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Ciel Voilé

Pandémie: l’invention d’une maladie appelée la peur. Perturber l’économie mondiale.

2 Avril 2020, 11:53am

Publié par Julian Rose

Pandémie: l’invention d’une maladie appelée la peur. Perturber l’économie mondiale.

Julian Rose - le 17 mars 2020. -

Traduit par le Saker Francophone le 31 mars 2020

 

Le mot «pandémic» présente une similitude avec le mot «panic» et bien-sûr «pandémonium». En fait, «pandémie» évoque une vague d’effroi presque instantanée chez ceux qui sont facilement manipulés par les médias de masse, avant même que des détails ne soient apparus en surface ou que le contexte dans lequel le mot est utilisé ne soit précisé.

Ceux qui contrôlent – ou planifient – les grands mouvements sur l’échiquier dissimulé du contrôle humain savent qu’en brandissant le mot «pandémie» ils ont une arme instantanément efficace à leur disposition pour affaiblir psychologiquement la résistance des individus vulnérables aux mentalités irrationnelles et facilement impressionnables.

Ainsi, dans un monde fortement conditionné par les proclamations des médias, l’arme de la peur a un énorme pouvoir psychologique.

Comme nous en avons tous été témoins au cours des derniers mois, l’histoire du Coronavirus a été déclenchée, avec une joie lascive à peine contenue, par les médias sous les ordres des pourvoyeurs de missions malveillantes contre l’humanité. Poussé au volume maximum et dispersé dans le monde, le message de peur délibérément conçu a pour effet immédiat de rendre la majorité des gens impuissants. Le gros problème est universel – et nous, les gens, nous sentons petits. C’est le début du piégeage qui colore tous les aspects de la vie quotidienne.

La majeure partie de l’humanité a subi un processus d’éducation qui dépend, pour son efficacité, de la perception du pouvoir dévolu à une certaine «autorité» pour exercer une influence incontestable sur la direction générale de la vie. Une source d’influence qui dépend, pour son efficacité permanente, de ne jamais être soumise à un examen rationnel ou à un véritable examen d’aucune sorte. Tel est le pouvoir envoûtant de l’endoctrinement total.

Dans la bataille qui fait rage pour savoir «qui contrôle le monde», certains des agents de contrôle de la vie planétaire en grande partie cachés ou déguisés apparaissent maintenant au grand jour. Et c’est pourquoi le chaos et la peur sont vraiment dans «l’air du temps». La contagion de la maladie Covid-19 est pleine à craquer d’idiosyncrasies ; en fait, il y a tellement de facteurs absurdes dans les tentatives des médias de rendre compte de ce qui se passe, que l’on ne peut que se sentir étourdi et confus si l’on essaie de suivre le script en temps réel.

Cependant, ce qui est devenu clair comme de l’eau de roche, c’est le fait qu’une immense quantité de personnes sont rassemblées en troupeau et paissent, sans résistance. Les tactiques d’effarouchement utilisées sont plus dangereuses que le virus qui est l’excuse pour les déployer. Dans cet état de psychose induite, toutes sortes de machinations peuvent être perpétrées contre l’humanité – et c’est précisément ce à quoi nous assistons en ce moment.

Beaucoup de ceux qui lisent ceci connaissent déjà les ambitions de l’élite de l’État profond dominant et savent qu’une phase pré-planifiée de chaos social et économique est un facteur clé dans leur tentative de déploiement du Nouvel ordre mondial totalitaire. Nous sommes maintenant dans cette phase. Son succès dépend du grand nombre de personnes qui suivent les instructions transmises par les marionnettes politiques de l’État profond et par la lâche répétition de ces instructions par les médias grand public.

Encore une fois, la carte de la peur joue un rôle clé. Cette fois, en gardant un niveau constant d’anxiété et d’hystérie en ébullition, tout en veillant à ce que ceux qui sont capables de reconnaître la vraie nature de l’arnaque soient contraints de rester alignés, risquant sinon leur emploi, leur sécurité ou leur statut au sein de la relation maître / esclave, rigoureusement renforcée, du statu quo.

L’ensemble de l’édifice malade maintient son assise par la tromperie et l’exploitation pure et simple. Pourtant, les exploités choisissent largement de ne pas être conscients du fait qu’ils sont utilisés et maltraités au profit d’un idéal fasciste. En ne se rebellant pas face à un tel traitement – mais en s’y conformant – une population muette établit la base de son propre avilissement et de son esclavage.

Ces méthodes ont été pratiquées maintes et maintes fois dans l’histoire du monde, et chaque fois la rétrospective révèle la motivation d’une obsession du pouvoir et du contrôle, et les auteurs, qui ne sont qu’un petit nombre de despotes psychopathes. Que cela prenne la forme d’un pouvoir militaire, d’un dogme religieux ou profane, ou de phénomènes modernes de management des entreprises et des banques, à condition que le drame soit bien géré sur la scène et que le pouvoir réussisse  à « terroriser », les hegemons arrivent à leurs fins.

Dans quelle mesure la mise en scène est-elle bien gérée à cette occasion – et quel est le plan ?

En raison des liens internationaux d’aujourd’hui, le «plan directeur» n’est plus une affaire régionale ou nationale, mais mondiale. Les principaux acteurs ont élaboré l’intrigue bien avant que chacun d’entre nous ne le sache et des réunions comme le Forum économique de Davos et les réunions de Bilderberg sont utilisées pour forger un consensus sur le calendrier et les méthodes à employer.

Dans le cas de Covid-19, son apparition sur la scène – ou du moins la diffusion d’un récit sur quelque chose de mauvais portant ce nom – est programmée pour détourner l’attention de l’accélération de l’installation de réseaux qui sont jugés importants pour la création d’un Nouvel ordre mondial totalitaire. Par exemple, le déploiement de la 5G, un réseau intelligent numérique et un «internet des objets» ; un système de transport robotisé ; le programmes de surveillance de la population par reconnaissance faciale ; de nouvelles souches d’organismes génétiquement modifiés et de vaccins, etc. Cependant, l’objectif prédominant consiste à «redéfinir» la finance mondiale de manière à sembler soutenir l’euphémisme du New Deal Vert et de son Saint-Graal «Zero Carbone».

Le fait que la Chine ait probablement été la cible initiale des armes biologiques ne nuit pas à l’objectif plus répandu de perturber l’économie mondiale dans son ensemble.

L’efficacité de cette stratégie mutante dépend du fait que la plus grande partie de la populace soit entraînée dans un champ de croyance aveugle en l’authenticité –  la « réalité » – du scénario « virtuel ». Une stratégie qui masque l’imposition très réelle d’un État fasciste.

Je dirais que la mise en scène est assez mauvaise cette fois-ci. La pléthore d’actions de répression contradictoires et irrationnelles imposées au nom de la contention de l‘épouvantail dissout la crédibilité de l’opération jusqu’au point de la voir disparaître. En fait, c’est une farce ; mais une farce qui implique des morts réelles et le soutien d’un État policier, ne peut pas être simplement ridiculisée.

Au lieu de cela, elle peut être mise sous les projecteurs et être vue pour ce qu’elle est, une manipulation planifiée des personnes et des ressources de cette planète, dont le principal aiguillon consiste en l’art bien cyclique de répandre la peur et la panique. Et cela, à son tour, pour saper le don de rationalité et de bon sens dont nous avons tous été pourvus depuis notre naissance, et qui – lorsqu’il est en bon état – peut clairement voir derrière la façade et maintenir la ligne de la raison et de la vérité.

Beaucoup ont vu venir ce drame «de l’ordre par le chaos» depuis des années. Le moment du chaos est sur nous en ce moment et très visible. L’ordre est à venir et consistera en l’émergence d’un pacificateur – ou plan de paix – qui impliquera que les croupiers principaux du casino ratissent les jetons de la table de jeu et les encaissent pour une satisfaction temporaire. Permettant ainsi une petite période de vacances au cours de laquelle les faibles agenouillés pourront se réjouir d’avoir survécu et bénir l’émergence du «Nouvel ordre», sous l’autorité de n’importe qui, ou n’importe quoi, tant qu’ils pourront croire que le monde a été sauvé de l’anarchie et de la ruine.

Ceux d’entre nous dont les genoux sont encore solides et dont le cerveau ne s’est pas transformé en gelée sous influence doivent profiter de ce moment pour se déclarer, hardiment et résolument avec ces quatre mots «Nous ne consentons pas».

Il y a une surprise en réserve pour les lâches initiateurs du chaos – c’est notre heure qui viendra et – plus la leur. Car le nôtre est le Véritable Ordre Mondial qui s’aligne sur la Loi Universelle, et non sur les fausses lois d’un statu quo manipulé.

C’est notre nouvelle fusion avec la Vérité Universelle qui va évincer cette pandémie effrayante et toutes les manifestations similaires de tromperie, venues  du côté obscur, qui ont saisi cette planète pendant trop longtemps. Notre véritable ordre mondial va affronter cette dynastie obsédée et démoniaque, de sorte qu’elle trébuche, tombe et ne se relève plus.

Saisissons ce moment propice – et soyons unis comme un seul, dans un engagement inébranlable à nous mettre debout et à rester fermes pour vaincre les fantômes du chaos et de la terreur.

Julian Rose


 

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Des kits de test destinés au Royaume-Uni, contaminés au Covid-19

2 Avril 2020, 09:07am

Des kits de test destinés au Royaume-Uni, contaminés au Covid-19

Evening standard – Le 1er avril 2020


Des kits de tests destinés au Royaume-Uni se sont révélés contaminés au coronavirus.


Le gouvernement a déclaré qu'il avait l'intention de porter le taux de tests à 25 000 par jour au plus tard fin avril et a demandé aux entreprises privées de contribuer à l'augmentation de la production de tests.


Mais une entreprise de production, le fabricant luxembourgeois Eurofins, a déclaré lundi aux laboratoires britanniques que les livraisons seraient retardées car les pièces centrales avaient été contaminées au coronavirus, a rapporté le Telegraph, le 30 mars 2020.


Cela ne devrait pas affecter de manière significative la volonté de tester du Royaume-Uni, ont déclaré des sources gouvernementales au journal.


La nouvelle survient après des jours de confusion sur les tests effectués par le Royaume-Uni.


Le ministre du Cabinet Michael Gove a déclaré dimanche que le Royaume-Uni avait atteint son objectif pour cette étape de la réponse au coronavirus avec 10 000 tests effectués ce jour-là.


Mais Public Health England a publié plus tard des chiffres montrant qu'un peu plus de 8 000 tests avaient été effectués au cours des 24 heures précédentes, bien que le NHS ait une capacité de plus de 10 000.


Pendant ce temps, un ancien directeur de l'Organisation mondiale de la santé a critiqué la politique de test du Royaume-Uni.


Le professeur Anthony Costello, qui travaille maintenant à l'University College de Londres, a déclaré au programme Today de la BBC Radio 4 que le Royaume-Uni n'utilisait pas ses ressources aussi efficacement que des pays comme l'Allemagne - qui effectue 70000 tests par jour.


Il a déclaré: « Nous avons 44 laboratoires de virologie moléculaire au Royaume-Uni. S'ils faisaient 400 tests par jour, nous serions au niveau des tests en Allemagne et c'est parfaitement faisable … »


« Si vous regardez la Corée, ils ont fait 490 000 tests. Leur taux de mortalité est de trois par million et ils ont supprimé le virus. Je ne vois pas pourquoi nous ne pouvons pas faire fonctionner ces 44 laboratoires, trouver des cas et effectuer des tests.Nous devons passer à des tests de masse et lorsque le confinement sera levé… nous aurons alors un mécanisme de contrôle qui nous permettra d'attendre, sans imposer la distanciation sociale dans tout le pays, des médicaments ou un vaccin pour l'immunité collective. »

 

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Virus peu toxique dans l'air

2 Avril 2020, 08:16am

Virus peu toxique dans l'air

Par Thierry Borsa - le 18 mars 2020

Des chercheurs américains auraient trouvé des traces du virus dans l'air ambiant trois heures après une diffusion par un nébulisateur. 

Mais le virus perd beaucoup de sa toxicité lorsqu'il est dans l'air

On savait que le coronavirus pouvait survivre sur différents types de surfaces et de matériaux durant plusieurs heures en dehors du corps humain. Mais une étude financée par le gouvernement américain et publiée le 17 mars dans le New England Journal of Medicine montre que le SARS-CoV2 responsable de l'épidémie de Covid-19 a été retrouvé trois heures après sa diffusion par un nébulisateur dans des particules suspendues dans l'air.

Cette caractéristique du SARS-CoV2 pourrait expliquer expliquer la rapidité avec laquelle évolue l'épidémie de Covid-19. Jusque-là, on considérait que la transmission ne pouvait se faire qu'à travers des gouttelettes projetées à très petite distance ou par le toucher dans les cas où le virus restait attaché à un matériau ou un objet, ce qui est à l'origine de la définition des premières mesures de précaution et des fameux "gestes barrière".

Un niveau de survie du SARS-CoV2 comparable à celui responsable du SRAS

Les chercheurs des Centres de contrôles et de prévention des maladies (CDC), de l'Université de Californie à Los Angeles et de Princeton qui ont mené cette étude affirment que le SARS-CoV2 aurait un niveau de survie à l'air libre comparable à celle du coronavirus qui avait provoqué l'épidémie de SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) en 2002 et 2003.

Après avoir mené des expériences démontrant que le SARS-CoV2 survivait jusqu'à deux ou trois jours sur des surfaces plastiques ou métalliques et durant 24 heures sur du carton, les scientifiques ont utilisé un nébulisateur pour diffuser le virus dans l'air ambiant. Et c'est là qu'ils ont, trois heures après sa diffusion, retrouvé des traces du virus en aérosol, c'est à dire dans des particules circulant dans l'air ambiant.

Mais l'étude montre également que le virus SARS-CoVZ2 perd une proportion importante de sa toxicité une fois qu'il est dans l'air. 

 

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Communiqué de la Société Anthroposophique en France

31 Mars 2020, 22:20pm

Communiqué de la Société Anthroposophique en France
Communiqué du comité responsable de la Société anthroposophique en France

31 mars 2020

Une vidéo du dr Thomas Cowan sur les origines du Covid-19 se référant à Rudolf Steiner a largement été partagée sur les réseaux sociaux depuis la mi-mars 2020.

Les organisations militantes qui diffusent cette vidéo traduite en français, sont indépendantes et n’ont pas de lien à une quelconque institution anthroposophique.

Dès le 14 mars, la Société anthroposophique en France émettait dans un article « COVID-19 et ANTHROPOSOPHIE » une mise en garde et un appel au discernement face au foisonnement de publications qui utilisent à plus ou moins bon escient des propos de Rudolf Steiner.

La vidéo a été classée comme virale, parmi les fake news, et comme hoax, par divers organismes de veille.

Cependant, selon le procédé qui consiste à relayer partialement une information, plusieurs tribunes n’ont pas manqué de saisir l’opportunité de cette vidéo pour discréditer l’anthroposophie et Rudolf Steiner :

.   Le Point : « Coronavirus : le virus ‘’fake news’’ galope », par Géraldine Woessner
.   Charlie Hebdo : « Pour la médecine anthroposophique, le coronavirus c’est la faute de la 5G », par Antonio Fischetti
.   L’Express : « 5G, contamination bienvenue… Ces médecins qui diffusent des théories folles sur le coronavirus », par Thomas Mahler

En tant que Société anthroposophique, nous déclarons que :

.   Le docteur Thomas Cowan n’est pas membre de la Société anthroposophique aux USA ni ailleurs.
.   Il a été vice-président de l’Association des médecins d’orientation anthroposophique aux USA (PAAM), entre 1980 et 1990, mais ne l’est plus depuis au moins 30 années.
.   Nous considérons que le discours tenu dans cette vidéo ne résiste pas à une analyse même superficielle. Ces propos ignorent la simple observation du phénomène de contagion du virus, ils établissent une corrélation infondée avec la 5G à Wuhan ; ils ne s’appuient pas sur les bases que peuvent fournir actuellement la recherche anthroposophique comme tout autre recherche scientifique fondée.

En conséquence, autant ce monsieur peut librement tenir les propos qu’il veut, autant il ne représente que lui-même. De ce fait, ses appropriations et interprétations des propos de Steiner n’engagent que lui.

Ce 29 mars, la Section médicale du Goetheanum a officiellement publié ce tweet auquel nous souscrivons :

The Medical Section does not (!) stand behind the statements of Thomas Cowan. We do not share his statements and interpretations. They are lined up in all too simple explanation theories. Rudolf Steiner’s representations are much more differentiated .

Traduction : La section médicale ne soutient pas ( !) les déclarations de Thomas Cowan. Nous ne partageons ni ses déclarations ni ses interprétations. Elles s’alignent sur des théories explicatives bien trop simplistes. Les caractérisations de Rudolf Steiner sont beaucoup plus différenciées.

 

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Coronavirus : point d'actualité

31 Mars 2020, 16:40pm

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Changement climatique et coronavirus : même combat

31 Mars 2020, 15:57pm

Changement climatique et coronavirus : même combat

Les racines communes du changement climatique et de l'hystérie COVID-19


Traduction Ciel voilé
 

Introduction


Les gens veulent savoir: à quel point le virus COVID-19 est-il mauvais et le combat vaut-il la destruction du système économique et financier mondial tout en perturbant la vie de centaines de millions de personnes? Les faits derrière la narration montreront clairement que les choses sont rarement ce qu'elles paraissent être.


En bref et vu à travers la lentille du développement durable, alias Technocratie, le monde entier vient d'être trompé puis paniqué pour se détruire sur COVID-19.


Le coupable? Un technocrate de classe mondiale en Grande-Bretagne: Dr. Neil Ferguson, PhD est professeur à l'Imperial College de Londres qui se présente comme une «université mondiale». Elle est profondément ancrée dans le développement durable et se consacre davantage aux causes sociales qu'à la réussite scolaire. En fait, l'Impérial est très connu pour ses rapports de recherche alarmistes sur le changement climatique, la réduction du CO2, la dégradation de l'environnement, la perte de biodiversité, etc.


Le problème avec le thème du réchauffement climatique est qu'il s'agit d'un cheval de course fatigué et épuisé que la plupart des gens ignore tout simplement. Les alarmistes du réchauffement climatique ont essayé toutes les astuces possibles pour précipiter le monde dans le développement durable. Ils ont sciemment falsifié des données climatiques, inondé le monde de rapports académiques inexacts, tenu des réunions mondiales comme l'Accord de Paris en France, menacé et intimidé leurs détracteurs, créé un mouvement mondial de jeunesse pour faire honte aux dirigeants, etc. Toutes ces stratégies ont échoué à inaugurer le développement durable de l'ONU, alias Technocratie, et présentent peu de promesses de succès à l'avenir.


Ce dont les partisans du développement durable avaient besoin était de mettre leur cheval de course non performant «Le réchauffement climatique» au pâturage et de trouver un tout nouveau cheval qui pourrait enfin courir et gagner la course à ce que l'ONU appelle une «transformation profonde» de l'ensemble du système économique mondial. Le nouveau cheval est nommé «COVID-19». Cheval différent, même jockey, même course, même ligne d'arrivée.


Imperial College


Le président de l'Imperial College est le professeur Alice Gast. Elle considère que le collège fait partie d'un «nouveau paradigme de l'université mondiale» qui veut être «un contributeur à un avenir meilleur». Gast note également que les trois principaux domaines d'intérêt de l'Imperial sont les «épidémies, les pénuries de ressources naturelles et les crises environnementales». En d'autres termes, l'environnement, les ressources naturelles et les épidémies sont considérés comme entrelacés et indissociables.


L '«université mondiale» est en effet un nouveau paradigme, qui transforme radicalement le rôle traditionnel de l'éducation en un rôle d'activisme social. Le succès est mesuré par l'impact social sur la société et non en fonction des résultats scolaires.


En outre, l’université mondiale est invariablement présentée comme une championne du développement durable des Nations Unies et l’Imperial ne fait pas exception. Le directeur du développement durable à l'Imperial est le professeur Paul Lickiss. Sa page Web déclare: «La durabilité devrait traverser toute la réflexion et l'activité du Collège à tous les niveaux et sur tous les campus.» Un examen informel des différents départements de l'Imperial confirme cette affirmation: les thèmes de la durabilité, de l'environnement et du changement climatique sont partout présents.


Le travail commence


Une fois que la libération de COVID-19 à Wuhan a été reconnue comme une pandémie potentielle, le chercheur universitaire, le Dr Neil Ferguson, s'est mis au travail pour développer un modèle informatique afin de suivre et de prévoir sa propagation rapide. Au sommet de son domaine, Ferguson est professeur de biologie mathématique à l'Imperial College de Londres et possède une vaste expérience dans le suivi d'autres maladies infectieuses telles que la grippe porcine en 2009, la dengue en 2015 et le Zika en 2016.


Ferguson est un épidémiologiste britannique et professeur de biologie mathématique à l'Imperial College. Selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS) :


L'épidémiologie est l'étude de la distribution et des déterminants des états ou événements liés à la santé (y compris les maladies), et l'application de cette étude au contrôle des maladies et autres problèmes de santé. Diverses méthodes peuvent être utilisées pour mener des enquêtes épidémiologiques: la surveillance et des études descriptives peuvent être utilisées pour étudier la distribution; des études analytiques sont utilisées pour étudier les déterminants.


Titulaire d'une maîtrise ès arts en physique, il a obtenu un doctorat en philosophie en physique théorique. Il n'a aucun diplôme médical ou apparenté, mais a plutôt choisi d'appliquer ses études pour utiliser ses compétences mathématiques en modélisant la propagation des maladies infectieuses.


En d'autres termes, Ferguson est un technocrate axé sur les données avec un accès direct aux décideurs du monde entier. Selon le New York Times :


L'Imperial College a conseillé le gouvernement sur sa réponse aux épidémies précédentes, notamment le SRAS, la grippe aviaire et la grippe porcine. Il a des liens avec l'Organisation mondiale de la santé et une équipe de 50 scientifiques, dirigée par un épidémiologiste de renom, Neil Ferguson, l'Impériale est traitée comme une sorte d'étalon-or, ses modèles mathématiques alimentant directement les politiques gouvernementales.


Étude COVID-19 de Ferguson


Au début de l'épidémie de COVID-19, Ferguson a commencé à conseiller les autorités britanniques et américaines sur la propagation de l'infection ainsi que sur les moyens de la combattre. Ainsi, il a été à la fois chercheur et conseiller politique.


La conclusion de Ferguson selon laquelle COVID-19 tuerait jusqu'à 500 000 personnes en Grande-Bretagne et plus de 1,1 million aux États-Unis, a déclenché un raz de marée de panique qui ne s'est pas calmé. Ses recommandations politiques étaient tout aussi choquantes, à savoir que les sociétés doivent être entièrement verrouillées pour survivre.


Le 16 mars 2020, Ferguson a finalement publié son rapport officiel, Impact des interventions non pharmaceutiques (NPI) pour réduire la mortalité par COVID19 et la demande de soins de santé.
Voici quelques observations rapides à la lecture de ce rapport:


- Bien avant de publier, il a conseillé les décideurs. Son étude de modélisation «a éclairé l'élaboration des politiques au Royaume-Uni et dans d'autres pays au cours des dernières semaines»
Comparable à la grippe espagnole de 1918: « Il représente le plus dangereux virus respiratoire observé depuis la pandémie de grippe H1N1 de 1918».


- Application de ce modèle et du modèle précédent au Royaume-Uni et aux États-Unis: «nous appliquons un modèle de micro-simulation précédemment publié à deux pays: le Royaume-Uni (en particulier la Grande-Bretagne) et les États-Unis»


- Il existe deux stratégies possibles: atténuation et suppression


- Atténuation: cette proposition de distanciation sociale, d'isolement à domicile des malades, de mise en quarantaine à domicile des proches, «Nous constatons que les politiques d'atténuation optimales (combinant l'isolement à domicile des cas suspects, la mise en quarantaine à domicile de ceux vivant dans le même ménage que les cas suspects et les distance des personnes âgées et des personnes les plus à risque de maladie grave) pourrait réduire de moitié les pics de demande de soins de santé et les décès de moitié »


- En dépit de la réduction de moitié des décès, «l'épidémie atténuée qui en résulterait aurait probablement pour conséquence que des centaines de milliers de décès et des systèmes de santé (notamment des unités de soins intensifs) seraient submergés à plusieurs reprises»
Ainsi, il soutient que la suppression est la seule option


- Suppression: des mesures supplémentaires comprennent l'éloignement social de l'ensemble de la population, l'isolement du domicile des personnes infectées, la mise en quarantaine des membres de la famille des ménages, la fermeture des écoles et des universités.


- À long terme: la suppression «devra être maintenue jusqu'à ce qu'un vaccin soit disponible (potentiellement 18 mois ou plus)».


Ces prévisions apocalyptiques, basées entièrement sur des simulations informatiques similaires à celles utilisées dans les études climatiques, étaient suffisamment crédibles pour que les dirigeants nationaux les acceptent à leur valeur nominale. Pire, ils ont également accepté les recommandations de politique de Ferguson, qui ont ensuite été mises en œuvre avec des détails précis. Voici certains des extraits les plus prémonitoires de la section de conclusion du rapport:


Nos résultats démontrent qu'il sera nécessaire de superposer plusieurs interventions, que la suppression ou l'atténuation soit l'objectif politique primordial. Cependant, la suppression nécessitera la superposition de mesures plus intensives et perturbatrices sur le plan social

que l'atténuation. Le choix des interventions dépend en fin de compte de la faisabilité relative de leur mise en œuvre et de leur efficacité probable dans différents contextes sociaux. (p. 14)


Dans l'ensemble, nos résultats suggèrent que la distanciation sociale appliquée à la population dans son ensemble aurait le plus grand impact; et en combinaison avec d'autres interventions - notamment l'isolement des cas à domicile et la fermeture des écoles et des universités - a le potentiel de supprimer la transmission en dessous du seuil de R = 1 requis pour réduire rapidement l'incidence des cas. Une politique minimale pour une répression efficace est donc une distanciation sociale à l'échelle de la population combinée à l'isolement des cas et à la fermeture des écoles et des universités. (p. 14)


Pour éviter un rebond de la transmission, ces politiques devront être maintenues jusqu'à ce que d'importants stocks de vaccins soient disponibles pour immuniser la population - ce qui pourrait être de 18 mois ou plus. (p.15)


La technologie - comme les applications de téléphonie mobile qui suivent les interactions d'un individu avec d'autres personnes dans la société - pourrait permettre à une telle politique d'être plus efficace et évolutive si les problèmes de confidentialité associés peuvent être surmontés. (p. 15)
 

Notre conclusion la plus importante est peut-être qu'il est peu probable que l'atténuation soit possible sans que les limites de capacité de pointe d'urgence des systèmes de santé britanniques et américains soient dépassées à plusieurs reprises. Dans la stratégie d'atténuation la plus efficace examinée, qui conduit à une seule épidémie relativement courte (isolement des cas, mise en quarantaine des ménages et éloignement social des personnes âgées), les limites de surtension pour les lits de l'unité générale et des soins intensifs seraient dépassées d'au moins 8 fois dans le scénario plus optimiste pour les besoins en soins intensifs que nous avons examiné. De plus, même si tous les patients pouvaient être traités, nous prévoyons qu'il y aurait encore de l'ordre de 250 000 décès en Grande-Bretagne et de 1,1 à 1,2 million aux États-Unis. (p. 16)


L'esprit d'un technocrate est clairement visible dans tout ce package. Toutes ces mesures draconiennes doivent être maintenues jusqu'à ce qu'un vaccin soit créé, soit au moins 18 mois. L’utilisation d’applications de téléphonie mobile pour suivre la population mondiale pourrait être efficace si les citoyens pouvaient y accéder par chemin de fer. Ce que l'on ne voit pas, c'est un mot sur la destruction du système économique mondial qui résulterait certainement de ces mesures politiques draconiennes.


Les alarmistes climatiques qui ont articulé les politiques du Green New Deal appellent également à des mesures radicales pour transformer la société et ils sont également muets sur les effets destructeurs inévitables que ces politiques auraient sur l'économie mondiale.


Détruire le capitalisme et la libre entreprise


Pourquoi les technocrates ne discutent-ils pas de la destruction du capitalisme et de la libre entreprise? Parce que c'est leur objectif exact. Lorsque Christiana Figueres était à la tête du changement climatique aux Nations Unies en 2015. Elle a clairement déclaré:


«C'est probablement la tâche la plus difficile que nous nous soyons jamais donnée, qui est de transformer intentionnellement le modèle de développement économique, pour la première fois dans l'histoire de l'humanité. C'est la première fois dans l'histoire de l'humanité que nous nous donnons pour tâche de changer intentionnellement, dans un délai défini, le modèle économique qui règne depuis au moins 150 ans, depuis la révolution industrielle. Cela ne se fera pas du jour au lendemain et cela ne se produira pas lors d'une seule conférence sur le changement climatique, que ce soit la COP 15, 21, 40 - vous choisissez le nombre. Cela ne se produit tout simplement pas comme ça. C'est un processus, en raison de la profondeur de la transformation. » (pas d'italique dans l'original)


Les gens soutiennent que cela ne peut pas être le but, que c'est tout simplement trop vaste pour être compris. Ma réponse est que si un tueur pointe une arme sur vous et dit avec colère qu'il va vous tuer, allez-vous prendre des mesures défensives ou simplement rester là et le laisser vous tirer dessus? À peine. Les menaces directes doivent être prises au sérieux, surtout lorsque l’auteur a les moyens d’exécuter la menace.


Dans la chaleur de la Grande Dépression au début des années 1930, les technocrates étaient certains que le capitalisme et la libre entreprise seraient morts dans quelques mois. Leur système de remplacement économique de la technocratie ne fonctionnerait et ne pourrait fonctionner que si le système économique existant était complètement défaillant. Malheureusement pour eux, le capitalisme s'est rétabli et la technocratie s'est amoindrie.


Aujourd'hui, cependant, l'Organisation des Nations Unies exprime clairement la même prémisse et elle est prête avec son système économique basé sur les ressources appelé Développement durable, alias Technocratie. L'exemple le plus clairement exprimé de développement durable est le Green New Deal récemment dévoilé par la représentante américaine Alexandria Ocasio-Cortez (D-NY) et le sénateur Ed Markey (D-MA).


Le monde panique


Grâce à Neil Ferguson et à l'Imperial College, le monde entier a paniqué à propos du COVID-19 et pire encore, les dirigeants ont mis en œuvre toutes leurs recommandations de politique de verrouillage, de stock et de baril. Pendant ce temps, tous les médias mondiaux suivent docilement derrière, attisant les flammes de la peur dans un feu de forêt qui fait rage.


En conséquence, l'économie américaine est en chute libre, le système financier est au bord de l'effondrement total, les actions sont entrées dans un marché baissier à part entière, certains billets du Trésor américain se négocient à des taux d'intérêt négatifs et les demandes de chômage ont grimpé à 3,3 millions la semaine dernière alors que les entreprises fermaient leurs portes. Les experts de l'emploi prévoient que plus de 40 millions d'Américains auront perdu leur emploi d'ici la fin avril.


En bref, l'économie a subi une blessure mortelle. Même si toutes les restrictions ont été immédiatement levées à l'échelle mondiale, il est très douteux que l'économie puisse retrouver son ancien état. De plus, ce doute augmente chaque semaine que l'activité restreinte continue.

 

Aux États-Unis, le principal agent de panique a été le très estimé Dr Anthony Fauci, qui a également des liens étroits avec l'Organisation mondiale de la santé. Selon la National Review, Fauci a émis l'hypothèse fin février dans le New England Journal of Medicine que le taux de mortalité lié au COVID-19 pourrait être «considérablement inférieur à 1% car de nombreuses personnes infectées ne présentent aucun symptôme ou des symptômes très légers non rapportés.»

Et pourtant, les médias déclarent régulièrement que le taux de mortalité est de 3,4% ou plus. Le Dr Fauci lui-même continue d'affirmer que COVID-19 est 10 fois pire que la grippe, même si ses propres estimations de 100 000 à 200 000 décès se comparent aux décès signalés par les CDC pendant la saison grippale 2019-2020, entre 24 000 et 62 000. Si le chiffre 10X de Fauci est exact, alors il devrait estimer entre 240 000 et 620 000 décès, ce qu'il n'est pas. Ses chiffres ne collent tout simplement pas!


Conclusion


Nous sommes tous, à juste titre, attristés par quiconque perd la vie à COVID-19, mais nous serons bien plus désolés d'avoir fait confiance à un technocrate pour nous dire comment faire face à la pandémie. La destruction de l'économie entraînera beaucoup plus de morts et de difficultés que COVID-19 n'aurait pu imaginer.


Il y a encore beaucoup à écrire sur ce sujet. Le point principal de cet article est d'établir la «panique de 2020» comme une opération technocrate afin que le développement durable, alias la Technocratie, puisse être rapidement mis en avant ,s'il n'est pas complètement introduit. En outre, c'est une stratégie de remplacement pour le réchauffement climatique pour provoquer la panique. Comme indiqué ci-dessus, cheval différent, même jockey, même course, même ligne d'arrivée.

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Corona : créer l'illusion d'une pandémie grâce à des tests diagnostiques

31 Mars 2020, 13:39pm


30 mars par Jon Rappoport - Traduction Ciel voilé

 

Prenons-les à leurs propres mots.


Dans cet article, je présenterai des citations de sources officielles concernant leur propre test de diagnostic pour le coronavirus. Je parle de défauts fatals dans le test.


Parce que les nombres de cas sont basés sur ces tests (ou pas de test du tout), l'ensemble de «l'effet pandémique» a été créé à partir de fausses données scientifiques.


Dans un moment de vérité, un pro de la propagande pourrait murmurer à un collègue: «Vous savez, nous avons un excellent test de diagnostic pour le virus. Le test révèle toutes sortes de résultats qui indiquent que cette personne est malade et elle l'est vraiment. Des millions de personnes malades. Mais le test ne mesure pas vraiment cela. Le test est ridicule, mais ridicule en notre faveur. Il construit l'image d'une pandémie mondiale. Une excuse pour verrouiller la planète et détruire les économies et les vies… »


Le test répandu pour le virus COVID-19 est appelé PCR. J'ai beaucoup écrit à ce sujet dans de précédents articles.


Passons maintenant à la littérature officielle publiée et voyons ce qu'elle révèle. Alerte: les lacunes et les défauts reconnus du test sont dévastateurs.


Extrait du «CDC 2019-Novel Coronavirus (2019-nCoV) Panel de diagnostic RT-PCR en temps réel» [1]:


«La détection d'ARN viral peut ne pas indiquer la présence de virus infectieux ou que le 2019-nCoV serait l'agent causal des symptômes cliniques.»


Traduction: Un test positif ne garantit pas du tout que le virus COVID provoque une infection. Et, hum, en lisant entre les lignes, peut-être que le virus COVID pourrait ne pas être du tout dans le corps du patient.


De l'Organisation mondiale de la santé (OMS): «Conseils techniques sur la maladie des coronavirus (COVID-19): tests de laboratoire pour le nCoV 2019 chez l'homme» [2]:


«Plusieurs tests qui détectent le 2019-nCoV ont été et sont actuellement en cours de développement, à la fois en interne et commercialement. Certains tests peuvent détecter uniquement le nouveau virus [COVID] et certains peuvent également détecter d'autres souches (par exemple SARS-CoV) qui sont génétiquement similaires. »


Traduction: Certains tests de PCR enregistrent des résultats positifs pour les types de coronavirus qui n'ont rien à voir avec COVID, y compris les coronavirus simples connus qui ne provoquent rien de plus qu'un rhume.


Le document de l'OMS ajoute ceci : «Limitations de l'utilisation du protocole: les échantillons cliniques facultatifs pour les tests n'ont pas encore été validés.»


Traduction: Nous ne savons pas quels échantillons de tissus sur le patient il faudrait prélever, afin que le test ait une quelconque validité.
De la FDA: «LabCorp COVID-19RT-PCR test EUA Summary: ACCELERATED EMERGENCY USE AUTORIZATION (EUA) SUMMARYCOVID-19 RT-PCR TEST (LABORATORY CORPORATION OF AMERICA)» [3]:


«… Le SARS-CoV-2RNA [virus COVID] est généralement détectable dans les échantillons respiratoires pendant la phase aiguë de l'infection. Les résultats positifs indiquent la présence d'ARN du SARS-CoV-2; une corrélation clinique avec les antécédents du patient et d'autres informations diagnostiques est nécessaire pour déterminer l'état d'infection du patient… L'AGENT DÉTECTÉ PEUT NE PAS ÊTRE LA CAUSE DÉFINITIVE DE LA MALADIE. (C'est moi qui ajoute les lettres en capitales). Les laboratoires des États-Unis et de ses territoires sont tenus de signaler tous les résultats positifs aux autorités de santé publique compétentes. »


Traduction: D'une part, nous affirmons que le test peut détecter «généralement» la présence du virus COVID chez un patient. Mais nous admettons que «l'agent détecté» sur le test, par lequel nous entendons COVID, « peut ne pas être la cause définitive de la maladie ». Nous admettons également que, sauf si le patient a une infection aiguë, nous ne pouvons pas trouver COVID. Par conséquent, l'idée de «patients asymptomatiques» confirmée par le test est absurde. Et même si un test positif pour COVID peut ne pas indiquer la cause réelle de la maladie, tous les tests positifs doivent être signalés et ils seront comptés comme «cas de COVID». Indépendamment.


D'un fabricant d'éléments de kit de test PCR, Creative Diagnostics, «Kit SARS-CoV-2 Coronavirus Multiplex RT-qPCR» [4]:


« Statut réglementaire: pour la recherche uniquement, pas pour une utilisation dans les procédures de diagnostic. »


Traduction: N'utilisez pas le résultat du test seul pour diagnostiquer une infection ou une maladie. Oups.
«Interférence non spécifique du virus de la grippe A (H1N1), du virus de la grippe B (Yamagata), du virus respiratoire syncytial (type B), de l'adénovirus respiratoire (type 3, type 7), du virus parainfluenza (type 2), de Mycoplasma Pneumoniae, de Chlamydia Pneumoniae , etc. »
 

Traduction: Bien que cette société déclare que le test peut détecter COVID, elle indique également que le test peut être FAUSSEMENT positif si le patient a l'un des autres virus non pertinents dans le corps. Quel est donc le test ? Qui sait ? Lancer une pièce.


«Application qualitative»


Traduction: Cela signifie clairement que le test n'est pas adapté pour détecter la quantité de virus dans le corps du patient. Je vais commenter l'importance de cet aveu dans une minute.
 

«Le résultat de détection de ce produit est uniquement à titre de référence clinique, et il ne doit pas être utilisé comme seule preuve pour le diagnostic et le traitement cliniques. La prise en charge clinique des patients doit être envisagée en association avec leurs symptômes / signes, leurs antécédents, d'autres tests de laboratoire et les réponses au traitement. Les résultats de détection ne doivent pas être directement utilisés comme preuves pour le diagnostic clinique, et ne sont que pour la référence des cliniciens. »


Traduction: N'utilisez pas le test comme base exclusive pour diagnostiquer une personne au COVID. Et pourtant, c'est exactement ce que font les autorités sanitaires partout dans le monde. Tous les tests positifs doivent être signalés aux agences gouvernementales, et ils sont comptés comme des cas COVID.


Ces citations, provenant du gouvernement et de sources officielles pour les tests, torpillent toute la base «scientifique» du test.


Et maintenant, j'ajouterai un autre coup mortel: le test n'a jamais été validé correctement en tant qu'instrument de détection des maladies. Même en supposant qu'il puisse détecter la présence du virus COVID chez un patient, il ne montre pas COMBIEN de virus se trouve dans le corps. Et c'est la clé, car pour même commencer à parler de maladie réelle dans le monde réel, pas dans un laboratoire, le patient devrait avoir des millions et des millions de virus se répliquant activement dans son corps.


Les partisans du test affirment qu'il PEUT mesurer la quantité de virus dans le corps. A quoi je réponds: prouvez-le.


Prouvez-le d'une manière qui aurait dû être prouvée il y a des décennies - mais qui ne l'a jamais été.
Prenez cinq cents personnes et prélevez-leur des échantillons de tissus. Les personnes qui prélèvent les échantillons NE font PAS le test. Les testeurs ne sauront jamais qui sont les patients et dans quel état ils se trouvent.


Les testeurs effectuent leur PCR sur les échantillons de tissus. Dans chaque cas, ils disent quel virus ils ont trouvé et COMBIEN ils en ont trouvé.


« Très bien, chez les patients 24, 46, 65, 76, 87 et 93, nous avons trouvé beaucoup de virus. »
Maintenant, nous aveuglons ces patients. Ils devraient tous être malades, car tellement de virus se répliquent dans leur corps. Sont-ils malades? Courent-ils des marathons? Découvrons-le.


Cette vérification ÉVIDENTE du test n'a jamais été effectuée. C'est un énorme scandale. Où sont les résultats des tests contrôlés chez 500 patients, mille patients? Nulle part.


Le test n'est pas une preuve, c'est une fraude.
Et, par conséquent, la pandémie de COVID, qui est censée être basée sur ce test, est également une fraude.


« Mais ... mais ... et tous les malades et les mourants ... pourquoi sont-ils malades? »


J'ai écrit des milliers de mots pour répondre à cette question, dans de précédents articles. DE NOMBREUSES affections - aucune impliquant le COVID et la plupart impliquant d'anciennes maladies traditionnelles - rendent les gens malades.

Sources:
[1]: (lien)
[2]: (lien)
[3]: (lien)
[4]: (lien)

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Soros et la justice européenne

31 Mars 2020, 09:07am

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La commission européenne promeut la 5G

30 Mars 2020, 17:50pm

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Le vrai but du confinement

30 Mars 2020, 12:35pm

Le vrai but du confinement
Le vrai but du confinement n’est pas celui qu’on croit


Auteur François Martin Samedi 28 mars 2020

 

 

L’exécutif martèle que le confinement est la seule façon de résoudre la crise sanitaire. Mais il a également d’autres utilités, explique François Martin, du fonds de recherche amitié politique. 

Pour beaucoup de français, le but du confinement est strictement sanitaire. C’est ce qu’on leur dit, mais évidemment, ce n’est pas vrai. D’abord, le pouvoir n’est sans doute pas terrorisé par le nombre de morts. En effet, chaque année, le nombre de morts de la grippe est de l’ordre de 7000 à 9000 personnes. Tant que l’on n’atteint pas ce chiffre, pense probablement le gouvernement, l’épidémie du coronavirus restera à peu près « dans les clous ». Et puis, si on avait « feuilletonné » jusqu’ici, comme le Ministre le fait chaque soir, le nombre de contaminés et de morts de la grippe « classique », personne n’oserait jamais sortir de chez soi entre Décembre et Avril. Enfin, chaque année, les maladies cardiovasculaires font de l’ordre de 140 000 victimes, et le cancer environ 150 000. Cela n’empêche visiblement personne de s’offrir de temps en temps une belle cochonnaille (pleine de cholestérol…) avec une bonne bouteille de vin, et le gouvernement, s’il nous incite à l’activité physique, ne nous interdit pas pour autant la liberté de nos repas. Et si nous craignons le cancer, il ne nous empêche pas pourtant d’essayer de vivre heureux. Et les campagnes contre le cancer, s’il les prend au sérieux, ne tétanisent pas non plus le gouvernement. Que craint donc le gouvernement ?

Le gouvernement craint plus la crise médiatique que sanitaire

Ce que craint le gouvernement, ce n’est pas la crise sanitaire, mais c’est la crise médiatique. En effet, le virus, à défaut d’être beaucoup plus létal que la grippe, en tout cas dans les pays où il est correctement traité, en-dehors de la catégorie des personnes âgées, et sous réserve que les statistiques veuillent dire quelque chose (puisque les méthodes de dépistage sont très différentes d’un pays à l’autre), est au moins, c’est avéré, nettement plus agressif. Cela veut dire que la contagion, lorsque les « mesures barrières » sont insuffisantes, se transmet beaucoup plus vite d’un sujet à l’autre. Le pic est plus rapide, d’où le risque (contrairement à une grippe classique, où le pic semble moins brutal, ou même aux maladies cardiovasculaires ou aux cancers, où les morts sont répartis sur toute l’année) que l’on ait, à un moment donné, le spectacle désastreux de ce que l’on cherchait justement à cacher : le délabrement de notre système hospitalier, avec les médecins et infirmières débordés, les malades couchés dans les couloirs, les camions militaires évacuant les morts, etc… Plus que le nombre de morts, ce que craint le gouvernement, c’est la médiatisation d’un scénario à l’italienne mettant son impréparation au grand jour. C’est ça, sa crainte. Et, malheureusement pour lui, c’est bien ce qui se passe.

La preuve que ce ne sont pas les morts qui semblent être sa préoccupation principale, c’est, par exemple, l’appel désespéré des députés de Mayotte, où l’on craint une véritable hécatombe, et où pourtant le gouvernement reste sourd, en tout cas jusqu’ici, parce que Mayotte restera sous les radars médiatiques.

Mais l’autre crainte du gouvernement, la principale, sans doute, c’est la future crise économique. En effet, le gouvernement n’est pas plus préparé au sauvetage des milliers de PME qui risquent de se trouver rapidement en faillite, qu’il ne l’est concernant la crise sanitaire. Par contre, il sait que si la crise sanitaire est passagère (elle ne devrait pas résister à l’été, selon les experts), la crise économique, elle, sera permanente. Elle durera jusqu’en 2022, date de la future élection présidentielle. Par conséquent, le gouvernement a beaucoup plus à craindre de la seconde que de la première, d’où ses injonctions contradictoires, incitant d’une part les français à se confiner du mieux possible, et d’autre part, à continuer à travailler autant que possible, en télétravail, mais aussi en direct, lorsqu’ils y sont obligés. Deux injonctions contradictoires, qui ne peuvent être menée de front, parce que chacune invalide l’autre : on ne peut vraiment travailler tant qu’on est confiné, ni être vraiment confiné tant que l’on travaille. Aucun des objectifs ne sera atteint.

La suite sur valeurs actuelles



 

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