée par un comité après l’autre, jusqu’à ce qu’elle soit rejetée. Le 19 décembre 2007, le jeune frère de Dennis Kucinich, qui avait 52 ans, a été retrouvé mort. Le 12 novembre de l’année suivante, sa sœur de 48 ans a succombé au syndrome de détresse respiratoire aiguë. Coïncidence ou vengeance?

Le 9 août 2010, le sénateur Ted Stevens (Alaska) faisait enquête sur le HAARP (photo ci-contre) à la demande du pilote de brousse de l’Alaska Theron « Terry » Smith, lorsque leur avion s’est écrasé, tuant Stevens et Smith, mais pas l’administrateur de la NASA Sean O’Keefe, qui était aussi à bord. Lorsqu’on sait que son beau-fils a perdu la vie quelques jours plus tôt dans l’écrasement d’un C‑17 à la base aérienne de Elmendorf, la thèse d’un « accident » ou d’une « coïncidence » se défend mal. Le Conseil national de la sécurité des transports a attribué l’écrasement à une absence de réaction temporaire pour des raisons qui n’ont pu être établies » [15]

D’étranges purges sont en cours. Le Canada a remercié 2 000 scientifiques et éliminé des centaines de programmes liés à la surveillance des fumées rejetées, à l’inspection des aliments, aux déversements de pétrole, à la qualité de l’eau, au changement climatique et ainsi de suite, en plus de fermer sept des onze bibliothèques du ministère des Pêches et des Océans :

(…) un document classifié « secret » qu’a obtenu Postmedia News indique que « l’élimination de documents » constitue la principale activité dans la réduction du nombre de bibliothèques (…) on a rapporté que des livres étaient étalés sur le sol et s’empilaient même dans les bennes à ordures. [16]

Après des décennies de subterfuge, de manipulation et d’« expérimentation » avec les conditions climatiques extrêmes au vu et su des pays dont les citoyens ont cessé de croire en leurs propres perceptions, se tournant plutôt vers les interprétations des médias (au moment où j’écris ces lignes, l’ouragan Matthew et la tempête tropicale Nicole remplissent les poches des capitalistes du désastre le long des côtes de la Floride, de la Géorgie et des Carolines), voici le moment venu d’assujettir les pays à la volonté des Nations Unies contrôlées par les USA en utilisant le climat comme arme.

Changement de pouvoir à l’ONU

La participation des USA et de la Chine est significative, car ces deux pays sont responsables de plus de 40 % des émissions de gaz à effet de serre dans le monde. L’entente entrera en vigueur une fois que 55 pays responsables d’au moins 55 % des émissions mondiales auront signé officiellement (…). Les parties à l’accord devront tout de même cheminer dans le processus d’adhésion, qui seront dans la plupart des cas soumis à des processus d’approbation à l’intérieur des pays (…). [17]

Le Jour de la Terre 2016, était signée la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques. On l’avait martelée au cours des nombreuses conférences ayant abouti à la conférence de Paris sur le climat (COP21) du 30 novembre au 11 décembre 2015. En 2011, lors de la Conférence de Durban sur les changements climatiques (COP17), l’Afrique du Sud avait tenté d’inclure une disposition prévoyant la création d’un tribunal international de justice climatique, [18] mais elle n’était plus au programme lors de la COP21.

C’était tout un spectacle. Les porte-parole ont été triés sur le volet : le IPCC, les géo‑ingénieurs David Keith et Ken Caldeira, des universités prestigieuses, des ONG noyautées, des organismes gouvernementaux, la Banque mondiale et le FMI et, bien sûr, les gros bonnets de Wall Street et de Londres habituels. Les scénaristes se sont acharnés des heures durant sur le sort de la Terre pendant que les caméras montraient des images d’éclairs, de tempêtes déferlantes, de déluges, de sécheresse, de bébés qui pleurent, de salles d’urgence bondées, etc. L’ONU a été chargée d’imposer une nouvelle taxe globale et d’instaurer des pouvoirs de réglementation pour maintenir le réchauffement planétaire en bas de 2°C.

Une réunion de l’ONU plus discrète s’était tenue à New York deux mois avant la COP21 : le sommet sur le Programme de développement durable à l’horizon 2030 (l’Agenda 21 sous un autre nom), afin de coordonner la supercherie liée au carbone de façon à transformer l’idée de nation en une simple adresse :

Sous les acclamations et les applaudissements, et peut-être aussi un certain soulagement, les 17 objectifs mondiaux qui constitueront l’ébauche du développement mondial des 15 prochaines années ont été ratifiés par les États membres de l’ONU à New York vendredi. Après les discours du pape François et de la lauréate du prix Nobel Malala Yousafzai, puis les chansons de Shakira et d’Angelique Kidjo, le programme ambitieux – qui compte s’attaquer à la pauvreté, au changement climatique et à l’inégalité pour tous dans tous les pays – a été signé par 193 pays au début du Sommet des Nations Unies sur le développement durable, d’une durée de trois jours (…). Ce sommet sur les objectifs mondiaux se poursuivra jusqu’à dimanche, après quoi tous les yeux se tourneront vers les négociations de l’ONU sur le climat en novembre. Lorsqu’on lui a demandé si les objectifs ne risquent pas d’être sabordés s’il n’y a pas d’accord ferme à Paris [COP21], Mogens Lykketoft, le président de l’Assemblée générale de l’ONU, s’est montré hésitant, en disant que les dirigeants font plus d’engagements qu’avant dans les réunions du COP. «  Ce que nous savons et espérons, c’est qu’une meilleure proposition est davantage à portée de main. » [19]

Le Programme de développement durable à l’horizon 2030 n’attendait que ce moment pour donner le champ libre à la technologie de guerre climatique (c’est sûrement la raison pour laquelle des pays en développement ont tenté vaillamment de créer un tribunal international de justice climatique). Peu après les deux conférences, le groupe conjoint sur la météorologie de la défense néerlandaise (JMG) a commencé à « faire des prévisions météorologiques pour chaque exercice ou déploiement de la force opérationnelle interarmées à très haut niveau de préparation (VJTF) [de l’OTAN] ». [20] Il est peu probable que ce groupe se contente de faire des « prévisions du temps ».

Pour être juste, certains intellectuels se penchent sur le cas de l’empereur nu. Comment parviendra‑t‑on exactement à retirer le CO2 de l’atmosphère « à l’aide d’une infrastructure inexistante et d’une technologie qui ne fonctionnera pas à une telle échelle, pour ensuite la mettre dans des endroits que nous ne trouvons pas? » [21] D’autres admettent que la solution au problème du carbone est un leurre pour mieux s’emparer de l’argent à tirer du capitalisme du désastre : 90 billions de dollars d’investissements en infrastructures énergétiques, un billion de dollars dans le marché obligataire, plusieurs billions de dollars dans le marché du carbone, 391 billions de dollars dans l’industrie du financement climatique. [22] À lui seul, le Fonds vert sur le climat de l’ONU dégagera 100 billions de dollars par an, soi‑disant pour soutenir les projets de réduction du carbone dans les pays en développement. Tous les paris sont ouverts pour savoir si l’argent parviendra aux pays en développement une fois que les banques multilatérales et privées comme la Banque mondiale et la Deutsche Bank auront pris leur part. Après tout, l’empereur nu n’est pas connu pour remplir ses promesses.

Les fondations bureaucratiques traditionnelles comme Ford, Rockefeller et Carnegie seraient en train d’être remplacées par le « philanthrocapitalisme », une nouvelle approche plus musclée envers les œuvres de bienfaisance, en vertu de laquelle les qualités entrepreneuriales des milliardaires seraient mises à contribution pour répondre aux problèmes les plus pressants (…).  [23]

Trop tard, car le public prend conscience de la dure réalité que ses institutions, ses agences, ses universités, ses laboratoires et ses tribunaux obéissent à ces mêmes pouvoirs qui ont drainé les biens publics. Sécurité des travailleurs et salubrité des aliments, disparues. Déclaration des droits, disparue. Protection de l’environnement, disparue. Bientôt, le Partenariat transpacifique (TPP), le Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (TTIP) ou leurs fac-similés enclencheront le féodalisme des entreprises régi par une oligarchie mondiale. Les membres milliardaires du club du bien [24] créent des « centres d’études sur le cerveau » pour soutenir les « Brain Institutes » et leurs neuroscientifiques au service d’un avenir transhumaniste. [25]

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