Ciel Voilé
« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
Analyse d'UNE SEULE GOUTTELETTE de Pfizer sous un microscope optique, 31-10-22
Les mesures dites sanitaires ont été inutiles et dommageables, selon les meilleurs experts: comment sortir de l’impasse ?
TRIBUNE - John Ioannidis est l’une des grandes figures actuelles de l'épidémiologie. S’étant fait connaître en 2005 par un article intitulé « Pourquoi la plupart des résultats de recherche sont faux », rapidement devenu le plus téléchargé de la prestigieuse Public Library of Science, il avait alors ouvert un important et fécond débat autour de la qualité de la production scientifique.
Professeur de médecine, d’épidémiologie et de santé des populations ainsi qu’en sciences des données médicales à l'Université de Stanford, co-directeur du Meta-Research Innovation Center at Stanford (METRICS), Ioannidis est actuellement considéré comme la référence mondiale en matière d'épidémiologie et de santé publique. Homme humble et discret, il n'apparaît que rarement dans la presse ou sur les médias sociaux. Par contre, sa production scientifique est remarquable et figure parmi les plus citées par d'autres chercheurs.
Le Pr Ioannidis n'est pas resté inactif au cours de la crise du Covid-19. Il indiqua dès le 17 mars 2020 que nous étions probablement en train de nous orienter vers un fiasco sans précédent dans le recueil de données médicales. L'absence de catégories claires, le fourre-tout des morts « déclarés COVID » sans tenir compte des causes de décès, les errements autour de l'utilisation des tests PCR et des « cas asymptomatiques » lui firent dire très tôt que nous manquions des bons indicateurs pour évaluer la gravité de l'épidémie et la pertinence des mesures mises en œuvre.
En avril 2020, il donna pourtant avec une précision remarquable l'ordre de grandeur de la létalité du Sars-CoV-2, établissant qu'il n'était pas particulièrement inquiétant au regard des épidémies respiratoires habituelles. Ces analyses seront confirmées quelques mois plus tard et reprises très officiellement par l'OMS, puis encore révisées à la baisse récemment.
https://www.francesoir.fr/opinions/les-mesures-dites-sanitaires-ont-ete-inutiles
Guerre biologique imminente ? La Russie identifie des drones au-dessus de la ville portuaire ukrainienne de Kherson équipés de conteneurs capables de pulvériser des BIOAGENTS
Vendredi, 04 novembre 2022 par : Ethan Huff https://citizens.news/672140.html
Des preuves ont émergé pour suggérer que les opérations d'armes biologiques dirigées par les États-Unis et l'OTAN ont, en fait, lieu en Ukraine et dans les environs, et que les efforts de la Russie dans ce pays visent à démanteler cette menace biologique pour le monde.
Dans un récent discours, le représentant permanent de la Russie auprès des Nations Unies, Vassily Nebenzia, a révélé des informations inquiétantes sur ce qu'il a décrit comme des "véhicules aériens sans pilote équipés de conteneurs de 30 litres et de matériel pouvant être utilisé pour pulvériser des agents biologiques".
Trois de ces véhicules ont été identifiés le 9 mars dans la région portuaire de Kherson, en Ukraine. Environ un mois plus tard, 10 autres de ces mêmes drones ont été repérés dans la région de Kakhovka.
"Ces faits sont d'une importance particulière compte tenu d'une demande confirmée de la partie ukrainienne au fabricant de drones Bayraktar concernant la charge utile maximale des drones Bayraktar Akinci (portée de vol jusqu'à 300 km) et la possibilité de les équiper d'un système de production d'aérosols d'une capacité de plus de 20 litres", a expliqué M. Nebenzia.
Il s'avère qu'en date du 3 mars 2015, il existe un brevet américain, n° 8,967,029 B1, lié à ces armes étranges qui pourraient potentiellement transporter des armes biologiques en Ukraine.
Le brevet en question parle de la "libération aérienne des moustiques infectés, c'est-à-dire pour un dispositif (unité) conçu pour être appliqué comme un moyen technique de livraison et d'utilisation d'une arme biologique".
Ces armes biologiques comprennent "des agents immunobiologiques, des bactéries et des virus", y compris des variétés "hautement contagieuses" de chacun d'entre eux "qui pourraient anéantir 100 % des troupes ennemies."
En d'autres termes, il semble que les États-Unis tentent de libérer des armes biologiques aériennes au-dessus des troupes russes pour les tuer et empêcher l'"opération spéciale" de Vladimir Poutine en Ukraine d'atteindre la victoire. (Voir aussi : La guerre russe en Ukraine conduira-t-elle à la fin de la civilisation occidentale telle que nous la connaissons actuellement).
"Selon la description, un tel drone transporte un conteneur abritant un nombre énorme de moustiques transmetteurs d'infections pour les relâcher dans une zone désignée", explique encore Nebenzia. "Les personnes attaquées sont infectées par des maladies hautement contagieuses via les piqûres de moustiques".
"La description indique clairement qu'un militaire infecté ne sera pas en mesure de remplir la mission assignée, donc 'la maladie peut être un outil militaire plus précieux, que les armes et les équipements militaires les plus modernes.' Il est indiqué que "l'infection de la main-d'œuvre de l'ennemi de cette manière aurait un effet militaire important".
L'Ukraine a caché ces systèmes d'armes biologiques à la vue du public
La législation américaine exige que tout brevet délivré soit accompagné d'une description complète de l'assemblage réel de la machine telle qu'elle est utilisée. Cela laisse supposer que les États-Unis ont, en fait, créé et maintenant potentiellement libéré un système de véhicule aérien délivrant des agents biologiques pour l'utiliser comme arme contre la Russie.
L'Ukraine a commodément omis de mentionner toute cette activité ou les recherches couvrant ces programmes et projets, qui remontent à 2016. Cela inclut également l'utilisation des technologies UP-4, Flu-Flyway et P-781.
L'Ukraine a également omis de déclarer les financements qu'elle a reçus de services militaires d'États étrangers, qui sont requis "afin de prévenir ou de réduire l'apparition d'ambiguïtés, de doutes et de soupçons."
"Cela soulève la question d'une violation des obligations politiques concernant la soumission de données sur les mesures de confiance adoptées par les parties déclarées à la BTWC", a déclaré Nebenzia.
"Les rapports américains ne contiennent pas non plus de données sur les programmes et projets mis en œuvre en dehors du territoire national américain, ni sur leur financement. Nos appels répétés à la partie américaine pour qu'elle fournisse des explications exhaustives sur ces activités restent en substance sans retour. Ce secret et cette négligence des États-Unis à l'égard des revendications russes ne font que confirmer leur validité."
Les sections spécifiques de la BTWC que l'Ukraine et les États-Unis semblent enfreindre sont les articles 1 et 4.
Les rapports d'analyse du département de Kherson du Service de sécurité de l'Ukraine, datés du 30 juin 2016 et du 28 février 2017, confirment également ces violations, en liant Black & Veatch Special Projects Corp. à l'acquisition de laboratoires microbiologiques dans le territoire profond occupé par l'État ukrainien.
La Russie continue de soutenir que ces laboratoires financés par les États-Unis en Ukraine sont utilisés pour mener des recherches sur les agents pathogènes de maladies infectieuses "qui peuvent être utilisés pour créer ou moderniser des armes biologiques."
"Il est indiqué que le fait que les projets étaient subordonnés au département militaire d'un État étranger a créé des conditions préalables pour que les spécialistes étrangers puissent pénétrer dans les biolaboratoires régionaux et se familiariser avec les développements stratégiques", a encore expliqué M. Nebenzia dans son discours.
En raison de tout cela, la Russie a présenté au Conseil de sécurité un projet de résolution demandant la création d'une commission chargée d'enquêter sur ses plaintes contre les États-Unis et l'Ukraine concernant ces questions.
"Pour l'instant, le projet est en cours de discussion au niveau des experts, et nous comptons sur son approbation et son adoption rapides", a ajouté M. Nebenzia.
Les sources de cet article incluent :
RussiaUN.ru
Patents.Google.com
NaturalNews.com
La Russie met en cause la gestion par les USA de l’ONU
RÉSEAU VOLTAIRE | 3 NOVEMBRE 2022
La Fédération de Russie a adressé une longue lettre aux 195 Etats membres des Nations unies décrivant ses difficultés pour obtenir des visas pour ses diplomates à l’Onu.
Elle souligne que Washington ne cache plus sa volonté de limiter le nombre de diplomates russes présents à l’Assemblée général et dans les différentes commissions. Elle dénonce des violations à l’accord de siège, c’est-à-dire aux obligations souscrites par les États-Unis pour accueillir le siège de l’Onu. Enfin, elle renvoie à la résolution 76/122, adoptée par l’Assemblée générale le 6 décembre 2021, qui rappelait déjà Washington à ses obligations.
https://www.voltairenet.org/article218366.html
Dr Peterson Pierre : injections inutiles
Retour à l'Eden - La destruction des sols et de notre équilibre biologique
Dr Christian VÉLOT: Covid-19, la vaccination à la loupe
Lettre ouverte au Collège des médecins du Québec et à la Direction générale de la santé publique du Québec
Le 19 octobre 2022 À :
Dr Luc Boileau, Directeur National de Santé Publique du Québec
Dr Mauril Gaudreault, Président du Collège des Médecins du Québec
Dr Marie-Claude Roy, Présidente de l’Association des pédiatres du Québec
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Pierre-Gerlier Forest, PDG de l’INSPQ
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Christian Dubé, ministre de la Santé du Québec
Les informations contenues dans ce texte sont vérifiables et proviennent des Centers for Disease Control (CDC), de la U.S. Food and Drug Administration (FDA) ainsi que des fabricants Pfizer et Moderna. Les principes à la base de ce texte sont ceux qu’on trouve dans le Code Civil du Québec, articles 10 et 11 et du Canada ainsi que le code de déontologie des médecins du Québec. Certains relèvent du Code de Nuremberg.
Le devoir personnel et incontournable du médecin, inscrit dans son code de déontologie, et auquel il ne peut se soustraire, lui impose de s’assurer qu’un consentement libre et éclairé soit obtenu de la part du patient. Libre signifie sans menace ni contrainte et, dans le cas d’un produit pharmaceutique expérimental, sans promotion aucune. Éclairé veut dire que le patient reçoit une information véridique, factuelle, complète et clairement exprimée. Le médecin a aussi le devoir déontologique de signaler des situations de santé publique à propos desquelles il juge que le public est mal protégé et/ou mal informé (articles 39 et 40 du code de déontologie des médecins).
Force est de constater que le public est mal servi à cet égard dans le contexte de la pandémie. On a présenté un produit expérimental de manipulation génique comme un « vaccin comme les autres ». On a présenté ce produit comme un « vaccin sûr et efficace ».
Maître Jacques Schroeter: Vaccins Covid — Un peuple gravement trompé par ses autorités
Le 3 novembre 2022 – mondialisation.ca
Lettre de l’avocat Jacques Schroeter au Conseil fédéral. Il accuse les autorités de déni face aux dégâts des mesures et des vaccins Covid. Et annonce des suites judiciaires possibles – notamment pour lésions corporelles et homicide.
Voici le texte intégral de la lettre adressée le 25 octobre 2022 au nom de 700 mandants par l’avocat valaisan au gouvernement. Intertitres de Covidhub.
Mesdames les Conseillères fédérales, Messieurs les Conseillers fédéraux,
Dans ma lettre du 24 août 2022, je vous demandais si le fait d’inoculer vos sujets d’une substance expérimentale pour laquelle vous n’aviez aucune connaissance sur les conséquences à long terme vous avait causé un cas de conscience et, si oui, ce que vous aviez fait de ce sentiment ?
A ce jour, je ne connais toujours pas votre point de vue sur le sujet. Mais nous y reviendrons plus loin.
Votre mensonge des «vaccins efficaces et sûrs à 95%»
Dans ma lettre suivante du 8 septembre 2022, je vous demandais si le fait d’avoir affirmé à vos sujets que vos pseudo « vaccins » étaient efficaces et sûrs à 95 %, alors que cela est un mensonge, et même un mensonge d’envergure, vous pose également un cas de conscience et, dans l’affirmative, si vous nourrissez quelques regrets d’avoir trompé vos administrés ?
Je n’ai pas plus de réponse de votre part à ce sujet.
L’absence de réponse serait-elle à mettre en rapport avec celle de la bonne conscience ? La question peut pour l’instant rester ouverte.