Ciel Voilé
« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
Suisse : Robert Kennedy à Berne le 12 novembre 2021
Dr Zélenko à propos de la vaccination
Jean-Bernard Fourtillan arrêté par la police mardi 9 novembre alors qu'il devait parler à la presse
Publié le 11/11/2021 à 18:17 - Mise à jour à 20:13
Jean-Bernard Fourtillan, 78 ans, ancien professeur d'université.
Le professeur Jean-Bernard Fourtillan a été interpellé une nouvelle fois : alors qu'il se trouvait dans un hôtel à Gentilly, au sud de Paris, la gendarmerie d'Arcueil s'est présentée mardi 9 novembre, à 19 heures. D'après nos sources, le contact avec la gendarmerie s'est passé sans anicroche.
Actuellement à la prison de la Santé, il serait entendu alors qu'il s'apprêtait à donner des interviews médias, initialement pour 24 heures, et désormais jusqu'à mardi prochain selon son avocat.
Depuis plusieurs mois, le professeur Fourtillan portait un bracelet électronique, assigné à résidence dans le Cantal avec des périodes de liberté de 12 à 15 heures et de 18 à 21 heures.
La suite
https://www.francesoir.fr/societe-faits-divers/fourtillan-sur-son-arrestation
Louis Fouché : luciférase
COP26 : Verdir la Finance ?
Thierry Meyssan Réseau Voltaire | Paris (France) | 9 novembre 2021
La COP26 est un spectacle divertissant, imaginé pour détourner l’attention du public de ce qui s’y trame. Le GIEC, comité d’experts climatiques des COP, ne prédit pas l’apocalypse à des gouvernements sourds, mais leur fournit un discours permettant de justifier leurs ambitions politiques. Les présidents Vladimir Poutine et Xi Jinping, qui sont résolument hostiles aux projets financiers des COP, ont refusé de s’y rendre alors que les grands banquiers y parlent de 100 milliards de dollars d’investissement.
Les « Conférences des Nations Unies sur les changements climatiques » s’accompagnent toujours de discours apocalyptiques, mais ne débouchent pourtant jamais sur des engagements quantifiables et vérifiables. Elles ne donnent lieu qu’à des promesses signées en grande pompe, mais toujours formulées au conditionnel.
La conférence qui se déroule actuellement à Glasgow (Royaume-Uni), du 31 octobre au 12 novembre 2021, ne devrait pas échapper à la règle. Elle a débuté avec une vidéo spectaculaire d’un dinosaure annonçant à la tribune de l’Assemblée générale des Nations unies la possible extinction de l’espèce humaine et s’est poursuivie avec un discours d’ouverture du Premier ministre britannique, Boris Johnson, sur ce que ferait James Bond face au défit climatique. Cette mise en scène s’est poursuivie dans la rue avec une manifestation conduite par Greta Thunberg pour déclarer illégitimes tous les gouvernements du monde et dénoncer l’« échec » de la conférence qui pourtant ne fait que juste commencer.
Les leaders politiques qui ont appelé à sauver l’humanité d’une fin imminente sont les mêmes qui investissent des milliards de dollars dans des armes nucléaires capables de rayer la vie humaine de la planète [1].
Le moins que l’on puisse dire est que cette conférence est un divertissement de qualité offert aux spectateurs du monde entier, pas une réunion diplomatique visant à diminuer la production de gaz à effet de serre. Mais alors : quelle réalité ce cirque vise-t-il à masquer ? et pourquoi tous les États membres de l’Onu y participent-ils ?
Analyse de l'activité hospitalière 2020
Les effets secondaires de la vaccination au Québec – Partie 2
Anne-Hélène Jutras Mondialisation.ca, 10 novembre 2021 reinfocovid.ca
2e partie : Les cas déclarés
Dans la première partie de cet article, nous avons vu que s’il arrive à la presse québécoise de rapporter des effets secondaires des injections anti-covid, ceux-ci sont souvent banalisés et leur nombre, tout comme leur gravité, semblent minimisés. La priorité semble être davantage de ne pas nuire à la campagne vaccinale en cours que de donner à la population une information complète sur les risques reliés aux injections. L’argument selon lequel les bénéfices des « vaccins » l’emportent sur les risques, si souvent avancé, est fortement mis à l’épreuve dès lors que l’on sait que toutes les informations pertinentes nécessaires à une prise de décision éclairée ne sont pas transmises à la population. Non seulement les médias faillissent-ils à leur rôle d’informer de manière objective et rigoureuse, mais il semble aussi que la pharmacovigilance au Québec et au Canada connaisse quelques ratés.
En effet, il semble qu’il soit assez difficile pour la population, au Québec comme ailleurs – mais au Québec sans doute plus qu’à d’autres endroits – de se faire un portrait juste de la situation vaccinale. D’abord, le seul processus de déclaration de manifestations cliniques inhabituelles (MCI) n’est pas simple : quand un cas d’effet secondaire est observé, un professionnel de la santé doit remplir une Déclaration de manifestations cliniques inhabituelles après une vaccination [1], un formulaire de cinq pages plutôt long à remplir. Si une victime soupçonne que ses symptômes sont la conséquence de l’injection reçue, elle ne peut donc pas elle-même remplir une déclaration; tout doit passer par un médecin, et il semble que les médecins soient peu prompts à remplir de telles déclarations, que ce soit par manque de temps ou par leur refus d’établir une corrélation avec le vaccin. Voici les étapes à suivre [2] pour déclarer une MCI :
Les effets secondaires de la vaccination au Québec – partie 1
Anne-Hélène Jutras Mondialisation.ca, 09 novembre 2021 reinfocovid.ca 1
Imaginez un vaccin tellement sûr que vous devez être menacé pour le prendre,
contre une maladie si mortelle que vous devez être testé pour savoir si vous l’avez.
Denis Rancourt
1re partie : Les cas rapportés dans les médias
Un enfant de trois ans a attrapé la COVID-19, dit sa mère, mais il n’a aucun symptôme, pas plus que ses parents ou son frère. La COVID-19, vraiment? Une dame presque centenaire, sans aucun symptôme, est morte… de la COVID-19. Un motocycliste qui avait contracté la maladie et s’en était remis a fait un accident de la route deux mois plus tard et est mort… de la COVID-19. Un entrepreneur dont le commerce avait fermé s’est tiré une balle dans la tête et est mort lui aussi… de la COVID-19. Combien d’autres sont ainsi morts de la COVID-19 sans même avoir de symptômes cliniques[1]?
Si la COVID-19 a le dos large, il semble qu’on ne puisse pas en dire autant du vaccin. Si des personnes âgées décèdent dans les heures ou les jours suivant leur première ou leur deuxième injection, par exemple, le lien causal entre les deux est, le plus souvent, évacué : ces personnes étaient déjà fragiles et/ou gravement malades[2]. Si une personne en parfaite santé développe de graves effets secondaires ou meurt quelques minutes, quelques heures ou quelques jours après son injection, on évoque souvent la simple coïncidence, ou encore on minimise l’incident parce que les bénéfices de la vaccination l’emportent sur les risques, dit-on. Quand un cas d’effets secondaires du vaccin filtre dans les médias, on le dit rare ou rarissime. À plus d’un égard, l’utilisation de ces mots mérite d’être questionnée. Le 1er juin dernier, le gouvernement du Québec rapportait un 9e cas de thrombose au Québec lié au vaccin d’Oxford-AstraZeneca. Dans l’article de la Presse canadienne à ce sujet[3], on ne manquait pas de préciser que d’après les données du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS), les cas de thromboses liés à ce vaccin demeuraient rares. Mais neuf cas rares mis ensemble ne constituent-ils pas déjà des cas moins rares?