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Ciel Voilé

Didier Raoult au Sénat

15 Septembre 2020, 21:59pm

Qui est Jomier ? Ses anciennes fonctions expliquent ses prises de position.
un médecin généraliste engagé en politique : médecin/adjoint au maire/sénateur
médecin HAD fondation croix saint simon 2011 à 2013
vive président du conseil de surveillance APHP de 2014 à 2018
administrateur suppléant santé publique france 2016 à 2017
membre du conseil de surveillance ARS IDF 2016/2017
adjoint à la mairesse de Paris 2014 à 2017 et conseiller de Paris
cerise sur le gâteau = membre d'amnesty international depuis ses 18ans et de médecins du monde (réseau Soros?)

Cela étant, Raoult lui a rabaissé le caquet avec panache, et a largement dominé le débat de par ses compétences alors que le sénateur parlait dans le vide ; ils sont insupportables ces médecins de plateaux TV et ces politiciens frustrés accessoirement médecins aux compétences discutables puisque ayant renoncé à la pratique de leur art, ayant tombé la blouse, et préférant blablater plutôt que de soigner. Qu'ils restent à leur place et cessent de parler au nom des français, tout en respectant un professeur de renommée internationale, intègre et non influençable, ayant comme vocation de soigner et guérir à moindre coût !

Raoult a indiqué bien connaître la chloroquine puisque il l'a bouffée tous les jours dès l'âge de deux ans en Afrique (son père y était médecin colonel spécialiste en médecine tropicale) ; Raoult est comme Obélix avec la potion druidique, tombé dans le chaudron de HCQ.

Quand on regarde l'histoire familiale de Raoult, on comprend mieux ses convictions, la nature et la force de ses engagements : un père André médecin colonel, breton ancien résistant, chargé d'une organisation en Afrique sur l'alimentation africaine ayant donné son nom à un bacille, et une mère normande dont le grand-père était un éminent infectiologue, Louis Paul Legendre, ayant laissé plus de 260 publications dans la littérature médicale et président d'une société savante. Comme quoi les chiens ne font pas des chats.
https://www.herodote.net/L_heritage_du_Pr_Didier_Raoult-synthese-2768.php

 

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Soros finance les jésuites

15 Septembre 2020, 09:21am

Soros finance les jésuites

Francesca de Villasmundo — 14 septembre 2020


 

Les fondations jésuites ont reçu plus d’un million et demi de dollars de George Soros, et l’une d’entre elles le compte comme partenaire. La campagne des Open Society Foundations continue de conditionner sous le pontificat bergoglien l’Église officielle et conciliaire et de modifier sa doctrine.

C’est le journal en ligne Aciprensa qui a dévoilé le pot aux roses le 8 septembre dernier. Sans susciter de réaction tant de Piazza del Gesù, le siège général de la Compagnie de Jésus, que de la Maison Sainte-Marthe, où vit le jésuite en blanc, pape François. 

Pourtant George Soros est connu mondialement pour être le philanthrope bienveillant et bienfaiteur de l’avortement gratuit, de l’euthanasie, de la libéralisation de la drogue, de l’idéologie colonisatrice Lgbtqi+. Mais personne, du pape au Général des Jésuites, ne trouve rien à redire à ce qu’il subventionne des fondations qui se disent « catholiques ».   

La découverte d’Aciprensa de ces derniers jours déchire encore un autre voile sur le degré de pénétration effective de Soros et de ses « bonnes intentions » envers le Saint-Siège.

La Fondation du service jésuite pour les réfugiés, une œuvre d’éducation et d’aide pour les pauvres et les nécessiteux du monde vieille de quarante ans, a reçu 176 452 $ en 2018 dans le but de « soutenir les droits des migrants » en Amérique latine et dans les Caraïbes.

On le sait, Soros n’est pas avare, encore moins s’il veut « infiltrer » les œuvres caritatives des autres. En 2016, il a donc fait don de la bagatelle de 75 000 $ puisés dans la fondation George Soros au Service des Jésuites pour les Migrants en Espagne (SJM – Espagne), suivis en 2018, de 151 125 $.   Pour le Programme d’enseignement supérieur des Jésuites américains (JWL), il a versé 890 000 $ en 2016 et 410 000 autres en 2018. Cette organisation est la seule à attribuer sur son site Internet le rôle de « partenaire » aux Fondations Open Society. Dans les autres sites officiels certains ont préféré masquer la page des partenaires ou ne pas mentionner la fondation bienveillante de Soros.

En tout, les fondations et organismes de bienfaisance des Jésuites ont reçu un joli butin de 1 702 577 $ au cours des quatre dernières années de la part de Soros. Et cela dans un but uniquement de charité, à des fins communes… Des fins communes qui sont timbrées idéologiquement à gauche, immigrationnistes, progressistes, sociétales…

Aciprensa a interrogé trois fondations jésuites sur leurs liens avec le ‘philanthrope’ magnifique. Seuls les responsables du Programme d’enseignement supérieur et universitaire des Jésuites américains (JWL) ont répondu le 5 septembre : rien n’a été déclaré sur les dons généreux de Soros pour des « raisons de confidentialité ». Une « confidentialité » qui empêche les étudiants intéressés par les bourses offertes par les Jésuites de connaître leur ‘bienfaiteur’.

 

Revoir aussi notre vidéo sous-titrée mise en ligne le 10 février 2018 : Le Vatican, George Soros, l'ONU et le changement climatique

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La propagande, c’est le terrorisme policé des classes dominantes

15 Septembre 2020, 08:27am

La propagande, c’est le terrorisme policé des classes dominantes

Khider Mesloub

le 14 septembre 2020Les 7 du Québec


 

« La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident. La propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter. » Aldous Huxley


 

Pour mieux appréhender la propagande virale actuelle provoquée par l’épidémie du Covid-19, il serait utile de se référer à la propagande de guerre, cette arme classique d’endoctrinement idéologique, de manipulation psychologique. Cette immersion dans les arcanes de la propagande de guerre nous aidera, à notre époque actuelle marquée par la psychose distillée par les gouvernants et les médias, à mieux saisir les ressorts psychologiques de l’embrigadement des populations actuellement en œuvre dans tous les pays.


 

L’histoire bégaie. S’il y a bien une analogie historique, c’est bien entre la crise sanitaire et économique actuelle et la Première Guerre mondiale, toutes deux caractérisées par le recours massif à la propagande. Et pour cause. Les deux ont subi des bombardements de mensonges meurtriers. Dans les deux contextes historiques, les États ont érigé le despotisme en mode de gouvernance pour terroriser les populations par des lois liberticides et des atmosphères apocalyptiques, pour les mener à l’abattoir (la troisième guerre mondiale est imminente). Toutes les deux auront été marquées par un climat de fin du monde, des convulsions politiques, des révoltes sociales, des fins d’empire, des surgissements de totalitarismes.


 

Le président Macron (comme tant d’autres chefs d’État), au début de l’épidémie du Covid-19, pour justifier le confinement pénitentiaire et les mesures de restriction des libertés, n’avait-il pas inauguré son discours par cette déclaration martiale : «Nous sommes en guerre». L’instance sanitaire étatique censée lutter contre la propagation du virus, maladie virale, n’a-t-elle pas été paradoxalement affublé du nom de «Conseil de Défense» (où siègent curieusement des généraux). Une chose est sûre : dans la majorité des pays, la gestion, par ailleurs délibérément chaotique, de la crise du Covid-19 s’apparente davantage à une opération musclée sécuritaire et militaire qu’à une intervention médicale et sanitaire.


 

Quoi qu’il en soit, la gestion propagandiste de la crise sanitaire du Covid-19 rappelle étrangement la manipulation psychologique dont ont été victimes les populations lors de la Première Guerre mondiale, pour justifier et légitimer leur enrégimentement militarisé, la privation totale de leurs libertés, leur incorporation totalitaire dans l’économie de guerre, mesures décrétées au nom de la menace d’un Ennemi (létal) censé mettre en danger la patrie.


 

Historiquement, la Première Guerre mondiale s’est illustrée par le recours à une propagande d’une dimension industrielle inégalée. Pour la première fois dans l’histoire, pour museler toute voix discordante et caporaliser l’état d’esprit collectif, l’État allait s’employer à réduire l’ensemble de la population au contrôle social, l’intégralité des organes de presse à la surveillance totalitaire de l’information, notamment par le biais de la censure. Pareillement, les partis politiques, en particulier d’obédience socialiste, seront réduits au silence. Le Parlement, au moment où la Grande muette se mettait à faire parler bruyamment ses armes, perdait éloquemment la parole : toutes les formations politiques tairont leurs divergences pour œuvrer au service de la Guerre. C’est le début de l’ère du contrôle de la pensée, de la pensée contrôlée.

La suite

 

 

 

 

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11 septembre : une fusion atomique

14 Septembre 2020, 20:25pm

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Le coronavirus : instrument de la peur ?

14 Septembre 2020, 20:23pm

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Agriculteurs sous tension

14 Septembre 2020, 18:01pm

Nous vous invitons à découvrir le documentaire en exclusivité sur francetv et vous, le club téléspectateurs de France Télévisions avant sa diffusion le lundi 14 septembre à 23.05 sur France 3 Pays de la Loire, Bretagne et Normandie.

 

Il vous suffit de vous connecter ou de vous inscrire et vous pourrez visionner le documentaire.

https://www.francetelevisions.fr/le-club/evenements-exclusifs/avant-premiere-agriculteurs-sous-tension-lomerta-francaise-3537

 

Les équipes de France 3 Pays de la Loire vous remercient de votre fidélité et vous souhaitent un bon visionnage !

 

Service Communication

France 3 Pays de la Loire

Tél. : 02 40 99 44 64


 

Extraits

"ll fallait la durée d'un documentaire pour raconter le combat d'une vie. Un combat inégal, cruel, tombé dans l’oubli après la médiatisation des débuts mais relancé aujourd'hui, grâce à la ténacité d'un éleveur et au travail pugnace d'une journaliste.

L'histoire commence il y a 30 ans, dans une exploitation laitière de Saint-Laurent de Terregatte dans la Manche. La ferme appartenait à Serge Provost, elle était traversée par une ligne à Très Haute Tension (THT).
Après la mise en service d'un transformateur électrique en 1989, l'éleveur constate que ses vaches tombent malades, donnent moins de lait.
L'éleveur en est convaincu : des rayonnements électromagnétiques perturbent son troupeau.

Serge Provost, c'est ce qu'on appelle une grande gueule, mais aussi une belle gueule comme en témoignent les archives de ses passages sur les plateaux télé de l'époque, car avec d'autres agriculteurs dans son cas, il a décidé de médiatiser son affaire.
En 1993, il crée l’association "Animaux sous tension", s'oppose à la construction d'une seconde ligne près de chez lui par tous les moyens, en vain.
Il ne parviendra pas à prouver la responsabilité d'EDF. Une expertise vétérinaire conclut à un virus. Invraisemblable selon l'éleveur. Las et dégoûté, il finira par cesser son activité.

2019. Devant la caméra de Nathalie Barbe, Serge Provost ressort ses dossiers, rangés dans une armoire métallique de son atelier.
Aujourd’hui retraité, Serge Provost, n’a pas abandonné : inlassablement au fil des années il a compilé les articles de presse, les rapports, les comptes-rendus de réunions, et recueilli des témoignages par dizaines.
La journaliste reprend l'enquête.
Dans son documentaire aux allures de polar, Nathalie Barbe procède en allers-retours entre un mystérieux QG où elle amasse photos, documents et post-its et les visites dans les exploitations.

En Pays de la Loire, en Bretagne, en Normandie et à vrai dire partout en France, des éleveurs lui racontent la même histoire, terrible : des vaches qui refusent d’aller à la traite, des animaux qui dépérissent, des veaux atteints de malformations, des poules qui arrêtent de pondre.
Ou cette hécatombe de lapins à Saint-Longis (Sarthe) sur laquelle le documentaire s'attarde pour une séquence hallucinante : un éleveur ramasse presque machinalement des dizaines de cadavres qu’il jette dans un bac.
Parmi les causes avancées par les éleveurs, il y a les ondes, mais aussi les courants vagabonds et les courants parasites, véhiculés par les veines d’eau qui courent dans le sol, parfois sous des bâtiments agricoles, notamment les salles de traite et les stabulations.

Ces nuisances se développent ces dernières années, à mesure que les territoires ruraux se hérissent d’éoliennes et d’antennes-relais. Dans le monde agricole, les cas d’électrosensibilité se multiplient, comme chez Didier et Isabelle Brault, éleveurs bio à Noyen-sur-Sarthe, point de départ de l'enquête de Nathalie Barbe.

"De l’autre côté de la ferme, il y a une ligne à Haute Tension. En 1997, une antenne-relais a été montée sur le château d’eau à 150 mètres d’ici" raconte Isabelle Brault. "Depuis, les problèmes de santé de nos enfants n’ont fait qu’empirer : migraines, allergies, crises d’eczéma. Nous avons envoyé notre fils en internat, ses migraines ont cessé".

Des histoires comme celle-ci, Nathalie Barbe en a recueilli des dizaines, pour l’hebdomadaire "L’avenir agricole" où elle a signé une première enquête retentissante en mai 2018, puis pour les besoins de son documentaire, tourné dans la foulée.
Durant un an, la réalisatrice a installé sa caméra dans des réunions publiques, visité des exploitations, mesuré la détresse mais aussi la détermination qui désormais alimente un combat devenu collectif.
Car la documentation impressionnante réunie par Serge Provost représente aujourd’hui un atout essentiel pour la reconnaissance de ces préjudices, et la recherche de responsables.
Des éleveurs réclament justice

En avril 2019, un collectif d’éleveurs de Sarthe, Mayenne, Ille-et-Vilaine et Manche relance l’association créée par Serge Provost. Pour s’entraider, et pour demander réparation, l’association Animaux Sous Tension a chargé l’avocat François Lafforgue de la représenter.
Spécialisé dans les questions environnementales, François Lafforgue a obtenu la condamnation de Monsanto dans le dossier de l’intoxication de l’agriculteur Charentais Paul François.

Une défense de poids pour l’association, face au silence des pouvoirs publics et des élus. Peu de relais politiques se manifestent pour la douzaine d’éleveurs du collectif. Silence également du côté des Chambres d’Agricultures, où l’on semble plus enclin à encourager le versement d’indemnisations sans faire de scandale.
Car le documentaire nous apprend que EDF, devenu Enedis et sa filiale RTE indemnisent… tout en réfutant quelque lien avéré entre la présence de ses installations et les préjudices subis.

Thierry Charuel ancien éleveur dans la Manche raconte à Nathalie Barbe :
"Ils nous subventionnaient, ils payaient les frais vétérinaires, parfois jusqu’à 50 000 euros par an, ils dédommageaient le manque à produire, ils sont intervenus auprès de la laiterie pour qu’elle collecte notre lait déclassé".

Les situations comme celle de Thierry Charuel sont traitées depuis 1999 par le Groupe Permanent pour la Sécurité Electrique en Milieu Agricole (GPSE) où l’on retrouve EDF, RTE, des vétérinaires, des scientifiques, l’INRA, les syndicats agricoles et les Chambres d’Agriculture.
Instaurées par les pouvoirs publics, les expertises du GPSE sont pourtant financées dès l'origine par les opérateurs de l’électricité ou de la téléphonie... encore faut-il qu'ils se considèrent comme possibles fauteurs de trouble.

Quand ces expertises ne concluent pas –comme souvent- à l’incompétence des agriculteurs pour toute explication de leurs malheurs, le GPSE propose des aménagements de l’exploitation que l’agriculteur doit financer en partie : déplacement d’installations agricoles voire de bâtiments, le tout sous couvert d’une convention comportant une clause de confidentialité.

Thierry Charuel n’a pas voulu prendre l’argent et se taire. Convaincu que les difficultés de son exploitation étaient liées à la ligne à 400 000 Volts qui traverse sa propriété, il a remporté ses trois procès contre RTE.
Dans son cas, la preuve du lien de causalité entre la maladie de ses vaches et les courants parasites générés par la ligne à haute tension a été reconnu par la justice.
Il reste le seul à ce jour.
Science, finance, silence.

"Il peut y avoir des fuites de courant, bien sûr, mais on peut les mesurer et les corriger. Il y a tellement de paramètres humains, animaux, de pathologies, le climat, les aliments… tout ça c’est tellement complexe que le pauvre éleveur ne peut pas tout maîtriser, ce n’est pas possible !" assure le Professeur François Gallouin, vétérinaire et Président du Groupe Permanent pour la Sécurité Electrique en Milieu Agricole de 1999 à 2014.

Qu’importent les observations des éleveurs, la connaissance qu’ils ont de leurs animaux et de leurs sols. L'analyse des causes n'est pas de leur ressort.

Même discrédit quand les antennes-relais sont mises en cause.
Face à la caméra, Sylvie Gasnier, ancienne éleveuse de poules à Comblot (Orne) se souvient :
"En avril 2018, on voit débarquer dans la cour de la ferme une armada d'avocats et de scientifiques au volant d'une Jaguar... le prix de notre dette au Crédit Agricole. On a eu droit à une leçon sur les ondes, à l'effet placebo qui joue sur l'esprit des petites gens. On n'est rien face à ces experts".

Son mari Didier poursuit : "en 2016, les anomalies se sont multipliées : les vaches avaient des ovaires sous-développés, un système immunitaire défaillant, on a commencé à perdre des animaux. On s’entendait dire que c’était notre faute, qu’on faisait mal notre travail"
Que dire alors des diagnostics portés par les géobiologues ? La géobiologie est une discipline du ressort des pseudo-sciences selon ses détracteurs, plutôt cousine des "sciences citoyennes" selon ses soutiens. Le débat fait rage.
Ses méthodes et ses conclusions ne sont pas considérées par les tribunaux pourtant, il existe des géobiologues salariés dans les Chambres d’Agriculture, dans la Sarthe par exemple.
Ces héritiers du savoir des sourciers interviennent avec une utilité appréciée des professionnels de l'agriculture dans les exploitations pour rechercher failles et cours d’eaux souterrains susceptibles de conduire des courants.
Chez Sylvie Gasnier, l'un d'entre eux avait repéré sous un pylône le départ d'un cours d'eau qui filait droit vers un bâtiment d'élevage.

Interrogé par la réalisatrice, Régis Boigegrain, Délégué RTE pour l’Île de France et la Normandie enfonce le clou : "On n’arrive pas à faire la démonstration d’un lien scientifique de causalité entre la proximité des lignes à haute tension et des perturbations dans les élevages.
A RTE nous sommes pragmatiques, nous ne cherchons pas à nous opposer à un « savoir paysan » car ce sont les premiers à savoir comment vivent leurs bêtes et comment les traiter.
Nous cherchons à apporter des solutions aux problèmes rencontrés, même si ces problèmes ne sont pas corrélés à la proximité des lignes à haute tension".
Étrange posture que de payer pour des problèmes dont on ne se dit pas responsable. Un demi-aveu ?

Documents à l’appui, Nathalie Barbe en est convaincue : en France et particulièrement dans l’Ouest, des exploitations agricoles sont sacrifiées au nom de l’intérêt général que représente le transport de l’électricité, le développement des énergies renouvelables et la couverture du réseau de téléphonie mobile.

Son enquête filmée rigoureuse et émouvante arrive à point nommé pour porter le débat sur la place publique, alors que l’avocat François Lafforgue s’apprête à lancer six actions en justice en ce mois de septembre."

 

 

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Campagne de peur sans base scientifique pour le Covid-19

11 Septembre 2020, 18:43pm

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Patrick Bellier sur Cnews

11 Septembre 2020, 18:35pm

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"J'en ai marre de cette hystérie collective !" A Lyon, un médecin refuse les patients masqués

9 Septembre 2020, 19:41pm

"J'en ai marre de cette hystérie collective !" A Lyon, un médecin refuse les patients masqués
"J'en ai marre de cette hystérie collective !" A Lyon, un médecin refuse les patients masqués

Le docteur Patrick Bellier, pneumologue et allergologue à Sainte-Foy-lès-Lyon, refuse de porter le masque, et ne reçoit en consultation que des patients qui ne le portent pas. Il fait valoir des convictions personnelles, professionnelles et scientifiques.

Publié le 08/09/2020 à 15h34 • Mis à jour le 09/09/2020 à 18h54


 

"J'en ai marre de cette hystérie collective ! " Le docteur Patrick Bellier, pneumologue et allergologue à Sainte-Foy-lès-Lyon, refuse de porter le masque et n'accepte en consultation que les patients qui ne le portent pas, quitte à défier l'obligation préfectorale. Contacté par notre rédaction ce mardi 8 septembre, il défend des positions scientifiques opposées aux recommandations et directives des autorités sanitaires.
 


"J'ai besoin d'examiner les patients"

Avant tout, le port du masque lui paraît incompatible avec son activité. Le docteur Bellier estime qu'il doit voir le visage de ses patients pour identifier diverses pathologies. "Comment je fais avec mes patients si je ne vois plus leur tronche ? Comment je les fais souffler ? J'ai besoin d'examiner les patients, et tout simplement de voir leur visage. Par exemple pour une paralysie faciale, comme pour de nombreux problèmes respiratoires, il faut voir la personne parler ! Avec les gens masqués, c'est de la pifométrie, et ça peut même conduire à la faute médicale", estime-t-il. Et d'ajouter à titre personnel : "moi le masque, je n'en peux plus !" 

 

Convoqué par l'Ordre des médecins

Le praticien prévient donc ses patients lors de leur prise de rendez-vous. S'ils veulent venir, c'est sans masque, sinon ils devront s'orienter vers un autre praticien. Un de ses patients a porté plainte contre lui auprès de l'Ordre des médecins du Rhône, qui a convoqué le pneumologue le 18 septembre prochain. Celui-ci ne semble pas pour autant s'en inquiéter, évoquant des plaintes qui pourraient également être déposées contre l'ordre des médecins pour "mise en danger d'autrui." Car pour lui, l'obligation du port du masque n'est pas seulement une contrainte en consultation, ce serait aussi une réponse contre-productive à la crise de la Covid-19, une pratique qu'il qualifie même de "criminelle". 

 

Il milite pour l'immunité collective...

Pour lui il est inutile de contraindre les "porteurs sains", asymptomatiques, car ils permettraient d'atténuer la virulence de la Covid-19. Il faudrait donc les laisser diffuser plus librement le virus pour atteindre une immunité collective. "Nous sommes tous porteurs de centaines de gênes pathogènes dans notre bouche, ça ne sert à rien de dépister des porteurs sains qui ont des germes de Coronavirus ! Si on dépistait le pneumocoque, on trouverait des germes de pneumocoque partout et pourtant la maladie ne se diffuse pas ! Les porteurs sains ont des gênes qu'ils neutralisent", affirme le praticien. "Obliger à porter le masque, c'est criminel, ça ralentit la propagation et donc la possibilité pour la population de créer sa propre immunité."


 

La suite

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Des bébés avortés pour la fabrication des vaccins

9 Septembre 2020, 19:33pm

Publié par kla.tv

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