Panne à gauche ?
Cette vidéo amateur récente a été prise avec un appareil Nikon P1000 dont le zoom 24-3000 mm est le plus long de tous les appareils photos.
Elle montre de façon évidente que les traînées d’avion - qui officiellement seraient de la vapeur d’eau rejetée par la combustion dans les réacteurs - sont en réalité un additif injecté, soit dans le circuit externe d’air basse température des réacteurs, soit dans le carburant lui-même.
Sur la vidéo, le flux en sortie du réacteur gauche a clairement un défaut de flux par rapport au droit, comme s’il avait des « ratés ».
1/ C’est en réalité impossible, car un défaut de poussée d’un réacteur obligerait immédiatement ce vol commercial à atterrir sur l’aéroport international de Toulouse, le plus proche. Ce serait une procédure d’urgence.
2/ Par ailleurs les deux réacteurs fonctionnent dans la même couche d’air, il est donc impossible que la densité de vapeur d’eau rejetée diffère à ce point à quelques mètres seulement.
3/ Les turbulences de l’empennage et de la dérive de l’avion ne peuvent créer cet effet de turbulence dissymétrique entre panaches des réacteurs droit et gauche, même avec un vent latéral énorme, ce qui n’est pas le cas ce jour.
4/ En réalité, il y seulement deux explications qui prouvent qu’il ne s’agit pas de vapeur d’eau.
a – Il existe bien un circuit d’injection d’additifs chimiques dans les réacteurs de certains avions de ligne qui créent les chemtrails persistants : Dans cet avion, le circuit d’injection de l’additif a un souci sur le réacteur gauche, et le pilote ne l’a pas vu.
b – Les deux réacteurs sont alimentés par des réservoirs indépendants et séparés, et le carburant alimentant les deux réacteurs est différent. Celui du droit contient l’additif, et à gauche, l’additif est à plus faible dose ou mal mélangé.
Vous aussi, filmez ces séquences rares dès que vous en voyez une, car ce sont des preuves très intéressantes à ajouter au dossier des chemtrails.
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