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Ciel Voilé
Avant la crise sanitaire, notre association diffusait de l'information essentiellement sur le contrôle en cours du climat, sur la géo-ingénierie en cours et sur la destruction, délibérée ou non, de l'atmosphère, du sol, de l'eau et de tout le vivant sur terre. Mais devant la démesure des décisions prises par tant de gouvernements qui semblent tous suivre la même feuille de route, devant les atteintes gravissimes au droit et aux libertés individuelles et collectives, devant les dévastations économiques sans précédent, nous donnons la parole à ceux que les médias aux ordres, ignorent ou censurent. Nous sommes les témoins d'un basculement de civilisation.
Appel de la CRIIRAD : Mobilisation contre les dangers des rayonnements ionisants
Consultation publique sur le projet de décret
relatif à la protection contre les dangers des rayonnements ionisants
La CRIIRAD appelle à se mobiliser contre l’adoption de niveaux de référence très élevés
pour la gestion des accidents nucléaires et de leurs conséquences.
Les autorités françaises s’apprêtent à fixer les critères de gestion des zones contaminées après un accident nucléaire (ou après un attentat affectant une installation nucléaire). Quel niveau d’exposition aux rayonnements, et donc de risque, sera pris en référence pour décider de la nécessité ou non d’engager telle ou telle action pour protéger la population ? Très concrètement : jusqu’à quel niveau de risque serez-vous condamné à vivre en zone contaminée ? À partir de quel niveau de risque pourrez-vous espérer être indemnisé et relogé dans un environnement sain ?
Les autorités françaises ont retenu les niveaux de dose efficace les plus élevés possible : 100 mSv pour la phase accidentelle et 20 mSv/an pour la phase poste accidentelle (alors que pour le public, la limite maximale de dose est normalement de 1 mSv/an et que cette valeur correspond déjà à un niveau de risque élevé). Plus les limites sont élevées, moindre sont les dépenses liées à la protection et à l’indemnisation des dommages. Ce choix est malheureusement cohérent avec le plafonnement des indemnités pour les victimes d’un accident nucléaire majeur. Le nucléaire est dispensé de l’application du principe pollueur-payeur : ce sont ses victimes qui supporteront les conséquences sanitaires et économiques de la catastrophe.
Cette décision n’arrive pas par hasard. Elle est le fruit de 20 ans d’efforts du lobby nucléaire, et plus précisément du lobby nucléaire français via son cheval de Troie, le CEPN[1]. L’idée clef est de convaincre les populations que l’on peut tout-à-fait vivre en zone contaminée. Il suffit d’un peu de formation et d’équipement pour contrôler son environnement, ses aliments. Ces experts ont juste « oublié » le problème central de la dégradation de l’état de santé des habitants, et tout particulièrement des enfants.
Si vous êtes choqué par l’image de ces enfants japonais qui portent autour du cou un dosimètre en guise de pendentif, si ce n’est pas l’avenir que vous souhaitez pour vos enfants, agissez !
Le Ministère de l’Environnement, de l’Energie et de la Mer a lancé une consultation sur le projet de décret relatif à la Directive 2013/59.. Cette consultation est une opportunité pour dénoncer les propositions que nous jugeons inacceptables et manifester d’ores et déjà nos exigences. Nous avons tardivement pris connaissance de cette consultation qui se terminera le 30 septembre.
Participez à la consultation publique
et dites NON à l’obligation de vivre en zone contaminée !
Comment participer à la consultation publique ?
Pour participer à la consultation, rendez-vous sur le site http://www.consultations-publiques.developpement-durable.gouv.fr/projet-de-decret-relatif-a-la-protection-sanitaire-a1504.html ou cliquez sur ce lien pour accéder à la page de présentation et donner votre avis.
Il vous faudra inscrire : un titre, un message, votre nom (ou pseudonyme) et votre adresse mail.
Vous pouvez rédiger vos propres messages ou utiliser des extraits de notre présentation ci-après :
Proposition de titre : « Accident nucléaire : des niveaux de référence inacceptables »
Proposition de message :
« Le projet de décret retient des niveaux de référence excessivement élevés pour la gestion des situations accidentelles et post-accidentelles. Je demande qu’ils soient fixés à la borne inférieure et non pas supérieure de l’intervalle défini par la directive 2013/59/Euratom sur la base des recommandations de la CIPR :
- 20 mSv et non pas 100 mSv pour la phase d’urgence
- 1 mSv/an et non pas 20 mSv/an pour la phase post-accidentelle.
Je demande également qu’une limite et non pas une simple référence soit établie pour la gestion des territoires contaminés et que des garanties spécifiques soient définies pour les enfants et les femmes enceintes.
Je refuse d’être contraint de vivre et de laisser vivre mes enfants dans un environnement aussi dangereux pour notre santé. Si les pouvoirs publics ne peuvent pas garantir un niveau de risque plus faible, il est impératif de mettre à l’arrêt les installations nucléaires susceptibles de conduire à cette situation. »
Attention, vos commentaires doivent être déposés d’ici le 30 septembre !
Merci de nous adresser un message une fois que vous aurez déposé votre commentaire sur le site du ministère à l’adresse contact@criirad.org !
La Directive traite de nombreux sujets que nous analyserons plus avant. D’autres actions seront mises en place dans les semaines qui viennent. Nous comptons d’ores et déjà sur votre aide pour les relayer !
En savoir plus sur les valeurs proposées par le décret
Commission de Recherche et d’Information Indépendantes sur la Radioactivité
CRIIRAD
29 Cours Manuel de Falla 26000 VALENCE- 04 75 41 82 50
Pétition : le secteur aéronautique doit réduire ses émissions, pas les compenser !
Pétition : le secteur aéronautique doit réduire ses émissions, pas les compenser !
mardi 20 septembre 2016, par Attac France
https://france.attac.org/se-mobiliser/changeons-systeme-pas-climat/article/petition-le-secteur-aeronautique-doit-reduire-ses-emissions-pas-les-compenser
L’aviation est un des deux seuls secteurs au monde sans objectif de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES). Il est même prévu que ses émissions augmentent de 300 % à 700 % d’ici à 2050 si rien n’est fait. Du 27 septembre au 7 octobre, à Montréal, l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI) a l’intention de repousser à 2027 tout véritable engagement, tout en introduisant de la compensation carbone. Avec de nombreuses autres organisations, nous rejetons cette proposition contradictoire avec l’impératif climatique et nous appelons l’OACI à réduire ses émissions sans tarder et à exclure, comme première étape, tout dispositif de compensation.
Les gaz à effet de serre issus du transport aérien ont doublé depuis 1990, faisant de l’aviation mondiale le septième plus gros pollueur au monde. C’est particulièrement disproportionné quand on sait que ces émissions sont causées par moins de 10 % de la population mondiale. Epargné par l’Accord de Paris (voir cet article), le secteur de l’aviation ne doit plus tarder pour se conformer à l’impératif climatique : la proposition de l’OACI, qui vise à atteindre une « croissance neutre en carbone », manque sérieusement d’ambition, notamment parce qu’elle repose principalement sur la compensation carbone.
La compensation carbone est un dérivatif facile pour qui ne veut pas réduire ses émissions de GES. Elle permet de se limiter à déplacer les émissions de GES d’un secteur à un autre avec à la clé, au mieux, un résultat nul. Si l’OACI prévoit la mise en œuvre de plusieurs principes pour que son dispositif de compensation évite notamment le double comptage et les préjudices aux populations locales, ils ne sont pas suffisants. L’expérience du Mécanisme de développement propre (MDP) a profondément et durablement discrédité l’idée selon laquelle la compensation pourrait offrir quelque bénéfice que ce soit du point de vue de la lutte contre les dérèglements climatique.
Les projets de compensation ont prouvé qu’ils n’étaient pas en mesure de respecter les principes posés par l’OACI. Ainsi, un nombre significatif de projets, notamment ceux visant à « réduire les émissions dues à la déforestation et à la dégradation des forêts » (REDD+), sont contestés, notamment par les populations locales, parce qu’ils font comme si l’agriculture paysanne et l’utilisation de la forêt par les peuples autochtones étaient responsables de la déforestation, tout en gardant le silence sur les causes réelles de la destruction à grande échelle de la forêt. Les projets REDD+ imposent des restrictions sur l’utilisation actuelle des terres, dans le but de générer des crédits carbone utilisés dans le cadre de dispositifs de compensation. En introduisant un dispositif mondial de compensation, l’OACI ne ferait qu’aggraver la situation.
Les organisations à l’initiative de la pétition ci-dessous et signataires de la déclaration publiée au mois d’avril, exigent des membres de l’OACI de s’assurer que les mesures qui seront adoptées à Montréal représentent une contribution juste et adaptée à l’effort global pour limiter le réchauffement climatique en dessous de 2°C, ou idéalement en-deçà de 1,5°C comme le prévoit l’article 2 de l’Accord de Paris. Il ne saurait y avoir de propositions sérieuses sans objectif contraignant et ambitieux de réduction d’émissions, et ce, sans utilisation de la compensation carbone.
Le gouvernement français, en tant que président de la COP 21, ne doit pas accepter un dispositif de compensation carbone qui ne ferait que nous éloigner des objectifs fixés dans le cadre de l’Accord de Paris : sans objectifs clairs et sans règles strictes, un accord de l’OACI sur le climat sera un vol sans destination d’arrivée.
Signez la pétition !
Pour en savoir plus
- Notre prise de position, avec 80 organisations internationales, en avril 2016 ;
- Une vidéo : devenez un sauver du climat (la compensation expliquée à ceux qui découvrent) ;
- Un site parodique en français.
Regardez le ciel !
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Martigues le 8 octobre 2016 : projection du film "Bye Bye Blue Sky"
Projection du film
« Bye bye blue sky »
A Martigues
Suivi d’un débat animé par Cyril et Sylvie de l’Association Ciel voilé
Thème : Géo-ingénierie, manipulation du climat, épandages chimiques aériens
Venez-vous informer et débattre du phénomène de la géo-ingénierie.
Samedi 8 octobre 2016 à 16h
Maison pour tous de Saint Julien
Chemin des boules - Martigues
Entrée libre et gratuite - collation
Contact : ciel.voile@orange.fr - site : www.cielvoile.fr