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Ciel Voilé

Résultat pour “effet secondaire en attente”

Nouvelle-Zélande : Décès en hausse de 14 %. Naissances en baisse de 28%

4 Septembre 2023, 19:50pm

Nouvelle-Zélande : Décès en hausse de 14 %. Naissances en baisse de 28%

Décès en hausse de 14 %. Naissances en baisse de 28%. Invalidité en hausse de 37 %. Réveillez-vous, politiciens !

 


Guy Hatchard - 1er septembre 2023

Les chiffres officiels des naissances et des décès en Nouvelle-Zélande entre le 1er juillet 2022 et le 30 juin 2023 ont été publiés. Le bref résumé accompagnant la publication des chiffres horribles les compare aux 12 mois précédents et fait état d’une augmentation des décès et d’une réduction des naissances vivantes. Les chiffres de 2022-23 auraient dûs être comparés à ceux de juillet 2018 à juin 2019, la première période pré-pandémique disponible. Nous rapportons cette comparaison ci-dessous.

Il y a eu 38 442 décès tous âges confondus de juillet 2022 à juin 2023, comparativement à 33 753 décès au cours de la période 2018-19. Il s’agit d’une augmentation de 4 689 décès (en hausse de 14 %) et équivaut à 90 décès excédentaires par semaine.

Les décès chez les 15 à 64 ans ont augmenté de 6%. Les chiffres publiés par l’Enquête sur la main-d’œuvre auprès des ménages indiquent que le taux d’incapacité suffisant pour empêcher l’entrée sur le marché du travail dans ce groupe d’âge a augmenté de 37,5 % au cours de la même période et s’élève maintenant à 14,3 % de la main-d’œuvre. C’est énorme. Pourquoi?

De manière alarmante, le nombre de naissances vivantes est passé de 26 500 en 2018/19 à 19 185 en 2022/23, soit une baisse de 7 400 ou 28%. Il s’agit d’une baisse sans précédent.

Les décès de Covid au cours de cette période étaient en moyenne d’environ deux à trois par semaine et peuvent être écartés comme un facteur causal de l’augmentation des décès. Le vieillissement de la population n’est pas non plus une explication suffisante de ces chiffres.

Nous sommes au courant de données comme celle-ci depuis un certain temps déjà, mais il y a eu un silence assourdissant de la part de nos politiciens, qui sont actuellement candidats à la réélection. Nous nous dirigeons vers cette élection sous des contraintes inhabituelles et coercitives qui n’ont pas de précédent dans notre histoire en tant que nation.

En raison des événements des trois dernières années, l’appareil gouvernemental a assumé plus de contrôle sur nos choix médicaux et alimentaires. Les chiffres des naissances et des décès doivent être considérés comme un verdict sur les politiques qui ont bénéficié d’un soutien de tous les partis.

En raison des politiques gouvernementales, nous avons perdu beaucoup de nos droits en tant que citoyens. Aucun des partis actuellement élus au Parlement n’a l’intention de révoquer la portée excessive du gouvernement. Alors, qu’est-ce qui a mal tourné et comment cela nous affectera-t-il si nous réélisons le même groupe de partis politiques au pouvoir?

Les politiques de lutte contre la pandémie ont créé un précédent permettant au gouvernement de faire respecter ses règles médicales. Ils ont forcé presque tout le monde à prendre des injections avec des taux élevés d’effets indésirables. Les restrictions à la circulation sociale et à la communication ont été normalisées. Les accords avec les fournisseurs de médias sociaux et la presse grand public ont censuré la disponibilité d’informations indépendantes et entravé le dialogue scientifique. L’accès aux données officielles de santé publique a été limité.

Le gouvernement a adopté le projet de loi sur les produits thérapeutiques qui a légitimé le remplacement de milliers d’ingrédients naturels par des alternatives synthétiques non testées sans exigences d’étiquetage clair. Le projet de loi facilite également les restrictions de dose et l’interdiction de nombreux produits et suppléments traditionnels à base de plantes au gré d’un bureaucrate.

Le gouvernement a autorisé l’ajout de fluore aux réserves d’eau publiques. Il a rendu obligatoire l’ajout de suppléments chimiques aux aliments de base, y compris une forme synthétique d’acide folique à la farine qui est difficile à métaboliser et inhibe certaines voies métaboliques vitales pour la santé.

Réélire des députés en exercice de n’importe quel parti est une prescription pour plus de la même chose. Nos politiciens actuels refusent de faire face à certains faits concrets. Nous sommes au milieu d’une urgence médicale aux proportions sans précédent. Nos hôpitaux sont débordés, nos politiciens se taisent.

Incroyablement, ces politiciens et tsars de la médecine continuent d’ignorer l’accumulation de preuves publiées dans des revues scientifiques savantes indiquant les effets indésirables des vaccins à ARNm. Malgré cela, le gouvernement continue de financer la publicité encourageant la population à recevoir d’autres injections de rappel. Ils ne fonctionnent pas et mettent en danger la santé.

Il n’est pas prévu d’enquêter sur ce qui a mal tourné. Il est temps de dire au revoir aux députés de tous les horizons politiques qui ont spectaculairement laissé tomber notre pays au moment où il en avait besoin. S’ils sont réélus, notre capacité à gérer nos propres choix en matière de santé disparaîtra pour de bon.

Le jugement sur leur compétence est là noir sur blanc à partir de leurs propres statistiques – décès en hausse de 14 % et naissances en baisse de 28 %. Il ne faut pas être un génie pour savoir où cela va. Des erreurs ont été commises et elles ne peuvent plus être cachées ou niées. Certaines questions difficiles doivent être posées et répondues.

Nos médias sont paresseux et dociles dans une dissimulation. Ils ont bénéficié du soutien du gouvernement.

Rien de tout cela n’est dans le caractère de notre nation ou dans son histoire. Il est temps de se réveiller.

 

https://www.conservativewoman.co.uk/deaths-up-14-births-down-28-disability-up-37-wake-up-politicians/

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JPMorgan Chase et BlackRock se retirent de l'alliance climatique massive de l'ONU par une décision étonnante

16 Février 2024, 20:48pm

JPMorgan Chase et BlackRock se retirent de l'alliance climatique massive de l'ONU par une décision étonnante

JPMorgan Chase affirme que ses efforts internes en matière de développement durable sont suffisants pour lutter contre le réchauffement climatique

Thomas Catenacci – Le 15 février 2024

JPMorgan Chase et les investisseurs institutionnels BlackRock et State Street Global Advisors (SSGA) ont annoncé jeudi qu'ils se retiraient ou, dans le cas de BlackRock, réduisaient considérablement leur participation à une alliance climatique massive des Nations Unies formée pour lutter contre le réchauffement climatique par le biais d'accords de durabilité des entreprises.

Dans un communiqué, la société JPMorgan Chase, basée à New York, a expliqué qu'elle quitterait le groupe d'investisseurs dit Climate Action 100+ en raison de l'expansion de son équipe interne en matière de développement durable et de la mise en place de son cadre de gestion des risques climatiques au cours des dernières années. BlackRock et State Street, qui gèrent tous deux des milliards de dollars d'actifs, ont déclaré que les initiatives climatiques de l'alliance étaient allées trop loin, exprimant également leurs inquiétudes quant à d'éventuels problèmes juridiques.

Ces annonces étonnantes surviennent alors que les plus grandes institutions financières aux États-Unis et dans le monde font face à une vague de pression de la part des défenseurs des consommateurs et des États républicains concernant leurs priorités environnementales, sociales et de gouvernance (ESG).

"La société a constitué une équipe de 40 professionnels dédiés à l'investissement durable, y compris des spécialistes de la gestion des investissements qui s'appuient également sur l'une des plus grandes équipes de recherche côté acheteur du secteur", a déclaré la banque dans un communiqué partagé avec FOX Business. "Compte tenu de ces atouts et de l'évolution de ses propres capacités de gestion, JPMAM (JP Morgan Asset Management) a décidé de ne plus participer aux engagements Climate Action 100+."


 

BlackRock, quant à lui, a retiré ses activités américaines du Climate Action 100+, transférant son implication dans l'alliance vers la plus petite entité internationale de BlackRock où une majorité de clients poursuivent des objectifs de décarbonation, a rapporté jeudi le Financial Times pour la première fois. Un porte-parole de BlackRock a confirmé à FOX Business que cette décision avait été prise au cours des dernières semaines.

Et State Street a déclaré que sa sortie de l'alliance était due au fait que les engagements de la « phase 2 » de Climate Action 100+ étaient en conflit avec les politiques d'investissement internes de l'entreprise.


 

"SSGA a conclu que les exigences renforcées de la phase 2 de Climate Action 100+ pour les signataires ne sont pas cohérentes avec notre approche indépendante du vote par procuration et de l'engagement des sociétés de portefeuille", a déclaré State Street dans un communiqué, selon le Financial Times.


 

Climate Action 100+ a été officiellement créé en décembre 2017 à l'ONU dans le but d'aligner les plus grands financiers du secteur privé au monde en faveur des producteurs de gaz à effet de serre. Depuis sa création, l’association s’est élargie pour inclure plus de 700 institutions financières qui sont collectivement responsables d’un montant stupéfiant de 68 000 milliards de dollars d’actifs sous gestion.

Le groupe – qui est supervisé par un comité directeur non gouvernemental composé de militants ESG – appelle ses membres à impliquer les entreprises dans « l'amélioration de la gouvernance en matière de changement climatique », la réduction des émissions de carbone et le renforcement des politiques de divulgation financière liées au climat. Ses actions visent largement les investissements bénéficiant à l’industrie pétrolière et gazière, tout en stimulant les stratégies d’investissement dans les énergies vertes.

La stratégie « phase 2 » de Climate Action 100+, qui devait être mise en œuvre plus tard cette année, appelle les investisseurs membres à s'engager activement auprès des entreprises pour réduire leur empreinte carbone.

"Plus de 700 investisseurs se sont engagés à gérer le risque climatique et à préserver la valeur actionnariale grâce à leur participation à l'initiative", a déclaré jeudi un porte-parole de Climate Action 100+ à FOX Business. « Depuis sa création, Climate Action 100+ a connu une croissance remarquable – et cela n'a fait que se poursuivre. »

"L'initiative est récemment entrée dans sa deuxième phase, qui offre aux investisseurs signataires davantage de moyens de participer", a poursuivi le porte-parole. " Rien qu'à l'automne dernier, plus de 60 nouveaux signataires nous ont rejoint, et nous prévoyons que l'intérêt continuera de croître. "

Climate Action 100+, en plus d'autres alliances mondiales pour le climat et de réseaux d'investisseurs, a suscité la colère des États républicains et des législateurs qui ont fait valoir que leurs activités pourraient empiéter sur l'élaboration des politiques gouvernementales. Ils ont également averti que ces associations nuisaient aux sociétés énergétiques nationales qui emploient des milliers d’Américains et garantissent des prix à la consommation bas.

En juin, Jim Jordan, président du pouvoir judiciaire de la Chambre des représentants de l'Ohio, a assigné à comparaître Ceres, une organisation de défense à but non lucratif qui aide à superviser Climate Action 100+, alléguant que le groupe pourrait faciliter la collusion par le biais de ses initiatives axées sur le climat, en violation des lois américaines.


 

"Les décisions prises aujourd'hui par JPMorgan et State Street sont de grandes victoires pour la liberté et l'économie américaine, et nous espérons que davantage d'institutions financières emboîteront le pas en abandonnant les actions ESG collusoires", a écrit Jordan jeudi dans un article sur les réseaux sociaux sur X.


 

De plus, les procureurs généraux des États, les responsables financiers et les commissaires à l'agriculture se sont regroupés ces derniers mois pour menacer de poursuites judiciaires liées à l'implication des banques dans des alliances climatiques.

"Le départ de JPMorgan, State Street et BlackRock est un pas nécessaire dans la bonne direction, mais les consommateurs devraient attendre pour faire à nouveau confiance à ces sociétés", a déclaré Will Hild, directeur exécutif de Consumers Research. "En quittant le cartel climatique Climate Action 100+, ils signalent que les actions de millions de consommateurs et de dizaines d'élus ont un effet."

"Ces sociétés de gestion d'actifs ont clairement peur de la mauvaise presse et des poursuites judiciaires engagées contre leur campagne destructrice de zéro net", a ajouté Hild.


 

https://www.foxbusiness.com/politics/jpmorgan-chase-drops-out-of-massive-un-climate-alliance-in-stunning-move


 

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Accord France Ukraine : lettre à un député de Corrèze

12 Mars 2024, 16:35pm

Accord France Ukraine : lettre à un député de Corrèze

ACCORD DE COOPERATION DE SECURITE FRANCO-UKRAINIEN - 2024

 

 

Monsieur le Député,

 

Lors de la séance à l’Assemblée Nationale du mardi 12 mars après-midi courant, vous allez être amené à vous exprimer, a posteriori, sur l’Accord de Coopération franco-ukrainien en matière de sécurité, signé par le Président de la République et son homologue ukrainien le 16 février dernier, soit sans consultation préalable du Parlement !

Accord signé en toute illégalité, puisque contraire à l’Article 53 de la Constitution de la 5ème République, qui stipule :

  • « Les traités de Paix, les traités de commerce, les traités ou accords relatifs à l’organisation internationale, ceux qui engagent les finances de l’Etat, ceux qui modifient les dispositions de nature législative, ceux qui sont relatifs à l’état des personnes, ceux qui comportent échange, cession ou adjonction de territoire, ne peuvent être ratifiés ou approuvés qu’en vertu d’une loi.

Ils ne prennent effet qu’après avoir été ratifiés ou approuvés.

Nulle cession, nul échange, nulle adjonction de territoire n’est valable sans le consentement des populations intéressées. »

Ainsi, en violation flagrante de la Constitution, (M. Le Président de la République n’en est malheureusement pas à son coup d’essai), le Président dont le rôle absolu est de garantir l’application stricte des articles de la Constitution, a passé outre cette obligation !

Et vous demande a posteriori de vous exprimez dans le cadre de l’Article 50-1 de la Constitution, sur cet accord. Mais l’Article 50-1 est non contraignant pour l’exécutif, c’est pourquoi il a choisi cette procédure, le Président ayant déjà signé cet accord, sans consulter par un débat et un vote préalable obligeant et contraignant, le Parlement.

La France a fourni en 2022 à l’Ukraine une aide militaire de 1,7 Mds d’euros et de 2,2 Mds d’euros en 2023. Auxquels se rajouteraient 3 Mds d’euros en 2024, et sans exclure davantage les années futures ! Et sachant que dans le cadre de l’aide de l’UE de 50 Mds d’euros accordés en 2023 pour les années à venir (dont 17 Mds de dons), la France est contributrice à hauteur de 17%, soit 8,5 Mds d’euros !! Sans oublier les 83 Mds d’euros déjà accordés par l’UE à l’Ukraine depuis le début du conflit en février 2022 pour la période 2022/2023 (majoritairement des dons), soit 14 Mds pour la France.

A l’instant même où le Ministre des Finances cherche 10 Mds d’économies pour boucler le budget 2024. Effarant. Oui, nous sommes bien malheureusement en économie de guerre !

Au moment même, où les Services Publics et Institutions sociales en France subissent tous des réductions budgétaires de fonctionnement et d’investissements, Santé, Education, Services sociaux, Sécurité Sociale, etc.., où le nombre de pauvres explose dans notre pays, où le 1er ministre a calmé (temporairement) les agriculteurs avec 450 Millions d’euros très nettement insuffisants, ceux-là mêmes demandant avant tout, au-delà d’aides urgentes, des prix rémunérateurs garantis pour vivre décemment.

Ce déversement honteux d’argent, insupportable, encore une fois le « quoi qu’il en coûte », sert à soutenir la guerre en réalité au détriment des deux Peuples, russe et ukrainien, et contrairement à ce qu’indique le Président de la République, cette guerre ne concerne pas la France !! La Russie n’a nullement l’intention d’envahir l’Europe et donc la France, ainsi que l’expliquent certains experts en géopolitique, et nombre d’anciens ministres et hauts fonctionnaires. Que d’arguments fallacieux de l’exécutif pour intervenir dans une partie de l’Europe, Europe que le Général de Gaulle avait savamment définie, l’intégrant dans sa formule du continent Européen, par ces mots, « de l’Atlantique à l’Oural ».

Par ce courrier, je me permets donc de vous demander Monsieur le Député, représentant de la 1ère Circonscription de la Corrèze :

  • de saisir dans les plus brefs délais le Conseil d’Etat afin de requérir l’application de l’Article 53 de la Constitution, au sujet de l’Accord de Sécurité avec l’Ukraine et rendre ainsi caduc cet accord signé préalablement à tout examen et vote du Parlement,

  • lorsque l’Article 53 sera examiné à l‘Assemblée selon la Constitution, de ne pas accorder un vote favorable à cet accord de sécurité, qui perpétue de fait cette guerre que refusent plus de 80% de nos concitoyens, en effet, est-ce ce projet d’avenir que l’on propose à notre jeunesse, la dernière guerre mondiale résonnant encore douloureusement dans les têtes et les esprits,

  • à défaut de pouvoir à l’heure actuelle examiner ce texte dans le cadre de l’Article 53, mais dans celui de l’Article 50-1 prévu à la séance de mardi 12 Mars, de déclarer celui-ci non conforme à l’exigence constitutionnelle, a fortiori de voter contre s’il était malgré tout maintenu et de demander la voie légale.

NON à la guerre !! Il est irresponsable de déclarer vouloir envoyer des troupes en Ukraine !!

Le Président de la République, depuis sa dernière élection en 2022 a-t-il jamais utilisé les mots « Négociations » et « PAIX » ? Non, jamais !!!

Je vous remercie Monsieur le Député d’avoir accordé de votre temps précieux à la lecture de mon courrier, et je ne doute pas de recevoir un accueil favorable de votre part à mes arguments.

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Député, l’expression de ma considération distinguée.

 

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La mortalité en Israël continue d'augmenter, contrairement à ce que dit le Parisien

28 Janvier 2021, 20:31pm

La mortalité en Israël continue d'augmenter, contrairement à ce que dit le Parisien
La mortalité en Israël continue d'augmenter, contrairement à ce que dit le Parisien

Publié le 28/01/2021 à 13:39 - Mise à jour à 17:54

Dr Gérard Delépine – France Soir


 

TRIBUNE : En Israël la mortalité Covid19 n’est pas nulle, mais a au contraire battu son record le 26 janvier !


 

La campagne médiatique glorifiant la campagne de vaccination israélienne sans s’intéresser à l’évolution de l’épidémie [1] nous oblige à revenir sur le sujet des contaminations et mortalité en Israel concomitants à la vaccination afin que nos lecteurs bénéficient d’une information équilibrée.

Une information mensongère

Un article du Parisien signé J. Cl. m’a particulièrement interpellé en affirmant : « Zéro, zéro. Ces dernières 24 heures, Israël n'a dénombré aucune nouvelle contamination et aucun nouveau mort du coronavirus. » Qui a pu le renseigner aussi mal ?  A-t-été trompé par un employé de Pfizer ? Il aurait dû vérifier ses informations parfaitement incompatibles avec les chiffres des dix jours précédents rappelés ci-après [3]. Ceci est particulièrement grave car les chaines de télévision ont diffusé ce même message, lui faisant probablement confiance.


 

Dans aucune épidémie de l’histoire ancienne et récente, n’a été observée en un jour une chute totale des contaminations de 4492 à zéro, ni de 79 décès à 0. L’invraisemblance de ces données aurait dû l’interpeller et justifier une vérification, règle d’or des journalistes d’enquête.

 

Un pari risqué

Le gouvernement israélien a réussi la prouesse de vacciner près de 3 millions de ses concitoyens en cinq semaines, mais a-t-il eu raison de les transformer si vite en cobayes ?

Du point de vue scientifique, c’est passionnant car il s’agit d’un essai thérapeutique phase 3 d’ampleur inégalée qui apportera les réponses aux questions auxquelles Pfizer n’a pas répondu par ses essais bâclés.

Mais d’un point de vue éthique et médical, c’est très discutable. L’association Médicale Mondiale dans la déclaration d’Helsinki rappelant les leçons de Nuremberg stipule qu’un traitement expérimental [4] ne doit être administré que s’il est susceptible de rendre un service personnel à celui qui le reçoit après une information loyale.

Or chez les moins de 45 ans sans comorbidité qui représente 70% des israéliens la balance avantages-risques ne peut être que défavorable ; en effet, à cet âge le risque naturel de la maladie est infime alors que des complications graves en particulier allergiques ont été observées et qu’on ne se sait toujours pas si le vaccin est susceptible d’empêcher les contaminations, ni s’il est capable de diminuer la mortalité. La surveillance serrée de l’épidémie en scrutant l’incidence des contaminations et de la mortalité après vaccination est donc capitale.

Et chez les personnes âgées à risques (qui sont extrêmement peu représentées dans les essais) les risques de complications vaccinales graves ont été mis en évidence par l’alerte lancée récemment par l’agence sanitaire norvégienne [5].


 

 

 

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Comment l’OMS a truqué les essais sur l’hydroxychloroquine en imposant des doses toxiques à des patients sous respirateurs.

23 Juin 2020, 05:51am

Publié par Cogito

Comment l’OMS a truqué les essais sur l’hydroxychloroquine en imposant des doses toxiques à des patients sous respirateurs.

Cogiito 22 juin 2020

 

Le Dr Meryl Nass découvre que des expériences d’hydroxychloroquine ont été conçues pour tuer des patients COVID – Combien ont-ils été assassinés ?

Le Covid-19 a transformé la santé publique en un effort expérimental mortel pour les patients

20 juin 2020, par le Dr Meryl Nass, MD

Traduction pour cogiito.com : PAJ

Non ce n’est pas de la Fake News comme le prétendront les fameux observateurs, c’est pire, c’est la révélation du complot de l’OMS contre le protocole du Professeur Raoult en détournant la science, ou comment faire passer l’Hydroxychloroquine pour un poison, tout est une question de dosage et de traitement à un moment donné de la maladie. Le Dr Nass découvre la supercherie de l’OMS et son crime pour détruire un médicament qui soigne au profit d’une stratégie mensongère afin de l’orienter vers la vaccination forcée.

Le professeur Raoult a toujours affirmé que l’Hydroxychloroquine devait être administrée immédiatement après les débuts de la contamination, mais pas plus tard ; qu’est-ce que fait l’OMS ?

L’OMS impose des protocoles d’Hydroxychloroquine à des doses toxiques à des patients sous respirateur, ce qui a pour conséquences des décès dont l’OMS se sert pour prétendre que l’Hydroxychloroquine ne fonctionne pas.

En effet, l’Hydroxychloroquine ne fonctionne pas dans les conditions d’essais de l’OMS, mais elle fonctionne parfaitement dans les conditions décrites par le Professeur Raoult, ce que confirme le Dr Meryl Nass. C’est pourquoi le Lancet a retiré son étude à charge sur l’Hydroxychloroquine, car la vérité était découverte.

Nous vivons une époque formi…Diable.

cogiito.com

Le Dr Meryl Nass a découvert le pot aux roses à travers des expériences d’hydroxychloroquine parrainées par le gouvernement et conçues pour tuer volontairement les patients hospitalisés de Covid-19 gravement malades, afin de discréditer l’hydroxychloroquine. 

Le 14 juin 2020,  le Dr Nass a identifié pour la première fois deux expériences Covid-19 dans lesquelles des doses massives et hautement toxiques – quatre fois plus élevées que l’innocuité de l’hydroxychloroquine étaient administrées à des patients hospitalisés gravement malades dans des unités de soins intensifs.

L’ Organisation mondiale de la santé a mené des actions de solidarité auprès de 3500 patients Covid-19 dans 400 hôpitaux de 35 pays. 

L’essai a été suspendu à la suite du rapport frauduleux de Surgisphere dans The Lancet qui faisait état de 35% de taux de mortalité plus élevés chez les patients recevant de l’hydroxychloroquine. 

Mais lorsque The Lancet a retiré son faux rapport, l’OMS a repris le procès d’intention par Solidarité. Plus de 100 pays ont exprimé leur intérêt à participer à ce procès.

 

 

 

 

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Ecole numérique sans ondes WIFI…

4 Juillet 2015, 13:34pm

Publié par ENSWO

Signez la pétition :

Introduction rédigée par les moutons enragés et article source de l'ENSWO

On n'en parlera jamais assez, les ondes WIFI sont dangereuses, et avec LINKY qui pointe à l’horizon, nos maisons et l’environnement en général, deviendront des centrales émettrices de ces ondes néfastes, quelles soient WIFI ou électromagnétiques. Des associations et des collectifs voient le jour un peu partout, pour refuser le déploiement de ces technologies qui sont néfastes à la santé, pas simplement de nos enfants mais de tous. Restez informés avec Robin des Toits, Next-Up, et les lanceurs d’alertes comme Annie Lobé journaliste scientifique, ou Annie Thébaud-Mony avec son livre « la science asservie ». Vous pouvez agir en écrivant à vos députés, les adresses sont disponibles, utilisez la liste des mails de tous les sénateurs et la liste des mails de tous les députés.

Le langage politique est destiné à rendre vraisemblable les mensonges, respectables les meurtres et à donner l’apparence de la solidité à ce qui n’est que vent. George Orwell

Ignorer les signes avant-coureurs ?

Depuis une quinzaine d’années, des collectifs de médecins s’organisent dans le monde entier pour alerter les autorités sanitaires et l’opinion publique sur les dangers des rayonnements du sans fil. Récemment, ces appels se sont multipliés, que ce soit en France ou en Belgique avec le 5e colloque de l’appel de Paris, ou en Allemagne avec le renouvellement de l’appel de Fribourg dix ans après leurs premiers avertissements ou encore en Amérique, en Angleterre, au Canada, en Suisse, en Finlande etc.

Sommes-nous réellement prêts à nous payer le luxe d’ignorer ces alertes, d’ailleurs de plus en plus pressantes et graves?

A l’ENSOW, nous prenons particulièrement en considération ces avertissements puisqu’ils émanent des médecins qui, contrairement à beaucoup d’experts, sont quotidiennement sur le terrain clinique, en contact réel et vivant avec leurs patients depuis le début du déploiement des technologies sans fil.

A l’ENSOW nous considérons que ces appels de médecins constituent une source particulièrement fiable et surtout indépendante en matière de clarification du risque de ces technologies, puisque les médecins n’ont aucun intérêt industriel ou militaire à protéger, ni rien à vendre qui touche de loin ces technologies.

Tout est déjà en place

Quel étrange air de déjà-vu, cette discordance entre d’un côté les experts des autorités sanitaires qui préfèrent s’appuyer sur les études qui ne trouvent pas « d’effet avéré » et de l’autre côté une multitude d’associations nationales, des ONG, des collectifs de scientifiques, des journalistes d’investigation, des juristes, des collectifs de citoyens qui s’engagent contre l’implantation d’antennes relais et pour finir des collectifs de médecins, qui, eux, alertent depuis une quinzaine d’années sur les dangers à court, moyen et long terme des radiations du sans fil. Il est aisé de constater que cette situation présente tous les ingrédients des autres scandales sanitaires qui ont marqué les 60 dernières années:

Ainsi nous sommes face à:

  1. une technologie d’importance systémique pour l’économie et l’industrie qui brasse des milliards, autrement dit: une reconnaissance du risque poserait un problème sur le plan de l’économie, des marchés financiers et de l’emploi.
  2. des malades en nombre croissant partout dans la monde
  3. des milliers de médecins dans chaque pays qui alertent depuis une dizaine d’années sur les liens constatés cliniquement entre ces ondes et les troubles de leurs patients
  4. plusieurs milliers d’études publiées à comité de lecture qui montrent des effets sanitaires, ainsi qu’un nombre croissant d’études répliquées (c’est-à-dire vérifiées par d’autres équipes de chercheurs qui ont trouvé les mêmes résultats)
  5. des centaines de scientifiques du monde entier qui lancent des appels aux autorités sanitaires nationales et mondiales depuis une quinzaine d’années
  6. un nombre croissant d’associations, ONG et collectifs qui se constituent depuis une vingtaine d’années
  7. les assurances qui n’assurent plus les risques sanitaires liés à la technologie sans fil depuis 12 ans déjà (oui, vous avez bien entendu, les opérateurs ne sont pas couverts par leurs polices de réassurance !)
  8. un discours officiel de déni qui, malgré tous ces indicateurs, demande toujours plus d’études pour « confirmer » un risque éventuel, comme si la science n’était pas capable en l’espace de deux décennies d’infirmer ou confirmer le risque liée à cette technologie. Annie Thébaud-Mony appelle cette stratégie: « la reconduction infinie du doute » ou encore « l’incertitude indéfiniment reconduite »
L’artifice du risque avéré

Nous avons là tous les éléments en place qui caractérisent un scandale sanitaire et qui ont caractérisé les scandales de l’amiante, du nucléaire, de l’essence plombée, des pesticides et j’en passe. Et à chaque fois, c’est la stratégie du doute mise en place par l’industrie qui empêche la juste reconnaissance du risque de se faire. Comment? En demandant un risque « avéré ».

« Le paradigme du doute s’impose toujours dans la communauté scientifique pour exiger des preuves d’un risque avéré. Année après année, des résultats qui pourraient constituer un appui à la prévention sont systématiquement contestés: l’expérimentation animale ne serait pas pertinente, les données humaines ne seraient pas représentatives et les données d’exposition ne seraient pas fiables.

La complexité du vivant résiste cependant à une interprétation mécanique simple (voire simpliste) de cette action des toxiques dans l’organisme. Cette complexité est mise à profit par les industriels pour exiger des « preuves », souvent scientifiquement inaccessibles, et surtout dénuées de sens face à l’évidence du danger. »
La Science Asservie, Annie Thébaud-Mony

Demander un risque avéré revient donc à demander un niveau de preuve scientifiquement inaccessible.

[…]

Le conseil de l’Europe partage cette façon d’analyser la situation. Ainsi, on peut lire dans sa résolution 1815 datant de 2011:

« Attendre des hauts niveaux de preuves scientifiques et cliniques avant d’agir pour prévenir des risques bien connus peut entraîner des coûts très élevés en terme de santé et d’économie, comme ce fut le cas avec l’amiante, l’essence au plomb et le tabac. »

En résumé, en quoi consiste alors cette stratégie du doute? Grâce aux travaux d’Annie Thébaud-Mony, aux investigations du spécialiste du lobbying Roger Lenglet et grâce aux rapports de l’Agence Européenne pour l’Environnement, on peut résumer cette stratégie en 7 points:

  1. discréditer systématiquement les études scientifiques qui trouvent un impact sanitaire
  2. dépêcher immédiatement un étude négative en réponse à une nouvelle étude qui met en évidence des effets sur la santé
  3. si ce n’est pas possible, discréditer et mettre en question la compétence des scientifiques ayant mené cette étude ou alors mettre en question leurs méthodes
  4. proposer une autre interprétation d’études positives
  5. essayer d’influer sur la perception de ce qui est considéré comme « bonne science » et changer les pratiques scientifiques à l’avantage de l’industrie (ce que l’industrie du tabac a effectivement réussi)
  6. créer des fondations “indépendantes” de recherche qui conduisent des études ne trouvant systématiquement aucun effet négatif sur la santé
  7. demander toujours plus d’études scientifiques pour confirmer, ce qui maintient dans l’opinion publique l’impression d’une incertitude.
Un signe précoce à ne pas ignorer: les médecins et leurs patients…..


L’appel de Fribourg en 2002 (plus de 1000 médecins signataires) n’est qu'un exemple de ces signes avant-coureurs. Dix ans après leur premier appel, les médecins de l’appel de Fribourg réitèrent leur appel en 2012. C’est un signal fort, puisque leur message prend le contre-pied de ce qu'affirme Eduscol dans sa circulaire à propos de l'installation de la Wifi dans les salles de classe. Eduscol se base sur une interprétation biaisée du rapport de l'ANSES de 2013 et affirme carrément qu'il n'y a aucun danger. Or, les médecins de l'appel de Fribourg et bien d'autres affirment qu'il y a un lien direct clair entre l'apparition de troubles de la santé chez leurs patients et l'exposition aux radiofréquences pulsées:

« De plus en plus fréquemment, on observe également une relation temporelle et spatiale claire entre l'apparition de ces symptômes, les troubles et le début d'une exposition à des radiations. »

C'est-à-dire que les médecins ont constaté l'apparition ou la disparition des troubles selon deux facteurs: le temps et l'espace.
Le temps: ils constatent que les troubles ont commencé après un déménagement dans un appartement ou une maison très exposés (Wifi des voisins, antenne de téléphonie mobile, téléphone fixe sans fil des voisins qui rayonnent souvent très loin à des niveaux bibliques).
L'espace: les troubles de leurs patients disparaissent dès lors qu'ils passent quelques jours dans des endroits non-exposés.

De quels troubles s'agit-il? Voici les symptômes recensés dans leur appel:

« Nous observons actuellement une augmentation inquiétante des problèmes de:

  • santé mentale (dépression, anxiété, crise de panique)
  • trouble du sommeil, épuisement
  • accidents vasculaires cérébraux chez des personnes jeunes
  • troubles neuro-dégénératifs (apparition précoce de syndromes de démence)
  • céphalées
  • acouphènes
  • autisme
  • troubles de l'apprentissage
  • problèmes de concentration
  • troubles du comportement
  • augmentation régulière des allergies
  • problèmes de peau
  • syndromes douleureux
  • sensibilité aux infections
  • hypertension artérielle
  • troubles du métabolisme »

Ces troubles coïncident comme par hasard avec la recherche indépendante et ces études positives qui mettent en lumière une action néfaste sur

  • le système nerveux
  • la barrière hémato-encéphalique censée protéger le cerveau d'intrus
  • la perturbation de la communication cellulaire et moléculaire
  • les gènes
  • les système cardiovasculaire
  • le sommeil (action sur la mélatonine)
  • etc.

Les médecins précisent également:

« Les enfants et les adolescents sont plus vulnérables. Après la leucémie, les tumeurs du cerveau sont la seconde cause de cancer chez l'enfant. En Europe, le taux de cancer chez l'adolescent a augmenté de 1,5% par an. En Angleterre, les tumeurs du lobe frontal et temporal ont significativement augmenté entre 1999 et 2009. Les enfants affichent de plus en plus un comportement addictif quant à l'utilisation de leur portable et des technologies sans fil. De nombreux appels et résolutions appellent pourtant à une protection spécifique des enfants et des adolescents (Résolution 1815 de 2011 du Conseil de l'Europe). »

Nous rappelons que de tels appels se sont multipliés ces derniers temps dans le monde entier. Voici quelques appels importants:

  • 2002: l'appel de Fribourg: plus de 1000 médecins et plus de 36.000 supporters
  • 2005: appel de Helsinki
  • 2007: appel de Bruxelles
  • 2009: Le SMG signe un appel contre l'Académie de Médecine
  • 2009: appel de Paris (Artac)
  • 2010: appel international de Würzburg
  • 2012: 2e appel de Fribourg
  • 2012: 1500 médecins suisses demandent des valeurs limites plus strictes
  • 2012: En GB des associations médicales appellent à des technologies plus sûres dans les écoles
  • 2012: 2500 médecins de l'Association Santé Environnement France interpellent dans une lettre ouverte les parlementaires
  • 2013: l'Académie américaine de pédiatrie
  • 2013: l'Académie américaine de médcine environnementale contre le Wifi à l'école
  • 2015: appel international de 206 scientifiques renommés à l'ONU et l'OMS dont le message se fait particulièrement pressant.
  • 2015: réitération de l'appel de Paris, sur lequel nous avons écrit un article

Alors, sommes-nous réellement prêts

à ignorer ces signes avant-coureurs ?


Les mêmes signes précoces existaient pour tant d'autres technologies et produits industriels dont l'importance économique a empêché la reconnaissance du risque sanitaire avant qu'il ne soit trop tard. Il est hautement improbable que tous ces signes ne soient finalement que des avertissements sans fond. L'histoire industrielle en est la preuve puisqu'il n'a jamais existé une telle mobilisation de médecins, scientifiques et citoyens autour d'une toxine qui s'est finalement révélée infondée. Jamais de toute l'histoire industrielle avait-on pris des mesures de précaution qui se sont finalement révélées inutiles...

Est-ce que le bon sens ne nous impose alors pas de prendre des précautions pour nous-mêmes et tout au moins pour nos enfants ?

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Ondes : Projet de loi en faveur des opérateurs ?

7 Octobre 2018, 18:43pm

Publié par priartem

Ondes : Projet de loi en faveur des opérateurs ?

Communiqué de presse de Priartem

Ondes et santé : qui a peur de la recherche indépendante ?

La suppression de la taxe parafiscale dédiée au financement des mesures des niveaux d’expositions et à celui des recherches sur les radiofréquences, serait selon nos informations, inscrite dans le projet de loi de Finances qui doit être débattu à l’Assemblée Nationale dans les semaines qui viennent. Si cette suppression est actée, il s’agira d’un cadeau de plus fait aux opérateurs après celui lié au renouvellement de leur licence (accord Gouvernement/ARCEP/Opérateurs) et il s’agira « en même temps » d’un très mauvais coup porté au dossier « ondes et santé ».

 

Cette taxe parafiscale a été créée en 2010, suite au Grenelle des ondes qui avait conclu qu’il fallait instituer un sas vertueux entre le pilotage des mesures d’exposition, d’une part, des orientations de recherche, d’autre part, et leur financement par les opérateurs. C’est ainsi que la gestion d’une partie du fond perçu, celle dédiée aux mesures, a été attribuée à l’ANFR, l’ANSES récupérant la partie dédiée à la recherche.

 

Il faut ajouter que les montants fixés, - 7 millions d’euros à la création de la taxe - constituaient, pour les opérateurs une contribution très modique mais ils répondaient, fort justement, au principe du « pollueur/payeur » auquel PRIARTEM est très attachée.

 

Malgré ce caractère modique au regard des chiffres d’affaires des opérateurs, cette taxe a permis, depuis sa création, que ni les campagnes de mesures, ni les appels à projets de recherche ne soient freinés par des limites financières trop drastiques.

 

Et bien c’est ce processus vertueux que le gouvernement veut supprimer.

 

« Alors, bien sûr, comme c’est souvent le cas, il va nous être proposé, dans un premier temps des mesures compensatoires prises sur le budget de l’Etat, souligne Janine LE CALVEZ, Vice-Présidente de PRIARTEM. Mais cette option ne peut nous satisfaire. D’abord elle dédouanerait les opérateurs-pollueurs d’être les contributeurs à l’effort de connaissance et de recherche en faisant porter l’effort sur les contribuables. »

 

" En outre, poursuit Sophie PELLETIER, Présidente de PRIARTEM rien ne nous garantit d'une pérennité au-delà de la première année car cet effort budgétaire sera nécessairement soumis aux aléas des arbitrages politiques. Vu le contexte, cela serait la mort annoncée, à petit feu, de la recherche publique française sur l'impact des ondes sur la santé. Au moment où les usages explosent, notamment chez les jeunes, et où la reconnaissance des effets progresse à grands pas, c'est d'un cynisme sidérant ».

 

PRIARTEM va saisir les députés afin qu’une correction puisse être apportée à la loi de finances et que soit rétablie la taxe visée et même que son assiette soit élargie. Seule une stabilité des financements de la recherche peut permettre un développement des équipes de recherche indépendantes sur ce domaine d'intérêt majeur pour la santé publique.

 

Contact presse :

PRIARTEM : 01 42 47 81 54

 

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Covid-19 : Un Meurtre social qui en prépare un plus violent

11 Février 2021, 18:42pm

Covid-19 : Un Meurtre social qui en prépare un plus violent

 

Dr Nicole Delépine – Le 11 février 2021

Covid-19 : Un Meurtre social qui en prépare un plus violent [1]

Invitée de BFM Business et BFMTV le 7 février 2021, Christine Lagarde a réagi à la proposition de plus de 100 économistes d’annuler les dettes publiques détenues par la BCE. Elle a donné un veto absolu. Ce ne serait pas légal !

ATTENTION, le GRAND RESET ARRIVE si nous n’y prenons pas suffisamment garde et nous laissons « enfumer » au sens propre par les variantes de la manipulation des variants Véran et autres docteurs TV trop désireux de garder leur place sur le petit écran en vendant leurs âmes aux diables.[2]

Mais la révolte gronde

Tout ne sera peut-être pas aussi simple que les adeptes de la clique de Davos semblent le penser. On peut être étonné de l’article récent du BMJ[3] jadis obéissant à la secte Covid, qui a laissé passer cet article terrible sur « l’organisation du meurtre social » selon leur expression, via le leurre covid19.

« Le « meurtre social » des populations est plus qu’une relique d’une époque révolue. Il est très réel aujourd’hui, exposé et magnifié par covid-19. Il ne peut pas être ignoré ou laisser filer. Les politiciens doivent rendre des comptes par des moyens légaux et électoraux, en effet par tous les moyens constitutionnels nationaux et internationaux nécessaires. Les échecs de l’État qui nous ont conduits à deux millions de morts sont des « actions » et des « inactions » qui devraient tous nous faire honte. »
LA GESTION INTERNATIONALE DE LA PANDÉMIE OU PSEUDO PANDÉMIE COVID NOUS RAMÈNE A DES TEMPS RÉVOLUS
« À tout le moins, covid-19 pourrait être classé comme « assassinat social », comme l’ont récemment expliqué deux professeurs de criminologie ».

ASSASSINAT CAR PRÉMÉDITÉE COMME LES DOCUMENTS QUI APPARAISSENT VIA LES AVOCATS FUELLMICH ET CIE le montrent : les faux tests PCR n’étaient pas une erreur, mais une technique de manipulation de masse, la diffusion répétée que les bien portants transformés en asymptomatiques pourraient être contagieux est une manipulation réfléchie et organisée par le conseiller Drosten[4] pour le ministère allemand et Mme Merkel et finalement dans le monde entier via l’OMS.

« Le philosophe Friedrich Engels a inventé le concept en décrivant le pouvoir politique et social détenu par l’élite dirigeante sur les classes ouvrières dans l’Angleterre du XIXe siècle. Son argument était que les conditions créées par les classes privilégiées ont inévitablement conduit à la mort prématurée et « contre nature » des humains parmi les classes les plus pauvres.

Dans The Road to Wigan Pier, George Orwell a fait écho à ces thèmes en décrivant la vie et les conditions de vie des gens de la classe ouvrière dans le nord industriel de l’Angleterre. Aujourd’hui, le « meurtre social » peut décrire le manque d’attention politique aux déterminants sociaux et aux inégalités qu’exacerbe la pandémie. »

Combien de décès excessifs faut-il pour qu’un conseiller scientifique ou médical en chef démissionne ? Combien de temps faut-il pour tester et retracer l’échec public avant qu’un ministre de la Santé ou un conseiller en chef ne se démette ? Combien de contrats lucratifs pour des tests diagnostiques non scientifiques attribués à des copains ou des erreurs dans la politique de l’éducation mèneront-ils à un licenciement ministériel ?

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Bill Gates achète d'énormes quantités de terres agricoles

17 Janvier 2021, 06:47am

Bill Gates achète d'énormes quantités de terres agricoles

Bill Gates achète d'énormes quantités de terres agricoles alors que le programme "Great Reset" affirme que l'avenir des Américains n'est pas une propriété privée

 

 

https://summit.news/2021/01/15/bill-gates-buying-up-huge-amount-of-farmland-while-great-reset-tells-americans-future-is-no-private-property/

 

 

Le féodalisme fait un retour en force au nom du progrès.

 

15 janvier 2021 Paul Joseph Watson

 

Alors que les technocrates du "Great Reset" disent aux Américains que l'avenir est un avenir sans propriété privée, Bill Gates et d'autres milliardaires ont acheté d'énormes quantités de terres agricoles.

 

En effet, Gates est aujourd'hui le plus grand propriétaire de terres agricoles en Amérique, selon un rapport de Forbes.

 

"Après des années de rapports selon lesquels il achetait des terres agricoles dans des endroits comme la Floride et Washington, The Land Report a révélé que Gates, qui a une valeur nette de près de 121 milliards de dollars selon Forbes, s'est constitué un énorme portefeuille de terres agricoles dans 18 États".

 

"Ses plus grandes exploitations se trouvent en Louisiane (69 071 acres), en Arkansas (47 927 acres) et au Nebraska (20 588 acres). De plus, il a une participation dans 25.750 acres de terres de transition à l'ouest de Phoenix, Arizona, qui est en train d'être développé comme une nouvelle banlieue".

 

Gates possède maintenant 242 000 acres de terres agricoles à travers les États-Unis, principalement "par le biais d'entités tierces par Cascade Investments, le véhicule d'investissement personnel de Gates".

 

Le plus grand propriétaire de terres agricoles aux États-Unis est désormais Bill Gates https://t.co/j9gW4zQ0Yh pic.twitter.com/0tZLJcGXfg - Forbes (@Forbes) 14 janvier 2021

 

Selon Forbes, on ne sait pas ce que Gates fait de ces terres et Cascade Investments a refusé de se prononcer sur la question.

 

En termes de propriétaires fonciers individuels, M. Gates est toujours loin derrière le magnat des médias John C. Malone, qui est en tête avec 2,2 millions d'acres de ranchs et de forêts et le fondateur de CNN Ted Turner, qui possède 2 millions d'acres de ranchs.

 

Jeff Bezos, d'Amazon, "investit également dans la terre à grande échelle", selon le rapport.

Les philanthropes et technocrates milliardaires qui acquièrent des terres à une vitesse accélérée semblent dire au grand public qu'à l'avenir la propriété privée cessera pratiquement d'exister.

 

Dans ses livres, le fondateur du Forum Economique Mondial et mondialiste Klaus Schwab indique clairement que la "quatrième révolution industrielle" ou "la grande réinitialisation" conduira à l'abolition de la propriété privée.

 

Ce message trouve un écho sur le site officiel du Forum Economique Mondial, qui déclare : "Bienvenue en l'an 2030. Bienvenue dans ma ville - ou devrais-je dire, "notre ville". Je ne possède rien. Je ne possède pas de voiture. Je ne possède pas de maison. Je ne possède pas d'appareils électroménagers ni de vêtements."

 

Apparemment, vous ne serez pas autorisé à posséder une propriété privée et votre seul recours sera de vivre dans un état de dépendance permanente vis-à-vis d'un petit nombre de riches élitistes qui possèderont tout.

 

C'est ce qu'on appelait autrefois le féodalisme, qui est une forme d'esclavage.

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Groupe Grothendieck, Avis aux chercheurs, aux professeurs, aux ingénieurs, 2020

9 Janvier 2021, 21:06pm

Groupe Grothendieck, Avis aux chercheurs, aux professeurs, aux ingénieurs, 2020

8 janvier 2021

Dix thèses sur la technoscience

 

I. À L’APPARENCE de calme élégiaque des universités et campus, où bourgeonne sur l’arbre de la connaissance les cerveaux de demain, correspond en réalité une machinerie infernale pompant nerfs, force de travail et ressources terrestres, avec rigueur et discipline, dans des laboratoires et des instituts où l’on transforme et désagrège plus que l’on étudie. Ces nouveaux temples, où les prêtres-experts propagent les mantras de la Vérité́ sous le nom de « connaissance scientifique », sont en liaison avec les autres arcanes du pouvoir que sont les militaires et les industriels et tout ceci forme la religion de notre époque. Cette religion, c’est la technoscience.

Même si ce Triangle de Fer (science-armée-industrie) mit plus de deux siècles à se constituer, son hégémonie – technoscience arrogante, forces armées sur-puissantes, industries tentaculaires – ne fût écrasante qu’avec la « 3e révolution industrielle », celle de l’atome et de l’informatique. Cette révolution débutant en 1945 sous les auspices annonciateurs de la mort nucléaire dont les noms d’Hiroshima et de Nagasaki sonnent comme le renoncement suprême. L’effort surhumain à produire une énergie inhumaine n’a pu être réalisé qu’en combinant le savoir et la méthode du scientifique, avec le génie pratique des ingénieurs militaires et l’appui manufacturier des grandes industries américaines. Tous trois disciplinés et managés dans un appareillage militaro-étatique et plateformés par l’outil informatique en cours d’élaboration. La science nucléaire et la cybernétique sont les deux disciplines d’où découle la plupart des sciences modernes.

 

II. EN FRANCE, sous l’ère gaulliste, de véritables structures militaro-scientifico-industrielles se mettent en place afin de produire la bombe atomique, l’énergie nucléaire, l’outil informatique et la force de frappe qui va avec. La concentration se cristallisa autour du Commissariat à l’énergie atomique (CEA, 1945) et de l’Office national d’études et de recherches aéronautiques (ONERA, 1946) et fût plus tard coordonnée au sein de la Direction générale de l’Armement (DGA, 1961). Ces instituts en retour, permirent le renforcement des pouvoirs du « monarque présidentiel » et de sa cohorte gouvernementale. Au niveau mondial, il se mit en place à cette époque un état de guerre permanent en temps de paix dont les États-Unis ont été et sont encore les chefs d’orchestre. En effet, le Victory Program (1942) qui permit aux Alliés de remporter la guerre, et sa suite le Manhattan Project (1943) qui permit d’en commencer une autre alors que la précédente n’était pas encore terminée (Guerre Froide), initièrent un changement d’échelle dans la concentration et la dépense d’énergie. C’est le début de ce que Alvin Weinberg, un chercheur du Manhattan Project nomma la « Big Science » :

 

 

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