Radiofréquences micro-ondes, 5G, 6G, nanomatériaux en graphène: Technologies utilisées dans la guerre neurologique
Fabien Deruelle, PhD, Chercheur Indépendant, Ronchin 59790, France E-mail : fderuelle@hotmail.com
Deruelle F. Microwave radiofrequencies, 5G, 6G, graphene nanomaterials: Technologies used in neurological warfare. Surg Neurol Int. 2024;15:439. doi: 10.25259/SNI_731_2024
Source de l’original :
Reçu le 27 août 2024 ; Accepté le 26 octobre 2024 ; Publié le 29 novembre 2024
Résumé
Contexte : La littérature scientifique, sans conflit d'intérêt, montre que même en dessous des limites définies par la Commission Internationale de Protection contre les Rayonnements Non-Ionisants, les micro-ondes issues des technologies de télécommunication provoquent de nombreux effets sur la santé : effets neurologiques, stress oxydatif, cancérogénicité, atteinte de l'acide désoxyribonucléique et du système immunitaire, électro-hypersensibilité. La majorité des effets biologiques des rayonnements micro-ondes non thermiques sont connus depuis les années 1970.
Méthodes : Des documents scientifiques, politiques et militaires détaillés ont été analysés. La plupart de la littérature scientifique provient de PubMed. Les autres articles (à l'exception de quelques-uns) proviennent de revues impactées. Les rares documents scientifiques qui n'ont pas été évalués par des pairs ont été produits par des scientifiques reconnus dans leur domaine. Le reste de la documentation provient de sources officielles : politiques (ex. Union européenne et Organisation mondiale de la santé), militaires (ex. US Air Force et OTAN), brevets et journaux nationaux.
Résultats : (1) Depuis leur apparition, les pouvoirs publics ont déployé et encouragé l’usage des technologies sans fil (2G, 3G, 4G, WiFi, WiMAX, DECT, Bluetooth, antennes relais, small cells, etc.) en pleine connaissance de leurs effets néfastes sur la santé. (2) Les conséquences du rayonnement micro-ondes des réseaux de communication sont comparables aux effets des armes micro-ondes à énergie dirigée de faible puissance, dont les objectifs incluent la modification comportementale par ciblage neurologique (cerveau). Au-delà de 20 gigahertz, la 5G se comporte comme une arme chimique non conventionnelle. (3) L’ingénierie biomédicale (via des nanomatériaux à base de graphène) permettra des connexions cerveau-ordinateur, reliées sans fil à l’Internet of Everything par les réseaux 5G et 6G (2030) et l’intelligence artificielle, conduisant progressivement à la fusion homme-machine (cyborg) avant les années 2050.
Conclusion : Malgré les rapports et les déclarations des autorités présentant le déploiement constant des nouvelles technologies de communication sans fil, ainsi que la recherche médicale sur les nanomatériaux, comme l'avenir idéal de la société, les recherches approfondies dans ces domaines scientifiques montrent avant tout un objectif lié à la guerre cognitive actuelle. On peut émettre l'hypothèse que, dans le futur, cet objectif correspondra au contrôle de l'humanité par les machines.
Mots-clés : Guerre cognitive, Vaccins COVID-19, Armes à énergie dirigée, Electro-hypersensibilité, Internet of Everything, Maladies neurodégénératives
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