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« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
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Castex et Draghi, même dictature sanitaire digne des talibans d’un côté et de l’autre des Alpes
Castex et Draghi, même dictature sanitaire digne des talibans d’un côté et de l’autre des Alpes
Francesca de Villasmundo — 21 janvier 2022 – Médias presse info
En Italie comme en France, la même folie covidienne prévaut chez les politiciens au pouvoir, technocrates déconnectés des réalités sociales et quotidiennes, qui appliquent consciencieusement, le petit doigt sur la couture du pantalon, les directives destinées à favoriser le Great Reset de Schwab théorisé à Davos.
Père Ubu s’est déplacé hier à la télé pour claironner des annonces des plus infantilisantes et aliénantes, usant d’une logique orwellienne et de la novlangue qui l’accompagne pour faire croire aux Français que le gouvernement, grand seigneur, leur rend un petit peu de liberté, alors qu’en même temps il se « félicite » de l’entrée en vigueur du passe vaccinal dès lundi 24 janvier, passe qui va exclure de la vie sociale presque 10 millions de ces mêmes Français.
Ainsi, si à compter de cette date, les Français de 16 ans et plus devront justifier d’un schéma vaccinal complet afin de pouvoir se rendre au cinéma, au théâtre, au restaurant, pour prendre un TGV, Castex, tout fier, leur permettra entre autres de consommer à nouveau dans les stades, dans les cinémas et dans les transports, d’assister debout à un concert ou tout simplement de boire sans s’assoir leur café dans les bars. Le télétravail sera seulement « recommandé » à partir du 2 février, les lieux recevant du public (salles de spectacle, stades…) ne seront plus soumis à une jauge d’accueil du public, et enfin, l’obligation du port du masque en extérieur, qui s’applique dans certaines villes, sera levée.
En ce qui concerne le protocole sanitaire dans les écoles, qui est une véritable maltraitance des enfants, rien ne bouge. Peut-être, évoque père Ubu, il pourrait être allégé à l’issue des vacances de février en levant le port du masque obligatoire dans les écoles élémentaires et en instaurant un nouveau dispositif sur le recours aux tests et autotests en cas de cas positif dans une classe.
Ceux qui applaudissent à cette infantilisation ont dû perdre l’esprit…
Des protestations massives dans le monde entier. La République tchèque supprime l'obligation de se faire vacciner
Arjun Walia Global Research, 21 janvier 2022
Le nouveau gouvernement de la République tchèque a rejeté le plan de vaccination obligatoire du gouvernement précédent. Ce plan exigeait que les adultes de plus de 60 ans se fassent vacciner, ainsi que les personnes exerçant de nombreuses professions telles que les travailleurs de la santé, les policiers et les pompiers.
L'obligation de vaccination imposée par le gouvernement précédent devait être mise en place en mars. Toutefois, l'annonce de ces mesures a suscité d'importantes protestations dans tout le pays. Seuls 62,9 % des Tchèques sont considérés comme entièrement vaccinés, ce qui laisse près de 4 millions de personnes dans le pays qui sont considérées comme "non vaccinées".
Le nouveau premier ministre Petr Fiala a déclaré que le gouvernement ne voyait pas de raisons de rendre l'inoculation obligatoire comme le prévoyait l'administration précédente, mais il a également souligné qu'il encourageait toujours les gens à se faire vacciner et que cela restait, selon lui, le meilleur moyen de lutter contre le COVID. Cela dit, il ne veut pas "approfondir les fissures dans la société" à cause des mesures de vaccination obligatoire.
Les vaccins COVID ont suscité des protestations massives dans le monde entier. Moins de la moitié de la population mondiale a reçu au moins deux doses, et environ 60 % de la population mondiale a reçu une dose. De nombreux facteurs expliquent cette situation, notamment les personnes qui souhaitent être vaccinées mais n'y ont pas accès, ainsi que celles qui estiment qu'il n'est ni nécessaire ni sûr de se faire vacciner contre le COVID.
Le rédacteur en chef du British Medical Journal, le docteur Peter Doshi, a déclaré que près de la moitié de la population mondiale pourrait être considérée comme "anti-vaxx" selon la définition récemment modifiée de ce terme. Cette définition inclut désormais tous ceux qui s'opposent à l'obligation de se faire vacciner, y compris ceux qui sont "entièrement vaccinés".
Il n'est pas facile de mettre en œuvre des mesures avec lesquelles tant de personnes ne sont pas d'accord, et c'est exactement la raison pour laquelle le nouveau gouvernement tchèque supprime les mesures d'obligation vaccinale.
Le Premier ministre Boris Johnson a récemment annoncé la même chose pour l'Angleterre. Selon Boris Johnson, cette décision est motivée par "l'extraordinaire campagne de rappel et la façon dont le public a réagi" aux vaccinations obligatoires, aux confinements et autres mesures du "plan B".
Mais est-ce la vérité ?
Contrairement à Fiala qui agit ainsi pour maintenir la paix, Johnson réitère l'idée que la conformité de l'homme aux mesures gouvernementales autoritaires est responsable de la restauration de la liberté. Psychologiquement, c'est très dangereux, cela renforce simplement l'idée que la conformité à des mesures que beaucoup ont jugées inutiles, infructueuses et nuisibles serait nécessaire pour obtenir la liberté.
La vérité est que les confinements ont été catastrophiques, tuant probablement plus de personnes que le COVID. Les conséquences sanitaires du port prolongé du masque ont été ignorées, sans parler de l'échec du vaccin à prévenir la transmission. Nous devons également nous pencher sur les effets secondaires graves liés au vaccin qui ont été signalés mais n'ont pas fait l'objet d'une enquête appropriée.
Le gouvernement de Fiala a également raccourci les temps de quarantaine et d'isolement, tout en lançant des tests obligatoires pour les employés des entreprises à partir de cette semaine.
En général, lorsque les gouvernements s'emparent de plus de contrôle, de surveillance et de pouvoir par le biais d'une crise, qu'elle soit artificielle ou réelle, ils ne rendent pas ces libertés aux citoyens lorsque cette "crise" disparaît. N'enlevez-vous toujours pas vos chaussures à l'aéroport à cause du 11 septembre ? Il ne fait donc aucun doute que les mesures levées pourront à nouveau être mises en place à l'avenir, nous verrons ce qu'il en sera.
Les pays qui n'ont pas mis en place ces restrictions ne s'en sortent pas plus mal que les pays qui l'ont fait en ce qui concerne les cas, les décès et les hospitalisations. En ce qui concerne les taux de vaccination, le Japon a déclaré qu'il n'y aurait pas d'obligation de vaccination et encourage les citoyens à ne pas faire de discrimination à l'encontre des personnes non-vaccinées, mais le taux de vaccination y reste très élevé.
Peut-être que le pouvoir du gouvernement dans de telles situations ne devrait aller que jusqu'à des recommandations. Peut-être ne devrions-nous pas leur donner l'autorité et le pouvoir d'imposer un tel arrêt sur nos droits et libertés les plus fondamentaux.
La source originale de cet article est The Pulse.
Copyright © Arjun Walia, The Pulse, 2022
https://www.globalresearch.ca/czech-republic-scraps-mandatory-vaccination-requirements/5767671
McKinsey au Sénat : les conseillers peinent à repondre aux questions de la Commission
Publié le 20/01/2022 à 17:40 – France Soir
Auditionné par une commission d’enquête sénatoriale mardi 18 janvier, un des directeurs associés du cabinet de conseil McKinsey a eu toutes les peines du monde à justifier un contrat de 496 800 euros pour « évaluer les évolutions du métier d’enseignant », entre autres sujets de discussion.
Une somme versée pour « réfléchir aux évolutions du métier d’enseignant »
En langage familier, c’est ce que l’on appelle « passer un sale quart d’heure ». Mardi 18 janvier, la commission d’enquête du Sénat s’est réunie pour mesurer « l’influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques ». L’objectif était de mieux comprendre le rôle joué par ces cabinets dans la gestion de la campagne de vaccination contre le Covid-19, mais aussi en savoir davantage sur la nature de certaines missions facturées à plusieurs centaines de milliers d’euros.
C'est justement pour justifier un contrat 496 800 euros que deux directeurs associés du cabinet américain McKinsey ont dû répondre aux questions des sénateurs. La présidente du groupe communiste, ici rapporteure de la commission Éliane Assassi, a ainsi interrogé Karim Tadjeddine, responsable du pôle Secteur public de McKinsey France sur un contrat d’un montant de 496 800 euros pour « évaluer les évolutions du métier d’enseignant ».
Pour justifier la somme perçue par son cabinet, Karim Tadjeddine a déclaré qu’elle avait servi à organiser un « séminaire » pour « réfléchir aux grandes tendances des évolutions du secteur de l’enseignement ». « Nous avons accompagné la DITP [Direction Interministérielle de la Transformation Publique, ndlr] dans cette réflexion. », a-t-il ajouté.