La géo-ingénierie de la Terre entière éclipse le scandale du Libor*
Philip Ridley, 24 juillet 2012
Donc, nous avons eu le LiborGate, et j'ai déjà fait remarquer que ce scandale apparent n'était que la pointe de l'iceberg. Les banques et les gouvernements ont été complices de crimes mafieux classiques tels que le blanchiment et le traitement de centaines de millions de dollars de stupéfiants et d'armes.
Malheureusement, j'étais plutôt prudent dans mes estimations, depuis la semaine dernière, il est avéré que HSBC est impliqué dans le blanchiment d'argent pour 36 mille milliards de livres sterling, un chiffre égal à la totalité du PIB mondial, éclipsant les centaines de milliards de dollars blanchis par Wells Fargo. Rien de nouveau pour certains, mais le millier de milliards est pulvérisé. Bloomberg a parlé pendant un certain temps des 1,2 million de milliers de milliards (1022) de marché mondial des produits dérivés, en une filière non réglementée, non déclarée, le système bancaire « hors bilan ». C'est là qu’est pris l'argent de la drogue, traité comme une valeur sûre avec un effet de levier de 10 ou 100 fois pour 1 dans le système bancaire de réserve fractionnaire. Bien sûr, les gouvernements en acceptant de souscrire à cette monstruosité, ont plongé toute la zone euro et le capitalisme occidental dans la tourmente.
Mais vraiment, je voulais écrire cet article pour expliquer que la fraude financière, la manipulation et le comportement des gouvernements systématiquement parrainés par la mafia n'est que la pointe de l'iceberg. Ces personnes ont un but et l'argent n’est qu’un moyen pour une fin, alors que veulent-ils vraiment ? Que ferait-on si on pouvait imprimer de l'argent autant que l'on voulait? Qu'est-ce que le gouvernement et les multinationales feraient s’ils pouvaient contrôler le trafic de drogue et profiter de l’effet multiplicateur du blanchiment de milliers de milliards de dollars pour acheter la planète?
Si vous pensiez que la manipulation du système financier mondial et les 1022 dollars de produits dérivés sont un énorme scandale, celui que je m'apprête à décrire rend le précédent dérisoire.
La nouvelle la plus énorme, émise en sourdine et non-relayée, c'est que The Guardian, après avoir déclaré « potentiels » des projets de géo-ingénierie depuis un certain temps maintenant, avec toute une section qui y est consacrée sur leur journal en ligne, publiait la semaine dernière, une carte mondiale des programmes de modification du climat actuellement en cours. Non seulement découvrons-nous les efforts cachés mais systématiques visant à manipuler le système financier dans son ensemble, mais maintenant nous avons à souffrir de nos nouveaux suzerains féodaux qui se prennent pour Dieu en manipulant le climat.
Fait inquiétant, une grande partie du « monde développé » est indiquée sur cette carte comme un point chaud pour la géo-ingénierie. L’article rend compte de programmes en cours pour modifier les précipitations et réguler le rayonnement solaire. Ce, en l'absence de tout débat public. Pourtant, le Parlement s'est prononcé sur le sujet, produisant des documents de principe sur la réglementation de la géo-ingénierie. Ces documents énoncent un « besoin » en géo-ingénierie en même temps qu’un avis au gouvernement pour ne pas encourager le débat sur le sujet, de peur de paraître soutenir la géo-ingénierie, du fait de l'opposition probable du public (sans blague). Ils appellent plutôt à « un programme international d'engagement du public en amont ». Cette déclaration inquiétante implique que ceux qui sont derrière ce programme ont peu de respect pour la souveraineté nationale, la démocratie ou le débat public, rappelant le stalinisme à ses meilleures heures.
Les politiciens ont de bonnes raisons de dissimuler ces programmes parce que la preuve est faite qu’ils visent à la pulvérisation de mégatonnes de matières toxiques dans l'atmosphère. Pour ceux qui s'inquiètent de l'agriculture biologique, de la biodiversité de la faune et de la flore, de la santé humaine et du bien-être, sans parler de notre expérience à tous sur cette planète, ce doit être le plus grand scandale caché de l'Histoire. Le pire de tout, des documents du Parlement européen sur la géo-ingénierie admettent que le climat « pèse lourd » et que les résultats de ces programmes sont imprévisibles.
G. Edward Griffin a produit un film sur le sujet intitulé « Que vaporisent-ils dans le monde entier ? » suivi plus récemment par un autre : « Pourquoi vaporisent-ils le monde entier ? ». Le documentaire commence par faire le point sur la géo-ingénierie, puis présente une conférence entre géo-ingénieurs qui discutent des programmes possibles. Le plus choquant de tout est de voir accepter l’idée selon laquelle on peut limiter le rayonnement solaire et manipuler les conditions météorologiques en pulvérisant de 10 à 20 millions de tonnes d'aluminium dans la stratosphère ! Les répercussions sur la santé et la faune sont telles qu’elles provoquent des inquiétudes quant à un génocide. Les réalisateurs se rendent ensuite au Mont Shasta, en Californie, où les niveaux d'aluminium dans ce qui devrait être une nature sauvage, dépassent ceux que l’on pourrait trouver à proximité d'une usine de production d'aluminium. L'enquête ultérieure du centre d’écologie du parc naturel du Mont Shasta a trouvé des concentrations d'aluminium à 2190 μg / l, de baryum à 43μg / 1 (ppm) et de strontium également à des niveaux élevés. Un schéma similaire de toxicité a également été observé par Rosalind Peterson de la Coalition de Défense de l’Agriculture. Aussi, Clifford Carnicom qui fut l'un des premiers à faire connaître ces programmes avec son film « Crimes d’Epandages ».
Mais il n’y a pas que des citoyens qui s’intéressent au sujet. Bill Gates finance des projets appelant à l'horrible pulvérisation de millions de tonnes de dioxyde de soufre 48 km au-dessus de la terre. Comme je l'ai dit, oublions le LiborGate ou scandale du Libor, nous avons besoin d'un nouveau ClimateGate, ou même DieuGate, puisque c'est ce à quoi joue ces gens. Imaginez ce que cela fait sur la qualité de l'air et l'épidémie de décès et de maladies pour les plantes, les humains et les animaux sauvages lorsque des mégatonnes d'aluminium, de baryum, de dioxyde de soufre, de strontium s’infiltrent dans le sol. Pourtant, ironiquement, Bill Gates, prétend être le gardien de la planète, nous protégeant contre le réchauffement climatique.
Bien sûr, pour qui connaît la physique, et vous pouvez vérifier cela, le CO2 représente 2% de la composition globale de l'atmosphère. Il est mesuré en parties par million et il est bien moins important que la vapeur d'eau sur l'effet de serre, lequel est principalement dû au soleil. Bill Gates doit être conscient de cela puisque le soufre qu’il prévoit d'injecter dans l'atmosphère dévie la chaleur principalement par nucléation des nuages, pour que la vapeur d'eau dévie la chaleur de la planète. Et pourtant on nous dit que le CO2 est le principal moteur du climat. Des articles partout dans le monde expliquent que ces programmes pourraient mettre fin à nos beaux ciels bleus, en les rendant blancs, pourtant pas de débat.
Le CO2 est également pris pour cible, mais la solution proposée révèle les motivations réelles. The Guardian, encore lui, faisait état récemment de projets pour déverser des mégatonnes de fer dans les océans. Cela provoquerait la prolifération d'algues qui séquestreraient le CO2. Le problème est que cela éliminerait aussi l'oxygène de l'océan, créant des zones mortelles pour les poissons et les plantes marines, provoquant non seulement une catastrophe écologique mais aussi potentiellement une pénurie massive de poissons. Le fer s’accumulerait dans le poisson que nous mangeons, le rendant toxique pour l’homme. Les articles se concentrent sur l'aspect CO2, mais le déversement gigantesque de métaux lourds dans l'atmosphère et la mer est probablement pour certaines multinationales une tentative de se débarrasser de déchets toxiques en en tirant profit. Transformer un passif en profit, fait de ces programmes, de facto, des plans de sauvetage pour les entreprises manufacturières lourdes.
Si l’on remonte dans le passé, ce n'est pas nouveau. Les anciens se rappelleront que l'armée américaine a utilisé la géo-ingénierie dans les années 1960 au Vietnam pour prolonger la mousson sur la piste Ho Chi Minh et inonder leurs ennemis, en pulvérisant des tonnes d'iodure d'argent. En 1977, les Nations Unies ont publié le Traité ENMOD sur la modification de l'environnement, qui interdit toutes les méthodes de modification climatique pendant les guerres, donc cela existe depuis longtemps. Plus récemment, l'US Air Force a déclaré avec audace vouloir « contrôler le climat en 2025 », dans « La météo en tant que multiplicateur de force : contrôler le climat en 2025 ». Plus près de nous, la BBC a rapporté que l'armée britannique avait déversé des tonnes de cadmium sur Norwich dans les années 1960, à relier à une augmentation massive de cancers de l'œsophage, le cadmium étant une substance cancérigène. Malheureusement, comme les manipulations climatiques ci-dessus et, comme la manipulation de notre système financier, ce n’était que la pointe de l’iceberg. The Guardian a révélé des documents déclassifiés concernant des tests chimiques et biologiques effectués sur la majeure partie de la Grande-Bretagne entre 1940 et la fin des années 1970. Ces tests consistaient en la pulvérisation de sulfure de cadmium et de zinc, des agents biologiques et autres, dans plus de 100 « essais » reconnus qui paraitraient eux-mêmes dérisoires au regard de ce qui reste classifié. Dans un aveu de facto que ces programmes existent toujours, très probablement fusionnés avec le programme global de géo-ingénierie, Sue Ellison, porte-parole de Porton Down, à qui l’on demandait si de tels essais étaient toujours en cours, a déclaré: « Ce n'est pas notre politique de discuter des recherches en cours ».
Pendant ce temps, comme indiqué ci-dessus, le Parlement est conscient de ces conseils de mises en garde contre un débat public, sur ce qui devrait être le plus grand débat de l’humanité depuis qu’Adam a décidé de quitter le jardin d'Eden ! La question est de savoir si nous voulons vivre dans un monde naturel, ou une planète manipulée par la géo-ingénierie, gorgée de mégatonnes de métaux lourds et de soufre. Ce débat devrait avoir lieu librement pour questionner les enjeux et la « science » qui les sous-tend, de peur que l'objectif déclaré de l'armée de contrôler le climat, ne la pousse à nous mentir. C'est l'opinion de l'auteur que le fardeau de la preuve devrait incomber aux coupables, et non au grand public. Avec quelle ironie Londres a récemment imposé des plafonds d'émissions pour les véhicules lourds dans le centre de Londres. Se pourrait-il que les dits industriels n'aient pas investi dans des moteurs plus propres parce qu’on leur a imposé le financement de projets secrets comme la géo-ingénierie, le renflouement du frauduleux système bancaire hors bilan dont ils ignoraient l'existence même ?
Certains disent que nous avons besoin d'un retour à la réglementation du style d’un Glass-Steagall Act pour séparer les banques de dépôts et les banques d’affaires. Je dis que ces mesures sont dépassées. Il nous faut aller plus loin et développer un système pour séparer les gens normaux des abrutis actuellement au pouvoir. La méthode classique quand on a affaire aux hooligans connus et aux psychopathes reconnus, c’est : les assises et l'incarcération. Cependant, quand il s’agit de crimes contre l'humanité et la planète telle que la pulvérisation de mégatonnes de métaux lourds dans la stratosphère et l'océan, ne soyez pas surpris si d'autres réclament le retour à la peine capitale.
Pour en revenir à la finance, l'auteur est d'accord avec Max Keiser pour que tous les investisseurs incluent dans leur portefeuille de titres, les fabricants de guillotine. Si cette industrie ne parvient pas à décoller, nous vous recommandons de solides positions défensives dans votre portefeuille dominé par les sociétés pharmaceutiques et les entrepreneurs de pompes funèbres pour profiter du génocide qu’est la géo-ingénierie planétaire.
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* Libor : taux de base interbancaire britannique qui a été manipulé de 2006 à 2009 par de grandes banques. http://fr.wikipedia.org/wiki/Libor
article source (en anglais) :
autre lien : http://uriniglirimirnaglu.unblog.fr/?p=1021
Traduction Ciel voilé - septembre 2012
http://cielvoile.over-blog.com/