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Ciel Voilé

Campagnes Massives de Vaccinations anti-Méningite… en Lombardie

29 Mars 2020, 22:28pm

Campagnes Massives de Vaccinations anti-Méningite… en Lombardie

Xochipelli - Le 22 mars 2020

Aujourd’hui, la problématique fondamentale à exposer est la suivante. “La Grippe Espagnole” de 1918/1920 fut, en fait, une pneumonie bactérienne initiée par une campagne expérimentale de vaccination antiméningococcique au Kansas, durant le printemps 1918 – à l’actif de l’Institut Rockefeller pour la Recherche Médicale.

J’invite, ainsi, tous les internautes, les journalistes, les citoyens et même les “intellectuels et philosophes” (si tant est que ce vocable ait encore un sens au vu de tous ceux qui sont à genoux devant une poignée de dictateurs et de tortionnaires) à enquêter dans les régions les plus touchées par des pathologies respiratoires afin de déterminer s’il pourrait exister une corrélation avérée avec des campagnes de vaccination massive à l’encontre de la méningite (ou même, en fait, du papillomavirus) – telle que celle de 2017 portant sur 30 000 volontaires en Bourgogne. [45]

Alors qu’en Italie, la population de la province de Bergame, en Lombardie, est la plus impactée, en ce moment, par des pathologies respiratoires dramatiques… n’est-il pas très avisé de chercher des corrélations, trop évidentes, entre ces pathologies pulmonaires et la récente campagne de vaccination antiméningococcique (gratuite), de janvier 2020, dont toute la population de cette région a été le sujet suite à une épidémie de méningite à méningocoques… impactant 6 personnes – dont deux décédèrent – en décembre 2019?

Le 18 mars 2020, le journal Libération titrait “Covid-19 : «A Bergame, nous faisons un enterrement toutes les trente minutes»”. [44] Est-ce une coïncidence que Bergame fut, aussi, l’épicentre d’une vaccination antiméningococcique massive – juste deux mois auparavant?

Sommes-nous dans la même situation “d’infections bactériennes” que lors de la pandémie de 1918/1920 qui décima 65 millions de personnes, sur la planète et, avant tout, des personnes ultra-vaccinées et ultra-médicamentées? Voir les explications ci-dessous.

Est-ce pour cela que le Professeur Didier Raoult – totalement ostracisé et tourné en ridicule par les Autorités – insiste tant sur l’usage de l’Hydroxychloroquine et de la Chloroquine? En effet, même si ce médicament allopathique, la Chloroquine, utilisé depuis plus de 70 ans, s’est avéré de moins en moins efficace en tant qu’antipaludique – de par les résistances développées par le parasite Plasmodium falciparum [63]  [64] – de nombreuses études pharmacologiques ont mis en exergue ses capacités anti-bactériennes, du moins in vitro. Par exemple, à l’encontre de la bactérie Legionella pneumophila responsable de la légionellose; à l’encontre de la bactérie Coxiella burnetii responsable de la Fièvre Q ; à l’encontre de la bactérie Tropheryma whipplei responsable de la maladie de Whipple, etc – ainsi que le Professeur Didier Raoult le met en exergue dans son étude de 2007 intitulée “Recycling of chloroquine and its hydroxyl analogue to face bacterial, fungal and viral infections in the 21st century.” [46] Les dizaines d’études, sur lesquelles le Professeur Didier Raoult a travaillé, sont disponibles sur le site du NCBI aux USA. [47]

Il est évident, bien sûr, que ces remèdes allopathiques, très toxiques, induisent des effets secondaires délétères avérés. [56]  [65] Par exemple, la Chloroquine, au contraire de l’Hydroxychloroquine, est excessivement dangereuse pour les quelques centaines de millions de personnes mâles qui souffrent d’une carence en glucose-6-phosphate déshydrogénase: la Chloroquine, chez ces mâles, peut provoquer une anémie hémolytique qui, dans les cas les plus sévères, entraine une dysfonction létale du système rénal. Cette déficience génétique concerne plus particulièrement les mâles de descendance Méditerranéenne et Africaine.

 

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