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Avant la crise sanitaire, notre association diffusait de l'information essentiellement sur le contrôle en cours du climat, sur la géo-ingénierie en cours et sur la destruction, délibérée ou non, de l'atmosphère, du sol, de l'eau et de tout le vivant sur terre. Mais devant la démesure des décisions prises par tant de gouvernements qui semblent tous suivre la même feuille de route, devant les atteintes gravissimes au droit et aux libertés individuelles et collectives, devant les dévastations économiques sans précédent, nous donnons la parole à ceux que les médias aux ordres, ignorent ou censurent. Nous sommes les témoins d'un basculement de civilisation.
Martine Wonner et Olivier Véran à l'assemblée nationale
Richard Boutry : Moderna Gate
Di Vizio : Mc Kingsey
Zelinsky en cuir et talons aiguilles
La France n'est pas prête pour la guerre, selon un rapport parlementaire
Publié le 26/02/2022 à 12:35 – France Soir
Ce vendredi 25 février, Emmanuel Macron a annoncé l'accélération du déploiement de soldats français en Roumanie. Faut-il en conclure que la France est prête à engager une guerre de haute intensité avec la Russie ? Publié le 22 février, un rapport parlementaire sur cette question affirme que ce n’est pas le cas.
Dans ce document, ses rapporteurs, le député LR Jean-Louis Thiériot et la députée LREM Patricia Mirallès analysent l’hypothèse, sans aller jusqu’à parler de troisième guerre mondiale, d’un conflit de grande ampleur dit de « haute intensité ».
« Depuis la guerre du Donbass et celle du Haut-Karabakh, les nations occidentales se préparent à vivre des conflits plus durs après des décennies de combat asymétrique. C’est dans ce contexte que la notion de haute intensité a fait son retour dans le discours des autorités militaires », écrivent les rapporteurs. Et de noter : « En 2021, le ministère des Armées évoque pour la première fois depuis la fin de la Guerre froide un risque d’affrontement entre grandes puissances ».
« Munitions : en une semaine, on est à poil »
L’UE ne peut pas se passer des hydrocarbures russe
Olivier Renault- Mondialisation.ca – Le 26 février 2022
Force est de constater que les stratèges occidentaux, sont en train de mener une mauvaise politique contre la Russie car l’UE ne peut pas se passer des hydrocarbures russes. Un rapport du Sénat indiquait déjà concernant les perspectives à partir de 2020 que «la Russie est aujourd’hui le premier fournisseur d’hydrocarbures de l’UE».
Premier fournisseur d’hydrocarbures de l’UE. Le rapport d’information n° 307 (2006-2007) d’ Yves Pozzo di Borgo, fait au nom de la délégation pour l’UE, déposé en mai 2007 auprès du Sénat, affirmait déjà que l’UE ne peut pas se passer des hydrocarbures russes. Les experts précisaient à cette époque: «La Russie est, en effet, le premier fournisseur de gaz naturel des 27 (avec 40 % des importations, ce qui représente 19 % de la consommation totale de gaz de l’UE) et le deuxième fournisseur de pétrole (avec 20 % des importations et 16 % de la consommation totale)». Plus loin, ce rapport informe que «la dépendance énergétique à l’égard de la Russie varie cependant fortement entre les pays», car «si de nombreux pays d’Europe centrale ou orientale dépendent entièrement de la Russie pour leur approvisionnement en gaz, comme la Slovaquie ou les Pays Baltes, la part du gaz russe est [pour 2007] de 80 % en Pologne, 65 % en Autriche, 37 % en Allemagne et en Italie et 24 % en France».
Zelensky prêt à se rendre
RÉSEAU VOLTAIRE | 26 FÉVRIER 2022
Le président Volodymyr Zelensky a fait transmettre par l’ambassade de Chine à Kiev, dans la nuit du 25 au 26 février 2022, une proposition de cessez-le-feu à la Russie.
Effets secondaires des vaccins: un assureur allemand pulvérise les rapports officiels
Publié le 25/02/2022 à 21:32 - Mise à jour le 26/02/2022 à 15:50
Une lettre officielle relative aux effets secondaires des vaccins anti-Covid, adressée au président du Paul-Ehrlich Institut (PEI) en Allemagne, a atteint hier les pages du Die Welt et du Berliner Zeitung. Elle est signée par Andreas Schöfbeck, président du conseil de BKK ProVita, l’une des caisses d’assurance maladie d’entreprise les plus importantes du pays, et a fait l’effet d’un coup de tonnerre. C’est la première fois qu’une caisse d'assurance maladie allemande publie des chiffres précis à ce sujet, en se fondant sur la facturation des médecins associés.
Les chiffres de la BKK pulvérisent les rapports du PEI (organisme fédéral chargé des vaccins et médicaments, plus ou moins équivalent de l’ANSM), et la lettre met la lumière sur une nette sous-estimation du nombre d'effets secondaires, dont le PEI est censé recueillir les signalements.
Nous avons traduit la lettre en question, désormais rendue publique :