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Ciel Voilé
« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
Le jour où j’ai compris la supercherie
Le 25 août 2021 – Réinfocovid
Dans un contexte dominé par la terreur, la peur, lorsque le vaccin est apparu, inondé par les informations toutes plus alarmistes les unes que les autres, j'ai vu du soleil, même si je me disais "comment est-ce possible, si simple, si vite ?". Mais comme 100% des médias disaient c'est formidable et que "il n'existe que cela"...
Ma mère, 87 ans, était inquiète, impossible d'avoir un RDV par téléphone pour avoir "son vaccin". Je prends rendez-vous pour elle par internet. Elle est rassurée. Elle prend sa 1ere dose, puis la deuxième...qui la fatigue beaucoup quelques jours...
Puis elle appelle : elle est chez elle, essaie de colmater une hémorragie nasale sans succès. Appel des pompiers. Le médecin présent lui demande ce qui se passe. "Je crois que c'est un vaccin, en 87 ans je n'ai jamais saigné du nez". "C'est lequel ? "Cominarrty" répond-elle. "Ah, oui, ça ne m'étonne pas".
Le Dr Saegesser et les contre-vérités du président de la Société vaudoise de médecine
Jean-Dominique Michel - Le 27 août 2021
Ces procédés de lynchage médiatique sont heureusement rares en temps normaux. Il suffit qu’une crise s’installe durablement pour qu’on les voit fleurir comme les champignons après la pluie, en particulier (comme l’a judicieusement relevé le sociologue Michel Maffesoli) au sein des « élites » – ou des notables pourrait-on dire. Mauro Poggia à Genève en est un triste exemple, lequel multiplie les provocations ainsi que les propos dénigrants sinon injurieux. Rien qu’on s’attende à trouver chez un homme d’état, sauf en des temps de violence mimétique (expression décrivant cette accumulation de tension sociétale ayant besoin de boucs émissaires sur lesquels se décharger) où, à l’inverse, une sorte de licence est accordée à se comporter avec vilenie tant que cela va dans le sens du courant.
J’ai moi-même été la cible à réitérées reprises de tels déferlements et au début, à vrai dire, cela fait drôle. J’avais même eu droit à une démolition en règle de ma réputation jusque-là honorable par trois rédacteurs en chef romands sur la RSR à une heure de grande écoute. Mésaventure qui m’a conduit à porter plainte auprès du Conseil suisse de la presse il y a une année -plainte toujours non traitée d’ailleurs. Couvrir de boue une personne se fait vite et bien, rappeler des rédacteurs à une élémentaire déontologie est moins empressé au pays moribond des journalistes.
Les producteurs de vaccins augmentent les prix
Alexandre Lemoine Mondialisation.ca, 27 août 2021
Les producteurs de vaccins, avant tout les compagnies Pfizer et Moderna, ont rapporté des revenus record et espèrent que la « pandémie » garantira leur prospérité.
Le prix d’une dose de Pfizer est passé de 15,50 à 19,20 euros, et celui de Moderna de 19 à 21,50 euros. Les géants pharmaceutiques augmentent progressivement leurs revenus déjà gigantesques.
La hausse du prix des vaccins Pfizer et Moderna a été entraînée par une « hausse des craintes » face au nouveau variant Delta. C’est ce qu’écrit le journal français Les Echos, alors que le britannique Financial Times, se référant à une source anonyme de l’UE, rapporte que « les compagnies ont tiré profit de leur pouvoir sur le marché ».
Pfizer et Moderna publient des rapports sur leurs revenus. Les résultats financiers de la compagnie Pfizer « ont dépassé les attentes en termes de bénéfices nets et ont de nouveau fait augmenter les prévisions pour 2021 ». Le géant pharmaceutique américain a rapporté un bénéfice net de 5,56 milliards de dollars avec des recettes de 18,98 milliards de dollars au deuxième trimestre 2021 essentiellement grâce à son vaccin contre la Covid-19. Le BNT162b2, appellation officielle de ce vaccin, représente 41% des recettes de Pfizer. La compagnie compte livrer pour 2,1 milliards de doses du vaccin ARNm cette année, en revoyant à la hausse les pronostics des recettes du vaccin de 26 à 33,5 milliards de dollars (une augmentation de 90% par rapport à la même période l’année dernière).
La Cour suprême d’Espagne se prononce contre l’utilisation de passeports vaccinaux pour restreindre l’accès aux espaces publics
Nick Corbishley Mondialisation.ca, 26 août 2021
C’est la première fois qu’une haute cour d’un État membre de l’Union européenne remet en cause l’utilisation des passeports vaccinaux au niveau national.
La semaine dernière, la Cour suprême d’Espagne a fait des vagues en devenant la première autorité judiciaire en Europe à se prononcer contre l’utilisation des passeports de vaccination pour restreindre l’accès aux espaces publics – plus précisément aux établissements d’accueil (bars, restaurants et boîtes de nuit). Ce n’est pas le premier tribunal espagnol à se prononcer contre les passeports vaccinaux, mais c’est le plus important. Jusqu’à présent, seules cinq des 17 régions autonomes d’Espagne – les îles Canaries, Ceuta et Melilla, l’Andalousie, la Cantabrie et la Galice – ont proposé d’utiliser des passeports vaccinaux pour restreindre l’accès aux espaces publics. Toutes ont été rejetées par les juges locaux.
Le passeport vert de l’UE est un document d’une seule pièce comportant un code QR qui peut être délivré à un voyageur à la fois sous forme papier et numérique. Il est destiné à prouver que son titulaire a reçu l’un des quatre vaccins autorisés par l’Agence européenne des Médicaments (ceux de BioNTech-Pfizer, Moderna, AztraZeneca et Johnson &Johnson), qu’il a été testé négatif au Covid-19 au cours des 48 dernières heures ou qu’il a été infecté par le Covid au cours des six derniers mois et qu’il possède donc une immunité naturelle. Cependant, certains pays comme la France ont choisi de n’autoriser l’entrée que pour les voyageurs complètement vaccinés.
De nombreux gouvernements utilisent également ces documents pour limiter l’accès des citoyens non vaccinés aux espaces et services publics de leur propre pays. Mais jusqu’à présent, les juges espagnols ont contesté cette tendance, au motif qu’elle porterait atteinte à certains droits individuels reconnus par la Constitution, tels que le droit à l’intégrité physique et à la vie privée, tout en ayant un impact limité sur la santé publique. Les Cours suprêmes d’Andalousie et de Ceuta et Melilla ont déclaré que ces mesures étaient également discriminatoires. Lorsque la Cour suprême d’Andalousie a donné raison aux entreprises hôtelières locales dans leur recours contre les mesures de passeport vaccinal proposées par la région, l’autorité régionale a porté l’affaire devant la Cour suprême nationale. Elle a perdu.
La dictature sanitaire promue par les médias et les entreprises privées
Maryse Laurence Lewis Mondialisation.ca, 24 août 2021
Au Québec, il est urgent d’empêcher François Legault d’imposer un passeport sanitaire. Le Premier ministre ne peut invoquer une recrudescence de mortalités de grippe, au mois d’août! Au lieu d’insulter les gens qui doutent de l’efficacité des vaccins et refusent de servir de cobayes, les journalistes incultes en matière de biologie, tel que Richard Martineau, devraient s’intéresser aux vrais périls : la cinquantaine de laboratoires de niveau P4, dans lesquels on maintient ou réactive les virus pathogènes. Le Canada en possède un, à Winnipeg. En France, deux sur trois sont sous le mandat du Ministère de la Défense. Qu’est-ce qui justifie cela? ¹
En 1925, une entente non contraignante prohibait les gaz asphyxiants ou toxiques et les moyens bactériologiques. En 1972, devant l’inutilité de ce premier accord, on rédigea le protocole de Genève. Entré en vigueur en 1975, on y interdisait la production de substances bactériologiques et ordonnait la destruction des stocks existants. Sous couvert d’études médicales préventives, n’enrayant jamais aucune épidémie, qui avouera entretenir des visées militaires davantage que sanitaires? 2
Ce n’est pas le Ministère de la Santé qui paie les tests et les vaccins, mais les impôts des citoyens. Maintenir les gens dans l’anxiété, avec l’annonce permanente de cas de mortalités, c’est exactement ce qu’il faut pour miner le système immunitaire! Et à présent, s’ajoute la menace d’une vaccination obligatoire, sous peine de ne même plus pouvoir entrer dans des lieux vendant des produits essentiels. Cette mesure est digne d’une dictature, et d’autant plus illégale que rien ne prouve l’efficacité des vaccins. Même l’Organisation Mondiale de la Santé ne peut assurer l’absence de risque de contagion des gens vaccinés. À tel point que les voyageurs ayant reçu deux doses anti-covid doivent payer un test par écouvillon, 72 heures avant de prendre l’avion.
Pfizer et Moderna viennent d’augmenter le prix de vente de leurs vaccins. Est-ce une attitude philanthropique? La santé est d’ordre humanitaire et ne devrait en aucun cas demeurer sous l’égide des entreprises privées, encore moins du Ministère de la Défense, lorsqu’elle touche des millions de citoyens. Autrement, qui voudra réellement résorber un problème, lorsque sa résurgence enrichit? Abolir les additifs chimiques, les gras et les sucres nuisibles n’est pas une option. On préfère laisser les entreprises induires des problèmes cardio-vasculaires et des cancers. Comme on le fit en rejetant les rapports des médecins et en blanchissant les producteurs d’aspartame, aux États-Unis.
Le compromis sanitaire et médiatique