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Avant la crise sanitaire, notre association diffusait de l'information essentiellement sur le contrôle en cours du climat, sur la géo-ingénierie en cours et sur la destruction, délibérée ou non, de l'atmosphère, du sol, de l'eau et de tout le vivant sur terre. Mais devant la démesure des décisions prises par tant de gouvernements qui semblent tous suivre la même feuille de route, devant les atteintes gravissimes au droit et aux libertés individuelles et collectives, devant les dévastations économiques sans précédent, nous donnons la parole à ceux que les médias aux ordres, ignorent ou censurent. Nous sommes les témoins d'un basculement de civilisation.
actualites
5G : Communiqué de presse du vendredi 28 mai 2021 d'Alerte Phone Gate et Robin des Toits
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Notre travail d’analyse, de recherche bibliographique et de remise en perspective des éléments scientifiques présentés, nous amènent à porter un regard critique circonstancié sur ce nouveau rapport de l’ANSES sur la 5G. Il est, selon nous, plus politique que scientifique !
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Pour comprendre pourquoi nous sommes en mesure de dénoncer la communication faussement rassurante autour de la sortie du rapport, nous vous proposons de prendre connaissance de nos commentaires et propositions au travers d’un document commun de contre-expertise de 52 pages qui sera remis à l’ANSES dans le cadre de la consultation publique qui se termine le 1er juin :
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Les différentes demandes de moratoire avant mise en place de la 5G, dont celle signée en 2017 par plus de 170 experts et médecins internationaux parmi lesquels le Pr Dominique Belpomme et le Dr Marc Arazi, justifiées déjà par le manque d’études scientifiques spécifiques à ces nouvelles fréquences, se trouvent totalement validés par ce rapport de l’ANSES. Toutefois, l’agence, si elle reconnaît tout du long des 241 pages le manque de données scientifiques, elle n’en tire pas les conclusions qui s’imposent. En agissant ainsi, l’ANSES, mais aussi l’ANFR associée aux travaux, font clairement et délibérément courir un risque potentiel sanitaire tant aux riverains d’antennes-relais qu’aux utilisateurs de téléphones portables, les reléguant au statut de cobayes.
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> Nous rappelons la nécessité d’un moratoire à l’échelon national et européen
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Il y a au travers de ce rapport la démonstration d’une totale disproportion entre les moyens alloués aux études scientifiques sur la 5G et les centaines de milliards dépensées par les industriels et les opérateurs pour commercialiser ces nouvelles fréquences. En France, nous constatons le même déséquilibre concernant de la vente des fréquences pour près de 3 milliards d’euros aux opérateurs avec, en face, à peine quelques centaines de milliers d’euros réaffectés par les pouvoirs publics à la protection des populations. Ceci est encore plus flagrant au niveau européen, au travers des financements de la Commission européenne.
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> Les moyens affectés par l’État aux études scientifiques indépendantes dédiées doivent être augmentés en lien avec les enjeux de santé publique.
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Le choix d’un alignement sans aucune réserve de l’ANSES sur les recommandations de l’ICNIRP correspond, selon nous, à une reprise en main politique de l’agence par les ministères de tutelle sous l’influence du lobby des industriels de la téléphonie mobile. Ainsi ce rapport marque une très notable inflexion par rapport à ses propres rapports antérieurs plutôt courageux de 2016 et 2019 (totalement absents ici) qui ont permis la révélation du scandale du Phonegate et d’ainsi mettre en évidence certains éléments de la surexposition des utilisateurs aux ondes de leurs téléphones portables du fait des graves manquements des normes ICNIRP en terme de protection de la santé des utilisateurs.
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> L’ANSES doit avoir l’indépendance nécessaire pour mener une étude critique sur les recommandations de l’ICNIRP et les conflits d’intérêts qui l’entourent.
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Une des conséquences fondamentales de cet alignement sur l’ICNIRP est de ne reconnaître que les effets thermiques des ondes. Laissant ainsi totalement de côté l’ensemble des études scientifiques indépendantes faisant état des effets non thermiques. Le fait qu’à ce stade il n’y ait pas de consensus officiel ne veut pas dire que l’ANSES ne doive pas tenir compte de ces éventuels effets sanitaires.
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> L’ANSES, dans un contexte de doute scientifique, doit demander l’application du principe de précaution aux pouvoirs publics.
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Considérant les effets thermiques des ondes et leur consensus scientifique, l’ANSES, tournant le dos à ses propres recommandations (2016, 2019) concernant la mauvaise qualité de l’indicateur DAS (Débit d’absorption spécifique) pour mesurer l’exposition réelle des utilisateurs de téléphones portables, n’a jamais pris en compte dans ce rapport leur non-application par les pouvoirs publics français et européens. L’agence se contentant de rappeler à de multiples reprises la nécessité d’être en dessous des valeurs limites réglementaires.
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> L’ANSES doit remettre en cohérence ce rapport avec ses précédentes recommandations et rendre compte des risques sanitaires au-delà des valeurs réglementaires
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Encore plus préoccupant, l’ANSES nous indique qu’il n’existe quasiment aucune étude mesurant l’exposition locale et le niveau d’absorption aux ondes des nouveaux téléphones portables. Ceci est aussi le cas de l’ANFR qui n’a rien publié à ce jour concernant les mesures d’exposition aux téléphones portables 5G. D’ailleurs, aucune des deux agences n’évoquent l’impossibilité actuelle de mesurer avec précision les niveaux de DAS résultant de l’émission simultanée de plusieurs antennes de fréquences différentes incluses dans les nouveau téléphones portables 5G. Ceci est encore plus vrai pour la cohabitation à venir des indicateurs DAS et du Power density dans les Smartphones réellement 5G (24-26 GHz).
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> L’ANSES et l’ANFR doivent clarifier au plus vite ces points en toute transparence et mettre les pouvoirs publics devant leurs responsabilités
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Concernant l’exposition dans les fréquences au-dessus des 24 GHz, ni l’ANFR ni l’ANSES n’ont tenu réellement compte des évolutions à venir concernant la nécessité d’augmenter de manière localisée (par exemple comme dans un stade, un bureau, une rue) le nombre de micro-antennes de proximité avec pour conséquence une surexposition des personnes mais aussi de tout le vivant. Ce rapport donne des niveaux d’exposition de la population une série d’informations qui ne correspondent pas à la réalité, dans le seul but de les sous-estimer et de rassurer pour permettre le déploiement de la 5G. Il n’aborde pas la question de l’Electrohypersensibilité, oubliant par là même son rapport de 2018.
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> Il y a donc urgence à pouvoir mesurer ces nouvelles sources d’exposition qui se situent à la frontière entre sources proches et sources lointaines et pour lesquelles il n’est pas connu de méthode fiable.
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La lettre de saisine de l’ANSES (2019) n’a tenu aucun compte des possibles atteintes environnementales liées aux expositions générales à la 5G, et ce concernant les plantes, les insectes, et le vivant dans son ensemble. Et ce rapport ne dit quasiment rien à ce propos, comme il ne prend pas en compte les risques associés ou les cofacteurs potentialisant les effets délétères des radiofréquences sur l’homme et la nature ou les conséquences sur le réchauffement climatique.
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> L’ANSES, et à travers elle les pouvoirs publics, a la responsabilité de protéger la nature et prévenir des risques d’atteinte à la biodiversité et au climat.
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Les choix dans la sélection des articles ou études de la bibliographie et leurs interprétations par les membres du comité d’experts démontrent, selon nous, plutôt une démarche à caractère politique que scientifique et ce afin de permettre au gouvernement de continuer le développement de la 5G. En agissant ainsi, l’ANSES tourne le dos à la science. Elle a volontairement éliminé de sa démonstration tous les travaux scientifiques et médicaux qui montrent des effets des ondes millimétriques, soit sur la santé (traitements de la douleur, désordres cardiovasculaires, diabète, dermatite, ulcère gastrique, asthme bronchique, diplégie cérébrale infantile, cancer, etc.) soit sur son utilisation dans un cadre militaire en tant qu’armes non létales ou létales.
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> L’ANSES doit revoir l’intégralité de son travail sur les conséquences sanitaires des ondes de la 5G, afin de tenir compte à la fois de nos remarques, de celles du groupe de travail de l’ECERI et des diverses contributions qui ne manqueront pas de relever ces points.
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En vue de la restitution du rapport définitif, nous demandons à l’ANSES de soumettre le travail final, lors d’un débat public contradictoire, à un groupe d’experts internationaux indépendants de tous conflit d’intérêt et reconnus pour leur compétence dans le domaine des ondes des radiofréquences. C’est à ce seul prix que peut se renouer une confiance sereine entre toutes les parties et, le plus important, avec le grand public
Accéder au rapport de contre-expertise
Alerte Phonegate est une association régie par la loi de 1901 à vocation internationale, créée en 2018, qui contribue avec ses partenaires à la définition d’une stratégie globale pour une utilisation du téléphone portable, des tablettes numériques, des objets connectés ou de tout autre nouvelle technologie à venir utilisant les ondes électromagnétiques, dans des conditions qui protègent la santé des utilisateurs et en particulier des enfants ;
Robin des Toits est une association selon la loi de 1901 fondée en 2004, centrée sur l’impact sanitaire, environnemental et sociétal des technologies émettrices d’ondes électromagnétiques artificielles, qui a une relation privilégiée avec le terrain et a développé ses expertises dans les domaines à la fois sanitaire, techniques, juridique et sociétal.
Loi renseignement : le retour en pire
La quadrature du net - Le 27 mai 2021
Le 28 avril 2021, le gouvernement a proposé un nouveau projet de loi renseignement, complété le 12 mai par de nouveaux articles tirant les conséquences de notre défaite devant le Conseil d’État (relire notre réaction).
L’objectif premier du texte sera de faire définitivement entrer dans le droit commun les mesures de l’état d’urgence débuté en 2015 (assignation à résidence, perquisitions administratives…) ainsi que les mesures expérimentales de la loi renseignement de 2015 (surveillance automatisée du réseau par des « algorithmes »). L’objectif secondaire sera d’inscrire dans la loi française les violations du droit européen actées par le Conseil d’État le mois dernier afin de défendre à tout prix la surveillance de masse française. Toutefois, la menace la plus grave pourrait se situer entre les lignes : une multitude d’ajustements d’apparence sommaire qui semblent cacher un bouleversement dramatique du rapport de force entre le gouvernement et la population.
Dans cette première analyse, nous prenons le temps d’examiner l’ensemble des modifications apportées par ce projet de loi en matière de renseignement. Le texte qui vient d’être validé par la commission des lois de l’Assemblée nationale sera étudié en hémicycle à partir du 1er juin prochain.
Les perquisitions administratives appelées « visites domiciliaires » en novlangue sécuritaire, se voient dotées d’une nouvelle possibilité. Toujours sans contrôle d’un juge, l’article 4 offre à la police la possibilité d’exiger l’accès sur place à du matériel informatique. Si la personne perquisitionnée refuse, son matériel pourra être saisi et analysé par un laboratoire de la police.
"Auto-proclamé" ?! Attaques et bassesses : ça suffit !
Jeudi 27 mai 2021 22h39 – Jean-Dominique Michel
La violence mimétique est un donné anthropologique lorsqu'un corps social est en tension.
Depuis quinze mois, on a observé le retour d'inconduites et de vilenies qui, en temps normal, auraient valu à ceux qui les ont agies ou proférées une réprobation sur la base des règles élémentaires de bonne conduite et de civilité.
Le déchaînement contre les "complotistes", provenant de la presse, des autorités ou du Café du commerce, fut ainsi d'une stupidité et/ou d'une ignominie rares. Comme une forme d'hystérie banale visant à étouffer dans l'oeuf tout risque de débat d'idées authentique.
Et en effet, stressés, terrifiés et brutalisés comme ils l'auront été par des mesures "sanitaires" absurdes et inutiles, le seul moyen pour la plupart des gens de ne pas affronter la gravité de cette dérive et de leur docilité aura consisté à incendier les raisonnables et les sceptiques.
On a ainsi vu des gens a priori "normaux", parfois ayant eu ou ayant des responsabilités, se comporter comme des petites frappes ou des malfrats.
Avec des effets de masse, de meute, de harcèlement et de lâcheté.
Dans de tels contextes, les limites du normal et de l'anormal, de l'acceptable et de l'inacceptable, du policé et de l'odieux vacillent, avec des emballements soudains de pulsions agressives mais aussi une tonalité de fond de bassesse banalisée.
Les voix dissidentes sont évidemment les cibles de choix de cet ensauvagement collectif.
Richard Boutry : Reiner Fuellmich ce héros
"Littéralement criminel" : Pierre Kory accuse la suppression des données sur l'ivermectine d'avoir coûté "un demi-million de vies"
le 27/05/2021 à 16:41 - Auteur(s): R. Clinton Ohlers, traduit par FranceSoir
Lors d'une récente conférence Zoom, le Dr Pierre Kory, de l'Alliance Front Line COVID-19 Critical Care, a exposé de nombreux détails montrant que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) a sciemment supprimé les données sur l'efficacité de l'ivermectine contre le virus afin de favoriser les intérêts de Big Pharma en matière de vaccins.
Article initialement paru sur worldtribune.com et traduit par France Soir, cet article faisant écho à l'analyse du Collectif citoyen publiée le 23 décembre dernier :
Ivermectine : De l’indifférence scandaleuse au mensonge criminel
"C'est criminel", a déclaré Kory. "C'est littéralement criminel". Le médicament "aurait pu sauver un demi-million de vies cette année s'il avait été approuvé".
Selon M. Kory, l'OMS ne fait que participer aux tactiques d'un "manuel de désinformation" usé par le temps. Ce terme a été inventé par l'Union of Concerned Scientists il y a 50 ans afin de décrire les stratégies que les entreprises ont développées au fil des décennies pour "attaquer la science lorsqu'elle va à l'encontre de leurs intérêts financiers".
Il se compose de cinq parties :
L'imposture - Mener des recherches contrefaites et tenter de les faire passer pour des recherches légitimes.
Le blitz - Harceler les scientifiques qui s'expriment sur des résultats qui dérangent l'industrie.
La diversion - Fabriquer de l'incertitude sur la science là où il n'y en a pas ou peu.
L'écran - Acheter de la crédibilité par le biais d'alliances avec le monde universitaire ou des sociétés professionnelles.
La solution - Manipuler les fonctionnaires ou les processus gouvernementaux pour influencer les politiques de manière inappropriée.
Surveillance de masse : le Royaume-Uni condamné par la CEDH
Projet véritas : les méthodes de censure de FaceBook
Université Citoyenne à Avignon les 5 et 6 juin 2021
Inscription de dernière minute : notre association sera présente et tiendra un stand les 5 et 6 juin au Parc des libertés. Au plaisir de se rencontrer et de partager.