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« Mais l'esprit est un élément mystérieux. Insaisissable et invisible comme l'air, il semble s'adapter docilement à toutes les formes et à toutes les formules. Et cela pousse sans cesse les natures despotiques à croire qu'on peut le comprimer, l'enfermer, le mettre en flacons. Pourtant toute pression provoque une contre-pression, et c'est précisément quand l'esprit est comprimé qu'il devient explosif: toute oppression mène tôt ou tard à la révolte. À la longue, et c'est là une éternelle consolation, l'indépendance morale de l'humanité reste Indestructible. Jamais jusqu'ici on n'a réussi à imposer d'une façon dictatoriale à toute la terre une seule religion, une seule philosophie, une unique conception du monde, et jamais on y réussira, car l'esprit saura toujours résister à l'asservissement, toujours il refusera de penser selon des formes prescrites, de s'abaisser, de s'aplatir, de se rapetisser et de se mettre au pas.» Stefan Zweig
climat
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Les scientifiques sont pris en flagrant délit : ils gonflent les pertes de glace de l'Antarctique de 3000% de plus que les observations
Kenneth Richard le 5. June 2023
https://notrickszone.com/2023/06/05/scientists-caught-inflating-antarctic-ice-losses-3000-more-than-observations/
Une nouvelle étude utilisant des observations satellitaires détermine que les plateaux de glace de l'Antarctique ont gagné 661 Gt de masse entre 2009 et 2019. Une approche reposant sur des hypothèses d'un "état stable" irréaliste ou d'un flux de vêlage fixe (au lieu d'observations réelles variables dans le temps) estime une perte nette de la plate-forme glaciaire de l'Antarctique de -20 028 Gt au cours de cette même période de 11 ans - une distorsion de plus de 30 fois la perte de glace observée.
Une nouvelle étude (Andreasen et al., 2023) utilise les données d'observation de MODIS pour évaluer les pertes nettes de glace et les gains pour 34 plateaux de glace dans l'Antarctique entre 2009 et 2019. Ces données d'observation montrent que les gains de masse de l'Antarctique de l'Est et des plateaux glaciaires de Ross et de Ronne-Filchner ont été plus importants que les pertes de masse de l'Antarctique de l'Ouest et de la péninsule. Par conséquent, l'Antarctique dans son ensemble gagne de la masse depuis 2009.
"Dans l'ensemble, la superficie des plateformes de glace de l'Antarctique a augmenté de 5 305 km² depuis 2009, avec 18 plateformes de glace qui ont reculé et 16 plateformes plus grandes dont la superficie a augmenté."
La plupart des études utilisent une approche alarmiste fondée sur l'hypothèse d'un état stable pour estimer les pertes de glace "en l'absence d'observations". Cela permet aux facilitateurs des estimations de la perte de glace de "surestimer la perte de glace sur les plates-formes glaciaires qui avancent".
Par exemple, en utilisant la méthode de "l'hypothèse de l'état stable", une perte nette de -20 028 Gt pourrait être alléguée pour les plates-formes glaciaires de l'Antarctique entre 2009 et 2019. Les observations satellitaires, en revanche, font état d'un gain de masse de +661 Gt au cours de cette même période.
Ainsi, les pertes de glace basées sur des hypothèses sont artificiellement gonflées de plus de 3 000 % par rapport aux observations, ce qui dénature de manière flagrante le comportement des plateformes de glace dans l'ensemble de l'Antarctique.
La pratique consistant à déformer les chiffres pour alimenter un récit a infiltré un autre aspect de la science du climat.
Source de l'image : Andreasen et al, 2023
James Corbett : le dogme du GIEC
Le réchauffement climatique et l’affrontement de l’Occident contre reste du monde
Thierry Meyssan – Paris le 6 juin 2023
La théorie de la cause anthropique du réchauffement climatique sera bientôt au centre de l’affrontement entre l’Occident et la Russie. Si personne ne conteste que certaines parties du monde se réchauffent, il n’y a pas pour le moment d’explication alternative à ce phénomène. Mais des scientifiques de renom en présenteront une autre à la COP-28 de Dubaï. Il se trouve que ce sont des membres de l’Académie des Sciences de Russie.
La théorie selon laquelle le réchauffement climatique serait observable sur l’ensemble de la planète et qu’elle serait provoquée par l’activité humaine a été popularisée par le Groupe intergouvernemental d’étude sur l’évolution du climat (GIEC) ; une commission des Nations unies.
Je n’ai aucune compétence en matière climatique et je ne me permets pas de juger si cette théorie est vraie ou fausse, mais je suis un expert en politique internationale et je peux évaluer le travail de cette commission des Nations unies.
Il y a une dizaine d’années, j’avais écrit que, comme son nom l’indique, le GIEC n’est absolument pas une académie savante, mais un groupe intergouvernemental [1]. Ses conclusions ne sont donc pas le fruit d’une démarche scientifique, mais d’un débat politique.
La suite :
https://www.voltairenet.org//article219410.html
Croissance du CO2 atmosphérique, deux nouvelles publications
8 août 2019atmosphère et CO2SCE-info
Prof. Dr. Jean N.
Les lecteurs fidèles de SCE savent désormais que les modèles théoriques sélectionnés par le GIEC ne conviennent pas pour expliquer l’évolution des rapports isotopiques du carbone dans l’atmosphère (articles du physicien J.C. Maurin : ici). Pour réconcilier observations et théorie il faudrait donc abandonner l’hypothèse selon laquelle la croissance du CO2 atmosphérique serait exclusivement anthropique. Mais admettons que vous ne soyez pas encore convaincus. Effectivement, vous consultez ici un site rédigé par des scientifiques, mais non pas un article publié dans un journal scientifique contrôlé par les pairs. Pour peut-être vous convaincre, sachez que deux articles sur le même sujet ont été publiés en juin 2019 dans des journaux scientifiques contrôlés par les pairs. Ces deux publications, indépendantes l’une de l’autre, sont écrites par des physiciens et sont en libre accès. Elles sont abordables et il ne faut pas être spécialiste en mathématiques pour bien les comprendre. Comme vous le verrez, ces publications rejoignent parfaitement la démonstration de J.C. Maurin récemment publiée dans SCE. Seront-elles prises en considération par le GIEC dans le futur AR6?
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La publication d’Edwin X. Berry de juin 2019 [1] .
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